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 RAELYN&CAMIL► We get what we deserve, and way down we go

Raelyn Blackwell
Raelyn Blackwell
la muse des cauchemars
la muse des cauchemars
  En ligne
RAELYN&CAMIL► We get what we deserve, and way down we go 9OYzxwd Présent
ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion
SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn.
STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille.
MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie.
LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux.
RAELYN&CAMIL► We get what we deserve, and way down we go 2a124375de5bce4e041e9923da504d768c9edcf6
POSTS : 34325 POINTS : 3130

TW IN RP : Mention de drogues dures, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, deuil, automutilation.
ORIENTATION : J'aime les beaux garçons.
PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois.
DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP
CODE COULEUR : indianred.
RPs EN COURS :
― raelyn's theme ―
writing challenge 2024

(07) chad #3spencer #14miles #1 (2005)danaë #4 (2018)maxwell #7miles #2cecilia #2

(ua) maxwell #6 (jurassique)

(pré-liens)
le cluble casino l'octopus

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maxyn #7 & sms ☆ i'm sick, yeah, i'm sick, and honestly, i'm getting high off it. your smoke in my hair hot and dirty like the l.a. air. that face, baby, it ain't fair, but you don't know what you don't know. oh, so you wanna talk about power ? oh, let me show you power. i eat boys like you for breakfast, one by one hung on my necklace. ☽ 1234567

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spencer #14 ☆ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand. take another walk out of your fake world, please put all the drugs out of your hand. you'll see that you can breathe without no back up, so much stuff you got to understand.

RAELYN&CAMIL► We get what we deserve, and way down we go 30
danalyn #4 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.

RAELYN&CAMIL► We get what we deserve, and way down we go 297a714e8dfbe2965870bfed0f152606f9c9e175
cecilia #2 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.

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miles #1 & #2 ☆ i've been waiting patiently, i built this tower quietly. And when my well of wellbutrin is running dry of serotonin i can say things I don't mean. or maybe it's the truth in me, i feel it building, bubbling up.

RPs EN ATTENTE : aisling #3

RPs TERMINÉS : liste tenue à jour dans ma fiche de liens

― statistiques RP ―
2024 ☆ 202320222021

RAELYN&CAMIL► We get what we deserve, and way down we go 0ca41f4f930cbaeae8e9a2d29a926cecd384086c
amelyn ☆ wasted in love, misunderstood, baby, it's harder to breathe when you're gone. so i hold in my hands pictures of you and dream of the day i was eating for two. all this love, i'm so choked up, i can feel you in my blood, i'm so scared to give you up. valentine, my decline is so much better with you. valentine, my decline, i'm always running to you. and i cover myself in tattoos of us, and dream of the day we embrace and combust. ☽ 123456789101112131415161718192021222324252627282930313233343536373839404142434445464748495051525354555657585960616263646566676869707172737475767778798081828384858687888990919293949596the end.

AVATAR : Lady Gaga
CRÉDITS : me (avatar), harley (gif profil, maxyn, spencer, amelyn), fuckyougifs (gif danaë) & jifdirectory (gif cecilia), erikawrites (gif miles)
DC : Megan Williams (Sydney Sweeney) & Midas Sterling (Leo Woodall)
PSEUDO : stairsjumper
Femme (elle)
INSCRIT LE : 21/02/2019
https://www.30yearsstillyoung.com/t23235-raelyn-you-can-try-to-break-me-i-cut-my-teeth-on-people-like-you
https://www.30yearsstillyoung.com/t23281-raelyn-never-learned-to-raise-my-hand-was-too-busy-raising-hell

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Message(#)RAELYN&CAMIL► We get what we deserve, and way down we go EmptyMar 23 Avr - 23:38


We get what we deserve, and way down we go

Les lieux de rendez vous fixés à l'avance entre le politicien et moi étaient toujours différents, mais avaient tous le même point commun : des endroits discrets, éloignés de la ville, où nous ne risquions ni l'un ni l'autre de tomber sur une connaissance. L'initiative venait plus de lui que ne moi, puisque je n'avais de façon générale que faire d'être jugée sur les "relations" que j'entretenais, quand lui avait une réputation à tenir, mais avec le temps j'avais appris à tirer une certaine satisfaction de ces rendez vous secrets qui me donnaient l'impression de mener une vie plus remplie d'interdits qu'elle ne l'était déjà.

Notre relation n'avait rien de sentimentale, et reposait avant tout sur un intérêt mutuel. Un jeu de pouvoir dans un sens, qui avait commencé comme une simple attraction physique et qui aujourd'hui reposait autant sur des parties de jambe en l'air plutôt réussies que sur nos deux tempéraments manipulateurs, cherchant l'un comme l'autre à tirer parti de notre adversaire. Camil j'aimais son audace, son ambition et son charisme, sa manière de s'exprimer, pérorant avec prétention, et finalement j'adorais le détester et le désirer. Je l'avais approché pour les intérêts du Club, c'était un politicien encore jeune pour la profession, ambitieux prometteur et avec des vues potentielles sur la mairie de Brisbane, le type de profil qu'il pouvait être intéressant à se mettre dans la poche, en échange de contreparties financières, d'un financement louche d'une potentielle campagne. Il avait refusé l'offre, sans rougir ou se montrer outré d'être approché de la sorte, peut être en avait-il l'habitude, mais m'avait clairement fait comprendre à l'époque qu'il ne souhaite pas se compromettre en se liant au Club.

Par contre, concernant ma personne, il n'avait pas hésité à montrer plus... d'intérêt, laissant peu de doute sur ses intentions à mon égard et sur son intérêt pour mes courbes féminines. S'acoquiner avec quelqu'un comme moi sous la couette semblait moins enfreindre ses principes que s'acoquiner avec l'organisation criminelle à laquelle j'appartenais, et n'étant pas du genre à avoir froid aux yeux ni à refuser une étreinte avec un bel homme de sa trempe, nous avions rapidement entamé une liaison. Ce qu'il espérait tirer de moi au delà des plaisirs charnels je l'avais bien compris, et de mon côté je jouais aussi à ce jeu dangereux dans l'espoir d'avoir un moyen de pression sur lui si un jour j'en avais besoin. Il avait des relations qui pourraient peut être un jour me tirer d'un mauvais pas, et j'imaginais assez aisément qu'un homme avec ses ambitions ne devaient pas mourir d'envie que la nouvelle d'une liaison avec une femme comme moi, une criminelle appelons un chat un chat, ne vienne à se répandre. L'un utilisait l'autre, et finalement nous étions depuis quelques mois dans une sorte de Statu Quo, comme si chacun cherchais à positionner lentement ses pièces sur un échiquier.

La dernière fois que nous nous étions séparés nous nous étions donnés rendez vous plusieurs semaines plus tard, dans un bar du quartier de Redcliff. Les choses fonctionnaient comme ça depuis le début de notre relation, pas de sms, pas d'appels, et simplement des rendez vous fixé à l'avance. S'il venait à l'un d'entre nous l'envie de ne pas montrer le bout de son nez, l'autre l'accepterait sûrement sans broncher. Le quartier de Redcliff était l'un de nos lieux de prédilection, assez loin du centre ville, c'était surtout une zone où évoluaient plus de touristes que de locaux. Parfait pour deux personnes en quête de discrétion.

Me préparant pour l'entrevue j'avais passé une  courte robe noire en velours et à fine bretelle, avait relevé mes cheveux platine en un chignon sophistiqué, et rajouté un rouge à lèvre d'un rouge profond. Je n'avais rien d'une ingénue, ce type de jeune femme sur lequel il m'avait à l'occasion confié préféré se retourner. J'aurais été bien incapable d'en jouer le rôle. Alors que l'heure du rendez vous approchait j'étais montée dans un taxi, et avais finalement poussé la porte du bar avec une une poignée de minutes d'avance. Commandant un verre de Whisky au bar, j'avais sondé la salle, rodée à l'exercice, afin de repérer la table la plus à l'abri des regard. Mon verre à la main je m'étais dirigée vers le fond de la salle, et je l'avais trouvé, installé sur la banquette d'une table invisible des regard depuis l'entrée de l'établissement. Chemise blanche, montre hors de prix au poignet, le politicien aux dents rayant le parquet dans toute sa splendeur. Lui adressant un sourire en coin, je m'étais glissée à ses côté. «Et moi qui pensais être en avance.  » Je le savais ponctuel, à vrai dire, et n'étais pas réellement surprise. Penchant la tête sur le côté je lui avais adressé un sourire en coin, me perdant un instant dans ses yeux clairs. « D'une fois sur l'autre je ne suis jamais certaine que tu seras là. » Portant mon verre à mes lèvre sans plus attendre, je l'avais reposé sur la table pour croiser mes jambes et appuyer mon dos contre le dossier de la banquette, me mordant légèrement la lèvre inférieure, entrant dans une danse que je maîtrisais à la perfection je repris avant de lui adresser un sourire amusé. « C'est bon signe, je ne t'effraye pas encore... » Me penchant vers lui, j'avais fini dans un murmure. « Parce que si j'étais toi, j'aurais pris mes jambes à mon cou depuis bien longtemps. » Je m'étais reculée pour appuyer à nouveau mon dos contre son appui, sans quitter le politicien des yeux. J'aimais les entrées en matière théâtrales, ce n'était pas ma faute, j'étais bien incapable de m'en empêcher.


Spoiler:




:gniark: :


Dernière édition par Raelyn Blackwell le Dim 9 Juin - 22:45, édité 2 fois
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Message(#)RAELYN&CAMIL► We get what we deserve, and way down we go EmptyMer 8 Mai - 13:41

« Monsieur Palmer, je suis dans l’obligation d’écourter notre rendez-vous. » Déclara le politicien, l’œil rivé sur la pendule de son bureau. Son interlocuteur le regarda, un peu ébahi : il ne s’attendait sans doute pas à être éconduit aussi brusquement par le directeur de cabinet – et qui plus est, si tôt dans la journée. D’ordinaire, il ne quittait pas le travail avant vingt heures. Mais aujourd’hui était un jour particulier ; aujourd’hui avait lieu son rendez-vous mensuel. Et ça, il ne comptait pas le louper. « Je vous raccompagne. » Ajouta Camil en se levant, et en faisant quelques pas en direction de la sortie de son bureau. Une fois arrivé devant la porte, il tendit une main franche à l’autre politicien. « Encore navré, j’ai un contre-temps. Mais reprenez rendez-vous avec ma secrétaire, s’il vous plait. » Son interlocuteur ne trouva rien à redire. Il obtempéra, et Camil prit quelques instants pour ranger son bureau, avant de s’éclipser à son tour. Il salua poliment son équipe, et ne s’attarda pas sur la surprise que certains manifestèrent. Il avait clairement mieux à faire, à cet instant précis.

En arrivant au bar dans lequel ils s’étaient donnés rendez-vous, Camil jeta un coup d’œil rapide aux alentours. Il constata deux choses : la première, son rendez-vous n’était visiblement pas encore arrivé. La deuxième : le choix de ce bar était parfait. Un peu reculé de l’agitation, Camil imaginait aisément que l’animation animait les lieux en fin de soirée. Le politicien se félicita intérieurement : une fois encore, le quartier de Redcliff avait été un bon choix. Il s’avança vers le bar, commanda un gin tonic, et chercha la place la plus reculée dans le bar. C’était le deal, avec Raelyn : se voir, passer un moment ensemble, mais rester discret. Il s’avança vers le fond du bar pour y trouver son bonheur, et il ne fut pas déçu : à l’abri des regards trop indiscrets, quelques tables étaient dressées. Une banquette, faisant un angle, entourait partiellement chacune de ces tables. L’Australien s’y installa, et profita avec soulagement des quelques minutes de répit qu’il osait s’accorder. Il retira sa veste de costume, qu’il fit reposer négligemment à ses côtés. Impatient de voir arriver son rendez-vous mensuel, il jeta un coup d’œil à sa nouvelle montre – une Rolex hors de prix, l’un des derniers cadeaux qu’il s’était fait – et passa une main dans ses cheveux. Comme souvent, sa journée avait été harassante. Il avait été soumis à du stress, à de la pression, et il avait passé un déjeuner de midi absolument atroce, avec quelqu’un d’insipide et atrocement ennuyeux. Ou peut-être s’était-il montré impatient et peu réceptif, parce que toutes ses pensées étaient focalisées sur la partie de jambes en l’air qui l’attendait le soir même.

