Cause when we are good, we're grand, but when we're bad we are very bad. But I stick around 'cause the love that you're giving me is the best I've ever had. Oh, oh, oh, oh. And it's funny to me, the way that things have worked out. There's no doubt in my mind that you can't recall what this all was about. So let's give it up. Love me sweetly and completely Come and sit beside me 'cause you know I need you near. When you're wheelin' with that feelin' we'll paint the town pink 'cause baby, red is so last year.
« Oh putain … » Elle cesse de glisser sa langue le long de son membre pour lui envoyer un sourire salace. Elle sent son plaisir sur le point d’exploser, elle devine son membre qui se gorge de sang. Et elle a envie qu’il éjacule, elle a envie de le mener à l’extase. La main de Zekh dans ses cheveux n’exerce aucune pression sur sa nuque, mais elle recommence ses mouvements de plus belle, comme encouragée par ce simple contact. « Putain bébé … » Elle gémit contre son membre, excitée au max. Elle n’a jamais apprécié que les hommes lui parlent ainsi au lit, mais avec Zekh, ça la rend tout simplement folle de désir. Elle accélère ses mouvements, alors que ses mains serrent les fesses de Zekh, elle sent qu’il ne va plus tenir bien longtemps… « Stop ! » Zekh fait un mouvement du bassin pour s’échapper à elle, et elle lui envoie un regard presque suppliant, frustrée qu’il refuse ce qu’elle lui offre. Mais sa frustration ne dure pas bien longtemps, alors qu’elle se redresse pour se laisser entraîner vers un banc. Elle s’y assoit, les lèvres de Zekh trouvent aussitôt les siennes, et le baiser qu’ils échangent n’a rien de l’innocence de celui qu’ils ont partagé quelques minutes plus tôt. Elle sent sa langue effleurer la sienne, elle mordille ses lèvres alors qu’il découvre pour la centième fois son corps de ses mains. Lorsque ses mains trouvent la peau nue de ses cuisses, elle grogne de plaisir, rien ne lui fait autant de bien que la chaleur de la peau de Zekh contre la sienne. Lorsqu’il exerce une pression pour qu’elle ouvre les jambes, elle s’exécute aussitôt, puis il se met à son tour à genoux. Lorsque sa langue la touche enfin, elle enfouit ses doigts dans les cheveux de Zekh, mordant les lèvres pour étouffer les gémissements qui s’échappent de ses lèvres. Jamais un homme ne l’a ainsi touchée, c’est comme si Zekh connaissait mieux son corps qu’elle le connaît elle-même. Ses doigts viennent rapidement en aide à sa langue experte, et Blake en défaillit presque de plaisir. Il sait exactement où et comment la toucher pour lui faire perdre la tête.
« Putain bébé, t’es trempée … J’suis à la limite de jouir rien que de t’embrasser là … » Sur ces mots, elle sent une violente vague de plaisir s’emparer d’elle, et lorsque sa langue retrouve son intimité, elle n’en peut plus, elle se laisse envahir par l’extase en poussant un gémissement rauque. « Oh mon dieu, Zekh… », grogne-t-elle entre ses mâchoires serrées, alors qu’elle tire légèrement sur ses cheveux pour l’écarter d’elle. Son regard bouillant de désir croise le sien, et elle attire le visage de Zekh vers le sien, l’embrassant avec passion, fougue. Elle refuse de le laisser s’éloigner, elle l’attire à elle, regrettant qu’il ait remonté sa braguette, pestant contre ces foutus vêtements qui se mettent en travers de son désir impatient. Ses mains expertes délivrent de nouveau la virilité de Zekh, puis ses mains font pression