ÂGE : 24 ans (21 février 2000) SURNOM : Amy, c'est déjà assez court STATUT : Seule, mais avec la petite Abby qui est née le 24 novembre 2020 avec deux semaines d'avance ! MÉTIER : Au centre d'appel des urgences, elle envoie les secours sur place LOGEMENT : 350 Princess Street, dans le quartier de Logan City, avec sa mère et son beau père. Ou chez son père, au 797 Toowong POSTS : 22079 POINTS : 200
TW IN RP : Décès de son ex compagnon, abandon de son père quand elle était jeune, via son boulot : décès, violence, sang ... GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : bouge beaucoup ; grande bavarde ; aime beaucoup dessiner ; a une phobie des oiseaux ; déteste les ascenseurs ; allergique au citron et aux fruits de mer ; aime bien faire de la course à pied ou de la natation ; a fait du judo et a gagné quelques trophées ; a grandi avec Naruto et ses déclinaisons ; aimait beaucoup jouer à Pokemon sur les consoles, se concentre plus sur Pokemon go ; adore les super héros, Marvel ou DC ; aime bien regarder la F1 ; son truc préféré ? Emmerder son pèreRPs EN COURS : Adèle #6 ; Sawyer #2 ; Ulysse #1 ; RPs EN ATTENTE : Soon : Elliott RPs TERMINÉS : tout un tas mais plus à jour
Revenue auprès de Bob avec la barre de fer, Eireen était prête à l'aider du mieux possible. "J't'aurais pas laissé tomber. Cora me tuerait sinon." Oui. Cora allait sans doute lui en vouloir. Bob était blessé à cause d'elle d'ailleurs. Parce qu'elle n'avait pas réagi assez rapidement. Donc oui, elle allait tout faire pour sortir de là. Quitte à se retrouver à l'hôpital à nouveau parce que ses points avaient sauté. Elle espérait que ça ne se produirait pas mais sait-on jamais. L'avocate s'était mise en position, attendant le feu vert de James et de Bob. "On y va." Et au décompte, ils s'étaient lancés. Seulement, le pauvre Bob poussa un cri de douleur. Ca lui faisait mal. Terriblement mal. Il était certain d'avoir été transpercé par une barre de fer. Eireen se serait bien glissée dessous pour aller voir mais elle doutait que ça soit une bonne idée. Mais alors pas du tout. Il s'énerva quelque peu. Eireen avait l'impression d'être impuissante. Et tout ça, c'était sa faute. C'était à cause d'elle. Elle voulait tout faire pour l'aider mais est-ce que ça serait suffisant ? "On y retourne à ton go." Bob avait pris une lente inspiration. Et ils s'étaient lancés. Le pauvre souffrait le martyr. Mais après un petit moment, finalement, il était secouru. Non sans mal d'ailleurs. L'avocate avait ressenti une vive douleur là où elle avait été opérée. Mais elle n'allait pas se plaindre. Car Bob était dans un sale état. Pire qu'elle. Donc, elle ne se plaindrait pas. Maintenant, fallait s'occuper de lui. "Faut surtout faire un garrot avant que tu perdes trop de sang." Elle avait vu ça dans la série Urgences. Elle ne connaissait pas tous les épisodes par coeur mais elle avait appris deux ou trois trucs qui lui seraient utiles, forcément à un moment ou à un autre. Pour preuve. Tel Goran Visjnic, alias le docteur Kovac, dans l'un des épisodes de la saison dix, Eireen avait enlevé sa ceinture qui était purement décorative. "Ca va te faire mal un peu." Au moins, elle le prévenait. Elle serra la ceinture au max qu'elle le pouvait. Eireen regarda à droite, à gauche. Elle cherchait son sac. "T'as de la chance que j'sortais de la pharmacie. Faut juste que j'retrouve mon sac." Ouais. Il devait être sous les décombres. Ou un peu plus loin. Soudainement, des jets d'eau partirent du plafond, les arrosant. "Bordel de ..." Oui, elle n'allait pas continuer la fin de sa pensée. Non. "Manquait plus que ça." Après quelques minutes, Eireen finit par retrouver son sac. Elle avait donc des bandages et de quoi nettoyer la plaie. Ainsi que des anti-douleurs. "Tiens. Pour la douleur." Elle lui avait tendu la boîte de médicaments que le médecin lui avait prescrit. "T'as toujours mal au crâne ?" demanda Eireen à James. Parce qu'il pourrait toujours prendre un cachet. Hein. Eireen appliqua deux ou trois compresses sur la blessure de Bob et ferma le tout avec un bandage. Bon, au moins, c'était un truc de secours. Ca n'allait pas l'empêcher d'avoir mal. Il devrait quand même consulter un médecin. Mais au moins, il pisserait pas le sang.
