Une journée comme une autre commence pour Soren. Il part tôt de l'appartement, laissant Cleo et la petite dormir encore pour quelques heures, elles en ont besoin toutes les deux. Lui, c'est l'université et les élèves mal lunés qui l'attendent, comme tous les jours. Mais malgré tout, tous les matins, il part au travail avec le sourire. Il adore son métier et ne changerait pour rien au monde. Depuis qu'il est petit, la biologie, ça a toujours été son truc, son dada, et quand il a compris qu'il pouvait enseigner sa passion, il n'a pas hésité une seconde. Le soleil vient juste de se lever lorsqu'il se gare dans les allées de parking de l'université. Les couloirs sont encore calmes, les élèves n'arriveront pas avant encore une petite heure. C'est sa petite routine, il aime arriver tôt pour pouvoir être pleinement préparé quand les élèves arrivent en cours. Un thé en passant par la salle des professeurs et il se rend dans son amphi, prêt à faire son cours. Aujourd'hui, il ne sait pas encore trop de quoi il va parler à ses élèves, ils avaient tellement de sujets qu'ils voulaient aborder la dernière fois qu'il n'a pas réussi à se décider. Le cours commencera sûrement par un débat pour savoir quel sujet vaut la peine d'être le sujet du jour. Au détour d'un couloir, il croise plusieurs de ses collègues à qui il dit bonjour - à certains par politesse, d'autres parce-qu'au fil des années, il a fini par plus ou moins les apprécier. C'est d'ailleurs un collègue de langue qui l'attrape avant qu'il ne sorte en vitesse du couloir. « Eh oh, petit bonhomme, tu vas par où comme ça ? C'est pas par là que t'as cours aujourd'hui j'te rappelle ! » « Quoi ? Comment ça ? » Soren fronce les sourcils et ne prenant pas en garde les avertissements de son collègue, il part quand même en direction d'où il pensait aller en premier lieu. Cependant, lorsqu'il arrive dans l'amphithéâtre et qu'il voit plein de visages qui ne lui sont pas connus, il fronce d'avantage les sourcils. « Qu'est-ce que... » Les élèves le regardent d'ailleurs d'une drôle de tête, comme s'il n'avait rien à faire là. Il est perdu, cherche alors du regard la personne qui pourrait être en charge de cette troupe d'étudiants. Après plusieurs balayages de la salle du regard, il tombe sur une silhouette qui semble donner des indications à certains élèves. Il décide d'aller la voir, pour avoir le coeur net sur cette situation. « Pardon ?.. » Cette silhouette lui dit quelque-chose, pourtant il est sûr d'avoir croiser cette jeune femme dans les couloirs, mais tant qu'il n'a pas son visage en face de lui, il est incapable de retrouver son prénom. Et puis de toutes façons, avec tous les élèves qu'il croise par jour, certains noms finissent par lui échapper. Ceux qu'il s'efforce de se souvenir sont ceux des gens qu'il est sûr de voir tous les jours. Avant, ce n'était pas comme ça, il était féniant et faisait l'effort d'apprendre le prénom de toutes les personnes avec qui il échangeait. Depuis, il est féniant mais s'en porte pas moins bien.
Soren & Lisis = Solis Changements de plan. Réorganisation de tout les futurs avenir.
