Bailey & Lisis = Lisley Par moment, rien ne peut se contrôler, Tout est irrésistible. Nous ne sommes que des personnes faibles.
P
lus les jours passes plus je me demande se que je suis entrain de faire de ma vie en faite Je ne sais pas du tout comme l'oriente. Je ne sais plus quel chemin prendre pour que je sois bien dans mes pompes en faite. Un jour je me lève le matin je suis très bien, je sais que je vais passer une bonne journée, je sais que je ne serais pas triste ni même à penser a mon avenir comment je vais finir. Est-ce que je vais finir vieille fille avec trente six chats, dix huit furets mais aussi des poissons ? Ou est-ce que je vais être enfin poser avec « la personne » qui m'aimera réellement, qui sera faire de ma vie un compte de fée. Je sais que vagabondé comme je suis entrain de faire je ne ferais pas ça toute ma vie, je vais devoir me poser à un moment donner, me poser la question du « qui m'aime réellement ? ». Entre Bryan qui lui aussi n'a pas envie de ce poser, qui lui aussi me fait vivre une histoire qui n'est pas super agréable. Je sais qu'on avais dit pas d'amour, mais je ne sais même pas si nous sommes amis, amant, ennemie. A chaque fois que l'on ce voit c'est électrique, j'ai l'impression que notre relation c'est dégradé quand je l'ai quitter de l'Irlande. Quand je suis partie comme une sauvage, sans rien lui dire, sans même lui expliquer mes raisons. Mais si je l'aurais fait est-ce qu'il m'aurait compris ? Je ne sais pas. Puis c'est vrai qu'à chaque fois que je le vois, j'ai l'impression qu'il me fait payer mon départ. Mais il ne me dit rien du tout je ne sais pas se qu'il pense. Je n'arrive pas a lui soustraire des informations, ni même des vérités. Après il y a Gabriel, ce peintre, lui aussi plus vieux que moi, mais, plusieurs fois nous avons des rendez-vous l'un est l'autre, il m'a souvent invité a ses galas quand il exposait, mais aussi on parler très bien. Je n'ai pas a me plaindre avec lui, il ma directement dit se qu'il se passait entre nous. Une amitié rien de plus. Mais en ce moment il me ment et m'évite lui aussi. Qu'est-ce que je leur aies tous fait. J'ai l'impression que je porte la peste depuis décembre. Depuis que j'ai appris le décède de Cassidy, l'amour de jeunesse, celle qui ma fait vivre un pure et vrai amour. C'est peut-être pour sa que je ne réussis à tomber a nouveau amoureuse. Enfin, c'est une grande penser, retomber amoureuse, je suis retomber amoureuse malgré moi il y a quelques années en arrière. Un jeune homme prénommé Liam. C'est vrai que c'était un amour d'été quand j'étais a Londres et lui aussi mais, il était tellement doux, mignon et attention qu'il ma fait fondre. Je me suis rappeler que c'était agréable de se faire aimer, qu'on me porte de l'attention...
En parlant d'attention, mon frangin essaye de retrouver le mien vue que je suis tomber dans mes pensés. « Lisis ! Et oh ! Je crois que ton verre est très propre là ! » Il secoue ses mains autant qu'il peut, il riait et je peux le comprendre. Je suis fixer au sol, percher sur mes petites bottes a talon dans mon jean slim avec mon chemisier blanc entrant de tourné mon torchon dans un verre que je dois tenir depuis plus de vingt minutes. Quand je sors de mes pensées en secouant ma tête de gauche à droite, déposant mon regard sur mon frangin « Euh, oui Adom. Qu'est-ce que... Qu'est-ce qui se passe ? » « Rien tu es juste partie depuis plus de vingt minutes, tu n'as même pas remarquer que je viens d'arriver mais surtout qu'il n'y a plus personne dans le pub. Tu as oublier de fermer. » Je vois son sourire sur son visage, il contourne le bar pour venir déposer un baiser sur ma joue « Aller, ça va bien ce passer ce soir t'en fait pas ! » Quand il me dit ça, j'ai totalement oublier la venu du rugbyman Irlandais, il était en ville et faisait la tournée des bars/pubs et c'est Bryan qui l'a rencontré un soir. Il lui a conseiller notre pub, j'avais dis a Adom que ça me tracasse quand même, par peur qu'il n'apprécie pas le pub mais surtout qu'il en soit déçu. Je soupire doucement puis lâche enfin verre pour venir finir de préparé les petits restes, les tables a remettre en place, la musique a remettre puis les premier clients arriver. Les uns après les autres, mais tous différents. Je devais accrocher un sourire a mes lèvres pour être agréable avec les autres, pour ne pas paraître installe. Car oui aujourd'hui j'ai tout qui se bouscule dans ma tête et un rien peut me faire tomber, tomber dans les pensées les plus profonde. Quand ce grand rugbyman arrive au pub, je ne m'en rends même pas compte vue que je suis préoccuper par les clients du bar. C'est au dernier moment, quand la serveur me demande un pine Irlandaise et me désigne du doigt l'homme je souris doucement puis je lui dis que j'allais lui servir. Je prends la choppe dans ma main droite et dans ma main gauche une petite assiette avec des cacahuètes. « Et voilà la pine Irlandaise. » Il lève son regard sur moi en souriant « Merci. » Je viens alors faire demi-tour quand il attire a nouveau mon attention « Mademoiselle ? » « Oui ? Vous voulez autre chose ? » « J'aimerais bien parler a la patronne, on ma parler en bien de ce pub et l'on ma dit que c'était une demoiselle qui le tien c'est possible de la voir ? » Il me sourit, sans gêne en réalité. C'est ça les Irlandais. « C'est moi. Je suis la patronne de ce pub, je vous écoute. » Je reste debout face à lui a l'écouter, il me demande si je suis déjà aller en Irlande, ma réponse est positive, bien sur il boit une gorgé et son sourire s'élargit. Mais je lève le regard sur la porte qui s'ouvre et, électrochoc. Toi, Bailey, ici. Comment ? Je reste un peut bloquer et je souris a l'homme « Je vous laisse dégusté c'est offert par la maison. » Il me remercie, je pouvais voir qu'il l'apprécie. Je retourne a pas rapide derrière mon bar. Comment tu peux être ici, comment t'as su que je suis ici surtout. Toi Bailey, l'homme qui ma appeler le soir de son mariage, toi qui trompe sa femme avec moi. Certes je n'avais jamais trop fait ça, mais vue se que tu m'avais dis par rapport a elle, que tu ne la jamais toucher, mais surtout que c'était pas un mariage d'amour. Je pouvais comprendre, enfin, je pense. Je me suis laisser aller plus d'une fois dans tes bras, comment ? Tout simplement parce que tu savais que je ne disais pas non, que je ne te dis pas non quand tu avais besoin de moi. Mais là, là ça fais des semaines entières je dirais presque des mois entiers, que je n'ai plus eu de t'es nouvelles. Je passe rapidement une main dans mes cheveux pour les remettre en place, je souffle doucement. Mon dieu, mon dieu comment je peux me sentir mal à ce moment présent, rien qu'en pensant a ton regard. Rien qu'en pensant a toi. Le regard que tu as sur ma personne, t'es mains qui se dépose sur mon corps, t'es lèvres qui embrasse les miennes, ma peau. Je... Non je dois pas penser à ça. Tu m'as quand même laisser tomber du jour au lendemain sans me donner d'explication. J'inspire doucement et relève la tête. Je partage un partie du bar avec un collègue et ami, je viens alors reprendre mon travaille pour l'aider. Mais à chaque fois que je lève le regard pour servir, encaisser une personne je peux te voir qui est totalement entrain de me chercher. Ca m'étonnerait que tu sois ici pour t'excuser. Tu as sûrement besoin de moi. Où, est-ce que tu as trouver une autre personne, c'est peut-être pour ça que tu ne me donne plus de nouvelle ? Où bien même tu viens me dire que ta femme à eu une révélation et de considère enfin comme son mari, que vous vivez le parfait amour et que tu me raye de ta vie. Non, si c'est ça tu n'aurais pas ce petit air sur ton visage, un air que tu as souvent quand tu veux t'excuser, te faire pardonner quand tu blesses la personne en vers qui tu tiens. Se regard si persistant quand tu croises le mien. Sa me stop nette dans mes gestes. Je me perds clairement dans ton regard. Combien de fois j'ai pu le faire. Mais je déglutis doucement en le baissant rapidement pour reprendre mon boulot. Je ne m'attendais a se que tu débarque ici, que veut tu ? Vient tu me voir ou... Oui tu viens me voir, vue le pas décidé que tu as en venant jusqu'au bar. J'ai envie de fuir à ce moment présent. Te fuir ou bien t'engueuler, je ne sais pas, tout en moi est bouleverser a ce moment présent.
