| Never gonna leave this bed ≈ Ezlia |
| | (#)Jeu 21 Avr - 19:16 | |
| « So come here and never leave this place. Perfection of your face slows me down. » Minable. Elle lui fit un léger signe de main avant d’entrer dans l’immeuble. Une fois la porte du hall fermée et surtout après avoir entendu la voiture repartir, Amelia s’effondra. Tout le stress, le malaise, la tristesse qu’elle avait ressentie lors de ce repas s’évacua en une seconde. Elle pleurait et n’arrivait plus à se retenir. Elle qui pensait passer une bonne soirée.. Mais qu’est-ce qui était passé dans l’esprit d’Amanda et Paul de les inviter tous les deux lors du même dîner ? Alors que la Iver arrivait à peine chez ses amis, elle avait senti qu’il se passait quelque chose. L’Audi inconnue garée devant chez eux, la tête d’Amanda, avec ce sourire crispé qui montrait son malaise. Le petit ‘désolé’ de Paul lorsqu’il lui fit la bise. Et son visage à lui. Tout aussi surpris qu’elle de la revoir. Mon Dieu. A cet instant, Amelia aurait voulu se glisser dans un trou de souris, faire demi-tour tant qu’il en était encore temps. Mais non. Ses pieds étaient cloués au sol. Il s’était quand même levé du canapé pour la saluer. Tous les deux faisaient comme si de rien n’était. Comme s’ils étaient de parfaits étrangers. Amy ne savait pas lui décrocher un mot de peur de se faire remballer. Emilio. Lui, osait à peine la regarder, s’interdisant de croiser son regard. C’était trop. Il y avait trop de tension dans cette maison, bien que le couple d’amis tentait divers sujets de conversation. Paul faillit même faire une gaffe au sujet de Lily-Rose. Chose corrigée lorsque sa femme lui donna un coup d’épaule. Puis vint le moment où ils les laissèrent pour finir de préparer le repas en cuisine. Le silence plana dans la pièce avant qu’Amy ne finisse par lui demander comment il allait depuis tout ce temps. Emilio ne voulant certainement pas se montrer mal poli, lui répondit, racontant ses divers voyages au cours des années. Il lui expliqua également que maintenant il travaillait pour son père et qu’il venait de se faire muter ici à Brisbane. Quelle chance pour elle.. Et quand il lui retourna la question, Amelia bloqua. Lily lui vint directement en tête, mais il lui était impossible de lui parler de leur fille maintenant. Pas ici, pas aussi tôt. Déjà qu’ils se revoyaient, elle n’allait pas lui balancer la bombe. Il était papa et ne le savait pas. Paul ne s’était jamais gêné de lui dire qu’il n’approuvait pas le fait qu’elle ne lui en ait jamais parlé. Il avait le droit de savoir qu’il avait une fille. Ce n’était pas le seul d’ailleurs. Mais Amelia a toujours eu trop peur de lui avouer la vérité. Surtout que maintenant elle avait six ans.
Mais bref, le dîner coupa court lorsqu’elle prétendit qu’elle avait mal au ventre, ne se sentant pas bien. Alexis l’ayant emmené à l’allée vu que c’était sur son passage, elle n’avait rien pour rentrer. Paul s’apprêtait à la raccompagner lorsqu’Emilio se porta volontaire. Manquait plus que ça. Elle faisait tout pour lui échapper et voilà qu’il voulait faire un bout de trajet avec. Amelia ne broncha pas, bien qu’elle n’en pensait pas moins. Ils restèrent silencieux un temps avant que le jeune homme lui demande pourquoi elle avait agi ainsi entre eux, pourquoi tout s’était fini si brusquement, si mal. Mais là encore, Amy ne se sentait pas de lui répondre alors qu’il entretenait encore de bonnes relations avec ses parents. Elle ne pouvait pas lui dire que les Ainsworth s’étaient montrés odieux et méprisants avec elle. L’obliger à quitter leur fils parce qu’il valait mieux, parce qu’elle n’était pas de leur monde et n’en ferait jamais partie. Le père lui avait même fait un chèque d’une coquette somme afin qu’elle sorte du paysage. Chèque qu’elle déchira devant lui. Amelia raconta alors à Emilio qu’elle était jeune et qu’elle ne savait plus ce qu’elle voulait.
Il s’arrêta alors devant l’immeuble qu’elle lui avait indiqué et lui demanda s’ils pouvaient se revoir à l’occasion pour parler, plus sérieusement cette fois-ci. Amelia acquiesça, bien qu’elle ne fût pas sûre de vouloir le revoir encore une fois. Elle était vraiment mal, les larmes coulaient encore et encore. Elle ne se voyait pas rentrer chez elle avec Lily et Gwen dans les parages. Il n’y avait qu’un endroit qui lui vint en tête sur le moment. Chez lui. Comme à chaque fois que ça n’allait pas. Il en avait tellement eu marre de l’entendre sonner à des heures pas possible qu’il lui avait donné le double de ses clefs. Chose qu’Ezra regretta à de nombreuses reprises. Surtout lorsqu’elle débarquait alors qu’il était en charmante compagnie.. Amelia en avait fait fuir plus d’une et elle s’en moquait royalement. Elle prit alors l’ascenseur et une fois arrivée à l’étage, elle s’introduit dans l’appartement du jeune homme. Aucun bruit, personne à l’horizon, Amy fit attention de ne pas faire trop de bruit. Elle se pointa alors dans la chambre de son meilleur ami et s’introduisit dans le lit dans lequel il se trouvait, les yeux fermés. Elle se glissa sous la couette, se posant dos à lui, prenant au passage ses bras pour qu’il vienne l’entourer, se blottissant un peu plus contre lui. Même s’il dormait, elle n’était pas seule et rien que le fait d’avoir sa présence lui faisait du bien. Enfin cela ne l’empêcha pas pour autant de se remettre à pleurer en silence.
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| | | ÂGE : trente-neuf étés colorés, né une certaine fête nationale australienne de quatre-vingt cinq. STATUT : le second mariage en grandes pompes est tombé à l'eau, et certains s'amuseront surement à lui dire 'on t'avait prévenu' en apprenant le comportement qu'a eu sa future-ex-femme dans son dos. MÉTIER : il n'est plus question de travailler aux côtés et/ou pour lily, donc machine arrière: il faut de nouveau qu'il se pose pour savoir que faire de toutes ces entreprises qui portent son nom sur le bail. LOGEMENT : #159 third street (logan city), où il a mis les affaires de lily sur le pas de la porte et a fait changer les serrures de la maison. tous les enfants vivent avec lui, dans un capharnaüm sans temps-mort. POSTS : 52573 POINTS : 120 TW IN RP : deuil, fausse-couche, maladie infantile (rémission), tromperie. ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : la famille avant tout › n'était pas donneur compatible de rein, don qui avait pour but de sauver son fils › cora coverdale est la plus belle, et bee scott beauregard › a rencontré son fils (2017); coup de foudre au premier regard, comme on dit › après une longue lutte pour le petit, pour Ginny, et finalement pour lui, Noah est enfin tiré d'affaire de cette maladie qui a failli lui coûter la vie grâce à une greffe de rein (octobre 2017). CODE COULEUR : cornflowerblue. RPs EN COURS :
EZRAUDEN › My loneliness is killing me, and I must confess I still believe. When I'm not with you I lose my mind. Give me a sign. Hit me, baby, one more time. - surprise:
RPs EN ATTENTE : charlie #2 › ginny #26 RPs TERMINÉS :
- and now the chapter is closed and done:
chronologie des sujets pas du tout à jour dans ma fiche de liens.
