| come as you are ( cora, ezra) |
| | (#)Ven 5 Fév - 2:55 | |
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❝come as you are❞ ezra & cora La plage grouille de monde. Comme si toute la ville était venue profiter de cette grande étendue de sable et d'eau un seul et même jour. Il faut dire, ce n'est guère surprenant pour un aussi joli jour d'été que les enfants soient là à courir partout entouré de leurs familles et amis. Au final, c'est ce qu'il y'a de bien avec ce type d'endroit, c'est que cela lui permet de se fondre assez facilement dans la masse et de pouvoir profiter de l'été sans être remarquée. Enfin, tout ça ne se fait pas sans l'aide merveilleuse d'une énorme paire de lunette de soleil. Un peu façon Loïs et Clark mais en mieux quand même. Cora se retrouve donc sur la promenade qui borde la plage, à profiter de se magnifique paysage de carte postale que sont toutes ces personnes qui s'amusent et passent le temps. C'est qu'elle serait presque jalouse de ne pas y être elle aussi. Presque. Elle préfère avant tout observer plutôt que de participer. Une préférence que sa psy qualifierait d'excuse pour ne pas vivre sa vie mais profiter de celle des autres par l'observation. Un charabia bien compliqué pour exprimer l'un des problème de la jeune femme. Mais passons. Après tout, c'est une si belle journée, que faire de mieux que de remplir sa tête de belles images plutôt que de remuer ses soucis ? Rien. Juste une promenade, en roller. Ce qui est une première pour la jeune femme étant donné qu'elle tient déjà difficilement sur ses deux jambes d'ordinaire, mais nécessaire pour un rôle à venir pour un film sur les sports extrêmes. Oui, parce qu'avec Cora, il s'agit toujours de joindre l'utile à l'agréable. Une manie héritée de maman qui n'employait jamais son temps à autre chose que l'utile. Par chance, la jeune femme en tient une couche moins épaisse, d'un certain point de vue. Bref. Il reste qu'elle ne se débrouille pas si mal, une chute au début, et le coup de main - de pied plutôt - est dans la poche. Son apprentissage se stoppe néanmoins dès qu'elle commence à se lasser et à vouloir observer encore. D'ailleurs, au milieu de tout ces gens, une bonne excuse apparaît pour le faire. Une tête connue. Plus ou moins, à vrai dire. Mais son bagout ne l'a jamais retenu en quoi que ce soit, et puis quel comble pour une actrice si elle était timide. Elle s'élance donc, sans chute, vers la personne en question et appelle son nom. « Hey Ezra ! » Sans grand réaction. Elle répète, jusqu'à être à hauteur avant de demander en riant. « ça va ? tu t'souviens de moi ? » Manifestement. Oui. « C'est fou de se croiser au milieu de tout ce monde. tu t'promènes un peu avec moi ? » Elle demande mais, sa façon si amicale de se mettre à ses côtés, ça ne lui laisse pas vraiment le choix. [/justify]
| © Pando |
Dernière édition par Cora Coverdale le Mer 17 Fév - 17:46, édité 2 fois |
| | | ÂGE : trente-neuf étés colorés, né une certaine fête nationale australienne de quatre-vingt cinq. STATUT : le second mariage en grandes pompes est tombé à l'eau, et certains s'amuseront surement à lui dire 'on t'avait prévenu' en apprenant le comportement qu'a eu sa future-ex-femme dans son dos. MÉTIER : il n'est plus question de travailler aux côtés et/ou pour lily, donc machine arrière: il faut de nouveau qu'il se pose pour savoir que faire de toutes ces entreprises qui portent son nom sur le bail. LOGEMENT : #159 third street (logan city), où il a mis les affaires de lily sur le pas de la porte et a fait changer les serrures de la maison. tous les enfants vivent avec lui, dans un capharnaüm sans temps-mort. POSTS : 52573 POINTS : 120 TW IN RP : deuil, fausse-couche, maladie infantile (rémission), tromperie. ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : la famille avant tout › n'était pas donneur compatible de rein, don qui avait pour but de sauver son fils › cora coverdale est la plus belle, et bee scott beauregard › a rencontré son fils (2017); coup de foudre au premier regard, comme on dit › après une longue lutte pour le petit, pour Ginny, et finalement pour lui, Noah est enfin tiré d'affaire de cette maladie qui a failli lui coûter la vie grâce à une greffe de rein (octobre 2017). CODE COULEUR : cornflowerblue. RPs EN COURS :
EZRAUDEN › My loneliness is killing me, and I must confess I still believe. When I'm not with you I lose my mind. Give me a sign. Hit me, baby, one more time. - surprise:
RPs EN ATTENTE : charlie #2 › ginny #26 RPs TERMINÉS :
- and now the chapter is closed and done:
chronologie des sujets pas du tout à jour dans ma fiche de liens.