Lisis & Bailey xxx« Dangerous Game » Depuis que nous étions arrivé à Brisbane où se trouvait le père biologique de Noah, je me sentais mal, pas à place. Ginny revenait à la source et qui lui en voudrait de retomber amoureuse de l'homme qui lui a permis de tenir ces 5 années à mes côtés. Je m'en voulait de ne pas être à la hauteur de ses attentes. Je m'en voulais qu'elle ne m'aime pas. Je ne voulais pas être le bourreaux, et encore moins l'esclavagiste. Je n'étais pas parfait, loin de là, mais je m'efforçais de faire de mon mieux. Je voulais enlever ce cadenas sur mon cœur, le laisser battre, le laisser fondre pour elle, mais être aimé en retour. Qu'importe qu'elle m'aime moins, dans un couple il y en a toujours un qui aime plus et je suis prêt à celui-là, j'étais prêt à soutenir notre couple, à le faire avancer, à lui laisser du temps de tomber amoureuse de moi... Mais rien y faisait, elle me repoussait sans cesse et j'en avait marre d'être ce lourdingue, limite pervers sur les bords. Je ne devais pas me sentir honteux de vouloir embrasser ma femme et pourtant... Je ne pouvais plus. C'était au dessus de mes forces. Alors quand je me suis rappelé que Lisis habitait ici, croyez le ou non, mais j'ai eu envie de la revoir. Pensez ce que vous voulez, je suis peut être le gars qui passe pour un connard, le gars qui trompe sans vergogne sa femme qui vit un tel calvaire mais, c'est parce que vous ne connaissez pas tut. Je ne vous le reprocherait pas, parce que comme on dit 'croyez ce qui vous aide à me mieux dormir la nuit '… Mais je tiens tout de même à dire que bien qu'au début je n'avais encore remords, à la fin je ne pensais qu'à ça... Plus je prenais plaisir dans une relation et plus je pensais à Ginny, alors plus je me sentais mal mais pourtant le désir ne partait pas.. Clairement, j'ai hésité à venir. Je savais qu'elle était propriétaire d'un pub irlandais à Brisbane, je ne lui avais pas demandé ni donné de nouvelle mais je n'avais pas pour autant cessé de suivre son fil d'actualité, ce qui faisait sûrement de moi un voyeur... Bref, c'était l'un de ces soirs où je me retrouvais tout seul dans l'appartement pendant Ginny était à l'hôpital auprès du petit. Je me sentais coupable de ne pas être là bas mais en même temps je ne m'y sentais pas à ma place. Je ne voulais pas criser le père biologique du petit, et je pense que lui non plus ne voulais pas me voir, alors je ne voulais pas forcer le destin, à tord.. Et rester là à me morfondre sur moi-même commençait à me faire perdre la tête. J'en avais plus que rat-le-bol de mettre le nez dans les dossiers qui m'étaient envoyer par mail. Je ne pouvais diriger convenablement mon entreprise mais, je me devais d'être ici, à Brisbane pour défendre mon territoire. Parce que j'avais beau tromper Ginny je n'avais pas l'intention de la laisser partir avec Ezra, j'avais tout de même un minimum de fierté. C'est donc dans un élan de colère que je balança mon dossier sur le sol et commença à faire les cent pas dans la pièce. Je retira mon tee-shirt et le laissa tomber sur le parquet de mon bureau. Je frotta légèrement le tatouage que j'avais sur le torse, en dessous de mon bras droit. J'étais assez fier de la tête de cerf valeureuse qui avait prit possession d'une partie de mon torse. Le cerf est le signe de la fertilité, de la mort jusqu'à la renaissance, un symbole de vie, de puissance et de longévité. On dit aussi qu'il est l'emblème de la royauté animale. Je trouvais que cela représentait très bien la relation que je voulais pour moi et Ginny, le voulais un enfant, je voulais que notre relation s'efface pour que l'on puisse repartir depuis le début et que l'on vive une longue et belle vie. Mais rien était... C'est pourquoi, je me retrouvais devant la devanture de ce pub irlandais à hésiter à pousser la porte. Je ne savais pas trop comment l'aborder, et encore moins si je dois m'excuser, tout ce que je savais c'était pourquoi j'étais là... Avec un peu de réflexion, je poussa la porte de l'établissement et entra avec fermeté. Je laissa mon regard se balader dans la salle pour trouver ce visage blond que je connaissais si bien. Rien à l'horizon, c'est pourquoi je m'enfonça un peu plus dans la salle et regarda vers le comptoir, peut-être se trouvait-elle derrière. Et quand mon regard croisa le sien, le bruit ambiant s'arrêta et on pouvait entendre le bruit des aiguilles de l'horloge défiler très lentement. Nous ne bougions plus. Seul nos cœurs battaient à l’unisson... Alors quand Lisis baissa les yeux, je reviens sur terre et baisse à mon tour mon regard avant de me mordre légèrement la lèvre inférieur et avancer dans sa direction. Je me posta derrière le bar, en face de la jolie blonde, mais elle ne semblait pas s'en inquiéter ou du moins s'en faire. « Je sais que tu m'as vu entrer. Je... » je m'arrêta là. Je ne savais pas ce que je faisais là. Tut comme je ne savais pas comment elle allait réagir... « Je crois que je devrais commencer par des excuses. Je sais pas très bien comment faire, tu me connais, je suis pas doué pour ça... » Clairement il fallait que j'annonce la chose.. « Tu dois te demander ce que je fais là, je me demande la même chose... Enfin, j'ai hésité parce que je ne savais pas quoi te dire.. Je ne t'ai pas donné de nouvelles depuis.. longtemps et tu dois me trouver audacieux de me pointer là, comme ça... Je viens d'arriver à Brisbane et je me suis dit qu'il fallait que je passe.. » Je ne laissa aucune allusion sexuelle dans mes paroles sinon là, c'était sur, je m'en serait prit une et la connaissant elle l'aurait fait...
Bailey & Lisis = Lisley Par moment, rien ne peut se contrôler, Tout est irrésistible. Nous ne sommes que des personnes faibles.
