Tu ne lui en veut pas de t'avoir mentis sur son prénom. Après tout, elle ne te connait pas. Et si elle a fait cela, c'est qu'elle doit avoir ses raisons. Il faut bien garder un petit jardin secret, histoire de se protéger des autres. Toi aussi t'en as un jardin secret. Très peu de personnes te connaissent réellement. Mis à part Lisbeth, personne ne connait ton passé. Tu sais très bien garder les secrets. Autant les tiens que ceux de tes proches. Tu n'as aucunement l'intention de lui demander de te rendre des comptes sur le pourquoi du comment elle t'as mentis. La jeune femme ne te doit rien. Et toi non plus. Vous êtes justes deux amants, c'est tout. Deux amants qui apprennent à se connaitre, à s'apprivoiser. Est-il possible de t'apprivoiser ? Certainement, oui. Ça demande tout de même beaucoup de travail. Tu lui souhaites bon courage si elle a réellement envie de te dompter, ou du moins d'essayer de le faire. Dans la réserve, tu viens te coller à elle. Tes lèvres se perdent dans son cou avant de venir capturer celles de la demoiselle. Plus aucun mot n'est prononcé. Paola s'amuse à embrasser, toucher ton torse de ses mains. Des milliers de frissons te parcourent l'échine. Généralement, les femmes avec qui tu couches ne prennent pas la peine de faire ce genre de choses. Tu tires ton coup et c'est terminé. Pas de sentiment, pas d'attache. Pas de paroles non plus. Tu ne cherches pas réellement à discuter dans ces cas-là. Les choses vont bien moins vite qu'habituellement. Ça fait du bien de changer, de bousculer les habitudes. Tu n'es pas l'homme qui apprécie le plus le changement mais, pour une fois, ça ne te gêne pas. T'apprécie ce qui est en train de se passer entre vous deux. Un à un, vos vêtements rejoignent le sol de la réserve. Tu connais déjà son corps mais c'est un plaisir de le découvrir à nouveau. Ces sous-vêtements rouge passion avec quelques broderies lui vont à ravir. Tes lèvres se perdent sur ses seins. Son regard ne trompe pas. Elle n'a pas envie que tu t'arrêtes. Elle a même envie que tu poursuives ce que t'es en train de faire jusqu'à venir te loger en elle. Tu ne vas pas te faire prier. Les caresses de la demoiselle te font frissoner. "Fais moi vibrer !" C'est ce qu'elle dit. Si c'est ce qu'elle souhaite, tu vas le faire. Mais avant, tu veux la faire patienter encore un peu. Tu n'en as pas finis avec elle. T'embrasses sensuellement chaque partie de son corps. Tout son corps est réceptif à ce que tu es en train de lui faire subir. Elle est prête à ce que tu viennes te loger en elle. Lentement, tu t'enfonces en elle. Vous ne faites plus qu'un. Un long râle de plaisir s'échappe de tes lèvres. Tu viens reprendre possession de ses lèvres. Ta langue s'amuse avec la sienne et lui mordille doucement la lèvre inférieure. Si jamais ton patron t'attrape en train de te taper une cliente dans la réserve, il te mets à la porte directement. Tant pis. Tu prends le risque. T'aimes bien trop faire l'amour à Paola pour ne pas en prendre le risque. Tu bouges lentement en elle. Tu prends ton temps de lui donner chaque coup de rein qui la fera gémir.