- et là, un petit géranium:
AVATAR : sam claflin. CRÉDITS : fassylover (avatar) › nobodys (profil gif) › RENEGADE (signature icons) › stairsjumper (le petit géranium+userbars) › harley (crackships ezrauden). DC : damon williams, la lueur de l'ombre (ft. rudy pankow) › malone constantine, le prix du vice (ft. jack lowden) › ruben hartfield, le problème à trois corps (ft. harry styles) › millie butcher, les enfants du silence (ft. zendaya coleman) › maxwell eames, le silence des agneaux (ft. matt smith). PSEUDO : luleaby. INSCRIT LE : 07/04/2015 | (#)Ven 5 Fév - 18:28 | |
| L'avantage d'habiter dans une ville telle que Brisbane, c'est qu'il y fait soleil une très grosse partie de l'année. Ainsi, les excursions à la plage et autres ne sont pour les gens d'ici que des balades ordinaires. Mais parfois l'ordinaire fait du bien, il permet de se ressourcer et de ne plus penser à ses soucis. C'est ce que Ezra tentait de faire en venant ici aujourd'hui. Il n'avait jamais été particulièrement fan de la plage, mais il avait toujours adoré le soleil. Et puis surtout, il était venu aider un client à lui avec sa voiture dans le coin, alors il n'avait pas eu envie de retraverser toute la ville pour s'octroyer une balade à pieds. La légère brise venait chatouiller le visage des gens qui arpentaient le bord de mer, un nombre incalculable d'enfants courant dans tous les sens faisaient perdre leur patience à leurs parents et les amoureux pouvaient se tenir la main pour profiter de l'instant présent. Une grosse quantité de bonheur était réunie dans un seul endroit et pourtant Ezra arrivait à se sentir extrêmement seul. Depuis qu'il savait que Ginny était revenue en ville c'était comme ça de toutes façons, il avait l'impression d'errer sans but précis, tant qu'il n'aurait pas résolu les soucis qu'il avait avec elle. Alors la plupart du temps il se plongeait corps et âme dans le boulot pour ne pas trop y penser, en essayant de ne pas s'épuiser de fatigue. Ce qui était chose compliqué pour le jeune homme, car lorsqu'il voulait ne plus penser à quelque-chose, il pouvait passer des heures et des heures à travailler juste pour occuper son esprit, et la plupart du temps pour le sortir de ce cercle vicieux, Amelia ou l'un de ses frères était nécessaire. Aujourd'hui cependant, il avait réussi à venir ici par lui-même, sans être forcé par personne. Peut-être qu'il grandissait, qu'il mûrissait, qu'il arrivait mieux à affronter la vie, il ne savait trop. C'est d'ailleurs à ce moment là qu'il entendit une voix derrière lui qui semblait comme l'appeler. Ca faisait déjà quelques mètres qu'il l'entendait, mais au début ce n'était qu'un petit bruit à peine audible tellement il était perdu dans ses pensées. Là c'était une voix distincte. « Hey Ezra ! Ca va ? tu t'souviens de moi ? C'est fou de se croiser au milieu de tout ce monde. tu t'promènes un peu avec moi ? » Le visage d'une jeune femme fit son apparition alors devant lui, un peu surpris sur le moment de se retrouver sans être prévenu aussi près d'une autre personne. Alors après être resté pendant quelques instants sans bouger et sans réagir, les neurones d'Ezra se mirent en route pour tenter de se rappeler de qui il s'agissait - et la magie opéra rapidement. « Oh, Cora ! Oui oui, je me souviens, mais qu'est-ce que tu fais ici ? » Et alors qu'il avait à peine eu le temps de comprendre ce qu'il lui arrivait, la jeune femme l'entrainait de nouveau dans une balade. Ezra était légèrement déboussolé. Pour deux raisons: la première, il mettait toujours du temps à réagir lorsqu'on le prenait par surprise. De deux, il ne connaissait pas Cora tant que ça. Enfin si, mais non personnellement. Elle avait toujours fait partie des stars de l'écran lorsqu'il était petit, il se rappelait même avoir avoué plusieurs fois à sa grand-mère qu'il était amoureux de la petite fille à la télé. Alors, se promener avec une star du cinéma, ça le mettait mal à l'aise, il ne savait pas trop où se mettre - le rose lui montait légèrement aux joues aussi. Car depuis ces années où elle avait été enfant star, la jeune femme avait bien grandi et était devenue tout à fait charmante à regarder. |
| | | | (#)Sam 6 Fév - 22:53 | |
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❝come as you are❞ ezra & cora Elle déborde d’enthousiasme, ce qui, vraisemsablement, déstabilise le jeune homme qui ne devait pas s’attendre à être happer de la sorte par une jeune quasi-inconnue. Elle n’a même pas remarqué qu’il avait mis quelques secondes à la replacer. Cora a développé la mauvaise habitude de penser que tout le monde se souvient d’elle. Cela dit, c’est vérifié. Il faudrait juste qu’elle imprime qu’il peut y avoir des bonnes manières quand elle agit de la sorte. Mais, le lui expliquer alors même qu’elle déborde d’énergie, c’est peine perdue. Elle n’écoute rien. Elle, qui vient de passer l’heure à observer tout le monde autour compte bien faire partie du paysage. Ezra – ou toute autre personne connue - ne pouvait pas mieux tomber. « Oh, Cora ! Oui oui, je me souviens, mais qu'est-ce que tu fais ici ? » Elle sourit parce qu’il se souvient, puis freine son élan pour lui répondre. « Et bien, toute la ville est ici. Je suis venue profiter du soleil avant de prendre l’avion la semaine prochaine. » explique t-elle, en haussant les épaules. « Et toi ? Tu … » Elle commence à lui retourner la question, avant de comprendre que peut-être qu’elle tombe mal et qu’il avait d’autre plan que de se faire embarquer dans une promenade avec elle. Après tout, ils ne se connaissent pas. « Oh je suis désolée. Tu venais peut-être retrouver des amis ? J’aurais pas du arriver comme une cinglée. » Elle sent bête. Ecervelée surtout. Elle n’explique pas son geste. Elle s’arrête et s’assied pour commencer à déchausser ses patins qui sont tous sauf pratique présentement. « Je me sens bête, tu devrais retourner à ce que tu faisais. J’ai du te mettre en retard. » Elle ne le laisse pas vraiment en placer une. Pas étonnant qu’elle soit devenue actrice avec un tel débit de parole. Il y’a au moins dix mots la seconde. Très rapidement, elle s’est rechaussée dans des sandales plus confortables. « Vraiment, je sais pas ce que tu dois penser de moi maintenant, mais encore désolée. Ça me fait plaisir de t’avoir revu, tu me semblais vraiment sympathique la dernière fois. Peut-être qu’on se recroisera dans le coin. » débite t-elle en lui serrant la main. Elle est gênée. Ce dont elle se doute pas, c’est qu’elle se rend cent fois pire comme que lorsqu’elle déborde d’un trop d’enthousiasme et que ça peut être éprouvant à suivre. Mais finalement elle se tait.
