ÂGE : 24 ans (21 février 2000) SURNOM : Amy, c'est déjà assez court STATUT : Seule, mais avec la petite Abby qui est née le 24 novembre 2020 avec deux semaines d'avance ! MÉTIER : Au centre d'appel des urgences, elle envoie les secours sur place LOGEMENT : 350 Princess Street, dans le quartier de Logan City, avec sa mère et son beau père. Ou chez son père, au 797 Toowong POSTS : 22079 POINTS : 200
TW IN RP : Décès de son ex compagnon, abandon de son père quand elle était jeune, via son boulot : décès, violence, sang ... GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : bouge beaucoup ; grande bavarde ; aime beaucoup dessiner ; a une phobie des oiseaux ; déteste les ascenseurs ; allergique au citron et aux fruits de mer ; aime bien faire de la course à pied ou de la natation ; a fait du judo et a gagné quelques trophées ; a grandi avec Naruto et ses déclinaisons ; aimait beaucoup jouer à Pokemon sur les consoles, se concentre plus sur Pokemon go ; adore les super héros, Marvel ou DC ; aime bien regarder la F1 ; son truc préféré ? Emmerder son pèreRPs EN COURS : Adèle #6 ; Sawyer #2 ; Ulysse #1 ; RPs EN ATTENTE : Soon : Elliott RPs TERMINÉS : tout un tas mais plus à jour
Un samedi au soleil. Kaleb n'était pas là. Il était à l'étranger. Et Eireen ne travaillait pas. Elle n'avait eu qu'une envie en tête : le rejoindre. Seulement, elle ne pouvait pas se permettre de voyager autant. A cause de son boulot. Et que si elle s'en allait sur ce chemin, elle ne ferait que cela. Voyager. Encore et encore. Pour être avec le pilote. Oui, elle avait envie de faire ça. Oui, elle avait envie d'être avec Kaleb. Seulement, elle ne voulait pas se montrer trop envahissante. Et elle pensait que si ... Que si elle était trop souvent avec lui, il finirait par ... Et bien, par penser qu'elle le collait un peu trop. Et elle avait peur que ça capote. Peur qu'il l'envoie sur les roses. C'était un risque. Elle le savait. Elle savait qu'elle devait le laisser souffler. Elle savait qu'elle ne pouvait pas se permettre d'être tout le temps sur son dos. Enfin. Elle était passée à la villa. Pour promener Eina un moment. Et puis, elle avait repris son vélo. Et elle était partie en ville. Parce que c'était chouette de faire un peu de vélo de temps à autre. Oui. Eireen était une sportive. De toute manière, c'était soit ça, soit la marche à pied, soit le bus. Parce que question voiture ... Non, elle envisageait pas forcément d'acheter une voiture. Enfin, elle savait qu'un jour ou l'autre, elle serait obligée. Surtout quand elle faisait les grosses courses. C'était un peu pénible. Enfin, en même temps, avec le développement d'internet et le fait qu'on pouvait faire du shopping et se faire livrer ... Enfin, passons, là n'était pas vraiment le sujet. Elle avait levé la main vers la droite, pour faire signe qu'elle allait tourner dans la rue. Et c'est là. Le drame. Enfin, façon de parler. Juste un chauffard qui conduisait un peu trop vite et qui en vint à emboutir l'arrière de son vélo. Ce qui, bien évidemment, fit chuter l'avocate. "Bordel de ..." Elle était par terre. Rien de bien grave. Juste des écorchures. Aux genoux. Aux coudes. Peut-être bien aux mains aussi.
