Jameson Winters ♠ You were expecting me to be a man. My father was, too.

(#)Mar 8 Mar 2016 - 14:56

Jameson "Jaimie" Winters

She believed that she could, so she did

pièce d'identité

NOM ≈ Winters PRÉNOM(S) ≈ Jameson "Jaimie", Raven ÂGE ≈ 38 ans LIEU DE NAISSANCE ≈ Dublin, Irlande STATUT SOCIAL ≈ célibataire MÉTIER ≈ Avocate et militante ORIENTATION SEXUELLE ≈ demisexuelle GROUPE ≈ 30 ans sinon rien (je ne suis pas sûre d'avoir compris si j'avais le choix comme elle est encore dans la trentaine. Sinon : 40 ans, mode d'emploi) AVATAR CHOISI ≈ Maggie Siff

les informations en vrac

♠ Être une femme, c'est jamais assez. Du moins selon sa tête de mule de père, qui voulait un fils. Lorsqu’il apprit (non sans frustration) que son seul enfant serait une fille, il ne se laissa pas abattre et la nomma Jameson. Tradition oblige !
♠ Amoureuse de la nature. Jameson adore Vancouver et Dublin, ses villes "natales" cosmopolites et vivantes ; mais leur préfère les montagnes. Ses plus beaux souvenirs ont pour décor les sentiers escarpés des rocheuses canadiennes ou encore les plaines du Connemara. Leur vie sauvage, leurs couleurs, et leurs dangers.
♠ If you do not sow in the spring, you will not reap in the autumn. Un proverbe Irlandais qui dictait la vie de ses parents. Issus d'un milieu modeste, les Winters étaient aveuglés par leurs rêves de grandeur. Son père James enviait la vie aisée de son cousin, héritier de l'empire des Winters au Canada. Il tenait un commerce dans le sud de Dublin et travaillait d’arrache-pied pour le faire décoller. Mais sans argent, les obstacles à franchir semblent insurmontables. Aussi, lorsque son cousin vint à décéder par un étrange coup du destin, sans laisser d'autre héritier que lui, James Winters s'est empressé d'embarquer sa famille au Canada pour reprendre les reines. Avec l'aide de sa femme, il a développé un véritable empire.
♠ Apprends la distance et respect, alors tu seras un homme ma fille. Gamine, Jameson n’a jamais manqué de rien, si ce n’est d’affection. Occupés à leurs affaires, ses parents ne lui ont jamais témoigné le moindre intérêt. Arrivée au Canada, elle les croisait à peine, et hérita à leur place d'éducateurs sévères et émotionnellement inaptes. Si elle demandait de la tendresse, elle recevait un chèque. Alors rapidement, elle a arrêté.
♠ Ne montre jamais aux autres qu’ils t’ont blessée. Plus qu’un crédo : une muraille de glace qui semble bien marcher. Rien ne peut l’atteindre ni se mettre en travers de sa route. Si Jameson y réfléchissait deux secondes, peut-être réaliserait-elle que cette protection féroce vient foutre en l'air chacune de ses relations.
♠ ...and justice for all. Orientée résultat, elle paraît insensible lorsqu’elle défend une idée... et excelle ainsi dans son travail. Jameson dédie sa vie à défendre ceux qui en valent la peine, selon son propre compas moral. Combattre les injustices sociales, envoyer des enfoirés en taule, c'est ça qui la fait bander. Avocate impitoyable, elle fait carrière en s’opposant aux plus grosses entreprises polluantes – parmi lesquelles celle de son paternel, qui ne lui pardonna jamais.
♠ Sois le changement que tu veux voir dans le monde. Un jour par semaine, elle fait don de ses conseils juridiques à des associations. Quant à ses convictions, elle les applique tous les jours. Qu'il s'agisse de venir en aide à des femmes déterminées pour les aider à atteindre leurs buts, ou encore refuser la consommation de tous produits issus de l'exploitation animale.
♠ C'est quand on est à l'intérieur du système qu'on peut causer le plus de dégâts. Les règles de la société, Jameson les connait par cœur... et les abhorre. Si elle s'écoutait, elle serait plutôt du genre à gueuler sur du Metallica à fond dans sa caisse, en envoyant se faire foutre tous ces bien pensants sans convictions. Mais sa retenue est exemplaire, et elle joue le jeu de la bienséance et des cocktails networking élitiste. Parce que l'expérience des hippies et autres outsiders ont maintes fois donné raison à ce gamin aux cheveux bleus dans SLC Punk!.
♠ L'amour, le vrai, c'est pas celui dont parlent les livres. Son plus fidèle compagnon n’est autre qu’une chienne de type American Wolfdog - un peu survoltée - qu’elle a recueillie dans un refuge canadien. Toute la tendresse et l’amour qu’elle nie au reste du monde, elle la lui réserve au centuple. Et puis il y a aussi Blythe, sa petite protégée... sa sœur, presque. Mais dieu sait où elle se trouve aujourd'hui.
♠ Désillusions et nuances de gris. Puisqu'on parle d'amour... sa version romancée est une zone d'ombre pour Jameson. Bien sûr, elle a eu son quota de relations. Certaines tristement éphémères et d'autres un peu plus fructueuses sur la durée. Mais aucune pour faire vibrer son cœur dans un élan de nostalgie poignant. Des romances en nuance de gris, tout comme sa sexualité, et dans une certaine limite... sa vie.

