(dina #1) show me a garden that's bursting into life.
Rory Craine
l'océan des possibles
ÂGE : trente-trois ans (19/03/91 - poisson) SURNOM : Craine pour la plupart des gens. STATUT : comblé de bonheur d'avoir épousé Swann le 2 juin dernier, après sept ans d'amour, il est rempli de fierté à l'idée que son mari porte enfin officiellement son nom. leur fille Robin (22.02.2023), adoptée par le couple en mai 2023, parfait encore un peu plus le tableau : il a tout ce dont il a toujours rêvé. MÉTIER : acteur et producteur, il est un visage récurent du grand écran et un artiste dont l'aura ne cesse de croitre dans le monde du Cinéma, où ses choix de rôles diversifiés et exigeants l'ont élevé au rang de talent incontournable vers qui les opportunités affluent. prochainement à l'affiche d'un biopic centré sur la vie de John Fitzgerald Kennedy Jr, il effleure aussi un autre de ses rêves du doigt et se forme à la réalisation auprès d'une de ses idoles, caressant l'espoir de passer derrière la caméra pour réaliser son premier long métrage. LOGEMENT : #84 Agnes Street, à Bayside. Swann et lui goûtent à la tranquillité du bord de mer avec leur fille Robin et Brownie, leur berger australien, dans un endroit qui leur ressemble. POSTS : 11780 POINTS : 260
TW IN RP : anxiété, adoption, alcoolisme parental (mère), surexposition médiatique. GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : très proche de sa famille, il idéalise ses ainés et surprotège ses petites sœurs › a pratiqué le football australien durant son adolescence mais a du arrêter après une blessure au genou › la comédie a été la lumière au bout du tunnel lorsqu'il ne croyait plus en rien › s'en est pris physiquement à un réalisateur qui avait agressé sa co-star › idéaliste et romantique, il a concrétisé son plus grand rêve en fondant une famille › sensible et dévoué aux autres › anxieux par nature › bénévole à l'hôpital depuis août 2020.CODE COULEUR : DarkSlateBlue RPs EN COURS : (05)jesse #1 › swann #60 › swann #61 › dina #1
rowann #60 & #61 › you make my heart feel like it's summer when the rain is pouring down. you make my whole world feel so right when it's wrong. that's how I know you are the one. when we are together, you make me feel like my mind is free, and my dreams are reachable. life, it's easy to be scared of with you, I am prepared for what is yet to come. 'cause our two hearts will make it easy. joining up the pieces together, making one. ❘ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7 › 8 › 9 › 10 › 11 › 12 › 13 (UA) › 14 (UA) › 15 (UA) › 16 › 17 › 18 › 19 › 20 › 21 › 22 › 23 › 24 › 25 › 26 › 27 › 28 (UA) › 29 › 30 › 31 › 32 › 33 › 34 › 35 › 36 › 37 › 38 › 39 › 40 › 41 › 42 › 43 › 44 › 45 › 46 › 47 › 48 › 49 › 50 › 51 (UA) › 52 (UA) › 53 › 54 › 55 › 56 › 57 › 58 › 59 › 60 › 61
willton #25 › we've been stuck now so long, we just got the start wrong. one more last try, i'ma get the ending right. you can stop this, and I must insist. that you haven't had enough, you haven't had enough. don't you need it? don't you want this at all? well, I just wish we could go back one more time and begin it, back before I lost myself somewhere in it. ❘ 1 › 2 (UA) › 3 › 4 › 5 › 7 › 8 › 9 › 10 › 11 › 12 › 13 › 14 (UA) › 15 › 16 › 17 › 18 › 19 (UA) › 20 › 21 › 22 › 23 (UA) › 24 (UA) › 25
RPs EN ATTENTE : micah #3 › clarence
wendy(scénario libre) › you belong among the wildflowers, you belong in a boat out at sea. you belong with your love on your arm, you belong somewhere you feel free. you deserve deepest of cover, you belong in that home by and by. you belong among the wildflowers, you belong somewhere close to me. far away from your trouble and worry. you belong somewhere you feel free.
