| JORALYN #2 ► Fire meet gasoline |
| ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn. STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille. MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie. LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux. POSTS : 34326 POINTS : 3130 TW IN RP : Mention de drogues dures, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, deuil, automutilation. ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : indianred. RPs EN COURS :
(07) chad #3 › spencer #14 › miles #1 (2005) › danaë #4 (2018) › maxwell #7 › miles #2 › cecilia #2
(ua) maxwell #6 (jurassique)
maxyn #7 & sms ☆ i'm sick, yeah, i'm sick, and honestly, i'm getting high off it. your smoke in my hair hot and dirty like the l.a. air. that face, baby, it ain't fair, but you don't know what you don't know. oh, so you wanna talk about power ? oh, let me show you power. i eat boys like you for breakfast, one by one hung on my necklace. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7
spencer #14 ☆ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand. take another walk out of your fake world, please put all the drugs out of your hand. you'll see that you can breathe without no back up, so much stuff you got to understand.
danalyn #4 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.
cecilia #2 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.
miles #1 & #2 ☆ i've been waiting patiently, i built this tower quietly. And when my well of wellbutrin is running dry of serotonin i can say things I don't mean. or maybe it's the truth in me, i feel it building, bubbling up.
RPs EN ATTENTE : aisling #3
RPs TERMINÉS : liste tenue à jour dans ma fiche de liens
amelyn ☆ wasted in love, misunderstood, baby, it's harder to breathe when you're gone. so i hold in my hands pictures of you and dream of the day i was eating for two. all this love, i'm so choked up, i can feel you in my blood, i'm so scared to give you up. valentine, my decline is so much better with you. valentine, my decline, i'm always running to you. and i cover myself in tattoos of us, and dream of the day we embrace and combust. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7 › 8 › 9 › 10 › 11 › 12 › 13 › 14 › 15 › 16 › 17 › 18 › 19 › 20 › 21 › 22 › 23 › 24 › 25 › 26 › 27 › 28 › 29 › 30 › 31 › 32 › 33 › 34 › 35 › 36 › 37 › 38 › 39 › 40 › 41 › 42 › 43 › 44 › 45 › 46 › 47 › 48 › 49 › 50 › 51 › 52 › 53 › 54 › 55 › 56 › 57 › 58 › 59 › 60 › 61 › 62 › 63 › 64 › 65 › 66 › 67 › 68 › 69 › 70 › 71 › 72 › 73 › 74 › 75 › 76 › 77 › 78 › 79 › 80 › 81 › 82 › 83 › 84 › 85 › 86 › 87 › 88 › 89 › 90 › 91 › 92 › 93 › 94 › 95 › 96 › the end. AVATAR : Lady Gaga CRÉDITS : me (avatar), harley (gif profil, maxyn, spencer, amelyn), fuckyougifs (gif danaë) & jifdirectory (gif cecilia), erikawrites (gif miles) DC : Megan Williams (Sydney Sweeney) & Midas Sterling (Leo Woodall) PSEUDO : stairsjumper INSCRIT LE : 21/02/2019 | (#)Mar 16 Juil 2019 - 11:01 | |
| Fire meet gasoline Raelyn Backwell & @Joseph Keegan & @Deborah BrodyElle ne répond pas à mes provocations, et c’est certainement mieux comme ça. Parce que je ne suis pas du genre à me laisser marcher dessus, je ne suis pas du genre à ne pas répondre lorsqu’on m’attaque, certainement pas quand les stupéfiants me font tourner la tête, et s’il y a bien une règle avec moi : c’est qu’il me faut toujours le dernier mot. Je suis prête à m’épuiser, à épuiser tout mon entourage pour le plaisir que me procure le fait de gagner une joute verbale, ou en tout cas de réduire au silence mon adversaire. Alors son silence me va, d’une part parce qu’il offre la victoire mais aussi parce qu’il donne un peu de repos à mes tympans et me permet de profiter un peu des effets de la drogue que j’ai prise plus tôt. Je bascule la tête en arrière – bien heureuse de trouver un appui tête vu l’épave dans laquelle nous roulons – ferme mes yeux quelques secondes et dépose même mécaniquement une main dans les cheveux de Jo pour les caresser, autant pour le rassurer que parce que ce contact humain m’est agréable. L’ecstasy coule dans mes veines, et si l’épisode de Jo m’a clairement fait redescendre et permit de conserver une certaine lucidité, un simple contact, comme celui de ma main sur ses cheveux suffit à faire décoller les poils de mon bras. Fichue drogue.
La voiture se gare devant un immeuble dans lequel je ne vivrais même pas même si j’étais payée pour, mais je ne suis pas là pour faire du tourisme et je reporte vite mon attention sur la brune, qui fait descendre Jo de la voiture, me menaçant de me le laisser sur les bras si je les laisse ici. Elle est mignonne, mais très mauvaise menteuse en tout cas, et de toute façon la menace ne prend pas puisque j’accueillerai de mon côté son départ comme une bénédiction tant elle me tape sur le système depuis notre altercation quelques minutes auparavant. Pour l’aide qu’elle a l’air capable d’apporter de toute façon… « Parce qu’il est pas envisageable que j’abandonne un ami qui m’a appelé, que je sois en capacité ou non de l’aider, il est hors de question de bêtement le laisser dans sa merde. » Un rire mauvais soulève ma poitrine en entendant sa réponse. Tu te contredis ma belle, puis qu’il y a encore deux secondes tu menaçais de nous laisser en plan. Il suffit de pas grand-chose finalement pour exposer ses menaces vides de sens et de conséquences. Pianotant sur mon téléphone, je ne prends pas la peine de lui répondre mais relève tout de même les yeux vers elle lorsqu’elle s’immobilise pour s’adresser à moi, un air las sur le visage. « Je suis désolée, ok ? Je te présente mes excuses de te faire porter le chapeau quand c’est complètement sa faute. Je n’aurais pas dû et j’ai aucune envie de me pseudo battre avec toi. » Des excuses ? Ok, c’est inattendu. Maintenant que nos regards se sont captés et qu’elle s’adresse à moi avec un peu moins d’animosité, mes doigts se figent sur mon téléphone, alors que je m’apprêtais à appuyer sur le numéro de la compagnie de taxi que j’avais réussi à afficher à l’écran. Ses excuses m’apaisent, un peu malgré moi finalement mais ne réussissent pas à gommer la rancœur que je suis en train de développer à son égard, et qui prends racine dans notre première rencontre. Une part de moi sait qu’elle m’a épargnée une expérience douloureuse et dégradante, une expérience à laquelle j’ignore comment j’aurais réussi à faire face, mais j’ai toujours été aussi incapable de remercier quelqu’un qui me tend la main que de présenter des excuses sincères, et de la soirée ou elle m’a sauvé ne reste finalement dans mon esprit que le désagréable souvenir de m’être réveillée dans une chambre d’hôpital et d’avoir été questionnée. Un air sévère sur le visage je la détaille, me réjouissant malgré tout de la faiblesse qu’elle m’offre à mes yeux en s’excusant. Mais ces excuses malgré tout j’y ai droit, parce que la brune ne fait pas partie