la joueuse derrière l'écran

sur le net, on m'appelle Whitewolf, mais appelez-moi comme vous voulez. J'ai 28 ans, et je viens de France et d'ailleurs. J'ai découvert 30YSY grâce à ma petite Birdie, et j'ai cédé à m'inscrire parce que ce forum est superbe et je suis déjà in love du design, du concept, des membres et de nos personnages. Malgré mon emploi du temps chargé, je pourrais tout de même être présent(e) tous les jours, je l'espère. Mon personnage est inventé. Je suis contente de vous rejoindre dans l'aventure, et j'ai vraiment hâte de vous rencontrer, de m'intégrer et de créer des RPs qui déchirent tous ensembles !

Code:: <pris>avatar pris ≈</pris> maggie siff

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(#)Mar 8 Mar 2016 - 14:57

il était une fois, mon histoire

You were expecting me to be a man. My father was, too.

L’odeur de cuir des livres à vieille reluire. C’est la première chose qui m’a marqué quand j’ai franchi la porte du cabinet. Une odeur suffocante, mais rassurante aussi, qui me rappela la bibliothèque de l’immense baraque de quand j’étais gamine. Elle m’accueillit avec un sourire chaleureux et me serra fermement la main.
- Quand j’ai vu votre nom sur la liste des patients, je m’attendais à voir un homme.
J’avais longtemps hésité avant de prendre rendez-vous, et puis j’avais fini par demander l’avis à ma chienne. Elle a jappé une fois et m’a léché la main – ce que je pris pour un oui. Et si même ma chienne pensait que j’avais besoin d’une psychiatre, alors il n’y avait plus à attendre.
- Vous n’êtes pas la première. Mon père aussi s’attendait à ce que je sois un homme.
Mon ton était neutre, cet éternel quiproquo ne m’atteignait plus. Pourtant, elle dû y desceller quelque chose, car elle m’invita à m’assoir sans ajouter un mot. Je m’exécutai, et étirai les lèvres – une tentative de sourire faiblard qui ressemblait davantage à une grimace. Elle me laissa installer mon sac à mes côtés avant de reprendre la parole.
- Dites-m’en plus.
Sa voix était douce, mais ferme, et son regard direct. Elle me plut instantanément. Je me raclai inutilement la gorge, peut-être pour gagner du temps. Parler de moi ne me semblait pas naturel, et m’intimidait. Mais cette putain de séance allait me coûter 250 dollars australiens, alors il était hors de question que je la passe assise à me tourner les pouces. Pour Freyja, m’encourageai-je. Je lui dois bien ça.
- Mon père voulait un fils. Un Jameson, digne de reprendre ses exploitations forestières et énergétiques, le business familial. Mes parents ont essayé d’avoir un gosse pendant des années, sans succès, jusqu’à ce que ma mère tombe enceinte de moi. Vu son âge, inutile de dire que j’étais sa dernière chance. Qu’à cela ne tienne, il a décidé de me donner le nom de Jameson, tradition oblige. Ma mère a bien essayé de l’en dissuader, mais c’était sans compter sa tête de mule. Elle a prié pour que je n’hérite pas de l’opiniâtreté des James Winters en plus de ce prénom.
Je marquai une pause et haussa les épaules, une moue d’excuse sur les lèvres.
- Malheureusement, ces deux gènes sont apparemment fortement liés dans notre ADN.
Il me sembla voir frémir ses lèvres, comme si elle se retenait de sourire, mais je ne pouvais en être certaine.
- Continuez, m’encouragea la docteure voyant que je me taisais. Cette attitude face à votre genre, comment ça vous a affectée ?