Il n’avait pas attendu l’arrivée de Raelyn pour siroter un gin tonic. C’était là le début de sa récompense, après une journée qui avait été particulièrement longue. Les heures n’avaient pas défilé aussi vite qu’habituellement. Ses interlocuteurs lui avaient semblé particulièrement chiants. Ses dossiers n’avaient pas avancé aussi rapidement qu’il l’avait espéré. Et son esprit avait été accaparé par le rendez-vous qu’il avait le soir même. Il eut un sourire gourmand en voyant arriver Raelyn. Comme à chaque fois, l’Australienne soignait ses tenues – et aujourd’hui n’échappait pas à la règle. Sa robe en velours noire et ses escarpins mettaient en valeur ses jambes interminables – un trait physique qui plaisait particulièrement au politicien. Ses cheveux étaient relevés dans un chignon strict, mais Camil savait mieux que quiconque que les apparences étaient trompeuses : Raelyn était bien plus sauvage qu’elle ne voulait le montrer. « J’ai écourté un rendez-vous pour être sûr d’être ici en temps et en heure. » La ponctualité était l’une des qualités du politicien, et il n’y dérogeait jamais. Surtout lorsqu’une partie de jambes en l’air pouvait être en jeu. Il retira sa veste de costard, faisant une place de choix à son interlocutrice. Pile à ses côtés, ce qui leur assurait une certaine proximité. « Pourquoi devrais-je me dispenser de nos… échanges ? » Demanda-t-il, ne sachant trop comment qualifier leurs escapades. Elles s’organisaient toujours de la même façon : un rendez-vous dans un bar, quelques verres bus, une tentative de tirer les vers du nez de l’autre, et des corps qui, irrémédiablement, s’attiraient. « J’y prends toujours un véritable plaisir. » Confia-t-il, jouant volontairement sur l’ambiguïté du mot plaisir. Leurs entretiens mensuels n’avaient rien de désagréable, même s’ils repartaient souvent bredouille. Le politicien refusait toujours obstinément de révéler des informations confidentielles, et Raelyn se contentait souvent de lui sourire de façon énigmatique lorsqu’il posait des questions trop précises. « Effrayer ? » Répéta le politicien en arquant un sourcil. Il laissa échapper un petit rire, presque amusé par la situation. Il savait que Raelyn trempait dans des affaires louches, et qu’elle appartenait au Club. Il savait que l’organisation œuvrait dans l’illégalité la plus totale. Mais Camil n’était pas du genre à renoncer. Il s’accrochait, s’obstinait, et ne lâchait jamais rien. Il ricana en l’entendant le mettre en garde. Il n’était pas impressionné – mais plutôt tenté. « J’aime bien jouer avec le feu. » Admit le politicien avec un sourire narquois, alors que Raelyn s’installait plus confortablement sur la banquette. Il coula un regard appréciateur sur les courbes féminines de la femme qui prenait ses aises à ses côtés. « Mais je crois que ça, tu le savais déjà, n’est-ce pas ? » En soit, le fait de prendre le risque d’être découvert ensemble était l’incarnation parfaite de l’expression jouer avec le feu. « Dis-moi, qu’as-tu fait depuis la dernière fois ? » C’était là une façon d’enclencher la conversation, ni plus, ni moins.
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MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie.
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Message(#)RAELYN&CAMIL► We get what we deserve, and way down we go EmptyVen 10 Mai - 11:45


We get what we deserve, and way down we go

Avant de chercher Camil, peu désireuse de trop attendre, je m’autorise à tremper mes lèvres dans le verre de whisky, en promenant mes yeux sur la salle et sur les personnes installées. Des touristes, des étrangers de passage, un public parfait, pour un rendez-vous discret. Camil devait être ravi, et en pensant à lui je me mis enfin à le chercher du regard, dans un premier temps sans le trouver, avant de me diriger vers le fond du bar, ignorant les regards appuyés que pouvaient provoquer ma tenue, pour que mes yeux le trouvent, et le détaillent, avant qu’un sourire ne s’affiche sur mon visage. C’était un homme séduisant. Je n’avais jamais été une grande fan de blonds, mais il avait une carrure, une présence et une confiance en lui qui m’attirait. J’avais un type d’homme, c’était évident lorsqu’on étudiait de plus près mes fréquentations. La plupart ressemblaient finalement beaucoup à Aaron, des hommes bien bâtis, souvent bruns, des yeux clairs, avec du charisme et une confiance en eux affichée, ce n’était peut-être pas suffisant pour dire que je reproduisais un schéma certain, mais en tout cas c’est ce à quoi cela ressemblait. En temps normal je n’étais pas non plus plus attirée que ça par les hommes étalant clairement leur fortune et leur statut, comme cela pouvait être le cas de Camil qui portait un costume qui à vue d’œil semblait hors de prix et une montre ostentatoire qui valait certainement plusieurs salaires médians. Je n’étais pas de ces jaloux, qui envient la richesse lorsqu’elle est affichée, cela aurait été hypocrite étant donné mon amour pour les beaux bijoux et les vêtements de luxe, et étant donné le petit pactole que je possédais grâce à mes activités illégales, mais je préférais les hommes qui n’avaient pas besoin de ça pour dominer une pièce. Qui, vêtus d’un simple pull et d’un jean arrivaient d’un simple regard à écraser l’ensemble des individus présents dans une pièce.

Mais Camil avait quelque chose de plus que la plupart des politiciens, banquiers ou autre pingouins qui avaient pu croiser ma route. Il avait du culot, il n’hésitait pas à me défier, et il était dévoré par l’ambition à un point qui le rendait intéressant à fréquenter. « J’ai écourté un rendez-vous pour être sûr d’être ici en temps et en heure. » Un léger sourire étira mon visage, alors qu’il tirait sa veste de costume du canapé pour m’y faire une place. Il voulait une médaille ? Je l’observai quelques secondes, avant de poser mon verre déjà légèrement entamé sur la table. « Je suis censée être reconnaissante ? » Toujours un léger rictus sur les lèvres, je m’étais installée à ses côté, proche de lui plus par défaut que par réel choix étant donné la configuration de la table, mais sans que j’envisage une seule seconde de m’en plaindre. « Je pensais de toute façon que c’était évident. Que j’étais bien plus intéressante que les tristes vieillards qui ponctuent ta journée, je veux dire. » Mes yeux se posèrent sur son verre, déjà bien entamé, mais rempli de ce qui me semblait être un cocktail à base de Gin, une boissons bien trop amère à mon goût, et aux arômes bien fades. Je feins une grimace désapprobatrice, avant de relever mes yeux au niveau des siens. « Il faut vraiment qu’on travaille là-dessus. » Et puisqu’il était question d’alcool, je portai mon verre à mes lèvres, appréciant le liquide ambré.

« Pourquoi devrais-je me dispenser de nos… échanges ? J’y prends toujours un véritable plaisir.» Difficile de comprendre le fonctionnement de notre relation, et c’est pourquoi il était assez logique que je me demande à chaque fois s’il serait présent. Il n’en retirait pas d’informations réellement intéressantes, ou en tout cas rien de concret, et j’étais sûre qu’étant donné son statut, les femmes prêtes à lui offrir leur corps ne devaient pas manquer. J’en étais venue à la conclusion que c’était le secret, l’interdit, et le fait que poser ses mains sur une femme comme moi était contraire aux bonnes mœurs qui me rendait plus excitante à ses yeux. Moi-même, j’y avais pris goût. Je haussai les épaules, face à sa question. « Je ne sais pas. La peur de se faire attraper peut-être ? » Je résistai à l’envie de m’approcher de lui pour lui souffler ces derniers mots à l’oreille. Chaque chose en son temps.

« Effrayer ? » Je hochai la tête, sans me départir de mon air amusé. Il était vrai que la chose pouvait sembler loufoque, étant donné mon petit gabarit, je n’étais pas réellement quelqu’un qu’on pouvait qualifier d’effrayant au premier abord. Mais certains des animaux les plus mortels et aux poisons les plus venimeux n’étaient-il pas beaucoup plus petit que de grands prédateurs ? Quoi qu’il en soit, dans le cas de figure présent, la question était purement rhétorique. « J’aime bien jouer avec le feu. Mais je crois que ça, tu le savais déjà, n’est-ce pas ? » Je senti son regard glisser sur ma silhouette, se perdant sur mes courbes et sur les espaces de peau découverts par ma robe, et je ne pris pas la peine de le réprimander. Je n’étais pas une petite ingénue, une jeune allumeuse, inutile de chercher à prétendre le contraire. « Je crois que je m’en suis rendue compte. Tu finiras par te faire prendre à ton propre jeu, mais ne n’est pas moi qui vais m’en plaindre. » Oui parce c’était quand même assez évident à mes yeux qu’il avait beaucoup plus à perdre que moi, à entretenir cette liaison, dans un milieu comme le sien où les apparences comptent tant. « Et loin de moi l’idée de te dissuader de continuer à se fréquenter, tu t’es révélé être une surprise intéressante. » L’objectif n’était pas là de le flatter, mais je n’étais pas du genre à prétendre lui faire une faveur en lui accordant ces étreintes, quand j’en retirais autant de plaisir.

Il chercha ensuite à briser la glace, à démarrer la conversation. « Dis-moi, qu’as-tu fait depuis la dernière fois ? » Les banalités m’ennuyait, et je balayai la question d’un geste de la main. « Parce que ça t’intéresse ? Si tu promets de ne rien me raconter de tes journées qui doivent être bien inintéressantes, je te promets de ne pas t’ennuyer avec des banalités. » Il n’avait pas besoin de ça, de faire semblant de s’intéresser à moi pour arriver à ses fins, et de mon côté j’avais l’impression que c’était ce qu’il cherchait à faire. « Pourquoi tu ne poses pas direction les questions qui t’intéressent, pour que je puisse les éluder ou y répondre par des traits d’esprit ? » Je bus une gorgée supplémentaire de mon verre, prenant mon temps et ne souhaitant pour une fois pas trouver l’ivresse trop vite, avant de replonger mes yeux dans les siens, le provoquant clairement du regard.  




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Dernière édition par Raelyn Blackwell le Mar 21 Mai - 19:53, édité 1 fois
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Message(#)RAELYN&CAMIL► We get what we deserve, and way down we go EmptyLun 20 Mai - 22:17

« Reconnaissante, non. Mais flattée, oui. » Répondit le directeur de cabinet en souriant. Son temps était bien souvent compté ; très occupé par ses fonctions, les seuls moments qu’il s’accordait étaient principalement concentrés sur le week-end. Ce rendez-vous mensuel était l’une des rares exceptions à la règle, mais il n’y dérogerait pour rien au monde. Il n’avait rien à y perdre : s’il ne parvenait pas à lui soutirer quelques informations, il avait au moins le mérite de prendre son pied. « Ça dépend. Certains petits vieillards m’apportent beaucoup, tu sais. » Fit remarquer le politicien en haussant les épaules. Mais d’un point de vue professionnel seulement. Alors que Raelyn, elle, possédait d’autres atouts – des atouts qui, aux yeux de Camil, étaient tout sauf négligeables. Elle lui procurait un plaisir que lesdits vieillards n’étaient clairement pas en mesure de lui apporter. « Mais je ne vous place pas sur le même plan, bien évidemment. » Confia l’Américain avec un petit sourire narquois. Jusqu’à ce jour, la membre du Club avait toujours refusé de lui fournir la moindre information intéressante concernant cet organisme illégal. Camil n’était pas naïf : il savait qu’il s’agissait d’une plaque tournante particulièrement active. Il savait qu’ils œuvraient à grande échelle, qu’ils avaient une réelle puissance. Il ne le reconnaîtrait jamais à voix haute, bien sûr : cependant, cela n’effaçait pas le problème pour autant. « Le whisky, c’est cliché. » Répondit-il alors que son interlocutrice portait son verre à ses lèvres. Et surtout, Camil était loin d’être fan de ce breuvage ambré.

