(oscar #2) the music starts playing like the end of a sad movie
Nina Sterling
la boîte de pandore
ÂGE : trente-deux ans (21.05.92) STATUT : ruben et elle se sont dit 'oui' à l'abri des regards le 15 janvier - le bonheur n'aura duré que quatre mois, depuis elle maintient tant bien que mal les apparences, sans rien vouloir lui pardonner. MÉTIER : chirurgien pédiatrique au st vincent's hospital, passe ses journées à prouver qu'elle est capable d'être la meilleure auprès de mini humains (mais pas de leurs parents) LOGEMENT : elle évite le #404 water street, spring hill, ne voulant surtout pas croiser ruben. en attendant, elle dort chez son frère oscar, au #162 edward street, spring hill POSTS : 5056 POINTS : 1230
TW IN RP : avortement, adultère. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : ça reviens demain promis (a) DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Nina donne des ordres en darkgoldenrod RPs EN COURS : (08)clarence #1 › diego #4 › landry #1 › marceline #1 › ruben #12 › olive #1
ruina #10 & #11 › kiss me once 'cause you know i had a long night. kiss me twice 'cause it's gonna be alright, three times 'cause i've waited my whole life. i like shiny things, but i'd marry you with paper rings. darling, you're the one I want. ❘ #1 › #2 › #3 › #4 (ua gd) › #5 › #6 › #7 › #8 › #9 › #10 › #11 › #12
midas #1 › when we were young we were the ones, the kings and queens oh yeah, we ruled the world. we smoked cigarettes, man, no regrets, wish i could relive every single word. we've taken different paths and travelled different roads.
Arriver près de deux heures avant le début du concert lui avait permis de trouver un moment pour voir Midas. Elle l’avait trouvé sincèrement surpris de la voir là. Comme si tout cela tenait à un mirage. Il est vrai que depuis le début de la carrière de son cadet, Nina ne s’était présentée à aucun de ses concerts, alors qu’il avait probablement secrètement espéré l’inverse. Après tout, malgré toutes ses absences, son nom était encore sur la liste des invités, telle une autorisation permanente à entrer dans son monde si différent. Elle ne l’avait pas prévenu, et encore maintenant, alors qu’elle remonte le couloir qu’elle avait emprunté plus tôt, elle se demande si cela s’était avéré être une vraie bonne idée. Elle l’avait déstabilisé, pas assez pour le sortir de sa concentration, elle l’espère, mais assez pour le laisser légèrement sans voix. Elle a voulu s’intéresser, lui posant des questions, prétendant s’intéresser à la manière dont il avait choisi sa première partie et à ce que pouvait ressembler sa vie en tournée. C’est un monde qui lui échappe, mais c’est la réalité de son petit frère et Nina s’était juré de faire un effort. Il avait frappé un point sensible la dernière fois, lui rappelant que les liens du sang qui les unissent se veulent fondamentaux, prenant le pas sur leur opinion personnelle et leur galère. Il n’a pas hésité à lui conseiller des avocats, à lui offrir la possibilité de prendre refuge chez lui. Alors, Nina a décidé de faire un pas vers lui, combien même elle n’apprécie guère sa musique. Et pour rendre l’évènement un brin plus fun, elle avait forcé leur aîné à se joindre à elle. Tant qu’à souffrir, autant le faire en famille, pas vrai ?
C’est lorsqu’elle son portable s’était mis à vibrer de manière frénétique dans la poche de son jean qu’elle s’était souvenue d’avoir promis à Oscar de le retrouver à l’entrée. En l’espace de cinq minutes, il eut le temps de l’inonder d’une dizaine de messages jurant de lui faire la peau si elle ne se bougeait pas rapidement. Le concert n’allait pas tarder à commencer, elle pensait le trouver à l’entrée qu’elle avait elle-même empruntée plus tôt, mais personne ne se tenait là, si ce n’est le même garde du corps qui avait voulu l’empêcher de rentrer. Après quelques échanges de messages, Nina finit par comprendre que son frère se trouvait en réalité dans les couloirs qui menaient à la salle, là où se tiennent les stands de merch, de boissons et de nourriture. L’ordonnant de lui donner un numéro de porte et de ne pas bouger, elle s’empressa de demander son chemin pour tenter de le retrouver parmi la foule.
