ÂGE : trente-trois ans, presque trente-quatre (trente-et-un décembre 90) SURNOM : Izan s'est octroyé le droit de l'appeler "Mini-pouce" STATUT : séparée définitivement de Sam ; alors qu'elle s'efforce de dire à tout le monde que c'en est fini des histoires d'amour, Helen est tombée sous le charme d'une femme. MÉTIER : chirurgienne orthopédiste, mais envisage de démissionner depuis que sa vie est le chaos le plus total. LOGEMENT : #587 wellington street, bayside, depuis qu'Izan lui a légué son appartement POSTS : 1736 POINTS : 4100
TW IN RP : normalement indiqué dans les posts concernés GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas. DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : #9999cc RPs EN COURS :
☆ IZEN #11 + (when the sun shine, we shine together told you I'll be here forever Said I'll always be your friend) ~ #1 + #2 + #3 + #4 + #5 + #6 + #7 + #8 + #9 + #10
☆ HELIVE + (no longer waiting, remove illusions, no more complaining, forget confusion. No more compassion, not sentimental, I am now something experimental) ~ #1 + #2 + #3
☆ YASMEN #3 + (i can't wait to see your face, crash when we're switching lanes, but if i miss the brake, we're dancing in the flames, it's indescribable) ~ #1 + #2
@Leslie Cohen - début novembre - st vincent ¤¤¤ 791 mots crédits gifs (unapologeticallyallin.) / code (boté du sud )
Les néons de la soirée d'halloween continuaient d'alimenter les rêves de la chirurgienne, puisque c'était ainsi qu'elle imaginait le moment passé là-bas : indépendant de la réalité, sorti tout droit de son esprit. Son mal de tête le lendemain traduisait aisément l'erreur commise en ingurgitant un peu trop d'alcool, et Helen en venait aussi à se demander si la téquila ne l'avait pas faite halluciner sur certaines choses. En plus des jeux de lumière qui animaient ses souvenirs, c'était surtout la silhouette de Yasmin qui la hantait. Malgré son état alcoolisé, la chirurgienne était agréablement surprise de constater sa capacité à avoir retenu son corps dans les moindres détails, en plus de beaucoup d'autres choses. La première chose qu'elle était certaine de ne jamais oublier, c'était bien son déguisement de démon, toute de noire vêtue. Outre la couleur, la robe de Yasmin défiait n'importe quelle personne à oser détourner le regard face à autant de transparence, ce qui dévoilait très justement des bouts de sa peau qui donnaient à vouloir en voir davantage : et cela avait fonctionné sur Helen, qui s'était surprise à fantasmer sur ce qu'elle ne pouvait voir. Yasmin en avait montré suffisamment pour être sur sa faim. Pourtant, jamais Helen n'avait été attiré par une femme ; après des années à swiper sur le compte Tinder de Sloane, ce tilt ne s'était jamais fais dans sa tête, qui lui aurait laisser supposer qu'elle puisse un jour ressentir une véritable attirance pour une personne du même sexe qu'elle. Ce n'était pas une lubie, Yasmin lui plaisait vraiment. Durant la soirée, Helen avait recherché son attention, jusqu'à se mettre à flirter très explicitement avec elle. La chirurgienne s'était lancée dans le vide, usant de sa taquinerie pour la toute première fois à l'égard d'une femme dans le but de la charmer. Parce que si Yasmin n'avait pas eu besoin de faire grand chose pour faire naître le feu dans son bas-ventre, Helen n'avait pas la prétention de croire que la policière puisse être intéressée par elle, en retour. La brune lui faisait perdre la tête, au point de la pousser à croire qu'elle n'avait décemment aucune chance face à tant de beauté au naturel. Pourtant, Helen s'était lancée dans un jeu de séduction, avec l'infime espoir de ressentir la même attirance dans le regard de la policière. A plusieurs reprises, elle avait eu extrêmement chaud. De ce qu'elle était aujourd'hui à même de comprendre, et avec le recul pris depuis deux jours, Yasmin ne semblait pas insensible à son charme non plus. Helen se rappelait de beaucoup de mots, et rien que de se remémorer le passage où la policière lui affirmait