ÂGE : trente et un ans SURNOM : il ne sait pas trop pourquoi mais les gens adorent l'appeler par son nom de famille plutôt que par son prénom STATUT : célibataire qui ne se prend pas la tête MÉTIER : animateur télé (mais il préfèrerait qu'on le considère comme un journaliste) LOGEMENT : redcliffe. #58 hughton avenue POSTS : 600 POINTS : 940
TW IN RP : aucun pour le moment. GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : il est issu d'une classe sociale aisée (merci papa) ≈ c'est un adepte des applications de rencontre, mais il ne compte pas y trouver de relation sérieuse ≈ déteste les bruits de bouche lorsqu'il est à table ≈ il a participé à l'émission Big Brother en 2014, c'est ce qui lui a donné envie de faire de la télévision ≈ l'émission ABC qu'il co-anime avec Harper, c'est son premier vrai job en tant que présentateur télé et il a peur de ne pas être a la hauteur ≈ il a vécu à Londres de fin 2020 à debut 2024, il est de retour à Brisbane pour de bon ... la tête pleine de rêvesDISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : cadetblue RPs EN COURS :
josie (scenario in progress) ≈ link to your competitors and say nice things about them. remember, you're part of an industry.
+charlie RPs TERMINÉS : harper #1 ; olive #1AVATAR : luke newton CRÉDITS : avatar: myself, signature: ASTRA DC : aucun. PSEUDO : (em)manue(lle) INSCRIT LE : 22/06/2024
Pour la deuxième soirée consécutive le schéma se répète et Aaron commence tout doucement à perdre patience. « Pa' je t'ai dit de ne pas venir ...» Il marque une pause, interrompu par son père à l'autre bout du combiné. « Je ... j' ... » Comme d'habitude, il ne lui laisse pas le temps d'en placer une, trop centré sur son petit monde, ses petites préoccupations. Agacé d'entendre le même speech depuis deux jours, Aaron retire le téléphone de son oreille pour aller l'écraser contre sa poitrine. Il n'a pas besoin de lui. Ou plutôt, il n'a pas envie de lui, ici. Gérer sa carrière prometteuse et mettre en place ce nouveau foutu cabinet pour lui plaire, sont deux activités suffisamment prenantes pour qu'en plus de ça on lui rajoute du baby-sitting. Parce qu'il voyait déjà la chose venir Aaron : comme à son habitude, Edwin irait le trimballer à droite et à gauche pour des histoires de gros sous ou d'amitiés peu sincères, mais bonnes pour le carnet d'adresse… Et il a envie de tout sauf de ça. Il aspire d'ailleurs plus à souffler un bon coup qu'à continuer de vivre à mille à l'heure. Expirant tout l'air emmagasiné dans ses poumons, le jeune Fowler finit par remettre le cellulaire à hauteur de son tympan. Son père ne semble même pas avoir remarqué qu'il parle dans le vide depuis cinq bonnes minutes. Cette constatation suffit à Aaron pour laisser toute son aigreur, contenue jusqu'alors, s'exprimer d'un « Écoute, je n'ai pas besoin de toi ici. Si tu veux venir, viens, mais tu vois avec Josie pour te gérer tes réservations. Je ne m'occuperai de rien ok ? Et si ça ne te plaît pas ben ... » Son courage parait le quitter tout à coup. « Eh ben, ça sera comme ça quand même ! Bonne soirée Pa' » Il raccroche sans attendre la réponse de son père. Cet appel a suffi à le mettre en rogne pour la soirée. Heureusement ce soir, il a un plan qui lui permettra d'oublier, un temps, ce paternalisme qui l'étouffe.