des personnes envers lesquelles j’ai quoi que ce soit à me reprocher, pas ce soir. Par contre, inutile de préciser que si elle pense que je vais lui renvoyer l’ascenseur elle se fourre le doigt dans l’œil, je ne suis pas de celles qui demandent pardon, et encore moins lorsque j’estime avoir été gratuitement attaquée. « N’appelles pas de taxi. S’il s’accroche à toi mais qu’il m’a appelé malgré tout, j’imagine qu’il a besoin de nous deux. » Je lui répondrais volontiers que la concernant les doigts de Jo ont certainement dû riper sur son numéro par erreur, mais je me retiens, me contentant de lui adresser un sourire insolent. « J’ai pas entendu la formule magique. » Oui, je viens clairement de pousser le vice jusqu’à soulever le fait qu’elle n’ait pas dit s’il te plait Sale gosse que je suis. Je la suis du regard lorsqu’elle entraîne Jo jusqu’à la porte du hall de l’immeuble et secoue finalement la tête avant de verrouiller mon téléphone, le ranger dans mon sac à main et me relever, remettant mon short en place. Ma bonté me perdra. Et l’affection étrange et inqualifiable que je développe pour les hommes dont je m’autorise à devenir régulière. Je repositionne la bandoulière de mon sac sur mon épaule, et emboîte le pas de la jeune femme, me glissant à travers la porte de l’immeuble avant qu’elle ne se ferme, pestant encore une fois intérieurement contre moi. Mon regard croise celui de la brune un instant. « C’est bon Candy, je te suis. Tu vas nous le tuer si je le laisse entre tes mains. » Je tente de garde une contenance, mais je sais que demain je me détesterai pour ce geste parfaitement désintéressé. J’attrape un bras de Jo pour le passer au-dessus de mes épaules, replaçant ma main contre son torse pour lui faire garder l’équilibre, et ses yeux s’accrochent à nouveau naturellement aux miens. « Qu’est-ce qu’on va faire de toi… » Même si je tente de teinter mes paroles d’ironie je ne trompe personne, ça me fais un léger pincement au cœur de le voir dans cet état-là.
Lorsque Deborah pousse la porte de l’appartement mes yeux balayent rapidement la pièce, et je ne serais pas moi si je retenais une pique mesquine concernant la surface de l’appartement. « L’avantage, c’est qu’on risque pas de se perdre. » Finalement nos pas nous portent vers le canapé, où nous laissons glisser Jo pour l’instant, les muscles ankylosés par le poids mort qu’il représente. Je m’accroupis devant lui et attrape doucement ses mains dans les miennes, cherchant à capter son regard hagard. « Jo ? C’est Raelyn, comment tu te sens ? » Je prends sur moi, je fais preuve d’une patience que je ne possède pourtant pas, parce qu’il est bien inutile de brusquer quelqu’un dans son état. Finalement je tourne le yeux quelques secondes vers la brune, tentant d’adoucir mon ton cette fois ci. « Il faudrait vraiment lui apporter un peu d’eau. » La MD fait partie des drogues déshydratant le plus le corps, mais ça elle doit pas être au courant. J’ai presque l’impression d’arriver à lui parler gentiment en tout cas, on progresse. Mes yeux se focalisent à nouveau sur Jo, tentant de deviner ce qu’il peut se passer à cet instant dans sa tête.
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| | | | (#)Lun 5 Aoû 2019 - 18:57 | |
| fire meet gasoline
Lassée. C’est tout ce qu’elle était. Lassée des conneries de Joseph, lassée du ton hautain que Raelyn empruntait, lassée de cette soirée qui virait au cauchemar quand, au contraire, elle s’était couchée tôt pour éteindre toutes les émotions bancales et un peu de traviole qui la traversaient ces temps-ci. Et elle était lassée d’elle-même surtout. Il était l’auteur de tous ses maux ces temps-ci et elle était incapable de foutre la faute sur lui, lui trouvant toujours des excuses ou rejetant la faute sur d’autres, sur elle-même notamment mais aussi sur son accompagnatrice de soirée. Elle était lassée de ne pas savoir lui en vouloir, lassée de l’aimer. Parce que c’était ça. Elle l’aimait cet idiot, d’une amitié trop sincère et authentique pour que cela ne se retourne pas contre elle. C’était exactement ce qui était en train de se passer ce soir et ce qui s’était passé pendant les dernières altercations entre Jo et elle. Cette amitié qui lui faisait tant de bien, qu’elle chérissait au plus profond de son être était en train de retourner sa veste et de lui faire foutrement mal. Et elle en avait marre d’avoir mal. Alors elle s’était excusée auprès de Raelyn. Excusée pour mieux expédier l’affaire. Elle était fatiguée et elle voulait juste que tout s’arrête, que tout rentre dans l’ordre et que chacun reparte de son côté quand l’autre abruti irait mieux. Les excuses présentées, elle s’était échappée avec Joseph dans le hall de l’entrée, laissant la jeune femme dans la rue pour faire son choix. Une part de soulagement venait se glisser dans les reins douloureux de Deborah – à porter seule le brun depuis quelques minutes – quand la demoiselle finissait par entrer et faire son apparition pour l’aider à maintenir le plus déglingué des trois. Ouf parce que les escaliers à grimper seule n’aurait pas été une mince affaire…
Et même à deux, ça ne l’avait pas été. Les trois comparses épuisés par la montée finissaient leur course dans le petit appartement de Debra, les deux femmes visiblement soulagées de se débarrasser du poids mort que représentait le bonhomme. « Voyons le bon côté des choses, on a pas besoin de le traîner sur des kilomètres de couloirs. » disait-elle sans animosité en dépit de la réflexion de Raelyn qui avait voulu être piquante. La réalité voulait que Debra n’en avait rien à foutre qu’elle se moque de la taille de son appartement ou d’autres choses d’ailleurs. Au moins, cet appartement, elle l’assumait comme une grande et c’était sûrement le principal là-dedans. De toute façon, elle n’avait pas besoin d’avoir un palace, elle ne passait que peu de temps chez elle, principalement pour manger et dormir. Clairement pas besoin d’un appartement digne des magazines ou d’une Raelyn visiblement. A sa demande, la brune se dirigeait vers la cuisine ouverte sur le salon, elle attrapait une bouteille d’eau et deux verres. De là où elle était, elle pouvait voir qu’il s’était redressé, assis, sûrement sous l’impulsion de la jeune femme qui avait compris que Deborah était partie chercher le précieux liquide. Elle ne tardait pas à revenir avec les verres en question, la bouteille coincée sous le bras. « Jo, il faut que tu boives un peu. » qu’elle lui disait en lui tendant son verre qu’elle avait à demi rempli – parce qu’il serait capable de le renverser et d’en foutre partout s’il était plein vu l’état de tremblement dans lequel il était – tandis que l’autre, elle l’avait posé sur la table basse avec la bouteille. « Si tu en veux, libre à toi de te servir. » Ce second verre, elle l’avait aussi ramené pour la blonde. Si la drogue était en train de déshydrater Joseph, ça devait être son cas aussi.