| © Pando |
Dernière édition par Cora Coverdale le Mer 17 Fév - 17:46, édité 1 fois |
| | | ÂGE : trente-neuf étés colorés, né une certaine fête nationale australienne de quatre-vingt cinq. STATUT : le second mariage en grandes pompes est tombé à l'eau, et certains s'amuseront surement à lui dire 'on t'avait prévenu' en apprenant le comportement qu'a eu sa future-ex-femme dans son dos. MÉTIER : il n'est plus question de travailler aux côtés et/ou pour lily, donc machine arrière: il faut de nouveau qu'il se pose pour savoir que faire de toutes ces entreprises qui portent son nom sur le bail. LOGEMENT : #159 third street (logan city), où il a mis les affaires de lily sur le pas de la porte et a fait changer les serrures de la maison. tous les enfants vivent avec lui, dans un capharnaüm sans temps-mort. POSTS : 52573 POINTS : 120 TW IN RP : deuil, fausse-couche, maladie infantile (rémission), tromperie. ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : la famille avant tout › n'était pas donneur compatible de rein, don qui avait pour but de sauver son fils › cora coverdale est la plus belle, et bee scott beauregard › a rencontré son fils (2017); coup de foudre au premier regard, comme on dit › après une longue lutte pour le petit, pour Ginny, et finalement pour lui, Noah est enfin tiré d'affaire de cette maladie qui a failli lui coûter la vie grâce à une greffe de rein (octobre 2017). CODE COULEUR : cornflowerblue. RPs EN COURS :
EZRAUDEN › My loneliness is killing me, and I must confess I still believe. When I'm not with you I lose my mind. Give me a sign. Hit me, baby, one more time. - surprise:
RPs EN ATTENTE : charlie #2 › ginny #26 RPs TERMINÉS :
- and now the chapter is closed and done:
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- et là, un petit géranium:
AVATAR : sam claflin. CRÉDITS : fassylover (avatar) › nobodys (profil gif) › RENEGADE (signature icons) › stairsjumper (le petit géranium+userbars) › harley (crackships ezrauden). DC : damon williams, la lueur de l'ombre (ft. rudy pankow) › malone constantine, le prix du vice (ft. jack lowden) › ruben hartfield, le problème à trois corps (ft. harry styles) › millie butcher, les enfants du silence (ft. zendaya coleman) › maxwell eames, le silence des agneaux (ft. matt smith). PSEUDO : luleaby. INSCRIT LE : 07/04/2015 | (#)Mar 16 Fév - 22:58 | |
| La jeune femme lui sourit lorsqu’il lui avoua l’avoir reconnu - non sans un peu de mal, mais il y était parvenu, c’était le principal. « Et bien, toute la ville est ici. Je suis venue profiter du soleil avant de prendre l’avion la semaine prochaine. » « Ah ! Vacances ou boulot ? J’espère pour toi vacances, il y a surement plein d’autres autres endroits - pas forcément aussi beaux - où tu pourrais profiter du soleil. » Ezra lui fit un petit sourire amical. Il se doutait sûrement que c’était plus pour du travail que la jeune femme devrait prendre l’avion, c’était plus dans les habitudes des stars du cinéma et autres types de professions dans ce secteur. Si un jour Ezra, lui, était amené à prendre l’avion ce serait plus pour partir en vacances. Ca faisait d’ailleurs un bout de temps qu’il n’avait pas pris ces machines infernales volantes et il était bien content. Ce n’était pas du tout un moyen de transport qu’il cautionnait, passant la moitié du vol mort de trouille sur son siège. Imaginez quand il a du faire plusieurs aller-retours entre Sydney et Brisbane dans les premiers mois où il avait déménagé, ce fut littéralement un enfer pour lui. « Et toi ? Tu … » La jeune femme se stoppa en plein milieu de sa phrase et Ezra leva un sourcil, interrogateur. « Je ? » Il avait légèrement retrouvé confiance en lui au fur et à mesure qu’ils avançaient tous les deux dans cette balade improvisée. Cora avançait d’ailleurs drôlement vite avec ses rollers, et Ezra devait faire des pas plus grands qu’à l’accoutumé pour pouvoir la suivre. « Oh je suis désolée. Tu venais peut-être retrouver des amis ? J’aurais pas du arriver comme une cinglée. » La jeune femme s’arrête alors de patiner et vint s’asseoir sur les murets qui longeaient la plage. Le jeune homme fronça d’autant plus les sourcils avant de venir s’asseoir à ses côtés. « Je me sens bête, tu devrais retourner à ce que tu faisais. J’ai du te mettre en retard. Vraiment, je sais pas ce que tu dois penser de moi maintenant, mais encore désolée. Ça me fait plaisir de t’avoir revu, tu me semblais vraiment sympathique la dernière fois. Peut-être qu’on se recroisera dans le coin. » Cora parlait à une vitesse affolante et Ezra ne trouvait pas le temps d’en placer une, si bien qu’elle avait déjà eu le temps de se rechausser et de venir lui serrer la main qu’il n’avait pas eu le temps de répliquer. Ezra est désemparé car s’il avait eu le temps de répliquer, la jeune femme aurait compris rapidement qu’il n’était rien de tout cela et qu’il était même plutôt content de la voir, de pouvoir passer du temps avec une personne qui n’avait pas vu depuis un bout de temps. Et puis, même si oui elle était légèrement passée pour une folle à arriver comme ça, la spontanéité était quelque-chose qui pouvait faire du bien parfois - aujourd’hui en l’occurence, pendant l’espace d’une dizaine de minutes, Ezra avait pensé à autre chose que sa petite vie misérable de ces dernières semaines. Elle était pleine de vie et ça faisait du bien à voir, de voir que certaines personnes étaient encore là à ne pas se soucier de tout ce qui pouvait les entourer. Enfin, c’était jusqu’à temps que cette autre personne là arrive. Quand Cora disait que tout Brisbane était réuni aujourd’hui pour profiter des beaux jours ? C’était réellement tout Brisbane. Ou du moins des personnes auraient pu manquer à l’appel aujourd’hui. Et c’est quand Ezra vit le visage de cette jeune femme qu’il n’avait que trop connu à l’époque, qu’il se mit à écarquiller les yeux comme jamais - la réaction faciale de Cora ne se fit d’ailleurs pas attendre -, qu’il entendit sa voix de crécelle résonner à des mètres carrés. « Ezra ? Ezra Beauregard ? » « Et merde… » Il avait parlé d’une voix extrêmement basse, seule Cora pourrait l’avoir entendu. Devant lui se tenait une petite blonde qui, des années auparavant, lorsqu’il venait fraichement d’arriver à Brisbane, lui avait