A
ujourd'hui n'est pas simple, du tout. Je suis sortie de l'hôpital hier avec une entorse assez grosse et grave au genoux droit tu as une mauvais chute. Assez débile de je dois l'avouer. C'est ça quand on laisse traîner des affaires dans l'appartement, qu'on est en retard, courir par tout et glisser sur un vêtement. Oui c'est bête mais je me retrouves encore plus bête a essayer de l'expliquer alors je donne l'excuse que je suis tomber dans les escaliers. Comme ça ses plus simple et je n'ai pas besoin de me faire passer pour la guignole de service. Même si beaucoup de monde m'ont déconseiller d'aller a l'université aujourd'hui, je ne les écoutais pas. C'était mon cour d'histoire de danse contemporaine alors je ne peux pas le louper. Surtout que j'ai mis des mois pour réserver la salle alors je ne vais pas louper ça. J'arrive la première dans l'amphithéâtre, je dépose ma béquille, qui met d'un grand soutient contre le bureau puis je dépose mon sac ou plusieurs livre sont a l'intérieur. On ne dirait pas comme ça, mais j'en connais un rayon sur la danse contemporaine. J'adore ça et j'en fais depuis que je suis toute petite. Une amie a mes parents m'a enseigner tout se que je sais maintenant et je peux le redonner a d'autre. Je m'appuie alors contre le bureau en soupirant doucement de soulagement. La douleur est présente mais je ne le fais pas voire. Jean, et chemisier blanc, les cheveux attacher. Quand tout le monde entre je peux voir certain étonnement de me voir ainsi. Quand ils sont tous installer je peux les entendre parler dans tout les sens, je pivote simplement mon corps pour attraper des feuilles. « Dites ! Qu'est-ce qui vous est arriver m'dame ? » « C'est votre valentin, enfin votre chéri qui vous.... » l'élève n'a pas le temps de finir sa phrase que tu entres dans la pièce, je ne peux m'empêcher de rire doucement. Le calme se fait, je ne comprends pas directement jusqu'à entendre ta voix. Je prends mes feuilles dans mes mains puis je dépose mon regard sur ta personne quand tu m'adresses la parole. « Oui ? » Je laisse un petit sourire s'affiche sur mes lèvres. C'est vrai que dans cette tenu, très peut de personne me reconnaissent beaucoup me voit encore dans mes tenus de danse contemporaine. Je garde mes feuilles entre mes mains, plissant doucement des yeux, ton visage ne mets pas inconnu. « Vous êtes pas le prof de chimi, ou de biologie par hasard ? » Je te demande tout naturellement, c'est vrai que les prénoms je ne les retiens pas, mais les visages ainsi que les matières qu'ils exerces, je ne me trompe pas souvent. C'est quand je détail ton visage que je peux voir une incompréhension. Je me pince doucement les lèvres, puis je viens prendre ma béquille et te faire un signe de la tête de me suivre dehors. Une fois que tu es a l'extérieur avec moi. « Si vous êtes là c'est pour la salle je suppose ? On ne vous a pas prévenu, ou vous n'avez pas vue le planning dans la salle ? » Je laisse un petit silence puis reprend la parole. « Je suis désoler mais je ne peux pas vous laisser l'amphithéâtre. Ca fait des mois que j'attends pour pouvoir faire mon cour en dehors de la salle de danse donc je ne peux pas vous la laisser. » Malgré tout je reste polie. C'est vrai que là, je n'allais pas cédé et je n'allais pas te laisser le choix.