« Quand il arrêtera de trembler, je serais d’avis à le mettre dans la chambre, il sera sûrement mieux installé là-bas qu’ici. » Ce n’était pas que son canapé n’était pas confortable mais le cocon d’une chambre – d’une chambre qu’il connait en plus – serait sûrement plus réconfortant que le canapé, un environnement plus à même de le calmer et de l’aider. Ça serait sûrement plus simple aussi pour elle de garder un œil sur lui dans un espace confiné que dans cette pièce. « Ca va durer longtemps tu penses ? » Raelyn semblait plutôt forte calée sur les drogues, avec un peu de chance elle avait une petite idée du temps d’incubation d’un badtrip et de le redescente de Joseph. Parce qu’elle continuait à s’inquiéter malgré tout. Même si elle n’était pas capable de grand-chose pour l’aider et qu’elle était lassée et énervée de la situation, elle n’en restait pas moins sensible à l’état de nervosité et de détresse de Joseph. Deborah était coincée entre deux eaux, entre deux envies : celle de le frapper pour sa connerie et celle de le prendre dans ses bras pour le rassurer. Elle était mal, elle se sentait mal parce que totalement inutile face à ça. « Quand le principal de la tempête sera passée, tu pourras dormir dans la chambre d’ami si tu veux. » Enfin d’amis… la chambre d’Austin mais vu qu’il était pas là, ça sera la chambre d’amis pour ce soir et puis c’était tout. Loin de Debra l’idée que Raelyn veuille se tirer d’ici quand Joseph trouvera le sommeil. |
| | | ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn. STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille. MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie. LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux. POSTS : 34326 POINTS : 3130 TW IN RP : Mention de drogues dures, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, deuil, automutilation. ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : indianred. RPs EN COURS :
(07) chad #3 › spencer #14 › miles #1 (2005) › danaë #4 (2018) › maxwell #7 › miles #2 › cecilia #2
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maxyn #7 & sms ☆ i'm sick, yeah, i'm sick, and honestly, i'm getting high off it. your smoke in my hair hot and dirty like the l.a. air. that face, baby, it ain't fair, but you don't know what you don't know. oh, so you wanna talk about power ? oh, let me show you power. i eat boys like you for breakfast, one by one hung on my necklace. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7
spencer #14 ☆ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand. take another walk out of your fake world, please put all the drugs out of your hand. you'll see that you can breathe without no back up, so much stuff you got to understand.
danalyn #4 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.
cecilia #2 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.
miles #1 & #2 ☆ i've been waiting patiently, i built this tower quietly. And when my well of wellbutrin is running dry of serotonin i can say things I don't mean. or maybe it's the truth in me, i feel it building, bubbling up.
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amelyn ☆ wasted in love, misunderstood, baby, it's harder to breathe when you're gone. so i hold in my hands pictures of you and dream of the day i was eating for two. all this love, i'm so choked up, i can feel you in my blood, i'm so scared to give you up. valentine, my decline is so much better with you. valentine, my decline, i'm always running to you. and i cover myself in tattoos of us, and dream of the day we embrace and combust. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7 › 8 › 9 › 10 › 11 › 12 › 13 › 14 › 15 › 16 › 17 › 18 › 19 › 20 › 21 › 22 › 23 › 24 › 25 › 26 › 27 › 28 › 29 › 30 › 31 › 32 › 33 › 34 › 35 › 36 › 37 › 38 › 39 › 40 › 41 › 42 › 43 › 44 › 45 › 46 › 47 › 48 › 49 › 50 › 51 › 52 › 53 › 54 › 55 › 56 › 57 › 58 › 59 › 60 › 61 › 62 › 63 › 64 › 65 › 66 › 67 › 68 › 69 › 70 › 71 › 72 › 73 › 74 › 75 › 76 › 77 › 78 › 79 › 80 › 81 › 82 › 83 › 84 › 85 › 86 › 87 › 88 › 89 › 90 › 91 › 92 › 93 › 94 › 95 › 96 › the end. AVATAR : Lady Gaga CRÉDITS : me (avatar), harley (gif profil, maxyn, spencer, amelyn), fuckyougifs (gif danaë) & jifdirectory (gif cecilia), erikawrites (gif miles) DC : Megan Williams (Sydney Sweeney) & Midas Sterling (Leo Woodall) PSEUDO : stairsjumper INSCRIT LE : 21/02/2019 | (#)Lun 5 Aoû 2019 - 20:11 | |
| Fire meet gasoline Raelyn Backwell & @Joseph Keegan & @Deborah BrodyOn est loin de mes goûts en terme d’ameublement et de décoration, mais je ne suis pas là pour acheter, alors rapidement je focalise mon attention sur l’état de Jo plutôt que sur le rangement approximatif des lieux. Le canapé devient mon objectif et lorsqu’aidée de la brune j’y laisse tomber le jeune homme je me permets un soupir, mes muscles endoloris. Il pèse son poids et si la jeune femme est d’allure moins frêle que moi, on est quand même toutes les deux loin d’être bâties pour la tâche. J’ai du mal à y croire, qu’une poignée d’heures plus tôt j’étais en train de profiter de l’effet de la musique sur moi, de mes sens exacerbés par le stupéfiant présent dans mon sens alors que je profitais des caresses de Jo. Et je me retrouve ici, dans un appartement où je n’avais aucune envie de mettre les pieds, à devoir m’occuper d’un cocaïnoman pas capable supporte une pilule d’ecstasy avec une jeune femme que je ne porte pas dans mon cœur depuis notre première rencontre. J’aurais mieux fait d’appeler quelqu’un d’autre ce soir, je pensais qu’il avait les reins pour supporter mon rythme, mais vraisemblablement ce n’était pas le cas. « Voyons le bon côté des choses, on a pas besoin de le traîner sur des kilomètres de couloirs. » Je laisse un sourire se poser au coin de ma lèvre avant de me concentrer sur Jo, m’accroupissant devant lui et prenant ses mains dans les miennes. Je continue de tenter de l’apaiser, tantôt réussissant à lui extraire quelques phrases – phrases était un bien grand mots – tantôt l’observant enfermé