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Dernière édition par Eireen Murrough le Mer 6 Avr 2016 - 19:34, édité 1 fois
Je suis d’humeur exécrable. Ce matin, Zadig a encore eu une énième crise de nerf, qui m’a obligé à l’écouter me réprimander sur mon comportement pendant trois quart d’heures. Je n’ai donc pas pu me rendre à temps à mon rendez-vous chez le coiffeur, ce qui m’énerve assez. J’ai des cheveux qui ressemble à de la paille, alors que je dois être présente dans un salon pour le parfum. Je ne peux pas m’y rendre avec une tête pareille. Cependant, ce n’est pas mon seul problème, car je dois également passer chez le pressing récupéré ma robe pour ce soir. Tout un bordel, simplement parce que mon assistante m’a donné sa démission la veille. C’est vrai que je suis une patronne assez dure, mais de là à dire que je suis quelqu’un de cruelle, je crois qu’elle est un peu trop sensible la petite. Tant pis pour elle, elle ne sait pas ce qu’elle perd. Car j’ai beau être une femme froide en apparence, si elle avait tenu assez longtemps à mes côtés, j’aurais pu lui écrire une lettre de recommandation qui l’aurait fait rentré dans n’importe quelle entreprise. Bref, j’enfile alors un jogging gris qui ne m’avantage pas du tout et je prie pour ne rencontrer personne que je connais professionnellement. Il manquerait pu que je tombe sur un de nos associés avec une tenue aussi horrible. Paire de basket au pied, je grimpe dans ma berline, faisant grincer mes pneus avant de partir en trombe. Je ne perds pas de temps au volant à seulement regarder la route, car j’attrape mon téléphone dans mon sac pour essayer d’avoir un autre rendez-vous chez le coiffeur. Au bout de quelques minutes, tandis que je m’engage pour tourner à droite, je vois au dernier moment une cycliste qui veut également tourner à droite et même en freinant brusquement, je n’arrive pas à l’éviter. Le fracas n’est pas violent, mais assez fort pour faire tomber la personne. Jetant mon téléphone sur le côté passager, je vocifère des insultes à ne plus m’arrêter, sortant finalement de ma voiture. J’avance main dans les poches jusqu’à la personne qui se trouve encore au sol. « Est-ce que ça … » Et alors que j’allais demander à la jeune femme si elle va bien, je vois l’énorme griffe à l’avant de ma voiture. Horrifiée, je me penche pour toucher et voir s’il s’agit vraiment d’une griffe ou simplement d’une trace, mais il s’agit en effet d’une griffe. Mon flot d’insulte se répète et je me tourne alors vers la cycliste toujours à terre. « Non mais tu ne peux pas regarder où tu vas ? Tu sais combien ça va me coûter de faire réparer ça ? » J’essaye de garder mon calme, mais à vrai dire ce n’est vraiment pas ma journée et j’ai les nerfs à vif. Ça ne me ressemble pas de m’énerver aussi facilement, mais toutes les bourdes qui m’arrivent depuis ce matin ne me permette pas de me contrôler.
Amy Castle
la voix au bout du fil
ÂGE : 24 ans (21 février 2000) SURNOM : Amy, c'est déjà assez court STATUT : Seule, mais avec la petite Abby qui est née le 24 novembre 2020 avec deux semaines d'avance ! MÉTIER : Au centre d'appel des urgences, elle envoie les secours sur place LOGEMENT : 350 Princess Street, dans le quartier de Logan City, avec sa mère et son beau père. Ou chez son père, au 797 Toowong POSTS : 22079 POINTS : 200
TW IN RP : Décès de son ex compagnon, abandon de son père quand elle était jeune, via son boulot : décès, violence, sang ... GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : bouge beaucoup ; grande bavarde ; aime beaucoup dessiner ; a une phobie des oiseaux ; déteste les ascenseurs ; allergique au citron et aux fruits de mer ; aime bien faire de la course à pied ou de la natation ; a fait du judo et a gagné quelques trophées ; a grandi avec Naruto et ses déclinaisons ; aimait beaucoup jouer à Pokemon sur les consoles, se concentre plus sur Pokemon go ; adore les super héros, Marvel ou DC ; aime bien regarder la F1 ; son truc préféré ? Emmerder son pèreRPs EN COURS : Adèle #6 ; Sawyer #2 ; Ulysse #1 ; RPs EN ATTENTE : Soon : Elliott RPs TERMINÉS : tout un tas mais plus à jour