Il lui fallut quelques minutes avant de trouver la bonne porte et quelques minutes encore pour comprendre que le gars un peu bizarre qui se tenait dans un coin, surveillé par tout un tas de jeunes femmes prépubères ou presque, n’était autre qu’Oscar. Les bras croisés sur son torse, il la foudroyait du regard alors qu’à ses côtés une bande de jeunes femmes faisaient la queue pour accéder au stand de merch et se pavoisait sur la beauté de leur frère cadet. « Me tue pas… Je pensais que t’allais passer par la porte VIP. » Elle pouvait voir dans son regard qu’il n’était pas amusé du tout. « T’as oublié nos privilèges ou quoi ?! » Et sans attendre, elle fait glisser autour de son cou la deuxième lanière munie d’un pass VIP qu’elle avait initialement autour du sien. Elle peut déjà sentir les regards suspicieux du petit groupe juste à côté d’eux et le silence d’Oscar ne présageait clairement rien de bon. Mais Nina s’efforçait à lui offrir un sourire empli de malice, sincèrement amusée de trouver son aîné cloîtrer dans son coin. « La loge est de l’autre côté, je crois. » Est-ce qu’il allait chercher à l’étrangler en public ?
while you were out building other worlds, where was i? where's that man who'd throw blankets over my barbed wire? i made you my temple, my mural, my sky. now i'm begging for footnotes in the story of your life.
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Oscar Sterling
la tour de babel
ÂGE : Trente-sept ans SURNOM : « Ozi » mais seuls sa femme et certains membres de sa famille se risque à le surnommer. STATUT : Marié depuis 2014, 10 ans d'un mariage d’amour dont il est très fier, mais qui aujourd’hui n’est plus que façade. MÉTIER : Enseignant en architecture à l'université du Queensland depuis 2021, il a gardé un pourcentage dans un cabinet d'architecture LOGEMENT : 162 edward street - Spring Hill POSTS : 593 POINTS : 3470
TW IN RP : fausse couche -infertilité - évocation de violence physique - sexualité TW IRL : aucunGENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Ainé d’un fratrie de quatre élevé par de parents aimant et exigent ≈ Passionné de peinture et de dessin, intérêt qu’il cache à ces proches. ≈ Social et plutôt extraverti, il accorde pourtant difficilement sa confiance. ≈ Après un fausse couche en 2016, son couple a tenté désespérément d’avoir un enfant en vain ≈ Petit dormeur et superactif, sa vie est aujourd’hui rythmée principalement par le sport, son travail, son chien mais aussi par ses engagements au sein d’associations. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #999900 RPs EN COURS : ELISA ♡ I remember it now, it takes me back to when it all first started. But I only got myself to blame for it and I accept it now. It's time to let it go, go out and start again, but It's not that easy. › Oscali #5
FRATRIE STERLING ♡ Let me be your shelter, never leave you all alone.I can be the one you call when you're low. Let me be your fortress,when the night winds are driving on, be the one to light the way bring you home. › Nina #2 › Midas #2 › Olive #1
ANDREA ♡ The people who are meant to be in your life will always gravitate back towards you, no matter how far they wander. › Oscrea #3
NORAH ♡ There is a charm about the forbidden that makes it unspeakably desirable. › Norah #3
the music starts playing like the end of a sad movie Oscar & @Nina Sterling ☆ crédit/blondewhoregifs