dans son mutisme. Je passe une main sur son front, brûlant et trempé de sueur, avant d’observer la jeune femme qui revient vers nous une bouteille d’eau et deux verres à la main, avant d’en tendre un au brun. « Jo, il faut que tu boives un peu. » Je l’observe boire doucement, avant de tourner mon visage quelques secondes vers Deborah. « Il faut absolument qu’il reste hydraté, c’est important. » Je persiste à croire qu’il n’a pas assez consommé pour que la dose soit létale, mais je préfère prévenir, lui prodiguant des conseils comme si j’allais la laisser gérer. Et bien… C’était un peu ça en fait, je comptais bien m’assurer qu’il passe la nuit et commence à redescendre, mais après ça je n’avais pas prévu une soirée pyjama. Elle pose finalement ses yeux vers la bouteille d’eau avant de s’adresser à moi. « Si tu en veux, libre à toi de te servir. » J’hésite, parce que malgré ses excuse et l’apaisement apparent de la discussion, je n’ai rien envie d’avoir à lui devoir. Mais sentant un nœud dans ma gorge je hoche la tête avant d’attraper la bouteille pour me servir un verre, le bois rapidement et le resserre, avant de m’asseoir sur le canapé à mon tour, les jambes meurtries d’être restée debout toute la soirée et surtout d’avoir transporté Jo jusqu’à l’appartement. La tête du jeune homme vient à nouveau reposer sur mes cuisses et je le laisse faire, j’abandonne les armes avec lui ce soir, parce qu’il n’est capable d’opposer aucune résistance et qu’au fond je suis peinée de le voir ainsi. Je ferme les yeux quelques secondes, buvant une nouvelle gorgée d’eau, quand la jeune femme me tire de mes pensées. « Quand il arrêtera de trembler, je serais d’avis à le mettre dans la chambre, il sera sûrement mieux installé là-bas qu’ici. » Je hoche la tête, de toute façon elle peut aussi bien le mettre dans la baignoire que ça ne changera pas ma soirée, et pour être honnête pas la sienne non plus. C’est dans sa tête que ça se passe, et le couvrir de draps de soies ne changerait rien du tout. Il ira mal tant que les drogues contrôleront son cerveau, et il n’y a pas grand-chose que nous puissions faire. « Tu fais bien ce que tu veux. » Me rendant compte que la sécheresse de mon ton, je rajoute. « Le lit c’est très bien. » Elle continue, et je me prête à l’interrogatoire bon gré mal gré. Mais je suis ici pour ça après tout, m’assurer qu’il passe la nuit, et surtout m’en assurer vite, pour pouvoir aller me glisser dans mes draps à moi. « Ça va durer longtemps tu penses ? » J’observe le visage de Jo, posé sur mes cuisses en laissant échapper un soupir. « C’est très variable. Les effets d’une prise de MD c’est généralement six à dix heures, dans son cas à lui puisqu’il a déjà une certaine… » Je cherche mes mots, mais décide de retirer le pansement d’un coup sec. « … Résistance aux substances stimulantes, ça peut être plus court, mais je peux pas te l’affirmer non plus. » Je laisse mon regard vaquer sur le jeune homme, avant de relever les yeux vers elle. « La bonne nouvelle c’est qu’il a pris de la came de qualité, il devrait pas avoir d’effets secondaires sur le long terme. » Les bad trips à l’ecstasy peuvent être particulièrement destructeurs, provoquer dépressions et autres désordre psychologiques, particulière si les pilules sont coupées avec tout est n’importe quoi. Pour le coup je sais qu’elles ne le sont pas puisque j’approvisionne moi-même la marchandise, mais ça elle n’a pas besoin de le savoir. « Il risque de … De connaître une descente un peu difficile dans les jours à venir. Se sentir mal, angoissé, particulièrement fatigué ou déprimé peut être. Mais ça passera. » Ah les effets de bord. Je ne suis pas sure qu’elle ait envie d’entendre tout ça, mais au moins j’aurais fait pas B.A. de la semaine. En quelques sortes. Je parle de drogue comme j’aurais parlé d’un sujet futile, mais au moins je suis un peu moins sur la défensive que quelques minutes auparavant. « Quand le principal de la tempête sera passée, tu pourras dormir dans la chambre d’ami si tu veux. » Je plante mes yeux dans les siens, avant de laisser échapper une sourire. « Je compte pas m’éterniser. Quand il ira mieux et qu’il sera endormi, je rentrerai chez moi. » Et je n’ai pas l’intention d’accepter le moindre compromis à ce sujet. Je ne sais pas quelle relation toxique et nocive ils entretiennent, mais je suis sure d’une chose, je n’ai pas envie d’être dans les parages demain matin.
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Dernière édition par Raelyn Blackwell le Mar 3 Déc 2019 - 23:21, édité 1 fois |
| | | | (#)Mer 9 Oct 2019 - 22:21 | |
| fire meet gasoline
« J’y veillerai. » A ce qu’il reste hydraté, quitte à ne pas dormir pour le forcer à boire. A vrai dire, elle n’allait probablement pas dormir de sitôt. Si l’amertume avait pris une grande place dans son cœur, l’inquiétude y résidait toujours et elle n’était pas près de dormir, pas avant d’être assurée qu’il allait passer la nuit sans trop d’encombres… et apparemment, ça pourrait prendre des heures. Elle qui venait de dire qu’elle l’installerait bien dans son lit pour qu’il soit mieux, elle se rendait compte que rien n’irait mieux, peu importe sa place, tant qu’il n’allait pas redescendre de son badtrip. Pour le moment, tout ce qui semblait le consoler et le rassurer était de se blottir contre les jambes de Raelyn. Un gosse. Il avait juste l’air d’un gosse apeuré par des monstres que lui seul était capable de voir. Il arrivait à lui faire de la peine – et ça n’arrangerait sûrement pas son cas par la suite d’ailleurs – mais la brune ne savait pas quoi faire de plus. Certes, elle était rassurée qu’il soit chez elle et non plus en pleine forêt, loin de tout mais ça ne la rendait pas utile pour autant. Il fallait juste attendre, appréhender des réactions pourtant imprévisibles… elle détestait cette situation, elle le détestait de l’avoir entraînée là-dedans. Qu’est-ce qu’elle était mieux dans l’ignorance, ça faisait moins mal de ne plus le voir que de le voir comme ça.