C'était bien sa veine. L'année dernière, elle se faisait renverser par une voiture folle qui conduisait à toute tringle alors qu'elle était à pieds et sur le passage pour piéton. Elle avait eu le droit à une semaine d'hospitalisation mais elle n'avait pas été gravement blessée. Heureusement. Et là ... Alors qu'elle faisait du vélo tranquillement et qu'elle ne demandait rien à personne, elle se faisait faucher ... Encore par un chauffard ou une personne siphonnée. Ou quelque chose dans le genre. C'était pas drôle. Mais alors pas drôle du tout. Une personne s'était approchée d'Eireen. Pas le conducteur du véhicule. Mais un passant. "Vous allez bien mademoiselle ?" lui demanda-t-il tandis qu'il l'aidait à se relever. Elle pencha la tête en arrière et poussa un soupir. "J'dois avouer que ... j'ai connu de meilleures journées." Même de bien meilleures. Mais au moins, elle n'avait pas un bras cassé ou une jambe. Juste ... des écorchures. C'est là que la blonde est sortie de son véhicule. Et si elle s'était montrée un semblant avenante au départ, elle piqua carrément une colère quand elle vit que son véhicule avait été touché. Eireen était sur le cul parce qu'elle était en train de se faire aboyer dessus par la blonde. "Pardon ? J'dois avoir un choc à la tête parce que j'suis entrain d'entendre que tu m'accuses alors que c'est toi qui regardais clairement pas où t'allais ?" Non mais où allait le monde ? Eireen avait prévenu qu'elle tournait. Et la blonde l'avait renversée. Ni plus. Ni moins. "Et qu'est-ce que j'devrais dire de mon vélo qui est carrément foutu ?" Ouais ... la roue était ... carrément pliée. Et elle ne pourrait plus s'en servir. Eireen n'avait plus qu'à changer de vélo. A s'en racheter un autre. Ou alors, il fallait qu'elle se bouge et qu'elle se décide à s'acheter une bagnole. Au moins, elle éviterait de se faire renverser tous les quatre matins. Parce que c'était moche. Très moche de se retrouver à terre. De voler dans les airs et de s'écraser la face contre le sol. Bon, ce n'était pas ce qui s'était passé. Mais ... Ouais, c'était ce qu'elle ressentait.
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Dernière édition par Eireen Murrough le Mer 6 Avr 2016 - 19:34, édité 1 fois
Cette journée ne pouvait pas être encore pire. Il a fallu qu’une cycliste déboule et qu’elle emboutisse ma voiture. Et ma berline qui m’a coûté la peau des fesses, se retrouve de belle griffe sur l’avant. Je m’empresse alors de m’énerver contre la jeune femme qui est déjà relevé du sol, ce qui montre qu’elle n’a pas grand-chose, contrairement à mon véhicule. Et voilà, qu’elle ose me tutoyer alors que je dois avoir le double de son âge. Pas que j’en sois fière, mais plutôt, car il y a un certain respect à avoir. Je me retiens de lui faire cette remarque, car c’est ma voiture qui m’importe pour le moment. « En effet, tu as un vrai choc à la tête, car c’est tout à fait normal que je t’accuse. Regarde les dégâts ! » Je lui fais montrer alors, en tendant les bras vers mon capot. S’il n’y avait pas eu de dégât, je serais partie aussi vite, mais je suis obligé de voir avec la jeune femme qui va payer les dégâts. Même, si je suis sûr que ce ne sera pas moi. C’est de sa faute. Mais elle semble bien plus intéressée par son vélo. Je penche la tête pour en effet voir que sa roue est pliée. « Tu rigoles ? » Je la regarde, pour voir si elle est vraiment sérieuse. Parce que, je ne comprends pas comment elle peut mettre son stupide vélo au même stade que ma voiture. « Ça va coûter maximum 150 dollars un vélo neuf. Vous savez combien ça va me couter de remplacer cette pièce ? » Je suis déjà énervée en pensant à ce que mon garagiste va me donner comme facture. Je la regarde alors, en croisant les bras. « J’espère que t’es assuré. » Je ne parle