Il arrive à l'adresse indiquée par Midas dans son dernier message, un peu avant l'heure convenue. S'assoit au comptoir et ne tarde pas à commander sa première pinte. La seule se promet-il en passant ordre au serveur. Il est heureux de retrouver son vieil ami ce soir, bien qu'un peu stressé. Pas parce qu'il s'apprête à avoir en face de lui l'interprète du tube du moment - ça, ça lui fait ni chaud ni froid, ce n'est que Midas - mais plutôt car il déteste mentir et, en présence de son ami, il sait pertinemment qu'il va être soumis à ce supplice. Sans doute la raison pour laquelle - après l'emploi du temps de ministre du monsieur - Aaron ne pousse pas aux retrouvailles plus régulièrement. Ce soir, c'est différent, c'est Midas qui lui a proposé, profitant vraisemblablement d'une halte dans le coin pour, lui aussi, appuyer sur le bouton "pause". Sirotant sa Guinness, Aaron prend le temps de consulter ses derniers messages : Josie, il ignore et met la conversation en silencieux, son père, pour qui il répète le même processus, Olive… Il s'apprête à lui répondre quand tout autour de lui, il entend des respirations se couper tandis que la porte du bar se ferme dans un claquement sourd. Il relève la tête et verrouille l'écran de son téléphone dans un même temps. À l'approche de Midas un sourire se forme sur le visage du Fowler. « Hééé ... » Il le salue d'une rapide étreinte qu'il vient conclure en une poignée de main solide « Ça fait plaisir de t'voir ! » Aaron se rassoit, laissant son précédant tabouret à Midas pour prendre celui juxtaposé. Au premier coup d'œil tout semble bien aller pour le Sterling. Il paraît en forme, pas trop cerné, ni trop abîmé par le poids de la notoriété, qu'Aaron lui sait parfois un peu pesante. « Par contre ... va falloir qu'on parle ... » lance Aaron comme sorti de nul part. Il marque une pause pour ajouter un peu de drama à la situation « Ta chanson d'amour là ... J'en peux plus ! » Il se met à rire, bien que sérieux sur le fond de ses pensées.
codage par aqua
wild beasts wearing human skins. you were not born of stardust, darling, stardust was born from you, it’s why the stars feel your sorrow and aching heart, they are the fragments of your lost soul, scattered across an endless galaxy, but don’t be afraid, darling, maybe life has broken you, but it can never destroy you.
Midas Sterling
la nuit des temps
ÂGE : 31 ans (15.10.1993) - balance ascendant lion STATUT : Les tabloïds leur inventent des ruptures à la pelle et autant de réconciliations mais, la vérité, c'est qu'il est heureux de pouvoir qualifier Jo de petite-amie et de ne plus avoir à se cacher. (le déni de leur "pause" est réel.) MÉTIER : Popstar, auteur-compositeur-interprète, gagnant 2016 de l'édition australienne de The X-Factor & détenteur de trois Grammy Award : un premier en 2018 et deux en février 2024. Ces récompenses ont entérinés le statut de "meilleur album de sa carrière" de "Yours", quatrième album studio intime et personnel sorti en septembre. LOGEMENT : 340 Beachcrest road à Bayside. Si ce n'est pas encore la campagne, il s'est toutefois éloigné de l'agitation du centre ville. POSTS : 1924 POINTS : 790
TW IN RP : ras. ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : enfant du milieu d'une fratrie de trois, déprécié par ses parents pour ses choix de vie peu conventionnels › garde l'existence de sa fille secrète pour la protéger des médias › fait pour la scène et la musique, mais pas pour la célébrité › accumule les disques de platine en australie comme à l'étranger, il s'est produit sur les plus grandes scènes du monde entier › fan de rock'n'roll des années quatre-vingt mais cantonné à la pop commerciale par son label › joue de la guitare (beaucoup) et du piano (un peu) › père de Posy depuis le 2 février 2018DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : royalblue. RPs EN COURS :
mine #35 ☆ i think she knew what she was doing getting into my car outside Amoeba Music or the standard bar. independent when i met her, now she's my only medicine. when it gets quiet, i can hear her mind race. she could be the mona lisa if the mona lisa had a prettier face. this could be heaven if heaven was an actual place. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7 › 8 › 9 › 10 › 11 › 12 › 13 › 14 › 15 › 16 › 17 › 18 › 19 › 20 › 21 › 22 › 23 › 24 › 25 › 26 › 27 › 28 › 29 › 30 › 31 › 32 › 33 › 34 › 35
money #2 ☆ all this time I've spent with you, all that we've been through. all this time I've spent with you, i am tied to you. a year away, a year alone. the tears have fallen but we have grown. the sun will rise, the seasons change, and here we are. a year has passed, Our children grow and in their eyes, i see your soul.
olive #8 & nina #2 & oscar #2 ☆ when we were young we were the ones, the kings and queens oh yeah, we ruled the world. we smoked cigarettes, man, no regrets, wish i could relive every single word. we've taken different paths and travelled different roads.
missie #4 ☆ don't ever say it's over if she is breathin'. racin' to the moonlight and she is speedin'. she's headed to the stars, ready to go far, she's star walkin'. on the mission to get high up, she know that she's gonna die reachin' for a life that she doesn't really need at all.