M
on cerveau devient comme une horloge, une horloge qu'on est entrain de dérégler sans aucune gêne, aucun problème en réalité. Comme si on venir la prendre et la secoué dans tout les sens. Quand je t'es vue entré dans ma bâtisse c'est se qui c'est passer. Quand ton regard c'est déposer dans le mien quand j'ai eu l'impression que tout autour de moi s'arrête et que le temps lui même ne voulait plus fonction. Heureusement pour moi je n'étais pas entrain de servir une personne sinon, la pauvre elle en aurait de partout. Ma main se glisse a nouveau dans ma chevelure, bleuté. Pourquoi bleuté, c'est juste que ma petite sœur a voulu me faire une couleur et au lieu d'être blonde, de base je suis châtain clair. On ne sait pas se qui c'est passer mais je pense qu'elle l'a fait exprès, elle voulait me revoir avec mes extravagance de mon adolescence. Donc voilà pourquoi j'ai les cheveux bleuté a présent, puis j'aime beaucoup donc je ne les touche pas. Enfin, bon, ça me représente très bien, tout comme le fait que je te fuis en allant vers les autres clients. Je n'ai pas envie que tu viennes à moi. Pourquoi ? Parce que je serais capable d'être méchante ou bien même de t'éviter. Mais trop tard tu es bien trop rapide et face à moi. Quand tu commences a me parler, intérieurement ta voix me fait quelques choses, m'oblige a relever le vers toi, sur ta personne a nouveau. Je te laisse commencer ta phrase mais je viens rapidement tourné des talons pour aller vers un client et le servir. Je ne me sens pas spécialement bien, j'ai l'impression que tout mon corps a envie de te fuir au plus loin mais que mon esprit a envie de savoir pourquoi, pourquoi t'es là ! C'est pour sa que mes jambes me font revenir vers toi. Mes lèvres n'ont pas envie de te sourire mais je t'écoute. Quand tu exprimes le fait de me dire des excuses mais surtout que tu te devais de venir, je viens appuies mes mains sur le bar de derrière en te regardant dans les yeux. « Des excuses tu m'en dois en effet. Mais aussi tu aurais pu t'abstenir de venir jusqu'au pub Bailey. » Le ton de ma voix n'est pas agréable, un peut méchante malgré tout. Mes yeux se sont plissés en même temps que je te parlais, tout en ayant mon nez un peu relever, comme toujours quand je suis énerver. Je recule rapidement en soupirant doucement puis je tourne vraiment des talons. En réalité je les attend depuis longtemps ses excuses mais, non ce soir je n'ai pas envie de les écouté. Plus énerver contre ta personne, déçu et blesser. Oui c'est le mot a dire, je suis blesser par toi et se que tu as fais. Ne devrait pas t'en vouloir je ne suis pas ta femme mais malgré tout nous avions vécu des expériences tellement forte que je ne peux pas les balayer comme ça, que je ne peux pas les oublier c'est pour ça que je t'en veux. Je te fuis jusqu'à l'autre bout du bar pour faire mon travailler mais maintenant je ne peux pas m'empêcher de tourne mon regard vers ta personne. Quand tu commences a bouger pour me rejoindre je soupire doucement sauf que c'est moi qui te rejoint. Je suis descendus de la petite estrade de derrière le comptoir et m'approche de toi. Je regarde tout autour de moi mais je t'empêche d'avancer plus. « T'es sur que tu veux t'excuser en venant ici. T'es sur que tu n'ai pas venu me voir tout simplement pour me provoquer hein ? » Même si tu m'aurais insinuer n'importe quel parole ou fait sexuelle je ne me serais pas gêner. J'ai toujours une voix méchante en vers toi. Quand je me suis placer devant toi j'ai fais en sorte d'avoir une certaine distance entre toi et moi. Car oui je sais quand même tenir ma distance, mais j'ai tout simplement peur que tu puisses faire quelques choses pour essayer de me calmer comme m'attirer dans t'es bras, déposer l'une de tes mains sur mon visage en me disant de me calmer. Non je ne pourrais pas le supporté. Je croise mes sous ma poitrine en te regardant. Malheureusement je pouvais sentir des regards se déposé sur ma personne te regard tellement persistant comme si on veut savoir pour quel raison il ne passe ça. Un nouveau soupire m'échappe, je dépose ma main sur ton avant-bras pour l'attraper et te tiré avec moi vers l'arrière du bar. Sa donne sur un petit couloir ou se trouve les toilettes mais personne ne nous verra. Je me retourne de nouveau face à toi en te regardant les yeux, le cœur battant. « Pourquoi tu ne m'a pas donner de nouvelle ? Pourquoi tu as été muet comme ça depuis un moment ? Pourquoi tu m'a limite foutu de coter comme ça hein ? Qu'est-ce que je t'es fait ? Qu'est-ce qui c'est passer ? Tu m'as totalement remplacer, comme tu as du souvent le faire ? Tu as trouver quelqu'un de mieux ou c'est bon ta femme a eu une révélation est elle est follement amoureuse de toi ? » Je reprends ma position, croisant mes bras sous ma poitrine. Je suis a cran maintenant, je ne voulais pas te poser autant de question comme ça, mais je ne pouvais m'en empêcher. Je suis ainsi, quand je veux dire merde je le fais. Quand je dis non, je le fais. Je ne me laisse pas faire. C'est vrai que je vais avoir du mal a se que tu me laisse approcher a nouveau tant que je ne sois pas sur de se qui se passe. Je n'ai même pas envie de t'avoir contre moi. Enfin, au fond de moi quand je t'es revue j'ai eu tout ses souvenirs qui me sont revenu, des souvenirs qui sont mal et dont je n'aurais pas du avoir. J'aurai simplement du avoir de la rencoeur en vers toi et surtout j'ai envie que tu me dises se qui se passe maintenant.
