ÂGE : trente-deux ans (24.12) SURNOM : connu comme ’’le poète du piano’’ mais aussi comme l’emmerdeur de service, parce qu’il est relou sur les bords mais les bords sont larges, voyez STATUT : sentimentalement contrariant et contrarié, célibataire qui devrait le rester MÉTIER : pianiste émérite mondialement reconnu, compositeur et interprète, vagabonde sur les touches blanches et noires pour faire taire ses pensées trop bruyantes — collabore depuis peu avec maxime, est le meilleur pour lui faire vivre le pire LOGEMENT : il a gracieusement donné son appart à helen et sa nouvelle maison est en travaux, alors il a élu domicile dans une suite luxueuse de l’emerald hotel en attendant de pouvoir devenir officiellement le voisin de jayden POSTS : 1322 POINTS : 2310 TW IN RP : crise d'angoisse et de panique, pression familiale, désamour et rejet parental, burn-out, stress professionnel, langage vulgaire et cru, décès, accident de voiture, stress post-traumatique. TW IRL : maltraitances animales. GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas. PETIT PLUS : en guerre juridique contre toute sa famille, merci de ne pas aborder le sujet ¤ cynophobe depuis l’âge de six ans ¤ les bonbons acidulés en intraveineuse ¤ ambidextre, il n'y est pour rien mais c'est une grande fierté ¤ insomniaque et sujet aux crises d’angoisse ¤ insulte les gens en espagnol ¤ mauvais conducteur, pour ne pas dire danger public ¤ ne se sépare jamais du bracelet que son petit-frère lui a offert avant de mourir, le fait tourner autour de son poignet quand il est stressé ¤ papa de deux chats, sol & luna DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #6f282e RPs EN COURS :
ASHAN ¤ take my heart, don't break it, love me to my bones, all this time i wasted you were right there all along, you and i stargazing, intertwining souls, we were never strangers, you were right there all along
IZEN 12 ¤ lean on me when you're not strong and i'll be your friend, i’ll help you carry on, i'm right up the road, i’ll share your load if you just call me, call me if you need a friend. if there is a load you have to bear that you can't carry, i’m right up the road, i’ll share your load
JAYZAN #5 ¤ and i'll be there for you when the rain starts to pour, i'll be there for you like i've been there before. no one could ever know me, someone to face the day with, make it through all the mess with, someone i'll always laugh with, even under the worst i'm best with you
DA SILVAS #1 ¤ u.c
SAMZAN #3 ¤ if i was dying on my knees you would be the one to rescue me, and if you were drowned at sea i’d give you my lungs so you could breathe. though we don't share the same blood you're my brother and i love you that's the truth
ALYZAN #1 ¤ moi je te soutiendrai, je t'appuierai, quel est ton voeu, dis-moi, quel est ton souhait ? t’as déjà fait ta liste ? ok, banco, frotte-toi les mains, moi je me frotte le dos
kip#2 ¤ mateo#1 ¤ arsinoé#2 ¤ pen (dj) ¤ ciel#1 ¤ min#3 ¤ hadley#2 ¤ axel#1
RPs EN ATTENTE :
SIERRA (scénario) ¤ i went as far as i could, i tried to find a new face, there isn't one of these lines that i would erase. i lived a million miles of memories on that road with every step i take, i know that i’m not alone. you take the home from the boy but not the boy from his home, these are my streets, the only life i’ve ever known, who says you can't go home
AVATAR : taylor zakhar perez. CRÉDITS : ©juju (avatar) ¤ ©egosolus (gif profil) ¤ ©shirmirart (dessin ashan) ¤ ©sophiexrph ©badpcks (gif izen) ¤ ©baiedor (gif jayzan) ¤ ©anscollections ©watchmanatch (gif samzan) ¤ ©brisounours (gif alyzan) ¤ ©magsalecs (gif sign) ¤ ©omibutt © kaetastrophesgifs (gif da silva) DC : m. mayers & y. hikmet INSCRIT LE : 11/06/2024 | (#)Aujourd'hui à 16:09 | |
| anger is a gift rage against the machine crédits/ maurawrites & catragifss @Axel Hartmann 11/24 - DESTROY ROOM’’T’as vraiment une mine de déterré. Tu sauves le monde la nuit ou quoi ?’’ il allonge la taquinerie par une danse de sourcils malicieux, tout en poussant sur ses pieds pour se balancer en arrière sur sa chaise, son verre détenu dans sa main droite pour rester à proximité de sa bouche. ’’On dirait le super-héros là…’’ un claquement du bout de sa langue derrière ses dents du haut laisse deviner qu’il ne possède pas le nom en question, et il le cherche dans son dépotoir mental en fronçant ses sourcils, la réflexion creusant un puits de délibération entre ses deux yeux, son regard s’évadant sur le côté tandis que ses billes mordorés remontent en demi-cercle, ses longs cils noirs effleurant le décor qui les entoure avant de venir se déposer sur le visage d’Axel, au moment même où les pieds de sa chaise retombent sur le sol. ’’Mais si, le bonhomme vert très musclé qui vit sous l’eau ?’’ lui-même n’a pas l’air trop convaincu par ce qu’il avance, mais il a au moins le mérite d’essayer de pondre quelque chose pour appuyer son propos, même s’il s’enlise considérablement dans les méandres d’un univers qu’il ne maîtrise pas ’’Ou alors c’est le mec en collant qui est pote avec les chauves-souris…’’ il mime les ailes de ses deux mains avant de reprendre son verre pour l’apporter à ses lèvres, aspirant une fine gorgée de la boisson sucrée, concluant par un ’’J’ai beau accompagner Oscar depuis des lustres, je ne retiens rien.’’ toujours mauvais élève, il préfère le dire lui-même avant qu’un autre s’en charge, se doutant que la pique serait bien plus acerbe dans la bouche du plus jeune ; c’est qu’il ne prend que rarement des pincettes, Axel, même si c’est l’une des choses qui font que le pianiste l’apprécie. Au moins, avec lui, pas d’hypocrisie, pas de fausseté, pas de mensonge.
Se rapprochant de la table, il allonge son bras pour y appuyer son coude, les traits de son visage se faisant davantage sérieux quand il amorce, d’une voix plus calme ’’Non, sérieux, ça va ?’’ véritablement soucieux de son état , il l’encourage silencieusement à parler en baissant légèrement son menton pour soutenir son regard, sachant très bien que le vendeur ne se livre pas aussi facilement mais, sans trop savoir pourquoi, Izan détecte presque une faille qui ne demande qu’à être exploitée, comme si le Hartmann avait un besoin irrépressible de parler mais qu’il n’en avait pas encore conscience. Axel ne semble qu’être colère et rage, une tornade prête à tout ravager sur son passage, une tempête tumultueuse qui hurle quand personne ne l’écoute et, malgré toute sa compassion, sur l’instant, Izan ne sait pas tellement quoi faire ou quoi dire pour lui être utile. ’’Tu peux me parler, tu sais ?’’ pinçant ses lèvres l’une contre l’autre, il se recule finalement sur sa chaise en passant ses paumes sur le tissu de son jean. ’’Ou alors, tu me suis… J’ai une idée qui pourra peut-être t’aider.’’ il a dit « peut-être » mais, en réalité, il est sûr de lui. Pour une fois.
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