tourné autour pendant des mois et des mois, même au début quand il s’était mis en couple avec Ginny, elle n’avait pas lâché l’affaire. Lydia. Il ne l’avait pas vu depuis des années et c’était en ce moment même qu’il se rendait comptes qu’elle ne lui avait pas manqué. Elle s’approcha alors des deux jeunes gens, Ezra leva les yeux au ciel de façon pas très discrète - et franchement il s’en fichait. « Mais c’est genre in-croy-able de te retrouver ici ! Ca fait des années qu’on s’est pas vu ! Elle vint lui claquer deux bises auxquelles Ezra ne put échapper - il était sûr d’avoir reçu des marques de rouge à lèvre au passage. Déjà qu’il n’aimait pas être forcément proche physiquement des personnes qui l’entouraient, là c’était la cerise sur le gâteaux. Elle venait d’entrer de manière plutôt violente dans son intimité sans rien lui demander. Toujours avec son regard aux yeux de biche, ça elle ne l’avait pas perdu. « C’est parce-que nos chemins se sont séparés à un moment je suppose. » Autant il était tout à fait poli et aimable avec n’importe quelle personne, autant là avec elle il n’y arriverait pas, il en était sûr. « Mais c’est plutôt dommage, on avait eu un bon feeling tous les deux non, tu te souviens ? Je me rappelle de ces soirées qu’on passait à parler, quand on allait faire la fête avec les autres gens de la promo. Tu t’en rappelles aussi hein, c’était bien ? » Faisant un sourire des plus niais, elle vint alors lui prendre le bras et poser son épaule sur son bras, comme s’ils étaient soit les meilleurs amis du monde, soit comme s’ils étaient en couple. Dommage pour la jeune femme, mais ils n’étaient ni l’un, ni l’autre. Avec un petit rire gêné, Ezra fit alors la seule chose qu’il se sentait capable de faire en ce moment: il fit un regard désespéré à Cora, en espérant qu’elle ne soit pas partie par peur entre temps et qu’elle puisse lui venir en aide. Il ne voyait pas d’autres solutions. Il connaissait trop cette Lydia pour savoir qu’elle n’allait jamais le lâcher sinon, accrochée à son bras comme s’il était un trophée qu’elle était heureuse de pouvoir brandir à tout bout de champ - alors qu’absolument pas, loin de là. |
| | | | (#)Mer 17 Fév - 17:32 | |
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❝come as you are❞ ezra & cora « Ah ! Vacances ou boulot ? J’espère pour toi vacances, il y a surement plein d’autres autres endroits - pas forcément aussi beaux - où tu pourrais profiter du soleil. » Boulot. Elle aurait pu ajouter malheureusement, mais parce qu’elle aime son travail, et qu’elle aurait très bien pu choisir de ne pas quitter l’Australie, elle ne le fait pas. Et de toute façon, elle ne se donne même pas l’occasion de lui répondre. Cette charmante conversation est bien vite stoppée par Cora elle-même qui change bien vite de sujet en se rendant compte qu’elle l’avait peut-être interrompu dans quelque chose. Après tout, si tout Brisbane est là, cela lui semble logique que lui aussi ait eu une raison, comme celle de retrouver des proches. Et puis, c’est après lui avoir posée une question qu’elle se rend compte que sa façon de venir le voir était totalement culottée voir même un peu dérangeante. Elle sait qu’elle peut paraître folle parfois, mais elle évite de l’être devant des personnes qu’elle connait peu. Parce que, bien que ce soit une fort bonne surprise de tomber l’un sur l’autre, elle doit garder en tête qu’ils ne se connaissent presque pas. Alors elle s’excuse. A toute vitesse. Dès qu’elle est gênée, elle ne peut s’empêcher de débiter parole sur parole, sans même chercher à écouter la personne qu’elle a en face. Un bien vilain défaut que de ne pas être à l’écoute des autres. Quelques secondes suffisent pour passer à un sympathique début de conversation à une poignée de main d’adieu. Sauf que, la scène suivante apparaît et deviens bien irréaliste aux yeux de Cora. Elle a à peine le temps de dire au revoir, qu’une jeune femme surgit de derrière et s’immisce dans la conversation. Sur le moment, Cora pense que c’est elle qu’Ezra était censé retrouver avant qu’elle ne lui tombe dessus comme la misère sur le monde. « Et merde… » Mais le juron que le jeune homme laisse sortir lui indique que non. Il y’a un truc qui se passe là. Cora reste muette, tandis que la jeune femme parle. Finalement, elle qui se trouvait cinglée, il a pas fallu cinq minutes pour qu’elle soit détrônée. Mais Cora à ce moment, elle pense qu’elle est de trop. Qu’Ezra a retrouvé son amie et qu’elle devrait partir. Si seulement la pipelette la laissait dire au revoir. Mais y’a anguille sous roche, rien qu’à voir les réponses – on ne peut plus – froid qu’Ezra lui donnait. Et la jeune femme ne remarque rien, rien du tout. Dieu, alors elle aussi elle ressemble à ça quand elle s’emporte ? Non. Parce que Ezra, il ne la pas regardé comme il la regarde maintenant. Comme si une méduse venait lui coller au train. Cora fronça alors les sourcils, décidée à intervenir. Qu’importe si elle-même avait interrompu quelque chose, il lui semble certain qu’il ne voulait pas être avec la blonde en question. « Excusez moi, je vous dérange ? » demande t-elle d’un ton un peu agressif avant d’aller elle-même se coller à lui. D’un geste, à peu près naturel pour deux inconnus, elle lui donne la main. « Parce que, on était en plein milieu d’une discussion. » ajoute t-elle avec un sourire forcée. « Et puis, mon petit ami et moi, on est venu profité de la promenade pour être tous les deux, vous comprenez ? » Qu’elle ajoute en le tirant vers elle. Elle n’a jamais aussi bien jouée une folle à lier. « Mais, je suis sûre que si vous êtes si proche, il se fera un plaisir de vous envoyer un message dans la semaine. Donc vous pourriez peut-être nous laisser tranquille ? » Et son sourire se renforce, se faisant un petit peu plus menaçant. « Merci, au revoir. » finit t-elle par achever tandis que la jeune femme lâchait sa proie. Cora en profite pour s’avancer avant de quitter son air de garce un peu plus loin. C’est là qu’elle le lâche avant de lui dire. « Et bien, je crois que toutes les cinglées de Brisbane vont venir te voir aujourd’hui. » Elle rit, par autodérision. « Je m’excuse, j’ai été un peu brusque. Tu avais bien pas envie qu’elle reste hein ? »
| © Pando |
