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 # 53 - If you could see me now - BLAKIEL

Anonymous
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Message(#)# 53 - If you could see me now - BLAKIEL - Page 2 EmptyLun 23 Mai 2016 - 22:09

IF YOU COULD SEE ME NOW.
Cause when we are good, we're grand, but when we're bad we are very bad. But I stick around 'cause the love that you're giving me is the best I've ever had. Oh, oh, oh, oh. And it's funny to me, the way that things have worked out. There's no doubt in my mind that you can't recall what this all was about. So let's give it up. Love me sweetly and completely Come and sit beside me 'cause you know I need you near. When you're wheelin' with that feelin' we'll paint the town pink 'cause baby, red is so last year.



Les mains d’Ezékhiel passent le long de son corps, son bassin fait des mouvements de va et vient contre ses hanches, et elle fond complètement. Son corps ne peut faire autrement que s’adapter à celui de Zekh, entamant cette danse lancinante, ce pas de deux sublime, qui la fait gémir d’envie, de désir, d’impatience. Leurs vêtements posent une barrière indésirable, elle sent bien le désir de Zekh buter contre elle, et elle veut le sentir en elle. Elle a besoin de se fondre en lui, qu’ils ne fassent plus qu’un. Son impatience semble trouver écho chez lui, alors qu’il déchire littéralement sa robe, exposant son torse, sa poitrine bien tendue vers lui. Elle ne pense même pas à s’offusquer de l’offense portée à cette robe qu’elle adorait, tellement la proximité nouvelle de sa peau contre la sienne la comble. Cette chaleur, cette électricité naturelle qui passe entre eux, c’est trop… Même sans simulation directe contre son entrejambe, elle a l’impression de grimper au septième ciel, emportée par la passion du moment. « Blake… » Elle frissonne en l’entendant prononcer son nom de sa voix rauque. Comme si le mot avait été inventé pour n’être prononcé que par sa voix parfaite. Comme si son prénom ne trouvait un sens qu’en franchissant ses lèvres. « Je veux seulement te protéger… Qu’en sera-t-il quand tu auras trop mal et que tu ne voudras plus jamais voir ma gueule en peinture ? » Elle voudrait le frapper. De quel droit ose-t-il ramener ce sujet entre eux, alors que tout semble si parfait en cet instant? Il la ramène difficilement à la réalité, lui affichant en pleine face à quel point la situation est loin d’être idéale. Leur chimie reste intacte, c’est l’évidence même… Mais le problème reste là. « Jamais… » Elle laisse un doigt passer le long de ses lèvres, le couve d’un regard plus doux, mais néanmoins sérieux. « Je ne voudrai jamais te quitter. » Elle sait bien que ce sont des paroles qu’elle ne pourra pas nécessairement tenir. Peut-être qu’effectivement, un jour viendra où elle en aura marre d’être la fille dans l’ombre, où elle lui donnera un ultimatum : elle et seulement elle, ou rien du tout. Mais dans l’immédiat, elle serait prête à lui jurer n’importe quoi, juste pour qu’il reste. C’est pathétique, et elle le sait, mais elle ne peut faire autrement.

Il passe ses mains sur ses fesses, la relevant d’un coup, alors qu’elle enroule ses jambes autour de ses hanches, ses bras autour de son cou. Elle s’accroche à lui, sa langue caresse la sienne, et elle se laisse porter vers sa chambre, enfouissant ses mains dans sa chevelure. Son odeur lui monte à la tête, le baiser lui fait perdre l’esprit, le désir menace de la faille défaillir. Ils n’ont pas le temps de se rendre à la chambre qu’il la plaque contre le mur, arrachant ce qui reste de sa robe, jetant négligemment le bout de tissus sur le sol. Le contact du mur froid contre son dos lui arrache un petit cri, et elle rejette la tête vers l’arrière en poussant un éclat de rire, alors que Zekh pose sur elle un regard fiévreux. Un regard qui la rend complètement dingue, qui stoppe net son hilarité alors qu’elle le regarde avec la même intensité, la même envie ravageuse. Elle tient en équilibre contre une main alors qu’il déboutonne enfin son jean, et qu’il s’enfonce en elle. En le sentant enfin en elle, elle pousse un gémissement rauque, le laissant entamer ses mouvements experts. Son corps bute contre le mur, Zekh attaque son cou, caressant la peau de ses lèvres, de sa langue. Ses doigts s’enfoncent dans la chair de la nuque de Zekh, et une fois de plus, elle sent une puissante vague de plaisir l’envahir, la posséder toute entière. Comment pourraient-ils seulement se séparer?! Ils ne peuvent vivre l’un sans l’autre, ou du moins, elle ne peut vivre sans lui. « A moi ! Plus jamais personne ne pourra te toucher Blake... C'était ta chance de te libérer de mon emprise... » Elle tourne légèrement la tête, l’oblige à s’écarter de son cou, alors qu’elle croise son regard. « Je ne veux pas me libérer, jamais… » Elle pose ses lèvres sur les siennes, l’embrassant avec plus de douceur, mais bien rapidement le baiser gagne en passion, se transformant en un baiser enflammé. Leurs langues s’attaquent, se repoussent pour mieux s’apprivoiser, alors que ses coups de bassins se font plus puissants. Elle ne tient plus, une vague déferlante de plaisir s’immisce en elle, écrase tout sur son passage. Toutes ses peurs semblent s’envoler, alors qu’elle atteint le paroxysme du plaisir. Elle pousse un long râle contre ses lèvres, s’accroche à lui comme si sa vie en dépendait, renforçant sa prise autour de ses hanches, enfonçant ses doigts dans ses cheveux, les tirants sans pitié. La violence de la jouissance lui fait perdre l’esprit, c’est si bon, si juste… Il est le seul à pouvoir la mener ainsi au septième ciel, le seul avec qui elle souhaite partager ce moment. Le seul qui ait jamais compté. « Je suis à toi.. », marmonne-t-elle contre ses lèvres, sa voix devenue rauque. « Je t… » Elle s’interrompt, préférant mordiller la lèvre inférieure de Zekh, avant de l’embrasser avec tendresse. Sans réfléchir, elle allait de nouveau lui dit qu’elle l’aime. Elle retient ces mots depuis si longtemps, maintenant que la valve est ouverte, elle voudrait le lui dire à chaque instant. Elle voudrait lui crier son amour, lui hurler ses sentiments. Mais elle ne peut pas, pas alors que tout est si fragile entre eux. Elle ne pourra pas le lui répéter, pas avant qu’il le lui dise à son tour – s’il le fait, un jour. Il n’est pas nécessaire d’ajouter cette pression supplémentaire sur eux, pas maintenant qu’elle a pris conscience de tous les doutes qui le tourmentent.


made by pandora.




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