Maintenant elle savait et ils n’allaient pas pouvoir faire semblant parce que ça, elle ne savait pas le faire à l’instar du rire jaune qui passait ses lèvres quand Raelyn relativisait les choses : résistance à la drogue, bonne came, pas d’effets secondaires sur le long terme… Pas d’effet du tout parce que pas de prise de drogue aurait été mieux mais Deborah s’abstenait de le dire parce que la blonde avait sûrement compris les choses à son pseudo rire et aux sourcils légèrement relevés. Puis elle parlait des jours à venir, de l’état dans lequel il risquait d’être. Elle parlait de fatigue, de possible dépression, d’angoisse mais tout ce que Debbie retenait, c’est que ça finirait par lui passer. « Tant mieux si ça lui passe, ça m’évitera de culpabiliser de ne pas être là. » Sa décision était prise. Elle ne comptait pas assister à tout ça ni même l’épauler. Sur l’instant, elle estimait qu’il ne méritait plus d’attention de sa part. Si elle veillait sur lui cette nuit, c’était seulement parce que l’amitié qu’elle avait pour lui l’obligeait à le faire mais c’était aussi elle qui devenait si douloureuse qu’elle serait incapable de rester là les jours prochains, à le soutenir comme si de rien était et comme si elle ne souffrait pas de ce mensonge traîné sur plus d’une année. Dès lors qu’il allait retrouver ses esprits, il allait dégager de chez elle et elle ne changerait pas d’avis.
Son regard ne se relevait vers la blonde que lorsqu’elle lui proposait la chambre d’Austin pour cette nuit. Ça lui semblait tellement évident, tellement logique… mais pas pour la concernée visiblement qui comptait bien s’en aller plus vite que Joseph. Un soupir passait les lèvres de Deborah parce qu’elle savait déjà que Raelyn allait la trouver particulièrement chiante mais elle ne pouvait pas empêcher les quelques mots qui suivaient. « Je te laisserais pas t’en aller. » Enfin elle n’allait pas la séquestrer non plus, qu’elle se rassure. « Pas spécialement pour lui là mais pour toi surtout. Je ne vais pas te laisser t’en aller toute seule, dans cette tenue, sous influence de drogue même si tu sembles toujours assez lucide. On ne sait jamais ce qui peut arriver, je préférerai que tu appelles quelqu’un que tu connais bien et en qui tu as entièrement confiance pour te ramener chez toi... enfin si tu connais quelqu’un que ça ne dérange pas d’être appelé en pleine nuit. » Elle disait ça mais sûrement que, comme la plupart des gens, elle connaissait davantage de personnes que ça ne gênait pas d’être réveillé au milieu de la nuit que de personne en qui avoir confiance. La preuve en était ce soir que ce n’était pas évident de donner sa confiance à quelqu’un. Joseph avait perdu celle de Debbie, assez pour qu’elle ait l’envie de poser des questions qu’elle allait sûrement redemander au concerné le lendemain, seulement pour vérifier s’il allait continuer de s’enfoncer dans le mensonge. Au moins, avec Raelyn, elle était sûre que cette dernière n’avait aucune raison valable de lui mentir. « Ça fait longtemps qu’il vient te voir ? Il le fait souvent ? » Pour se fournir, pour prendre sa dose… elle était encore incapable de le dire, comme si elle refusait encore l’évidence pour se protéger un peu. « Je sais même pas comment il fait ce crétin, il a pas d’argent pour ça... » Puis elle se souvient… ce qu’elle lui a dit dans la voiture. Echange de bons procédés, disons ça comme ça. « Non, rien, je suis conne, désolée. » Et sûrement pas Raelyn qui allait la contredire là-dessus. « J’arrive juste pas à comprendre comment il a pu tourner le dos à des années de sobriété pour finir dans cet état... » c’est con putain, qui veut réellement finir comme ça ? Personne, n’est-ce pas ? |
| | | ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn. STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille. MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie. LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux. POSTS : 34326 POINTS : 3130 TW IN RP : Mention de drogues dures, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, deuil, automutilation. ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : indianred. RPs EN COURS :
(07) chad #3 › spencer #14 › miles #1 (2005) › danaë #4 (2018) › maxwell #7 › miles #2 › cecilia #2
(ua) maxwell #6 (jurassique)
maxyn #7 & sms ☆ i'm sick, yeah, i'm sick, and honestly, i'm getting high off it. your smoke in my hair hot and dirty like the l.a. air. that face, baby, it ain't fair, but you don't know what you don't know. oh, so you wanna talk about power ? oh, let me show you power. i eat boys like you for breakfast, one by one hung on my necklace. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7
spencer #14 ☆ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand. take another walk out of your fake world, please put all the drugs out of your hand. you'll see that you can breathe without no back up, so much stuff you got to understand.
danalyn #4 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.
cecilia #2 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.
miles #1 & #2 ☆ i've been waiting patiently, i built this tower quietly. And when my well of wellbutrin is running dry of serotonin i can say things I don't mean. or maybe it's the truth in me, i feel it building, bubbling up.