Lisis & Bailey xxx« It's a new day, a new day, you have loved yourself and no one else. It's a new day, how do we change, with a broken life what's left inside ? » C'est la première fois depuis bien longtemps que mon regard ne c'était pas posé sur ton excentrique chevelure qui avait le don de me faire rire. C'est tout simple, avec Lisis je me permettais des choses quand temps normal je ne pourrais pas faire ou que du moins je m'empêcherais de faire. J'avais une réputation à tenir tout de même, je n'étais pas président ou quoi que ce soit mais PDG d'une grosse firme revenait un peu au même, un scandale pouvait faire taire toute une entreprise et je me devais de bien me tenir. Mais j'avoue qu'en ce moment, ce n'était pas le cas. Je n'avais jamais fait de débordement dans ma jeunesse, les seuls débordements que je m'étais accordés était pour embêter mes frères et sœurs et autant dire, que ce n'était pas faire un beau fuck à la loi. Je n'avais jamais vécu ça. Je ne sais pas trop si je dois le regretter ou non... En tout cas, ça fait 5 ans que je fais une belle entorse à la loi. Et oui, le mariage est un contrat avec des règles que vraisemblablement je ne respectais pas totalement. Eh oui, les relations extraconjugales sont interdites, Ginny pourrait demander le divorce avec les preuves qui lui serait facile à fournir, disons que je ne me cache pas tellement. Peut-être que je devrais commencer à effacer mes traces derrière moi... Mais je me dis que, si elle veut divorcer, quoi qu'il se passe elle y réussira parce que bien que dans un premier temps j'essaierais de la retenir, je ne suis pas l'homme qu'elle aime, et ça ça va finir par me tuer, peut-être pas autant qu'elle mais je ne peux rester là et ignorer le fait qu'elle pense à un autre mais qu'elle se retient parce qu'elle est marié à moi, ce connard de première qui va voir ailleurs. En ce moment, je suis dans la période où j'ai tout faux de partout. Autant vous dire que contrairement à ce que je voudrais, ces fautes je les fait volontairement. Mais je ne veux pas les perdre ! Je les aime.. et c'est ça qui fait plus mal qu'autre chose parce que je sais que Noah m'aime, il me prend pour son père, ce que je suis après tout, je l'ai élevé, mais jamais Ginny ne m'aimera et encore moins me considérera comme le père de son fils. Et c'est ça qui est triste. Et comme tout un chacun, je noie mon chagrin comme je peux... C'est d'ailleurs pourquoi je me retrouve en ce moment même face à Lisis, qui décontenancé passe sa main dans ses cheveu, ce qui traduit clairement qu'elle est en panique mais contrairement à ce qu'elle me dira, est contente de me voir... Je voyais bien que tu voulais partir, je ne sais pas, servir des clients qui étaient venus pour ça, mais si il fallait, moi-même je consommerais quelque chose. Si cela pouvait attirer ton attention, te faire t'arrêter clairement devant moi, je le ferais. Mais c'est alors, que je commença ma tirade pas très bien travaillée qui était, autant le dire, bancale. Quand tu leva le regard vers moi, je voyais ta réaction, et je ne sais pas si j'aurais pas préféré que tu gardes le regard baissé, au moins je n'aurais pas vu la sorte d'aversion qui se lisait dans tes yeux. Je l'ai très vite compris quand tu as tourné les talons pour allez t'occuper d'un client. Voyant que tu ne revenais, j'allais m'approcher de nouveau, parce que je la voulait cette conversation, je voulais entendre le son de ta voix, celle qui avait su combler la nuit de noce... Je n'eus pas le temps de faire quoi que ce soit que tu était revenue vers moi et m'avais regarder avec un de ces regards qui se voulaient plus noir que mignon. En t'appuyant sur le bar, tu t'étais approché de moi et m'avait sorti avec hargne : « Des excuses tu m'en dois en effet. Mais aussi tu aurais pu t'abstenir de venir jusqu'au pub Bailey. » Ce qui me fit rire c'était ton nez qui était relevé, il l'était à chaque fois que tu étais en colère, tout comme tu tournais à chaque fois des talons tête haute pour montrer que tu n'étais pas contente. C'était mignon. Au moment ça me prouvais que j'avais de l'importance à tes yeux, sinon, tu n'aurais pas pris le temps de faire quoi ce soit, tu m'aurais juste envoyé baladé. Je restais tout de même à ma place, je n'étais pas décidé à partir comme ça. J'étais butté et je n'étais pas venu cherché ici juste une dispute et puis, entre nous, une dispute rimait avec du sexe à foison. C'est pour ça que je resta ma place initial, je savais qu'il se passerait quelque chose, et s'il fallait que je gueule à travers le bar pour qu'elle m'écoute, je le ferais. Je vous l'avais dit, avec elle je dépasse les limites, c'est bien ça qui m'attire chez elle... Alors quand je vis ton regard au loin se poser sur moi, je te défia du regard avec dans l'espoir que ça te fasse rappliquer. C'est ce qui se passa. « T'es sur que tu veux t'excuser en venant ici. T'es sur que tu n'ai pas venu me voir tout simplement pour me provoquer hein ? » Je te regarda et planta mon regard dans le sien. « Qu'est-ce que j'aurais à gagner en te provoquant ? Du sexe, c'est de ça que tu veux parler. Eh bien prend le comme tu veux. Parce que quoi qu'il se passe entre nous, ce n'est pas saint, pas juste une relation de discussion, et encore moins de gentillesse. On se dispute tout le temps, et tu crois que ce n'est pas ça justement qui fait notre force, non ? » Notre conversation devenait sûrement un peu trop gênante en public, c'est pourquoi elle m'attrapa l'avant bras et m'attira dans un endroit un peu plus en recul. Et quand tu t'arrêta et te tourna vers moi pour me faire fasse. « Pourquoi tu ne m'a pas donner de nouvelle ? Pourquoi tu as été muet comme ça depuis un moment ? Pourquoi tu m'a limite foutu de coter comme ça hein ? Qu'est-ce que je t'es fait ? Qu'est-ce qui c'est passer ? Tu m'as totalement remplacer, comme tu as du souvent le faire ? Tu as trouver quelqu'un de mieux ou c'est bon ta femme a eu une révélation est elle est follement amoureuse de toi ? » Tu croise tes bras sous ta poitrine. Je m'approcha légèrement d'elle avant de voir sa réticence et donc de reculer légèrement. « Pourquoi serais-je là si je filais le parfait amour avec ma femme.. » Je lui tourna le dos et me pris la tête entre les mains avant de me retourner vite fait vers elle. « Parce que tu crois que je n'ai pas essayé de t'oublier ! Bien sûr que je voulais vivre le parfait amour, mais tu étais là, c'est toi qui faisait que je pouvais rentrer sainement le soir et faire comme si de rien n'était. J'ai tout essayé pour ne pas être ce connard qui trompe sa femme, mais croit moi ça n'a pas été facile. J'ai fais des putains d'efforts pour rien. Être ici est un putain d'effort, parce que je redeviens celui que j'avais essayé d'oublié... Mais c'est le destin qui m'a amené ici,d ans cette ville, dans la ville où tu vis... Alors pardonne moi. » C'est alors que je m'approcha dangereusement d'elle jusqu'à n'avoir qu'une dizaine de centimètres entre nous. Je plongea mon regard dans le sien en lui soulevant légèrement le visage avec ma main gauche, avant deux mettre mes deux mains dans mon dos. « Pardonne moi.. »
Bailey & Lisis = Lisley Par moment, rien ne peut se contrôler, Tout est irrésistible. Nous ne sommes que des personnes faibles.