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| | | ÂGE : trente-neuf étés colorés, né une certaine fête nationale australienne de quatre-vingt cinq. STATUT : le second mariage en grandes pompes est tombé à l'eau, et certains s'amuseront surement à lui dire 'on t'avait prévenu' en apprenant le comportement qu'a eu sa future-ex-femme dans son dos. MÉTIER : il n'est plus question de travailler aux côtés et/ou pour lily, donc machine arrière: il faut de nouveau qu'il se pose pour savoir que faire de toutes ces entreprises qui portent son nom sur le bail. LOGEMENT : #159 third street (logan city), où il a mis les affaires de lily sur le pas de la porte et a fait changer les serrures de la maison. tous les enfants vivent avec lui, dans un capharnaüm sans temps-mort. POSTS : 52573 POINTS : 120 TW IN RP : deuil, fausse-couche, maladie infantile (rémission), tromperie. ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : la famille avant tout › n'était pas donneur compatible de rein, don qui avait pour but de sauver son fils › cora coverdale est la plus belle, et bee scott beauregard › a rencontré son fils (2017); coup de foudre au premier regard, comme on dit › après une longue lutte pour le petit, pour Ginny, et finalement pour lui, Noah est enfin tiré d'affaire de cette maladie qui a failli lui coûter la vie grâce à une greffe de rein (octobre 2017). CODE COULEUR : cornflowerblue. RPs EN COURS :
EZRAUDEN › My loneliness is killing me, and I must confess I still believe. When I'm not with you I lose my mind. Give me a sign. Hit me, baby, one more time. - surprise:
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AVATAR : sam claflin. CRÉDITS : fassylover (avatar) › nobodys (profil gif) › RENEGADE (signature icons) › stairsjumper (le petit géranium+userbars) › harley (crackships ezrauden). DC : damon williams, la lueur de l'ombre (ft. rudy pankow) › malone constantine, le prix du vice (ft. jack lowden) › ruben hartfield, le problème à trois corps (ft. harry styles) › millie butcher, les enfants du silence (ft. zendaya coleman) › maxwell eames, le silence des agneaux (ft. matt smith). PSEUDO : luleaby. INSCRIT LE : 07/04/2015 | (#)Ven 19 Fév - 0:50 | |
| Lydia s’accrochait à lui comme on s’accrochait à une bouée trouvée en mer après des heures de nage. Ezra avait l’impression qu’elle n’allait jamais le lâcher, elle n’était là que depuis quelques minutes et il n’en pouvait déjà plus. Elle ne lui avait vraiment, vraiment pas manqué. C’était fou de se rendre comptes à quel point des personnes pouvaient croiser notre vie et la façon dont on pouvait très vite les oublier derrière. Lydia en était la preuve. Durant ces années où il ne l’avait plus vu, pas une seule fois il avait pensé à elle, et pourtant elle semblait se souvenir de lui comme s’ils s’étaient vu la veille. Alors il restait là, la blondasse accrochée à son bras, à supplier Cora du regard de l’aider. Il espérait qu’elle le ferait, quitte à lui être redevable par la suite, mais il avait absolument besoin d’aide là. Et apparement, la jeune femme sembla comprendre sa détresse vu qu’elle ne mit pas tant de temps que ça à réagir à son regard - même si le temps semblait devenir de plus en plus long avec la sangsue accrochée à son bras. « Excusez moi, je vous dérange ? » Le soupire de soulagement qu’Ezra poussa à la suite de cette phrase auraient du suffit à Lydia pour déguerpir. Elle aurait du voir les signes qui ne trompent pas, qui montraient plus que largement le malaise du jeune homme. Et pourtant, et pourtant. « Excusez moi ?! » Lydia sembla enfin remarquer qu’Ezra n’était pas seule, tournant enfin son regard vers Cora. La façon dont elle avait aussi de mettre sa bouche en forme ovale montrait qu’elle semblait très très offusquée par le comportement de Cora. Mais Ezra s’en fichait et se contentait d’essayer de ne pas sourire, aux anges que Cora l’aide. Et l’idée qu’elle eut par la suite ne put que venir combler Ezra. C’était même le meilleur moyen pour tenter de faire partir la blondasse. Cora vint alors se coller à lui d’une façon similaire à celle que Lydia avait employé quand elle était arrivée, à un détail près: Cora vint prendre la main d’Ezra, qu’il accrocha à son tour comme on s’accroche à une bouée. « Parce que, on était en plein milieu d’une discussion. Et puis, mon petit ami et moi, on est venu profité de la promenade pour être tous les deux, vous comprenez ? » « Je pense en effet que ça doit être compréhensible, non ? » Il jeta un regard complice à Cora avant de détourner ce dernier vers Lydia, beaucoup moins sympathique d’un coup. Le jeune femme semblait offensée par l’intervention de Cora, si bien qu’elle lâcha doucement, - très très lentement - le bras d’Ezra. Elle se recula par la suite d’un pas, assez pour que Cora puisse attirer rapidement Ezra vers elle. Enfin, enfin ! Il était débarrassé physiquement de l’autre jeune femme, celle qu’il ne voulait absolument pas voir. Ce n’est pas pour autant qu’elle partit directement. Ca aurait été trop beau. « Petit… Ami ? Ah d’accord, je vois ! » La façon dont elle venait de prononcer ses paroles, Ezra en leva les yeux au ciel, se retenant de rire par la même occasion. Il ne savait pas si elle était vraiment idiote ou si elle le faisait exprès, mais c’était comme si d’un seul coup, elle avait décidé toute seule qu’Ezra et elle étaient devenus proches par magie et qu’il lui appartenait, comme si cette intimité entre Cora et lui la dérangeait d'un coup. La jalouse était très clairement palpable dans l’air. Pitoyable. « Mais, je suis sûre que si vous êtes si proche, il se fera un plaisir de vous envoyer un message dans la semaine. Donc vous pourriez peut-être nous laisser tranquille ? » « Pour une pe-ti-te ami-e, vouante semblez pas très bien au courant de ses proches connaissances. » Là, Ezra eut un petit tremblement de rire. Il avait vu juste, la façon dont elle désigna Cora par ce petite amie laissait clairement comprendre qu’elle ne comprenait pas, elle. Mais Ezra n’en avait plus rien à faire, elle semblait avoir commencé un cheminement dans son petit cerveau: c’était mort. « Merci, au revoir. » Ezra ne prit même pas la peine d’ajouter quelque-chose et se laissa entraîner en vitesse par Cora loin de cette folle. Bordel, ce n’était pas possible de