L’incompréhension chez Soren est telle qu’il ne cesse de garder ses sourcils froncés, une habitude qu’il a pris au fil des années. La jeune femme semble quand à elle plutôt à l’aise et pas perturbée par sa venue, loin de là. Le temps que la jeune femme lui réponde, il décide de scruter une dernières fois les élèves assis sur les bancs de l’amphithéâtre. Et rien, aucune visage de lui rappelle des élèves qu’il connait déjà d’avant. « Oui ? » Soren tourne de nouveau son regard vers la jeune femme, qui affiche un sourire. Pas perturbée le moins du monde, il en est sûr maintenant. Il avance de nouveau de quelques pas pour se trouver à la hauteur de la jeune femme, qui après un coup d’oeil semble être mal en point. Son genoux est recouvert d’une belle attèle et une béquille se tient posée contre le bureau. A première vue, il ne peut pas deviner que c’est un cours de danse qui est sur le point de se dérouler là. Et puis, aussi loin de la salle de danse, il n’a réellement aucun indice. « Je peux vous demander qui êtes vous ? » Soren a toujours été quelqu’un de direct dans ses propos. Jamais dans l’excès et jamais agressive ni méchant, mais toujours direct. Il part du principe où si les personnes disent les choses directement, le dialogue est plus simple et plus véritable par la suite. On sait plus facilement où se tiennent les personnes avec qui on interagit. Certaines personnes ne supportent pas du tout ce comportement, trouvant ça trop prétentieux ou pompeux, mais Soren lui s’en moque, du moment qu’il reste courtois et poli. « Vous êtes pas le prof de chimi, ou de biologie par hasard ? » La jeune femme le regarde en plissant les yeux, comme si elle essayait de remettre son visage quelque part, qu’ils s’étaient déjà croisés ou autre. Soren tente de faire fonctionner sa mémoire - un bon moyen aussi de prévenir de la maladie qui touche sa mère -, mais le visage de la jeune femme ne lui revient vraiment pas. Et ça l’énerve, il aurait bien voulu ne pas être désemparé de la sorte, et ne pas passer pour un idiot puisqu’apparemment, elle semblait se souvenir de lui de son côté. « Biologie, si, c’est bien moi. On se connait ? Je n’arrive pas à me souvenir de vous de mon côté. » Il sent qu’il se calme un peu intérieurement et que la surprise, l’étonnement et le début de la colère qu’il ressentait en rentrant dans cette pièce son partis maintenant. Par la suite, la jeune femme ne semble pas être sur le point de lui répondre, et alors qu’il est sur le point de parler de nouveau, elle lui fait signe de tête de se retrouver hors de l’amphithéâtre. Il est vrai que des dizaines d’étudiants sont en train d’observer la scène et qu’ils ne sont pas obligés d’être au courant de tous les désaccords et problèmes d’organisation que peut avoir la fac. Soren suit alors sans broncher la jeune femme et une fois dehors, il s’arrête pour faire face à la jeune femme, les bras croisés sur sa poitrine. « Maintenant qu’on peut parler librement, je vous écoute. » Il parle sur un ton courtois et plutôt doux par rapport à la situation. D’autres fois, il aurait péter un câble pour moins que ça, mais il était plutôt bien luné en ce jour, une chance pour la demoiselle. « Si vous êtes là c'est pour la salle je suppose ? On ne vous a pas prévenu, ou vous n'avez pas vue le planning dans la salle ? » « Je n’ai surtout pas été prévenu. Qu’est-ce qu’il s’est passé dans mon dos alors ? Vous avez l’air plus au courant que moi sur le sujet. » Soren lève les yeux au ciel pour montrer à quel point ce manque d’organisation lui tape sur le système. En soi, il n’en veut pas à la jeune femme, elle semble ne pas être dans l’opposition. « Je suis désoler mais je ne peux pas vous laisser l'amphithéâtre. Ca fait des mois que j'attends pour pouvoir faire mon cour en dehors de la salle de danse donc je ne peux pas vous la laisser. » Soren soupire. Le pire scénario qu’il avait imaginé est en train de se passer. Il se retrouve donc avec un cours à donner et apparemment plus de salle pour le dispenser. Par la même occasion donc une centaine d’élèves sur les bras. « Comment ça se fait que vous alliez besoin d’une salle de cours, d’ailleurs ? Et pourquoi il faut que ça tombe sur moi surtout, j’ai l’impression d’être le pigeon de l’administratif parfois. » Il soupire de nouveau, regardant rapidement l’heure à sa montre. Génial, il a cours dans moins de quinze minutes et ne sait pas ce qu’il peut faire. « Est-ce qu’on vous a dit où est-ce qu’on m’avait transféré en attendant, par hasard ? » Il espère que la jeune femme sait, car il ne se voyait pas aller faire le tour des bureaux maintenant pour trouver une salle. Faire cours dehors est hors de question, une centaine d’élèves à canaliser est déjà une tâche pas simple dans une pièce fermée, alors dans un endroit ouvert, ce n’est même pas pensable. Et la solution de fusionner les deux groupes d’étudiants pour pratiquer les deux cours à la suite, faisant patienter ses élèves en écoutant le cours de la jeune femme n’est pas envisageable non plus.