Coincé dans une foule de jeunes filles prépubères, Oscar se demande quelle mouche a bien pu le piquer quand il a accepté la proposition de sa sœur. Il n’aime pas la musique de Midas, franchement, il n’aime pas beaucoup la musique tout cours, mais celle de son frère semble particulièrement faite pour plaire à des gamines de quinze ans en crush sur leur prof de sport. Il n’est pas le public cible, et coincé parmi les fanatiques de Midas, il s’en rend un peu mieux compte. Il voudrait rentrer dans la salle, mais attend sa sœur qui traîne à venir. Un premier message convivial, une deuxième. Il commence à s’impatienter. D'après elle, c’est lui celui toujours en retard, elle se fiche de qui exactement ? Il va l’étrangler, voilà ce qu’il pense au dixième message. La foule s’est entassée à l’intérieur et lui toujours dehors, le vigile de l’entrée qui le regarde de travers. Qu’est-ce qu’il croit ? Que c’est un vieux pervers venu juste pour mater les jeunes filles ? Sans réponse de la part de sa sœur, il finit tout de même par s’adresser à lui. Il lui faut plusieurs minutes pour le convaincre qu’il est bien le frère de Midas. Apparemment, il n’est pas le premier à faire le coup. Quelques-unes de plus, une fois sa pièce d’identité en main, pour confirmer son identité et le laisser rentrer. Assez de temps pour que la colère ait pris le pas sur l’inquiétude de ne pas voir sa sœur. Encore plus quand le molosse de l’entrée lui confirme qu’il a déjà laissé passer sa sœur il y a deux bonnes heures.
Une fois à l’intérieur, il n’est pas beaucoup plus avancé, c’est sa sœur qui s’est chargée de tout, alors à part l’attendre ici, il n’y a pas grand-chose à faire. Les choses s’empirent quand le coin reculé qu’il avait trouvé se voit envahi par une nuée de petite Midasienne. « Il est si beau ». « Oui, ça me tue, c’est mon futur mari ». Il lève les yeux au ciel, son téléphone qui lui indique que sa sœur a fini par donner signe de vie. Toujours aussi agacé, il lui donne le numéro de porte le plus proche. Ses bras qui se croisent sur son torse, la mine renfrognée. Il entend une jeune fille dire en le regard : « Il est pas net lui. » Tourne la tête en se promettant de faire la peau à sa sœur qui débarque enfin tout sourire. « Me tue pas… Je pensais que t’allais passer par la porte VIP. T’as oublié nos privilèges ou quoi ? ! » Il ne savait même pas qu’il y avait une porte VIP. Elle lui passe un badge autour du cou. Vu l’histoire pour rentrer par la grande porte, il n’imagine même pas ce que ça aurait été s’il s’était présenté à une autre porte sans ce fameux badge. Mais ne daigne même pas lui répondre, son regard noir croisant le sien. « La loge est de l’autre côté, je crois. » Il ne bouge pourtant pas, le bras toujours coincé sur son torse. « Je te promets que tu vas me payer ça, Nina. » Un très fin sourire vient pourtant dérider un peu son visage. « Tu me traînes ici pour m’abandonner dans une foule de minette folle de notre frère. » Il sent le regard de l’une d’elles sur lui, se rend compte qu’il vient sans doute de commettre un impair en avouant son lien de filiation. Ce qui lui permet de se dérider pour commencer à marcher. « Heu, vient, on bouge. » Avant qu’il ne se fasse voler son portable. Ou agressé pour des infos sur Midas. « Mais j’en démordrais pas, tu me dois au moins des excuses. » Et il le sait : ce n’est que le début du calvaire pour lui. Cette soirée risque d’être longue. « T’étais où ? » Elle ne lui doit rien, mais là elle peut au moins lui donner une explication.
631 mots
call me a dinosaur
HE’D LEARNED TO BE ALONE, WALKING. AND IT WAS STILL GOOD NOW AND THEN. FOR THOUGHT. FOR RECOGNITION. - Lydia Millet
code broadsword.
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mon équipement :
(oscar #2) the music starts playing like the end of a sad movie
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