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amelyn ☆ wasted in love, misunderstood, baby, it's harder to breathe when you're gone. so i hold in my hands pictures of you and dream of the day i was eating for two. all this love, i'm so choked up, i can feel you in my blood, i'm so scared to give you up. valentine, my decline is so much better with you. valentine, my decline, i'm always running to you. and i cover myself in tattoos of us, and dream of the day we embrace and combust. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7 › 8 › 9 › 10 › 11 › 12 › 13 › 14 › 15 › 16 › 17 › 18 › 19 › 20 › 21 › 22 › 23 › 24 › 25 › 26 › 27 › 28 › 29 › 30 › 31 › 32 › 33 › 34 › 35 › 36 › 37 › 38 › 39 › 40 › 41 › 42 › 43 › 44 › 45 › 46 › 47 › 48 › 49 › 50 › 51 › 52 › 53 › 54 › 55 › 56 › 57 › 58 › 59 › 60 › 61 › 62 › 63 › 64 › 65 › 66 › 67 › 68 › 69 › 70 › 71 › 72 › 73 › 74 › 75 › 76 › 77 › 78 › 79 › 80 › 81 › 82 › 83 › 84 › 85 › 86 › 87 › 88 › 89 › 90 › 91 › 92 › 93 › 94 › 95 › 96 › the end. AVATAR : Lady Gaga CRÉDITS : me (avatar), harley (gif profil, maxyn, spencer, amelyn), fuckyougifs (gif danaë) & jifdirectory (gif cecilia), erikawrites (gif miles) DC : Megan Williams (Sydney Sweeney) & Midas Sterling (Leo Woodall) PSEUDO : stairsjumper INSCRIT LE : 21/02/2019 | (#)Jeu 10 Oct 2019 - 22:48 | |
| Fire meet gasoline Raelyn Backwell & @Joseph Keegan & @Deborah Brody« J’y veillerai. » Je n’ai étrangement pas le moindre doute à ce sujet. Parce qu’elle n’a pas l’air du genre à laisser tomber quelqu’un Candy, et même si elle ne me l’avait pas expressément dit je l’aurais su. Pare que tout le monde ne prend pas sa voiture et ne conduit pas une demie heure pour quitter la ville et aller chercher un drogué en plein milieu de la campagne. Parce que moi aussi elle ne m’a pas laissée descendre de la voiture lorsque je le lui ai demandé, alors que je l’aurais fait sans me poser la moindre question, estimant que j’avais à faire à une adulte. Alors je ne connais pas la nature de leur relation – je m’en fiche à vrai dire – mais je n’ai aucune raison de remettre sa parole en doute. Mais pas plus de m’y intéresser, ou de me sentir soulagée. Une fois que j’aurai passé le pas de la porte, ça sera à elle de se débrouiller, et les événements de ce soir ne m’empêcheront pas de profiter de la nuit de sommeil que je mérite, après avoir supporté ces deux-là. Je ne réponds pas donc, et finalement la demoiselle s’enquiert des effets de la drogue, et de leur durée. Le sujet je le maîtrise, et c’est peut-être bien la première fois que je lui adresse autant la parole sans ressentir le besoin de lui cracher au visage. Parce que je ne réfléchis pas, parce que je récite et parce que je suis franchement lasse de faire quoi que ce soit d’autre que de lutter pour rester éveillée, maintenant que l’euphorie de la soirée est largement retombée. « Tant mieux si ça lui passe, ça m’évitera de culpabiliser de ne pas être là. » Après un coup d’œil au brun qui semble être bien loin à présent, même s’il est encore agité par des soubresauts, par des frissons et autres manifestations de la douleur avec laquelle il semble être en prise, je relève les yeux vers la demoiselle, un sourcil levé. Peut-être qu’elle s’attend à ce que je lui pose des questions, lui demande de préciser le fond de sa pensée ou de justifier pourquoi elle ne veut plus revoir Jo, mais je ne le fais pas. Parce que cela ne revêt pas de la moindre importance pour moi, parce que je ne suis pas en état de m’intéresser à leurs histoires quand j’ai de toute façon toujours été dénuée de la moindre curiosité malsaine et déplacée. Elle fera bien ce qu’elle veut, Jo est assez grand pour que je n’ai pas à me soucier de son bien-être et de son petit cœur.
Jetant un coup d’œil à ma montre je pousse un dernier soupir. Je ne pensais pas que la soirée se terminerait aussi tôt pour moi, et certainement pas de cette façon, mais il faut croire que le destin a un sens de l’humour encore plus aiguisé que le mien. Si elle pense que j’ai envie de m’attarder ici elle se trompe : elle m’a peut-être fait des excuses mais je ne m’estime pas encore à l’abri d’être étouffée avec un oreiller dans mon sommeil. Et je n’ai surtout pas besoin de mettre les pieds dans la chambre du colocataire en question pour savoir que dormir dans ses draps sales ne m’intéresse pas, pour avoir hâte de me glisser entre mes draps en satin. « Je te laisserais pas t’en aller. » A nouveau je fronce les sourcils en relevant mes yeux vers elle. « Pas spécialement pour lui là mais pour toi surtout. Je ne vais pas te laisser t’en aller toute seule, dans cette tenue, sous influence de drogue même si tu sembles toujours assez lucide. On ne sait jamais ce qui peut arriver, je préférerai que tu appelles quelqu’un que tu connais bien et en qui tu as entièrement confiance pour te ramener chez toi... enfin si tu connais quelqu’un que ça ne dérange pas d’être appelé en pleine nuit. » Ah, le voilà le complexe de mère Térésa qui fait son grand retour. Je suis une personne adulte, le genre à qui on ne dicte pas sa conduite, pourtant quand je lui réponds c’est bien sur le ton de l’humour cette fois ci. De la provocation aussi certes, avec une pointe de sarcasme, mais de l’humour. « Et tu vas faire quoi ? Me menotter au radiateur ? Ton appartement n’est pas assez grand pour que je sois pas capable d’en retrouver la sortie. » Sans compter que j’ai reconnu le quartier de Fortitude, et que je suis probablement à moins d’une demie heure de marche de chez moi. Je secoue finalement la tête avant de tendre le bras pour attraper mon sac à main et en tire mon téléphone, avant d’envoyer deux messages, l’un à Alec et l’autre à Mitchell, je sais que tout deux me répondront et feront le déplacement s’ils le reçoivent. Je pose le téléphone à côté de moi sur le canapé avant de tendre ma main vers mon verre d’eau posé sur la table. « Ça fait longtemps qu’il vient te voir ? Il le fait souvent ? » Je penche la tête sur le côté et l’observe quelques secondes, me demandant ce qu’elle est en train de faire. Me tirer des informations à moi parce qu’elle sait que Jo ne répondra pas ? Je la laisse continuer avant de répondre, puisqu’elle semble avoir des choses à dire. « Je sais même pas comment il fait ce crétin, il a pas d’argent pour ça... » Je reste de marbre, lui laissant le temps de réfléchir toute seule et de trouver elle-même la réponse à sa propre question, chose qu’elle fait sans que je n’ai le besoin d’intervenir. « Non, rien, je suis conne, désolée. » Ce n’est pas moi qui la contredira, je suis de beaucoup trop mauvais poil à l’heure actuelle. Elle semble nager en pleine confusion Deborah, elle pourrait presque me faire de la peine, parce que si j’ai depuis un moment ressenti sa colère, c’est sa peine que je perçois à présent. Sa peine qui se heurte à mon visage impassible. « J’arrive juste pas à comprendre comment il a pu tourner le dos à des années de sobriété pour finir dans cet état... » Je l’arrête là, parce que je ne suis pas sa psy, et que je ne pourrais de toute façon pas répondre à cette question même si j’en avais envie. « Parce que t’as jamais été dépendante. Pas de cette merde. » La cocaïne, cette même addiction qui m’a hanté pendant des années. Qui me hante toujours à vrai dire, parce que le désir lui de se n’estompe jamais. « La vue d’un rail de coke me tente toujours. A chaque fois. J’y ai pas touché depuis treize ans pourtant. » Je n’attends pas de réponse, comme je me fiche de partager cette information qui à mes yeux ne revêt pas de l’intime ou du personnel. C’est une partie de celle que j’étais, de celle que je suis encore aujourd’hui, même si je me targue de ne plus être une addict. « Et j’en sais rien. Depuis le début de l’année, depuis quelques mois. » J’ai pas marqué les jours d’une croix dans mon calendrier figure toi princesse. Je pousse un soupir, avant de porter mon verre d’eau à mes lèvres, commençant à ressentir cette familière brûlure au fond de ma gorge. « Plusieurs fois par mois, plusieurs fois par semaines parfois, quelle importante ça fait ? » Elle se fait du mal en me posant des questions, en me demandant des détails. Mais je n’ai pas cette bienveillance qui pourrait me pousser à ne pas répondre ou à lui avouer une demie vérité pour l’épargner. Je suis souvent d’une brutale honnêteté, je n’ai que faire de prendre des pincettes avec une inconnue. Je ne suis plus assez sobre pour être diplomate et y aller par quatre chemins.