- Qu’est-ce qui vous fait croire que ça m’a affectée ?
La colère. Une émotion que je ne connaissais que trop bien. Ma réaction par défaut. Elle n’a rien dit, et je me suis demandé ce que je foutais dans cette pièce. Un moment, j’ai hésité à partir. Et puis j’ai réalisé que c’était ça qui m’avait amenée ici. Dans mon métier, je ne baissais jamais les bras avant de gagner un procès, une joute verbale, ou de trouver l’indice qu’il me manquait. Mais dans ma vie, la seconde où une situation me semblait inconfortable, où quelqu’un testait mon caractère, j’explosais, ou alors je me tirais sans laisser de traces. Et à mon âge, cette tactique commençait à me fatiguer. Je pris une profonde inspiration et me renfonçai dans le canapé.
- C’est pas ça qui m’a affectée, expirai-je avec un haussement d’épaules. Peut-être que mes parents m’auraient témoigné plus d’attention si j’avais été un homme, mais j’en doute. Le boulot, c’est ça qui les boostait dans la vie. Les enfants, dans le fond c’était pas leur truc. C’est peut-être pour ça qu’ils n’arrivaient pas à en faire. Parce qu’à la seconde où je suis sortie de l’utérus de ma mère, il a fallu que je vole de mes propres ailes.
Elle ne dit rien, aussi je me suis sentie obligée de préciser.
- Ce n’est pas qu’ils m’aient négligée. Je n’ai jamais manqué de rien. Mais si vous me demandez de vous parler d’eux, je pourrais vous dire qu'ils venaient d'un milieu modeste, et qu'ils en voulaient. Ma mère avait étudié les relations internationales, et rêvait de devenir diplomate, ce qu'elle a fini par faire un peu tardivement. Mon père avait la fibre commerciale. Il a monté plusieurs entreprises et a fini PDG d'une grosse exploitation Canadienne, succédant à son défunt cousin. Ils étaient de véritables stratèges dans leurs domaines, très respectés de leurs partenaires professionnels. Mais c’est à peu près tout ce que je sais, parce qu’en réalité ils sont comme des étrangers pour moi, ils l’ont toujours été. Bon sang, ils étaient même des étrangers entre eux ! Le succès, l'argent, c’est tout ce qui leur importait. Au détriment des autres. De l’environnement. Surtout mon père. S’il fallait faire tomber quelqu'un ou raser une forêt pour protéger ses intérêt et augmenter sa bottom line, il le faisait sans sourciller.
Je pris conscience que ma voix était devenue plus forte, alors je cessai de parler quelques minutes. Je pris une gorgée d’eau, et observai ma psychiatre alors qu’elle prenait des notes sur son carnet. Je me suis demandé ce qu’elle pouvait raconter sur moi. Je ne savais pas si ça m’intriguait ou m’énervait. Le contrôle.
- Continuez.
Je commençais à redouter ce mot. Je n’avais pas la moindre foutue idée de ce que j’allais lui raconter, alors j’ai dit le premier truc qui me passait par la tête.
- Bien sûr, il y a des lois contre ça, mais encore faudrait-ils qu’elles soient appliquées. Un pot de vin, une menace ou une tape sur l’épaule, et tout est arrangé… Je crois que c’est pour ça que je me suis lancée dans le droit. J’en avais marre de voir la terre être gouvernée par des types cupides, sans couilles et sans convictions.
Là, je marquai une nouvelle pause. Ce que je m’apprêtais à lui dire n’avait jamais franchi mes lèvres, mais il fallait que ça sorte.