- et là, un petit géranium:
AVATAR : sam claflin. CRÉDITS : fassylover (avatar) › nobodys (profil gif) › RENEGADE (signature icons) › stairsjumper (le petit géranium+userbars) › harley (crackships ezrauden). DC : damon williams, la lueur de l'ombre (ft. rudy pankow) › malone constantine, le prix du vice (ft. jack lowden) › ruben hartfield, le problème à trois corps (ft. harry styles) › millie butcher, les enfants du silence (ft. zendaya coleman) › maxwell eames, le silence des agneaux (ft. matt smith). PSEUDO : luleaby. INSCRIT LE : 07/04/2015 | (#)Sam 23 Avr - 13:35 | |
| La nuit avait beau être déjà bien avancée, ce n’était pas pour autant qu’Ezra dormait depuis longtemps. En effet, il avait eu du mal à s’endormir. Il s’était d’abord demandé si c’était à cause de la pleine lune, plein de gens disant toujours qu’elle avait un effet considérable sur le sommeil des personnes. Mais il s’était rapidement rendu à l’évidence que ce n’était pas ça. Non, il avait vu Ginny pas moins de quelques jours plus tôt et ils avaient eu une vraie discussion, si on peut dire, cette fois ci. Ils avaient pu parler sans qu’Ezra ait envie de se mettre en colère à taper les murs ou quoi que ce soit. Et comme si le coeur du jeune homme n’était pas déjà assez détruit, il y avait même eu quelques baisers d’échangés. Eux, il ne les regrettait pas mais ils avaient foutu encore plus le bordel dans sa tête. Il se rendait bien comptes à quel point il était faible face à Ginny et surtout à quel point ça l’énervait de ne pas réussir à tenir ses décisions parce-qu’il fondait comme neige au soleil lorsqu’il la voyait. Et tout ça, ça n’arrêtait pas de passer en boucle dans sa tête, il revoyait les images comme si elle était de nouveau en face d’elle. C’est à cause de cette dernière rencontre qu’il n’arrivait pas à dormir mais c’est, au final, aussi grâce à elle qu’il finit par rejoindre les bras de Morphée. Pour pas si longtemps que ça car au bon d’un moment, il sentit une présence à ses côtés, puis il sentit qu’on tirait ses bras vers l’avant et la forme d’un corps vint se coller à lui. Heureusement qu’il n’était pas du genre à flipper, car il aurait pu largement croire que c’était un imposteur qui était chez lui. Mais même à moitié endormi, il pourrait reconnaître la personne qui se tenait maintenant avec lui dans son lit. Et puis, c’était aussi la seule personne qui pouvait entrer dans l’appartement puisqu’elle avait le double de clefs d’Ezra. Il ne dit alors rien, laissant la jeune femme s’installer comme bon lui semblait à ses côtés. Si Amelia était là cette nuit, c’était qu’il y avait une bonne raison - d’accord, par moment elle avait peut-être abusé du fait d’avoir son double de clefs, mais si elle tentait de se faufiler de la sorte sans aucun bruit, c’était qu’il y avait quelque-chose de plus grave ou d’important. Ezra attendait de voir si elle allait parler ou quoi que ce soit, lui demander s’il dormait toujours, mais elle n’en fit rien. En revanche, quelques secondes après qu’elle ait trouvé sa place dans le lit, Ezra l’entendit se mettre à pleurer. Ca lui brisa le coeur. Il n’aimait pas savoir sa meilleure amie en souffrance, il serait capable d’aller éclater la personne qui l’avait mise dans cet état - il était loin d’imaginer qui c’était. Resserrant alors ses bras autour du corps d’Amelia, il vint placer son visage dans le creux de son coup, embrassant sa joue au passage. « Qu’est-ce qui s’est passé petite souris ? C’est qui ce connard ? » Il devait forcément s’agir d’un homme. Ce n’était pas possible autrement. Si ça avait été autre chose, elle n’aurait pas eu envie de pleurer en silence dans ses bras au beau milieu de la nuit, et elle serait sûrement rentrée chez elle pour en parler avec Gwen. Mais cette nuit, elle était là dans les bras d’Ezra. Il savait qu’elle n’allait pas parler de suite, il lui laissait le temps qu’il faudrait, le temps qu’elle aurait besoin. Si elle voulait, préférait, rester toute la nuit à pleurer dans ses bras pour n’en parler qu’au petit matin autour d’un bon petit déjeuner, ça ne le dérangeait pas. Le côté curieux de lui allait souffrir mais il s’en fichait, c’était le bien d’Amelia qui primait sur ce coup là. Il finit alors par prendre une de ses mains dans la sienne pour la caresser délicatement, pour réconforter la jeune femme, qu’elle sache qu’il était là pour elle, quoi qu’il arrive. Comme il lui avait dit la dernière fois à la pizzeria. Il serait toujours là pour elle. |
| | | | (#)Sam 23 Avr - 18:53 | |
| « So come here and never leave this place. Perfection of your face slows me down. » Il ne lui fallut pas bien longtemps avant de dire instinctivement à Emilio de la déposer là. Chez lui. Amelia ne voyait pas d’autres endroits où aller. Hors de question qu’elle rentre dans son appart’ avec le visage angélique de Lily lui rappeler toute la soirée avec le père de la petite. Elle en voulait à Amanda et Paul de l’avoir mis dans cette situation. Et elle ne se gênerait pas pour engueuler son amie lorsqu’elle l’appellera demain matin, la connaissant. Amelia ne savait pas faire semblant et même si elle avait essayé, c’était trop difficile. Elle ne se sentait pas à l’aise avec lui dans la même pièce. Cela pouvait bien faire six ans, ce n’était pas assez. Son visage l’avait longtemps hanté et maintenant qu’il se retrouvait en face d’elle, Amy était sans voix. Elle n’arrivait à rien dire et tout ce qu’elle voulait, c’était partir au plus vite de là. Malheureusement elle continua un bout de chemin avec lui avant de ne descendre de sa voiture pour retrouver son meilleur ami. Qu’il dorme ou pas, peu importait. Elle ne voulait juste pas se retrouver chez elle, dans ce lit vide. Il lui fallait de la compagnie et il n’y avait que la sienne qui pouvait lui faire du bien. Amelia s’incrusta alors dans sa chambre, dans son lit. Il dormait à point fermé et elle ne comptait pas le déranger. Elle voulait juste se poser, être dans un endroit calme et tenter de ne plus penser à cela. Mais c’était trop dur.. A peine eu-t-elle le temps de se blottir dans les bras d’Ezra, qu’elle était repartie. Amelia pleura à nouveau toutes les larmes de son corps, comme si elle les avait conservés après toutes ces années pour le jour où elle le reverrait. Et il n’y avait pas moyen, ça ne passait pas.
Et en plus de ça, elle venait de le réveiller. Ezra se resserra un peu plus contre elle et blottit sa tête au creux de son cou. Il déposa un baiser sur sa joue, peut-être bien un peu trop salé. Et instinctivement Amy passa sa main sur ses joues pour essuyer ses larmes. Elle n’avait pas spécialement envie d’en parler maintenant, mais elle savait qu’elle n’échapperait pas aux questions de son meilleur ami. Si elle était là, il savait que ce n’était pas par hasard. Et en entendant sa question, la jeune femme réalisa qu’à chaque fois qu’elle se pointait là, c’était pour une histoire de cœur. Comme si lui pouvait le lui réparer. « Qu’est-ce qui s’est passé petite souris ? C’est qui ce connard ? » Bien qu’elle tentait de ne plus pleurer, c’était difficile. Elle n’arrêtait pas d’essuyer ses yeux, masquant son mal être, bien qu’Ezra ait déjà tout compris. « C’est.. » Elle pleura encore un coup avant de se reprendre pour être le plus compréhensible possible. « Emilio.. Je l’ai revu chez Paul et Amanda, il était là et.. » Et c’était reparti. Elle se tourna vers Ezra et se blottit contre lui, enfouissant son visage contre son torse. Les robinets étaient ouverts et il était dur pour elle de se calmer. « Il est revenu en ville et je sais plus quoi faire.. » Et en disant ça elle faisait notamment référence à Lily-Rose. Lui annoncer qu’elle était enceinte de lui, qu’il a une fille âgée de six ans aujourd’hui.. Et pour elle, que son père était de retour et que si elle le voulait elle ne pourrait pas lui empêcher plus longtemps de rencontrer son géniteur. Tout allait se compliquer dans les jours à venir.. Et elle ce qu’elle voulait, c’était rester ici avec lui et tout oublier.