J
'évite au maximum le fait d'être près de toi, a chaque fois que je viens vers toi tu m'exprime des des mots qui me touche. « Non je ne parle pas de ça pour ma part. Puis tu trouves que ça fait notre force ? Tu trouves ça plaisant qu'on se prenne la gueule a chaque fois qu'on ce voit ? » Notre conversation ne regardait personne d'autre que nous deux. Je couche avec un homme marié, tout le monde n'est pas censé être au courant, surtout pas pour ça. C'est ma vie privée et non celle de mes clients, c'est pour ça qu'après t'es paroles qui parle de sexe et même de chose plus privée, je me permets de t'embarquer avec moi à l'arrière du bar, de la vue de tout le monde. Une fois a l'arrière je me permets de t'envahir de question, des questions que je me suis régulièrement poser quand je ne te voyait plus. Quand tu essaye de t'approcher de ma personne je recule directement, je n'ai pas envie d'avoir ce contact, de devoir craquer a nouveau en te sentant près de moi, en sentant t'es mains sur mon corps. Je garde alors mon regard noir dans le tien, bien sur je t'écoute. Tu as raison pour ta femme. Mais, buté comme je suis je ne montre aucun expression sur mon visage. Je te laisse te retourné puis revenir face à moi, m'oublier mais il est vrai que tout les soirs on avait nos habitudes, l'habitude de se voir pour passer un moment ensemble, l'habitude d'être simplement les deux sans même dire un mot par moment. Juste passer un moment avec toi. Juste ce moment de tendresse qu'on pouvait avoir l'un et l'autre. Juste, nous. Mais c'est vrai que j'ai eu beaucoup de mal au fait que tu as tout coupé comme ça, que tu ne m'a plus donner de nouvelle comme ça du jour au lendemain. Puis en fait tu es là, là devant moi a me demander des excuses, je baisse un instant le regard quand tu me demande ton pardon. J'ai laisser mes bras tomber le long de mon corps, je ne sais pas quoi faire, je ne sais pas si je dois le faire. Après tout, nous connaissant une engueulade rime avec pardon et le pardon rime toujours avec une complicité plus charnelle. C'est au moment ou je m'attends le moins que je sens t'es doigts se déposer sous mon menton pour relever mon regard dans le tien. J'ai l'impression que mon cœur vient de louper un battement, je pouvais sentir ton corps près du mien, je laisse t'es mains se déposer dans mon dos comme pour me rapprocher encore plus contre ton corps. Comme pour intensité a te pardonner plus rapidement. Je vient doucement dépose mes mains, à plat, contre ton torse puis je te repousse un peut en reculant d'un pas. « Non Bailey, je... Non. » mon regard est plus doux, ma voix moins agressive. Quand je t'es sentis faire, je t'es sentis près de moi je savais que je devais te pardonner, mais pour le moment je suis encore blesser et je ne m'en sens pas encore capable de ça. Tu n'avais pas totalement répondu a mes questions, du moins pas toute. J'avais besoin de savoir. Savoir si en me laissant du jour au lendemain tu m'avais remplacer ou tu l'avais déjà avant. « Pas comme ça... C'est la même chose à chaque fois. A chaque fois qu'on s'engueule tu trouves le truc pour me faire craquer et... Et te laisser faire. » Je baisse a nouveau le regard. Au fond de moi j'ai envie de me laisser aller, de te pardonner, mais à présent je ne peux pas faire ça. Tu reviens un peut comme si de rien n'était en me demander de te pardonner, en m'expliquant que c'est un effort que tu fais là, mais. Je ne sais pas j'ai un petit truc qui me bloque. Sûrement parce que je suis totalement perdu dans mes propres sentiments, pensées. Je ne sais pas quoi en penser pas maintenant. En te repoussant je peux sentir que mes mains viennent dans les tiennes, je peux sentir t'es mains les attrapé. Je relève directement le regard pour le plonger a nouveau dans le tien. Revenir contre ton corps, me serré contre toi, sentir a nouveau nos deux corps battre a l'unissons je ne sais pas si je m'en sens capable. Doit-je tout simplement arrêter de penser et profité du moment présent. Du moment que tu sois là, devant moi car je ne sais pas quand je pourrais a nouveau profité de toi. Je dois m'avouer que tu m'as manquer, je dois m'avouer que je n'ai pas envie de te laisser repartir, pas maintenant. Laissant alors mes mains venir entrelacer t'es doigts, serrer mes paumes des mains contre les tiennes. Mes lèvres se pincent doucement mon regard bleuté rester plonger dans le tien. « Pourquoi maintenant ? Pourquoi tu as mis tout ce temps pour venir, pourquoi ? Et pourtant je suis sur que tu savoir, tu savais que j'étais ici ! » Je secoue doucement ma tête de gauche à droite puis recule de nouveau de ta personne en lâchant définitivement t'es mains. Je ne me sens pas capable de me retrouver contre toi pas maintenant. J'ai besoin de savoir. Après tout, tu l'as dit toi-même, nos engueulade fait notre force alors faut bien trouver cette force quelque part aussi. Mais j'ai ce besoin d'avoir plus de réponse pour accepté le pardon que tu me demande.
Lisis & Bailey xxx« It's a new day, a new day, you have loved yourself and no one else. It's a new day, how do we change, with a broken life what's left inside ? »
Je n'étais pas là pour rien et quand elle commença à me reprocher ma disparition, je ne lui en voulait mais alors pas du tut. Alors quand je compris, peut-être de travers, qu'elle parlait de sexe, qu'elle me reprocha d'être ici seulement pour prendre mon pied. J'avoue que je n'étais pas la part hasard, après tut si je voulais me faire pardonner ce n'était pas pour rien... Lisis était quand même plus qu'un bout de jambon avec qui j'aimai prendre mon pied, parce qu'autant le dire, le prenais grave mon pied avec et ça me manquait. « Non je ne parle pas de ça pour ma part. Puis tu trouves que ça fait notre force ? Tu trouves ça plaisant qu'on se prenne la gueule a chaque fois qu'on ce voit ? » J'avais envie de lui dire oui, que j'aimais qu'on se prenne là tête, ça rendait mon désir plus ardent. Oh oui, crier me faisait dégager des endorphines et donc mon désir sexuel.. C'est pour ça qu'après chaque engueulade je lui sautais dessus et que l'on finissait à poils à chaque fois.. « Dit moi que ça ne te plaît pas cette relation et j'arrête tout... » J'espérais qu'elle ne dirais pas que ça ne lui plaisait pas, j'avais aucunement envie d'arrêter ce petit jeu et encore moins mes adultères, Lisis est de loin celle avec qui je n'avais pas envie de couper les ponts. Alors quand elle m'attrapa le bras pour me conduire jusque dans un coin beaucoup plus tranquille. Je comprenais qu'elle ne voulais pas étaler une partie de sa vie sexuelle mais je crois que j'étais prêt à tout pour qu'elle me pardonne, jusqu'à me mettre à genoux devant tout le monde pour le lui demander. Elle c'était empressée une fois derrière à m'enterrer sous un tas de questions où je resta assez évasif. Je n'avais pas envie de lui expliquer de fond large le pourquoi du comment j'étais partis sans laisser un mot, sans rappeler ni quoi que ce soit d'ailleurs. Pourtant elle prenais le temps d'écouter chaque mots que je pouvais prononcer mais je ne pouvais ignorer le regard noir qu'elle me jetait. Je pouvais en déduire que ça ne se passera pas comme d'habitude, que là j'allais devoir me mettre à ses pieds, ah moins qu'une engueulade poussée pouvait tout résoudre... Mais je m'énervais quand même, je lui tournais le dos avant de me retourner vers elle et m'approcha d'elle et relever son visage vers moi pour qu'elle me regarde dans les yeux. C'est à ce moment là où je déposa mes mains sur ton corps pour la rapprocher de moi. Oh oui, je voulais qu'elle craque. Je voulais qu'elle se dise 'eh merde' et m'embrasse, comme avant. Mais ce n'est pas ce qu'elle a fait. Elle c'était contenté de poser ses mains sur mon torse pour me repousser.« Non Bailey, je... Non. » Je sentais qu'elle commençait à lâcher prise. Elle allait me pardonner. Elle devait me pardonner. « Pas comme ça... C'est la même chose à chaque fois. A chaque fois qu'on s'engueule tu trouves le truc pour me faire craquer et... Et te laisser faire. » Eh oui, c'est justement ça que j'aime, jouer le beau parleur et t'attraper dans mes filets, tout comme elle en jouait. Je n'était pas seul dans cette relation et elle m'en avait fait voir des jolies.. Il ne fallait pas que je parle, le silence était bien mieux qu'un silence, je m'étais contenté de faire un léger sourire. Elle allait craquer toute seule, c'était obligé.. Je me contenta de poser mes mains sur les tiennes encore sur mon torse, c'est alors qu'elle releva son regard vers moi et je pus m’apercevoir qu'elle était perdue mais qu'elle ne m'était pas indifférente. Elle se rapprocha de moi, cette fois de son plein gré et enlaça ses mains dans les miennes sans ne jamais quitter mon regard. « Pourquoi maintenant ? Pourquoi tu as mis tout ce temps pour venir, pourquoi ? Et pourtant je suis sur que tu savais, tu savais que j'étais ici ! » Alors quand elle dit ses mots et me lâcha pour de nouveau s'éloigner de moi avec cette mine qui se dégrade. « Oui, je le savais que tu étais là, mais c'est évident si je ne suis pas venu te voir. Mais je suis là, maintenant je suis là et je n'ai pas l'intention partir, ok ? » J'avais employé un ton plutôt sec et autoritaire. « Mais si je perds mon temps et que tu n'as pas l'intention de me pardonner, je ferais mieux de partir. Parce que oui, j'ai une vie à côté mais, si je suis là c'est parce que je suis ouvert. Mais, Lisis, tu devais te douter que coucher avec moi inclurait peut-être que je m'éloigne, parce que oui, je suis marié et j'ai un gosse mais ça tu le savais dès le début. Mais les choses on changés, le petit est tombé malade et je me devais d'être là pour eux. Voilà, ça te convient comme réponse ? Parce que je ne peux pas être plus directe que ça. Alors c'est à toit de décider si tu veux qu'on reprenne là où on c'était arrêté ou tout stopper. Si tu veux arrêter, je partirais, et tu ne me reverras plus. Et tu aurais raison de prendre ce choix, tu dois vivre le meilleur, fonder une famille, aimer quelqu'un... » Je voulais dire comme moi mais, ce n'était pas le cas hein ? Elle ne m'aimais certainement pas mais, je voulais le meilleur pour elle, je serais capable de tous laisser tomber pour qu'enfin elle vive une vie normal.