Soren & Lisis = Solis Changements de plan. Réorganisation de tout les futurs avenir.
C
'est vrai que ta venu dans l'amphithéâtre pouvait être perturbateur pour beaucoup de monde, mais pas pour moi. En réalité j'ai tellement l'habitude des personnes qui débarque comme ça sans trop rien dire que je dépose simplement mon regard bleuté sur ta personne, tu es aussi rapide que l'éclaire mais je comprends tout à fait que ça soit assez perturbant. A ta demande j'ai un petit sourire amusée, je vois bien que tu ne me reconnais pas. « Lisis Ensémekhtouès, la professeur de danse contemporaine de l'université. » C'est vrai que je suis loin de ma salle, que je ne suis pas dans la tenu adéquate mais c'est belle est bien moi, la professeur de danse. Bon, on ne se connaît pas tous mais on est très peut de professeur de danse et là ça fait souvent tilte au personne. Quand je te demande si tu es bien le professeur de bio, tu me demandes si on se connaît. Je me permets alors de te faire un signe de la tête pour que tu me suives a l'extérieur. C'est a ce moment là que je me retourne a nouveau vers ta personne pour parler plus librement, d'une voix assez calme et poser. Ses genres de situation ne me stresse pas spécialement comparé a toi. « Oui on se connaît. Je pense que si vous m'imagine avec une tenu de sport, jogging ou même un tenu de danse contemporaine vous me reconnaîtrait. Vous savez la casse cou' qui ne cesse de dérange certain cour, de certain professeur pendant que je pratique la mien. » Je souris doucement en haussant les sourcils, c'est vrai que plusieurs professeurs sont venu ce plaindre de musique trop fort ou dérangeante durant leur cour. Quand ils prennent les salles accoté de la mienne ils savent très bien qu'il y a toujours un petit fond de bruit et généralement je ne mets pas aussi fort que ça. Retournement de question, puis je ne te quitte pas du regard appuyer sur ma béquille. Puis je laisse un petit soupire m'échapper. « J'aurai cru que vous étiez au courant. Ca fait bientôt un mois que j'ai la jambe dans cette état, j'ai fais des cours en salle mais ne pouvait pas bouger et essayer d'apprendre la culture de la danse a des personnes ou j'ai pas leur attention c'est assez dur. Donc j'ai demander l'amphithéâtre il y a quelques semaines et on ma dit oui. Après je ne savais pas que vous aviez bien plus besoin de moi. » Je peux voir que ça t'énerve plus qu'autre chose et je peux très bien le comprendre de toute façon, je pense que je serais dans ce même état si ça m'arrive. A ta demande je secoue doucement la tête de gauche à droite. Je baisse un instant le regard cherchant comme on pourrait faire. C'est vrai que l'histoire de la danse peut s'enseigner un peut dans n'importe quel endroit mais là pour le moment je n'ai pas d'idée. J'ai alors le même réflexe que toi de regarder l'heure. « Bon j'ai peu-être une petite idée. Une idée qui nous éviterez d'aller et venir entre les salles mais surtout a l'administration qui mettront un temps fou a nous répondre. » Je passe doucement ma main dans mes cheveux te regardant, j'évite aussi au maximum de bouger de ma place car j'ai des douleurs affreuses qui me viennent. J'évite alors de trop de faire attendre. « La biologie, c'est dur de faire court a l'extérieur ou dans une salle minuscule. Que moi... non. » Ca m'embêtais fortement de te dire ça, mais bon, d'un coter tu as un nombres d'élèves plus important que moi. « Je vais aller faire bouger les miens. Je vais vous laisser l'amphithéâtre ce n'est pas grave. » Malgré moi un petit soupire m'échappe. « Et nous on va faire ça dehors. Le temps et plus que magnifique puis mon cours va les libéré un peut, ils pourront s'exprimer en même temps. » Je t'offre un petit sourire puis après mes paroles je viens passer a coter de toi pour retourné dans la salle. Je n'avais pas spécialement le choix. C'était ou, je jouais a ma conne et je te laissais te démerder ou je t'aidais. Après tout, je ne suis pas une femme qui ne pense qu'à elle, pas tout le temps. D'un pas boité et douloureux je vais pour ouvrir la porte et entré de nouveau. Le dilemme va être de capté leur attention.