you and i — i have galaxies hidden between my bones and i will love you until the stars burn out
La femme ne me répond pas et mon pouls commence à s’emballer. La foule a fini par s’estomper, passant à côté de nous sans faire plus de dégâts. Il ne reste plus qu’une jeune femme brune ( #HeatherMiles ) ainsi qu’un jeune homme ( #SamuelHarmon ) qui l’a déjà soulevée par les aisselles pour la transporter sur le côte. Il nous ordonne de nous dépêcher et on a pas vraiment le choix. Je me saisis de ses jambes et ensemble nous déplaçons la blonde. Malheureusement, elle ne semble pas se réveiller ni montrer le moindre signe de vie. Inquiète, je place la paume de ma main à quelques centimètres de sa bouche. J’ai vu beaucoup de médecins faire ça, lors des quelques stages que j’ai déjà effectué et là c’est le drame. Je ne ressens rien, pas la moindre bise, pas d’air. Je lève les yeux vers les deux personnes qui m’entourent et me relève. Je pose ma main sur mon front et un rire nerveux s’empare de moi. « Merde je crois qu’elle est… Elle n’est… » En cours, j’ai déjà eu affaire à des cadavres que je disséquais sous les yeux attentifs de mes professeurs. Dans la réalité, c’est totalement différent. J’achève. « … plus avec nous. » Mais je n’ai pas le temps de m’appesantir sur son sort. Il faut qu’on sorte tous d’ici le plus rapidement possible. Un détail attire mon attention. « Oh mon dieu, regardez toute cette fumée ! » Et, de la fumée, y’en a un sacré paquet. Noire, elle empêche de distinguer ce qui se trouve de l’autre côté. Elle se dirige droit vers nous. Je jette un coup d’œil à mes compagnons d’infortune. Si nous ne trouvons pas comment nous dégager d’ici rapidement, nous allons tous littéralement cuire puisqu’il n’y a pas de fumée sans feu… Je me mets alors à scruter le centre commercial, du moins ce qu’il en reste. J’ai l’impression de vivre la fin du monde. Tout est cassé, sans dessus dessous. Je remarque un petit groupe de personne, un peu plus loin, qui semble plus éloigné de l’incendie que nous. C’est la seule direction que nous pouvons prendre pour nous en sortir. Je fais part de cette pensée. « Je crois qu’on devrait partir là-bas ? Il y a l’air d’avoir du monde… » Ce que je n’entends pas, en revanche, ce sont les toux d’une autre personne qui sort du nuage du fumée ( #ChelseaRothschild ).
EVENT D'HALLOWEEN (mall of the dead.) La fumée me brûlait la gorge. Elle s’infiltrait par mes narines et mettait le feu à ma trachée. Elle se répandait dans mon corps et le seul réflexe que j’avais était de tousser, tousser encore et encore, tousser à m’en arracher les poumons. Mon esprit était dans un état second. J’étais encore suffisamment lucide pour me rendre compte de ce qu’il se passait autour de moi ; j’avais tenté de sortir du centre commercial par l’entrée principale mais j’étais arrivée trop tard. Les flammes avaient pris possession des lieux, possession de la sortie, possession de mes espoirs qui se transformaient en poussières à mesure que je prenais de nouvelles bouffées d’air. Alors, je tentais de me rappeler. Me rappeler de mon fils, me rappeler de son sourire, me rappeler de ces instants que j’avais partagé avec lui. Je me rappelais de lui pour me forcer à mettre un pas devant l’autre, je me rappelais de lui pour me battre. Je n’étais pas prête à l’abandonner ; je refusais d’imaginer ce qui pourrait lui arriver si je venais à passer mes derniers instants ici. Je me rappelais tant de lui que je pouvais presque entendre sa voix dans mon esprit ; j’ai appris à l’école que lors d’un incendie il faut chercher l’air près du sol, tu le savais ? tu le savais, ça, maman ? J’avais conscience d’halluciner, d’entendre des choses qui provenaient de mes souvenirs, de voir des flammes dansantes là où il n’y en avait pas. Mais je m’accroupis quand même. Je suivis le conseil d’Elias, même s’il n’était pas là, même si je n’étais même pas sûre qu’il m’ait dit cela un jour. Je suivis le conseil d’Elias, confuse, le corps endolori, le bras inerte, les poumons en feu. Chaque pas était difficile. Chaque pas me demandait du courage. Mais j’avais plus d’air. Du moins, j’étais presque sûre que c’était le cas. Alors, je tentais de me rappeler. Je m’appelais Chelsea. J’avais vingt-six ans. J’étais la fière maman d’Elias, dix ans, rayon de soleil, petit ange tombé du ciel. J’étais venue faire des provisions et profiter des promotions. L’orage avait éclaté. Puis, la panique. Mes yeux étaient secs, si secs que battre des paupières me faisait mal. D’un autre côté, je ne sentais plus le bras où des flammes étaient venus lécher ma peau. Puis, il y avait ma gorge qui me brûlaient. Mes poumons qui semblaient se décomposer. Je toussais, toussais, toussais. Je toussais au point où j’étais étonnée de ne pas cracher du sang. Puis, finalement, à mesure que j’avançais, la fumée sembla se dissiper légèrement et j’entraperçus les silhouettes de personnes encore piégées à l’intérieur. Je me redressai pour me précipiter vers, chaque pas me demandant un effort, chaque pas plus difficile que le précédant. Puis, finalement, j’arrivais à la hauteur de @Théodora Hazard-Perry mais mes jambes flageolantes cessèrent de me porter et je tombais à terre, cherchant désespérément de l’air, cherchant désespérément à demander de l’aide sans réussir à cesser de tousser.