Bailey & Lisis = Lisley Par moment, rien ne peut se contrôler, Tout est irrésistible. Nous ne sommes que des personnes faibles.
A
t'es dernière parole je n'est pas préférer ajouter quoique ce soit, tu connaissais toi-même la réponse. Je n'ai pas envie d'arrêter tout ça, je n'ai déjà pas pu t'oublier le jour ou tu m'as lâchement lâcher. Comment je pourrais dire stop a nous deux, a tout ça. Tu savais aussi très bien t'y prendre pour me mettre en colère, mais surtout pour augmenté mes pulsions, mes envies de braver les interdits que l'on a toujours fait. Tu sais t'y prendre quand tu me crie dessus d'ou se qui me donne envie de te hurlé dessus a mon tour. En réalité je voulais un peut plus de calme, je ne voulais pas que tout le monde nous vois, mais surtout sache que je couche avec un homme marié. Une fois que nous sommes a l'écart mais surtout a l’abri des regards de tout le monde je peux te poser toutes mes questions mais tu fais tout en me demandant pardon. Tu joue même avec le feu en t'approchant de ma personne, en passant t'es mains sur mon corps. Le fait d'avoir t'es mains sur mon corps, me rappelle t'en de souvenir, mais aussi calme mon ardeur, ma colère. Je sais que tu attends de faire pardonner, mais en réalité je me tue, me ronge a sang en venant te repousser doucement laissant d'abord mes mains sur ton torse, tu en profite pour attraper mes mains. Oui j'ai envie de laisse ma fierté, mes questions mais surtout mes blessures de coter pour retrouver le goûts de t'es lèvres, avoir a nouveau se baiser sucré qu'on a toujours échanger. Mais je ne peux pas m'empêcher de me séparé de toi un énième fois. J'ai malheureusement baisser mon regard, je n'aurais pas du, je n'aurais pas du fuir ton regard tout simplement parce que je doute de moi, je doute de se que je suis entrain de faire. C'est au son de ta voix que je relève mon regard sur ta personne. Mon visage n'est plus froid et agressif bien au contraire. Alors comme ça tu savais très bien que j'étais ici mais tu n'as rien fais avant maintenant. J'allais te demander pourquoi quand tu enchaîne sur ton récit que j'écoute. Le gosse je l'avais complètement oublier. J'avais oublier que ce petit garçon vie avec des parents qui ne s'aiment pas mais qui sont mariés. Quand tu me dis que couché avec toi impliquerais le fait d'un éloignement je marmonne doucement en baissant a nouveau le regard. « Je sais mais... Mais je ne m'attendais pas a se que ça soit aussi dur... » je me pince doucement les lèvres, puis tu me donnes la raison pour la quel tu t'es éloigné. Je viens déposer un regard sincère. « Je suis désolée pour le petit Bailey... » pour me faire pardonner, je viens doucement récupéré t'es mains dans les miennes. Je sais a quel point tu es attaché a ce bonhomme, je me sens con a présent. Je déglutis doucement et reviens lentement près de toi. Quand tu me parles de tout arrêter et que je dois vivre une vie meilleure, fonder une famille mais surtout aimer. Ce mot là je n'aies encore du mal a l'entendre. Je ne préfère pas répondre à ça me connaissant je pourrais regretter se que j'allais dire. L'amour, je ne sais plus se que ça veut dire. Je suis plutôt baser sur la drague que les sentiments. Pourvoir échanger des baiser langoureux et sensuel avec des personnes d'ou j'ai aucun envie de connaître a nouveau les battements de cœur qui vive a l'unissons, du moins c'est se que je pense. Devenir rouge de honte en me laissant aller dans les bras d'un homme en couple, marié ou bien même tout juste fiancé comme il sait produit pour toi. Au moment ou je suis près de ton corps, je viens doucement déposer a nouveau tes mains dans mon dos. Dépose a nouveau les miennes contre ton torse, puis je les remonte doucement vers ta nuque pour les dépose contre ta peau. Je plonge alors mon regard dans le tien. Mon visage est a présent plus qu'à quelque centimètre du tien. Je viens doucement murmure près de t'es lèvres. « Ne part pas, ne part plus s'il te plait... Je ne supporterais pas a nouveau que tu pars comme tu l'as fait Bailey. » Je suis des plus sincère dans mes paroles. A ce moment là je ne préfère pas penser aux sentiments, a se que je peux ressentir. Amour, haine, désire, colère ? Je ne sais pas moi-même et je ne préfère pas y penser. De toute façon je ne te laisserais pas partir. Ton petit jeu a très bien marcher, je viens de littéralement craquer, j'avais déjà craquer de toute façon mais je ne voulais pas l'avouer. C'est t'es paroles sur un futur qui ma donner envie de coupé court a cette conversation. De toute façon, je sais que des paroles ne te suffiront pas. Je viens délicatement déposer le bout de mes lèvres contre les tiennes en gardant mon regard plonger dans le tien jusqu'au moment ou je viens doucement faire un pression plus présente et insistante contre celle-ci. Mes paupières se clos petit à petit, la douceur de tes lèvres contre les miennes, ce baiser qui commence, un baiser de retrouvaille, un baiser qu'on ne pourra jamais oublier. La semaine ou tout les amoureux montre leur amour, ou une femme peut avoir un preuve d'amour encore plus grande de son valentin. Moi, je passe cette semaine sûrement seule, mais se que je sais c'est que je viens de te retrouver. Je viens de retrouver t'es lèvres contre les miennes, ton corps contre le mien, t'es mains sur mon corps pour me serré a toi. Les miennes qui parcours ta nuque doucement pour qu'une d'entre elle finisse dans ta chevelure. Je me suis malgré tout un peut hisser sur ma pointe des pieds pour que tu ne penches pas de trop du a ma taille. Un pardon qui raisonne tel un cri de joie. Mon cœur qui me serre dans la poitrine en battant plus contre durant ce baiser, baiser doux mais langoureux a la fois. Baiser qu'on avait t'en l'habitude de se donner, baiser qui peut montré cette force entre nous ? Cette force que tu me parles ? Personne ne pourra nous changer, une engueulade, un pardon et ce pardon bien mérité.