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| Ezra n’aimait pas la voir dans cet état, ça lui retournait le coeur. Surtout que vu comment elle pleurait, ça devait être quelque-chose qui la peinait beaucoup. Il ne l’avait pas vu pleurer comme ça depuis un bout de temps. Des années, même. Depuis Emilio. L’homme qui lui avait ruiné le coeur comme pas deux, et que si Ezra le croisait de nouveau, il savait qu’Emilio ferait partie des rares personnes à s’être reçu un coup de la part du Beauregard. Amelia tentait en vain d’essuyer ses larmes, mais de nouvelles coulaient sans cesser à la place de celles essayées quelques secondes plus tôt. Ezra finit par délicatement lui attraper les mains pour qu’elle arrête de tenter de cacher sa tristesse. Ca n’était pas utile, il avait déjà très bien compris que quelque-chose n’allait pas. Ils restèrent alors quelques instants collés l’un à l’autre sans rien dire, Amelia continuant de pleurer, jusqu’à temps qu’elle trouve le courage de commencer à parler. « C’est.. » Ses larmes redoublèrent et la mâchoire d’Ezra se serra. Il savait déjà que, qu’importe le prénom qui allait suivre, il allait passer un sale quart d’heure dans peu de jours. Personne n’avait le droit de mettre sa meilleure amie dans cet état. « Emilio.. Je l’ai revu chez Paul et Amanda, il était là et.. » Les larmes de la jeune femme se firent présentes de plus belles et elle se tourna pour venir se réfugier dans les bras d’Ezra, enfouissant son visage contre son torse cette fois ci. Machinalement, Ezra vint la serrer dans ses bras d’avantage pour la réconforter. Cependant, son esprit était parti ailleurs pour quelques instants. Emilio. Lui qui pensait à lui quelques instants plus tôt, il n’aurait jamais pensé que ce connard de première aurait pu rendre Amelia deux fois ans cet état. Une fois, c’était amplement suffisant. Surtout qu’elle ne méritait pas ça, ni de le revoir d’ailleurs. Il avait fait le connard, ses parents avaient été des connards avec Amelia, il aurait du rester en dehors de sa vie pour toujours. Même Lily ne méritait pas de la connaître alors que c’était son père. Et bien plus encore, il ne méritait pas de connaître l’enfant charmant qu’était Lily. Ce serait trop simple pour lui. « Il est revenu en ville et je sais plus quoi faire.. » Ezra reporta son attention sur la jeune femme. Bien sur qu’elle était perdue, bien sûr qu’elle ne savait pas quoi faire. Il aurait été dans le même état à sa place. En fait, Ezra avait été dans le même état, quelques semaines plus tôt, lorsqu’il avait revu Ginny après cinq ans d’absence. Il ne l’avait juste pas exprimé de la même façon. « Amy… » Il soupira, relevant le visage de la jeune femme délicatement d’une main. Il devait avoir une tête à mourir de rire, à avoir été réveillé en pleine nuit comme ça. Et en même temps, ils étaient pratiquement dans le noir, ce qui le sauvait d’une moquerie de la part de la jeune femme surement - si elle était un minimum d’humeur à le taquiner. « Ca t’a fait si mal de le revoir, hein ? » Il forçait les sourcils, inquiet pour elle. « Si c’est le cas, dis lui d’aller se faire foutre et basta, qu’il soit de retour en ville ou pas. Tu as ton équilibre maintenant, il n’a pas besoin d’être au courant… » Il ne prenait pas la peine de mentionner de quoi il parlait, il savait qu’Amelia comprenait qu’il parlait de sa fille et du fait qu’Emilio ne soit pas au courant. Et que, d’après lui, c’était mieux comme ça si on lui demandait son avis. D’une de ses mains, il vint caresser le visage d’Amelia. |
| | | | (#)Dim 24 Avr - 18:05 | |
| « So come here and never leave this place. Perfection of your face slows me down. » Elle était au plus mal. Il débarquait à nouveau dans sa vie et Amelia avait du mal à s’y faire. Le revoir l’anéanti parce que c’était la dernière chose qu’elle pensait trouver en allant chez ses amis pour dîner. Elle ne pensait pas qu’en arrivant là-bas elle tomberait dans une embuscade. En même temps ce n’était pas sa faute non plus car Emilio était tout aussi surpris qu’elle et ne s’attendait pas à la revoir. Maudits Paul et Amanda. Amelia était vraiment en colère contre eux et pour l’instant ne se sentait pas prête d’y retourner. Et puis les derniers mots d’Emilio qui demandait à la revoir.. Ça eut le don de l’achever. La brune se montrait solide en apparence, mais une fois son meilleur ami retrouvé dans le lit, elle craqua. Il ne fallait qu’une seule personne pour chambouler sa vie à nouveau et voilà qu’il refaisait surface. Maudit Emilio. Pourquoi fallait-il qu’il revienne à Brisbane après tout ce temps ? Une part d’elle commençait à avoir peur qu’Alexis ait fini par craquer et lui avouer la vérité. En soi, le travail de papa ne serait qu’un prétexte pour retourner vivre ici et rencontrer sa fille. Mais non, ça ne pouvait pas être possible. Alexis ne lui ferait jamais ça. En tout cas Amelia ne comptait pas le recontacter de sitôt. Elle verrait bien si lui fait le premier pas, mais il ne fallait pas compter sur elle. Il fallait déjà qu’Amy digère la nouvelle et se ressaisisse. Ce qui n’était clairement pas encore le cas, puisqu’elle ne cessait de pleurer dans les bras d’Ezra. Heureusement qu’il était là lui. Elle avait toujours pu compter sur le jeune homme et la preuve en était. Il était deux heures du mat’ passé et il la consolait alors qu’elle s’incrustait dans son lit sans rien n’avoir demandé. Mais ils étaient comme ça. D’un côté, elle était contente qu’il n’ait personne dans sa vie –bon mise à part Ginny, sinon elle ne pourrait pas se permettre de faire ça.
« Ça t’a fait si mal de le revoir, hein ? » Commença-t-il, après lui avoir relevé le visage pour qu’elle arrête de se cacher dans ses bras. Elle hocha simplement la tête, s’essuyant une nouvelle fois les yeux. En fait c’était tellement surréaliste de le voir qu’elle était plus en état de choc que mal. « Si c’est le cas, dis lui d’aller se faire foutre et basta, qu’il soit de retour en ville ou pas. Tu as ton équilibre maintenant, il n’a pas besoin d’être au courant… » Ezra et son franc parler. Il n’y allait pas avec des pincettes et c’était ça qu’elle aimait chez lui aussi. Il avait du mal avec Emilio depuis le départ et maintenant, sachant qu’il était de retour, ça allait se compliquer. Tout comme elle avec Ginny en fait. Ils ne peuvent pas voir l’ex de l’autre en peinture, mais devait faire avec. Elle soupira, tentant de se reprendre pour parler calmement. « Non je sais.. » Elle baissa les yeux. « C’est à Lily dont je n’arrêtes pas de penser. Peut-être que si elle le rencontre, elle arrêterait avec cette fixette qu’elle se fait sur lui.. » La petite blonde ne cessait de poser des questions sur son père et n’arrêtait pas de se faire embêter à l’école avec ça depuis des semaines. Ça la rongeait et Amelia avait du mal à la gérer. « Mais je vois même pas comment je peux lui annoncer ça après toutes ces années en fait.. C’est trop tard, je le connais il va péter un câble. Je peux pas après tout ce temps.. » Amy se resserra davantage contre Ezra, perdue dans ses pensées. Elle leva les yeux vers lui. « Désolé Ez.. Je te réveille en plus tu dois être crevé après la journée au garage. » Elle déposa un baiser sur sa joue. « Mais merci, d’être là. » Même quand il n’avait pas tellement le choix.
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| Ezra aurait aimé qu’il y ait un trait de lumière plus important émanant des volets, il aurait pu ainsi avoir un réel accès visuel aux expressions faciales que pouvait avoir la jeune femme. Déjà, elle continuait de pleurer, et rien que ça brisait le coeur d’Ezra. Il n’aimait vraiment pas la savoir dans cet état. Il entendit qu’elle soupira. « Non je sais.. C’est à Lily dont je n’arrêtes pas de penser. Peut-être que si elle le rencontre, elle arrêterait avec cette fixette qu’elle se fait sur lui.. » Lily-Rose… Ezra savait à quel point ça rongeait la petite ces derniers temps, puisqu’elle lui avait aussi posé des questions à lui. Mais comme il l’avait promis des années en arrière à Amelia, il ne lui dirait rien. Il faisait en sorte de tenter de rassurer la petite, mais sans lui révéler qui était son père. Il ne trahirait jamais Amelia sur ce point. Même si ça serai surement une solution envisageable maintenant qu’elle était plus grande, il comprenait pourquoi elle ne voulait pas lui en parler. Amelia et Emilio, c’était une histoire compliqué - chose qu’il comprenait que trop bien -, et la petite n’avait pas besoin d’être embarquée dans ces histoires d’adultes. « Mais je vois même pas comment je peux lui annoncer ça après toutes ces années en fait.. C’est trop tard, je le connais il va péter un câble. Je peux pas après tout ce temps.. » Oh que oui, il n’allait pas être content. Ezra avait aussi passé assez de temps avec lui pour savoir que ça n’allait pas lui plaire, et pour avoir vécu une situation pas identique mais presque de son côté, le jeune homme savait que ce n’était jamais agréable d’apprendre ce genre de nouvelle des années après les faits. Emilio serait sûrement content d’apprendre qu’il avait une fille, mais il le serait beaucoup moins de l’appendre alors qu’elle avait maintenant six ans. Ezra comprendrait ce point, même s’il était du côté d’Amelia dans cette histoire. Il sentit la jeune femme se blottir d’avantage contre lui, il vint alors la prendre réellement dans ses bras, la rassurant par son contact physique comme il le pouvait. Il tentait de trouver les mots justes pour lui répondre, et surtout de ne pas seulement laisser parler sa rancoeur envers le jeune