(2015) Chaque scène était d'une importance capitale quand on faisait comme lui ses premiers pas au Cinéma et qu'on avait à cœur de prouver qu'on y était arrivé à force de travail et de détermination. Mais les scènes d'émotion impliquaient une pression supplémentaire pour Rory, qui bien qu'étant un hypersensible doublé d'un empathique dans la vie de tous les jours savait que c'était une chose de ressentir toutes sortes d'émotions et une autre de les transmettre à un public. Il s'était déjà mesuré à un tel exercice sur la scène d'un théâtre ou dans quelques pilotes de séries télévisées au succès plus ou moins fulgurant, mais ça n'avait pas son pareil à ses yeux de livrer ce genre de prestation sur un authentique plateau de Cinéma et de savoir qu'on l'admirerait bientôt sur un écran géant. Il savait que le milieu n'était jamais des plus tendre avec ses nouvelles recrues, que la concurrence était non seulement rude mais que sa prestation serait aussi disséquée dans le détail. Il savait surtout qu'on pourrait oublier son nom tout aussi vite qu'on lui avait offert cette opportunité s'il n'était pas suffisamment convaincant. Alors s'il voulait décrocher d'autres rôles, s'il voulait un jour arriver à la cheville de ceux qu'il admirait depuis son adolescence et qui lui avaient donné envie de faire ce métier, il n'avait pas le droit à l'erreur. « Non, non... ça va pas. » Et plutôt que de prendre ses collègues à témoin de ses difficultés pour rendre compte de l'émotion exacte qu'il cherchait à susciter à travers cette scène, le jeune acteur avait préféré s'isoler dans un coin tranquille. Une sorte de loge le plus souvent déserte qui avait comme principal avantage de lui offrir un semblant d'intimité. « Concentre-toi, idiot. » Pense à ce que te dirait Donna. Son agente lui avait offert la chance de sa vie en décidant de le représenter alors qu'il n'était encore qu'un étudiant et un barman en qui presque personne ne croyait, à commencer par ses parents. C'est bien évidemment à eux qu'il pensait, tandis qu'il répétait cette scène pour la vingtième fois. A son père, surtout, qui n'avait pas abandonné l'idée d'en faire un champion du football pour le voir se rétamer à peine eut-il mis un pied dans le monde du Cinéma. Il ne pouvait pas se permettre de le décevoir davantage, Rory.
Lorsqu'il releva finalement le nez de sa feuille, quittant la bulle dans laquelle il s'était reclus durant de longues minutes, ses yeux clairs accrochèrent une silhouette que ces derniers ne s'attendaient pas à trouver. Debout face à lui, suffisamment proche de la porte pour lui indiquer qu'elle venait sans doute d'entrer, une jolie brune était venue troubler sa solitude. Non pas qu'il s'en plaigne, en réalité. « Oh, salut. » Ses lèvres s'étirèrent timidement tandis qu'il resta un instant à l'observer, bien incapable de ne pas la reconnaître et ça même si Dina et lui n'avaient qu'à peine échangé quelques banalités depuis le début du tournage. Certains diraient qu'il avait la mémoire des visages, et ce ne serait pas complètement faux, mais la vérité c'est qu'il s'était surpris plus d'une fois à l'observer lorsqu'elle ne regardait pas dans sa direction, à songer à quel point il lui était facile d'attirer l'attention même en faisait partie des doublures. Elle était ravissante, ça ne faisait pas le moindre doute, mais elle dégageait surtout quelque chose de particulier, quelque chose qui lui avait très tôt donné envie d'apprendre à la connaître, sans toutefois vraiment avoir osé faire un pas dans sa direction. Il débutait encore dans le milieu, Rory, alors il aimait mieux ne pas trop se faire remarquer ni donner l'impression à ses collègues qu'il était là pour autre chose que pour travailler. Rien ne comptait plus à ses yeux que d'être à la hauteur de la confiance qu'on avait placé en lui, même si son coté social lui valait souvent de nouer des liens et des amitiés au gré de ses tournages. Il se mettait une pression dingue, mais il ne pouvait pas totalement empêcher le naturel de revenir au galop. « Désolé, je t'avais pas entendu arriver. » Il était un peu trop absorbé par son script, sans doute, et par cette réplique qui lui donnait décidément pas mal de fil à retordre. « Ça fait longtemps que t'es là ? » Si elle était entrée il y a plus de cinq minutes, elle avait peut être été témoin de ses répétitions laborieuses et il aimerait autant que ce ne soit pas le cas, au moins pour qu'elle n'ait pas d'aprioris sur lui et ne s'imagine pas qu'ils avaient embauché le premier incapable venu pour tenir l'un des premiers rôles. « Je crois que c'est la première fois que je croise quelqu'un ici, j'avais fini par me demander si j'étais le seul à connaître cet endroit. » Il fit remarquer, dans un sourire chaleureux et quelques peu amusé. Sans doute qu'il avait simplement pris l'habitude de venir ici à des moments où les autres étaient occupés ailleurs, ça n'était ainsi qu'une question de temps avant qu'il ne soit rejoint par quelqu'un. Et c'était loin de lui déplaire, à vrai dire, surtout s'il pouvait profiter d'un peu de compagnie pour se changer les idées plutôt que de penser plus longtemps à sa scène de demain.
we'll watch the stars glow, and the flames burn the woods slow. playing games with our shadows till all four of our eyes close. and darling we'll sleep close, with no blankets or pillows. like the wind in the willows and we'll dream with our eyes closed. 'cause I see love when I close my eyes.
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(dina #1) show me a garden that's bursting into life.
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