« Si je me fais attraper, la seule chose que je risque, c’est de passer pour un dépravé. » Fit remarquer le politicien en souriant. En soi, en ce qui le concernait, ça ne lui posait aucun problème. Sa réputation à Brisbane n’était d’ailleurs plus à faire : il était connu pour changer de compagne aussi vite que de chemise. Célibataire convoité, il n’avait jamais eu envie de se poser avec quiconque. Le peu de fois où il avait essayé d’être un homme bien, de rester fidèle et de jouer au couple parfait avec une femme, il s’était ennuyé au bout de quelques semaines à peine. Incapable de rester en place, son instinct de chasseur s’était réveillé et il avait fini par fauter. Ses escapades étaient parfois relayées par la presse à scandale de la ville, mais Camil n’en avait jamais rien eu à faire : il assumait. C’était un coureur de jupons, ni plus ni moins. « Et ça ne me fait pas peur. » Conclue-t-il en plongeant son regard dans celui de Raelyn. Il n’était plus à un ou deux ragots à son sujet. Sa vie privée était quotidiennement scrutée, et il avait fini par en avoir l’habitude. « Et toi ? Qu’adviendrait-il de toi, si cette… relation venait à être découverte ? » Il n’était pas sûr que la nouvelle serait bien accueillie par le Club. Habituellement, et d’après ce qu’il avait appris, les membres avaient plutôt tendance à fuir toute personne représentant l’autorité. Pas à se vautrer dans les mêmes draps.

« Loin de moi l’idée de te décevoir, mais… Tu n’as aucune chance. » Confia le politicien en haussant les épaules. Derrière son apparente indifférence et son flegme, Camil était quelqu’un de malin et d’astucieux. Il calculait tout, toujours, dans les moindres détails. Il ne laissait rien au hasard, et se montrait toujours prévoyant – parfois un peu trop, selon ses proches. Mais il était loin d’être naïf et, surtout, il connaissait parfaitement l’envers du décor. Il savait que les gens étaient monstrueusement faux, monstrueusement manipulateurs, et monstrueusement mauvais. Derrière ses attraits féminins, il ne doutait pas un seul instant des intentions qui pouvaient animer Raelyn. Elle ne cherchait d’ailleurs pas à s’en cacher ; ce qui l’intéressait, c’était d’avoir des informations. « Il faut dire, j’y mets une certaine ardeur. » Plaisanta le politicien en faisant tournoyer les glaçons dans le fond de son verre. Il n’était pas mécontent d’entretenir cette étrange relation avec Raelyn. Elle échappait à toute règle, à toute bienséance, à toute normalité. Elle ne dépendait que d’eux, que de leur bon vouloir.

« Ta notion de banalité n’est peut-être pas la même que la mienne. » Suggéra le politicien en esquissant un léger sourire. C’était là un des jeux auxquels ils s’adonnaient souvent : se tester mutuellement, se poser des questions plus ou moins détournées pour essayer d’obtenir des réponses. Et, finalement, capituler. Capituler parce que l’autre bottait en touche, ou restait muet. Capituler parce que la patience n’était clairement pas leur première qualité. « J’aurais bien aimé savoir où vous en étiez et si vous prépariez quelque chose, mais je doute que tu acceptes de répondre à cela. » Commença l’Australien. A moins que Raelyn ne se décide à retourner sa veste, ce dont le politicien doutait fortement. Il n’en avait jamais été question jusqu’à maintenant. « Disons que je me contenterai de savoir si oui ou non, toi ou l’un des membres du Club compte me mettre des bâtons dans les roues prochainement. » Ça aussi, il n’était pas sûr d’obtenir une réponse sincère. Mais mieux valait tenter sa chance, non ? « Et puis aussi, j'aurais voulu savoir si tu avais pris le temps de réserver un hôtel pour ce soir.»
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ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion
SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn.
STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille.
MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie.
LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux.
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TW IN RP : Mention de drogues dures, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, deuil, automutilation.
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PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois.
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danalyn #4 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.

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Message(#)RAELYN&CAMIL► We get what we deserve, and way down we go EmptyMar 21 Mai - 22:35


We get what we deserve, and way down we go

Aidée par un tempérant orgueilleux ainsi qu’un amour propre qui prenait de la place, jamais depuis des années je ne m’étais considérée chanceuse de partager les draps d’un homme, aussi séduisant soit-il. Mon égo me poussait plutôt à voir l’inverse, et à considérer qu’un homme à qui j’octroyais le droit de coller sa peau contre la mienne le temps d’un torride échange pouvait s’en estimer heureux, et c’est pourquoi la remarque de Camile concernant son agenda qu’il avait bousculé pour être à l’heure à notre rendez-vous, et le fait que j’aurais dû m’en sentir flattée me tira un rire sincère, et je secouai finalement la tête amusée, sans prendre la peine de répondre. Il connaissait le fond de ma pensée à ce sujet comme il n’ignorait rien de ma propension à la vanité, et n’avait pas besoin qu’exprime tout haut ce que mon léger rire signifiait. Il jouait, et j’aimais ça, et sa remarque suivante me tira à son tour un sourire, que je tentais de réprimer, dans une vaine tentative de ne pas lui faire comprendre que j’étais séduite par ses petites touches d’audace. J’aimais trop les jeux de séduction pour ne pas en initier un, donner l’illusion d’être une proie quand l’un comme l’autre connaissions pourtant déjà l’issue de la soirée. Je n’avais pas envie de résister à l’envie de partager une étreinte avec lui, mais voulais simplement d’abord profiter de l’excitation que faisait monter en moi une joute verbale. « Ça dépend. Certains petits vieillards m’apportent beaucoup, tu sais. » Je levai un sourcil, toujours amusée mais préférant chasser les images que ses paroles faisaient affluer dans mon esprit. « Mais je ne vous place pas sur le même plan, bien évidemment. » Le contraire m’aurait étonné. J’espérais réellement qu’il n’ait pas la même tendance à tenter de glisser sous les jupes des vieillards en question, l’idée seule parvenait à me donner un haut le cœur. Déjà proche de lui je me permis de me décaler des question centimètres, laissant ma cuisse frôler la sienne, un air innocent sur le visage, comme si le bref contact physique que je venais d’initier entre nous n’étais que le fruit d’une erreur innocente. « Je peux te laisser partager ta soirée avec l’un d’entre eux, si jamais c’est ce que tu souhaites. » Sachant que je n’avais toujours pas mis fin à la proximité que j’avais initiée entre nos deux corps, la menace sonnait clairement creuse, mais encore une fois, Camil avait un côté politicien guindé en surface alors que je le connaissais peu fréquentable et clairement libéré qui me donnait une envie incontrôlable de le provoquer.

« Le whisky, c’est cliché. » Comme faussement vexée, je décollai ma cuisse nue de la sienne en entendant cette phrase, mais sans me départir de mon sourire amusé, qui semblait avoir élu domicile sur mes lèvres pour la soirée. « C’est ce que tu penses ? Tu me trouve clichée ? » La réponse ne m’intéressait pas tant que de voir si Camil allait entrer dans mon jeu ou pas. Mais finalement notre relation, elle l’était un peu en y réfléchissant bien, clichée. Un politicien véreux qui s’octroie la compagnie d’une jeune femme peu fréquentable et plus jeune que lui, des rendez-vous dans des bars excentrés d’un quartier peu recommandable, jusqu’à des entrevues sexuelles qui avaient toujours lieu dans des hôtels de luxe. C’était ce côté Aventure interdite avec un grand A, et tous les clichés qui en découlait qui m’excitaient dans cette situation, finalement. Et nos ébats eux n’avaient rien de cliché ou de prévisible à l’avance, qu’on se le dise. « Si je me fais attraper, la seule chose que je risque, c’est de passer pour un dépravé. Et ça ne me fait pas peur. » Je penchai la tête, comme absorbée par une profonde réflexion. « Je vois déjà les gros titres. Le genre de chose qui fait tâche quand on a des ambitions comme les tiennes, non ? » Il avait les dents qui rayaient le parquet, cela se voyait et il n’était pas capable de faire illusion. Le blond briguerait un jour la mairie, j’en étais persuadée et comptais bien utiliser notre liaison à mon avantage, si un jour j’étais inquiétée.  « Et toi ? Qu’adviendrait-il de toi, si cette… relation venait à être découverte ? » A vrai dire pas grand-chose. Certes, Mitch ne serait pas forcément ravi s’il venait à avoir connaissance du jeu dangereux auquel je jouais avec Camil, mais je lui refusais le droit de donner son avis concernant les hommes auquel je prêtais mon corps le temps de quelques heures, et il ne s’était de toute façon jamais aventuré sur le terrain-là. La pente était d’autant plus glissante que c’était son inclinaison pour les femmes qui avaient failli causer la perte de l’organisation en 2015, pas mes aventures. « Ne te fais pas de soucis pour moi. Ce que je fais de mon temps libre ne regarde que moi, et l’avantage de mener ma vie c’est que je ne suis sous les projecteurs que lorsque je le décide. » Partageant volontiers selfies et clichés sexy sur mes réseaux sociaux, tout en occultant toutes les parties les plus illégales de mon quotidien. J’aimais l’attention, mais aux bons moments. « Il faut dire, j’y mets une certaine ardeur » La – semi – révélation de Camil me tira encore une fois un sourire amusé, mais rien de surprenant. Il semblait toujours déterminé à me satisfaire, y mettant une application digne d’un champion olympique. Généralement il y parvenait, et partager quelques heures avec lui était toujours loin d’être désagréable. Finalement, je n’étais pas une femme compliquée.

« Ta notion de banalité n’est peut-être pas la même que la mienne. » Effectivement. Fumer des joints avec un fournisseur relevait de la banalité à mes yeux, comme de recevoir une livraison de plusieurs dizaines de kilos de drogues. Je me contentai comme simple réponse de hausser les épaules. « J’aurais bien aimé savoir où vous en étiez et si vous prépariez quelque chose, mais je doute que tu acceptes de répondre à cela. » Il fallait bien lui reconnaître cette qualité : Camil était tenace, et c’était quelque chose que j’appréciais. Pas assez pour laisser échapper la moindre information, mais assez pour que ces discussions ne me semblent pas ennuyeuses. Aujourd’hui je le soupçonnais d’avoir surtout envie de profiter des nuits que nous passions ensemble, plus que d’avoir un réel espoir de me tirer les vers du nez, mais le voir faire l’effort de prétendre le contraire était plutôt amusant. « Disons que je me contenterai de savoir si oui ou non, toi ou l’un des membres du Club compte me mettre des bâtons dans les roues prochainement. » Avant que je n’ai le temps de répondre, Camil enchaina.  « Et puis aussi, j'aurais voulu savoir si tu avais pris le temps de réserver un hôtel pour ce soir. » Il avait une faculté déconcertante à changer de sujet sans crier gare, mais finalement il me semblait ainsi révéler ses véritables attentes concernant la soirée. Et inutile de dire qu’elles rejoignaient les mienne. « Je ne peux pas parler pour mes collègues, mais en ce qui me concerne, je ne vois aucune raison valable de chercher à te nuire. Pas tant que ta compagnie m’est agréable. » Et agréable était un faible mot, cela va sans dire. « Evidement. J’ai réservé une chambre au Stamford Plaza, c’est dans le centre. T’es venu en voiture ? » De mon côté c’était un mode de déplacement que j’avais abandonné il y a bien longtemps, pas forcément douée pour la conduite en ville, je me déplaçais le plus clair du temps en taxi. L’hôtel en question était luxueux et la chambre hors de prix, et c’était souvent la bas que nous nous voyions. Portant mon verre à mes lèvres, je profitai d’une gorgée supplémentaire de whisky, sans le quitter du regard. Les effets de l’alcool aidant, j’avais du mal à rester patiente. « A ton nom bien sûr, sur le compte de la mairie, j’ai bien précisé. » Satisfaite de ma blague, je lui adressais un sourire espiègle, avant de finalement vider mon verre d’un trait. « Tu m’en payes un autre je suppose ? »




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Message(#)RAELYN&CAMIL► We get what we deserve, and way down we go EmptySam 15 Juin - 22:55

La vie de Camil était rythmée par ses choix de carrière, et par ses choix personnels – et dans cet ordre précis. Il n’avait jamais caché son ambition, son envie de gravir les échelons. Il n’avait jamais caché son besoin de diriger, son besoin de tirer les ficelles. Camil était un homme d’action, loin d’être passif. Et si pour le moment il évoluait dans l’ombre, il savait pertinemment que son destin était d’être sur le devant de la scène. D’abord, il viserait la mairie de la ville de Brisbane. Et puis, une fois qu’il serait bien installé, il viserait plus haut. Toujours plus haut, tant son ambition était forte et omniprésente. « Merci, mais j’ai déjà rendez-vous avec l’un d’entre eux demain. » Déclara le politicien en haussant les épaules. Ce soir, donc, il ne voulait pas entendre parler d’eux. Il préférait se concentrer sur les courbes affriolantes de son interlocutrice, et sur leur petit jeu de flirt. « Chaque chose en son temps. » Précisa-t-il en lui faisant un clin d’œil. Il savait pertinemment que leurs échanges se prolongeraient jusqu’au petit matin. Raelyn ne laissait rien au hasard ; sa jambe effleurait la sienne comme si de rien était, et sa peau s’échauffait à son contact. Comme à chaque fois qu’ils se croisaient, d’ailleurs.