homme. Ca n’avancerait à rien s’il faisait ça, à part à s’énerver de son côté peut-être. Et Amelia n’avait pas besoin de ça. « Tu sais… Tu n’es vraiment pas obligée de faire quelque-chose si ça te semble pas juste de le faire. Tu n’es pas obligée de lui dire. Tu n’es même pas obligée de le voir. Il est peut-être de retour en ville, mais votre histoire c’est du passé… » Il s’écoutait lui même parler et il comprenait à quel point il n’était pas crédible. Ginny avait à peine fait réapparition dans sa vie qu’il cherchait déjà un moyen qu’elle n’en parte plus - et il devait aussi annoncer ça à Amelia, mais ce n’était pas le moment, loin de là. « Tu devrais te faire confiance. Tu as toujours été une mère extraordinaire pour Lily, pas besoin que ça change. Restez comme vous êtes, vous êtes bien. Ou alors tu lui dis que c’est moi le père. » Il eut un petit rire. Ce n’était pas la première fois qu’il lui proposait de faire ça. Il le disait toujours sur le ton de l’humour car il ne voudrait pas réellement qu’elle le fasse. Ne pas savoir qui est son père, c’est une chose. Mais mentir sur ce dernier, c’était beaucoup, beaucoup plus délicat. Au mouvement de la tête de la jeune femme, il devinait qu’elle le regardait de nouveau, alors bêtement il sourit, comme si elle pouvait le voir faire à travers le noir qui embuait la chambre. « Désolé Ez.. Je te réveille en plus tu dois être crevé après la journée au garage. » Il eut un petit rire. « Je te rappelle que je suis pas le seul à travailler demain matin. Donc tant que je sais qu’on sera deux à avoir la tête dans le cul, ça me va… » La jeune femme vint alors déposer un baiser sur sa joue. Quelque-chose de simple, qui en temps normal paraissait normal justement à Ezra. Mais depuis ces derniers semaines et ce baiser qu’ils avaient échangé au bar… Il avait l’impression parfois que le moindre geste tendre qu’ils faisaient l’un envers l’autre avait une autre dimension. Il ne voulait pas penser comme ça, mais il repensait à tout ce qu’Amelia lui avait dit, sur le fait qu’elle pouvait éprouver des sentiments à son égard qu’elle n’avait pas eu avant. « Mais merci, d’être là. » Il sourit légèrement. « Est-ce que j’ai le choix ? » Il eut un petit rire, avant de venir déloger Amelia de ses bras et de se lever. « J’vais te donner un pyjama. Hors de question que tu rentres dans cet état chez toi, et hors de question que tu dormes avec tes fringues aussi. En plus, je suis quasiment sûr que vous avez mangé du poulet, j’ai l’impression de pouvoir le sentir sur toi. » Il alluma sa lampe de chevet, faisant mine d’être décontracté, mais il ne comprenait toujours pas pourquoi il avait ressenti ce sentiment lorsqu’Amelia l’avait embrassé sur la joue. Ce n’était pas habituel, et ça le perturbait. Il savait qu’il n’avait pas de sentiments amoureux à son égard, mais depuis ce baiser, c’était comme s’il était en quelques sortes… Attiré par elle. Et c’était la première fois depuis qu’ils se connaissaient que ça lui faisait réellement ça. Bon, il ne démentirait pas si on lui demandait les sentiments qu’il avait senti la première fois qu’ils s’étaient rencontrés. Mais maintenant, c’était différent, il n’avait plus vingt-ans. Et puis ce n’était pas dans cette dynamique là que leur duo fonctionnait. Il alla finalement vers son armoire, au pied de sa chambre, et sortit la tee-shirt le plus grand qu’il avait. « Tiens, tu seras à l’aise avec ça au moins. » Il se tourna pour le tendre à la jeune femme. |
| | | | (#)Dim 15 Mai - 15:51 | |
| « So come here and never leave this place. Perfection of your face slows me down. » Elle pensait à tout, trop de choses lui venaient en tête. Et sa principale préoccupation était Lily-Rose. Ça petite avait l’éventuelle chance de connaître son père et Amy ne savait pas si c’était une si bonne chose. Enfin il fallait déjà qu’elle informe le blond qu’il en était le père. Et ça, c’était une autre histoire. « Tu sais… Tu n’es vraiment pas obligée de faire quelque-chose si ça te semble pas juste de le faire. Tu n’es pas obligée de lui dire. Tu n’es même pas obligée de le voir. Il est peut-être de retour en ville, mais votre histoire c’est du passé… » Amelia avait tellement réussi à trouver un équilibre parfait dans sa vie et dans celle de sa fille, qu’elle ne se sentait pas de tout chambouler. Mais bon, le père comme la fille avaient le droit de connaître la vérité. Elle se sentait coupable de toute cette situation. Elle avait voulu jouer les fières, ne plus rien avoir à faire avec sa famille –mise à part Alexis. Et maintenant, tout allait lui retomber dessus. Son meilleur ami avait sans doute raison. Leur histoire était du passée et elle n’avait plus de compte à lui rendre. Pourtant, la culpabilité la rongeait.. Pourquoi n’était-il pas resté en France ? Pourquoi ses amis lui avaient fait ce coup-là ? Tout aurait été plus simple si les choses étaient restées telles qu’elles étaient.. Tout ça n’aurait pas eu lieu d’être. « Tu devrais te faire confiance. Tu as toujours été une mère extraordinaire pour Lily, pas besoin que ça change. Restez comme vous êtes, vous êtes bien. Ou alors tu lui dis que c’est moi le père. » Et à la fin de ses mots, la brune ne put s’empêcher d’accompagner son rire, le sien étant encore un peu camouflé par les larmes. Ce qu’il pouvait être bête. Au moins il avait toujours les mots qu’il fallait pour dédramatiser la situation. Et puis il y avait tout de même une part de vérité. Il n’était pas le père de Lily certes, mais d’une certaine manière, Ezra apportait le repère masculin, cette relation qu’elle ne pouvait pas avoir avec sa fille. Et elle était bien contente que ça soit lui et pas un autre. « Je crois que si tu dis ça à Lily, tu vas lui briser le cœur. A mon avis elle préfère de loin être ta future femme que ta prétendue fille.. »
Amelia restait blottie dans ses bras et à ses yeux, c’était la meilleure place où elle pouvait se trouver actuellement. Enfin la Iver préférait tout de même s’excuser parce qu’il préférait sans doute mieux dormir que la réconforter. Elle déposa sur sa joue un baiser de remerciement. Heureusement qu’il était là. Elle avait peur que leur relation change vu ce qu’il s’était passé dernièrement. Mais il fallait croire que non, la vie reprenait son cours. Elle écrasait ce qu’elle avait pu ou pouvait encore ressentir à son égard pour que leur amitié fonctionne. Elle préférait tout refouler en elle plutôt que de le perdre. Enfin, c’était ce qu’elle pensait. « J’vais te donner un pyjama. Hors de question que tu rentres dans cet état chez toi, et hors de question que tu dormes avec tes fringues aussi. En plus, je suis quasiment sûr que vous avez mangé du poulet, j’ai l’impression de pouvoir le sentir sur toi. » Ça avait le mérite d’être clair. Il se détacha d’elle pour finalement se lever et lui donner un tee-shirt. N’étant plus dans le noir, la belle s’assit et passa sa main sur son visage pour essuyer les dernières larmes, espérant ne pas ressembler à un clown si son maquillage avait coulé. Ezra finit par lui tendre son vêtement, dix fois trop grand pour elle, mais qui serait au moins confortable. « Merci Ez’ » Amelia se leva et partit dans la salle de bain pour se changer et se débarbouiller par la même occasion. Se regardant dans le miroir, c’était une catastrophe. Elle se passa un peu d’eau fraîche, chose qui ne fit pas de mal. Elle retira ensuite son collant et lorsqu’elle passa à la robe, elle eut un petit problème technique. Amy n’arrivait pas à l’ouvrir, la fermeture étant restée bloqué. La jeune femme revint alors dans la chambre pour le retrouver. « Dis tu veux bien m’aider ? J’arrive pas à l’ouvrir. » Arrivée près de lui, Amy se mit de dos, libérant sa nuque de ses cheveux pour qu’il puisse mettre fin à son supplice et décrocher cette foutue robe.
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| | | ÂGE : trente-neuf étés colorés, né une certaine fête nationale australienne de quatre-vingt cinq. STATUT : le second mariage en grandes pompes est tombé à l'eau, et certains s'amuseront surement à lui dire 'on t'avait prévenu' en apprenant le comportement qu'a eu sa future-ex-femme dans son dos. MÉTIER : il n'est plus question de travailler aux côtés et/ou pour lily, donc machine arrière: il faut de nouveau qu'il se pose pour savoir que faire de toutes ces entreprises qui portent son nom sur le bail. LOGEMENT : #159 third street (logan city), où il a mis les affaires de lily sur le pas de la porte et a fait changer les serrures de la maison. tous les enfants vivent avec lui, dans un capharnaüm sans temps-mort. POSTS : 52573 POINTS : 120 TW IN RP : deuil, fausse-couche, maladie infantile (rémission), tromperie. ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : la famille avant tout › n'était pas donneur compatible de rein, don qui avait pour but de sauver son fils › cora coverdale est la plus belle, et bee scott beauregard › a rencontré son fils (2017); coup de foudre au premier regard, comme on dit › après une longue lutte pour le petit, pour Ginny, et finalement pour lui, Noah est enfin tiré d'affaire de cette maladie qui a failli lui coûter la vie grâce à une greffe de rein (octobre 2017). CODE COULEUR : cornflowerblue. RPs EN COURS :
EZRAUDEN › My loneliness is killing me, and I must confess I still believe. When I'm not with you I lose my mind. Give me a sign. Hit me, baby, one more time. - surprise:
RPs EN ATTENTE : charlie #2 › ginny #26 RPs TERMINÉS :
- and now the chapter is closed and done:
chronologie des sujets pas du tout à jour dans ma fiche de liens.
