(maxan #2) ♪ he don't start shit but he can tell you how it ends
Izan Da Silva
l'orfèvre des émotions
ÂGE : trente-deux ans (24.12) SURNOM : connu comme ’’le poète du piano’’ mais aussi comme l’emmerdeur de service, parce qu’il est relou sur les bords mais les bords sont larges, voyez STATUT : sentimentalement contrariant et contrarié, célibataire qui devrait le rester MÉTIER : pianiste émérite mondialement reconnu, compositeur et interprète, vagabonde sur les touches blanches et noires pour faire taire ses pensées trop bruyantes — collabore depuis peu avec maxime, est le meilleur pour lui faire vivre le pire LOGEMENT : il a gracieusement donné son appart à helen et sa nouvelle maison est en travaux, alors il a élu domicile dans une suite luxueuse de l’emerald hotel en attendant de pouvoir devenir officiellement le voisin de jayden POSTS : 1360 POINTS : 2710
TW IN RP : crise d'angoisse et de panique, pression familiale, désamour et rejet parental, burn-out, stress professionnel, langage vulgaire et cru, décès, accident de voiture, stress post-traumatique. TW IRL : maltraitances animales.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : en guerre juridique contre toute sa famille, merci de ne pas aborder le sujet ¤ cynophobe depuis l’âge de six ans ¤ les bonbons acidulés en intraveineuse ¤ ambidextre, il n'y est pour rien mais c'est une grande fierté ¤ insomniaque et sujet aux crises d’angoisse ¤ insulte les gens en espagnol ¤ mauvais conducteur, pour ne pas dire danger public ¤ ne se sépare jamais du bracelet que son petit-frère lui a offert avant de mourir, le fait tourner autour de son poignet quand il est stressé ¤ papa de deux chats, sol & lunaDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #6f282e RPs EN COURS :
MAXAN#1 (fb) & #2 ¤ why do we, do we have to be enemies, enemies ? forget all the scars, all that they are memories, memories. i know it hurts, 'cause i feel it too but after all, all that we been through, why do we, do we have to be enemies, enemies ?
IZEN#12 ¤ lean on me when you're not strong and i'll be your friend, i’ll help you carry on, i'm right up the road, i’ll share your load if you just call me, call me if you need a friend. if there is a load you have to bear that you can't carry, i’m right up the road, i’ll share your load
JAYZAN#5 ¤ and i'll be there for you when the rain starts to pour, i'll be there for you like i've been there before. no one could ever know me, someone to face the day with, make it through all the mess with, someone i'll always laugh with, even under the worst i'm best with you
DA SILVAS#1 ¤ always say "no" to combat my yeses, you know me better than i give you credit. people say we look the same, but i don't think we do, clashed like the band, but now we're back stronger while we're both young yet still a bit older, i love you like a brother
SAMZAN#3 ¤ if i was dying on my knees you would be the one to rescue me, and if you were drowned at sea i’d give you my lungs so you could breathe. though we don't share the same blood you're my brother and i love you that's the truth
ALYZAN#1 ¤ moi je te soutiendrai, je t'appuierai, quel est ton voeu, dis-moi, quel est ton souhait ? t’as déjà fait ta liste ? ok, banco, frotte-toi les mains, moi je me frotte le dos
SIERRA(scénario) ¤ i went as far as i could, i tried to find a new face, there isn't one of these lines that i would erase. i lived a million miles of memories on that road with every step i take, i know that i’m not alone. you take the home from the boy but not the boy from his home, these are my streets, the only life i’ve ever known, who says you can't go home
he don't start shit but he can tell you how it ends crédits/ omibutt & KATHERINE-MCNAMARA @Maxime Coventry11/2024 - studio d’enregistrement
L’accident de voitures qui a failli lui coûter la vie a remis les choses en perspective. Malgré la difficulté à retrouver toute sa dextérité et sa faculté à jouer durant des heures sans éprouver la moindre affliction dans ses articulations, Izan n’est pas prêt à renoncer à sa carrière, puisque c’est à peu près la seule chose qui tient encore debout dans sa vie. On voit bien, pourtant, qu’il est tenté de faire demi-tour et de tout envoyer valser quand il se figure le reste de la journée ; il ne le déteste pas réellement, Maxime, et s’il était parfaitement honnête il dirait même qu’il lui reconnaît un certain talent — un peu trop proche du sien d’ailleurs, mais la rivalité est trop ancrée pour qu’il concède à être le premier à ployer devant l’adversaire. ’’Je sais que ça ne te plaît pas mais, aux dernières nouvelles, tu n’as pas le choix.’’ reposant la tablette sur ses cuisses collées, Lynda prend une inspiration en levant d’abord le menton avant de tourner son visage vers Izan qui, bien peu décidé à coopérer, fixe un point invisible devant lui en ayant la mine d’un gamin puni qui sait par avance qu’il est vain de négocier sa peine. ’’Eh, tu m’écoutes ?’’ bien sûr que non, il l’entend mais il ne l’écoute pas, Izan, et toute la nuance tient dans l’indifférence qu’il s’emploie à générer pour ignorer ce qu’elle lui dit. Poussant un râle du fond de sa gorge, Lynda pivote ses jambes galbées sur le côté de sa chaise en tendant son bras pour que sa main puisse saisir son menton, qu’elle tourne en sa direction par obligation presque maternelle, faisant fi des blessures qui serpentent encore la peau de sa figure, de frêles hématomes effacés qui donnent l’impression d’être visibles à travers le lac opaque de son épiderme malmené, qui témoignent encore de la violence éprouvée ’’Izan, t’as le droit de le détester, t’as le droit de penser que c’est le mec le plus con de la Terre si ça te chante mais, en attendant que tu puisses jouer toi-même, tu vas me faire le plaisir d’être aimable et de lui sourire poliment sinon j’te jure que tu n’auras pas que le poignet de cassé.’’ le plus horrifiant est sans nul doute qu’elle chaperonne la fin de sa promesse d’un sourire qui semble un peu trop réjoui par cette perspective assassine, qui fait discrètement grimacer le compositeur — davantage parce que les phalanges de la jeune femme compriment quelques blessures en train de guérir que par réelle crainte de voir ses jours écourtés de cette même main ’’J’ai survécu à l’explosion d’une machine à la con dans un centre commercial et à un accident de voitures en plein coin paumé, tu crois quand même pas me faire peur ?’’ il peste en poussant sa maudite main aux ongles pointus, la sienne venant effleurer sa peau pour la soulager des picotements endoloris qui la parcourent pendant qu’il se lève pour faire les cent pas dans le couloir, la brune le suivant des yeux avec l’appréhension de le voir se défiler à tout instant par une porte de secours. ’’T’as conscience des enjeux, rassure-moi ?’’ - ’’Ils auraient pu trouver quelqu’un d’autre, c’est tout ce que je dis.’’ils et pas on parce qu’il a totalement été tenu à l’écart de cette décision, Izan, et qu’il abhorre être ainsi mis aux pieds du mur, sans moyen de contester la personne qu’on lui impose pour jouer ses propres compositions ’’C’est quoi le problème avec ce type ?’’ elle le demande en arquant sévèrement son sourcil gauche pendant qu’elle referme les pans de son trench, la ceinture restant prisonnière entre ses doigts tout le temps qu’elle patiente pour obtenir une réponse qui tarde à venir ’’Il n’a pas la carrure.’’ de toute façon, il l’a tellement mauvaise de ne pas être capable de jouer ses nouvelles compositions qu’il n’aurait trouvé personne à la hauteur, et la sentence tombe en même temps qu’il croise ses bras contre son torse, dans un geste qui attire l’oeil de l’assistante sur tout autre chose : ’’Tu aurais pu mettre un costume.’’
Il n’a pas mis de costume, Izan, tout simplement parce qu’il n’avait aucune envie de venir, et que s’enguirlander dans un déguisement d’élégance lui coûtait trop d’efforts pour qu’il veuille bien s’exécuter, surtout pour quelqu’un qu’il méprise aussi fortement que le Coventry. Il ne nierait pas non plus que s’il débarque dans la salle avec presque vingt minutes de retard c’est par simple malchance, puisqu’il a pris le temps de traîner dans les couloirs en discutant ici et là avec ceux qui ont croisé son chemin, et qui sont donc devenus complices de sa lenteur sans le savoir ’’T’es là,’’ il le constate davantage qu’il s’en réjouit, puisque sa voix est sans joie aucune, et il ne fait même pas l’effort de sourire quand il referme la porte derrière lui, sans tourner le dos à Maxime. S’il n’y avait pas cette foutue rivalité entre eux, ces rancœurs amères qui polluent la reconnaissance qu’il devrait lui allouer, Izan pourrait être heureux de le revoir, ce fantôme du passé qui s’immisce dans son présent désordonné pour un long moment en sauvant sa carrière fragilisée, mais il est sur la défensive, la fierté mal-placée bourgeonnant de devoir faire la transmission de son précieux carnet quand il est suffisamment proche pour lui tendre, en lui jetant un regard presque austère ’’…Essaie de pas trop massacrer mes compositions.’’ conjurant le mauvais sort de son amertume par un sourire forcé, il contourne le piano pour aller tirer une chaise, qu’il installe juste à côté du banc, afin d’y prendre place — une position qui ne lui sied guère, lui qui déteste perdre le contrôle et encore moins la face, surtout face à celui qui est son rival depuis des années ’’Félicitations pour le Concours, d’ailleurs…’’ il exagère la portée joyeuse de sa voix quand il glisse la première partie de sa phrase, puisqu’il ne laisse pas Maxime s’en réjouir trop longtemps et il poursuit, sur un ton plus monocorde et à une vitesse accélérée : ’’Enfin… Dommage que tu doives attendre que je sois hors-circuit pour gagner quelque chose.’’ penchant son menton sur le côté, il lui adresse, cette fois, un sourire tout à fait authentique, mais trempé dans l’insolence la plus pure, telle qu’on lui connaît bien et pour laquelle il ne prendra pas la peine de s’excuser. Ce n’est que la vérité la plus stricte, après tout, même si elle ne doit pas faire plaisir à entendre, il prend plaisir à la dire et c’est bien le plus important.
tryna hold on, did-didn't even know, i wasted it all just to watch you go, i kept everything inside and even though i tried, it all fell apart what it meant to me will eventually be a memory of a time when, i tried so hard and got so far but in the end, to remind myself how i tried so hard, it doesn't even matter i had to fall to lose it all
(maxan #2) ♪ he don't start shit but he can tell you how it ends
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