(marose #18) don't need no battles, ain't tryna start no war
Mavis Barnes
la pomme de la discorde
ÂGE : 25 ans (11.06.1999) SURNOM : mav, mab, la petite barnes. elle répond à tout avec un sourire, mais elle n'en pense pas moins STATUT : se quitter et se retrouver, c'est marrant pendant trois secondes. elle jure solenellement que son intention est de rester avec ambrose aussi longtemps qu'elle réussira à être moins mauvaise (bye ruben) MÉTIER : en première année d’internat en neurochirurgie au st-vincent's hospital. un emploi du temps chargé auquel s’ajoute un peu de bénévolat dans le dispensaire du docteur lahiri situé à la périphérie de toowong LOGEMENT : #1111 highland terrace, toowong, dans un duplex acheté aux frais de papa et maman, situé non loin du campus de la fac POSTS : 2676 POINTS : 340
TW IN RP : noyade, deuil, duplicité, domaine médical, mention de prise de médicaments (anti-dépresseurs, anxyolitiques), adultère, misogynie intériorisée, grossesse non-désirée, avortement, classisme (j'adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : jumelle noyée; une rumeur circule, inutile de savoir laquelle › frère plus âgé, qui fait sa vie sans que ça ne l’intéresse › fille à papa, neurochirurgien de renom; maman est juste là pour l’analyse et la bouffée de shalimar qui lui rappelle qu’elle l’aime un peu quand même › travaille dur pour réussir, juré › bcbg, en apparence en tout cas › populaire chez les titulaires du st-vincent qu’elle côtoie dans le cadre de ses études de médecine, ce n’est pas le protégé de papa qui dira le contraire #winkwink › double-face, comme le scotch › she don't start shit, but she can tell you how it endsDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : plum (#A95C68 pour design clair) RPs EN COURS :
RUBIS ◦ you said it was true love but wouldn't that be hard? you can't love anyone cause that would mean you had a heart i tried you help you out now i know that i can’t cause how you think's the kind of thing i'll never understand i've made some real big mistakes but you make the worst one look fine
MAROSE ◦ and your first kiss makes your head spin 'round but in your life you'll do things greater than dating the boy on the football team but i didn't know it at fifteen when all you wanted was to be wanted wish you could go back and tell yourself what you know now back then i swore i was gonna marry him someday but i realized some bigger dreams of mine
DAN ◦ we were supposed to be just friends you don't live in my part of town but maybe i'll see you out some weekend depending on what kind of mood and situation-ship i'm in and what's in my system i think there's been a glitch five seconds later i'm fastening myself to you with a stitch and i'm not even sorry nights are so starry blood moonlit it must be counterfeit i think there's been a glitch (scénario libre)
BAZ ◦ it's me hi i'm the problem it's me at teatime everybody agrees i'll stare directly at the sun but never in the mirror it must be exhausting always rooting for the anti-hero (scénario libre)
don't need no battles, ain't tryna start no war crédit gifs - vicsdeangelis & thefirstarchitect @Ambrose Constantine & Mavis BarnesSt Vincent's Hospital
"C’est qu’un conseil" "Ça a tout l’air d’un ordre, si tu me demandes mon avis." Et puisque Leon ne lui demande pas son avis, sa réflexion est accueillie avec un regard noir, celui qu’il ne réserve que très rarement à sa progéniture tant elle lui inspire de l’indifférence. Depuis quelques temps cependant, elle a tendance à titiller quelque chose en lui qui le pousse à sortir de ses gonds comme si, soudainement, elle qui a toujours été si raisonnable — du moins, c’est ce qu'il croit, il ne la connait pas autant que ça et ne cherche pas à la connaître, il est trop tard pour ça —, a décidé de tout faire pour les agacer, lui et sa mère. Non seulement, elle a décidé de changer de spécialité à la fin de sa première année d’internat qui arrive à grands pas, mais elle a aussi développé une réserve certaine à l’encontre de son très cher Ruben qu’il trouve illogique, surtout considérant la complémentarité de leur méthode respective de travail qui leur assurait d’être le nouveau duo phare du service de neuro-chirurgie. En plus, elle s’est engagée dans une relation qui le laisse autant perplexe que le reste, mais surtout : elle discute les conseils qu’il lui donne pour sa carrière et ça, ça écorche moins son coeur de père que son ego de neurochirurgien "Tu te trompes, Mavis." "Ça arrive même aux meilleurs, non ? Tu devrais essayer de temps en temps, ça pousse à l’humilité." lui répond-t-elle, se levant du fauteuil disposé dans le bureau de son père qu’elle a investi il y a déjà quelques minutes de ça. Il se trouve de l’autre côté, à l’observer avec un oeil plissé, suivant les contours de sa silhouette qu’il regarde s’éloigner lorsqu’elle ajoute, déterminée à ne pas se laisser impressionner. Ce temps-là est révolu, à croire "Je vais réfléchir à la question." "Pense à tes références, et si tu ne veux pas de mes conseils, remets-en toi au docteur Lahiri. Je suis certain qu’il a beaucoup à dire sur la mise en place d’un projet du même type que son dispensaire." Elle a envie de rire parce que jusqu’à maintenant, Leon a toujours exécré l’idée qu’elle travaille avec un type comme le docteur Lahiri. Elle l’interrompt en pivotant sur ses pieds "Pas ce soir, Ambrose m’attend." Le soupir que son père laisse filer est un indicateur fiable de ce qu’il pense vraiment de sa relation avec Ambrose, mais elle s’en moque. En fait, c’est plutôt étrange, mais depuis qu’ils ont discuté de Marion, elle et son petit ami, quelque chose a mûri en elle, et ça prend la forme d’un nouveau sentiment de liberté dont elle entend bien jouir comme elle en a envie "Bonsoir, docteur Barnes." termine-t-elle en sortant sans regarder en arrière, laisse son père à l’orée d’une nouvelle salve de paroles qu’elle lui fait ravaler en refermant derrière elle.