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Amy Castle
la voix au bout du fil
ÂGE : 24 ans (21 février 2000) SURNOM : Amy, c'est déjà assez court STATUT : Seule, mais avec la petite Abby qui est née le 24 novembre 2020 avec deux semaines d'avance ! MÉTIER : Au centre d'appel des urgences, elle envoie les secours sur place LOGEMENT : 350 Princess Street, dans le quartier de Logan City, avec sa mère et son beau père. Ou chez son père, au 797 Toowong POSTS : 22079 POINTS : 200
TW IN RP : Décès de son ex compagnon, abandon de son père quand elle était jeune, via son boulot : décès, violence, sang ... GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : bouge beaucoup ; grande bavarde ; aime beaucoup dessiner ; a une phobie des oiseaux ; déteste les ascenseurs ; allergique au citron et aux fruits de mer ; aime bien faire de la course à pied ou de la natation ; a fait du judo et a gagné quelques trophées ; a grandi avec Naruto et ses déclinaisons ; aimait beaucoup jouer à Pokemon sur les consoles, se concentre plus sur Pokemon go ; adore les super héros, Marvel ou DC ; aime bien regarder la F1 ; son truc préféré ? Emmerder son pèreRPs EN COURS : Adèle #6 ; Sawyer #2 ; Ulysse #1 ; RPs EN ATTENTE : Soon : Elliott RPs TERMINÉS : tout un tas mais plus à jour
Bob était soigné. Enfin, soigné, c'était un grand mot. Disons qu'il n'allait plus perdre son sang. Elle l'avait rafistolé comme elle avait pu. Elle n'était pas médecin. Elle n'était pas infirmière non plus. Elle n'avait aucune connaissance dans la médecine. Rien du tout. Elle s'était juste contentée, durant de nombreuses années, la série Urgences mais ça ne faisait pas d'elle un médecin. Mais au moins, Bob risquait moins d'avoir une infection. Bien sûr, ils iraient à l'hôpital dès qu'ils se seraient sortis de ce calvaire. Et bien sûr, Bob et James auraient tous les deux des soins décents. Valait mieux d'ailleurs. "Bon. Je serais d'avis qu'on se tire bien vite avant que d'autres morceaux du plafond décident de s'écrouler et de nous écraser comme des crêpes." Ouais. Parce qu'avec leur chance, mine de rien, ils risquaient bien d'avoir quelques bricoles. Et elle n'avait clairement pas envie que ça arrive. Bob était déjà blessé par sa faute. Elle n'avait pas envie de culpabiliser plus en restant là, à ne rien faire, à attendre qu'on vienne leur filer un coup de main. D'autant plus que s'ils restaient là, sous les extincteurs automatiques à eau, ça serait pas top. Bien sûr, ils étaient pas en sucre et un peu d'eau, ça pouvait pas leur faire de mal. M'enfin. Plus vite ils dégageraient, mieux ça serait à dire vrai. Eireen rangea tout ce qu'elle n'avait pas utilisé dans son sac à main et elle le mit en bandoulière. Parce que ça serait plus simple pour aider Bob à marcher. "Tu me files un coup de main ?" demanda-t-elle à James. Parce que ça serait pas bon de se séparer. Non. Ils allaient partir d'ici tous les trois. Peut-être qu'ils allaient croiser d'autres personnes en cours de route. Et peut-être que quelqu'un saurait se repérer et trouver une issue de secours ou un truc dans le genre. "T'es prêt Bob ?" L'aider à se relever, ça allait être douloureux pour lui sans doute. Mais ils devaient partir. "A mon décompte ..." Elle avait compté jusqu'à trois. Et elle avait aidé Bob à se redresser. Et ils s'étaient mis en route. Pas forcément dans la bonne direction puisque plus ils avançaient, plus il y avait de la fumée. Ca sentait ... le brûlé ... Fichu orage à la noix. Fichu centre commercial. Elle aurait mieux fait de rester chez elle, c'était certain. Maintenant, elle ne pouvait qu'essuyer les plâtres, si on pouvait dire cela ainsi. Il y avait des gens qui parlaient. Ou du moins, Eireen avait l'impression d'entendre des voix. Peut-être @Chelsea Rothschild et @"Theodora Hazard-Perry" qui n'étaient pas bien loin d'eux. "Hé oh ! Y'a encore du monde ici ?" se hasarda à demander Eireen en haussant un peu la voix, histoire qu'on les entende. Comme on le dit si souvent, l'union fait la fore.