L’alcool n’aidait en rien à apaiser leur relation. Au contraire : chaque gorgée bue ne faisait qu’exacerber leur attirance mutuelle. Il n’y avait rien de logique, rien de rationnel dans leur façon d’être. Leurs comportements respectifs étaient dictés par leurs envies, leurs caprices, leur spontanéité. « Oui. » Répondit simplement le politicien, après s’être permis un commentaire sur la boisson de Raelyn. Il eut un petit sourire amusé, et secoua la tête. Bien sûr que Raelyn était un cliché sur patte : tout, dans son attitude et dans ses actes, était cliché. Son attitude faussement innocente, sa bouche rouge carmin, son air indifférent, sa jambe qui frôlait aléatoirement la sienne : elle s’amusait, elle le provoquait, et ils en jouaient tous les deux. « Mais je le suis aussi. Et je ne te parle même pas de notre… Relation. » Fit remarquer le politicien, alors qu’il en profitait pour la reluquer sans aucune gêne. Il faut dire, le décolleté plongeant de Raelyn avait tout pour le déconcentrer. « Ne sois pas si naïve ; nous sommes toujours dans une société où les hommes qui ont des maîtresses sont des charmeurs invétérés et plein de succès, et personne n’y trouve rien à redire. » Constata l’Australien en haussant les épaules. Les mœurs changeaient, mais les mentalités évoluaient plus lentement. Ainsi, un homme à femmes était pardonné ; l’inverse, en revanche, était décrié. L’homme bénéficiait d’un certain respect, tandis que la femme devait essuyer des insultes fleuries. Il n’y avait pourtant aucune différence entre les deux situations. Camil ne trouvait pas que cette situation était juste – même si, soyons francs, il n’hésitait pas à en profiter. « Intéressant. Madame est donc suffisamment bien placée pour tirer les ficelles, et ne pas être une marionnette. » Il n’en avait jamais réellement douté, à vrai dire. Brimer Raelyn aurait été une erreur ; elle ne manquait ni de talent, ni de répondant. Elle pouvait se révéler être une alliée de choix ; dommage qu’elle n’ait pas souhaité s’associer à sa cause.

« Peut-être que si tu es sage, je te ferai un jour visiter mon bureau. » Déclara le directeur de cabinet du maire en laissant échapper un petit sourire. En faisant ça, il savait qu’il laisserait entrer le loup dans la bergerie ; cependant, le jeu en vaudrait peut-être la chandelle. Et puis, surtout, l’Australien prendrait soin de ne rien laisser traîner de compromettant. « Si seulement la mairie épongeait mes coucheries… Je serais millionnaire. » Soupira le politicien, rêveur. Il ne s’agissait là que d’une boutade ; à vrai dire, financièrement parlant, Camil Smith était loin d’être à plaindre. Il se savait déjà à l’abri jusqu’à la fin de ses jours – quelques placements fructueux et bien pensés l’avaient sécurisé – mais cela ne l’empêchait pas d’en vouloir davantage. Son esprit de compétition faisait toujours des ravages, dans n’importe quel domaine. « Bien sûr. Les désirs de Madame sont des ordres. » Affirma-t-il en se redressant, se pliant au jeu de bonne grâce. Si leur emplacement leur offrait une véritable intimité, cela apportait aussi son lot de désagréments : cachés dans le fond du bar, le serveur ne prenait pas le temps de venir vérifier que tout se passait bien pour eux. Il fit quelques pas en direction du bar, et avant de se retourner vers son interlocutrice. « La même chose, j’imagine ? » Il préférait s’en assurer ; comme à son habitude, Camil n’était pas du genre à laisser quelque chose au hasard – même s’il s’agissait un petit détail.  
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Raelyn Blackwell
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ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion
SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn.
STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille.
MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie.
LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux.
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TW IN RP : Mention de drogues dures, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, deuil, automutilation.
ORIENTATION : J'aime les beaux garçons.
PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois.
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Message(#)RAELYN&CAMIL► We get what we deserve, and way down we go EmptySam 22 Juin - 18:24


We get what we deserve, and way down we go
Raelyn Backwell & @Camil Smith

Ce qui me poussait à entretenir une liaison de ce type avec Camil n’était pas bien clair, de mon côté non plus. J’avais toujours aimé jouer avec les limites, et si j’étais une femme relativement prudente dans la plupart des situations, j’étais parfois bien incapable de me raisonner lorsqu’il s’agissait de l’appel de la chair, l’appel de de l’interdit. Camil, c’était un petit peu cette glace que l’on m’aurait interdite d’avoir, me donner encore plus envie d’aller y gouter. Et malgré notre petit jeu de questions réponses, nos échanges où chacun tentait d’obtenir à chaque fois une quelconque information de l’autre, j’étais persuadée que c’était, pour lui aussi, l’interdit qui avait aujourd’hui pris le dessus. Il savait à présent qu’il était peu probable que je ne laisse filtrer le moindre secret, et je savais que s’il n’était pas tout blanc, son ambition le retenait de se mouiller dans des affaires illégales, pourtant nos entrevues se poursuivaient, et ce qui avait provoqué notre rencontre à l’origine n’était plus qu’une vague excuse pour laisser nos deux corps se rencontrer. Il n’y avait pas là d’attachement, pas d’affection qui nous poussait à continuer à nous voir, seulement deux adultes consentants et conscients qu’à part le désir que l’un provoquait chez l’autre, nous n’avions pas grand-chose en commun et surtout appartenions à deux mondes bien différents.  « Oui. Mais je le suis aussi. Et je ne te parle même pas de notre… Relation.  » Je n’aimais pas les étiquettes, mais l’idée que nos échanges soient dignes du scénario d’un film en noir et blanc elle, me plaisait. Je n’étais pas non plus du genre à me vexer parce qu’il affirmait sans détour qu’à ses yeux, j’étais un cliché. Parce qu’avec lui, c’était ce que j’étais, sans complexes aucun. Mais au moins, je ne sirotais pas de boisson d’adolescente. « Appelle un chat un chat. Nous n’entretenons pas une relation. Une liaison tout au plus. » Je laissai échapper un sourire. « Et c’est très bien comme ça. » La dessus, pas besoin de chercher à le convaincre. J’étais consciente de prêcher un converti.

Et effectivement, quand je jouais au cliché de la femme fatale, la mauvaise James Bond Girl, celle qui bosse en fait pour l’antagoniste du film, il était le parfait exemple de l’homme politique, dont les dents rayent le plancher, qui aime un peu trop les femmes et qui retrouve ses amantes dans des hôtels de luxe. Mais ça m’allait très bien, hors de question que Camil ne mette les pieds dans mon appartement : je n’y laissais pas trainer grand-chose, mais c’était un risque que je n’étais pas assez idiote pour prendre. « Ne sois pas si naïve ; nous sommes toujours dans une société où les hommes qui ont des maîtresses sont des charmeurs invétérés et plein de succès, et personne n’y trouve rien à redire. » Sa maîtresse. Je ne m’étais jamais rêvée en maîtresse d’un homme politique à vrai dire. Même si j’espérais que cela m’apporte une sorte de protection. Oh, pas financière, je n’étais là-dessus pas plus à plaindre que lui, mais face à nos différentes institutions. « Alors je m’estime heureuse d’en vivre à la marge, de cette société. » Les règles qui s’appliquaient à monsieur et madame tout le monde ne s’appliquaient pas dans la pègre, même si le machisme y régnait également. « Intéressant. Madame est donc suffisamment bien placée pour tirer les ficelles, et ne pas être une marionnette. » Terminant mon premier verre, je le reposai sur la table pour le faire tourner entre mes doigts, un sourire sur le visage, avant de relever les yeux vers lui. « Parce que tu en doutais encore ?  » J’osais espérer que cela crevait un peu plus les yeux, à vrai dire.

Je posai mon verre sur la table – il était vide à présent, il allait falloir y remédier – pour l’écouter.  « Peut-être que si tu es sage, je te ferai un jour visiter mon bureau. » Visiter les locaux de la mairie n’était pas réellement sur ma bucket list, et il était difficile d’imaginer un endroit où je ferais plus tâche que là-bas. Camil n’était donc certainement pas réellement sérieux en me faisant cette proposition. « Tu aimes le risque. » Je ne rajoutai rien. Je n’avais jamais été condamnée, mais avait été interrogée en 2015 lors des perquisitions. Si les forces de l’ordre n’avait rien trouvé ni récupéré de témoignage m’incriminant, ma proximité avec Mitch et mon appartenance au Club n’étaient que secrets de polichinelles. « Si seulement la mairie épongeait mes coucheries… Je serais millionnaire.  » Camil n’était pas à plaindre et ne cherchait pas à le cacher. Entre le costume taillé sur mesure – j’avais depuis longtemps acquis un œil aiguisé en matière de mode – sa montre hors de prix et sa coupe de mister Brisbane, il puait l’argent, comme c’était également mon cas. Nous dénotions d’ailleurs dans ce bar de Redcliffe, bien plus que dans des établissements comme l’hôtel de luxe que j’avais réservé. Serviable, l’homme politique s’était levé et mieux que de m’offrir un verre, il allait me le chercher.  « Bien sûr. Les désirs de Madame sont des ordres. La même chose, j’imagine ? » Sans répondre, j’avais hoché doucement la tête. Je n’étais pas une originale. Lorsque c’était possible, je m’en tenais au Whisky, parce que c’était celui qui avait toujours le plus ravi mon palais. Je l’observai s’éloigner, en me faisant la réflexion que Camil lui par contre, était une surprise. Que je le fréquente était une surprise, je voulais dire. Parce que ce n’était pas mon type d’homme, pas publiquement en tout cas. Je n’aimais pas les gentlemen serviables et bien élevé. J’avais toujours préférée les liaisons tumultueuses et les pauvres types. J’aimais être respectée, mais j’aimais être challengée plus que je n’aimais être mise sur un piédestal. Mais ce qui était bien avec Camil, c’est qu’il s’agissait uniquement d’une façade publique. En privé, il n’avait plus rien du genre idéal. Et là il me plaisait beaucoup plus. Et en plus, rajoutai-je mentalement à la liste en le voyant s’éloigner, il avait de jolies fesses.

Lorsqu’il revint à la table pour se glisser à nouveau à mes coté, j’aurais juré qu’il s’était volontairement assis imperceptiblement plus proche de moi qu’avant de partir commander les verres. Son corps n’était pas collé au mien, mais le moindre de nos mouvements provoquait à présent un frôlement. Oui, il n’était définitivement pas si innocent que ça, et l’alcool semblait d’une part l’attirer vers moi autant que la réciproque, et d’autre part le pousser à s’autoriser ce genre de chose. « Merci. » Je pris le verre qu’il avait posé devant moi pour profiter du goût puissant du liquide ambré. Ma vie serait bien différente, sans lui. « Combien de temps allons-nous encore prétendre que nous nous sommes donnés rendez-vous dans ce bar pour simplement prendre un verre, quelques nouvelles, et essayer de se soutirer mutuellement nos petits secrets ? » Oui, je n’ai jamais brillé par ma patiente. Surtout pas dans ce genre de situations, et ma peau brûle d’envie qu’il la touche.  




:gniark: :


Dernière édition par Raelyn Blackwell le Lun 1 Juil - 22:39, édité 1 fois
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Message(#)RAELYN&CAMIL► We get what we deserve, and way down we go EmptyLun 1 Juil - 21:52

« Parce que c’est stimulant. » Admit le politicien en inclinant légèrement la tête. Son verre était vide, et celui de Raelyn était en passe de l’être. Il savait pertinemment que la pente qu’ils glissaient petit à petit les enverrait tout droit à l’hôtel. En une fraction de seconde, l’atmosphère avait changé. Leurs regards se faisaient plus perçants, leurs dialogues étaient à double sens, et les sourires qu’ils échangeaient ne trompaient personne – et surtout pas eux.  

En revenant du bar, il avait repris sa place initiale – à quelques centimètres près. Désormais, au moindre mouvement, leurs épaules s’effleuraient. L’Australienne, maligne et perspicace, ne tarda pas à remarquer ce changement. Par chance, sa comparse, qui n’avait pas froid aux yeux, n’hésita pas à le lui faire remarquer. « Je commençais à en avoir marre de jouer les bons Samaritains. » Déclara-t-il avant de s’emparer des lèvres de son interlocutrice. Il ne lui avait laissé aucune chance de se soustraire à cet échange, aucune chance de répondre à ce qu’il venait de lui dire. Raelyn l’avait elle-même admis : ils n’étaient pas venus ici pour enfiler des perles, et leur impatience commençait à se faire ressentir. Les doigts de Camil glissèrent automatiquement dans la nuque de la blonde, pour la rapprocher de lui. Le politicien ne mit ni tendresse, ni douceur dans cet échange. Seule l’envie comptait, et cette dernière était bien présente. L’idée de lui proposer un avant-goût de leur nuit dans les toilettes minuscules de ce bar lui effleura l’esprit – leurs tenues respectives se prêtaient parfaitement à l’exercice d’un coït rapide et discret – mais il estima qu’elle méritait mieux. Il ne s’éloigna de ses lèvres pour s’assurer d’un fait essentiel : « T’as bien dit que tu avais réservé un hôtel ? » Il eut un sourire gourmand lorsqu’il la vit lentement hocher la tête. Son imagination l’invitait à voyager loin, beaucoup plus loin. Il se redressa, et Raelyn en fit autant. Ils avaient mieux à faire, ailleurs. Ils ne prirent pas le temps de saluer le barman ; leurs objectifs étaient tout autre. « Comme d’habitude ? » Demanda machinalement Camil, alors que sa comparse s’éloignait vers la route. Elle acquiesça, et le politicien tourna aussitôt les talons. S’envoyer en l’air ? Oui, mille fois oui. Mais la discrétion restait toujours primordiale, et il était inenvisageable de les voir ensemble – que ce soit le temps d’un trajet, ou même lorsqu’ils arriveraient au comptoir d’accueil de l’hôtel. Pour vivre heureux, vivons cachés.

Entre eux, c’était à chaque fois la même chose : un peu de jeu, un peu de flirt, et beaucoup de passion. Il grommela en voyant que le feu passait à l’orange, et maudit intérieurement le sage automobiliste qui s’arrêta devant lui. Raelyn lui avait indiqué avoir trouvé un taxi rapidement, et être en route pour l’hôtel. Il passa une main dans ses cheveux et, rêveur, songea aux heures torrides qui s’annonçaient. L’odeur de sa partenaire de crime s’était déjà mêlée à la sienne, et il pouvait presque encore sentir ses mains serrer sa chemise alors que ses doigts étaient partis à la rencontre de son généreux décolleté. Il eut un sourire amusé à cette pensée, et son imaginaire se chargea de la suite.

La main de Camil s’écrasa sur son volant, alors qu’il pestait avec véhémence contre ces citadins qui ne savaient pas rouler. Il actionna son clignotant, et dépassa à grande vitesse son cauchemar. Pied au plancher, il espéra naïvement rattraper son retard – chaque minute qu’il passait loin de cette chambre d’hôtel était un moment de plaisir qui filait entre ses doigts. Il prit un virage serré à une vitesse bien haut delà du raisonnable, et pila devant l’établissement de luxe qui allait accueillir sa nuit de débauche. Il eut à peine un regard pour le voiturier auquel il balança ses clés, et se dirigea aussitôt vers le comptoir d’accueil pour réclamer sa carte magnétique. Chambre 333, lui avait susurré Raelyn avant de disparaître. Impatient comme rarement il l’était, il préféra plutôt prendre les escaliers que d’attendre l’ascenseur. Il connaissait bien cet hôtel, et il connaissait bien cette chambre : ce n’était pas la première fois qu’ils la partageaient. Il présenta sa carte, déverrouilla la porte, et la referma aussitôt. La pochette de Raelyn, posée à l’entrée, lui fit comprendre qu’elle était déjà arrivée. Il fit quelques pas dans l’entrée, déposa ses clés de voiture, et alla retrouver sa conquête, qui fixait à l’extérieur un point connu que d’elle-même. « Désolé, le trafic n’a pas été des plus coopératif. » Grommela-t-il, avant de déposer ses lèvres sur sa nuque. Ses mains, qui encadraient ses hanches, remontèrent lentement le long de ses flancs. Il voulait aller droit au but, ne pas flouer ses intentions – il avaient suffisamment perdu de temps comme ça. « Dans mes souvenirs, on en était là, je crois. » Susurra-t-il alors que ses doigts effleuraient son décolleté pigeonnant. La peau de Raelyn irradiait, et le politicien en profita pour faire durer le plaisir – ce qui n’était pas pour l’arranger, lui qui avait une passion assumée pour les poitrines. Qu’elles soient petites ou généreuses, développées ou discrètes, Camil ne rechignait jamais à l’idée de découvrir ce trésor.
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amelyn ☆ wasted in love, misunderstood, baby, it's harder to breathe when you're gone. so i hold in my hands pictures of you and dream of the day i was eating for two. all this love, i'm so choked up, i can feel you in my blood, i'm so scared to give you up. valentine, my decline is so much better with you. valentine, my decline, i'm always running to you. and i cover myself in tattoos of us, and dream of the day we embrace and combust. ☽ 123456789101112131415161718192021222324252627282930313233343536373839404142434445464748495051525354555657585960616263646566676869707172737475767778798081828384858687888990919293949596the end.

AVATAR : Lady Gaga
CRÉDITS : me (avatar), harley (gif profil, maxyn, spencer, amelyn), fuckyougifs (gif danaë) & jifdirectory (gif cecilia), erikawrites (gif miles)
DC : Megan Williams (Sydney Sweeney) & Midas Sterling (Leo Woodall)
PSEUDO : stairsjumper
Femme (elle)
INSCRIT LE : 21/02/2019
https://www.30yearsstillyoung.com/t23235-raelyn-you-can-try-to-break-me-i-cut-my-teeth-on-people-like-you
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Message(#)RAELYN&CAMIL► We get what we deserve, and way down we go EmptyMar 2 Juil - 15:05


We get what we deserve, and way down we go
Raelyn Backwell & @Camil Smith

« Parce que c’est stimulant. » Il exprime tout haut ce que nous pensons tous les deux depuis le début de notre relation. Le risque est stimulant, c'est indéniable, et finalement derrière l'interdit, c'est bien le risque qui vient accroître l'intérêt que nous avons l'un pour l'autre. Nous sommes différents et tout semble nous opposer, mais sur un point bien particulier nous sommes semblables : j'ai l'impression que comme moi il joue avec les limites pour le simple plaisir et le frisson. Sa notion de risque et la miennes diffèrent certes, mais l'un comme l'autre c'est bien ce qui nous stimule, je ne peux dire le contraire et me contente donc de sourire, assez amusée.

Lorsqu'il s'éloigne vers le bar, je ne peux m'empêcher de l'observer et ne cherche même pas à retenir les pensées peu catholiques qui affluent dans mon esprit, et lorsqu'il se rassoit à mes côtés, définitivement plus proche que précédemment je ne peux m'empêcher un sourire et une remarque. Il joue, ou plutôt rentre dans le mien de jeu, il effleure mon épaule de la sienne et mon corps réagit assez favorablement à ce contact, tout sauf fortuit. « Je commençais à en avoir marre de jouer les bons Samaritains. » J'allais secouer la tête, lui adresser un sourire et formuler une réponse mais il en décide autrement en ne me laissant aucun choix. Il pose ses lèvres sur les miennes, pas délicatement, pas tendrement mais plutôt avec une impatience et une avidité non dissimulée. Sa main glisse derrière moi cou pour m'attirer à lui et approfondir le baiser, face auquel je ne reste bien sûr pas sans réaction une fois ma légère surprise initiale passée. Ma main se pose sur son torse et mes doigts se referment sur sa chemise parfaitement repassée sans m'inquiéter de la froisser, et lorsqu'il met fin au baiser ce sont aussi bien ses ardeurs que les miennes qu'il réfrène, me laissant sur ma faim et avec une respiration saccadée. Je n'ai plus envie de rester ici, plus du tout. Mais apparemment lui non plus. « T’as bien dit que tu avais réservé un hôtel ? » Je laisse échapper un sourire, reprenant mon souffle, et acquiesce d'un signe de la tête faute d'être capable de répondre tout de suite. Cela lui suffit vraisemblablement puisqu'il se lève sans se faire prier, m'invite d'un regard à le suivre, ce que je fais sans rechigner après avoir lissé ma robe d'un revers de la main. Le regard du barman ne s'appesantit pas sur nous, l'endroit est passant et discret et c'est bien là son seul avantage. Lorsque je quitte le bar je profite quelques secondes de la fraicheur de la nuit, qui me permet de remettre de l'ordre dans mes idées, avant de tourner les yeux vers Camil. « Comme d’habitude ? » Encore une fois je hoche la tête doucement, avant de m'approcher de lui pour lui glisser le numéro de la chambre réservée à l'oreille et de disparaître, attrapant mon téléphone pour appeler un taxi. A part ces deux mots "Chambre 333" aucun son n'est sorti de ma gorge depuis ce baiser dérobé. J'ai toujours aimé les hommes qui prennent les devants et me réduisent au silence avec leur assurance éhontée, et Camil est un maître en la matière.

Je suis rapidement récupérée par le taxi que j'ai appelé, et je prends le temps de saluer le chauffeur qui m'est familier et de lui donner l'adresse avant d'informer l'homme politique que je suis en route. Redcliffe a l'avantage d'être un quartier discret et parfait pour ce type de rencontre, mais il est relativement éloigné du luxueux quartier de Spring Hill où j'ai mes habitudes, et le trajet me semble durer des heures tant l'excitation me serre l'abdomen. Il a l'air en forme ce soir, et comme souvent je sais que notre entrevue sera délicieuse. Je profite des quelques minutes de trajet pour regarder mon téléphone et confirmer les quelques rendez-vous que j'ai le lendemain, avant d'éteindre mon téléphone pour la soirée, n'ayant aucune envie d'être déconcentrée. Quand la berline se gare devant l'hôtel je remercie le chauffeur en un mot, avant de rapidement me diriger vers le hall d'entrée pour récupérer la carte de la chambre et de m'enquérir de l'arrivée de Camil après de la demoiselle qui tient l'accueil. Une certaine frustration commence à gronder quand elle m'apprend que je suis la première, et je me contente d'un simple merci avant de pénétrer dans l'ascenseur qui m'emmène jusqu'à l'un des étages les plus élevés du bâtiment.