se bercer d’illusions aussi rapidement, ce n’était pas humainement normal. S’ils avaient eu une longue histoire encore, passons, mais ils se connaissaient d’il y a des années et ne se parlaient plus depuis presque autant de temps. Ils marchèrent alors pendant quelques instants, histoire d’être assez loin de Lydia. C’est à ce moment là que Cora perdit le sourire qu’elle s’était forcée à prendre jusqu’à maintenant, lâchant par la suite la main d’Ezra. « Et bien, je crois que toutes les cinglées de Brisbane vont venir te voir aujourd’hui. » Ezra se laissa rapidement lui aussi rire. Cette situation était bien la plus improbable qu’il lui avait sûrement été donné de vivre. Quel taux de malchance il devait avoir atteint pour se voir coller aux basques de la sorte ? « Je m’excuse, j’ai été un peu brusque. Tu avais bien pas envie qu’elle reste hein ? » Le jeune homme finit de rire pendant encore quelques instants, avant de regarder Cora, un grand sourire satisfait aux lèvres. « Tu rigoles ? J’aurai a-do-ré passer le reste de la journée en sa compagnie. Elle est si… Agréable ! » Il eut de nouveau un petit rire avant de reprendre son sérieux. « Non, sérieusement, je sais pas comment te remercier de m’avoir sorti d’affaires comme ça. Très bonne comédienne, franchement, j’aurai moi-même pu être convaincu que j’étais ton petit amie à voir ta réaction. Et elle est cinglée, toi tu es juste… Une pile électrique je pense. » Et alors, d’un geste naturel et alors que ce n’était pas réellement dans ses habitudes, il vint passer un bras au dessus des épaules de la jeune femme affinée leur promenade comme si de rien n’était. Enfin presque, ils risqueraient de rire encore de ce moment pendant quelques années. On avait pas l’occasion de vivre une expérience telle tous les jours. « Je sais pas comment te remercier. Une idée ? Un café ? Sans toi, je serai sûrement mort sous ses griffes de sorcière, et de toutes façons non, je n’attendais personne. » |
| | | | (#)Mar 23 Fév - 22:28 | |
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❝come as you are❞ ezra & cora Elle y est allée au culot. Et jamais de la vie elle n’avait fait ça. Elle n’est pas d’un naturel à s’accrocher physiquement aux gens, à les toucher, ni même à faire une scène en public. Pas plus qu’elle n’est capable de s’enfuir comme ça, sans même prêter attention à ce qu’on lui dit. Elle sait se tenir et pendant les quelques mètres qu’elle parcoure à toute vitesse en tirant Ezra avec elle, elle ne peut s’empêcher de se sentir affreusement gênée et surtout prête à exploser. C’est un bouillon à l’intérieur et ce n’est qu’après coup qu’elle réalise que l’autre lui avait répondu et qu’elle l’avait ignorée. La scène était tellement drôle qu’elle n’avait pas fait attention. Avouons aussi qu’elle s’en moque. Elle voulait partir de là. Elle lui a fait fermer son clapet et c’est tout ce qui compte. C’est juste, qu’après ça, c’est comme un coup d’adrénaline avec la peur de se faire démasquer. Au fond, elle a trouvé très amusant de faire ça. Et elle espère ne pas avoir dépassé trop de borne auprès du jeune homme. Elle ne savait pas vraiment comment réagir à ce qu’elle voyait, mais son instinct lui avait dicté de monter un mensonge pour qu’ils puissent se faufiler ailleurs. Au final, une fois arrêtée, Cora ne peut s’empêcher de rire, un peu à cause de la tête d’Ezra et surtout pour la situation. Elle s’essaie malgré tout à rester redevenir calme, pour le bien de l’apparence et de la bienséance. « Tu rigoles ? J’aurai a-do-ré passer le reste de la journée en sa compagnie. Elle est si… Agréable ! » « Oui, j’ai vu ça. » dit-elle en acquiesçant, un sourire qui trahie son envie de rire encore. Au moins, elle n'avait pas fait de strip-tease sans prévenir. L’envie de se moquer est là, mais elle n’ose pas trop. Ils ne se connaissent pas assez pour qu’elle montre sa mauvaise manie de taquiner tout le monde. « Non, sérieusement, je sais pas comment te remercier de m’avoir sorti d’affaires comme ça. Très bonne comédienne, franchement, j’aurai moi-même pu être convaincu que j’étais ton petit ami à voir ta réaction. Et elle est cinglée, toi tu es juste… Une pile électrique je pense. » « Haha. Je devrais en faire mon métier alors. » répond t-elle avec une pointe d’ironie. Non, sans rire. Elle est plutôt contente que ça se termine comme ça. Son visage se radoucit un peu. « Et merci. » dit-elle « Pour la pile électrique. Je suis contente de ne pas paraître complètement folle. » Surtout contente qu’on la comprenne. Mais, elle ne va pas en faire tout une caisse. Elle a plutôt besoin de légèreté sur le moment. Elle jette un regard plus loin, pour voir si la fameuse Lydia les observe de loin mais cette dernière a l’air envolée. « Je crois qu’elle a disparu. » Enfin, il pouvait être tranquille. C’est alors qu’Ezra place son bras par-dessus les épaules de la jeune femme. Un geste rapproché qui aurait mis Cora à l’aise si quelques minutes plus tôt elle ne s’était pas faite passé pour sa copine auprès d’une totale inconnue. Le genre d’aventure qui doit en rapprocher plus d’un. « Je sais pas comment te remercier. Une idée ? Un café ? Sans toi, je serai sûrement mort sous ses griffes de sorcière, et de toutes façons non, je n’attendais personne. » Et voilà que les choses semblent rentrer dans l’ordre. Cora observe autour d’elle. Elle serait partante pour un café, mais elle a déjà l’air suffisamment en forme comme ça. Elle décide de pointer le doigt vers un camion de glace plus loin. « Eeeet bien, puisque tu le proposes, et puisque si tout se passe bien, nous ne serons pas interrompu, j’accepte les glaces comme cadeau de remerciement. Mais je ne sais pas si à cette heure, c’est bien sérieux. » Quoique, si les enfants en ont. Elle reprend sa marche. Elle n’ose pas lui demander ce qui l’a poussé à venir par ici, il avait l’air soucieux quand elle est arrivée et maintenant qu’il n’en a plus l’air, elle ne veut pas lui faire reprendre cette expression. « Et donc, dis moii, qui est cette jeune femme qui en avait après toi ? » Oui, tiens. A part le fait qu’ils s’étaient connu y’a longtemps. « J’espère qu’elle ne m’aura pas reconnu tiens’ ça pourrait être gênant. »Oui, la foutrait mal que demain ezra soit dans les tabloïd sans l’avoir demandé.