sur le bras de son dos et sur ses fesses pour mieux l’attirer en elle. « J’ai jamais eu autant envie de toi… », murmure-t-elle contre ses lèvres, gémissant alors qu’elle sent son membre buter contre sa cuisse. Elle n’a même pas envie de prendre le temps de mettre une capote, elle veut juste le sentir en elle pour vrai, cette fois. Elle veut sentir sa chaleur en elle, elle veut qu’ils soient l’un dans l’autre, chair contre chair, qu’ils ne forment plus qu’un. C’est irresponsable, ils le savent tous les deux, mais ce soir, elle a envie de s’en ficher. Comme cette première nuit, où ils ont enfin laissé libre cours à l’attirance indéniable qui persistait entre eux malgré tout le temps passé depuis leur amourette d’adolescence. Évidemment, la peur d’être enceinte qui s’était manifestée après ces retrouvailles devrait l’arrêter en cet instant, mais elle sait qu’elle n’est pas à risque dans son cycle, et elle ne peut tout simplement pas s’arrêter. Décidant de prendre le contrôle sur la situation, elle repousse Zekh, le forçant à reprendre une place assise sur le banc, et aussitôt elle s’assoit sur lui, le chevauchant, reprenant ses lèvres entre les siennes. Ce simple baiser pourrait la faire jouir de nouveau, alors que la langue experte de Zekh titille la sienne, alors que ses lèvres répondent parfaitement aux mouvements des siennes. Elle entame un mouvement de va et vient, le membre de Zekh contre son string, et la simple pression de sa virilité contre son intimité la fait gémir de plaisir. N’y tenant plus, elle écarte son string, et d’un mouvement de bassin, ils ne font plus qu’un. En sentant sa chaleur en elle, elle grogne contre ses lèvres, avant d’écarter son visage pour rejeter la tête vers l’arrière, paupières closes, entamant un langoureux mouvement qui saura rapidement la mener vers le septième ciel, elle le sent bien. « Putain, Zekh… », marmonne-t-elle en lui lançant un regard amouraché, le même sourire salace aux lèvres. Ils jouent avec le feu, mais elle adore ça, elle veut s’y brûler, si c’est ce qu’il faut pour ressentir de telles sensations.
Cause when we are good, we're grand, but when we're bad we are very bad. But I stick around 'cause the love that you're giving me is the best I've ever had. Oh, oh, oh, oh. And it's funny to me, the way that things have worked out. There's no doubt in my mind that you can't recall what this all was about. So let's give it up. Love me sweetly and completely Come and sit beside me 'cause you know I need you near. When you're wheelin' with that feelin' we'll paint the town pink 'cause baby, red is so last year.
Mon coeur bat. Il pulse si fort dans ma poitrine que j’ai l’impression de l’entendre résonner dans mes tympans. Ses doigts dans mes cheveux, son ongles éraflant mon cuir chevelu, ses paumes réchauffant mon crâne et son doux parfum sur ma langue. Je ne cesse de la lécher comme si je ne voulais pas en perdre une goutte, comme une abeille butine une fleur. Elle est ma fleur et je butine son bouton gorgé de sève. Si bien, si fort, que je sens mon désir monter en puissance. Le feu ravage mon bassin, mes entrailles et je vais défaillir d’une minute à l’autre. Soudain, Blake écarte mon visage d’elle et approche son visage du mien, ses lèvres capturant les miennes, nos goûts se mêlant. Nos langues entament alors une valse complexe, se chamaillant, se titillant l’une et l’autre, éprouvant le besoin de dominer tour à tour.