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| | | | (#)Mer 4 Déc 2019 - 4:32 | |
| fire meet gasoline
Son sourire amusé, c’est la blonde qui parvenait à le faire apparaitre. Qui l’aurait cru quelques instants plus tôt alors qu’elles étaient en train de se gueuler dessus pendant que le fautif était incapable d’assumer sa connerie ? Même pour Deborah, c’était improbable que ça aille dans ce sens. Et même si la demoiselle avait décidé de jouer la carte de l’humeur avec un peu de sarcasme, ça l’amusait et elle s’autorisait même à la suivre sur ce chemin. « Fermer la porte à clé et les mettre en hauteur, ça devrait suffire pour t’empêcher de sortir. » Si Raelyn blaguait sur la petitesse de son appartement, elle blaguait sur la petite taille de la blonde. Elle aurait même pu lui dire qu’il lui suffisait de lever le bras, même avec ses talons, elle ne serait toujours pas assez grande pour s’emparer des précieuses clés. De toute façon, elle n’aurait pas à le faire puisque la principale concernée s’emparait de son sac à main puis de son téléphone visiblement pour envoyer quelques messages. Elle n’allait pas partir d’ici toute seule et c’était sûrement la meilleure chose qui était arrivée dans cette soirée – tout du moins dans celle de Deborah, pour sûr que Raelyn avait eu mieux dans la soirée.
Et puis elle posait les questions, bêtement. Dans l’espoir que Jo ne lui mente pas demain matin quand elle allait lui demander des explications à son tour. Elle avait besoin de savoir même si cela allait immanquablement lui faire du mal – et ça n’avait pas manqué – parce qu’elle ne comprenait pas où les choses avaient clochés, à quel moment ça avait merdé pour qu’il décide de refoutre le nez là-dedans. C’était son interlocutrice qui lui fournissait une partie des réponses en révélant un pan de sa vie. Elle-même avait été addict à cette merde et elle en subissait encore les tentations, une dizaine d’années plus tard. Quelque part, Deborah lui en voulait un peu d’avoir su se sortir la tête de l’eau mais de fournir d’autres gens… comment c’était humainement possible de faire subir ça à d’autres pour du pognon quand on est soi-même conscient de la difficulté et de la souffrance que ça représente ? Non, elle ne comprenait pas mais n’en pipait pas un mot pour autant. Elles n’étaient pas du même monde et elle ne voulait pas faire partie du sien ne serait-ce qu’en ayant une once de compréhension pour ça. « Comment tu as fait pour t’en sortir au juste ? Tu as remplacé une addiction par une autre ? » Question bête mais légitime puisqu’elle était actuellement sous l’influence d’une quelconque drogue. Ça ne coûtait rien de lui poser la question pour tenter d’avoir une réponse.
Et le couperet tombait. Ça faisait des mois qu’il fréquentait Raelyn pour se fournir en drogue et passer du bon temps. Le cœur de la brune s’était instantanément serré – et il allait se serrer encore plus dans quelques heures en apprenant que ça faisait bien plus longtemps que ça encore – pour mieux imploser sous la question. Quelle importance… si elle savait… Probablement qu’elle allait se moquer une fois de plus de Brody de réagir ainsi, ou peut-être qu’elle n’en aurait pas le temps. Son téléphone venait de s’allumer. « Tu as un message, j’imagine que tu seras bientôt libre. » Elle supposait que le sms qu’elle venait de recevoir était une réponse de la personne qui allait venir la chercher jusqu’ici. Ca lui donnait un bon exemple pour lui expliquer l’importance que ça a. « C’est comme si le sms que tu viens de recevoir te disait j’arrive tout de suite et il ou elle ne vient jamais, peu importe dans quelle merde tu peux te trouver. Ça a toujours de l’importance quand tu donnes ta confiance à quelqu’un et qu’il la piétine pendant des mois en te regardant dans les yeux sans jamais sourciller une seule fois. » Elle avait mal, à poser ces mots-là parce que ça retirait les œillères de l’inquiétude qu’elle avait jusque-là et qu’il ne restait plus que la peine dans son regard, celle qu’elle refuse de montrer à chaque fois mais qu’elle est incapable de cacher ce soir. La réalité, elle était là. Leur amitié était basée et influencée sur et par un mensonge. Pour elle, ouais, ça avait son importance, encore plus quand on sait que Joseph n’était pas juste un meilleur ami mais bien plus encore sans qu’elle ne soit capable de le définir.
Puis les minutes s'étaient engrainées pendant lesquelles Debbie avait demandé un dernier service à Rae : l'aider à mettre Joseph au lit, comme elle l'avait prévu bien plus tôt dans la soirée. Juste à temps avant que le téléphone de la jeune femme ne se mette à sonner et vibrer. Un appel entrant lui indiquant que son preux chevalier l'attendait en bas de l'immeuble. Elle allait s'en aller et la brune allait être plus seule que jamais face à sa vérité. |
| | | ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn. STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille. MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie. LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux. POSTS : 34326 POINTS : 3130 TW IN RP : Mention de drogues dures, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, deuil, automutilation. ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : indianred. RPs EN COURS :
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maxyn #7 & sms ☆ i'm sick, yeah, i'm sick, and honestly, i'm getting high off it. your smoke in my hair hot and dirty like the l.a. air. that face, baby, it ain't fair, but you don't know what you don't know. oh, so you wanna talk about power ? oh, let me show you power. i eat boys like you for breakfast, one by one hung on my necklace. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7
spencer #14 ☆ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand. take another walk out of your fake world, please put all the drugs out of your hand. you'll see that you can breathe without no back up, so much stuff you got to understand.
danalyn #4 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.
cecilia #2 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.