évidemment pas d’une assurance voiture, puisqu’elle était en vélo. Je parle de son assurance vie qui peut me rembourser ce dégât. « Car, c’est hors de question que je paye moi-même. » Après tout, c’est de sa faute, non ? « C’est vous après tout qui n’avait pas fait attention. » C’est bien pour ça que j’ai toujours détesté l’idée de mettre des pistes cyclables à côté des routes réservés aux voitures, ça ne peut créer que ce genre d’accident par la suite. J’entends mon téléphone sonner de nouveau à l’intérieur de la voiture, ce qui a tendance à m’irriter, mais je ne bouge pas. Il suffirait que la brunette décide de prendre la fuite, je me vois mal lui courir après même si je suis en survêtement. Faut dire, que ça fait un moment que je ne me suis pas entraîné avec Zadig et mon endurance est au plus bas. La personne qui l’a aidé à se relever est toujours à côté d’elle, je le fixe alors, d’un regard curieux. « Et vous … Vous voulez quelques choses ? C’est un spectacle ici ? » Je suis vraiment énervée envers toute les personnes qui se mêleront de cette accident, j’ai besoin de passer mes nerfs pour le coup.
Amy Castle
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ÂGE : 24 ans (21 février 2000) SURNOM : Amy, c'est déjà assez court STATUT : Seule, mais avec la petite Abby qui est née le 24 novembre 2020 avec deux semaines d'avance ! MÉTIER : Au centre d'appel des urgences, elle envoie les secours sur place LOGEMENT : 350 Princess Street, dans le quartier de Logan City, avec sa mère et son beau père. Ou chez son père, au 797 Toowong POSTS : 22079 POINTS : 200
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Elle avait un peu mal partout. Mais ça voulait dire qu'elle était en vie et c'était le principal. Oui, bon, Eireen n'aimait pas avoir mal. Personne n'aimait avoir mal à dire vrai. Et là, oui, ça craignait. Un peu. Beaucoup. Fallait que l'irlandaise relativise. Elle s'était pas cassée une jambe ou bien un bras ou le nez. Donc, ça irait. Enfin, jusqu'à ce que l'autre l'agresse verbalement en clamant haut et fort que la cycliste était responsable de tout alors qu'elle n'y était pour rien du tout. C'était la blonde qui n'avait pas fait gaffe quand elle avait décidé de tourner dans la rue sans prendre garde de vérifier si y'avait quelqu'un ou personne. Eireen n'osait même pas imaginer si c'était un pauvre piéton qui avait traversé la rue à ce moment là. Il aurait fait pigeon vole. Un peu comme ce qu'elle avait pu faire la dernière fois. "Une bagnole ... C'est qu'une bagnole ! A cette vitesse, t'aurais bien pu me tuer et t'aurais pas eu à t'inquiéter de ta bagnole !" Quoi que ... Eireen voyait bien la blonde se faire la malle après l'accident et laisser le pauvre accidenté en plein milieu de la route. Parce que ce genre de personnes, c'était des personnes à l'esprit très limité. Qui se fichait des autres et se concentrait uniquement sur leur petit monde et leur petite personne. Sauf que voilà. Si elle pensait qu'Eireen allait s’aplatir, c'était pas gagné d'avance. Mais alors pas du tout. "J'espère que toi t'es assurée. Parce que j'suis pas en tort. Et c'est pas moi qui vais raquer alors que c'est toi qui as délibérément tourné dans la rue sans prendre la peine de regarder ce qu'il y avait autour." Ah, ça, non, hors de question. Eireen avait récupéré son téléphone qui était dans son sac à dos. Une chance qu'elle soit pas tombée sur le dos parce qu'elle aurait très bien pu le récupérer en petits morceaux. "J'vais appeler la police. Et j'vais leur demander de visionner les vidéos surveillances qui sont sur ce réverbère là. Et celui-là qui est là." Parce que oui. Eireen connaissait son boulot après tout. La blonde voulait jouer les emmerdeuses ? Dommage qu'elle soit tombée sur une avocate. Un bébé avocat, peut-être bien. Mais une avocate quand même. Qui s'y connaissait. Et il y avait tout un tas de caméras en ville. Pour contrôler la criminalité. Et les petites choses de ce genre.