| © Pando |
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| | | ÂGE : trente-neuf étés colorés, né une certaine fête nationale australienne de quatre-vingt cinq. STATUT : le second mariage en grandes pompes est tombé à l'eau, et certains s'amuseront surement à lui dire 'on t'avait prévenu' en apprenant le comportement qu'a eu sa future-ex-femme dans son dos. MÉTIER : il n'est plus question de travailler aux côtés et/ou pour lily, donc machine arrière: il faut de nouveau qu'il se pose pour savoir que faire de toutes ces entreprises qui portent son nom sur le bail. LOGEMENT : #159 third street (logan city), où il a mis les affaires de lily sur le pas de la porte et a fait changer les serrures de la maison. tous les enfants vivent avec lui, dans un capharnaüm sans temps-mort. POSTS : 52573 POINTS : 120 TW IN RP : deuil, fausse-couche, maladie infantile (rémission), tromperie. ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : la famille avant tout › n'était pas donneur compatible de rein, don qui avait pour but de sauver son fils › cora coverdale est la plus belle, et bee scott beauregard › a rencontré son fils (2017); coup de foudre au premier regard, comme on dit › après une longue lutte pour le petit, pour Ginny, et finalement pour lui, Noah est enfin tiré d'affaire de cette maladie qui a failli lui coûter la vie grâce à une greffe de rein (octobre 2017). CODE COULEUR : cornflowerblue. RPs EN COURS :
EZRAUDEN › My loneliness is killing me, and I must confess I still believe. When I'm not with you I lose my mind. Give me a sign. Hit me, baby, one more time. - surprise:
RPs EN ATTENTE : charlie #2 › ginny #26 RPs TERMINÉS :
- and now the chapter is closed and done:
chronologie des sujets pas du tout à jour dans ma fiche de liens.
- et là, un petit géranium:
AVATAR : sam claflin. CRÉDITS : fassylover (avatar) › nobodys (profil gif) › RENEGADE (signature icons) › stairsjumper (le petit géranium+userbars) › harley (crackships ezrauden). DC : damon williams, la lueur de l'ombre (ft. rudy pankow) › malone constantine, le prix du vice (ft. jack lowden) › ruben hartfield, le problème à trois corps (ft. harry styles) › millie butcher, les enfants du silence (ft. zendaya coleman) › maxwell eames, le silence des agneaux (ft. matt smith). PSEUDO : luleaby. INSCRIT LE : 07/04/2015 | (#)Dim 28 Fév - 12:03 | |
| « Haha. Je devrais en faire mon métier alors. » Ezra laissa un rire s’échapper. L’ambiance s’était très clairement radoucie, et ce n’était pas pour déplaire à Ezra. Quelques instants plutôt, il n’aurait pas donné cher de sa peau et le voilà maintenant qu’il se permettait de taquiner la jeune femme sur ses talents de comédienne. « Et merci. Pour la pile électrique. Je suis contente de ne pas paraître complètement folle. » Il lui fit un doux sourire. « Tu es pleine de vie, on pourrait pas t’en vouloir pour ça, c’est agréable d’être avec quelqu’un qui parait comme ça. » Cora finit par se retourner en direction de l’endroit où ils se tenaient tous quelques instants plus tôt. Ezra reput s’empêcher de légèrement tourner la tête à son tour. Il était curieux de voir si Lydia les regardait toujours. « Je crois qu’elle a disparu. » Ezra soupira de contentement. « Tant mieux » Il finit par se détendre complètement, et passa même un bras au dessus des épaules de la jeune femme. Il n’était pas une personne très tactile, mais quand il se sentait bien auprès d’une personne, il s’autorisait quelques petits gestes de la sorte parfois. Et avec Cora, là, il était bien. Il avait oublié les soucis qui le tracassaient lorsqu’il était arrivé sur la plage, et en règle générale ce n’était pas une mince affaire. Ils reprirent rapidement leur balade, et Ezra proposa à Cora de la remercier de l’avoir sauvé en lui offrant un café. C’était la moindre des choses, selon lui. Car même s’ils ne se connaissaient, au final, pas, elle lui avait porté secours comme d’autres n’auraient pas fait. La jeune femme semblait réfléchir à la proposition d’Ezra, et finit par pointer du doigt quelque-chose qui semblait en situation légèrement plus en avant d’eux. Ezra suivit du regard son doigt, ne comprenant pas réellement où elle voulait en venir au début. « Eeeet bien, puisque tu le proposes, et puisque si tout se passe bien, nous ne serons pas interrompu, j’accepte les glaces comme cadeau de remerciement. Mais je ne sais pas si à cette heure, c’est bien sérieux. » Ezra sourit. « Je ne pense pas qu’il y ait réellement d’heure pour manger une glace. C’est parti alors.» Ils orientèrent naturellement leur marche vers le marchant de glaces. Ezra, en éternel enfant, ne pouvait qu’approuver cette idée. Et puis, la chaleur prêtait très bien à manger ce genre de gourmandise. Il se rappelait encore lorsque son père et sa grand mère emmenaient toute la famille pour une sortie plage, lorsqu’ils habitaient encore à Sydney. Ils finissaient souvent par les mettre à bout à force de tous demander à tour de rôle une glace pour le goûter. « Et donc, dis moii, qui est cette jeune femme qui en avait après toi ? » La question de la jeune femme le sortit de ses pensées, et il eut un petit rire. « Lydia faisait partie de la même promotion que moi, lorsque j’étais encore à l’école d’architecture. Je suis parti au bout de deux ans, j’ai pas fini mon cursus, mais je trainais toujours avec les amis que je m’étais fait là-bas. Et il se trouve qu’elle aussi. Donc malheureusement pour moi j’avais souvent à la