- Vous devez savoir que j’admirais mon père. Gamine, c’était mon héros, et j’aurais tout fait pour qu’il me remarque. Il passait les trois quarts de son temps dans le grand nord, et je le prenais pour un explorateur. Et puis un jour, quand j’avais une quinzaine d’années, il m’a amenée avec lui au travail. Il était si fier de me présenter son empire ; tous ces hommes à son service, réunis dans un effort commun pour détruire la nature, transformer ses arbres en fric, ses plaines en terres cultivables et ses animaux en manteaux. Et moi, j’aurais pu le tuer sur place. C’est ce jour-là que j’ai compris que l’avidité pourrissait son cœur. J’ai arrêté de chercher son attention, et j’ai déclaré la guerre.
- La guerre ?, demanda ma psy sans relever les yeux du carnet où elle écrivait toujours.
- Ça a commencé doucement. Des joutes verbales à table. Je lui disais que tuer des animaux pour leur fourrure était dégueulasse, et il me répondait que je bouffais bien du steak. Je crois que c’est comme ça que je suis devenue végétalienne. Pour les animaux, assurément, mais aussi pour les emmerder. Et parce que je détestais qu’on pointe mes incohérences. Ce mode de vie m’a offert un nouveau regard sur la vie. Je me suis mise à y chercher du sens. Et plus je fouinais, plus je découvrais l’hypocrisie, les horreurs, l’injustice. Et ça me rendait dingue. Rapidement, j’ai pris un tournant militant. J’ai manifesté contre l’élevage et la chasse, évidemment, mais aussi pour les droits des amérindiens, celui des femmes, un vieux bâtiment que la ville voulait raser, le mariage gay, l’avortement chaque fois que des groupes religieux le contestait... Tout ce qui pouvait offrir un exutoire à la rage que je ressentais. Je me suis fait arrêter quelques fois, et j’ai toujours refusé que mes parents signent un chèque pour me tirer d’affaire. Puis j’ai eu 18 ans, et mon casier judiciaire est redevenu vierge. A ce moment-là, je me suis dit qu’il fallait que j’arrête les conneries. Je me suis faite plus discrète. Parce que c’était pas en foutant une baffe à un éleveur, en volant les armes d’un chasseur ou en mettant le feu au siège d’une entreprise polluante que j’allais changer le monde.
J’ai pris une nouvelle gorgée d’eau et je me suis redressée.
- C’est comme ça que j’ai rangé mes bannières et repris mes cahiers. Obtenir mon diplôme et être admise à Harvard n’a pas été trop difficile, vu les écoles privées pour lesquelles mes parents avaient raqué. Si vous aviez vu l’expression sur leurs visages quand ils l’ont appris. La fierté, l’orgueil. J'étais la première de la famille à entrer dans une institution aussi prestigieuse et à travers moi, leur complexe d’infériorité roturière semblait s'effacer. Alors ce fut comme si cette bonne décision effaçait toutes mes mauvaises.
Je me suis arrêtée quelques instants, parce que je venais de piger un truc.
- Pour la première fois de ma vie, j’étais digne de leur intérêt. Sur le coup, j’ai prétendu que ça m’énervait, mais dans le fond je crois que j’en redemandais. J’ai bossé comme une dingue, j’ai fini major de promo, et je me suis tirée en Australie pour un stage dans un cabinet de renommée internationale. Peut être aussi parce que je sentais la catastrophe venir. Là, j’ai rencontré Blythe. Je crois que sans elle, j’aurai probablement fini par retourner au Canada. C’était il y a une dizaine d’années déjà. Un soir, je suis rentrée chez moi pour découvrir une gamine que je connaissais pas roupiller sur mon canapé. J’ai flippé, mais au final c’était juste une gosse paumée qui ne voulait pas rentrer chez elle. Je lui ai proposé de rester la nuit, et ça s’est transformé en quelques semaines. Je lui ai offert un toit, et elle m’a donné la force de me séparer d’un connard abusif avec qui je sortais. Mais je parlerai de tout ça dans une autre séance.