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Dernière édition par Eireen Murrough le Mer 6 Avr 2016 - 19:33, édité 1 fois
Pourquoi il faut toujours que je tombe sur des gens qui me font sortir de mes gongs. Généralement, j’arrive à garder mon sang-froid, mais faut dire que j’ai les nerfs à vif pour le coup. Le fait qu’elle dise que ce n’est qu’une bagnole m’énerve encore plus. « Tu dois être complètement pour penser qu’il ne s’agit que d’une voiture … Elle doit valoir cinq fois ton salaire cette simple bagnole comme tu me dis. » Et puis, elle exagère la situation en disant que j’aurais pu la tuer. « Tu vas éviter de nous faire de la comédie, on n’est pas dans un mélodrame, tu vas très bien alors oui, je m’inquiète pour ma voiture qui elle est endommagé. » Je regarde de nouveau mon parechoc et ça me mets encore plus en rogne. Remettant une mèche derrière mon oreille, elle me dit que c’est moi qui va payer pour les dégâts, car d’après elle, je suis en tort. « Je suis en tort ? » répètes-je, choquée par ses propos. Je pense qu’elle a vraiment dû se claquer la tête pour m’accuser d’être en infraction. « Les vélos n’ont pas la priorité et j’ai regardé avant de tourner. C’est toi qui a déboulé de je-ne-sais-où. » Je commence à légèrement perdre patience, mais je retrouve mon calme lorsqu’elle me menace d’appeler la police et qu’elle dit qu’elle va leur demander de regarder les vidéos de surveillance. Je croise les bras, petit sourire satisfait aux lèvres. Essayer de me faire du chantage à moi, ça revient à vouloir voler un voleur. Je suis la manipulation incarnée. « Très bien, fais donc ça. Pour ma part, je vais contacter le maire, c’est un très bon ami à moi. » Ce qui n’est pas faux, car il est souvent là au gala que j’organise pour l’entreprise et on peut dire qu’on a une très bonne relation professionnelle. Il n’hésite donc pas à m’aider. « Donc, jeune fille, je te conseille de simplement rentrer chez toi, si tu ne veux pas que ta vie à Brisbane devienne de plus en plus compliqué. » En effet, je ne la connais pas, mais il me suffirait d’un simple nom pour que je fasse de sa vie un véritable enfer. Je n’ai cependant pas le temps de jouer à ce jeu très longtemps, j’ai encore beaucoup de chose à faire et la rue commence à être bondée. Je n’ai aucune envie d’être un spectacle pour tous ces gens, il pourrait s’y trouver un de nos associés, ça ferait une très mauvaise publicité pour l’entreprise. J’essaye donc de me calmer et ne pas passer pour une hystérique.