supporter lors des soirées. Et elle était persuadée depuis le début qu’elle avait une ouverture avec moi, alors que pas du tout au final. » Le nombre de fois où son meilleur ami avait fait en sorte qu’Ezra puisse ne pas la croiser ne pouvait se compter sur les doigts d’une main. Elle avait toujours été une véritable sangsue avec qu’Ezra avait toujours été clair avec elle dès le début. « J’espère qu’elle ne m’aura pas reconnu tiens’ ça pourrait être gênant. » Ezra fronça légèrement les sourcils en regardant Cora. « Ah ? » Les deux jeunes gens finirent par arriver au niveau du marchant de glaces, et Ezra lança un regard à Cora. « Ma sauveuse du jour prendra quel parfum ? » Pour sa part, il prit une glace à la noix de coco - c’était son parfum préféré. Une fois qu’ils eurent tous les deux leurs glaces en mains, Ezra laissa un billet au vendeur et ils se dirigèrent vers un banc, non loin de là et miraculeusement libre, donnant une vue magnifique sur le soleil faisant scintiller les vagues. La plage était blindée, tous les enfants présents faisant paniquer leurs parents à vouloir absolument sauter dans les vagues. |
| | | | (#)Mar 1 Mar - 2:44 | |
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❝come as you are❞ ezra & cora « Tu es pleine de vie, on pourrait pas t’en vouloir pour ça, c’est agréable d’être avec quelqu’un qui parait comme ça. » Elle essaie de ne pas le montrer, mais elle est plutôt gênée sur le coup. C’est un sacré beau compliment qu’il lui fait là et ça parait plus qu’il ne doit l’imaginer. En toute réponse, elle sourit bien timidement sans renchérir. C’est bien comme c’est. Elle porte le regard là où elle se tenait quelques secondes plus tôt. C’est assez ahurissant les rencontres que l’on peut faire et De prendre dix secondes pour se passer la scène aide Cora à bien réaliser que non, un truc qu’on ne voit que dans les films vient vraiment de se produire. C’est vraiment drôle. Et au final, ça a permis de rendre le contact plus facile avec Ezra. Avant cela, elle n’était qu’une quasi-inconnue. Mais, elle est une quasi-inconnue qui lui a évité le pire rencard au monde. Ça fera une histoire drôle à raconter à l’avenir. Elle lui annonce que la jeune femme a disparu, ce qui ne manque pas de le réjouir. « N’empêche. C’est quelque part très flatteur qu’elle vienne te voir comme ça. Très flippant aussi. Mais les jours où ça va pas, tu peux toujours te dire que tu as laissé une empreinte dans la vie de quelqu’un. » Elle le dit un peu sur le ton de la moquerie, un peu sérieusement aussi. Elle se sent souvent obligée de relativiser les choses, d’être l’avocat du diable. Malgré son arrivée plus qu’incongrue. Y’a peut-être qu’elle un peu d’peine. Allons savoir. Mais finalement, elle finit par rire en ajoutant. « Mondieu, ça fait très gourou de secte ce que je viens de dire ? » Le truc de l’empreinte, tout ça. « Si je commence à dire, aimez vous les uns les autres, tu as le droit de me noyer. » dit-elle en regardant la mer, après pas sûre que ce soit le meilleur plan vu la foule, mais ils en reparleront en temps utiles. Cette Lydia n’occuperait pas les pensées de la jeune rousse pour tout l’après-midi et d’ailleurs, la jeune femme en est vite balayée quand la conversation aborde le sujet d’une glace. Elle devrait rendre service plus souvent si c’est cela le cadeau de remerciement qu’elle reçoit. Cora adore les glaces. Elle adore tout ce qui se mange, mais les glaces sont au moins dans le top cinq. « Je ne pense pas qu’il y ait réellement d’heure pour manger une glace. C’est parti alors.» Et comme Ezra ne la contredit pas, elle peut crier victoire bien rapidement. En direction du camion, elle ne peut s’empêcher de demander des informations sur la blonde. Curiosité mal placée. Mais, il n’avait pas de problème à y répondre. Et au final, cela permet à Cora d’apprendre à connaitre son nouveau-presque-ami-ancien-inconnu. Toutefois, elle ne peut pas s’empêcher de penser que ce serait mauvais, si la jeune femme l’avait reconnu. Il peut suffire d’un journaliste, d’un tweet, ou même d’une photo prise contre leur gré pour démarrer une affaire. « Ah ? » « Non, non. Enfin. C’est pas que ça me préoccupe, ce qu’elle peut bien dire. C’est que.. » Elle parle vite, encore. Elle a peur de l’avoir froissé. « C’est que, je ne voudrais pas que demain un journaliste tape à ta porte ou bien vienne même déterrer des trucs sur toi, juste parce qu’elle aura été raconté ce que je lui ai dit. » Elle conclut à voix basse. « Ouais, j’suis maladroite quand je m’exprime. Je ne voulais pas te froisser. » Elle a honte. Elle se dit même que c’est elle qui devrait offrir une glace pour s’excuser. Elle ne dit rien jusqu’au camion. « Ma sauveuse du jour prendra quel parfum ? » Elle se remet à sourire. Quoique toujours gênée, mais Cora fait ça pour presque rien. « Et biiien, je ne sais pas. C’est un peu comme choisir entre la jeunesse éternelle et le contrôle du monde. Ça demande réflexion. » dit-elle tout en observant le panel de choix. « Je vais prendre pistache. » Au pire, ils n’iraient pas très loin pour qu’elle revienne en prendre une autre. Une fois servi, ils s’assoient en observant la plage et en dégustant leur goûter. Elle aimerait bien ajouter quelque chose, mais c’est soudainement si calme. C’est loin d’être désagréable.
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| | | | | | | | come as you are ( cora, ezra) |
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