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 you won’t mind if i use a quick-quotes quill ? (arthur)

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Message(#)you won’t mind if i use a quick-quotes quill ? (arthur) - Page 2 EmptyLun 22 Mai 2017 - 8:47

« Je suis beaucoup trop feignante pour jouer à ce jeu là. Et oui, Brisbane est une ville vraiment charmante. Et Dieu que le soleil est bon de ce côté ci du globe ! » Tu souris à sa remarque sur le soleil. Il est vrai qu’à Brisbane, vous ne pouviez pas trop vous plaindre de ce côté là. Tu avais toujours été bronzé, tu ne te souvenais pas d’avoir un jour été blanc. Pour toi tout cela était normal mais vu l’accent de Debra, elle devait venir d’Angleterre ou du Royaume Uni du moins et de ce que tu avais entendu sur ce pays, il n’y faisait jamais réellement très beau. « C’est un atout de Brisbane en effet, le soleil semble ne jamais vouloir nous quitter. » Oh il y avait des jours où il ne faisait pas beau et où le soleil ne se montrait pas mais c’était tellement rare que ces jours étaient vite oubliés. Tu confiais à Debra ton parcours. C’est peut-être cliché et pas très ambitieux de revenir enseigner là où vous avez étudié mais toi tu aimais bien cette idée d’être enraciné quelque part, de construire une histoire dans un lieu. « Vous n’avez donc pas réellement fait attention à la façon dont le proviseur parle de vous. Si je me fie à ses paroles, vous êtes un gars qui vaut le détour. La preuve, je suis ici aujourd’hui. » Tu trouvais cette remarque très ironique. Le proviseur avait été le premier à te faire vivre un enfer quand tu avais débarqué. Trop jeune il disait et puis tu voulais coacher l’équipe de baseball, le coach ne faisait rien de bon mais pendant des années il s’était arrangé pour qu’elle ne tombe pas entre tes mains. Tu n’avais jamais compris pourquoi il faisait tout ça mais désormais il semblait avoir changé de discours. « Vous me direz si je vaux réellement le détour, je ne peux pas juger mais le proviseur est un homme étrange, il a passé des années à me mettre des bâtons dans les roues. C’est surtout un grand opportuniste. » Dis-tu en haussant les épaules. Arrivés dans le café, vous ne tardâtes pas à prendre place avant qu’une serveuse ne vienne vous demander si vous désiriez commander quelque chose. « Un café Arthur ou quelque-chose de plus fort ? » De plus fort ? Vu l’heure tu te contenteras d’un café. « Un café serait parfait pour moi. » Lui répondis-tu avant un sourire. Une fois que la serveuse eut pris vos commandes, tu demandais à Debra : « Vous m’avez interviewé pour quel journal au fait ? » Tu doutais que ça intéresse grand monde comme histoire …
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Message(#)you won’t mind if i use a quick-quotes quill ? (arthur) - Page 2 EmptyLun 22 Mai 2017 - 23:39

« C’est un atout de Brisbane en effet, le soleil semble ne jamais vouloir nous quitter. » Debra ne dirait pas non pour rester là toute sa vie maintenant qu’elle avait connu cette possibilité d’avoir du soleil à longueur d’année, quand elle voulait et surtout presque parfois jusqu’au bout de la nuit. Son bronzage n’avait jamais été autant bien fait, même l’hiver approchant, et elle ne s’était jamais autant sentie bien depuis bien des mois que maintenant à Brisbane. Mais apparement, à Brisbane, il n’y avait pas que le soleil qui valait le détour si on en écoutait le proviseur de cette école. « Vous me direz si je vaux réellement le détour, je ne peux pas juger mais le proviseur est un homme étrange, il a passé des années à me mettre des bâtons dans les roues. C’est surtout un grand opportuniste. » Elle eut un petit rire. « Il est juste comme tous ces dirigeants d’établissement qui vous caressent dans le sens du poils uniquement quand ça les arrange. Et surtout quand ça leur fait gagner quelque-chose à la fin. » Car, même si Arthur n’avait pas cette vision là, le proviseur cherchait lui à faire de la publicité à son établissement - et Debra ne le blâmait pas, elle aurait sûrement fait la même chose à sa place. Pour l’instant, la seule chose qu’elle devait faire c’était choisir sa boisson pour que la serveuse puisse leur apporter. « Un café serait parfait pour moi. » Petite moue moqueuse en coin, elle haussa les épaules avant de lever le regard vers la jeune femme. « Deux cafés alors. » Bien sûr, elle n’aurait pas dit non à un petit verre un peu plus corsé, mais le jeune homme semblait être lui raisonnable. « Vous m’avez interviewé pour quel journal au fait ? » Après un sursaut de sourcils, Debra vint tirer de nouveau son calepin de son sac - elle voulait être sûre de ne pas dire de connerie. « C’est pour Today in Town, je vous avoue que je connaissais pas avant qu’on me demande de venir vous voir. Apparemment, c’est une bonne référence au niveau des résultats de sport, scolaires et pour d’autres choses dont j’ai du oublier l’existence. » Elle fit un petit sourire avant de ranger son calepin de nouveau. Elle était complètement larguée au niveau des journaux recommandables en ville ou non, et elle s’en voulait pour ce point là.
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Message(#)you won’t mind if i use a quick-quotes quill ? (arthur) - Page 2 EmptyMer 24 Mai 2017 - 7:06

Tu n’en voulais pas à ton proviseur d’essayer de capitaliser sur cette victoire pour attirer de nouveaux élèves. Tu pensais que c’était complètement débile mais c’était son travail de ramener de nouveaux élèves et même si d’habitude on te laissé en dehors de tout cela, tu savais que le proviseur était très impliqué de ce côté là. Tu ne lui en voulais pas de t’avoir mis cette interview mais tu lui en voudras toujours d’avoir mis plus de deux ans à te confier l’équipe de baseball qui tombait en ruine simplement parce qu’il n’en avait pas envie. « Il est juste comme tous ces dirigeants d’établissement qui vous caressent dans le sens du poils uniquement quand ça les arrange. Et surtout quand ça leur fait gagner quelque-chose à la fin. » Tu hoches la tête. Le proviseur est loin de faire cela de bonté de cœur, tu sais que plus les élèves affluent, plus la prime est grande pour lui à la fin de l’année. Mais il faudra faire attention à ne pas être victime de votre succès, les places ne sont pas illimitées non plus dans l’établissement. « Ce n’est pas un mauvais proviseur, il pense surtout à sa prime en réalité. Mais de nouveaux élèves ce n’est jamais mauvais. » Tu n’étais pas conte les nouveaux élèves, c’était tout le reste qui était fait autour de cette victoire qui t’énervait plus qu’autre chose en réalité. Mais maintenant que vous étiez au café, il était peut-être temps de parler d’autre chose non ? Sauf que tu ne savais pas réellement comment entamer la conversation. Tu décidais de continuer sur l’article après que vous ayez commandé car au moins cela n’était pas une question trop invasive. « C’est pour Today in Town, je vous avoue que je connaissais pas avant qu’on me demande de venir vous voir. Apparemment, c’est une bonne référence au niveau des résultats de sport, scolaires et pour d’autres choses dont j’ai du oublier l’existence. » Tu hoches la tête, c’est un journal local en effet. Tu n’es pas très journaux mais avoir vécu à Brisbane depuis longtemps fait que tu ne peux que les connaître. « Vous auriez pu tomber sur pire. C’est un journal local comme un autre je dirais. » Dis-tu en haussant les épaules. « Vous travaillez à votre compte ? » Elle ne parlait pas du journal comme quelqu’un qui y travaillait, elle devait leur écrire cet article et juste celui-là certainement du coup tu ne pouvais t’empêcher de lui poser la question.
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Message(#)you won’t mind if i use a quick-quotes quill ? (arthur) - Page 2 EmptyMer 24 Mai 2017 - 9:55

« Ce n’est pas un mauvais proviseur, il pense surtout à sa prime en réalité. Mais de nouveaux élèves ce n’est jamais mauvais. » C’était sur que ce n’était jamais mauvais, ça voulait dire que la réputation de l’école était toujours assez bonne pour que les parents aient envie d’y envoyer leurs enfants. Lorsqu’elle était jeune, pour Debra, de nouveaux élèves voulaient dire de nouvelles personnes à emmerder chaque année - et ça, elle avait adoré. Arthur, une fois qu’ils furent bien installés dans le café et qu’ils eurent commandé leurs boissons, lui demanda pour quel journal elle était venue discuter avec lui aujourd’hui. Bien sur, cette question Debra savait y répondre, en revanche ce n’était pas la personne la plus calée pour répondre à des questions davantage poussées sur le journal en lui même et son histoire. « Vous auriez pu tomber sur pire. C’est un journal local comme un autre je dirais. » Debra haussa les épaules. Du moment que ça la payait pour sa journée, pour le moment. « Vous travaillez à votre compte ? » La jeune femme vint faire une moue hésitante, pour une fois elle vint chercher les mots justes pour décrire sa situation. « Plus ou moins on va dire. Je recommence juste à travailler après des mois à avoir profité de la ville, après mon arrivée. » Dit de cette façon, elle ne pourrait pas faire de gaffe quant à sa grossesse non-désirée dont elle ne voulait toujours parler à personne. « Je fais des petits missions de type intérim, en attendant de trouver un poste quelque-part qui me botte assez pour que j’ai envie de me battre pour. » Elle adorait les études qu’elle avait entrepris pour le métier qu’elle pouvait pratiquer maintenant, c’était vraiment une vocation qui était née - pour une fouine comme elle, ce n’était pas si étonnant que ça au final -, mais elle faisait partie des personnes qui ne se donnaient pas les moyens si elles n’en voyaient pas l’intérêt. D’où le fait que Debra attende le bon moment pour réellement se battre pour un boulot. Et tant que Gauthier ne l’aurait pas mise dehors aussi, accessoirement.
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Message(#)you won’t mind if i use a quick-quotes quill ? (arthur) - Page 2 EmptyMer 24 Mai 2017 - 21:58

Il était grand temps de clore le sujet du proviseur. Cet homme ne méritait nullement qu’on s’arrête sur lui alors il fallait passer à autre chose. Et comme vous aviez beaucoup parlé de toi et de ton métier, tu décidais d’engager Debra sur le sien. Journaliste n’était jamais une voie que tu avais envisagée mais à chacun son talent et si la jeune femme aimait son métier, c’était l’essentiel à tes yeux. C’était ce que tu ne cessais de répéter à tes élèves tout au long de l’année, particulièrement ceux qui étaient en train de choisir leurs spécialisations universitaires ou leurs métiers s’ils ne voulaient pas poursuivre les études. C’était un principe pour toi, tu poussais ceux qui avaient envie d’aller plus loin, pour les autres tu les encourageais à trouver autre chose mais tu ne laissais jamais personne sur la touche. « Plus ou moins on va dire. Je recommence juste à travailler après des mois à avoir profité de la ville, après mon arrivée. Je fais des petits missions de type intérim, en attendant de trouver un poste quelque-part qui me botte assez pour que j’ai envie de me battre pour. » Tu hoches la tête. Tu peux comprendre que certaines personnes aient besoin d’une pause. Toi tu avais bien les grandes vacances pour cela alors pourquoi pas ? Mais tu ne te souvenais pas d’un temps où tu n’avais pas été actif, où tu n’avais pas travaillé. L’idée d’être au chômage t’avait toujours angoissée alors voir que des gens prenaient la chose de manière tout à fait détendue te surprenait toujours. Tu faisais parti des gens qui se battent dans tous les cas de ton côté. « La brunette difficile serait une bonne épithète singulière pour vous. » Lui dis-tu avec un sourire sur les lèvres pour la taquiner. Vos cafés ne tardèrent pas à arriver devant vous et tu remerciais la serveuse avant de dire : « Le chômage et l’inactivité me font légèrement peur. Je ne me suis jamais arrêté de travailler maintenant que j’y pense. » Dis-tu en haussant les épaules. « Et ce serait quoi votre dream job ? » Lui demandas-tu curieux.
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Message(#)you won’t mind if i use a quick-quotes quill ? (arthur) - Page 2 EmptyJeu 25 Mai 2017 - 11:41

« La brunette difficile serait une bonne épithète singulière pour vous. » La remarque du jeune homme tire un vrai rire de la gorge de Debra. « Vous ne savez pas à quel point vous avez raison. » Tous les personnes qui la connaissaient de plus près pourraient confirmer les paroles d’Arthur. Debra était même plus que difficile, elle était chiante - et elle s’en ventait, c’était ça le pire dans l’histoire. « Le chômage et l’inactivité me font légèrement peur. Je ne me suis jamais arrêté de travailler maintenant que j’y pense. » Debra haussa les épaules. Elle ne pensait pas avoir à s’arrêter comme ça pendant aussi longtemps, mais dans son cas à elle, elle avait été contrainte de le faire. Raison dont elle ne se ventait surement pas. « Ca fait du bien. Le plus dur c’est de reprendre de toutes façons, comme toujours. » Surtout quand vous avez le choix entre rester toute la journée sur le canapé ou auprès de la piscine dans une maison aussi majestueuse que celle des Hazard-Perry ou aller travailler. « Et ce serait quoi votre dream job ? » La question laissa Debra un peu perplexe. Il fallait avouer que ce n’était pas souvent qu’on lui posait ce genre de question, et elle n’était pas habituée qui plus est à recevoir une telle attention sans l’avoir réclamée auparavant. Elle vint hocher la tête, croisant les bras sous sa poitrine, s’adossant à sa chaise. « Ca fait longtemps que j’ai pas pensé comme ça, je suis un peu prise au dépourvu. Mais je pense que le journalisme me convient parfaitement, et j’adorais exercer ce métier dans un domaine où le luxe est maitre, je pense. Passer aux soirées mondaines, avoir l’occasion de mettre des robes de princesse pour aller exercer mon job. » Elle eut un petit sourire en coin. Son coté princesse sur les bords n’était jamais loin. « Et vous alors, le dream job a t-il été trouvé ? »
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Message(#)you won’t mind if i use a quick-quotes quill ? (arthur) - Page 2 EmptyJeu 25 Mai 2017 - 18:35

« Vous ne savez pas à quel point vous avez raison. » Tu étais heureux de voir que Debra ne prenait pas mal ta petite taquinerie. Quand on ne connaît pas les gens, on ne peut pas savoir à l’avance comment ils vont réagir à ce genre de chose. Debra semblait les apprécier ce qui te faisait plaisir parce que tu ne les contrôlais pas toujours. Tu lui fis remarquer que tu n’avais jamais arrêté de travailler, tu avais commencé à enseigner de suite après la fin de l’université. « Ca fait du bien. Le plus dur c’est de reprendre de toutes façons, comme toujours. » En effet, c’était ce que tu avais entendu dans ton entourage en tout cas. Et ce que tu vivais à chaque retour des grandes vacances. C’est toujours dur de reprendre pour tout le monde. « Vous semblez reprendre doucement, j’espère que je ne vous ai pas maltraitée. » Tu imaginais mal la jeune femme reprendre le travail en grande pompe si c’était toi qu’elle venait interviewé. Ce qui t’amena à ta question suivante sur son job de rêve. Si elle comptait s’investir seulement si cela valait le coup, elle devait bien savoir quel était son job de rêve. « Ca fait longtemps que j’ai pas pensé comme ça, je suis un peu prise au dépourvu. Mais je pense que le journalisme me convient parfaitement, et j’adorais exercer ce métier dans un domaine où le luxe est maitre, je pense. Passer aux soirées mondaines, avoir l’occasion de mettre des robes de princesse pour aller exercer mon job. Et vous alors, le dream job a t-il été trouvé ? » Voilà un milieu que tu ne connaissais pas beaucoup. Toi tu avais grandi dans une famille modeste, de la classe moyenne et tu n’avais jamais aspiré à beaucoup plus ou du moins jamais au luxe. Les soirées mondaines, tu avais eu l’occasion d’en faire quelques unes quand tu étais à l’université, sur la liste de futurs joueurs potentiels de l’équipe de baseball de la ville, cela ne t’avait pas paru inoubliable comme soirée. Mais chacun ses goûts ! « J’espère que vous arriverez à décrocher un poste là-dedans alors. C’est un milieu que je connais fort mal. » Dis-tu en haussant les épaules. C’était la vérité, mieux valait le reconnaître. « Mon dream job c’est celui que je suis en train d'excercer, je n’ai pas envie de faire autre chose. » Dis-tu en haussant les épaules. Du moment que tu gardais un peu de baseball dans ta vie, tu n’avais pas de regrets. « Cela vous étonnera peut-être mais j’ai choisi l’enseignement alors qu’on me proposait une place dans l’équipe de baseball de Brisbane. Je suppose qu’aujourd’hui j’aurais pu faire parti de l’équipe nationale si j’avais suivi cette voie. » Dis-tu un sourire sur les lèvres. Tu n’avais aucun regret, enseigner te permettait de changer la vie de tes élèves, tu en étais persuadé.
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Message(#)you won’t mind if i use a quick-quotes quill ? (arthur) - Page 2 EmptyVen 26 Mai 2017 - 11:02

« Vous semblez reprendre doucement, j’espère que je ne vous ai pas maltraitée. » Elle eut un petit rire. « Croyez moi, vous seriez dans un bien plus piteux état si vous en étiez venu à m’énerver. » Parce-que c’était une tigresse, elle était féline et que si quelqu’un lui sortait par les yeux, l’énervait ou tentait de lui en fair baver, cette personne finissait souvent par partir en courant dans la direction opposée en voyant au phénomène qu’elle avait à faire. Arthur orienta par la suite la discussion sur le travail de ses rêves, la truc qu’elle voudrait absolument faire pour faire de sa carrière quelque-chose de parfait. Et, curieuse comme tout, Debra lui retourna la question. « J’espère que vous arriverez à décrocher un poste là-dedans alors. C’est un milieu que je connais fort mal. Mon dream job c’est celui que je suis en train d'excercer, je n’ai pas envie de faire autre chose. Cela vous étonnera peut-être mais j’ai choisi l’enseignement alors qu’on me proposait une place dans l’équipe de baseball de Brisbane. Je suppose qu’aujourd’hui j’aurais pu faire parti de l’équipe nationale si j’avais suivi cette voie. » Debra leva un sourcil, intriguée. « Vous êtes donc une presque star, c’est intéressant. Je n’avais jamais pris de café avec une presque star avant. » Elle tira un petit sourire taquin. Il était rare que, lors de ce genre de proposition, les gens refusent. Normalement, les sportifs amateurs sautaient sur l’occasion, lorsqu’ils étaient repérés jeunes, pour entrer dans une équipe de professionnelle. Se faire un nom, une carrière, une passion. Et pourtant, Arthur lui avouait avoir refusé. « Ca m’étonne effectivement que vous ayez choisi les gosses à une carrière de rêve. Vous avez la plastie qui va avec le job pourtant. Pourquoi avoir refusé ? » Parce-que vouloir supporter des gosses à longueur de journée, il fallait vouloir, lorsqu’on pouvait devenir une star en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire.
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Message(#)you won’t mind if i use a quick-quotes quill ? (arthur) - Page 2 EmptyVen 26 Mai 2017 - 12:02

« Croyez moi, vous seriez dans un bien plus piteux état si vous en étiez venu à m’énerver. » Tu ne connaissais pas réellement Debra mais tu n’avais aucun mal à l’imaginer en train de faire des réflexions. Cela te paraissait étrange, un journaliste doit se contrôler pourtant non ? Rencontrer des personnes insupportables et égocentriques cela devait arriver souvent. Mais tu décidais de répondre avec un sourire, c’était à Debra de gérer sa carrière et ce qu’elle voulait en faire, pas à toi. Elle devait avoir interrogé plus de gens que toi dans sa vie donc c’était elle la professionnelle. La discussion s’orienta vers le job de vos rêves. C’était peut-être débile comme question mais tu la posais souvent à tes élèves. Ce job pouvait changer au fil du temps mais c’était important à tes yeux de leur donner une direction, un but à atteindre qui les motive à travailler dans tous les cours et pas que dans le tient. Les mathématiques ne passionnent pas tes élèves, c’est un combat quotidien pour les intéresser. « Vous êtes donc une presque star, c’est intéressant. Je n’avais jamais pris de café avec une presque star avant. » Une star, tu aurais certainement pu le devenir. Tu y as pensé, comme beaucoup certainement. Certains coéquipiers n’avaient pas hésité à se jeter sur cette proposition te regardant comme un extraterrestre. Tu étais content pour eux, aujourd’hui ils étaient les stars qu’ils avaient rêvé d’être, ils coacheront un jour de grandes équipes certainement. « Ravi d’être votre premier. » Lui dis-tu un grand sourire en coin sur les lèvres. Rentrer dans le jeu était amusant, tu ne pouvais le nier. De presque star tu étais passé à inconnu en un mois car les journaux n’avaient pas pu laisser passer ce refus incompris de tous. « Ca m’étonne effectivement que vous ayez choisi les gosses à une carrière de rêve. Vous avez la plastie qui va avec le job pourtant. Pourquoi avoir refusé ? » C’était la grande question. Tu avais refusé de te justifier à d’autres qu’aux recruteurs à l’époque et les gens avaient fini par laisser tomber. « J’ai toujours adoré les mathématiques et devenir enseignant c’était ce que je voulais faire. Le baseball est devenu autre chose qu’une passion un peu par hasard. J’adore ça, je m’y donnais à fond et j’étais bon alors on me recrutait au collège, au lycée puis à l’université. Mais … » Tu avais refusé de l’admettre, pendant de longues années tu avais refusé de l’admettre, même à toi-même et tu ne l’avais jamais verbalisé car cette question ne s’était plus posée depuis des années. « Quand j’étais adolescent, ma sœur s’est fait violer par notre beau-père. A l’époque, j’étais trop proche de ma mère pour la prendre au sérieux et je n’ai pas été là pour elle. Aujourd’hui je n’ai plus vraiment de famille et je pense qu’inconsciemment j’avais besoin d’être là, au milieu de tous ces élèves traversant un moment difficile pour les aider, les empêcher de sombrer. » Pathétique n’est-ce pas ? Etre une star aurait été plus simple mais la culpabilité que tu ressentais n’en aurait été que plus grande.
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Message(#)you won’t mind if i use a quick-quotes quill ? (arthur) - Page 2 EmptySam 27 Mai 2017 - 15:33

A partir du moment où Arthur annonça à Debra qu’il aurait pu être un star, avoir la carrière qui allait avec grâce à ses prouesse dans ce sport qu’il aimait tant, la jeune femme n’avait qu’une question en tête. Elle voulait savoir pourquoi il avait arrêté, pourquoi il avait refusé. Parce-que ça curiosité était piquée à vif. La plupart des gens ne disaient jamais non à la gloire, parce-que l’égo a besoin d’être souvent redoré - et quoi de mieux qu’être célèbre pour que ça arrive ? « J’ai toujours adoré les mathématiques et devenir enseignant c’était ce que je voulais faire. Le baseball est devenu autre chose qu’une passion un peu par hasard. J’adore ça, je m’y donnais à fond et j’étais bon alors on me recrutait au collège, au lycée puis à l’université. Mais … » Venant poser sa tête dans le creux de ses mains, les coudes appuyés sur la table du café, un sourcil interrogateur se vit être hissé sur le visage de Debra. Il avait vraiment piqué sa curiosité à vif, comme peu d’histoires le faisaient. Dernièrement, en tous cas. « Mais ? » Etonnement, sa voix était douce, elle avait laissé le côté journaliste de côté pour réellement se concentrer sur sa curiosité à elle, à la demoiselle Brody. « Quand j’étais adolescent, ma sœur s’est fait violer par notre beau-père. A l’époque, j’étais trop proche de ma mère pour la prendre au sérieux et je n’ai pas été là pour elle. Aujourd’hui je n’ai plus vraiment de famille et je pense qu’inconsciemment j’avais besoin d’être là, au milieu de tous ces élèves traversant un moment difficile pour les aider, les empêcher de sombrer. » Ce n’était plus seulement un sourcil haussé que portait Debra maintenant, c’était toute une expression d’étonnement de respect qu’elle portait. « Et bien. » Elle vint se redresser, s’adosser de nouveau à sa chaise, se permettant de prendre une gorgée de café au passage. « C’est ce c’est une belle raison en plus. » Elle vint hocher doucement la tête. « Une belle gueule et un grand coeur. Chapeau. » A sa place, Debra n’aurait pas été capable de faire le quart de ce qu’il faisait. La preuve, dès qu’une vraie épreuve avait fait surface dans sa vie, elle s’était barrée à l’autre bout du monde pour ne pas avoir à affronter les conséquences de ses actes.
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Message(#)you won’t mind if i use a quick-quotes quill ? (arthur) - Page 2 EmptySam 27 Mai 2017 - 17:45

Tu étais bien conscient que ton choix déroutait la plupart des gens. Il fallait s’y attendre, particulièrement à vingt-deux ans, peu choisiraient la vie d’un professeur classe moyenne anonyme à celle d’un jour d’envergure potentiellement internationale un jour. Mais tu avais fait ton choix, c’était toi et toi seul qui l’avais fait et tu ne le regrettais pas. Le faire comprendre aux autres avait été compliqué particulièrement parce qu’à l’époque tu n’avais pas réellement voulu regarder la réalité en face. Mais ta vie avait été bien différente à ce moment là. Tu étais en couple avec Lily, tu avais sorti la tête de l’eau après les histoires familiales et tu regardais la vie de manière optimiste. Tu avais gardé l’optimisme mais ta vie était loin de ressembler à ce que tu avais imaginé. « Et bien. C’est ce c’est une belle raison en plus. Une belle gueule et un grand coeur. Chapeau. » Tu hausses les épaules, tu n’es pas réellement convaincu d’avoir fait ce choix parce que tu avais un grand cœur. Non, tu en étais même persuadé. Ce n’était pas ça qui t’avait poussé même si c’est vrai, de manière générale tu es assez attentif aux autres, tu ne peux le nier. « C’était plutôt la culpabilité que la bonne action je dirais. » Dis-tu en haussant les épaules. Ce n’était pas toujours simple pour toi de te replonger dans ce passé, un passé qui ne semblait cesser de te hanter car plus de douze ans après les faits, ta sœur ne t’adressait toujours pas la parole. Certains trouveront ça étrange, d’autres normal, toi tu es en train de faire le deuil de cette relation pour de bon alors que ta vie devient un champ de mine. « Mais assez parlé de moi. » Dis-tu avant d’ajouter : « Vous venez d’où ? » Lui demandas-tu curieux d’en apprendre plus sur elle. Le but n’était pas que tu fasses de grands monologues, c’était ne discussion pas une séance chez le psy. Tu avais toujours la carte du tient si jamais tu en avais besoin.
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Message(#)you won’t mind if i use a quick-quotes quill ? (arthur) - Page 2 EmptyDim 28 Mai 2017 - 9:40