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amelyn ☆ wasted in love, misunderstood, baby, it's harder to breathe when you're gone. so i hold in my hands pictures of you and dream of the day i was eating for two. all this love, i'm so choked up, i can feel you in my blood, i'm so scared to give you up. valentine, my decline is so much better with you. valentine, my decline, i'm always running to you. and i cover myself in tattoos of us, and dream of the day we embrace and combust. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7 › 8 › 9 › 10 › 11 › 12 › 13 › 14 › 15 › 16 › 17 › 18 › 19 › 20 › 21 › 22 › 23 › 24 › 25 › 26 › 27 › 28 › 29 › 30 › 31 › 32 › 33 › 34 › 35 › 36 › 37 › 38 › 39 › 40 › 41 › 42 › 43 › 44 › 45 › 46 › 47 › 48 › 49 › 50 › 51 › 52 › 53 › 54 › 55 › 56 › 57 › 58 › 59 › 60 › 61 › 62 › 63 › 64 › 65 › 66 › 67 › 68 › 69 › 70 › 71 › 72 › 73 › 74 › 75 › 76 › 77 › 78 › 79 › 80 › 81 › 82 › 83 › 84 › 85 › 86 › 87 › 88 › 89 › 90 › 91 › 92 › 93 › 94 › 95 › 96 › the end. AVATAR : Lady Gaga CRÉDITS : me (avatar), harley (gif profil, maxyn, spencer, amelyn), fuckyougifs (gif danaë) & jifdirectory (gif cecilia), erikawrites (gif miles) DC : Megan Williams (Sydney Sweeney) & Midas Sterling (Leo Woodall) PSEUDO : stairsjumper INSCRIT LE : 21/02/2019 | (#)Mer 4 Déc 2019 - 10:09 | |
| Fire meet gasoline Raelyn Backwell & @Joseph Keegan & @Deborah BrodyLa soirée ne m’amuse plus, les événements m’ont fait redescendre, si bien que si la drogue m’empêche encore de réfléchir clairement je ne ressens plus l’euphorie et le sentiment de bien être recherchés, et je n’ai qu’une envie : celle de m’extraire de cet appartement et de rentrer chez moi. De mettre le plus de distance entre la brune, Jo et moi, et de la conserver, cette distance. Mais les choses ne peuvent pas être aussi simples et dans une dernière tentative de me pourrir la vie la brune a décidé de s’octroyer le statut de baby sitter. Je ne suis pas le genre de femme à laquelle on dicte sa conduite, et je ne laisse pas même ceux que je respecte le faire, alors il est hors de question que je lui permette à elle de le faire. Elle n’est pas mon ennemie, et je n’ai finalement aucune rancune réellement fondé envers elle, à part ses mots à mon égard tout à l’heure elle n’a pas grand-chose à se reprocher me concernant, mais je me fiche bien de ça. Je me fiche que ma façon de la traiter soit juste ou injuste, je me fiche de l’opinion qu’elle peut avoir de moi comme je me fiche finalement de l’opinion de la plupart de mes interlocuteurs. « Fermer la porte à clé et les mettre en hauteur, ça devrait suffire pour t’empêcher de sortir. » Je lève un sourcil, bras croisés contre ma poitrine hésitant un peu quant à la conduite à adopter face à cette pique non dissimulée. Elle ne fait que répondre à mes provocations et dans d’autres circonstances son culot m’aurait fait rire, mais je suis fatiguée et j’ai envie de mettre les voiles. Mais il y a des batailles qu’il faut savoir concéder, et en attrapant mon téléphone pour envoyer deux messages : l’un au boss et l’autre à Alec, je concède, pour le moment en tout cas. Si aucun des deux hommes ne me réponds alors cela sera une autre histoire. « Comment tu as fait pour t’en sortir au juste ? Tu as remplacé une addiction par une autre ? » Les yeux dans le vague, je réfléchis à la réponse à apporter à sa question.
Je pourrais me taire et choisir de l’ignorer, je ne lui dois rien, certainement pas des confidences en ce qui concerne ma vie privée. Non, je n’ai pas remplacé la cocaïne par un autre stupéfiant et cela lui paraîtrait certainement surprenant mais pendant un peu plus de deux ans aucune drogue dure n’est passée dans mon système. Mais je n’aime pas parler d’Aaron, je n’aime pas parler de cette période et ce n’est pas à elle que je vais me confier. « C’est pas si simple. Mais comme ce sont pas tes oignons. » Je marque une pause, jetant un coup d’œil désespéré à mon téléphone. « Donc oui, on peut dire que j’ai remplacé une addiction par une autre. Simplement, pas au type de drogue que tu imagines. » Je laisse échapper un rire bref, avant de basculer ma tête en arrière, la laissant retomber contre l’assise du canapé. « Tu as un message, j’imagine que tu seras bientôt libre. » Mes yeux se posent sur mon téléphone dont l’écran s’est allumé. Sans répondre à la brune je l’attrape pour y lire la réponse d’Alec, qui me dit sobrement qu’il arrive et qui me demande l’adresse. J’envoie ma localisation au brun, avant de verrouiller à nouveau mon téléphone. « C’est comme si le sms que tu viens de recevoir te disait j’arrive tout de suite et il ou elle ne vient jamais, peu importe dans quelle merde tu peux te trouver. Ça a toujours de l’importance quand tu donnes ta confiance à quelqu’un et qu’il la piétine pendant des mois en te regardant dans les yeux sans jamais sourciller une seule fois. » Encore une fois je ne peux m’empêcher de penser que la demoiselle ramène tout à elle. « L’addiction de Jo, c’est pas à propos de toi. » Je hausse les épaules d’un air détaché. C’est là toute la différence. Cela n’a rien à voir avec elle, et il faut simplement qu’elle intègre qu’à moins de l’enfermer pendant des mois dans un appartement comme Aaron l’a fait avec moi, elle n’a pas la main là-dessus. Elle ne peut pas le faire décrocher s’il n’a pas envie de s’en sortir.
Je l’aide finalement à porter – tant bien que mal le brun jusqu’à sa chambre, et sans un dernier regard pour lui revient au salon juste à temps pour prendre l’appel d’Alec. Je décroche sous le regard de la demoiselle. « Alec ? » Il est en bas, c’est donc l’heure de la délivrance pour moi. « Je descends. » Je raccroche et attrape mon sac à main. Je vais disparaître et emporter avec moi les petites pilules qui sont la cause de son trouble ce soir : c’est ce qu’elle veut non ? « Tu veux me donner la main et m’accompagner jusqu’en bas pour t’assurer que mes parents viennent bien me chercher ou ça ira ? » Je lève un sourcil et remet en place mon short et mon crop-top, consciente que ma tenue me vaudra d’essuyer une remarque de la part d’Alec. Tant pis.
rp terminé
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| | | | | | | | JORALYN #2 ► Fire meet gasoline |
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