Elle relâche un souffle dense lorsqu’elle se retrouve de l’autre côté, ne se laisse pas le temps de réfléchir à ce que son père vient de lui conseiller. Elle n’a qu’une idée en tête, c’est de quitter sa blouse et de rentrer. Elle n’a pas menti, Ambrose l’attend, et si elle prend conscience de sa présence à l’accueil de l’hôpital, ce n’est que quelques minutes après avoir lu le message qu’il lui a envoyé qu’elle le rejoint "Je m’attendais au moins à un bouquet de fleurs, je suis peut-être un peu déçue." Elle ne s’attendait à rien du tout, c’est aussi évident qu’ils n’ont pas quatre-vingt ans et le besoin de montrer à quiconque qu’ils s’aiment pour que ce soit vrai. Encore que le baiser qu’elle quémande à celui dont elle s’approche pourrait témoigner d’une envie secrète que quelqu’un les surprenne au passage — et ce quelqu’un n’est autre que Ruben, bien sûr —, mais l’idée file vite, et tandis qu’elle prend déjà la main d’Ambrose dans la sienne, elle feint de geindre en lui avouant dans la foulée "Leon me rend dingue." Elle remonte son sac sur son épaule, se rapproche un peu d’Ambrose dont elle serre les doigts entre les siens "Il me fait payer ma décision de quitter son service en essayant de me mettre dans la tête que j’ai le temps de m’occuper d’autre chose que de mon internat. Mais j’ai déjà à peine le temps de prendre une douche, c’est n’importe quoi." Ça doit être nébuleux pour Ambrose, mais elle n’explicite pas davantage. Elle a juste envie de se plaindre auprès de quelqu'un qui ne la jugera pas de le faire.
no one wanted to play with me as a little kid, so i've been scheming like a criminal ever since, to make them love me and make it seem effortless, this is the first time i've felt the need to confess, and i swear, i'm only cryptic and machiavellian cause i care.
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Ambrose Constantine
le vilain petit secret
ÂGE : 25 ans, les rêves d'un gamin de dix ans, la tête d'un trentenaire bien tassé. (08/01/1999) SURNOM : Rose, par ses amis. Constantine, par le reste du monde. STATUT : Ruben c'est next, Mavis est à ses côtés alors qu'il se lance peu à peu dans les élections municipales. MÉTIER : Collaborateur de Camil. Il espère un jour être au sommet de la chaine alimentaire politique et est prêt à tout pour ça. LOGEMENT : West end, un des appartements de son oncle (et père adoptif) dont il a hérité à sa mort en début d'année. POSTS : 25140 POINTS : 640
TW IN RP : deuil, maladie d'un proche, fin de vie assistée ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : La politique est sa seule religion (labor party) › Ambitieux, talentueux, utopiste et tête à claques › Mère morte en couche, père décédé avant sa naissance, oncle (et père d'adoption) mort en décembre 2023 ; et vous ça va ? › A arrêté la musique pour se consacrer à la politique mais continue de composer, il rêve d'écrire pour un artiste reconnu › A connu presque un an de fausses fiançailles avec Cassie, un arrangement politique qui n'a mené nulle part et reste un secret › Très forte morale jusqu'à ce que ça n'aille plus en sa faveur, et là il est toujours temps de négocierDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : peru RPs EN COURS : (06) › flora #4 › ruben #21 › scarlett #3 › mavis #17
constantine family: flora #4 & malone #7 › a prophecy told we're building our empire from the ashes of an old. it's the sound of another deadline whistling past your ears. it's the sight of a million regrets mounting over years. it's the words that were never spoken that echoes through the times. it's the smell of the burning temples swept away by rhymes.