« J'aurai cru que vous étiez au courant. Ca fait bientôt un mois que j'ai la jambe dans cette état, j'ai fais des cours en salle mais ne pouvait pas bouger et essayer d'apprendre la culture de la danse a des personnes ou j'ai pas leur attention c'est assez dur. Donc j'ai demander l'amphithéâtre il y a quelques semaines et on ma dit oui. Après je ne savais pas que vous aviez bien plus besoin de moi. » Soren soupira une nouvelle fois, levant les yeux au ciel. Il savait très bien que ce n’était pas la faute de la jeune prof, mais il ne pouvait s’empêcher d’être énervé tout de même. Il enseignait entre ces murs depuis maintenant de nombreuses années, et il avait toujours pris la même salle pour faire ses cours. C’était d’ailleurs devenue, au fil du temps, sa salle attitrée, et les personnes de l’administration savaient très bien qu’il n’aimait pas quand on lui changeait cette petite habitude sans le prévenir. Ca lui était déjà arrivé de nombreuses fois - trop souvent à son goût d’ailleurs -, mais malgré le fait qu’il l’ait signalé, ça semblait n’avoir rien changé. Il n’y avait qu’à voir dans quelle situation il se retrouvait aujourd’hui. Et le pire, c’est que pour cette fois, il était à cours d’idée pour remédier à la situation. Enfin si, il avait bien une idée ou deux, mais pas de celles qui le satisfaisaient. « Bon j'ai peu-être une petite idée. Une idée qui nous éviterez d'aller et venir entre les salles mais surtout a l'administration qui mettront un temps fou a nous répondre. » Il tourna son regard une nouvelle fois vers la jeune femme. « Je vous écoute alors. Je n’ai plus rien à perdre de toutes façons je pense. » Si ça avait été lui à la place de Lisis, il se serait foutu des baffes pour réagir comme ça. Il n’aurait pas aimé se retrouver face à un homme d’aussi mauvaise humeur pour pas grand chose, en soi. « La biologie, c'est dur de faire court a l'extérieur ou dans une salle minuscule. Que moi... non. Je vais aller faire bouger les miens. Je vais vous laisser l'amphithéâtre ce n'est pas grave. Et nous on va faire ça dehors. Le temps et plus que magnifique puis mon cours va les libéré un peut, ils pourront s'exprimer en même temps. » Soren écoutait Lisis parler attentivement. Effectivement, ça semblait être la seule solution réellement faisable sur le moment, et même si c’était la solution que Soren préférait voir arriver, ça le faisait clairement chier de voir Lisis devoir se démerder pour lui. Après tout, ce n’était pas sa faute à elle, c'était la faute de l’administration qui ne savait pas faire son boulot correctement. Et alors qu’elle allait mettre la main sur la poignet pour prévenir ses élèves du changement de dernière minute, Soren soupira une dernière fois. « Attendez. » Il se maudissait de faire ça, mais c’était ce qu’il y avait de plus raisonnable et de plus juste. « Laissez tomber, allez faire votre cours comme prévu à votre classe. Je vais dire aux miens qu’ils n’auront pas cours aujourd’hui, ça leur fera plus que plaisir en plus. Avec une jambe dans cet état, je peux pas me permettre de vous demander de partir. » Soren lui fit un petit sourire d’excuse. Il vint par la suite venir ouvrir la porte pour que Lisis puisse passer et rejoindre son cours. « Vous me devrez juste un service en échange, on va dire. Même si ce n’est pas votre faute, je sais, ça me permet de me dire que je ne vous laisse pas la place pour rien. » Il fit un petit clin d’oeil complice à sa collègue avant de la laisser entrer dans la salle. Il n’entra pas à son tour, il avait un groupe d’élèves à aller prévenir après tout - et il ne savait pas comment il allait pouvoir prévenir plus de cinq-cents élèves en moins de dix minutes, il allait devoir faire fonctionner son imagination comme jamais. « Nous sommes donc amenés à nous revoir, je crois. Bon courage pour votre cours… Et pour votre jambe aussi. » Une fois que la jeune femme fut complètement dans la salle, il lâcha la porte qui se referma dans un bruit sourd, et il se mit en quête d’un de ses élèves pour faire marcher le bouche à oreille de nos jours, à savoir les réseaux sociaux.
