ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10983 POINTS : 2510
TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4everDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre)
thanks for making me a fighter crédit gifs - kreacher & ssoveia @Ollie Gallagher & Jo CarterDovecourt Center
La porte de la petite salle de sport qui jouxte le centre associatif grince sous son ouverture. Dans l’entrebâillement, Jo fait son apparition — et elle est divine, même engoncée dans un ensemble de sport bleu layette qui fait ressortir son bronzage et ses cheveux noirs qui sont maintenus en arrière par un serre-tête aussi épais que la doudoune noire qu’elle porte de guingois, l’arrondi de son épaule brillant de la crème hydratante qu’elle utilise tous les matins. Sans délai, et sans se soucier qu’on l’entende, elle dit avec un dédain notoire, sortant de sa poche un tube de gloss qu’elle débouche pour s’en appliquer une nouvelle couche inutile "Ça sent comme dans la chambre de mes frères." Et force est de constater que, vu la gueule qu’elle tire derrière l’application exagérée de gloss dans laquelle elle se lance, ce n’est pas une bonne chose. Elle rebouche son tube, fait claquer ses lèvres dans un smack qui réparti un peu mieux la matière sur sa bouche, et se redresse pendant que Marcus laisse échapper un rire rauque. Il referme la porte derrière lui en suivant de près sa cliente qu’il attrape par les épaules pour la détendre un peu. Il la secoue légèrement, malaxe les nerfs qu’il sent poindre sous l’épaisseur relative du tissu de sa brassière qui met son décolleté en valeur, et la laisse s’imprégner de l’ambiance des lieux. C’est ici qu’il passe le plus clair de son temps, à taper dans des sacs de frappe et à s’en traîner pour assurer au mieux la sécurité de sa cliente qui, le nez froncé désormais, regarde aux alentours avec un air si peu convaincu que ça le fait encore plus marrer. Ça fait des mois qu’elle suit une thérapie, des mois qu’elle repousse le moment de suivre le conseil de sa psy qui lui rabâche qu’elle a besoin de canaliser son énergie dans autre chose que la scène, et que sa colère, si elle doit l’expulser, elle doit le faire dans sa forme la plus brute, tout en instaurant un cadre qui l’empêchera de dépasser les limites, ce qui est son point faible, on ne va pas se mentir. Elle sait déjà frapper Jo, c’est un constat dont Micah — et d’autres — ont fait les frais tout au long de sa vie, alors au fond, ça ne sera qu’un jeu d’enfant de le faire en face à face avec un sac de sable, mais putain que ça lui coûte de faire l’effort de faire ce qu’on lui dit sans le discuter, consciente quelque part qu’ils n’ont pas tort, tous ces gens, quand ils disent qu’elle doit se faire soigner. Elle essaye, et si elle s’en est remise à Marcus au sujet de la boxe, c’est avant tout parce qu’elle a appris à le connaître, et qu’elle sait que pour lui, cette discipline a eu un impact positif sur sa vie. Elle roule des épaules pour qu’il la lâche, pivote sur le talon plat de ses baskets qu’elle a chaussé à contre-coeur, et lève la tête, défaite de ses centimètres en plus, pour trouver le regard de son protecteur qui lui fait, pince-sans-rire "Je vais te préparer ton petit coin VIP pour que personne vienne te prendre la tête. Agresse personne en attendant." Il lui retourne une légère bourrasque pour la faire basculer sur le côté. Le long souffle qu’elle laisse échapper, il est aussi blasé que soulageant tandis que, d’un oeil plissé, elle regarde autour d’elle pour constater qu’il y a peu de monde ici, et que dans tous les cas, ils seront plutôt tranquilles pour commencer leur toute première séance.
Elle retire sa doudoune qu’elle pose sur ses bras qu’elle tient devant elle, donnant l’impression d’être une sage visiteuse quand à chaque angle de ring, elle juge et critique en silence ; beaucoup de muscles pour rien, qu’elle pense en ricanant intérieurement "Putain, je rêve." murmura-t-elle au bout d’un moment. Jusque-là, elle avançait au petit bonheur la chance, ses pupilles s’acclimatant à l’épais contre-jour qui file au travers des fenêtres obstruées par des feuilles de papier journal histoire de créer une ambiance à la New York des années soixante-dix — et dire qu’on accuse les artistes d’en faire trop, les sportifs ne sont pas mieux dans leur genre. Sur les murs, des posters et affiches de combat célèbres et de tête d’affiche du genre qu’elle ne connait que de nom, et dire qu’elle s’en fout un peu est un euphémisme, puisque sur l’instant, elle remarque la présence de quelqu'un qu’elle connait et qu'elle avait encore moins envie de croiser que le grand méchant loup à l’orée du bois "Hé, Rocky." qu’elle fait à Ollie au loin. Malgré la déconvenue que ça représente à ses yeux, de tomber sur lui, un sourire carnassier fait remonter sa pommette du côté gauche lorsqu’elle voit briller sa peau d’une pellicule de sueur. C’est ça que ça sent partout ici, la sueur et la chaussette, exactement comme dans la chambre de ses frères, comme elle l’a dit en entrant. Ça la choque moins qu’on pourrait le croire, elle a le coeur bien accroché Jo, elle se formalise moins de sentir l’odeur nauséabonde des autres que, au milieu des adhérents qui puent la mort, un nuage de parfum la suit qu’importe l’endroit où elle passe — ça attirera surement les vautours qui s’exciteront de voir une petite nana dans son genre dépasser les portes de cet endroit de malheur, mais ça ne lui fait pas peur. Elle continue son chemin vers le jeune homme, le désigne d’un signe du menton en retrouvant son expression habituelle ; Jo n’est pas soeur-sourire, ça lui évite de se creuser des rides "Qu’est-ce que tu fous là ?" Pas pour faire du tricot, de toute évidence. Sa question est débile, elle s’en rend compte, alors elle complète "T’as besoin de décharger pour éviter d’en coller une à ta meuf ?" Propos controversés. Elle s’en cogne à dire vrai. Elle peut se le permettre, elle sait que ce genre de type c’est tout dans les poings, rien dans le froc, alors elle peut bien verser dans l’humour noir pendant une seconde ou deux, qui lui reprochera ? Personne de présent en tout cas ; elle croit Midas quand il lui dit qu’Harleen n’est que sa baby mama, mais elle ne consent pas à l’apprécier pour autant. Elle peut encore décider de qui elle a dans le nez ou pas, et comme lui-même l’a dit, le fait qu’elle ne réussira jamais à a traiter comme une bonne copine, c’est plus une fatalité qu’un manque de maturité de sa part, et puis c’est bon en vrai, vu les derniers mois qu’elle a passé, elle a bien le droit de rigoler, ouais.
i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
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(ollie #2) thanks for making me a fighter
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