Je n’honore plus souvent les bars de cette ville ou d’une autre de ma présence. Je leur préfère tout club ou établissement un peu plus sélectif, pas parce que j’ai pris la grosse tête, mais parce que la présence d’une zone réservée aux personnalités publiques m’assure un peu plus de calme et de tranquillité. La plupart du temps, je préfère tout bonnement rester chez moi, quitte à recevoir puisque j’ai tout ce qu’il faut à domicile. Mais parfois, j’ai besoin d’avoir le sentiment que je peux, comme n’importe quel type lambda, boire une bière avec un vieil ami. C’est ce qu’est Aaron. Je ne prête pas réellement attention à tout ce qui entoure la presse à scandale ou toute forme de buzz, puisqu’ils sont souvent créés de toute pièces pour faire vendre des feuilles de choux, mais je n’ai pas pu m’empêcher de noter que le brun semblait traverser une passe difficile ; il a eu quelques paroles regrettables en direct à la télévision à plusieurs reprises, et je sais à quel point la presse et l’opinion public peuvent se déchainer, dans ce genre de cas de figure.
Je me suis toujours senti proche de lui, certainement parce que nos chemins de vie sont différents tout en ayant des points de similitude. Comme moi, il doit sa notoriété au petit écran et, comme moi, il m’a toujours semblé avoir du mal à gérer tout ça. Ma carrière et ma notoriété ont décollé pour finir par devenir ce qu’elles sont, mais il y a un peu d’Aaron en moi, sans nul doute. Alors, prendre de ses nouvelles de temps en temps - nous nous appelons ou n’échangeons pas régulièrement, nous sommes tous les deux des hommes très pris - m’a toujours tenu à cœur et, une fois n’est pas coutume, je suis à l’initiative de nos retrouvailles du soir.
J’entre dans le café, une casquette vissée sur la tête et les mains dans mes poches avant de me diriger vers le bar où est installé le présentateur. « Hééé... » Je ne peux m’empêcher de le détailler. Il a l’air préoccupé, il a peut-être l’air un peu fatigué également mais, au-delà de ça, il n’a pas l’air d’aller si mal. Peut-être manqué-je simplement de facultés d’observation, cela ne surprendrait plus personne. « Ça fait plaisir de t'voir ! » Je tends ma main vers la sienne avec une détermination et un entrain tout à fait masculine. Je lui rends sa poigne avec énergie et un sourire authentique sur les lèvres. « Moi aussi, ça fait un bail ! » J’adresse un signe de la main au barman, qui hoche la tête pour me signifier qu’il m’a vu et va venir prendre ma commande, avant de m’installer sur le tabouret à côté de celui d’Aaron. « Tu veux pas qu’on se mette à une table plutôt ? » Maintenant que nous sommes "au complet". Je n’ai rien de confidentiel à lui confier, mais j’aime l’idée d’être à l’abri des oreilles indiscrètes, tout comme je cherche généralement à ne pas être au centre des regards. Une table à l’écart, dans un coin de l’établissement, me conviendrait davantage. « Une pinte de votre bière du moment, merci. » J’adresse un sourire franc au barman venu s’enquérir de ma commande.
« Par contre... Va falloir qu'on parle... » Je fronce les sourcils, préoccupé par son approche. « Ta chanson d'amour là ... J'en peux plus ! » Rien de grave ; j’éclate donc d’un rire franc, avant d’entrer dans son jeu sans me priver. « Laquelle ? » Je sais que l’on me réduit souvent à ça, qu’il est de notoriété publique que je n’écris que ça, et je m’en moque. Quatre-vingt dix pour cent des chansons qui sortent sont des chansons d’amour, et quasi toutes parlent au moins de relation. A ce niveau-là, je suis peut-être un spécialiste mais je ne sors pas du lot. « Celle avec Jo ? » Je précise, avec plus de sérieux, sincèrement intéressé par sa réponse pour une simple et bonne raison : toute opportunité de parler de ma petite amie me contente. Je suis intarissable, lorsqu’il est question de Jo, et c’est bel et bien pour ça que je désigne mon tube de cette façon qu’en évoquant toutes les récompenses qu’il a emportées. « T’es mal barré dans ce cas, depuis qu’on l’a faite en live à Sydney - » L’une de mes dernières dates. « - je vois plus que ça sur les réseaux. » Pourtant, je ne les ouvre pas souvent. Assez parlé de moi toutefois. « Comment tu vas ? »
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ain’t no turning back (midas)
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