- et là, un petit géranium:
AVATAR : sam claflin. CRÉDITS : fassylover (avatar) › nobodys (profil gif) › RENEGADE (signature icons) › stairsjumper (le petit géranium+userbars) › harley (crackships ezrauden). DC : damon williams, la lueur de l'ombre (ft. rudy pankow) › malone constantine, le prix du vice (ft. jack lowden) › ruben hartfield, le problème à trois corps (ft. harry styles) › millie butcher, les enfants du silence (ft. zendaya coleman) › maxwell eames, le silence des agneaux (ft. matt smith). PSEUDO : luleaby. INSCRIT LE : 07/04/2015 | (#)Mar 24 Mai - 23:30 | |
| « Je crois que si tu dis ça à Lily, tu vas lui briser le cœur. A mon avis elle préfère de loin être ta future femme que ta prétendue fille.. » Ezra ne put s’empêcher un nouveau petit rire à la remarque d’Amelia. « Il faudra aussi lui dire la vérité un jour sur ça, que ça ne va pas être possible. Vieux comme je suis par rapport à elle ! » Il disait bien sûr ça pour rire. Il n’était pas encore prêt à briser ce rêve. Lily-Rose le voyait comme son prince charmant comme toute petite fille devrait faire de même avec leur propre père. En l’occurence, Emilio n’était pas dans les parages - et heureusement, d’après Ezra - pour remplir ce rôle, la petite s’était donc rabattue par défaut sur Ezra. Ce qui ne le dérangeait pas, il était content de pouvoir jouer un rôle dans la vie des deux femmes. A défaut de pouvoir jouer un rôle dans la vie de son propre fils. Il chassa rapidement ses dernières pensées, ce n’était pas le moment, pour aller trouver un pyjama pour Amelia. D’ailleurs, lorsqu’il se retourna pour lui donner le vêtement, la lumière étant maintenant allumée, il put largement voir les trainées de mascara qu’avaient laissé ses larmes en guise de traces. Il ne dit rien, se contentant de serrer la mâchoire pour ne pas faire un nouveau commentaire déplacé au sujet d’Emilio. Ce n’était pas l’envie qui lui manquait, mais ce n’était pas nécessaire. Amelia avait déjà assez bien pleuré pour ce soir, elle était à bout, ils auraient plein d’occasions d’en reparler à têtes reposées. « Merci Ez’ » Et la jeune femme partie dans la salle de bain pour pouvoir se changer. Ezra en profita pour s’asseoir sur le lit et souffler quelques instants, se passant les mains sur le visage. Bordel, il n’en revenait toujours pas de ce frisson, ce sentiment, ce il ne savait pas réellement quoi qui l’avait traversé lorsqu’Amelia lui avait embrassé la joue. Il avait l’impression de faire une fixette sur ce moment particulier, mais il n’avait jamais ressenti ce genre de choses auparavant - et ça le faisait flipper. Parce-qu’il espérait se tromper pour qu’elle revienne se blottir dans ses bras et qu’ils s’endorment tranquillement, qu’ils se réveillent et qu’ils aillent bosser le lendemain matin. Qu’Ezra pourrait se dire que ce n’était qu’une illusion, qu’il se fourvoyait et basta. Qu’il n’y ait rien de plus. C’etait sa meilleure amie à la fin, bordel, c’était tout ce qu’elle était. « Dis tu veux bien m’aider ? J’arrive pas à l’ouvrir. » Ezra releva son regard d’un coup sec vers Amelia, comme s’il venait d’être pris en flagrant délit, comme si elle aurait pu suivre le flot de ses pensées. Ce qui était ridicule. « Yep, bien sûr. » Il se releva du lit et la jeune femme vint se mettre de dos devant lui pour qu’il puisse la défaire de cette robe. Enfin, pour qu’elle puisse toute seule sortir de cette robe. Se frottant rapidement les mains l’une contre l’autre pour être sûr qu’elles ne soient pas froides, il vint délicatement au début prendre la tirette de la fermeture éclaire, voyant qu’il allait devoir y mettre un peu plus du sien pour la débloquer. Elle ne résista pas longtemps, et quelques secondes plus tard il descendait délicatement le zip jusqu’au bas du dos d’Amelia. S’offrant alors une vue magnifique sur son dos nu. Il resta quelques instants là, comme un idiot, la fermeture dans les mains à regarder la peau d’Amelia. S’il avait été un vampire, aucun doute qu’il se serait jeté à son coup pour la mordre et lui piquer un peu de sang. Les cheveux dégagés sur le côté de la sorte et son dos exposé à ses yeux, Amelia était d’autant plus belle. Il l’avait déjà remarqué, bien sûr, qu’elle était belle. Mais ce soir, avec la lumière tamisée… C’était comme si il la redécouvrait, en quelques sortes. Et alors, avant qu’il ne puisse pleinement réaliser ses gestes, Ezra remontait délicatement le dos d’Amelia, effleurant sa peau de ses doigts. C’était un contact tendre, mais surtout c’était doux, c’était électrisant. La seconde d’après, Ezra réalisait presque qu’il s’était rapproché de la jeune femme, ses lèvres à quelques centimètres de son épaule, sur laquelle il vint déposer un léger baiser. Doux, simple, comme celui qu’elle lui avait donné sur la joue quelques instants plus tôt. La joue, c’était innocent. Là où Ezra venait de l’embrasser, ça pouvait relever du suicide. Ses pensées, émotions et sentiments formaient un beau tourbillon bordélique dans sa tête, laissant son instinct aux commandes. Alors il vint déposer un deuxième baiser au même endroit. Et un troisième, remontant légèrement légèrement vers sa nuque. Et un autre, lentement, comme une torture et par retenue en même temps, dans le creux de son cou. Le dernier, sur l’arrête de la mâchoire de la jeune femme, juste en dessous de son oreille. En ce moment même, c’était comme si toute la retenue et les pensées correctes avec lesquelles il tentait de s’auto-persuader quelques minutes plutôt qu’il était fou avaient foutu définitivement le camp. Continuant ses baisers, il vint poser ses mains sur les hanches de la jeune femme, l’attirant délicatement à lui, collant son corps au sien. |
| | | | (#)Mer 25 Mai - 0:34 | |
| « So come here and never leave this place. Perfection of your face slows me down. » « Il faudra aussi lui dire la vérité un jour sur ça, que ça ne va pas être possible. Vieux comme je suis par rapport à elle ! » Il n’avait pas tort. Enfin, Amelia était sûre qu’elle n’aurait pas besoin de s’expliquer à ce sujet avec Lily. Le temps lui-même se chargerait de le lui faire comprendre. Surtout les rides d’Ezra. Pas sûr qu’à vingt ans la petite soit encore raide dingue du Beauregard. Ça lui passerait. Tout comme ça passerait sa mère. A croire que c’était dans les gênes de craquer sur le mauvais garçon. Apparemment, elles aimaient trop les relations compliquées, les relations d’amour à sens unique. Anyway.. Le tee-shirt attrapait, la belle fila dans la salle de bain pour se changer et surtout, se débarbouiller. Rien qu’à se voir dans le miroir, Amy faisait vraiment peur à voir. Pauvre Ezra. Déjà qu’elle l’avait réveillé, il devait en plus de ça se taper sa sale tronche. Pas sympa de sa part. Amy voulu ensuite retirer sa robe, mais la fermeture de celle-ci était coincée. Avant de s’énerver pour un rien, elle préféra lâcher l’affaire et revenir vers son meilleur ami pour qu’il lui vienne en aide. Ce dernier était assis sur le rebord du lit et Amelia le retira vite de ses pensées en lui demandant de lui défaire la robe. La brune se tourna alors, se mettant dos à lui pour qu’il se mette à la tâche. Elle entendit un petit frottement de mains qui la fit légèrement rire. Il pensait à tout, même à se réchauffer les doigts pour ne pas qu’elle gèle.