Bailey & Lisis = Lisley Par moment, rien ne peut se contrôler, Tout est irrésistible. Nous ne sommes que des personnes faibles.
J
e ne sais pas comment ça me viens mais j'ose, j'ose te dire se que j'ai sur le cœur, ou presque. Parce que si je devais tout t'avouer je pense que ça nous blesserait tout les deux. Je ne suis pas non plus la fille des plus parfaite, la fille qui reste avec un mec pendant des mois ou même des années. Je ne suis pas non plus le genre de fille qui aime vivre en couple ou bien même qui aime être amoureuse. Du moins, je le pense car ça fait des années maintenant que je n'ai pas vécu ça a nouveau. C'est alors que je me permets de te dire que c'était dur sans toi. Oui, même si notre relation n'était qu'une relation d'amant je m'étais, bêtement attacher à toi. Sûrement parce que, malgré cette relation j'étais présente pour t'écoute, j'étais présente quand tu n'allais pas bien j'étais présente quand tu avais besoin de parler sans que rien d'autre ne se passe. J'étais là, et je ne te disais jamais non. C'était aussi pour ça que je trouvais ça dur. Je connaissais ta situation avec ta femme, mais se que je ne sais pas -pas encore, c'est qu'en réalité ça va encore plus mal que tu ne le dis. C'est au moment ou tu me parles du petit que je comprends qu'il compte, qu'il compte énormément pour toi, dans ta vie. Je suis sincère, je l'ai toujours été en vers toi, et oui j'en suis désoler. Les enfants, je n'en suis peut-être pas fan, mais je déteste les voir souffrir comme ils peuvent souffrir par certaine maladie. C'est pour ça que je te dis ses quelques mots sincère. Je n'avais pas d'autre mot que ceux-là. Ma main dans la tienne comme pour te prouver que mes paroles ne sont pas du vent et des paroles qui ne veut que te toucher. C'est aussi à se moment là que tu me dis de partir, d'oublier et t'arrêter tout ça. Comment je le pourrait maintenant que tu es a nouveau devant moi ? Comment je pourrais tout plaquer alors que je sais que tu es en ville est que je risque de te croiser n'importe où ? Comment... Je ne sais pas. Je suis peut-être faible devant toi, comme je le suis avec Bryan. J'ai peut-être tout simplement des sentiments comme toute personne humaine. Je n'ai pas envie de penser à ça maintenant. Je préfère te dire de rester, de ne pas partir mais aussi t'avouer que je ne supporterais pas. C'est aussi en déposant t'es mains sur mon corps, les miennes contre ton torse puis dans ton cou, lentement, comme pour savoir ce moment présent. Je le savoure aussi durant se baiser, baiser que je t'offre en premier. Baiser que tu réponds sans hésitation. Baiser qui me provoque des frissons, une sensation d'être bien. Mais aussi, cette sensation je la ressens quand tu me portes et que je me retrouve complètement presser contre ton corps. C'est au moment ou tu cesses le baiser que j'ouvre a nouveau mes yeux, que je plante mon regard dans le tien. Que je t'écoute parler. J'écoute t'es excuse, sincère. C'est au moment ou tu me dire que t'es le connard qui ma fait du mal j'ai envie de te répondre un oui assez franc avec un mais derrière, le mais tu n'es pas le seul a le faire. C'est alors que je ne te coupe pas dans t'es parole et que je continue a te regarder et t'écouter. Quand je sens le sol sous mes pieds je reprends l'équilibre assez rapidement, mais je garde mon regard dans le tien. « Bailey... Personne n'a une vie parfaite et les choix que l'on fait c'est juste pour nous faire évoluer et nous montré un chemin qui peut être totalement différent a un moment donner. Des souffrances, des crises mais aussi des coups de gueule sont obligatoire pour te faire avancer et... » Je laisse un petit silence qui ne dure pas. « Et je fais partie de ce chemin. Je suis l'une des personnes que tu as fais du mal pour mieux te retourner, mieux revenir sur le droit chemin et ce qui est fait et fait. Revenons pas en arrière maintenant ! » Quand tu m'as parler de Ginny ça ne m'étonne pas tout se que tu me dis. « Non tu as juste besoin de parler et tu sais que j'étais et je suis là pour ça. Alors Ginny tu sais de quoi j'en pense, mais, au fond est-ce que ça ne te ôtera pas un point en moins ? Le poids de la femme qui... Désolée de dire ça comme ça, ne t'a jamais aimer Bailey... ? » Je soupire doucement en baissant un peut le regard a ses mots puis le relève. « Tu ne serais pas seul dans cette épreuve, sache le ! » Je te regarde a nouveau sincèrement pour te dire que je serais là malgré tout. Mais quand tu me parle de la porte de secours, je dépose mon index et mon majeur sur t'es lèvres. « Ne parle plus de ça. Laisse la où elle est. Tu es devant moi, je suis là. C'est tout se qui compte, je ne veux pas te fuir et je ne veux pas que tu me fuis a nouveau donc. Ne pense pu à celle-là. Pense juste que je suis là c'est tout. »
Bailey & Lisis = Lisley Par moment, rien ne peut se contrôler, Tout est irrésistible. Nous ne sommes que des personnes faibles.