Rapidement, je suis de nouveau libre, mon sexe fier et dressé devant moi. Je n’ai pas le temps de sentir la fraicheur de l’air sur ma peau brûlante que Blake m’attire déjà en elle. « J’ai jamais eu autant envie de toi… » Nos lèvres ne se séparent quasiment pas, et nous respirons l’air de l’autre. C’est si bon, si intense, que dans la précipitation, mon membre se presse durement contre sa cuisse. Je grogne d’impatience, mordille sa lèvre inférieure. Soudain, les choses changent. Blake me force à bouger, à échanger nos places et ce n’est plus elle qui est assise sur ce banc, jambes écartées et offerte à moi, mais moi, sexe dressé, pieds fermement posés sur le sol. Mon regard de braise ne quitte pas son visage des yeux. Je n’ai quasiment pas conscience de ses gestes jusqu’à ce qu’elle finisse par s’asseoir à califourchon sur moi, son intimité humide collée à ma queue. Je déglutit en glissant doucement mon regard à nos corps soudés. Mes mains trouvent sa taille et mes doigts s’enfoncent dans ses hanches. Mon membre frotte contre le tissus, fin, léger, de son string trempé. Toutes mes terminaisons nerveuses sont en feu, je suis ultra sensible et je n’ai qu’une envie, arracher ce foutu string qui me gêne le passage, qui m’empêche de m’enfoncer en elle jusqu’à la garde. Ma bouche est sur la sienne, ou plutôt ses lèvres sont sur les miennes, mais ma langue s’enfonce en elle, valsant, rapidement, violemment avec la sienne. Une danse frénétique, à l’image de mon désir pour elle. Blake ondule du bassin, bouge d’avant en arrière contre moi et je la sens se raidir entre mes mains. Mes ongles s’enfoncent dans le fin tissu de sa robe et je la sens plus que je ne l’entends gémir. La chaleur qui émane de son corps me fait presque suffoquer. Son parfum vient titiller mes narines et me rend plus animal encore. Mais Blake me devance. Sa main se faufile entre nos deux corps et trouve rapidement son string dont elle écarte un côté pour libérer son intimé luisante de désir. J’avale difficilement ma salive, attendant non sans impatience, le moment où elle coulissera sur moi.
Je pousse un grognement gutturale alors qu’elle m’englobe, qu’elle m’accepte jusqu’au plus profond d’elle. Puis les va-et-vients me font perdre la tête. Je rejète celle-ci en arrière, gardant les yeux entrouverts pour ne pas quitter Blake une seule seconde du regard. Elle m’imite et m’offre sa gorge tandis que ses cheveux balaient ses reins, effleurent mes doigts. J’enfonce un peu plus mes doigts dans ses hanches, accompagnant son bassin. Je suis son jouet, elle fait de moi ce qu’elle veut, contrôle la vitesse et la profondeur des pénétrations et j’aime ça. Je pourrai être son instrument de plaisir autant de temps et de fois qu’elle le désir. Moi qui d’ordinaire aime dominer, avec Blake, tout est si différent. Je me laisserai malmener si elle le désir, comme j’aimerai prendre pleinement possession de son corps pour en faire ce qu’il me plait. Mais au bout de quelques minutes, je ne tiens plus, lorsque les mots franchissent la barrière de ses lèvres, sa voix suaves résonnant dans la quiétude de la nuit : « Putain, Zekh… » Alors, j’empoigne un peu plus ses hanches, je redresse la tête, avance le torse, redresse les jambes et imprime une cadence folle. Mon membre glisse en elle, d’avant en arrière, à un rythme dingue. Je ne tiens plus. Je sens le plaisir monter en moi comme la lave d’un volcan, brûlant tout sur son passage. J’entrouvre les lèvres avant de venir coller ma bouche à sa poitrine, juste au-dessus de son sein, avant d’y planter mes dents, pas assez profondément pour la faire saigner, mais assez pour lui laisser une belle marque - que je me ferai un plaisir de regarder demain matin. Soudain, le feu est bien trop puissant et je sens la jouissance me terrasser violemment. Je ne sais plus, je ne sais pas, si Blake m’accompagne. Tout ce dont je me rends compte c’est de mon coeur qui bat frénétiquement dans ma poitrine, dans ma tête, de mes râles de plaisir qui s’élèvent dans la nuit et du parfum de Blake qui m’enveloppe contre une seconde peau. Et tout est parfait. Je suis là où je devrais être, avec celle qui m’anime au plus profond de moi. « Putain de merde, Bébé, c’est trop bon. » je finis par lâcher en même temps que la pression qui semble quitter mon corps, me laissant hâletant, transpirant et à bout de forces. Mais je sais qu'il ne me suffirait que d'un regard de Blake, un mot, un geste, pour que je sois de nouveau d'attaque.