Et avec un peu d’insistance, il réussit à la délivrer. C’était peut-être bête, mais Amelia détestait garder une fringue qui lui avait porté préjudice. Elle venait de retrouver Emilio, sa soirée ne s’était pas passée comme elle l’espérait, alors elle ne voulait plus jamais revoir cette robe qui risquait à présent de lui rappeler de mauvais souvenirs. C’était bête oui, mais elle marchait comme ça. Un soudain frisson, les doigts d’Ezra remontant son dos la rappelèrent à l’ordre. Ce qu’il faisait là, c’était un réel supplice. Surtout qu’elle ne comprenait pas pourquoi.. Pourquoi lui faisait ça.. Et pourquoi il continuait dans sa lancée.. Elle le sentait se rapprocher, la proximité devenait trop dangereuse à son goût. Il vint alors déposer un baiser sur son épaule, puis un deuxième. Amy ne savait toujours pas comment l’interpréter. Elle ne savait pas si c’était un simple geste de tendresse, de gentillesse, d’affection. Ou si ça signifiait plus. Mais ses baisers remontèrent jusqu’à l’arrête de sa mâchoire. Au fur et à mesure que ses lèvres se déposaient sur sa peau, les paupières de la jeune femme se fermèrent. Etait-ce vraiment en train de se produire ou était-ce son imagination qui lui faisait des tours ? Ses mains sur ses hanches, son corps contre le sien, elle comprit qu’il s’agissait bien de la réalité. Elle voulait parler, mais n’y arriver pas. Elle voulait juste profiter de lui, de ses bras, de son attention. Après tout ce temps.. Amelia finit alors par se tourner, restant contre lui, pour lui faire face. Son regard se posa sur le sien. Elle tentait de comprendre. Ses doigts se posèrent doucement sur son visage, la brune commençant à retracer les fossettes du Beauregard. Mais ça ne dura qu’un temps. Son impulsivité pris le dessus et ses lèvres vinrent se déposer machinalement sur les siennes. Comme si c’était normal, comme si c’était logique. Elle l’embrassa tendrement. Ses lèvres se détachèrent quelques secondes des siennes, reposant son regard sur lui. C’était peut-être mal, c’était peut-être interdit, mais tant pis. Elle l’embrassa à nouveau, plus fougueusement cette fois-ci, à s’en couper le souffle, à ne plus vouloir reprendre sa respiration pour ne plus se détacher de lui, de ses lèvres. Ses mains attrapèrent le tee-shirt d’Ezra, voulant le lui retirer le plus rapidement possible. C’était peut-être mal, c’était peut-être interdit, mais tant pis.
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| | | ÂGE : trente-neuf étés colorés, né une certaine fête nationale australienne de quatre-vingt cinq. STATUT : le second mariage en grandes pompes est tombé à l'eau, et certains s'amuseront surement à lui dire 'on t'avait prévenu' en apprenant le comportement qu'a eu sa future-ex-femme dans son dos. MÉTIER : il n'est plus question de travailler aux côtés et/ou pour lily, donc machine arrière: il faut de nouveau qu'il se pose pour savoir que faire de toutes ces entreprises qui portent son nom sur le bail. LOGEMENT : #159 third street (logan city), où il a mis les affaires de lily sur le pas de la porte et a fait changer les serrures de la maison. tous les enfants vivent avec lui, dans un capharnaüm sans temps-mort. POSTS : 52573 POINTS : 120 TW IN RP : deuil, fausse-couche, maladie infantile (rémission), tromperie. ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : la famille avant tout › n'était pas donneur compatible de rein, don qui avait pour but de sauver son fils › cora coverdale est la plus belle, et bee scott beauregard › a rencontré son fils (2017); coup de foudre au premier regard, comme on dit › après une longue lutte pour le petit, pour Ginny, et finalement pour lui, Noah est enfin tiré d'affaire de cette maladie qui a failli lui coûter la vie grâce à une greffe de rein (octobre 2017). CODE COULEUR : cornflowerblue. RPs EN COURS :
EZRAUDEN › My loneliness is killing me, and I must confess I still believe. When I'm not with you I lose my mind. Give me a sign. Hit me, baby, one more time. - surprise:
RPs EN ATTENTE : charlie #2 › ginny #26 RPs TERMINÉS :
- and now the chapter is closed and done:
chronologie des sujets pas du tout à jour dans ma fiche de liens.
- et là, un petit géranium:
AVATAR : sam claflin. CRÉDITS : fassylover (avatar) › nobodys (profil gif) › RENEGADE (signature icons) › stairsjumper (le petit géranium+userbars) › harley (crackships ezrauden). DC : damon williams, la lueur de l'ombre (ft. rudy pankow) › malone constantine, le prix du vice (ft. jack lowden) › ruben hartfield, le problème à trois corps (ft. harry styles) › millie butcher, les enfants du silence (ft. zendaya coleman) › maxwell eames, le silence des agneaux (ft. matt smith). PSEUDO : luleaby. INSCRIT LE : 07/04/2015 | (#)Mer 25 Mai - 1:31 | |
| Vous connaissez le principe d’un marionnettiste ? Quand une personne dicte les gestes, parfois les dires, d’un pantin ? En ce moment même, Ezra avait l’impression d’être le pantin, guidé par une force plutôt obscure, ne contrôlant plus ses gestes. Il ne s’y opposait pas, au contraire, mais il avait quand même l’impression que ce n’était pas lui quia agissait. Comme si se gestes étaient insensés - et pourtant tellement normaux, d’un autre côté. Paradoxe. S’enivrer du parfum émanant de la peau de la jeune femme. L’enregistrer. En profiter. Goûter à ce moment d’interdit avec de la prudence et de la retenue, en ayant envie de ne pas le faire justement. C’était à peu près l’état d’esprit dans lequel Ezra se trouvait. A mi chemin entre l’interdit et le plaisir, entre la raison et la pulsion. Il n’osait presque plus bouger, les yeux mi clos, profitant des quelques secondes où Amelia n’avait pas encore accès à son regard. Ces quelques secondes où il pourrait encore faire demi-tour si son cerveau fonctionnait encore à peu près correctement. Dommage, car ce dernier était mort au moment où la fermeture de la robe était tombée. La jeune femme finit par se tourner pour se mettre face à lui, Ezra ne rompit pas le contact de ses mains sur ses hanches, les glissant juste lorsqu’elle pivota. Ouvrant les yeux de nouveau, il vit que la jeune femme le regardait avec insistance, ce qui lui foutait des frissons. Elle semblait chercher quelque-chose. Ce quelque-chose, Ezra pouvait se douter de ce que c’était, et il était sûr de ne pas pouvoir lui donner. Une réponse, une explication ? Il n’en avait tout simplement pas. Enfin, il n’avait pas d’explication. Une raison, quand il regardait Amelia en ce moment même, il trouvait que ça tombait sous le sens. Les doigts de la jeune femme vinrent contourner son visage, retracer ses traits, faisant frissonner une nouvelle fois Ezra. C’était un tout autre contact que ce à quoi il était habitué. Il prenait une toute autre dimension - et pour le moment, cette sensation n’était pas pour lui déplaire. Pendant un fraction de seconde, il ferma même les yeux, tentant de faire disparaître toutes ces pensées récentes et mal placées. Mais toutes ces pensées censées partirent en fumée lorsque le doux contact des lèvres d’Amelia sur celles d’Ezra le rappela à l’ordre. Il se laissa faire, profitant de ce contact qui lui semblait être si lointain et si récent à la fois. Cette dernière fois où il s’en était tellement voulu par la suite, cette dernière fois où il était alcoolisé surtout. Cette fois ci, en ce moment même, à part le fait que la jeune femme lui faisait réellement de l’effet, il n’y avait aucune substance qui altérait ses faits et gestes, ses pensées, ses réactions. Là, ce n’était que lui et lui seul qui décidait. Ou presque. Alors lorsque la jeune femme se recula pour le regarder de nouveau, il savait que c’était sa dernière chance pour tout arrêter, pour remettre les choses à leurs places et repartir de nouveau sur de - presque - bonnes bases. Mais fauter une fois, ça pouvait passer. Deux fois, il fallait en vouloir pour que ça arrive. Alors lorsqu’Amelia vint l’embrasser de nouveau, il l’accueillit dans ses bras comme si c’était la chose normale à faire. Comme si c’était ce qu’il devait faire. Il s’était toujours demandé pourquoi ils ne s’étaient jamais rien passée entre eux deux, ne trouvant jamais d’autre excuse que le simple fait qu’ils soient juste meilleurs amis. Peut-être qu’après tout, depuis tout ce temps, ils s’étaient peut-être trompés. Enfin, Ezra n’arriva pas à réfléchir bien longtemps, venant prendre le visage d’Amelia entre ses mains alors que leurs lèvres se scellaient à s’en faire manquer d’oxygène. Lorsque les mains de