Les problèmes administratifs, je pense que nous allons tous y passer un jour. Si j'aurai su que c'était ta salle depuis un moment je ne l'aurai pas prise. Du moins j'aurais demander un autre endroit pour faire mon cour. Car oui, oui nous ne sommes pas tout seul dans l'université et après tout. Je pourrais être égoïste, t'envoyer balade puis aussi te laisser te débrouiller. Au contraire, j'ai une un élan de bonté qui met venu en moi puis, je t'es expliquer que je pouvais faire cour dehors. Déjà parce que la danse, bah, c'est artistique et que ça peut s'étudier de partout et ensuite, parce que j'ai pas envie de te voir annuler ton cour. C'est bien plus important que moi, enfin, mes élèves sont passionner par cet art et je pense que ça leur plairais comme pas leur plaire qu'un cour est annuler. Comme pour toi en réalité. Après avoir fait une grande explication en te regardant, bien évidement je ne t'avais pas trop laisser ce choix, puis je commence a rebrousser chemin pour retourné dans l'amphithéâtre. Je dépose ma main sur la poignet, puis j'entends ton soupire suivit de parole. Je fronce doucement les sourcils en pivotant simplement sur ma jambe pour te faire ça face. « Oui ? » Je suis alors très surprise. Oui c'est le mot a dire. Surprise que tu changes totalement de décision. Je ne m'attendais pas à ça. Puis quand tu me parles de mon état physique, je baisse un instant mon regard sur ma jambe en haussant doucement les épaules. « Ce n'est rien ça. J'ai vue pire mais... » Mais je n'ai pas le temps de finir ma phrase que tu rajoutes quelque chose en venant vers moi. Je souris amicalement, a t'es paroles suivante. « Très bien, je retiens. Et pas de problème pour un service en échange. » Je souris en te laissant ouvrir la porte puis avant d'entré je rajoute. « Oui en effet, c'est pour la bonne cause non ? Et, merci, ma jambe je vais m'en remettre. Bon courage pour trouver et faire circuler l'information. » Je dis assez amuser, mais aussi sympathiquement. C'est vrai, à quoi bon s'énerver quand on peut trouver un entente. Puis en réalité. Tu me parais fort sympa malgré se désagrément. Quand j'entre dans l'amphithéâtre vue que tu me tiens la porte je te laisse refermer la porte. Bruit assourdissant fit réagir les élèves, puis je reviens me placer devant eux. Je m'assois sur le bureau en les regard. Canaliser leur attention, au début c'est dur, mais quand je leur parle du sujet qui les intéresses le plus je réussi a avoir des regards, des silences pour qu'il m'écoute. Des personnes qui s'intéresse puis, mon cour passe assez rapidement. Malgré ce cour je ne peux pas m'empêcher de penser malgré tout à toi et ton cour. J'espère que tu as réussi a prévenir tout le monde ou non, si tu es passer à l'administration enfin, ça je le serrais a la fin car je ne vais pas m'empêcher de passer les voir pour leur dire se que je pense clairement. J'aurai cru qu'après ta venu ma journée allait être remplis de problème mais au final non. Je réussi a avoir une journée tranquille puis, qui elle se finit par une bonne nouvelle. Je ne vais pas garder mon atèle vitam æternam.