Dans la chambre je jette mon sac sur la table d'entrée, jette un rapide œil autour de moi avant de me diriger vers la baie vitrée pour jeter un œil à l'extérieur, assez pensive. La plupart des gens auraient du mal à concevoir qu'un homme comme Camil souhaite s'acoquiner avec moi. L'image que nous renvoyons de pourrait être plus différente. Lui, avec ses cheveux blonds et ses tenues soignées, son air de parfait gentleman et d'homme respectable, serrant dans ses bras une femme comme moi, chez qui tout appelle à la luxure, de mes tatouages provocateurs jusqu'à mes tenues parfaitement étudiées pour susciter l'intérêt. Quelques minutes passent et le bruit de la porte qui se déverrouille me tire de mes pensées, et si je laisse échapper un sourire je ne me retourner pas en entendant Camil s'approcher de moi. « Désolé, le trafic n’a pas été des plus coopératif. » Dans son ton, je sens toute la hâte qui l'agite, et rapidement ses mains se posent sur mes hanches et ses lèvres dans mon cou. Ses mains, assoiffées de plus, remontent doucement jusqu'à effleurer ma poitrine alors que je ferme les yeux quelques secondes, me perdant dans ces caresses. « Dans mes souvenirs, on en était là, je crois. » Il n'a pas froid aux yeux, il est impatient et je commence à le sentir alors que ses mains s'aventurent plus haut et frôlent la peau nue sous mon décolleté. Encore une fois ma gorge se resserre et des images érotiques viennent s'imprimer contre mes paupières avant que je ne rouvre les yeux et laisse ma tête basculer en arrière sur son épaule, sous l'impulsion de ses baisers. « Ma robe. » L'instruction claque, et je ne ressens pas le besoin de faire plus d'effort pour m'exprimer, sachant pertinemment que ce n'est pas nécessaire. Pas le moins du monde. Ses mains quittent à regret ma peau et je les sens se poser dans mon dos sur la fermeture éclair de ma robe, me tirant brusquement en arrière. Non il n'a pas envie d'attendre du tout, et cette pensée me tire à nouveau un sourire. Moi non plus, mais j'ai plus envie encore de jouer quelques minutes avec ses nerfs que ne satisfaire mes propres désirs. La fermeture éclair glisse et ses mains viennent m'aider à passer mes bras dans les bretelles pour me débarrasser du tissu noir en velours, devenu trop gênant, et je me retrouve simplement vêtue d'un sous vêtement en dentelle assorti. Je m'échappe de ses bras, joueuse, pour me diriger vers la table, sur laquelle est posé un seau contenant une bouteille de champagne. Finalement en jetant un regard amusé à Camil que j'ai laissé sur le carreau, je retourne deux flûtes avant d'entreprendre de débarrasser la bouteille de son bouchon. Au fond je n'ai pas envie d'attendre, je n'ai pas envie de jouer et mon corps réclame le sien, mais j'ai toujours aimé feindre l'innocence alors que j'en suis totalement dépossédée, donc je remplis patiemment les deux verres avant de revenir vers lui et de lui en tendre un. « On a toute la nuit devant nous, autant profiter des cadeaux offerts par la maison. » Il sait que je mens. Comme il sait qu'à moitié nue devant lui je joue à un jeu dangereux, un jeu auquel j'ai clairement envie qu'il perde, qu'il me débarrasse de ma flûte et m'attire à lui sans ménagement et sans m'en laisser le choix. Mais je prends sur moi, j'attends et porte mon verre à mes lèvres sans le quitter des yeux, le regard brûlant, pour boire une gorgée de champagne. D'un geste distrait je porte ma main dans mes cheveux pour défaire le chignon qui les retient et les laisser tomber retomber dans mon dos et sur ma poitrine, le provoquant et l'invitant un peu plus à la luxure.




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Message(#)RAELYN&CAMIL► We get what we deserve, and way down we go EmptyLun 8 Juil - 21:21

Il avait cru qu’il n’arriverait jamais à l’hôtel. Les pires automobilistes s’étaient-ils donnés rendez-vous ce jour, afin de faire ralentir au maximum le trafic à Brisbane ? Le monde s’était-il ligué contre lui ? Ou était-ce simplement une impression, accentuée par ses envies pressantes et lubriques ? Il fréquentait Raelyn depuis suffisamment longtemps pour savoir que, comme lui, elle n’était pas des plus patientes. Que, comme lui, elle n’aimait pas perdre de temps quand il s’agissait des choses importantes, voire même essentielles – et, clairement, s’envoyer en l’air faisait partie de ces deux catégories. Il grimpa les escaliers à la vitesse de l’éclair, s’imaginant déjà se prélasser dans les draps soyeux en agréable compagnie. Il poussa la porte de sa chambre avec impatience, et tomba sur le profil tentateur de celle qui partagerait sa nuit. Elle dut l’entendre arriver, puisqu’elle ne se retourna pas lorsqu’il s’approcha d’elle. Il ne se fit pas prier pour initier un énième rapprochement avec Raelyn, désireux de reprendre leurs activités rapidement. Ses mains sur ses hanches remontèrent le long de son corps, jusqu’à entrer en contact avec l’objet de ses désirs. Ses mains se faufilèrent dans son décolleté, outrepassant sans aucune gêne le bout de tissu qui recouvrait encore sa poitrine. Il eut un petit sourire gourmand lorsqu’il constata que Raelyn se laissait aller contre son épaule, les yeux fermés. Leur relation avait beau être singulière, ils étaient toujours sincères l’un envers l’autre. « J’en ai eu envie toute la soirée. » Admit le politicien contre son oreille, sans jamais cesser les traitements qu’il lui infligeait. Il ne comptait plus le nombre de fois où son regard s’était perdu dans son décolleté pigeonnant, ni même le nombre de fois où il s’était imaginé y déposer ses lèvres.  Il n’en était pourtant pas là – chaque chose en son temps. La nuit n’appartenait qu’à eux, et elle venait seulement de commencer. Les prochaines heures seraient exclusivement (ou presque) dédiées à l’épanouissement de leurs désirs, et l’Australo-Américain comptait bien en profiter dignement. Il se plia volontiers à l’ordre de l’Australienne, qui lui demandait implicitement de l’aider à retirer sa robe. Camil ne se fit pas prier, trop heureux de dévoiler à ses yeux inquisiteurs des parcelles de peau encore couvertes. Son regard s’attarda sur ses tatouages, qui habillaient partiellement sa peau. A chaque fois qu’ils se voyaient, il avait l’impression qu’ils étaient toujours plus nombreux. A moins que ce soit lui qui, plus habitué et plus familier avec sa proie, s’accordait un peu plus de temps pour l’observer sous toutes les coutures.

Elle était à demi-nue, et elle fit cascader ses cheveux le long de son dos. Elle se foutait clairement de sa gueule, et il le comprit immédiatement. Il accepta la coupe de champagne que lui tendait Raelyn avec un petit sourire narquois. Elle voulait jouer ? Très bien, il n’était pas contre l’idée de faire monter un peu la température entre eux. Le politicien retira les deux premiers boutons de sa chemise, et se rapprocha de son interlocutrice. Elle restait statique devant lui, imperturbable et à moitié nue, offerte et pourtant si lointaine. « A quoi trinquons-nous ? » Demanda-t-il, entrant volontiers dans le jeu de Raelyn. Il porta la flûte de champagne à ses lèvres, et se délecta des bulles qui roulèrent sur son palais. Leurs regards ne se quittèrent pas une seconde, chacun attendant probablement que l’autre commette un impair. Mais tous deux avaient la tête dure, et cette tension sexuelle risquait de grimper fortement dans les prochaines minutes. « Tu cherches à m’allumer ? » La question était purement rhétorique ; Camil en connaissait déjà la réponse. Bien sûr qu’elle l’allumait, qu’elle avait envie de le faire craquer. Il tendit la main vers les cheveux de Raelyn, dont il fit rouler une mèche au bout de son index. « Parce qu’il se pourrait que tu sois sur la bonne voie. » Ajouta-t-il avec un petit sourire narquois. Il délaissa sa mèche de cheveux, et se détourna de son interlocutrice. Il récupéra la bouteille de champagne, et se dirigea d’un pas décidé vers la baie vitrée. Vue imprenable sur la piscine de l’hôtel, mais surtout sur les hauteurs de Brisbane. L’Américain retira les derniers boutons de sa chemise, et se servit une autre coupe. Il s’accouda à la balustrade de l’hôtel, et fit face à Raelyn. « Dis-moi Madame je-profite-des-cadeaux-offerts-par-la-maison, est-ce que je vais devoir appeler le service de massage au petit matin, ou je peux compter sur toi pour prendre soin de moi et de mes articulations douloureuses ? » Demanda-t-il en arquant un sourcil, alors qu’il portait sa coupe de champagne à ses lèvres.
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Raelyn Blackwell
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la muse des cauchemars
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ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion
SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn.
STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille.
MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie.
LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux.
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TW IN RP : Mention de drogues dures, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, deuil, automutilation.
ORIENTATION : J'aime les beaux garçons.
PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois.
DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP
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RPs EN COURS :
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(07) chad #3spencer #14miles #1 (2005)danaë #4 (2018)maxwell #7miles #2cecilia #2

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maxyn #7 & sms ☆ i'm sick, yeah, i'm sick, and honestly, i'm getting high off it. your smoke in my hair hot and dirty like the l.a. air. that face, baby, it ain't fair, but you don't know what you don't know. oh, so you wanna talk about power ? oh, let me show you power. i eat boys like you for breakfast, one by one hung on my necklace. ☽ 1234567

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spencer #14 ☆ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand. take another walk out of your fake world, please put all the drugs out of your hand. you'll see that you can breathe without no back up, so much stuff you got to understand.

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danalyn #4 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.

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cecilia #2 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.

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miles #1 & #2 ☆ i've been waiting patiently, i built this tower quietly. And when my well of wellbutrin is running dry of serotonin i can say things I don't mean. or maybe it's the truth in me, i feel it building, bubbling up.

RPs EN ATTENTE : aisling #3

RPs TERMINÉS : liste tenue à jour dans ma fiche de liens

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Message(#)RAELYN&CAMIL► We get what we deserve, and way down we go EmptyLun 8 Juil - 22:42


We get what we deserve, and way down we go
Raelyn Backwell & @Camil Smith

Ses mains se font plus indiscrètes, plus intrusives et insistantes sur ma poitrine, l’effleurement se transforme en caresse, la caresse en pression discrète, et rapidement il contourne l’interdit en glissant ses mains entre la dentelle de mon sous vêtement et ma peau brulante. C’est un homme à femmes Camil, et une chose est sure il sait comment s’y prendre pour faire monter le désir. Le mien en tout cas, il n’en est peut-être pas encore expert, mais fin connaisseur. Il connait mon goût pour le jeu et les faux semblants autant qu’il sait à quels endroits effleurer ma peau pour me rendre folle. Il est attentif comme amant, et si je ne suis en règle générale que peu friande de gentlemen, je dois bien admettre que ça a ses avantages. Mais c’est évident, je n’ai pas pour habitude de m’imposer la compagnie de mauvais amants. Quoi qu’il en soit jusqu’ici Camil occupe certainement une place sur le podium. Peut-être est-ce la rareté de nos échanges, où l’aspect planifié et étudié à l’avance qui me stimule autant. « J’en ai eu envie toute la soirée. » Ses lèvres glissent à côté de mon oreille alors que je me laisse aller un peu plus contre son torse pendant qu’il prend le contrôle de mon buste. « Je sais. » Toujours les yeux fermés, je lui réponds dans un souffle, un souffle sec et teinté de désir. Lorsque ses doigts me débarrassent de de ma robe, effleurant ma colonne vertébrale sur ton son long au passage, je ne cherche même pas à retenir le frisson qui parcoure mon corps.

Mais mon envie de jouer, mon envie d’inverser les rôles quelques secondes fini par prendre le dessus alors que je suis à présent presque nue, à un détail en dentelle près. A un détail en dentelle de lui être complètement offerte. Je ne m’en formalise pas cependant, je suis depuis longtemps assez à l’aise avec mon corps et la nudité pour me promener des heures durant sous ses yeux. J’espère juste que je n’aurais pas à le faire aussi longtemps avant qu’il ne cède. Parce que c’est clairement ce que j’instaure implicitement, un nouveau jeu. Ou la règle est assez simple et consiste à ne pas craquer le premier, et où la récompense sera la même pour le perdant que le gagnant. Mais j’ai un joueur en face de moi, et je sais qu’il me pardonnera sans problème ce genre d’enfantillage, et entrera dans la danse. Comme je sais que j’ai les atouts nécessaires pour qu’il se retrouve dans la position du grand perdant. Un air amusé sur le visage, il porte sa flute de champagne à ses lèvres. Avant de lever son verre. « A quoi trinquons-nous ? » Je lève un sourcil, amusée avant de rétorquer. « Tu sais que généralement on trinque avant de boire ? » Et moi qui le pensais si bien élevé. Je lève à peine mon verre, dans un mouvement quasi imperceptible, avant de rajouter. « Je trinque à ma victoire, et à ta défaite. » Je n’ai pas besoin d’expliciter, d’exprimer de façon plus claire le fond de ma pensée, je sais qu’il m’a comprise. Je serais déçue si ce n’est pas le cas. Je trinque à la certitude que je vais l’emporter ce soir dans ce petit jeu de séduction. Je prends une gorgée de champagne, avant de faire un pas pour me rapprocher plus encore de lui. Ses yeux ne quittent pas les miens alors qu’un sourire gourmand se dessine sur mon visage. « Tu cherches à m’allumer ? » Suis-je si transparente que ça ? Je suis assez proche pour qu’il porte sa main à mon visage et joue avec une mèche de mes cheveux, la faisant rouler avec ses doigts. Il avait compris les règles de toute évidence. Et comme moi il savait ce qui se jouait. « Parce qu’il se pourrait que tu sois sur la bonne voie. » Je ne bouge pas, reste impassible alors qu’il laisse glisser la mèche blonde de ses doigt et se diriger vers la baie vitrée pour s’accouder à la balustrade. « Ça serait bien mal me connaître que de me prêter des intentions aussi bien louables. » Il est de dos, mais ses traits, ses joues qui se tirent en arrière trahissent son sourire. Il reste quelques secondes comme ça, alors que je l’observe et le dévore du regard sans bouger, avant de se retourner. « Dis-moi Madame je-profite-des-cadeaux-offerts-par-la-maison, est-ce que je vais devoir appeler le service de massage au petit matin, ou je peux compter sur toi pour prendre soin de moi et de mes articulations douloureuses ? » Il joue au plus malin et ça me fait sourire. Je me débarrasse de mes escarpins et m’approche finalement de lui posant m’appuyant à mon tour contre la rambarde, les coudes en arrière et le corps tourné vers lui. Je lui arrive à peine au torse, et j’ai toujours aimé ça finalement, me sentir petite face à un homme.  Je l’observe détacher un à un les boutons de sa chemine, mes doigts mourant d’envie de succomber et d’aller l’aider, mais je le retiens, suivant moi aussi du regard ses mains qui s’affairent. Je me rapproche de lui, jusqu’à me trouver à quelques centimètres seulement, avant de relever mes yeux vers les siens. « J’ai déjà failli à la tâche ? » Il ne me semble pas non. Il est assez évident, assez facile pour une femme de savoir quand un homme est satisfait. Je lui adresse un sourire, avant de déposer mes lèvres sur son torse dans un baiser, laissant mes dents frôler sa peau avant de relever à nouveaux les yeux vers lui sans me défaire de mon sourire. « Mais si l’homme politique que tu es est devenu trop frileux pour une femme comme moi, alors peut être que le service de massage de l’hôtel sera plus approprié. » Je lève ma mains pour laisser glisser mes doigts sur son torse, pour laisser mes ongles effleurer sa peau, dans le but de lui soutirer quelques frissons et de voir ses poils se dresser sur sa peau. Je vais gagner et il va céder. Il est hors de question que je sois la première à céder et à admettre la faiblesse de mon corps pour le sien, bien qu'elle soit évidente.  