la jeune femme vinrent prendre les bords du tee-shirt d’Ezra pour le lui enlever, il ne se fit pas prier, attrapant par la suite Amelia en posant ses mains sur ses fesses et en la collant à son corps. C’était bon, comme moment. Se laisser aller, être simplement un homme embrassant une femme désirable sans avoir à se demander si c’était la bonne chose à faire ou non. S’écartant des lèvres d’Amelia, celles d’Ezra vinrent embrasser de nouveau la mâchoire de la jeune femme, son cou, pour finalement revenir au niveau de son épaule où la robe de la jeune ne tenait plus qu’à un fil. Embrassant une dernière fois son épaule, il remonta ensuite sa tête pour venir coller son front à celui de la jeune femme, respiration haletante. Le regard d’Ezra pénétrant le sien. Libérant une de ses mains, il remonta le bras de la jeune femme d’une simple caresse, s’arrêtant sur le tissu de la robe, ne lâchant toujours pas son regard. Et vu celui que lui rendit la jeune femme, il n’hésita pas très longtemps avant de venir faire glisser la bretelle de la robe sur le bras d’Amelia, avant de finir faire pareil avec la seconde bretelle. Attrapant une nouvelle fois ses lèvres, il laissa tomber la robe de la jeune femme, en profitant pour venir de nouveau prendre son visage en croupe. Ce chemin dangereux sur lequel ils s’engageaient, c’était enivrant, c’était puissant. Presque magique. Rapidement, Ezra vint soulever Amelia de façon à ce qu’elle puisse entourer sa taille de ses jambes - Dieu qu’elle était légère ! - afin de venir l’allonger sur le lit, ne lâchant pas ses lèvres, venant positionner son corps par dessus celui frêle de la jeune femme. |
| | | | (#)Mer 25 Mai - 17:33 | |
| « So come here and never leave this place. Perfection of your face slows me down. » De dos, ce qui était en train de se produire lui semblait encore ambiguë, ne sachant pas si c’était bien réel ou si elle devait se stopper dans ses pensées déplacées. Oui elle devait probablement se faire un film. Mais la proximité à laquelle il se tenait la faisait de plus en plus douter. Alors pourquoi ne pas lui faire face pour que tout devienne plus clair ? Amelia s’exécuta et lorsqu’elle se retrouva face au jeune homme, la brune tenta de trouver des réponses. Aucun des deux ne parlaient, l’ambiance, l’atmosphère était trop pesante, trop lourde pour y rajouter quoi que ce soit. La Iver captura alors les lèvres de son meilleur ami et l’embrassa. Comme la dernière fois, dans le bar. C’était un geste qui paraissait anodin vu la scène, mais pour elle, ça représentait tout. Et le fait qu’il ne la repousse pas, qu’il réponde à son baiser ne faisait que la rassurer dans ses questions. Il ne se défilait pas et elle non plus. En même temps, elle n’en avait pas la force ni l’envie de le repousser. Oh que non. Depuis qu’ils avaient mis les choses au clair, Amy repensait souvent à cette soirée au bar, se demandant parfois si cela arrivait aussi à son meilleur ami. Mais comme elle se doutait que ce n’était pas le cas, que ce n’était qu’une erreur d’un soir après avoir trop bu pour lui, elle n’osait pas en reparler. Et elle bloquait tous ses sentiments, tout le film qu’elle avait pu se faire quand à leur relation qui pouvait peut-être bien évoluée. Pendant leur ‘séparation’, elle s’était souvent surprise à penser que ce baiser, ces baisers auraient pu aboutir à un début de quelque chose. Mais vu ses dires dans la rue, elle avait compris que non, ce n’était pas son cas à lui. Alors pourquoi ce soir agissait-il ainsi.. C’était une torture pour elle ne pas le lui demander, quitte à tout couper. Mais lorsqu’elle posa son regard sur Ezra, elle comprit que ça n’en valait pas la peine. Elle préférait de loin l’embrasser plutôt que de lui parler et avoir encore une conversation ou aucun des deux ne diraient le fond de sa pensée. Et puis le Beauregard était réceptif, alors quoi demander de plus.
Dans l’action, Amelia retira le tee-shirt du garçon, passant délicatement ses mains sur son torse une fois le vêtement sur le sol. Ezra l’attira contre lui et leurs lèvres ne manquèrent pas de se retrouver. Elle savait que demain serait un autre jour et qu’il y aurait peut-être des regrets. Ou peut-être pas en fait. Mais ce n’était pas le moment d’y penser. Pour le moment, il y avait juste elle et puis lui. C’était comme si le temps venait de s’arrêter que plus rien d’autre ne comptait. Ezra se détacha de ses lèvres pour suivre le parcours inverse dans lequel il s’était aventuré un peu plus tôt. Les yeux d’Amelia se refermèrent, sentant cette chaleur monter, contradictions aux frissons qui parcouraient tout son corps au contact de ses baisers. Puis son front contre le sien, la belle plongea son regard dans celui de cet homme qui lui semblait différent. Différent dans le sens où il ne s’agissait plus que de son simple meilleur ami. C’était bien celui qu’elle connaissait par cœur, son complice, mais maintenant il la faisait vibrer, elle voyait plus en lui. Finito la friendzone. Sa robe se retrouvant à son tour sur le sol, seul ses sous-vêtements étaient encore là pour la cacher de sa nudité, même si au fond elle avait l’impression de se mettre déjà à nue devant lui. Mais pas le temps de se sentir gênée, Ezra vint alors la porter, Amy entourant son torse de ses jambes qu’elle croisa pour tenir. Elle l’embrassait, encore et toujours, ne voulant pas lâcher ses lèvres tandis qu’il vint l’allonger sur le lit. Il lui faisait clairement tourner la tête. C’était doux, c’était bon, comme elle l’avait toujours imaginé dans ses plus profondes pensées. Ses lèvres toujours scotchée aux siennes, elle en profitait pour passer ses mains dans ses cheveux, les caressants, comme il l’aimait. Ça avait ses avantages de le connaître depuis plus de dix ans. Amelia renversa ensuite la situation en le faisant chavirer –oui malgré son poids et sa force elle réussit à se retrouver sur lui, en même temps il ne céda pas bien longtemps. Elle commença alors à déposer de tendres baisers au creux de son cou pour finalement descendre sur son torse, traçant son parcours comme si c’était la première fois qu’elle le découvrait, tentant de capturer, de profiter de chaque moment, chaque détail. Arrivée à son bas ventre, la belle céda et remonta jusqu’au point de départ, ses lèvres. Elle l’embrassa une dernière fois avant d’attirer à nouveau son regard. Une main joua de nouveau dans ses cheveux, alors qu’elle le regardait avec tendresse. Elle voulait être sûre que ça soit ce dont il avait envie lui aussi, qu’il n’y aurait pas de regret. « Tu.. » Mais rien n’arrivait à sortir de sa bouche. Au fond, elle avait peur. Elle secoua alors la tête, montrant qu’elle n’avait rien à dire et l’embrassa langoureusement.
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| | | ÂGE : trente-neuf étés colorés, né une certaine fête nationale australienne de quatre-vingt cinq. STATUT : le second mariage en grandes pompes est tombé à l'eau, et certains s'amuseront surement à lui dire 'on t'avait prévenu' en apprenant le comportement qu'a eu sa future-ex-femme dans son dos. MÉTIER : il n'est plus question de travailler aux côtés et/ou pour lily, donc machine arrière: il faut de nouveau qu'il se pose pour savoir que faire de toutes ces entreprises qui portent son nom sur le bail. LOGEMENT : #159 third street (logan city), où il a mis les affaires de lily sur le pas de la porte et a fait changer les serrures de la maison. tous les enfants vivent avec lui, dans un capharnaüm sans temps-mort. POSTS : 52573 POINTS : 120 TW IN RP : deuil, fausse-couche, maladie infantile (rémission), tromperie. ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : la famille avant tout › n'était pas donneur compatible de rein, don qui avait pour but de sauver son fils › cora coverdale est la plus belle, et bee scott beauregard › a rencontré son fils (2017); coup de foudre au premier regard, comme on dit › après une longue lutte pour le petit, pour Ginny, et finalement pour lui, Noah est enfin tiré d'affaire de cette maladie qui a failli lui coûter la vie grâce à une greffe de rein (octobre 2017). CODE COULEUR : cornflowerblue. RPs EN COURS :
EZRAUDEN › My loneliness is killing me, and I must confess I still believe. When I'm not with you I lose my mind. Give me a sign. Hit me, baby, one more time. - surprise:
RPs EN ATTENTE : charlie #2 › ginny #26 RPs TERMINÉS :
- and now the chapter is closed and done:
chronologie des sujets pas du tout à jour dans ma fiche de liens.