Ma psy hocha la tête, et elle demanda de sa voix chaude :
- Et la catastrophe dont vous parliez, qu’est-ce que c’était ?
- La guerre, la vraie. Celle pour laquelle je m’étais préparée, mais que je n’avais plus vraiment envie de déclarer. Seulement, avec ce que je savais des magouilles de mon père, je n’aurais jamais pu me le pardonner si j’avais fermé les yeux. Ça aurait fait de moi un de ces types sans scrupules ni valeurs que je haïssais. J’ai compris que le monde n’était pas blanc et noir comme je l’avais cru, mais en nuances de gris. L’agence Canadienne pour laquelle je bossais à l’époque a traîné l’entreprise de mon père en justice, et j’ai fait partie intégrante de l’équipe chargée de sa prosécution. C’était il y a huit ans, et il ne me l’a jamais pardonné. C’est comme ça que j’ai été déshéritée.
Un petit sourire étira mes lèvres. Ce souvenir m’était douloureux. Pas pour l’argent - je n’y avais jamais accordé une grande importance de toutes manières – mais parce que je n’oublierai jamais la haine dans le regard de mon père, ni la déception dans celui de ma mère. Mais cet instant avait aussi quelque chose de cathartique, parce qu’après ce procès, je m’étais sentie libre pour la première fois. De me battre pour mes convictions, d’être une femme, de vivre. Je n’avais plus de comptes à rendre à personne.
- Après ça, j’ai voyagé quelques années. J’ai bossé dans les succursales de mon cabinet d’avocats à New York, Ottawa, Londres et Dublin. Ça m’a permis de me familiariser avec d’autres lois, et de voir du pays. J’ai rencontré des femmes fantastiques avec qui j’ai eu beaucoup de plaisir à travailler et des hommes merdiques avec qui j’ai eu la mauvaise idée de coucher. Et puis quand j’ai eu envie de me poser, j’ai hésité entre rentrer au Canada ou m’installer à Brisbane. Je crois que je me suis tout à coup sentie un peu orpheline, alors j’ai foncé vers la seule personne que je considérais encore comme ma famille : Blythe. Et me voilà.
Nous avons gardé le silence après ça. J’ai joué quelques minutes avec la fermeture éclair de mon sac à main. Quand j’ai osé relever les yeux, ma psy m’observait toujours de son regard franc, dénué de tout jugement.
- Et pourquoi vous êtes là ?
Cette question, je me l’étais posée en boucle sur le chemin jusqu’à son cabinet. J’avais suivi une impulsion. Une petite voix qui me disait que sans être malheureuse, je n’étais pas tout à fait heureuse non plus, malgré tous mes efforts pour combler ma vie avec ces combats qui me faisaient vibrer. Seulement je n’arrivais pas à mettre le doigt sur ce qui clochait.
- Parce qu’il faut que je réponde à une question : est-ce que la vie est en noir et blanc, ou en nuances de gris ?
Elle m’observa longuement, et je pu voir un sourire se former au coin de ses fines lèvres. Elle ferma son carnet, et j’en déduisis que la séance était terminée. Mais lorsqu’elle ouvrit la bouche, sa voix me fit tressaillir, et les mots qui en sortirent envoyèrent toutes mes convictions se faire foutre. Ça m’énerva, mais d’un autre côté, c’était aussi pour ça que je la payais.
- Et s’il y avait des couleurs ?

