ÂGE : 25 ans (11.06.1999) SURNOM : mav, mab, la petite barnes. elle répond à tout avec un sourire, mais elle n'en pense pas moins STATUT : se quitter et se retrouver, c'est marrant pendant trois secondes. elle jure solenellement que son intention est de rester avec ambrose aussi longtemps qu'elle réussira à être moins mauvaise (bye ruben) MÉTIER : interne (première année) en neurochirurgie au st-vincent's hospital, en passe de changer de spécialité pour rejoindre le service de chirurgie cardiaque, au grand désespoir de son père. un emploi du temps chargé auquel s’ajoute un peu de bénévolat dans le dispensaire du docteur lahiri situé à la périphérie de toowong LOGEMENT : depuis récemment, elle a emménagé à west end avec ambrose dans l'un des appartements de son oncle dont il a hérité à sa mort POSTS : 2683 POINTS : 600
TW IN RP : noyade, deuil, duplicité, domaine médical, mention de prise de médicaments (anti-dépresseurs, anxyolitiques), adultère, misogynie intériorisée, grossesse non-désirée, avortement, classisme (j'adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : jumelle noyée; une rumeur circule, inutile de savoir laquelle › frère plus âgé, qui fait sa vie sans que ça ne l’intéresse › fille à papa, neurochirurgien de renom; maman est juste là pour l’analyse et la bouffée de shalimar qui lui rappelle qu’elle l’aime un peu quand même › travaille dur pour réussir, juré › bcbg, en apparence en tout cas › populaire chez les titulaires du st-vincent qu’elle côtoie dans le cadre de ses études de médecine, ce n’est pas le protégé de papa qui dira le contraire #winkwink › double-face, comme le scotch › she don't start shit, but she can tell you how it endsDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #BF8174 RPs EN COURS :
RUBIS ◦ you said it was true love but wouldn't that be hard? you can't love anyone cause that would mean you had a heart i tried you help you out now i know that i can’t cause how you think's the kind of thing i'll never understand i've made some real big mistakes but you make the worst one look fine
MAROSE ◦ and your first kiss makes your head spin 'round but in your life you'll do things greater than dating the boy on the football team but i didn't know it at fifteen when all you wanted was to be wanted wish you could go back and tell yourself what you know now back then i swore i was gonna marry him someday but i realized some bigger dreams of mine
DAN ◦ we were supposed to be just friends you don't live in my part of town but maybe i'll see you out some weekend depending on what kind of mood and situation-ship i'm in and what's in my system i think there's been a glitch five seconds later i'm fastening myself to you with a stitch and i'm not even sorry nights are so starry blood moonlit it must be counterfeit i think there's been a glitch (scénario libre)
BAZ ◦ it's me hi i'm the problem it's me at teatime everybody agrees i'll stare directly at the sun but never in the mirror it must be exhausting always rooting for the anti-hero (scénario libre)
Mavis la voit, la mine de Jahan, dépité, pendant qu’il scanne l’immense salle de soin du dispensaire. Il doit en être à le première étape du deuil, celle de sa tranquillité, lui qui redoute toujours tant l’arrivée de la grande journée d’Halloween organisé par ses volontaires qui ont mis les petits plats dans les grands cette année. La preuve, les lieux sont méconnaissables, et pas seulement à cause de la décoration qui, sous la lumière du jour, est moins impressionnante que la veille, où l’obscurité tendait le tout absolument horrifique. Non, c’est bel et bien parce que le désordre accuse la tenue d’une soirée qui s’est terminée tard dans la nuit que le généraliste tire cette tête, son épaisse main venant flatter sa tout aussi épaisse barbe que Mavis entend frotter sous ses doigts quand il se met à la gratter en regrettant surement d’avoir été, cette année encore, aussi clément. Finalement, elle l’entend souffler, et ça la fait sourire sous cape, sa main venant frôler son épaule lorsqu’elle lui fait, sûre d’elle "On se laisse la matinée pour ranger. Pas de stress, on tiendra nos délais." Elle a rendez-vous avec les autres pour se répartir les taches, celles que le docteur Lahiri s’enjoint de fuir sitôt qu’elle se tourne vers lui pour lui demander au moins un petit coup de main "J’ai trop de trucs à faire ce matin. Et puis c’est votre délire, à toi et aux autres, moi je fais que vous donner l’autorisation." De mauvaise foi, il ne lui faut qu’une seconde pour lever les mains devant lui comme un malfrat pris la main dans le sac. Aussi vite, il se soustrait à la vue de Mavis en ajoutant tout de même au passage, ne craignant pas ses foudres, même si elle roule des yeux et secoue la tête en creusant l’une de ses dents du fond avec le bout de sa langue "Ton idée, ta responsabilité, c’est la règle. Bon courage, gamine." C’est ça qu’elle se retient de lui dire en pivotant sur ses talons pour embrasser la scène du regard et mettre en place une liste rapide des taches qu’ils devront accomplir avec le reste des bénévoles. Elle se met finalement à rire, ayant l’impression qu’au fond, c’est la même histoire tous les ans. Elle qui n’est pas particulièrement sentimentale, ça la rassure quelque part, et elle ne s’appesantit pas sur la traitrise de son supérieur ; elle sait que le plus gros du chantier est ici, ainsi elle s’y met en allant chercher dans sa voiture tout ce qu’elle a ramené et qui est nécessaire pour le nettoyage des lieux. Dans quelques heures à peine, tout brillera à nouveau comme un sou neuf.
Elle a déjà fait quelques allers-retours quand, devant la coffre ouvert de sa voiture, elle cale un rouleau neuf de sacs-poubelle dans le creux d’un de ses bras en essayant de ne pas lâcher l’anse de l’aspirateur qu’elle tient dans son autre main, le menton rentré sur sa poitrine pour tenir une partie des chiffons, et autres lingettes, qu’elle a déniché dans les réserves du St-Vincent. Soudain, son regard se déporte droit vers une silhouette qui s’approche d’elle ; elle serait du genre à en faire des caisses qu’elle traiterait la nouvelle arrivée comme le Messie — et encore, rien n’impressionne jamais Mavis, alors un type aux cheveux qui marche sur l’eau ? Il lui en faudrait surement plus que ça pour lui accorder du crédit. Comme ce n’est que Willow, elle lui dit seulement, lui tendant l’aspirateur sans attendre ne serait-ce qu’un seul instant "Merci, tu débarques au bon moment." C’est le cas de le dire. Elle se redresse, prend ses sacs-poubelle et ses chiffons dans sa main, puis elle ferme son coffre avant d’actionner la fermeture centralisée des portes en appuyant sur sa clef. Une respiration profonde, traduction de son soulagement, lui échappe lorsqu’elle sourit à la jeune femme à ses côtés "J’ai toujours pas réussi à le convaincre de nous aider à ranger, si tu te poses la question." Surement qu’elle ne se la pose pas étant donné la posture dans laquelle elle a trouvé sa comparse — et bien sûr qu’elle parle du docteur Lahiri, celui-là même qui, au travers de la fenêtre de son bureau, leur fait un petit signe de la main moqueur tandis qu’elles s’apprêtent toutes les deux à rentrer dans le dispensaire.
no one wanted to play with me as a little kid, so i've been scheming like a criminal ever since, to make them love me and make it seem effortless, this is the first time i've felt the need to confess, and i swear, i'm only cryptic and machiavellian cause i care.
:
(willow #1) party favor
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum