ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn. STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille. MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie. LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux. POSTS : 34326 POINTS : 3130
TW IN RP : Mention de drogues dures, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, deuil, automutilation. ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : indianred. RPs EN COURS :
maxyn #7 & sms ☆ i'm sick, yeah, i'm sick, and honestly, i'm getting high off it. your smoke in my hair hot and dirty like the l.a. air. that face, baby, it ain't fair, but you don't know what you don't know. oh, so you wanna talk about power ? oh, let me show you power. i eat boys like you for breakfast, one by one hung on my necklace. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7
spencer #14 ☆ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand. take another walk out of your fake world, please put all the drugs out of your hand. you'll see that you can breathe without no back up, so much stuff you got to understand.
danalyn #4 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.
cecilia #2 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.
miles #1 & #2 ☆ i've been waiting patiently, i built this tower quietly. And when my well of wellbutrin is running dry of serotonin i can say things I don't mean. or maybe it's the truth in me, i feel it building, bubbling up.
RPs EN ATTENTE : aisling #3
RPs TERMINÉS : liste tenue à jour dans ma fiche de liens
Tout comme Jo, je n’étais pas particulièrement venue ici ce soir dans l’idée de trouver quelqu'un pour chauffer mes draps. Mais contrairement à lui, c’était le genre de chose dont j’avais l’habitude. Ce n’était pas la première fois que le barman me voyait repartir accompagnée, et ça ne serait certainement pas la dernière. Après la mort d’Aaron et pendant les années qui avaient suivies, j’étais la reine du monde de la nuit, et j’enchaînais aussi bien les soirées que les amants. Après deux ans sans toucher à la moindre drogue dure, ma consommation était remontée en flèche, et même si je n’étais pas retombée dans mes veux travers en refusant de toucher à nouveau à de la cocaïne, il n’empêche que je vivais dans l’excès. L’excès de substances abrutissantes, d’alcool, de compagnie masculine… Et si les années et les responsabilités confiées par Mitchell m’avait petit à petit assagie, si progressivement ma consommation avait diminué en même temps que le nombre de sorties que je faisais en semaine, je n’étais jamais complètement sortie de mes vieux travers.
Pendant toutes ces années mes excès n’avaient été qu’une façon d’anesthésier la douleur que j’avais ressentie en perdant l’homme que j’aimais, et si je n’avais jamais réussi à la faire taire, j’arrivais pendant mes moments d’ivresse à l’étouffer. Lorsque j’avais retrouvé un mode de vie un peu plus raisonnable – pour moi, tout est relatif – elle avait recommencé à frapper à la porte, à me prendre au ventre. Puis le temps avait fini par faire son effet. Aujourd’hui la blessure n’était pas refermée, j’avais cessé de croire à la possibilité d’une cicatrisation totale il y a bien longtemps, mais elle était supportable la plupart du temps. Les vieilles habitudes, qui n’étaient autres qu’alcool, drogue et frivolité, avaient persisté, et refaisaient surface de façon assez régulière. Comme ce soir. Et si mon compte était bon, ce soir elles étaient toutes les trois de sortie. L’alcool m’était monté à la tête depuis longtemps, la MDMA commençait à étendre son emprise sur moi, et j’avais décidé de ramener Jo chez moi depuis plusieurs minutes déjà, même si je profitais quelques minutes encore de la délicieuse provocation, la joute verbale qui s’était installée entre nous.
« J’imagine que tu le découvriras dans le futur. » Un futur que j’envisageai de mon côté comme de plus en plus proche. La durée des soirées que je passais dans les bar et boites de nuit de la ville était assez variable, mais une chose était sure, lorsque j’avais trouvé un jouet, il était rare que je m’éternise. Et le contact de la main brûlante de mon interlocuteur sur ma cuisse nue faisait monter le désir en moi, et réussissait presque à me faire oublier que j’étais dans un lieu public. Mais c’était une limite que même moi je n’avais jamais franchise, réservant ce genre de chose à l’intimité de mon appartement à Spring Hill. Il était rare qu’un homme réussisse à me ramener chez lui après ce type de soirée. J’aimais le confort des lieux dont j’étais la maîtresse, et il faut bien l’avouer, mon loft aussi impressionnant qu’impersonnel faisait partie du personnage.
Me rapprochant de mon interlocuteur j’avais respiré son parfum, brut mais enivrant, et passé ma main dans ses cheveux, légèrement un peu trop longs, mais appréciant le contact de mes ongles contre la peau de son cuir chevelu. J’avais envie de poser mes lèvres contre les siennes et de profiter d’une étreinte plus brulante encore, mais j’avais aussi envie qu’il fasse le premier pas. Pas parce qu’il restait une once de pudeur en moi, mais parce que j’avais envie d’abaisser toutes ses résistances et de le pousser au bord du supportable, à l’endroit où il ne saurait plus me résister.
« J’ai envie de bien plus, et je sais que tu n’es pas assez naïve pour penser le contraire. Seulement, je ne suis pas un homme tendre et je peux t’assurer que si nos lèvres se rencontrent ici, à cette table, ce sera bien plus qu’un seul regard qui se tournera vers nous. » Non je n’étais effectivement pas naïve. Et je ne comptais pas me contenter d’aussi peu non plus. L’idée qu’il ne se fasse pas assez confiance pour résister à l’envie de plus lorsqu’il m’aurait embrassée. Sans un mouvement et le sourire aux lèvres, je l’observerai se lever, remettre en place son jean qui laissait peu de doute sur l’effet que je lui faisais, et m’inviter à le suivre. Il prenait les choses en mains, me donnant presque envie de le défier et de lui résister un peu plus. Presque. Ma volonté vola en éclat lorsque voyant que je ne bougeai pas il s’était penché vers moi avait déposé ses lèvres contre mon cou et mordu l’oreille, m’arrachant un frisson de désir.
« Je te laisse régler tes comptes avec le barman. Rejoins-moi dehors quand tu as fini. » J’avais finalement acquiescé d’un signe de tête, avant de l’observer sortir. Pas une seule seconde la crainte qu’il ait profité de moi pour s’offrir quelques lattes sur un joint et une bouteille de Vodka de qualité avant de me fausser compagnie ne me traversa l’esprit. L’effet que je lui avais fait pendant notre échange n’était clairement pas feint, ou je ne m’appelais pas Raelyn Blackwell.
Remettant ma robe en place d’un geste de la main, je m’étais levée et dirigée vers le bar, interpellant le barman d’un signe de la main. S’approchant de moi, un verre et un torchon à la main, il m’avait souri. « Je mets tout sur ta note Raelyn ? » Lui rendant son sourire et me penchant par-dessus le bar pour lui faire une bise, j’avais répondu. « Parfait. Je peux abuser et te demander de m’appeler un taxi ? » L’échange avait duré quelques secondes, il avait l’habitude de me rendre ce genre de service, m’avait souhaité une bonne soirée et j’étais sortie du bar.
Jo était là, accoudé contre le mur. D’une démarche que je voulais assurée mais qui trahissait légèrement mon degré d’alcoolémie, je m’étais approchée de lui, posant une main contre le mur, à quelque centimètre de son visage. « Je te suis, par où on va ? » Le défiant du regard, j’avais fini par éclater de rire, posant une main sur son torse, notant au passage le rythme des battements de son cœur, au moins aussi rapide que le mien. « Je plaisante. J’ai fait appeler un taxi, il ne devrait pas tarder à arriver. » Parce qu’on se le dise, j’étais clairement pas le genre de femme à rentrer à pied, perchée sur des talons aiguilles de 10 cm, et encore moins à prendre les transports en commun à cette heure, dans cette tenue et à moins d’y être obligée.
Resserrant mes doigts autour de son tee-shirt, je tentai de contenir l’envie que j’avais de l’embrasser. Mais non, j’avais décidé que ce soir, j’allais gagner. Je plongeai mes yeux dans les siens. « Ma mémoire me fait défaut, on en était où ? » Après tout nous étions dans un lieu légèrement moins public que quelques minutes auparavant, et je continuai le jeu que j’avais instigué, tentant de lui faire oublier les limites qu’il s’était fixé.
Mais le son aigu d’un klaxon me rappela finalement à la réalité. Laissant ma main quitter le torse de Jo, je me dirigeai vers le taxi avant d’y prendre place. Je n’étais clairement pas le genre de femme qui attend qu’on lui ouvre la porte, même si l’état d’ébriété et d’euphorie dans lequel je baignais pouvait me rapprocher de la jeune femme délurée, j’en restait tout de moins à des kilomètres. Jo pris place à côté de moi, alors que je m’adressai au chauffeur. « Spring Hill, au croisement d’Adelaïde Street et Clark Lane. » Le trajet entre Bayside et mon appartement prenait une vingtaine de minutes, une durée qui, alors que je replongeai mon regard dans celui de Jo, me paraissait terriblement longue. « Je déteste toutes ces interruptions. » C’était vrai. Depuis quelques minutes, j’étais dans un état de frustration que j’avais du mal à gérer. Mais gagner avait un prix.
Spoiler:
Beaucoup trop bonne surprise
:
Dernière édition par Raelyn Blackwell le Mar 30 Avr 2019 - 15:44, édité 2 fois
ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn. STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille. MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie. LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux. POSTS : 34326 POINTS : 3130
TW IN RP : Mention de drogues dures, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, deuil, automutilation. ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : indianred. RPs EN COURS :
maxyn #7 & sms ☆ i'm sick, yeah, i'm sick, and honestly, i'm getting high off it. your smoke in my hair hot and dirty like the l.a. air. that face, baby, it ain't fair, but you don't know what you don't know. oh, so you wanna talk about power ? oh, let me show you power. i eat boys like you for breakfast, one by one hung on my necklace. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7
spencer #14 ☆ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand. take another walk out of your fake world, please put all the drugs out of your hand. you'll see that you can breathe without no back up, so much stuff you got to understand.
danalyn #4 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.
cecilia #2 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.
miles #1 & #2 ☆ i've been waiting patiently, i built this tower quietly. And when my well of wellbutrin is running dry of serotonin i can say things I don't mean. or maybe it's the truth in me, i feel it building, bubbling up.
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Lorsque je quitte le bar, mes yeux le cherchent quelques secondes. Un sourire rieur sur le visage, il est appuyé contre le mur, sa bouteille de vodka à la main, ouverte bien entendu, et l'image qu'il me renvoi me fait sourire. Mon rire, le sien, j'ai l'impression d'être projetée dix ans en arrière, à l'époque à laquelle j'étais encore une gamine insouciante et cherchant à aller toujours plus loin, à dépasser les limites. L'alcool et les drogues ont toujours eu cet effet sur moi, me rendant capricieuse, joueuse et irresponsable. Une image à l'opposée de la femme calculatrice et calme que je suis en affaire, et que Jo avait rencontrée quelques années auparavant. J'ai grandi et maturé, et tout bien réfléchis cela fait plusieurs semaines que je n'ai pas fait ça, chauffé un inconnu dans un bar pour le ramener chez moi, mais ce soir, et avec Jo, j'ai envie de lâcher prise, comme je savais si bien le faire autrefois. Il a ce quelque chose qui m'attire, ce contraste entre son côté insolent et le respect dont il semble tout de même faut preuve, son attitude volontairement nonchalante mais ses mots, qui eux montrent qu’il sait ce qu’il veut. Et ayant consommé, je me sens également de toute façon beaucoup plus encline à me laisser porter par la soirée et les sensations qu’il fait naître en moi. Je n'ai plus aucune envie de résister. Satisfaite, je note qu'il me déshabille du regard lorsque je m'approche de lui, me dévisageant de haut en bas. J'ai presque envie de lui demander s'il apprécie le spectacle, mais je me retiens, me contentant de lui demander où nous en étions, et posant ma main sur sur torse, limitant pour l'instant à ce geste déjà relativement intime le contact entre nos deux corps.
« C’est l’ecstasy, ça. Moi j’me souviens de là où on est rendus. T’allais m’embrasser, je crois bien. En tout cas, ça paraissait que t’en avais très envie. » Je souris, restant silencieuse quelques secondes. J'observe sa posture, une main le long du corps, la bouteille de vodka toujours ouverte à la main. Préférant éviter le désastre, et dans un désir d'être la seule chose à avoir son attention, je lui prend doucement la bouteille et le bouchon de la main, avant de la refermer et de la lui rendre. Il pourra de toute façon boire de tout son saoul chez moi, je ne compte pas l'en priver, mais, alors que le désir monte en moi, j'ai envie de supprimer cette source de distraction. Et après tout il m'a fait une promesse, que je compte lui faire tenir, et pour ça faut-il encore qu'il tienne debout. « J'allais t'embrasser ? » Je lève un sourcil, amusée et approche mes lèvres des siennes, m'arrêtant à quelques millimètres seulement, si bien que le moindre mouvement suffirait à les sceller. Je reste comme ça quelques secondes, notant les battements de son coeurs contre ma main avant de reculer. « Non, il me semble pas. Je pense que tu essayes de profiter de moi... » Un faux air innocent sur le visage, je sens mon sang battre violemment contre mes tempes. Je joue l'ingénue, l'allumeuse, parce que cela m'amuse, mais ce n'est que pour le tenter encore plus, rendre le désir insupportable.
Le taxi arrive, et en quelques secondes nous sommes installés, j'ai donné mon adresse, et mon attention s'est déjà refocalisé sur mon interlocuteur, comme si nous étions seuls dans la voiture. Jo se rapproche de moi et, n'attachant pas ma ceinture pour ne pas entraver mes mouvements, je tourne mon corps vers lui, collant mes jambes contre les siennes, ma poitrine à quelques centimètre de son épaule. Sa main brûlante glisse sur ma cuisse pour finalement s'égarer quelque peu, m'arrachant à nouveau un frisson de désir. « Tu sais, jamais les lieux publics m’ont empêché de m’amuser un peu. Je suis certain qu’on peut être assez discret pour que personne ne s’en rende compte. » Son souffle chaud contre mon oreille ne m'aide pas à gardeur ma décence et ma pudeur, et sa proposition est tentante, je suis incapable de prétendre le contraire. Je jette un œil rapide sur le chauffeur devant nous, qui pour l'instant conserve les yeux rivés sur la route, restant finalement assez professionnel. Je croise son regard dans le rétroviseur, et comme s'il lisait dans mes pensées, ou simplement parce qu'il a l'habitude à cet heure là de ramasser des couples joueurs, il allume d'un geste de la main la radio, et une musique électronique lourde et profonde prend possession de la voiture, à un volume assez faible qui nous permet de continuer à avoir une conversation, mais qui lui donne au moins certainement une autre chose sur laquelle se concentrer. L'oubliant, je retourne mon regard vers Jo, dont le visage est toujours à quelques centimètre du mien, les lèvres à quelques millimètres de mon cou. Il a apparemment décidé de jouer le même jeu que moi, puisqu'il ne cesse de me mettre au défi, de me tenter pour mieux refuser ce que j'attends de lui.
« Cependant… Il faudrait que tu m’embrasses pour me donner le feu vert. Je ne voudrais pas faire quelque chose qui ne te tente pas. » J'éclate finalement de rire. Je ne suis pas forcément aussi joyeuse en temps normal, mais les substances qui se baladent dans mon sang et la dopamine que commence à produire mon corps en réponse au jeu auquel je joue avec Jo font leur petit effet. Appuyant mon corps contre le sien, j'hésite quelques secondes. Je le sens pantois, et lui aussi au bord du gouffre. Comme pour me donner raison, il tend son bras pour entrouvrir la fenêtre et laisser de l'air s'infiltrer dans la voiture. Baissant les yeux furtivement vers son jean, je constate qu'il a l'air plutôt d'apprécier la compagnie, ce qui me tire un sourire. Le trajet a l'air de lui sembler encore plus long qu'à moi, et finalement, j'hésite à mettre fin à son supplice. Et je dois bien l'avouer, jouer au chat et à la souris cela m'intéresse quelques minutes. Mais je ne suis pas une allumeuse, je n'aguiche jamais sans avoir envie de passer à l'acte. Je promène à nouveau ma main quelques secondes sur sa mâchoire, comme je l'ai déjà fait dans le bar, et ma main continue pour se perdre derrière son cou, et l'attirer vers moi, m'arrêtant à quelques centimètres. « Tu as le feu vert pour me faire ce qui bon te semble. » Doucement, de mon autre main j'attrape sa main libre, laissant l'autre continuer à caresser ma cuisse, pour la poser sur sur surface de peau entre mon sein et mon épaule, là ou se trouve la bretelle de ma robe. Dans l'objectif de me le tenter, toujours et encore.
Mais décidant que le jeu avait assez duré, j'intensifiai la pression de ma main derrière son cou pour l'attirer à mon et poser mes lèvres sur les siennes, mordant sa lèvre inférieure, avant de transformer le contact en un baiser tout sauf retenu et mesuré. Le battement du sang contre mes temps s'intensifia, alors que je gouttai enfin au goût de ses lèvres, parfumées à la vodka, et que nos souffles se mêlèrent l'un à l'autre. Perdant pied quelques seconde, je poussai même le vice jusqu'à passer ma main sous son tee shirt pour la poser contre sa peau, voulant en ressentir la chaleur.
Notre étreinte semble manquer de retenue, puisqu'un raclement de gorge me ramena à la réalité, et je reculai mon visage, laissant ma main où elle était, et ne tournant pas le visage vers le chauffeur de taxi qui était à l'origine de la distraction. J'observai Jo, mes yeux ne lâchant plus les siens. Rien ne m'excitait plus que de lire l'effet que je faisais à un homme dans ses yeux. Finalement, dans un sourire, je lui soufflai. « Je crois qu'il s'en est rendu compte ... » Ma main qui avait trouvé une place de choix contre le torse de Jo ne semblait par contre pas avoir envie de quitter la place de choix qu'elle s'était trouvée.
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Dernière édition par Raelyn Blackwell le Mar 30 Avr 2019 - 15:44, édité 1 fois
ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn. STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille. MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie. LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux. POSTS : 34326 POINTS : 3130
TW IN RP : Mention de drogues dures, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, deuil, automutilation. ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : indianred. RPs EN COURS :
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cecilia #2 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.
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J'observe la frustration sur son visage lorsque je me recule et ne lui donne pas ce qu'il veut, et je m'en délecte. Le désir, l'envie, je lis tout ça sur son visage, et c'est en engendrant ce type de réaction chez un homme que je me sens complète, c'est suscitant et lisant le désir des hommes dans leurs yeux lorsqu'ils les posent sur mon corps que je me sens vivante. C'est dans ces moments là que j'arrive réellement à lâcher prise et perdre la tête, pas alcoolisée, pas sous influence, mais à travers l'image qui m'est renvoyée par ce désir brûlant. Un psychiatre risquerait de trouver cela bien triste, mais j'ai pris l'habitude de fonctionner comme ça, plus de dix ans à vrai dire, et c'est devenu un mode de vie à part entière aujourd'hui. Quoi qu'il en soit je jouais la maligne mais je n'en menais pas large non plus, ayant de plus en plus de mal à calmer l'animal tapi au fond de mon bas ventre qui grondait pour avoir ce qu'il voulait depuis plusieurs minutes maintenant.
La voiture arrive comme une délivrance et une interruption à la fois, nous dissimulant des regards extérieurs et nous permettant à l'un comme à l'autre de commencer à assouvir nos pulsions. Partiellement, nous laissant encore plus sur notre faim. Je n'ai pas besoin de lui donner le feu vert deux fois, ni me répéter, que déjà je sens sa main glisser sous ma robe, et remonter contre mes sous-vêtements, ses doigts se faisant plus baladeurs, me procurant une nouvelle vague de désir. Il ne se fait pas prier non plus lorsque je pose sa main contre ma clavicule, et s'approprie rapidement la surface de ma peau, faisant glisser la bretelle le long de mon épaule pour jouer avec ma peau, tantôt descendant caresser mon décolleté et remontant systématiquement, comme pour me punir de ce baiser que j'ai fait mine de lui offrir avant de le refuser. Le feu commence à monter en moi, me privant petit à petit de ma retenue, et surtout résultant en ma défaite, à ce petit jeu que nous jouions. Je veux ses lèvres contre les miennes et je ne compte pas attendre une minute de plus. L'attirant contre moi, et posant mes lèvres contre les siennes avec fougue, je tente aussi de dissimuler le rouge qui me monte au visage, la chaleur que je ressent, mon souffle court et les battements accélérés de mon coeur. Avant que nous ne soyons interrompus, ses caresses ont le temps de s'intensifier, si bien que lorsque nos lèvres se quittent, je me mords l'intérieur de la joue pour tenter de me calmer, et de garder ma contenance. Les drogues qui courent dans mes veines n'aident pas, et je sais chaque contact du corps de Jo contre le mien comme s'il était décuplé.
La remontrance nous ramène l'un comme l'autre à la réalité, mais je n'arrive pas à me résoudre à détacher mon corps du sien. Sa main glisse sagement sur ma cuisse, pour l'instant, mais pas sans m'avoir donné un avant goût de la soirée. Comme s'il lisait mon impatience dans mes yeux, mais sûrement plutôt parce qu'il la partage, Jo s'approche de moi pour murmurer à mon oreille. « De toute façon, on arrive bientôt si j’ai bien compris. » N'ayant jusqu'ici par reconnecté avec la réalité, je jette enfin un regard derrière Jo. Effectivement, les immeubles du centre ville commencent à se dessiner, et je commence à reconnaître le quartier de Spring Hill. L'excitation monte d'un cran en moi. Je replace la bretelle de ma robe d'un geste détaché, avant que le taxi ne s'arrête enfin. Réglant le conducteur, j'entraîne Jo à ma suite dans le hall de l'immeuble, attrape sa main lorsqu'il commence à se diriger vers la cage d'escalier, dans une hâte d'écolier, pour le retenir, et j'appuie sur le bouton appelant l'ascenseur. Le trajet se passe en un souffle, et je dois m'y reprendre à plusieurs fois pour réussir à enfoncer les clés dans la serrure de mon appartement, les mains tremblantes. J'ai à peine le temps d'entrer, et de m'effacer pour laisser la place à Jo de me suivre à l'intérieur qu'il referme la porte d'un claquement, et presse son corps contre le mien, appuyant mon dos contre la porte et pose ses lèvres sur ma clavicule, puis dans mon cou.
Profitant encore une fois du plaisir décuplé par les substances présentes dans mon corps, je laisse ma tête partir en arrière quelques secondes, avant d'être ramenée à la réalité par le cliquetis de la ceinture de Jo, qu'il déserre pour ouvrir son jean. Déçue de le voir s'arrêter en si bon chemin, j'attrape la ceinture pour l'attirer fermement vers moi, avant de la faire glisser pour définitivement l'en débarrasser. « Guide-moi et je pourrai tenir ma promesse. » Jusqu'ici il se débrouille plutôt pas mal et sans fausse note, mais mes yeux croisent les siens l'espace d'un instant, et je soutient son regard, lui faisant une promesse silencieuse. Je ne le laisserais pas me décevoir. Profitant de la proximité entre nos deux corps, j'attrape ses lèvres des miennes, avant de glisser une main dans son jean, qu'il a desserré comme pour me laisser un chemin. Mes deux mains remontent finalement sous son t-shirt, pour entreprendre de l'en débarrasser. Il se laisse faire, et une fois que son t-shirt a rejoins sa ceinture quelque part au sol, j'attrape sa nuque de mes deux mains pour prolonger le baiser quelques secondes encore, avant de reculer mon visage. Un sourire au visage j'appuie mes mains sur son torse pour le repousser doucement, observant enfin et avec envie son corps, sans retenue, et notant sa musculature saillante, plutôt satisfaite parce que j'ai sous les yeux, je dois bien l'admettre. Mon coeur bat à mille à l'heure contre ma poitrine à l'heure qu'il est, et la robe qui épouse mes forme me semble de trop. Je fais doucement glisser les bretelles, et laisse la robe glisser à mes pieds, l'aidant à descendre d'un déhanché discret, avant de l'écarter à l'aide de mes escarpins, me laissant avec uniquement mes sous-vêtements sur le dos. Un regard provocateur passe sur mon visage. « Le spectacle est à ton goût ? » La question est purement rhétorique, j'ai déjà eu l'occasion de constater de moi même le désir qu'il ressent à cet instant. M'approchant de lui je laisse ma main courir sur son torse, rapprochant mon corps du le sien, alors qu'il referme referment sa main dans le creux de mon dos. Je le pousse doucement sur le canapé derrière lui, avant de le rejoindre, et d'entreprendre de l'aider à se libérer de son jean, posant à nouveau mes lèvres sur les siennes avec envie, et me laissant guider par les sensations que me procurent ses doigts qui découvrent mon corps, m'arrachant des frissons au passage.
❈❈❈❈
J'ouvre les yeux, prenant le temps de constater que je suis dans mon lit, et surtout de me rappeler à qui appartient le corps à côté du mien. Les souvenirs de la veille me reviennent en tête, me faisant sourire et me tirant un dernier frisson de plaisir. Nos étreintes ont fini par nous ramener dans ma chambre, et je n'ai finalement réussi à dormir que de façon entrecoupée, stimulée par la drogue dans mon organisme me poussant à aller réclamer de nouvelles caresses pendant la nuit, et par le corps de Jo contre le mien ne se faisant pas prier. Le jeune homme dors encore, et je décide de me diriger vers la douche, tentant de démêler ma tignasse emmêlée par mes activités de la veille. Laissant l'eau brûlant couler contre mon corps, m'aidant à renouer avec la réalité. Une fois sortie je décide de laisser mes cheveux mouillés, et me rends finalement dans mon dressing pour enfiler des sous vêtements propres, avant de passer un kimono en soie aux motifs floral par dessus. Je fait un crochet par la cuisine pour me servir un verre d'eau, le descend d'une traite, encore pantelante, avant de le remplir à nouveau. Lorsque mes pas me portent à nouveau vers la chambre, Jo est en train d'ouvrir les yeux et de se redresser. Je dépose le verre sur la table de nuit, juste à côté de lui, et lui adresse un sourire amusé. « C'est de l'eau, ça te fera pas de mal. Ta bouteille de Vodka est au salon, mais j'ai pensé que ça serait peut être un peu plus approprié. » M'asseyant au pied du lit, je le regarde attraper le verre d'eau avant de finalement pencher la tête sur le côté toujours amusée. « Alors dis moi Jo qui ne paye pas d'loyer, c'est comme ça que tu t'y prends pour réussir à passer la nuit au chaud ? » Le bonhomme m'intrigue assez pour lui poser la question, puisqu'il a lui même avoué n'avoir nulle part où m'emmener. Qu'est ce qu'un gars comme lui, membre ou plutôt comme il me semble le deviner ancien membre des Manthas, fait pour être, si j'interprète bien encore une fois, plus ou moins à la rue ? « Et en bonne compagnie. » Je lui adresse finalement un clin d'oeil. « Enfin j'espère » En tout cas il n'avait pas l'air de vouloir se plaindre cette nuit, si mes souvenirs sont bons. Et prétendre que de mon côté je n'ai pas apprécié pleinement nos étreintes serait un mensonge, puisque le jeune homme rencontré un peu par hasard lors d'une soirée qui partait pour être à la base sans surprise, s'est révélé être un très bon amant et une bonne, de surprise.
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Dernière édition par Raelyn Blackwell le Mar 30 Avr 2019 - 15:44, édité 1 fois
ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn. STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille. MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie. LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux. POSTS : 34326 POINTS : 3130
TW IN RP : Mention de drogues dures, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, deuil, automutilation. ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : indianred. RPs EN COURS :
maxyn #7 & sms ☆ i'm sick, yeah, i'm sick, and honestly, i'm getting high off it. your smoke in my hair hot and dirty like the l.a. air. that face, baby, it ain't fair, but you don't know what you don't know. oh, so you wanna talk about power ? oh, let me show you power. i eat boys like you for breakfast, one by one hung on my necklace. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7
spencer #14 ☆ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand. take another walk out of your fake world, please put all the drugs out of your hand. you'll see that you can breathe without no back up, so much stuff you got to understand.
danalyn #4 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.
cecilia #2 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.
miles #1 & #2 ☆ i've been waiting patiently, i built this tower quietly. And when my well of wellbutrin is running dry of serotonin i can say things I don't mean. or maybe it's the truth in me, i feel it building, bubbling up.
RPs EN ATTENTE : aisling #3
RPs TERMINÉS : liste tenue à jour dans ma fiche de liens
Lorsque je retourne dans ma chambre et m'assois au pied du lit, j'observe Jo quelques secondes avant de lui tendre son verre d'eau, me doutant de l'état dans lequel il doit être. La gorge sèche et serrée, cette tension dans les muscles du corps, ces crampes insupportables, l'épuisement, et surtout ce besoin impérieux d'un nouveau shoot. La cocaïne est une pute vicieuse, se rendant indispensable, te rappelant à elle sitôt ses premiers et courts effets dissipés. Dans la nuit j'ai libéré, Jo, lui fournissant cette précieuse dose, un cadeau empoisonné certes, mais il est assez grand pour savoir ce qu'il veut. Allongée à ses côté, je l'ai observé manipuler la poudre blanche et se l'injecter dans les veines, resserrant ma mâchoire pour combattre l'envie, l'impulsion, le manque. La descente de MD, qui me pousse à chercher quelque chose de plus fort de plus puissant. Je n'ai pas touché à la poudre blanche depuis plus de douze années, mais l'envie ne s'efface jamais complètement. J'ai appris à la calmer, à la dompter si bien que j'arrive sans trop de mal à voir des petits sachets passer de main en main, à l'évoquer, et la négocier avec mes fournisseurs, mais cette nuit, en observant Jo, son corps à quelques centimètres du mien, offrir la drogue à son organisme, les battements de mon coeurs et ma respiration se sont accélérés, mon sang pulsant pour sortir de mes veines, mes sens me criant de céder à la tentation. Mais je n'ai pas cédé, et pour combattre mes pulsions j'ai choisi de leur offrir une autre drogue, la sensation d'une autre peau sur la mienne, et d'un homme en moi.
Après la prise de MD, la descente elle aussi une chienne, et pendant plusieurs heures voir même plusieurs jours une certaine mélancolie m'habite, mais elle est loin d'égaler la maîtresse de la dépendance. Et ce matin, sans laisser échapper une seule remarque, je me félicite intérieurement de ne pas avoir succombé. Je n'ai touché le bas qu'une fois dans ma vie, l'addiction à la cocaïne m'ayant rendue méconnaissable, une pale version de moi même, et lorsque j'ai commencé à remonter la pente, je me suis jurée de ne jamais plus y retoucher. Je lui ai trouvé des ersatz, des substituts, la cigarette, l'alcool, l'ecstasy , les hommes, aucun qui ne lui arrive au mollet, mais qui à eux tous me permettent de m'en tenir éloignée. Je sais qu'un verre d'eau ne suffira pas à freiner la descente et ne rendra pas la chute plus agréable, mais c'est un bon début, et surtout tout ce que je peux faire pour lui. « Merci. » Il tend la main pour attraper le verre, et je ne baisse pas le regard pour observer les marques de piqûre sur son bras. J'en ai vu d'autre, et il en faut beaucoup pour me choquer, et plus encore pour que je tombe dans le jugement. « Non. J’fais pas toujours comme ça. Je ne suis pas si désespéré. » Je penche légèrement la tête sur le côté, ne laissant échapper aucun commentaire, et l'observe se redresser, prendre sa tête dans ses mains, et observer les quelques "preuves" de sa consommation de la veille. L'espace d'un instant je suis projetée plus d'une dizaine auparavant, alors que je me promettait chaque matin, chaque shoot, que c'était le dernier. La drogue prend un malin plaisir à vous affaiblir.
Lui laissant de gérer ça comme il en a envie, je me laisse basculer en arrière pour allonger mon dos contre le matelas, fermant les yeux quelques secondes, me battant contre les sensations désagréables qui vont toujours de paire avec une soirée d'excès. N'ayant pas d'impératifs dans la journée, il est de toute façon probable qu'après le départ du jeune homme je me rendorme pour quelques heures, la fatigue se faisant ressentir. Je rouvre les yeux, qui se posent quelques secondes sur le dos du jeune homme, découvrant les marques qui s'y trouvent à la lumière du jour. Je me garde encore une fois bien de tout commentaire, ayant toujours été dépourvu de cette curiosité malsaine qui pousse certains à vouloir creuser les zones d'ombres d'autres individus. Il n'y a de toute façon pas besoin d'être Einstein pour deviner ce qui peut être à l'origine de telles cicatrices. Finalement lorsqu'il tourne les yeux vers moi pour me répondre, je note le bleu de ses yeux. « J'n’ai pas l’impression d’avoir entièrement retrouvé ma mémoire mais j'me souviens de certaines choses. L’une d’entre elles est que tu étais effectivement de très bonne compagnie. Seulement, et je suis certain que toi non plus, je ne suis pas du genre à partager le petit déjeuner avec mes conquêtes. » Il ne passe pas par quatre chemins et ça me plaît. Le souvenir de l'insolence du jeune homme et de notre conversation de la veille me pousse à m'autoriser un sourire amusé, ainsi qu'une remarque teintée d'une pointe d'ironie. « Je t'avoue qu'en fait je m'attendais plutôt à une demande en mariage, mais tant pis, je survivrai. » Non, je ne m'attendais effectivement pas à ce qu'il reste manger, qu'on regarde un film tous les deux et qu'on aille faire une balade au coucher du soleil. Là dessus, il m'a cernée sans trop de difficultés. Ce que j'attendais de lui, il me l'a déjà donné. M'appuyant sur mes coudes pour me redresser, je continue. « Quoi qu'il en soit, la salle de bain est au bout du dressing si l'envie t'en prends, la porte d'entrée au bout du salon. » Je l'observe chercher autour de lui, surement ses vêtements, ce qu'il me confirme assez rapidement. « Mes fringues. Elles sont où ? » Retenant l'envie de lui dire que je suis pas sa mère, je ferme les yeux pour réfléchir. Mes fringues de la veille, tiens, je ne me suis pas encore occupée de ça. Mais je finis par revoir clairement notre arrivée dans l'appartement. La hâte dans nos corps après le long et frustrant trajet en voiture. Je lui réponds, dans un léger rire. « Là comme ça, je dirais dans un rayon de trois mètres autour de la porte d'entrée. »
Me levant du lit, je me dirige vers le salon, sans prendre la peine de vérifier si les pas de Jo l'entraînent plus vers la douche ou la sortie. A vrai dire cela ne me préoccupe guère, et il me faut toute ma concentration pour me fixer sur la tâche que j'entreprends, faire couler du café dans la cafetière. Rapidement l'odeur de café me monte aux narines, détendant mes nerfs. Accoudée sur le grand bar qui sépare la cuisine de la pièce à vivre, mes yeux se posent sur des masses de tissu au sol, entre la porte et le canapé gris, vérifiant ainsi la théorie que j'ai émise précédemment. Un léger bip me tire de mes pensées et m'indique que le café est près. Attrapant une tasse sur le comptoir, je me sers une tasse, et accueille avec délivrance le café brûlant dans ma gorge. Jetant un oeil distrait à mon téléphone, je me rends compte que Mitch m'a envoyé un message pour me demander de le retrouver au Club dans moins de deux heures. Bon, j'ai largement le temps, mais adieu les quelques heures de sommeil supplémentaire. Jo sors rapidement de la chambre à son tour, toujours nu comme un verre, et alors que je porte ma tasse à mes lèvre, un air pensif sur le visage, mes yeux ne se gênent pas pour se balader sur son corps et sa musculature, la vue toujours aussi plaisante à la lumière du jour. « Tu sais où j'habite ... Mon petit doigt me dit qu'on se reverra ... » Même avec une sacré gueule de bois, je reste toujours la même, et il m'est difficile de me débarrasser de ma confiance en moi comme de mon attitude provocatrice et séductrice. Et puis après tout... J'ai quand même passé une soirée plutôt sympathique. Et qu'on se le dise, il est plutôt rare qu'un homme qui a déjà passé une nuit avec moi refuse l'opportunité de remettre le couvert.
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Dernière édition par Raelyn Blackwell le Mar 30 Avr 2019 - 15:45, édité 1 fois
ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn. STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille. MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie. LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux. POSTS : 34326 POINTS : 3130
TW IN RP : Mention de drogues dures, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, deuil, automutilation. ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : indianred. RPs EN COURS :
maxyn #7 & sms ☆ i'm sick, yeah, i'm sick, and honestly, i'm getting high off it. your smoke in my hair hot and dirty like the l.a. air. that face, baby, it ain't fair, but you don't know what you don't know. oh, so you wanna talk about power ? oh, let me show you power. i eat boys like you for breakfast, one by one hung on my necklace. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7
spencer #14 ☆ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand. take another walk out of your fake world, please put all the drugs out of your hand. you'll see that you can breathe without no back up, so much stuff you got to understand.
danalyn #4 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.