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Invité Invité

Mon dieu cette femme est le sosie de Lena Headey Jameson Winters ♠ You were expecting me to be a man. My father was, too. 2954228499

Bienvenue parmi nous & bon courage pour ta fiche Jameson Winters ♠ You were expecting me to be a man. My father was, too. 662981832

Invité Invité

Intéressant ce choix!
Welcome Jameson Winters ♠ You were expecting me to be a man. My father was, too. 1949770018

!!

(#)Mar 8 Mar 2016 - 15:03

Merci beaucoup Gabriel et Constance ! Jameson Winters ♠ You were expecting me to be a man. My father was, too. 2523491165

Jameson Winters ♠ You were expecting me to be a man. My father was, too. 873483867

J'ai vraiment hâte de vous rejoindre Jameson Winters ♠ You were expecting me to be a man. My father was, too. 674657830

Constance : Oui je trouve aussi ! J'adore Lena Headey d'ailleurs, elle a une classe d'enfer Jameson Winters ♠ You were expecting me to be a man. My father was, too. 1095553706

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(#)Mar 8 Mar 2016 - 15:05

Bienv'nue à toi et bon courage pour ta fichette ^^

you and i — i have galaxies hidden between my bones and i will love you until the stars burn out

Invité Invité

bienvenue sur 30Y I love you

pour répondre à ta question, on autorise deux orthographes différentes du moment que le prénom n'est pas bloqué par le joueur Jameson Winters ♠ You were expecting me to be a man. My father was, too. 2954228499

pour le coup, le prénom Jamie est bloqué donc tu ne peux pas l'utiliser même avec une orthographe différente Jameson Winters ♠ You were expecting me to be a man. My father was, too. 1215976863

Jameson Winters ♠ You were expecting me to be a man. My father was, too. 1215976863

attention par contre, Mia est aussi un prénom bloqué Jameson Winters ♠ You were expecting me to be a man. My father was, too. 3217047551

(#)Mar 8 Mar 2016 - 15:32

Merci beaucoup pour vos encouragement les filles I love you

Et merci à toi Callie pour cette précision ! Dans ce cas je vais faire une petite figure de style pour arranger tout ça, ce serait bête de commencer en ce mettant deux membres à dos Jameson Winters ♠ You were expecting me to be a man. My father was, too. 4222248358

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Invité Invité

Bienvenue à la maison ma jolie Jameson Winters ♠ You were expecting me to be a man. My father was, too. 674657830

Invité Invité

Purée j'ai cru aussi au départ que c'était Lena Headey Jameson Winters ♠ You were expecting me to be a man. My father was, too. 613854477

Bienvenue et bon courage pour ta fichette Jameson Winters ♠ You were expecting me to be a man. My father was, too. 873483867

(#)Mar 8 Mar 2016 - 16:42

Bienvenue parmi nous, et bon courage pour rédiger ta fiche ! Jameson Winters ♠ You were expecting me to be a man. My father was, too. 662981832

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Invité Invité

bienvenue par ici & merci de ton inscription :)

Invité Invité

Bienvenue à toi et bonne chance pour ta fiche !

C'est la première fois que je vois cet avatar sur fofo, ça fait plaisir ! **

Invité Invité

oh maggie, à chaque fois que je la vois, je ne peux m'empêcher de penser à cette fameuse fourche qui a atterri dans la tête de tara. Jameson Winters ♠ You were expecting me to be a man. My father was, too. 3258319053

Jameson Winters ♠ You were expecting me to be a man. My father was, too. 3258319053

sinon bienvenue. I love you

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Bienvenue sur le forum et bon courage pour ta fiche ! Jameson Winters ♠ You were expecting me to be a man. My father was, too. 1031338396

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