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Message(#)RAELYN&CAMIL► We get what we deserve, and way down we go EmptyDim 14 Juil - 17:55


« J’avais soif. » Répondit-il, comme si cela justifiait son manque de politesse. A vrai dire, il n’en avait rien à foutre de trinquer. Il n’en avait rien à foutre de boire, non plus. S’ils étaient là tous les deux, ce n’était clairement pas pour enfiler des perles. Pourtant, parce qu’il était joueur et qu’il aimait être poussé dans ses retranchements en sa compagnie, il se pliait volontiers aux règles dictées par son interlocutrice. Si mener la danse lui faisait plaisir, alors il la laissait faire. Il savait que sa récompense arriverait, même si elle était plus tardive que prévue. Elle n’en serait que meilleure, il en était persuadé. Le politicien éclata d’un rire franc et amusé, alors que Raelyn proposait de trinquer à sa défaite. Il secoua la tête, et se resservit une coupe de champagne. « Parce que tu appelles ça une défaite, toi ? » Demanda-t-il en arquant un sourcil. De bon cœur, il fit malgré tout tinter leurs verres, avant de s’approcher d’elle. Il joua avec l’une de ses mèches de cheveux, qu’il enroula au bout de son index. Il ne nia pas l’intérêt qu’elle avait su éveiller en lui. Camil s’échappa finalement en direction du balcon, la bouteille de champagne à la main. Il sourit à sa réflexion : Raelyn et les intentions louables, cela faisait clairement deux. « Dommage. » Maugréa-t-il en haussant les épaules, alors que son regard était fixé sur les hauteurs de Brisbane. « J’aime bien les filles qui mènent la danse. » Ajouta-t-il, faussement innocent. Il passa quelques instants à observer l’extérieur, obnubilé par quelques images graphiques des nuits qu’ils avaient déjà pu passer ensemble.  

Il se retourna vers l’Australienne, qui ne tarda pas à le rejoindre sur le balcon. Il la reluqua des pieds à la tête, sans aucune honte ni aucun malaise. Très peu vêtue, elle semblait pourtant se foutre d’être vue par l’ensemble des clients de l’hôtel. Camil, que la pudeur n'étouffait pas non plus, se félicita cependant d’être le seul à pouvoir bénéficier, ce soir, des charmes de Raelyn. Comme pour lui rappeler des souvenirs qui, à sons sens, restaient impérissables, elle déposa ses lèvres carmins sur son torse. Ses dents y laissèrent une légère marque, qui aura disparu d’ici quelques instants à peine. « Pas dans mes souvenirs. » Répondit-il après quelques instants de réflexion. Elle savait pertinemment qu’il ne mentait pas ; leurs rendez-vous mensuels étaient suffisamment révélateurs. L’avantage de leur relation, c’est qu’ils y trouvaient tous les deux leur compte. Si ce n’était pas le cas, ils auraient arrêté cette petite mascarade il y a des mois de cela – mais aucun n’avait, pour le moment, émis le souhait d’y mettre fin. « Frileux ? » Répéta-t-il en arquant un sourcil, avant qu’un sourire narquois ne vienne se loger sur ses lèvres. Tous deux s’obstinaient dans leur petit jeu, savourant avec un délice non dissimulé cette partie qui durait. Il déposa son index sur son avant-bras, et se pencha vers elle pour lui faire constater l’évidence. « Ce n’est pas moi qui ai la chair de poule en ce moment. » Mais il savait pertinemment que cette réaction épidermique n’était pas due aux températures, particulièrement clémentes cet hiver. Ce n’était que le fruit de leur petit jeu à double-sens. Si Raelyn refusait d’abdiquer, le politicien pouvait sentir que son impatience était grandissante. Ses doigts avaient remplacé ses lèvres, et Camil l’observa faire pendant de longues secondes, fasciné par ce spectacle. Elle effleura plusieurs fois la boucle de sa ceinture, lui faisant miroiter une étape qui n’intervint pourtant jamais. « T’es devenue timide, entre aujourd’hui et le mois dernier ? » Demanda-t-il contre son oreille, avant que ses lèvres ne viennent s’attaquer à son lobe. Trois mots pour décrire leur étrange relation ? Luxe, volupté et plaisir. Sa main glissa sur la hanche de son interlocutrice, pour la rapprocher de lui. Leurs bustes s’effleurèrent, et Camil, par avance, en sourit de gourmandise. « A moins que le fait d'être dehors t'empêche de te projeter plus loin ? »Suggéra-t-il, joueur. Son index glissa sous le menton de Raelyn, l’obligeant à relever les yeux vers lui. « Les ingénues, ça va bien trois minutes. » Murmura-t-il contre ses lèvres, s’offrant un cours laps de temps avant de partir à leur conquête. Elle pouvait considérer qu’il avait perdu, si elle le souhaitait. Il capitulait volontiers.
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Raelyn Blackwell
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la muse des cauchemars
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ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion
SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn.
STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille.
MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie.
LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux.
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TW IN RP : Mention de drogues dures, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, deuil, automutilation.
ORIENTATION : J'aime les beaux garçons.
PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois.
DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP
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maxyn #7 & sms ☆ i'm sick, yeah, i'm sick, and honestly, i'm getting high off it. your smoke in my hair hot and dirty like the l.a. air. that face, baby, it ain't fair, but you don't know what you don't know. oh, so you wanna talk about power ? oh, let me show you power. i eat boys like you for breakfast, one by one hung on my necklace. ☽ 1234567

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spencer #14 ☆ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand. take another walk out of your fake world, please put all the drugs out of your hand. you'll see that you can breathe without no back up, so much stuff you got to understand.

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danalyn #4 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.

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cecilia #2 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.

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miles #1 & #2 ☆ i've been waiting patiently, i built this tower quietly. And when my well of wellbutrin is running dry of serotonin i can say things I don't mean. or maybe it's the truth in me, i feel it building, bubbling up.

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amelyn ☆ wasted in love, misunderstood, baby, it's harder to breathe when you're gone. so i hold in my hands pictures of you and dream of the day i was eating for two. all this love, i'm so choked up, i can feel you in my blood, i'm so scared to give you up. valentine, my decline is so much better with you. valentine, my decline, i'm always running to you. and i cover myself in tattoos of us, and dream of the day we embrace and combust. ☽ 123456789101112131415161718192021222324252627282930313233343536373839404142434445464748495051525354555657585960616263646566676869707172737475767778798081828384858687888990919293949596the end.

AVATAR : Lady Gaga
CRÉDITS : me (avatar), harley (gif profil, maxyn, spencer, amelyn), fuckyougifs (gif danaë) & jifdirectory (gif cecilia), erikawrites (gif miles)
DC : Megan Williams (Sydney Sweeney) & Midas Sterling (Leo Woodall)
PSEUDO : stairsjumper
Femme (elle)
INSCRIT LE : 21/02/2019
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Message(#)RAELYN&CAMIL► We get what we deserve, and way down we go EmptyDim 14 Juil - 23:49


We get what we deserve, and way down we go
Raelyn Backwell & @Camil Smith

La vérité c’est que je me fiche qu’il trinque avec moi, je me fiche qu’il descende son champagne comme du petit lait ou qu’il en profite, et je me fiche de savoir s’il me regarde dans les yeux au moment où nos verres se rencontrent. Tout ce que je veux pendant ces quelques heures c’est être le centre de son attention, c’est que ses mains et tout son corps ne se fixent qu’un objectif simple : faire vibrer le mien au rythme de décharges électriques. Je me fiche de l’étiquette, qu’il se comporte en gentleman et je me fiche de ses mots doux qui ne viendront pas et je ne m’en cache pas, c’est peut-être bien ce qui me rend aussi attractive à ses yeux. Je sais ce que je veux, je sais ce que je veux de lui en tout cas et je n’ai pas peur de l’admettre à voix haute. « Parce que tu appelles ça une défaite, toi ? » Nos verres tintent et je réponds à son rire par un sourire, le regard s’approcher sans un esquisser le moindre geste. Non, même s’il cède, il n’aura rien à regretter et il le sait. Le fait qu’il l’admettre gonfle mon égo, qui n’a pourtant pas besoin de ça, et lorsque sa main se perd dans des cheveux pour en attraper une mèche, je résister à l’envier d’à mon tour initier un contact physique. « Non. » Sera ma seule réponse. Mais mon regard appuyé et brûlant en dis certainement plus que mes lèvres, à cet instant. Je l’observe s’éloigner doucement jusqu’au balcon, vraisemblablement bien décidé à jouer à son tour.