Amy Castle
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Cette blonde ? Elle avait un grain. Un gros grain. Après, Eireen pouvait comprendre que si ça avait été sa bagnole qu'elle chérissait tant, oui. Elle aurait peut-être pété un plomb comme elle. Seulement, dans son malheur, la blonde n'avait pas été blessée. Et sa voiture avait juste une petite égratignure. Ce qui n'était pas le cas d'Eireen. Son vélo, il était plié de chez plié. Et elle ne pourrait pas le réutiliser. Elle avait plus qu'à le balancer à la benne. Et elle, elle était blessée. Bon, des bleus. Des écorchures. Elle avait quand même la chance de ne pas s'être cassé quelque chose. Mais quand même ! Etre à vélo ou bien à pied, ça craignait. Ca craignait à max. Elle avait vraiment pas de chance, c'était peu dire. "Et c'est une raison pour aboyer sur les gens et surtout les pauvres victimes que tu peux renverser ?" Que sa bagnole coûte un bras, c'était une chose. Mais qu'elle se prenne pour la déesse de la route, c'en était une autre. Elle se croyait tout permis ? Elle croyait que la route lui appartenait ? Ou bien un truc dans le genre ? La pauvre chérie. Elle s'inquiétait pour son véhicule. Et pas pour le fait que ça aurait pu être très grave. Comme quoi, elle devait être vachement égocentrique. Eireen renverserait quelqu'un, elle chercherait à savoir si ça allait. Et l'embarquerait peut-être même à l'hôpital. Mais non, cette femme préférait s'occuper de son petit nombril. "Non, je n'ai pas déboulé je ne sais où. J'étais sur la roule. Et j'ai mis ma main pour prévenir que je tournais. Après, si t'as pas regardé, j'y peux pas grand chose. C'est pas moi qui me balade dans une grosse bagnole et qui conduis sans regarder où j'vais." Oh que non. Et Eireen allait se faire un ravir de lui faire fermer son clapet. Les cyclistes n'ont pas de droit ? "Au passage. Nul n'est censé ignorer la loi. Les cyclistes font parties des victimes dites privilégiées qui bénéficient de l'article 3 de la loi Badinter du 5 juillet 1985. Et selon cet article de loi, et l'article 5, quand un cycliste subit un dommage corporel, c'est la voiture qui est systématiquement responsable. En cas de dommage uniquement matériel, le conducteur est à nouveau responsable." Dans tes dents ma grande. Dans tes dents. "Donc, en tant qu'avocate, ça sera avec plaisir d'entamer des poursuites. Preuve à l'appui, bien évidemment, puisque nous avons ces charmantes caméras. Et je pense que le maire ne pourra pas y faire grand chose." Et oui ma grande. Faut pas emmerder une avocate. "Alors oui, j'veux bien rentrer chez moi. Avec mon pauvre vélo en miettes." Eireen avait récupéré, dans son sac, des papiers. Parce qu'après tout, hein, fallait faire quand même un constat. Elle se foutait bien que son vélo soit foutu. C'était pour le principe. Son assurance allait l'indemniser ? Ca allait lui faire une belle jambe. La blonde aurait été sympa, elle n'aurait pas été aussi égocentrique, elle lui aurait dit que ça allait bien et elle serait repartie de son côté, sans chercher plus loin. "Comme tu es particulièrement charmante, j'me vois dans l'obligation qu'on fasse un constat et qu'on transmette tout ça à nos assurances." Au passage, elle avait relevé la plaque. Au cas où. Même si elle se doutait qu'elle n'en aurait pas forcément besoin. Elle était pas en train de se faire une amie. Pas grave. Elle sentit un truc dégouliner de son nez. "Et merde." Le choc, sans doute. Le mec qui l'avait aidé à se redresser, et qui était encore là, lui fila un mouchoir. "Merci." Et elle se tourna alors vers la blonde. "Bon alors ... on en était où."