- et là, un petit géranium:
AVATAR : sam claflin. CRÉDITS : fassylover (avatar) › nobodys (profil gif) › RENEGADE (signature icons) › stairsjumper (le petit géranium+userbars) › harley (crackships ezrauden). DC : damon williams, la lueur de l'ombre (ft. rudy pankow) › malone constantine, le prix du vice (ft. jack lowden) › ruben hartfield, le problème à trois corps (ft. harry styles) › millie butcher, les enfants du silence (ft. zendaya coleman) › maxwell eames, le silence des agneaux (ft. matt smith). PSEUDO : luleaby. INSCRIT LE : 07/04/2015 | (#)Jeu 2 Juin - 20:11 | |
| Ezra avait l’impression qu’il n’allait jamais lâcher ses lèvres, comme si c’était l’endroit où il devait passer le reste de sa vie. Elles étaient douces, beaucoup plus douces que ce qu’il avait plus brièvement expérimenter lors de leur dernier baiser. Et surtout, cette fois ci, il n’était pas alcoolisé comme la dernière fois. C’était surement ça, la différence. Cette fois ci, Ezra savait - presque - ce qu’il faisait. Les mains d’Amelia qui passaient dans ses cheveux le faisait frissonner. Ce n’était pas la première fois qu’elle lui faisait ce geste, cependant il n’y avait pas cette dimension d’habitude, c’était plus innocent en temps normal. Mais c’était bon. Comme de voir pour la première fois son corps sous cet angle de vue. La voir exposé à lui, de la sorte, seulement recouverte de fins sous-vêtements, c’était un délice pour les yeux d’Ezra. Et avant qu’il puisse en profiter plus longtemps, Amelia retourna la situation en le faisant basculer sous elle - ou alors elle profita justement de son moment de faiblesse pour prendre l’avantage. Il se laissa faire, c’était bizarrement tellement plaisant d’avoir atteint un moment pareil. Et les baisers qu’elle était en train de lui donner, de son cou jusqu’à son bas-ventre… Ezra dut serrer les mâchoires pour ne pas lui sauter dessus plus vite que prévu. C’était à ce moment qu’il se rendit compte du pouvoir qu’elle pouvait exercer sur lui. Bien plus puissant que ce qu’il avait toujours pu imaginer. Et lorsqu’elle revint pour rendre ses lèvres prisonnières des siennes, ce fut différent. Elle se recula, et Ezra ne comprit pas pourquoi il y eut une sorte de pause, comme ça. Elle le regardait tendrement, et Ezra n’avait qu’une envie maintenant de son côté, c’était de la bouffer toute crue. Pas qu’il n’aimait pas la tendresse avec laquelle elle le regardait, juste que ce n’était pas son sentiment premier quand il la voyait perché presque dénudée sur lui. « Tu.. » Ezra eut un léger froncement de sourcils en entendant son début de phrase, et avant même qu’il n’ait le temps de répliquer, la jeune femme l’embrassait de nouveau. Ezra ne s’en plaignait pas, mais maintenant une partie de son cerveau arrivait à se demander ce qu’elle voulait lui dire. Alors, entre deux baisers, il réussit à murmurer quelques mots. « Amy, chuuut, Amelia… » Sa voix était roque, et laissant très clairement transparaître le désir qu’il avait pour la jeune femme en ce moment même.Il vint alors caresser le visage de la jeune femme, descendant par la suite ses mains sur son corps, parcourant ces parties de chair auxquelles il n’avait eu accès jusque maintenant. Parcourant son dos, effleurant ses côtes. C’était enivrant. Mais il était inquiet pour elle. Même si elle semblait lui avoir avouer des sentiments à son égard quelques temps plus tôt, elle semblait hésiter maintenant. Pourquoi ? Avait-elle peur du raisonnement d’Ezra ? Descendant ses mains vers les fesses de la jeune femme, il vint les prendre dans ses mains, les caressa, pour finir par appuyer le bassin de la jeune femme sur le sien. Vêtus de leurs simples sous-vêtement, Amelia ne pouvait que comprendre à quel point Ezra avait tout simplement envie d’elle en ce moment même. Ne lâchant pas le bassin de la jeune femme, il se releva alors à la force des ado pour venir se mettre en positon assis, Amelia toujours sur lui. Posant son front contre celui de la belle, il vint alors juste prononcer ces mots pour qu’elle comprenne réellement, qu’elle n’ait plus de doutes. « J’ai envie de toi, Amelia, juste envie… » Il l’embrassa par la suite de ses lèvres à la naissance de ses seins, en passant par des baisers électriques au creux de son cou. Il remonta alors lentement, comme pour faire monter l’envie de ce moment, sa main dans le dos de la jeune femme pour venir habilement détacher le seul sous-vêtement qui couvrait encore sa poitrine. Comme si c’était un geste habituel lorsqu’ils étaient ensemble, comme s’ils s’étaient déjà retrouvé dans cette position là. A vrai dire, surement, mais jamais aussi dénudés et jamais sans autant de pensées désireuses l’un envers l’autre. Délicatement, il vint ensuite faire descendre les bretelles du soutien-gorge d’Amelia exposa ainsi directement la poitrine de la jeune femme. Les mâchoires du jeune homme se serrèrent légèrement lorsqu’il vit cette partie du corps d’Amelia aussi près de lui. Redescendant ses mains vers les fesses de la jeune femme, il vint déposer un baiser timide entre ses deux seins. « T’es belle… » C’était sorti tout seul, comme si pour lui c’était la chose logique à lui dire puisque c’était la pensée actuelle qui l’animait. Il le savait déjà par avant, mais de la voir comme ça, tout changeait. Elle était d’autant plus belle à nu, sans aucun artifice pour gâcher ce spectacle. Passant ses mains sous l’élastique de son dernier sous-vêtement, ses mains en contact direct avec la chair de son postérieur, il vint déposer un premier baiser sur un de ses seins. Puis sur le deuxième. Puis il vint commencer à jouer avec sa langue. « Tellement belle… » Ces mots prononcés dans un mini râle d’excitation et de désir. Ezra ne se rappelait pas quand est-ce qu’il avait désiré une femme à ce point là. Il y avait eu des coups d’un soir après des soirées arrosées et quelques amourettes par-ci, par-là. Mais il n’avait pas désiré autant toutes ces jeunes femmes qu’il pouvait désirer Amelia en ce moment même. |
| | | | (#)Jeu 9 Juin - 1:15 | |
| « So come here and never leave this place. Perfection of your face slows me down. » Elle se montra légèrement hésitante. Un instant, le temps de quelques secondes. Non pas qu’elle ne voulait plus passer à l’acte et fuir en courant. Non. Amelia avait juste peur que lui pense à ça. Et ça lui faisait peur, il fallait le reconnaître. Parce que s’il se désistait, la situation serait encore plus gênante que ce qui se passerait sans doute le lendemain matin. Alors la brune se résigna et profita de l’instant présent avant qu’Ezra ne tire sa révérence. Ses lèvres goûtant encore aux siennes, un pur délice. Elle savait d’avance que ça serait un supplice lorsqu’elle ne pourrait plus le faire. Lorsqu’ils retourneraient à leurs statuts d’amis. Parce que oui, en général on n’embrasse pas son meilleur ami de la sorte. Entre deux baisers, le Beauregard lui demanda alors de se taire, de ne pas prononcer ce qu’il savait d’avance. Ça la rassura, en quelque sorte. Et Amy hocha simplement la tête, l’embrassant de plus belle. N’étant pas alcoolisé cette fois-ci, les questions se posaient plus facilement dans sa tête histoire de la faire cogiter alors qu’elle devrait simplement se laisser aller. Et Ezra finit par l’emporter. Il gagnait la bataille, Amelia était trop faible. Il était sa faiblesse. Son bassin plaquait contre le sien, elle ne pouvait que sentir que le jeune homme avait envie d’elle autant qu’elle avait envie de lui. Il vint ensuite se redresser pour être assis, elle ne bougeant pas d’un pouce, restant sur lui. « J’ai envie de toi, Amelia, juste envie… » Même si elle l’avait compris, c’était toujours bien de l’entendre le dire. Et là, il n’y eut plus aucun remords, plus d’hésitations, plus de mauvaises consciences. Après tout, ce n’était pas comme si Amy abusait de lui. Il était parfaitement dans son état, parfaitement conscient. Elle en revanche était partie ailleurs, dans un autre monde, dans une autre dimension. Ses baisers qui parcouraient son corps l’envoutaient complètement. La tête s’inclinant au fur et à mesure de son parcours, les yeux qui se fermaient, elle mordillait sa lèvre inférieure, ne sachant pas si elle allait tenir encore bien longtemps. Bien que c’était bon, ça en devenait une vraie torture. Amy sentait sa peau et ses muscles frémir sous ses doigts. Il défit rapidement son soutien-gorge, comme si c’était la chose la plus simple du monde, tout naturellement. Si elle pouvait voir la scène de l’extérieur, Amelia en aurait sûrement rigolé. Taquinant son meilleur ami sur son incroyable habileté, sur le fait que ça soit un expert en ce qui concernait le dégrafage de soutif. Mais la Iver n’était plus dans cette position maintenant. Elle se retrouvait même topless devant lui et elle ne s’en sentait pas gênée pour autant. Au contraire, elle appréciait d’autant plus ce qu’il était en train de lui faire. Et les compliments qui allaient avec. Ne tenant plus, elle passa ses mains sur les siennes qui se trouvaient à son postérieur et pris l’initiative de retirer le dernier bout de tissus qui lui restait, se relevant légèrement. Amy s’attaqua ensuite à son caleçon. Elle le poussa pour qu’il se rallonge et l’embrassa au passage au bas du ventre, retirant par la suite le sous-vêtement qui était de trop. Ses lèvres revinrent capturer les siennes, reprenant sa place initiale, à califourchon sur lui. Sa main vint caresser sa virilité, juste avant qu’il ne finisse par entrer en elle. Ses muscles relâchèrent, appréciant tout particulièrement le moment. Elle attrape les mains d’Ezra pour qu’il vienne les poser au niveau de ses hanches et la belle commença ses mouvements de bassin. Lents, pour finir par les intensifier au fil des secondes, entraînant ses soupirs, ses gémissements de plus en plus prononcés. Son regard plongé dans le sien, elle avait l’impression que c’était finalement l’aboutissement de toutes ces années de leur relation. Il était là, il était beau et tous les sentiments d’Amelia se partageaient dans cette plénitude qui la submergeait.
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| | | | | | | | Never gonna leave this bed ≈ Ezlia |
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