Tu ne vas certainement pas refuser de faire l'amour à Paola. Cette dernière semble pressée de te savoir en elle en plus de ça. Tu ne voudrais pas la décevoir tout de même. Ça ne se fait pas de décevoir une femme. Surtout lorsqu'elle est aussi charmante et joueuse de celle avec qui tu te trouves ce soir. Il est certain que la réserve ne soit pas l'endroit le plus romantique du monde. Mais qui a parlé d'amour ? Il n'y aucun sentiment, aucune attache entre vous. Et surtout pas d'amour. D'aussi loin que tu t'en souviennes, tu as toujours mis un point d'honneur à ne pas te préoccuper de ce que pouvais bien penser les autres de toi. Tu as toujours vécu pour toi sans te soucier de qui que ce soit. Après tout, ton paternel ne s'est jamais soucié que de lui. Tout ce que tu as fait, toutes les épreuves que tu as pu traverser, tu l'as fait seul. L'homme que tu es aujourd'hui, tu ne le dois qu'à toi. Bien sûr, ça ne plait pas à certains. Qu'importe. T'es pas là pour plaire. Tu vis ta vie comme tu l'entends. Et coucher simplement avec des femmes, c'est lavie que tu as choisis. Tu n'as aucun problème avec ça. Les gens ne devrait pas se permettre de juger, de critiquer les autres. T'as beau avoir eu quelques conquêtes dans le passé, t'es loin d'être un homme facile. Elle doit se battre pour te faire craquer. Paola s'est très bien battue pour toi. Elle mérite amplement sa récompense. La demoiselle se retrouve dans tes bras, son dos contre le mur. Ses jambes encerclent ta taille. Lentement, vos vêtements rejoignent le sol. En moins de temps qu'il en faut pour le dire, plus rien ne vous empêche de ne faire qu'un. Tu n'as que quelques vagues souvenirs de la nuit dernière. Mais ce soit, t'as décidé de prendre ton temps pour lui faire l'amour. Pas de plaisir charnel sauvage. Tu vas prendre le temps de bouger en elle, de lui donner du plaisir à chacun de coups de reins. Entré enfin en elle, vous commencez à bouger à l'unisson. Quelques baisers échangés. Des soupirs de plaisir remplissent la réserve. Le temps semble s'être arrêté pour tous les deux. Il n'y a plus que vous deux au beau milieu de cette réserve remplis de cartons et bouteilles en tout genre. À chacun de tes coups de reins, la demoiselle réagit à la perfection. Tes mains sur ses fesses, tu l'embrasses passionnément. Tu mordilles sa lèvre, son cou. Lorsqu'elle vient te griffer le dos, tu grognes de plaisir et accélères un peu plus fort encore en elle. Vos lèvres ne se détachent plus. Tes mains ne lâchent plus la demoiselle. Tu continues de lui faire l'amour en accélérant les mouvements au fur et à mesure.
Vêtements sur le sol. Ton corps collé à celui de la jeune femme. Tu n'as plus vraiment de souvenirs de votre première nuit ensemble. Ce soir, vous avez décidés de remettre ça. Pas n'importe où. C'est dans la réserve du MacTavish que tu as décidé d'emmener la demoiselle pour pouvoir, de nouveau, être en elle. Le corps de Paola est très réceptif à chacune de tes caresses, chacun de tes baisers. Tu prends un malin plaisir à lui faire perdre la tête de te loger en elle. Pas de préservatif. Tant pis. T'as pas le temps d'aller en acheter. Et puis, ça ne semble pas l'ennuyer vu qu'elle n'en a même pas fait illusion. Tu viens t'enfoncer lentement en elle. Habituellement, tu te dépêches de terminer l'acte. Pas cette fois. Tu souhaites prendre ton temps. Tu veux juste qu'elle soit satisfaite de ce second moment intime avec toi. Il t'es impossible de nier que t'es très attiré par elle. Incapable de rester de marbre face à elle. Entre Paola et toi, il y a une attirance vraiment très forte. Comme si vous étiez deux aimants. Étrange. Encore aucune femme ne t'as fait ressentir cela. Pas besoin de se parler. Vous savez ce que vous avez à faire. Pour toi, c'est la seule relation possible avec elle. Ça n'a pas l'air de lui déplaire cela dit. Tes mains caressent le corps de la jeune femme. Vos lèvres se croisent, s'évitent puis se capturent. Baiser passionné échangé. Vos corps bougent à l'unisson. À chacun de tes coups de reins, la demoiselle est très réceptive. Vos gémissements remplissent l'entièreté de la réserve. Soudainement, un grand bruit se fait entendre. Rapide coup d'oeil par terre. Un carton s'est carrément explosé par terre. Tant pis. Tu diras que t'as pas fait exprès. Personne n'est censé savoir que tu t'adonnes aux plaisirs charnels en compagnie de l'une des clientes du bar. Mais ce n'est pas n'importe quelle cliente. T'espère simplement que cette scène ne sera pas inexpugnable par tes collègues. Apparemment non. Personne ne semble avoir entendu le vacarme que ce carton a fait en s'éclatant sur le sol. C'est dans un soupir commun que vous atteignez l'orgasme parfait. Tu reposes la demoiselle sur le sol mais la conserves toujours dans tes bras. Doucement, tu reprends ton souffle. Tu viens lui dérober un énième baiser. C'est pas grave. Jnettoierais !" Tu fronces les sourcils. Juste pas mal ? Un peu vexé, tu lui fais malgré tout un petit sourire. "Juste pas mal ? Tu me charries encore là ? Jt'ai peut-être pas montré tout ce dont je suis capable !" Dis-tu en attrapant une à une tes fringues et en te rhabillant. Tu viens murmurer à l'oreille de la demoiselle "T'es libre ce soir ? Jfinis dans une heure. Si tu veux m'attendre, je te montrerais que je ne suis pas juste "pas mal"." Dis-tu en prenant conscience c'est encore ton égo de mâle qui prend le dessus.