you and i — i have galaxies hidden between my bones and i will love you until the stars burn out
Après plusieurs tentatives, je suis enfin sortit d’affaire. Enfin, c’est peut-être un bien grand mot. Eireen prend vite les choses en main et propose de me faire un garrot. Afin que le sang cesse de couler à flot je pense mais je n’y connais tellement rien en médecine que je me fie totalement à ce qu’elle me dit. Elle retire sa ceinture. Je ne comprends pas tout de suite, c’est seulement lorsqu’elle l’accroche au dessus de la plaie que je comprend. Avant de la serrer elle m’avertie prévenante. "Ça va te faire mal un peu." Je serre les dents à cette annonce, j’avais déjà l’impression que mon cœur battait dans ma cuisse, je ne pensais pas que ça puisse être pire… Mais j’avais tord, bien sûr encore une fois ça a fait un mal de chien ! Par chance, Eireen sortait de la pharmacie elle avait donc du matos dans son sac. Maintenant il nous fallait juste trouver le sac qu’elle avait perdue dans les débris. Ils se lancèrent à deux pour le retrouver. Je voulais aider mais clairement je n’étais pas d’une très grande aide. Pendant que Eireen et James était parti à la recherche du sac, des jets d’eau impressionnants sortir de ce qu’il restait du plafond, ils avaient pourtant cessé de le faire, aller savoir pourquoi c’est reparti. Ça a bien entendu ralenti leur recherche mais ils ont finit par mettre la main sur quelques médocs et de quoi nettoyer la plaie. Un peu d’alcool histoire de réveiller une nouvelle fois la douleur. Quand j’ai vu tout ce matériel, je dois avouer que je me suis demandé pourquoi elle avait se genre de truc avec elle, mais je n’ai rien dit. C’était pas vraiment le bon moment pour parler de ça et je ne suis pas sûre qu’elle aurait voulu m’en parler de toute façon. Une fois la plaie désinfecter et le médicament digéré, je suis enfin prêt à bouger, il était clair que nous ne devions pas rester là et clairement, on était pas sortit d’affaire, Eireen l’avait bien compris "Bon. Je serais d'avis qu'on se tire bien vite avant que d'autres morceaux du plafond décident de s'écrouler et de nous écraser comme des crêpes." Eireen et James se placèrent chacun d’un coté de mois. J’ai vite compris que j’allais devoir me lever et qu’on allait devoir m’aider. "T'es prêt Bob ? A mon décompte… " Se lever, encore une nouvelle douleur mais me voilà debout. Chaque pas me fait mal soyons clair, mais il va bien falloir sortir de là alors je serre les dents. Alors que nous commencions à nous déplacer il y a eu des voix, puis des silhouettes. Mais avec cette flotte et la fumée on était clairement sûr de rien. Eireen se tente à un "Hé oh ! Y'a encore du monde ici ?" Nous attendons une réponse, espérant en même temps qu’il y est bien quelqu’un pour nous aider et d’un autre côté que personne ne soit encore en danger ici avec nous. Pour ma part j’espère surtout que la sortie est proche parce qu’avec ma plaie, cette flotte et la fumée que me brûle la gorge je ne sais pas encore combien de temps je vais tenir. Même si nous n’avons pas vraiment eu de réponse, nous décidons de nous diriger vers les formes. De tout façon la sortie principale a été détruite par l’éboulement, nous n’avons donc plus 36 solutions pour sortir de là. Avec un peu de chance nous finirons par tomber sur une issue de secours qui aura tenu le coup.
CODE TOXIC GLAM
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