être certaine d'être encore plus sublime sans sa robe, l'excitation l'envahissait de nouveau, alors qu'elle était à l'hôpital, en train d'écouter que d'une seule oreille le cas présenté par sa collège Leslie Cohen, qu'elle avait rejoins aux urgences. En sentant son propre soupir face à tant de désir en s'imaginant Yasmin au travail, la chirurgienne tenta de se focaliser sur les traits de l'urgentiste et sur ses lèvres qui se mouvaient à chacune de ses phrases qui expliquer dans le détail l'état du patient devant eux. Helen les regarda certainement avec beaucoup d'insistance, et pour cause, la voilà qui en venait désormais à se demander si sa collègue pouvait elle aussi, être attirante à ses yeux. Le regard sombre de la jeune femme la détailla d'une manière plutôt inhabituelle, glissant de son regard noisette jusqu'à son nez légèrement retroussé, alternant entre ses pommettes et l'arête de ses mâchoires marquées par la finesse et l'élégance. Ses lèvres fines, et légèrement glossées attirèrent son attention, mais rien de comparable à la bouche séduisante et charnue de Yasmin, qu'elle avait eu envie de dévorer à chaque fois qu'elle avait eu le malheur de les regarder, avec ses nombreux sourires en coin. A cause de leur blouse de travail, le regard d'Helen dut s'arrêter à la naissance de ses clavicules, mais cela lui suffisait amplement pour affirmer qu'elle ne ressentait absolument aucun désir pour Leslie, alors qu'elle était malgré tout à même d'admettre que c'était une femme sublime, magnifique, même. Mais ce n'était pas Yasmin, et elle ne faisait pas naître le feu en elle, comme elle arrivait à le faire. Le bruit du choc de la tablette contre le chariot attenant au lit la sortit de sa rêverie, et elle observa Leslie de manière beaucoup moins insistante, puisqu'elle avait désormais terminé de la détailler. Helen se sentit bête, puisqu'elle n'avait en fait absolument rien écouté de son monologue : « On opère quand, du coup ? » A tous les coups, il n'y avait pas besoin d'opération et elle se ridiculisait devant Leslie ET devant leur patient. Super, bravo, Helen.
it's gonna be weeks 'til I breathe again
Call me anytime you can see the lightning, don't you be alone, you can always find me, we've got our wild love raging, raging. Lost among a million changing faces, every day our eyes keep trading places, we've got our wild love raging, raging.
son équipement:
Leslie Cohen
la légèreté de l'être
ÂGE : 42 ans (28.06.1982) STATUT : célibataire, maman d'Ella et d'Abby ; un peu marié à un parfait inconnu MÉTIER : médecin urgentiste de retour au pays à son plus grand malheur LOGEMENT : #322 Beachcrest Road, Bayside POSTS : 165 POINTS : 510
TW IN RP : milieu médical , alzheimer GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : vie professionnelle très organisée, vie personnelle chaotique • workaholic • carbure à la caféine et au cache cerne • elle a travaillé pour l'armée australienne (2010 à 2016) et revient d’une mission humanitaire d’un an au costa rica • dépassé par son rôle de mère • toujours en retard • tient rarement ses promesses sans que ce ne soit volontaire • insouciante puissance 1000, rien n'est jamais graveDISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : leslie ne tient pas ses promesses en indigo RPs EN COURS : (11)hadley #1 • finnley #1 • kipplin #1 • jaylen #1 • sergio #1 • joshua #1 • olivia #1 • judith #1 • eve #6 • hadley #2 & chris #3 • helen #1
EVE + baby we built this house on memories, take my picture now, shake it til you see it, and when your fantasies, become your legacy, promise me a place, in your house of memories
FINNLEY + last night we let the liquor talk, i can't remember everything we said, but we said it all, you told me that you wish i was somebody you never met, but, baby, baby, something's tellin' me this ain't over yet
AVATAR : Morena Baccarin CRÉDITS : littlewilding DC : Elisa Sterling INSCRIT LE : 08/09/2024