Arthur se mit à hausser les épaules quand Debra lui fit un semi-compliment, ou plutôt une remarque positive. Comme s’il en avait que faire et qu’elle disait des paroles en l’air puisqu’il n’y croirait pas. « C’était plutôt la culpabilité que la bonne action je dirais. » Debra lui fit une petite moue souriante, qui aurait pu être presque rassurante si elle avait été portée par n’importe qui d’autre. « Mais assez parlé de moi. » A cette remarque, Debra haussa un sourcil, intriguée. Elle sentait que les choses allaient tourner et en sa faveur - elle qui adorait parler d’elle et être mise sur un piédestal, ça allait être son moment. « Vous venez d’où ? » Se redressant un petit peu, elle vint soutenir sa tête grâce à l’une de ses mains, souriant en coin. « Directement d’Irlande. Dublin pour être plus précise même. Ce petit pays tout vert où il pleut trois quart de l’année. » Elle se permit un petit rire, parce-que c’était le genre de détail qui faisait rire les gens. Surtout les australiens, qui eu connaissaient très peu la pluie comme on pouvait trouver en Irlande. « Jusqu’à il y a peu, j’avais toujours habitée là-haut, alternant entre la banlieue de Dublin quand j’habitais chez mes parents ou le centre ville quand j’étais en études ou que j’avais un travail. » Elle savait que les journalistes étaient censés être des personnes ayant la bougeotte, voulant voir du monde, du paysage, mais Debra n’avait jamais été réellement comme ça. Dublin, c’était chez elle, son territoire. Elle connaissait chaque recoin à être lorsque quelque-chose se passait, chaque lieu à éviter lorsqu’on ne voulait pas se foutre le nez dans les emmerdes. « J’avais jamais quitté la ville pour autre chose que des vacances et finalement je décide du jour au lendemain de venir en Australie aux côtés de mon frère qui lui est ici depuis plus d’une dizaine d’années. »
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Message(#)you won’t mind if i use a quick-quotes quill ? (arthur) - Page 2 EmptyDim 28 Mai 2017 - 10:08

En général, tu ne parlais pas beaucoup de toi. Enfin si, un peu parce que dans une conversation les questions vont rarement dans un seul sens. Tu ne sais plus comment tu t’es retrouvé à parler de tout cela, à faire ressortir tous ces souvenirs mais ça suffit. Il est temps que tu t’intéresses à la jeune femme devant toi et ça tu sais bien le faire. Tu tournes donc la conversation sur elle, lui demandait d’où elle venait. Parce que oui, elle avait un accent mais tu étais incapable de l’associer à quoi que ce soit. « Directement d’Irlande. Dublin pour être plus précise même. Ce petit pays tout vert où il pleut trois quart de l’année. Jusqu’à il y a peu, j’avais toujours habitée là-haut, alternant entre la banlieue de Dublin quand j’habitais chez mes parents ou le centre ville quand j’étais en études ou que j’avais un travail. » Tu ris avec elle, la pluie ce n’était pas réellement votre truc il fallait l’avouer. Tu l’écoutes parles de l’Irlande, de sa terre natale, de ses racines. Finalement, Debra elle est un peu comme toi. Elle n’avait jamais quitté Dublin avant de venir ici. Tu ne peux t’empêcher de te dire que peut-être quelque chose l’a faite fuir plus que réellement le besoin de venir voir son frère. Mais tu ne demanderas pas, cela ne te regarde pas. « J’avais jamais quitté la ville pour autre chose que des vacances et finalement je décide du jour au lendemain de venir en Australie aux côtés de mon frère qui lui est ici depuis plus d’une dizaine d’années. » Tu n’imagines pas quitter la ville de ton côté non plus. Malgré tout ce qui s’était passé avec ta sœur tu étais resté donc tu ne partiras pas maintenant. Tu as ce petit côté casanier que tu ne peux nier malheureusement. « Ca a dû vous changer tout ce soleil. » Lui dis-tu avec un petit sourire pour la taquiner. « C’est courageux de tout quitter du jour au lendemain. Comme vous je n’ai jamais eu envie de partir et donc je ne suis jamais parti. » Rien ne t’avait spécialement poussé à quitter Brisbane de ton côté donc pourquoi le faire ? « Vous vous plaisez ici ? Vous ne regrettez pas votre choix ? » Lui demandas-tu curieux de savoir si elle avait réussi à s’adapter tout de même.
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Message(#)you won’t mind if i use a quick-quotes quill ? (arthur) - Page 2 EmptyDim 28 Mai 2017 - 10:23