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RPs EN ATTENTE : aisling #3
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Mes yeux se promènent sur son torse, s'arrêtent sur le dessin de ses muscles, et la vision du pauvre jeune homme, visiblement drogué et déboussolé, complètement nu dans mon salon me fait sourire. La chose a un aspect cocasse qui me plaît, puisqu'on imagine généralement plus une jeune femme en train de chercher ses vêtements et sous vêtements égarés dans l'appartement d'un homme rencontré dans un bar que l'inverse. De mon côté j'aime avoir le contrôle total de la situation, jusqu'à diriger le lieu où ont lieu mes ébats. Je me laisse rarement aller à la perte de maîtrise de situation, au fond bien trop apeurée par ce qu'il pourrait se passer dans une situation charnelle dans laquelle je ne maîtrise pas forcément toutes les variables. Et les traits tirés et l'air hagard de Jo finissent de me donner raison. Je l'observai avec un sourire sur les lèvres, immobile, ma tasse à la main pas du tout encline à esquisser un geste en sa direction pour lui faciliter la tâche. Alors qu'il tend la main vers la tasse pour l'arracher à mes mains, effleurant involontairement mes doigts froids au passage, un air malicieux au fond de l'oeil. Le voilà, l'homme que j'ai ramené chez moi hier. J'ai presque eu peur qu'il ait disparu derrière cette façade de drogué, caché dans ce corps d'épave humaine. Mon visage s'illumine en un sourire, alors que je tape des ongles sur le bar qui nous sépare, en l'osbervant descendre le café que je m'étais servi. « Fais moi plaisir, ma belle. La prochaine fois que j’viens te voir, ne me laisse pas entrer. » Sans me départir de mon sourire, je lève un sourcil, amusé. Un drogué avec une conscience en plein fouet le matin, telle un retour de bâton ? Attendrissant. Presque. « Mais je ne t’en voudrais pas si tu n’y arrive pas. » Et le voila, le retour du culôt et de l'insolence. Là, c'est m'intéresse tout de suite beaucoup plus. J'aime bien que jouer que lui frotter le dos pour le réconforter et l'aider à se remettre de la douloureuse descente. C'est tout de suite plus dans mes cordes. Quoi qu'il en soit je n'étais pas sa mère, fort heureusement, et j'étais beaucoup plus intéressée par l'idée de le tenter que celle de le raisonner. Me mordant la lèvre inférieure, comme si je le trouvais d'un coup parfaitements irrésistible, j'attrapai la tasse de café reposée sur le bar, avant de lui répondre. « Je vois pas pourquoi je me priverais d'un bon moment pour caresser ta conscience dans le sens du poil. » Remplissant à nouveau la tasse du liquide brun, je la portai à nouveau à mes lèvres, et repris la parole, toujours avec ce même ton gentiment moqueur. « Tu vois qu'on aura presque pris le petit déjeuner en tête à tête. » En fait, une tasse de café était ma conception du petit déjeuner. Après des années d'excès à se réveiller avec la tête qui cogne et les muscles douloureux, on n'apprends à ne rien avoir la force d'avaler avant le début d'après midi, et mon métabolisme avait fini par s'y faire. Je me droguais, je fumais des cigarettes à n'en plus finir, je buvais beaucoup trop d'alcool, sauter le petit déjeuner n'allait pas me tuer, quand bien même ce n'était pas recommandé par les diéteticiens.
j'observe Jo, puisque je ne connaît d'ailleurs toujours pas son prénom complet, se diriger vers la pièce manquante de sa tenue et l'enfiler, mettant fin au spectacle gratuit duquel je me délectais depuis quelques minutes. Bon, je suppose que toutes les bonnes choses ont une fin. Je le vois tendre la main sur la porte, avant de s'arrêter et de se retourner vers moi, soupirant, et avec l'air d'un adolescent pris en pleine connerie. « À la base, j’suis venu te voir pour m’refaire du stock. » Toujours accoudée au bar, je lève un sourcil, amusée. Avoir de l'emprise sur autrui ne me laisse pas indifférente, quelqu'en soit la raison, je dois bien l'admettre. Cela me donne l'impression d'être une lionne tournant autour de sa proie, à la différence près que Jo à choisi la situation dans laquelle il se trouve aujourd'hui. Dépendant de mon bon vouloir. « C’est trop te demander de m’refiler un sachet avant que j’parte ? » Je lui adresse un nouveau sourire, beaucoup plus sauvage ce coup ci, avant de replacer mes cheveux mouillés dans mon dos. Contournant le bar, je m'approche d'un guéridon installé dans le salon, avant de tourner la clé dans la serrure et d'en ouvrir le tiroir. La pudeur ne m'a jamais réellement habitée, et je me formalise de mon côté peu de déambuler dans l'appartement, mon kimono ouvert offrant une vue dégagée sur mes sous vêtements noirs en dentelle, et sur ma mince poitrine s'en échappant.
Fouillant dans le tiroir, je finis par en sortir un sachet qui contient un peu de poudre. Ce qu'il cherche, mais pas tout à fait. Une dose correcte, de quoi consommer l'équivalent ce qu'il a consommé cette nuit, peut être deux fois, mais guère plus. De un, je n'étais pas son dealer, et pour ça il aurait encore fallu qu'il me paye, alors je me contentai simplement de le dépanner. Et au fond de moi, j'éprouvais une sorte d'amusement vicieux à l'idée qu'il dépende de moi et soit obligé de venir ramper à ma porte pour en recevoir plus. Je m'approchai de lui, m'arrêtant à quelques dizaine de centimètre. Une fois mes talons retirés, je lui arrive à peine à l'épaule, mais ne m'en impressionne pas pour autant. Tendant le sachet, je finis par retirer ma main au dernier, moment, avant qu'il ne puisse l'attraper, un sourire sur le visage, me délectant de ce que je lis dans le sien. Si profiter de la détresse est en pêché, alors j'irais brûler droit en enfer. Je fais quelques pas vers le bar, arrache un bout de papier sur un magazine qui traîne là, avant d'attraper un stylo pour griffonner un numéro de téléphone. Le mien. Je sais que c'est parfaitement inutile. Je sais que vu sa condition et avec la faible quantité de drogue que je lui fournis, il sera obligé de revenir en rampant. Je me rapproche à nouveau de lui, d'un léger déhanché, avant de lui tendre à nouveau le petit sachet, le laissant ce coup ci le glisser dans sa main. Pliant le morceau de journal en deux, je m'approche un peu plus, avant de glisser ma main dans la poche de son jean pour l'y déposer au fond, et la retire d'une lenteur maîtrisée. Ne me reculant pas tout de suite, j'en profite pour murmurer à son oreille. « Tu sais où me trouver, mais je préfère m'en assurer. » Je reste proche quelques secondes supplémentaires, avant de me reculer de quelques centimètres, un sourire sur le visage, observant ses traits. C'est décidement un joli jouet, et je n'ai pas terminé de m'amuser avec.
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Dernière édition par Raelyn Blackwell le Mar 30 Avr 2019 - 15:45, édité 1 fois