J
e ne savais pas se qui c'était passer pendant toutes ses années dans ta vie, toutes ses années ou l'on ne c'est pas vue ni même parler. Mais j'ai tellement l'impression que tu n'es plus le même. J'ai l'impression que tout ça t'a changer. C'est sûrement vrai mais après tout, moi aussi j'ai changer en quelques mois. Moi aussi je commence a passer a autre chose depuis cette grand nouvelle qui ma totalement bouleverser. Pleuré pour la première fois dans les bras de Bryan est vraiment le fruit de mon changement. Bon, c'est clair qu'à lui je peux lui parler de se qui m'arrive mais à toi. Est-ce que je pourrais te dire que je ne suis plus la même ? Est-ce que je peux te dire que moi aussi j'ai changer, que moi aussi j'ai autre envie, avis mais aussi pensée. Des pensées qui sont tellement différente maintenant. J'ai l'impression que tout se qui j'avais construit était entrain de se casser la gueule. Que tout mes sentiments sont entrain de revenir au fur et a mesure. Non je voulais pas et j'essaye t'en bien que mal de m'en persuadé. Quand on commence a parler de toi puis de Ginny, c'est vrai que je n'avais pas vraiment envie de parler d'elle car, oui, je n'accepte pas le fait qu'elle te fasse souffrir a ce point. Donc je me permets de te dire se que je pense, mais voilà que c'était pas la bonne chose. Mais au moins ça te prouve que je n'ai pas changer. Je soupire doucement quand tu te sépare de moi. Je passe un bras sous ma poitrine puis, appuie le second sur le premier pour passer une main dans mes cheveux en t'écoutant. « Ok, ok ! C'est bon j'ai compris. J'ai compris que malgré qu'elle t'aime pas il y a le petit. J'ai compris qu'il compte énormément pour toi. » Non je ne veux pas m'engueuler a nouveau avec toi, mais c'est plus fort que moi, je ne supporte pas te voir souffrir ainsi. Puis cette histoire de mariage arranger je n'avais jamais compris. Je laisse un autre petit soupire m'échapper quand tu te retourne après mes paroles. J'ai vraiment l'impression qu'à ce moment là tu allais partir. Que tu allais me laisser a nouveau. J'ai envie de tout arrêter mais comment je pourrais survivre à sa alors que j'allais régulièrement te voir dans la ville ? Je ne peux pas. Je te laisse totalement faire, espérant que tu n'allais pas partir, pas maintenant. Pas là que je viens de te retrouver. Quand tu me refait face, nos regarde se plonge l'un d'en l'autre. T'es paroles qui m'éclate en plein visage me laisse légèrement surprise mais je devais réagir vite pour que tu ne remarque pas ça. Pourquoi tu ne te doute de rien du tout, que tu ne te doute surtout pas que j'ai changer. Je viens alors hocher la tête de haut en bas pour accepter. Mais accepter quoi en réalité ? Accepter d'être a nouveau une personne qui ne pourrait être un jouet sans rien en retour. Et bien, si ça peut recommencer à me forger pourquoi pas. Après tout, si je pense pas être la seule du moins, j'espère que tu n'as pas un carnet d'adresse remplis non plus. Quand tu enchaîne sur t'es autres paroles. « D'accord. Pas d'histoire compliquées, pas de prise de tête, rien que de l'amusement et des règles. » J'avais compris ça, mais, en réalité est-ce que je veux vraiment ça ? Je ne sais pas moi même. Quand tu t'approches de moi, je ne réfléchis pas sur le coup au règle que j'aurai a poser, après il y aurait sûrement certaines mais je ne pourrais pas t'en empêcher. T'es lèvres se déposent si rapidement sur les miennes que je ne peux dire quoi que ce soit. Nos yeux sont clos, je prolonge ce baiser que tu m'offres, puis, un frisson me traverse le corps quand je sens t'es mains sur mon corps, t'es mains dont j'avais perdu l'habitude de sentir sur ma peau. Comme cette étreinte qui se forme entre nous deux. Je reste alors coller contre ton corps laissant mes mains sur ton torse puis glisse lentement le long de ton torse, ton ventre pour venir se dépose sur tes hanches que j'agrippe doucement pour t'avoir encore plus coller a moi. Je sépare doucement mes lèvres des tiennes, je les laisse malgré tout proche des tiennes et murmure. « Pour le moment j'en ais pas spécialement de règle si... Juste une. Ne restons pas dans le couloir ou tout le monde peut nous voir. » C'était vrai que j'avais pas spécialement envie que Bryan ou bien même Jackson débarque et me fasse une crise. L'un comme l'autre. Je te fais un petit signe de la tête pour t'indiquer que mon bureau n'est pas loin. Puis après tout, les règles, ce n'est pas moi qui va les posé mais toi...
« Ok, ok ! C'est bon j'ai compris. J'ai compris que malgré qu'elle t'aime pas il y a le petit. J'ai compris qu'il compte énormément pour toi. » J’acquiesçai d'un geste de tête. Il me tenais à cœur d'être dans cette famille et de tenir ce poste de paternel, peut-être était-ce juste une couverture mais je commençais à me prendre au jeu. Je venais d'avouer à Ginny que je voulais être le mari avec lequel elle pourrait rire, parler et faire confiance, peut-être pas celui avec qui elle voudrait coucher mais je saurais être patient. Tout vient à point qui sait attendre. Autant dire que c'est dure de tomber amoureux d'une femme qui s'éloigne de plus en plus, surtout sachant qu'elle revoit l'homme pour qui son cœur bat.. Quel beau débile je fais ! S'il fallait prendre une photo de l'homme le plus crétin se serait à faire quand Ginny aurait fait ses bagages et que je me retrouverais tout seul comme un crétin dans cette ville que je ne connais pas, loin de ma famille et de mes bureaux. Je n'aurais qu'une chose à faire, partir. Encore une fois, tout abandonner. Et je crois que pour tout le monde, surtout Lisis, elle ne devrais pas assister à ça, parce que ce ne serait pas qu'un haussement de ton que j'emploierais. « Et pas seulement... Mais ne parlons plus de ça.. » Je ne voulais pas la mettre à l'écart de cette vie que j'avais, mais je ne voulais pas non plus rendre les choses plus compliquées. Je n'avais pas envie de lui avouer que je tombais amoureux de ma femme, tout comme je n'ai jamais ressenti ça pour elle.. Lisis n'était pas n'importe qui, ça c'est sûr, elle avait toujours été là quand j'en avais besoin et je l'ai lâchement mise de côté parce que je croyais que ma vie de famille s'en porterais mieux. Raté. J'avais pensé à elle tout ce temps quand je me retrouvais seul. Ca ne m'a pas empêché de noyer mon chagrin entre les cuisses d'autres femmes mais, je ne l'avais jamais oubliée.. Pourtant je venais de lui dire que je ne voulais que du sexe, surtout pour le fait que je ne voulais pas lui raconter toute les couilles de ma vie et je ne voulais pas non plus la rajouter à ma vie déjà si compliquée . Je ne pouvais pas tomber amoureux d'elle, déjà pour elle parce que je la ferais souffrir encore plus et pour moi, parce que ça rajoutera un dilemme à ma vie... Je n'ai jamais réellement été amoureux de quelqu'un, l'expérience ne s'était pas prêtée au bon moment, alors autant dire que je ne savais pas du tout comment réagir face à ses sentiments naissants qui me bouleversaient.. « D'accord. Pas d'histoire compliquée, pas de prise de tête, rien que de l'amusement et des règles. » Eh voilà. C'était le début de la fin. Mais je n'ai pas l'intention d'arrêter nos prises de têtes permanentes qui rendaient notre histoire bien plus intense. Peut-être étions nous quelque peu maso, mais j'aimais qu'elle essaie de me mettre une baffe. Mais je scella cet accord quelque peu bancale par un doux baiser, elle ne me repoussa pas, par joie. Elle avait prolongé notre baiser et laisser glisser ses mains jusqu'à mes hanches pur me rapprocher encre plus d'elle. Quand ses lèvres quittèrent les miennes, nos yeux s'ouvraient simultanément et elle me dit doucement : « Pour le moment j'en ais pas spécialement de règle si... Juste une. Ne restons pas dans le couloir ou tout le monde peut nous voir. » Je la regarda en souriant, replaçant l'une de ses longues mèches colorées derrière son oreille. Elle me fit signe d'entrée dans son bureau mais je posa mes mains sur sa bouche. « Je suis affreusement en retard ! Si j'avais eu le temps, franchement je t'aurais suivis mais là... J'suis désolé. Je t'envoie un message une fois que je suis sorti de ma réunion. On peut pas laisser ça comme ça. Je m'en veux. M'en veut pas, s'il te plaît. Mais pense à moi qui te déshabille.. » Je fis légèrement basculer ma tête d'un côté à un autre en souriant. « Ou pense à ça.. » Je posa rapidement mes deux mains sur ses cuisses et la souleva pour la plaquer contre le mur et contre moi. Je l’assailli d'un baiser fougueux à la limite de l'indécence avant de la reposer sur le sol et commencer à partir. Sur le chemin vers la sorti je me tourna vers elle et lui fit un lin d'oeil. Une fois retourné vers la porte de sortis je souriais comme jamais.
Accueil
(