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Qu’est ce qui m’a collé une idiote pareille ? Elle n’est pas morte à ce que je sache, alors pourquoi elle en fait tout un foin. Un peu de désinfectant et éventuellement, un nouveau vélo et elle pourra repartir faire la campagnarde dans d’autres rues. Alors que pour ma voiture, je vais devoir la déposer chez le garagiste, qui va vouloir me la garder pratiquement une semaine, car le nombre de voiture accidenté dans cette ville est assez impressionnant. Elle commence alors à se lancer dans un récit que j’écoute à peine, ça me fait simplement comprendre que la jeune femme est avocate, mais ce n’est pas ça qui m’effraie. Vue sa jeunesse, elle doit être jeune avocate et je ne pense pas qu’elle voudrait affronter le mien, qui est un dieu du barreau. Je croise les bras, pendant son monologue, regardant ma montre pour voir à quel point l’heure file. « Tu penses vraiment que j’en ai quelques choses à faire de ton article de loi ? Tu penses que c’est une gosse comme toi qui va m’effrayer ? J’en ai vu d’autres et des beaucoup plus farouche que toi, fillette. » Je n’ai cependant plus le temps pour me montrer arrogante, je dois simplement m’en aller. La voilà qui sort en plus un constat de son sac, voulant m’obliger à le faire. Je ricane, avant de me rendre dans ma voiture pour attraper également mon sac. Je redescends lorsqu’elle se mets à saigner du nez. Tout un cinéma, je l’ai à peine frôlé, elle est fragile comme de la porcelaine celle-là. « Je n’ai hélas pas le temps de continuer avec toi. Alors je te laisse là, la carte de visite de mon avocat, ainsi que la mienne si tu veux remplir le moindre papier et tiens, 100 dollars. Vu qu’apparemment ton vélo semble être ta principale préoccupation, va-t’en acheter un autre dans un magasin pour gosse. Et éventuellement t’acheter un autre chemisier, celui-là est tâché de sang. » Histoire de lui faire comprendre qu’elle et moi, ne jouons pas dans la même catégorie. Je croise les bras une nouvelle fois face à elle. « J’ai été désenchantée de te rencontrer et j’espère ne plus jamais te croiser. » Je regarde le type qui n’a rien raté de la scène et qui se trouve toujours là, à nous regarder comme un idiot. « Toi également. » Je ne le redirais jamais assez, c’est une vraie journée de merde.
Amy Castle
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Comme elle le présumait, cette blonde était d'un égocentrisme absolu. Eireen avait parlé. Elle avait déversé sa science pour lui faire comprendre qu'elle ne gagnerait pas à ce petit jeu. Mais elle s'en foutait. Elle s'en foutait comme de l'an quarante. A croire que la blonde se croyait au dessus des lois, ou un truc dans le genre. Elle s'en foutait ? Tant pis pour elle. En tout cas, Eireen ne lâcherait pas l'affaire. Dans le sens où elle ne paierait pas un sou pour la bagnole de cette égoïste. Elle aurait été en tord, oui, elle aurait accepté. Elle se serait excusée. Et elles auraient fait ce constat. Et bien évidemment, l'assurance d'Eireen aurait trinqué. Mais là, non, il était hors de question que ça se passe ainsi puisqu'elle avait prévenu qu'elle tournait. Et qu'en plus, selon cet article de loi, elle était une victime protégée, en toute circonstance. Ou presque. Eireen était prête à faire des papiers. Mais la blonde prenait la fuite. Ah, victoire pour la brune ! Victoire par Ko. Enfin, façon de parler. Si elle se tirait, c'est qu'elle avait quelque chose. Peut-être qu'Eireen n'entamerait aucune procédure. Ou peut-être qu'elle irait voir Enzo et qu'elle lui demanderait à visionner les caméras surveillances et commencer à monter un dossier, juste au cas où. Enzo ou tout autre flic d'ailleurs. Elle trouverait bien quelqu'un qui accepterait de lui filer un coup de main, surtout si elle disait que c'était dans le cadre d'une éventuelle procédure judiciaire. La blonde lui donna la carte de son avocat et la sienne par la même occasion. Et elle allait lui donner cent dollars. Si Eireen récupéra les cartes, elle n'en fit rien concernant l'argent. "Oh, ça va aller. Puisqu'un vélo pour gosse ne coûte pas si cher que ça. Garde donc ton argent et investis-le dans ta voiture, puisque c'est la seule chose qui semble te préoccuper." Est-ce qu'elle faisait exprès de reprendre plus ou moins les mêmes termes que la blonde ? Peut-être bien. Au moins, avec la carte, elle savait comment cette personne des plus désagréables s'appelait. Livia Fordham. C'était pas quelque chose qu'elle allait oublier, pour sûr. "J'espère également." Sur ce, Eireen avait détourné les talons. Enfin, elle n'avait pas été bien loin puisque le mec qui avait assisté à la scène depuis le début était encore dans les parages. Et comme il avait une voiture, et histoire d'être sûr qu'elle n'avait rien, il lui avait proposée de la déposer à l'hôpital. Chose qu'elle avait accepté. Autant pas prendre de risques après tout, non ?
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