amen #22 › it was just two lovers sittin' in the car, drivin' nowhere fast, burnin' through the summer. missed calls like, "where you at tonight?", got no alibi. minutes feel like hours. shine, it's your golden hour.
marose #16 › we can pick sides, but this is us. don't believe the narcissism when everyone projects and expects you to listen to 'em. make no mistake, I live in a prison that I built myself, it is my religion qnd they say that I am the sick boy. easy to say when you don't take the risk. welcome to the narcissism. we're united under our indifference.
assos.e #7 › straight from the cover shoot, there's still a trace of body paint on your legs and on your arms and on your face. and i'm keeping on my costume, and calling it a writing tool, and if you're thinking of me, i'm probably thinking of you.
RPs EN ATTENTE : cassie #7 RPs TERMINÉS : (beaucoup)
L’idée de retrouver si souvent Mavis à l’hôpital est paradoxale pour un homme qui, comme lui, a grandi avec une éternelle crainte de ce genre d’endroit. Il a grandi avec l’histoire d’une mère décédée bien trop tôt, il a grandi avec des visites plus ou moins rapprochées auprès d’un autre parent avec qui la relation est inexistante. Rien ne lui a donné foi en ce genre d’endroit et aujourd’hui encore ses doutes sont nombreux, mais ils n’ont rien à voir avec Mavis ou leur couple. Du moins, ces doutes en question n’ont rien à voir avec Mavis ; parce que des doutes concernant la jeune femme, et uniquement elle, il en a à pléthore. "Je m’attendais au moins à un bouquet de fleurs, je suis peut-être un peu déçue." - « J’en prends note, bonjour à toi aussi. » Il rétorque avec un sourire en coin, sans chercher plus loin. Ambrose est réellement attentionné, il n’aurait pas de mal à lui en offrir davantage ; ce qu’il ne sait pas, c’est quand est-ce que leurs emplois du temps pourraient réellement s’accorder assez pour pouvoir l’anticiper. La question est toute différente, repoussée à plus tard lorsqu’il partage avec elle un bref baiser, se transformant déjà en deux mains nouées s’échappant de l’endroit.
"Leon me rend dingue." Une nouvelle qui n’a rien de nouvelle, il n’en tend pas moins l’oreille pour écouter ce qu’il a pu oser lui dire de différent aujourd’hui. "Il me fait payer ma décision de quitter son service en essayant de me mettre dans la tête que j’ai le temps de m’occuper d’autre chose que de mon internat. Mais j’ai déjà à peine le temps de prendre une douche, c’est n’importe quoi." - « D’autres choses comme quoi ? » Il reste calme et mime de ne pas prendre parti, même si son camp a été défini il y a bien longtemps de ça, sans retour en arrière possible. Son camp est d’autant plus défini qu’il connaît les raisons ayant poussé Mavis à quitter son service pour un autre, et malgré lui il ne peut que comprendre son désir de prendre du recul par rapport à Ruben. S’il en avait eu les couilles, il aurait eu une réaction similaire et aurait agi de la même manière que Mavis, à son niveau, mais cela n’a de toute évidence pas été le cas. Au lieu de ça, il se retrouve à déambuler avec son bras noué autour de celui d’une femme qu’ils aiment tous les deux, nourrissant l’idée que cela n’a rien d’étrange ni de surfait, le tout face à la jalousie démesurée d’un homme dont ils ont cessé de discuter tant cela menait invariablement à des disputes. « Pas une idée qui ait l’air de te plaire, en tout cas. » Il émet l’hypothèse simplement, sans que le fait d’avoir raison ou tort puisse lui être d’une quelconque importance. L’argument qu’elle avance avant toute chose est celui qu’il comprend le mieux : elle n’a pas le temps de se consacrer à autre chose qu’à son métier, et s’il est parfaitement capable de comprendre cette mentalité carriériste, pour nourrir la même de son côté, il aimerait autant ne pas être le passe-temps qu’elle serait prête à sacrifier pour s’adonner à une autre occupation. « Je comprends pas, on arrive à se voir deux heures tous les trois jours en vivant dans le même appartement, tu débordes de temps libre. » Il ironise finalement, sa main caressant le poignet de Mavis pour lui faire comprendre plus aisément qu’il ne fait que s’essayer à un brin d’humour et que cela ne caractérise pas le moindre reproche.
Après un maigre silence, Ambrose reprend avec plus de sérieux. « Tu penses qu’il pourrait te faire payer ta décision autrement ?» Il aurait bien des moyens d’y parvenir, raison pour laquelle il ne tente pas réellement de cacher une crainte peu à peu naissante en lui.
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(marose #18) don't need no battles, ain't tryna start no war
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