Bien sur que la petite remarque sur la pluie qui s’abat quotidiennement sur l’Irlande fait rire Arthur. Bien sur, elle le savait, puisqu’elle pouvait faire la remarque à tous les australiens qu’ils riraient tous de la même façon. Les seules personnes avec qui ça prenait pas, c’était les gens qui venaient de chez elle ou dans les alentours - les Hazard-Perry venant d’Angleterre, par exemple, avec eux ça ne marchait pas non plus. « Ca a dû vous changer tout ce soleil. » Elle eut un petit rire à son tour. « Vous ne pouvez même pas imaginer. » « C’est courageux de tout quitter du jour au lendemain. Comme vous je n’ai jamais eu envie de partir et donc je ne suis jamais parti. Vous vous plaisez ici ? Vous ne regrettez pas votre choix ? » Elle prit, au début, une assez grande inspiration pour répondre au jeune homme, avant de venir faire un petit sourire pincé. A vrai dire, c’était la première fois qu’elle avait une conversation de ce genre, réellement, avec une personne qui n’était pas au courant pour sa grossesse. Toutes les autres personnes qui lui avait demandé si elle ne regrettait pas son choix, elle avait pu leur répondre qu’elle n’avait pas eu réellement le choix. Avec Arthur, présentement, c’était différent. Il fallait qu’elle joue davantage, qu’elle se cache encore plus derrière ce masque qu’elle savait si bien tenir. Elle finit par secouer légèrement la tête avec de froncer le bout du nez, comme si elle tentait un sourire taquin. « Vous savez, on s’habitue. Les premières semaines ont été compliquées et je n’avais jamais autant attrapé de coups de soleil de ma vie. » Menteuse, à peine était-elle arrivée en Australie qu’elle avait évité de trop côtoyer les plages pour être sure que personne ne la remarque, elle est son ventre rond. « Mais je ne regrette pas non. J’ai pu retrouver mon frère, que je n’avais au final pas vu depuis des années. » Mais qui lui en voulait quand même toujours de lui avoir menti pendant si longtemps sur ce gosse qui arrivait. « Et puis j’ai retrouvé mon meilleur ami par hasard, qui lui vient d’Angleterre, et que je n’avais pas vu depuis un bon bout de temps. Alors tout le monde est content. » Avec un petit sourire en coin, elle vint hausser les épaules comme si ce n’était pas grand chose - alors que sans Charlie, elle n’aurait surement pas fini de vivre sa grossesse de la même façon, pour sur. Et puis depuis le temps qu’elle s’était installée chez les Hazard-Perry lorsque son frère avait déménagé, heureusement qu’ils avaient été là. Même si Gauthier levait toujours les yeux au ciel en la voyant chez lui.
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Message(#)you won’t mind if i use a quick-quotes quill ? (arthur) - Page 2 EmptyDim 28 Mai 2017 - 10:41


Tu n’as jamais pris le temps de te demander ce que ça faisait de devoir s’adapter à la vie australienne, à la vie de Brisbane. Mais en effet, en venant d’Irlande le soleil devait être le premier choc climatique. Toi tu y étais né, tu n’avais connu que ça. Tu étais prêt à parier que tu serais malade pendant au moins un mois si tu partais habiter dans un pays où il pleuvait souvent et où l’humidité était constante. Alors tu étais curieux de savoir comment elle s’était adaptée à cette nouvelle vie surtout si elle était partie précipitamment de l’Irlande, le choc avait dû être encore plus grand. « Vous savez, on s’habitue. Les premières semaines ont été compliquées et je n’avais jamais autant attrapé de coups de soleil de ma vie. Mais je ne regrette pas non. J’ai pu retrouver mon frère, que je n’avais au final pas vu depuis des années. Et puis j’ai retrouvé mon meilleur ami par hasard, qui lui vient d’Angleterre, et que je n’avais pas vu depuis un bon bout de temps. Alors tout le monde est content. » Ah, voilà le secret ! Elle n’était pas arrivée à Brisbane sans pied à terre, elle avait pu retrouver des amis, de la famille. C’était certainement ça la clé du succès. D’avoir des personnes déjà bien installées que vous connaissez qui peuvent vous aider. Tu l’avais fais avec Félix, tu lui avais donné la clé d’entrée et avec Anders un peu aussi. Tu aimais partager de bons moments dans cette ville, la faire aimer aux autres aussi. Ca c’était très important pour toi. Tu pouvais comprendre que certains voulaient partir, tu encourageais tes élèves à le faire s’ils avaient un vrai projet mais toi tu aimais trop cette ville. « Votre peau semble s’être bien adaptée. » Lui dis-tu avec un clin d’œil alors qu’elle avait perdu toute blancheur pour un petit ton bronzé. Les coups de soleil sont certainement inévitables. « Je pense que si je partais en Irande, je passerais les premiers mois à être malade. » Tu ne comptais pas aller vivre en Irlande mais bon, tu n’avais aucun mal à imaginer cela. « C’est bien que vous ayez retrouvé des gens qui vous ont aidé à découvrir la ville. C’est important et plus facile je pense. » Dis-tu avec un sourire.
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