Leslie détestait toujours quand les patients avaient la brillante idée de passer par les urgences plutôt que par leur spécialiste. Leur raison était toujours la même : il souffrait tellement qu'il ne pouvait pas attendre leur rendez-vous de suivi. Elle sait être compatissante et empathique, Leslie. C'est une médecin qui a à cœur le bien-être de ces patients, qui voudrait tous les sauver, qui voudrait que personne ne souffre. Mais quand on se pointe aux urgences pour quelque chose qu’on a déjà un suivi, ça lui fait grincer des dents. Après on se demande pourquoi les urgences sont si engorgées, hm. L’orthopédiste chargé de ce charmant monsieur n’est même pas présent aujourd'hui. En plus de gérer un patient qui n'est pas le sien, elle doit également le gérer avec une autre médecin qui n'est pas non plus la sienne. C'est le Dr. Stenfield qui a été envoyé à la rescousse aujourd'hui. Leslie la connaît un peu. Pas tellement, comme à peu près tout le monde dans cet hôpital lorsqu'il ne partage pas le même département qu’elle. Oui, elles ont parfois quelques patients connexes, mais pas si souvent que ça, ou ça tombe sur un autre urgentiste, va savoir. Au fur et à mesure qu’elle lui explique le cas du monsieur qui a déjà été opéré pour une prothèse totale de la hanche gauche il y a un bon six mois, Leslie remarque assez facilement que la médecin ne l’écoute pas vraiment, qu’elle n'est pas totalement attentive du moins. En d'autres circonstances, celles où il n'y a pas un patient devant eux, Leslie aurait réagit bien autrement. Elle n'a pas de mal à dire ce qu’elle pense. Elle se voit tout de même mal demander à Helen si elle est en train de la mater devant le patient. Des plans que les deux médécins se retrouvent dans un rêve érotique non consentent de la part de ce vieux pervers. Leslie lui fait alors les gros yeux alors qu’elle termine son discours et que le silence avant la réponse d’Helen est bien trop long. « On opère quand, du coup ? » Voilà qui confirme ce qu’elle pensait depuis tout à l'heure : elle n’a absolument rien écouté depuis le début, ou presque. « Jamais ? Avec de la chance. » Leslie ne peut pas se prononcer avec certitude pour le moment, mais elle vient de déblatérer tout un discours au patient comme quoi elle ne pense pas à une opération pour le moment, plutôt à une infection qui pourra être soignée avec de la médicamentation. Et elle apprécie moyennement de faire contredire son diagnostic de la sorte. « C’est toi l'experte. » qu’elle ajoute tout de même. C'est pour ça qu’elle est là, pour attendre son opinion sur le cas. Leslie a nettement plus d'ancienneté qu’elle, mais Helen s'y connaît beaucoup mieux qu’elle dans les descellements, infections et tout ce qui vient avec les complications possibles de la chirurgie. À chacun sa spécialité à ce qu'on dit. « Vous nous excusez quelques instants ? On va discuter et on vous revient avec un plan de traitement. » qu’elle finit par annoncer au patient devant le malaise évident de la brune qui ne sait pas quoi répondre. Elles vont au moins éviter de se ridiculiser davantage devant un patient. Leslie espère qu'il n'a pas trouvé qu’elles manquaient de professionnalisme. C'est bien la chose dont elle a le plus horreur. Sa carrière est bien trop sacrée à ses yeux. « Je sais pas quel scénario tu te joues dans ta tête, mais c'est mieux si tu gardes ça au privé, hm ? » qu’elle lui dit lorsqu’elles se retrouvent seule à seule dans la salle de pause. « Ah, et, le flirt et les collègues, ça fait jamais bon ménage. Petit conseil personnel. » Le flirt, les plans culs, les relations intimes tout simplement, ça se termine jamais bien et après tout le monde est mal à l'aise lorsqu'ils se croisent dans les couloirs. Si on peut éviter de partir la machine à rumeur aussi, elle part assez rapidement celle-là. Leslie préfère éviter. Elle devrait faire de même, mais bon, ça c'est pas son problème si elle se met dans une situation compliqué avec n'importe qui d'autre qu’elle.
her silhouette is burned in my memory (leslie)
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