J’aime ça chez lui, le fait qu’il n’ait pas froid aux yeux. Le fait que même sachant pertinemment qui je suis et ce que je représente – une pomme pourrie dans le joli panier dont il aspire à devenir maire – il soit incapable de s’empêcher de succomber au désir qu’il éprouve à mon égard. « Dommage. J’aime bien les filles qui mènent la danse. » Un sourire étire mes lèvres. Dommage, parce que je suis plutôt du genre à apprécier le faire d’être plaquée contre un mur sans avoir le temps de réfléchir. Mais je ne suis pas une amante passive et docile, et ça il le sait. Il n’a pas besoin de me provoquer pour que j’en sois tout le contraire. Je laisse échapper un léger rire mais ne formule pas de réponse, me contentant de le rejoindre sur le balcon et de répondre à la perche qu’il me tend par une énième provocation. La rareté de ces moments et leur aspect interdit les rend d’autant plus excitant, et je ne sais pas si cette petite liaison aurait le même attrait pour nous sans. « Pas dans mes souvenirs. » Bien sûr que non, la question était purement rhétorique. Camil n’est pas un homme discret, coincé et sur la retenue. Je sais qu’il apprécie chacun des moments que nous passons ensemble sous la couette. Son doigt se pose sur mon bras et le caresse furtivement, alors que son corps se rapproche du mien. « Frileux ? Ce n’est pas moi qui ai la chair de poule en ce moment. » Je n’ai pas besoin de baisser les yeux sur mon bras mon savoir que mon corps est parcouru de frisson, malgré les températures encore clémentes, alors je ne le quitte pas des yeux. « Ça, ça peut s’arranger. » Joignant les gestes à la paroles, mes doigts entament une lente danse sur son torse, descendant même pour effleurer la boucle en métal de sa ceinture, dans l’espoir de le laisser demandeur de plus. Il m’observe, un air sérieux sur le visage, alors que je n’attends qu’une chose, qu’il mette fin ce petit jeu, qu’il cède et que nous obtenions enfin tous les deux ce que nous attendons. Parce que je ne suis pas en reste non plus, j’ai bien du mal à contenir le désir qui monte progressivement en moi. Il approche son visage de mon coup pour souffle près de mon oreille, exacerbant mes sens. « T’es devenue timide, entre aujourd’hui et le mois dernier ? » Sans me laisser la moindre chance de répondre ou de conserver ma façade de marbre, il vient effleurer mon cou de ses lèvres et s’emparer de mon lobe d’oreille. Il sait jouer Camil, je dois bien lui reconnaître ça. Surtout lorsqu’il pose sa main sur ma hanche pour m’attirer fermement à lui, forçant nos corps à se rencontrer, ma poitrine nue à effleurer son torse. Il me tente, mais se tente également, peut-être encore plus. « A moins que le fait d'être dehors t'empêche de te projeter plus loin ? » Son doigt se pose sous mon menton, obligeant mes yeux à aller à la rencontre des siens, tandis que les battements de mon cœur s’accélèrent, comme dopés par cet échange sensuel. Il approche ses lèvres des miennes, pour murmurer quelques mots. Je lis dans ses yeux à cet instant que j’ai gagné la partie. « Les ingénues, ça va bien trois minutes. » Ses lèvres s’emparent des miennes, qui ne s’y opposent en rien. Au contraire, elles s’en donnent elles aussi à cœur joie, tantôt s’emparent de sa lèvre inférieure pour la mordiller, tantôt laissant ma langue prendre le contrôle pour approfondir le baiser. Moi une ingénue ? Je m’applique à lui démontrer le contraire alors que mes mains remontent son torse, jusqu’à ses épaules pour faire glisser sa chemise et l’en débarrasser pour de bon, alors que mon corps se colle plus encore au sien. Reprenant mon souffle, je mets fin temporairement au baiser. « Une ingénue tu dis ? Je pensais que tu en raffolais » Le temps de se distraire certainement, mais avant de se rendre compte qu’elles l’ennuient et qu’il préfère les femmes. D’une main, je l’attrape par la boucle de sa ceinture pour coller son bassin contre mon corps, et finalement ma seconde main rejoint la première pour défaire la boucle et le débarrasser de sa ceinture. Sans attendre une seconde de plus, je m’affaire au bouton puis à la fermeture éclair de son pantalon de costume. « T’es sûr de toi ? » Je me contre fiche d’être sur le balcon, à la vue de n’importe quelle client d’une chambre voisine qui sortirait prendre l’air. Mais lui ? Il est à l’origine de tous ces « secrets » autour de notre liaison. Il est celui qui insiste à prendre deux voitures séparées. Mes lèvres rencontrent à nouveau les siennes, avec plus de passion encore que quelques secondes auparavant, alors que ma main glisse à l’intérieur de son pantalon. Un baiser qui dure quelques secondes alors que mes lèvres glissent jusqu’à son oreille, ma main intrusive respectant encore la barrière formée par son caleçon, caressant la bosse qui le déforme et jouant avec ses nerfs. « Si tu me laisses maitresse de la situation tu peux dire adieu à ta sacro-sainte discrétion, crois moi. » Mes lèvres glissent sur sa mâchoire, dans son cou, puis sur le haut de son torse alors que ma main coincée dans son pantalon s’affairent toujours à la même tâche : le rendre fou de désir. Je souffle, contre son torse. « A tes risques et périls… Tu m’accuses d’être une ingénue, je suis bien obligée de te monter à quel point tu te trompes. » Comme s’il ne le savait pas déjà. Finalement je lui laisse un peu de répit et laisse mes deux mains remonter dans son dos, puis se perdre derrière son cou pour l’attirer un peu plus à moi.







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Message(#)RAELYN&CAMIL► We get what we deserve, and way down we go EmptyMar 23 Juil - 21:30

Sa chemise tomba sur le sol sans un bruit, dévoilant pleinement son torse musclé. Camil passait beaucoup de temps à faire du sport, à s’entretenir, et ce pour trois raisons principales. La première, il qui était aussi la plus vaniteuse, se dissimulait dans le fait qu’il aime plaire. Ils aimaient qu’on le regarde, qu’on le complimente, qu’on le remarque. La seconde concernait son travail : au vu de ses ambitions politiques, il mettait un point d’honneur à être, physiquement, le plus irréprochable possible. Enfin, la troisième raison était très personnelle : faire du sport était devenu une habitude quotidienne, et il était, d’une certaine façon, accro aux endorphines. Raelyn, qui avait déjà eu l’occasion de voir le politicien sous toutes les coutures, préféra se coller à lui plutôt que d’admirer ses rangées d’abdominaux. Il ne s’en plaignit pas ; la sensation de leurs deux peaux qui s’effleuraient lui rappela qu’ils s’apprêtaient à partager la meilleure des danses. Il ricana lorsqu’elle lui parla de son goût avéré pour les ingénues, et précisa les propos qu’il avait déjà pu lui tenir à ce sujet. « C’est vrai, les vraies ingénues. Elles sont timides, chastes et… corruptibles. » Murmura l’Australien avec un sourire gourmand, observant avec attention le petit manège de Raelyn. Ses doigts s’attachèrent à sa ceinture, qu’elle tarda volontairement à déboucler. « Mais j’aime aussi celles qui savent ce qu’elles veulent et, visiblement, c’est ton cas. » Ses dents vinrent griffer sa lèvre inférieure, alors que l’Australienne s’aventurait enfin plus loin. Elle avait été patience, et s’était montrée particulièrement tentatrice. Camil, lui, n’y avait vu aucun inconvénient : être allumé ne lui déplaisait pas, bien au contraire. Il aimait que la température grimpe progressivement. Il aimait que les gestes se fassent de plus en plus précis, de plus en plus audacieux. Il aimait que les desseins se dévoilent petit-à-petit. Et surtout, il aimait que son imagination le fasse voyager loin. Très loin. « Je suis toujours sûr de moi. » Confia le politicien en souriant légèrement, avant que leurs lèvres ne se rencontrent. Aucun d’eux n’y mit le moindre signe de délicatesse, et encore moins de tendresse : ce baiser était annonciateur d’une nuit torride. Une nuit de débauche, comme le politicien les aimait tant. Un râle s’échappa malgré lui de ses lèvres alors qu’enfin, la main de Raelyn s’attardait volontairement sur le désir qu’elle avait fait naître en lui. Il ricana, alors qu’elle mentionnait la réserve qu’il avait toujours émise la concernant. C’était une évidence : personne n’avait besoin de savoir avec qui il partageait ses nuits – surtout lorsque la tentatrice avait tout d’une ennemie. « Parce que tu vas crier très fort ? » Demanda-t-il, sur un ton faussement naïf, alors que les doigts de sa main droite se perdait dans ses cheveux blonds. Finalement, visiblement avide d’avoir droit à plus, l’Australienne s’accrocha littéralement à son cou. Camil, loin d’être contre cette brillante idée, la souleva sans difficulté. L’avantage qu’il avait, c’était de bien connaître les goûts de sa compagne d’un soir. Alors, sans ménagement, il la plaqua contre la façade de l’hôtel.

La nuit était tombée depuis longtemps sur Brisbane. La plupart des habitants de la ville devaient dormir depuis quelques heures déjà, mais pas Camil. Le politicien, la tête enfoncée dans son oreiller, fixait le plafond avec attention tout en essayant de récupérer un rythme cardiaque normal. Sa peau était encore moite de l’effort qu’il venait de faire, et il ricana en constatant que quelques longs cheveux blonds étaient restés au creux de sa main. « J’y ai peut-être été un peu fort. » Admit le politicien, alors que Raelyn l’avait interrogé du regard. Il se décala légèrement, et se redressa sur un coude. Comme pour justifier ses propos, il lui montra sa main, d’où pendaient quelques cheveux. Il se pencha vers elle, et déposa ses lèvres sur son épaule. Bien vite, ces dernières voguèrent le long du flanc de la blonde, s’arrêtant dans la cambrure de son dos. Il avait eu droit à cette vue magnifique au cours de la soirée, et il lui semblait presque que ses mains avaient laissé une empreinte sur ses flancs. « Tu sais que si tu étais un peu moins portée sur l’illégal, tu pourrais faire un tabac dans les affaires ? » Fit remarquer l’Américain, alors qu’il se laissait lourdement retomber sur le matelas. « Tu as des relations, tu sais tirer les ficelles en douce, et t’as pas froid aux yeux. » Énuméra Camil, tout en sachant pertinemment que tout cela était vain. Raelyn ne comptait pas renoncer au Club – pas dans l’immédiat, en tout cas. « Ce sont des qualités indéniables. »

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Message(#)RAELYN&CAMIL► We get what we deserve, and way down we go EmptyMer 24 Juil - 22:07


We get what we deserve, and way down we go
Raelyn Backwell & @Camil Smith

Je ne perds pas d’inutiles minutes à observer Camil sous tous les angles, parce que je connais ce que j’ai en face de moi d’une part, c’est un bel homme, un type qui passe surement des heures à la salle pour sculpter son corps dans le but de séduire des jeunes femmes plus jeunes que lui – je dois bien admettre que ça marche, cela serait hypocrite de ma part de prétendre le contraire – mais aussi parce que je n’ai pas que ça à faire. Regarde, observer cela me va quelques minutes, parce l’attente fait monter le désir et que je ne suis jamais contre ce genre de bouffée de chaleur, mais mon corps appelle le sien, et je lui cède sans trop lutter, profitant de la chaleur que dégage son torse sans honte aucune, sentant le désir faire dresser ma poitrine alors que nos lèvres se rencontrent enfin, de façon tout sauf innocente, tout sauf chaste et dans les mœurs. Un baiser qui trahi envie et attirance mais aucun sentiment, comme je me persuade les préférer depuis des années. « C’est vrai, les vraies ingénues. Elles sont timides, chastes et… corruptibles. » Je laisse échapper un sourire, sans le quitter des yeux pour l’instant, avant de déposer à nouveau un baiser sur son torse, laissant mes lèvres l’effleurer et s’y attarder avant de reculer mon visage. « Elles sont l’air ennuyantes. » Vraiment. Aucun des qualificatifs qu’il cite ne fais partie de ceux qui m’intéressent chez un homme. Il faut croire que nous ne sommes pas faits de la même façon. J’ai toujours été inconsciemment à la recherche de partenaires avec un égo, un caractère plus fort que le mien, pouvant m’écraser et me réduire au silence lorsque le moment est opportun, peut être qu’un type comme ça arriverait à me garder. Malheureusement, ils sont finalement assez rares, et je préfère butiner. « Mais j’aime aussi celles qui savent ce qu’elles veulent et, visiblement, c’est ton cas. » Un regard brûlant, je ne lui réponds pas cette fois. Oui je sais ce que je veux, et je n’ai plus besoin de le prouver. Je préfère me taire et sentir sa respiration s’accélérer de façon quasi imperceptible « Je suis toujours sûr de moi. » Je n’ai pas besoin d’autorisation, mais j’ai fait mine de l’attendre avant de glisser ma main là où ne glisse pas normalement sa main en public. Sans le quitter des yeux, je profite de ce que j’y vois, de l’effet que je lui fais. De ce râle qui s’échappe de sa gorge comme de ses yeux qui se ferment quelques secondes avant de se reposer sur moi. Finalement mes lèvres glissent dans son cou, et lorsqu’il me parle à nouveau, je ne prends même pas la peine de répondre. J’accroche mes mains dans son cou et retrouve ses lèvres, et alors que les siennes me soulèvent facilement j’enroule mes jambes autour de sa taille. Sans douceur, d’une façon brusque mais maîtrisée il vient plaquer mon dos contre mon mur.

Plus tard, lorsque je pousse un dernier gémissement et qu’un dernier coup de rein vient faire cambrer mon dos, je ne regrette absolument pas, une fois de plus, d’être venue au rendez-vous.


❈❈❈❈


A plat ventre et appuyée contre son torse, je ferme les yeux un instant, profitant du contact délicat des draps luxueux, et de cette diffuse sensation de bien-être qui suit toujours un rapport sexuel réussit. « J’y ai peut-être été un peu fort. » Interloquée par ses paroles, je rouvre mes yeux et redresse la tête, m’appuyant sur mes coudes et la posant dans ma main alors qu’il se dégage de mon étreinte, pour finalement me désigner les quelques cheveux blonds coincés entre ses doigts. Instinctivement je passe alors une main dans ma crinière pour la dompter de quelques gestes, avant de renvoyer un sourire amusé. « Garde les. Ça te fera un souvenir pour le jour où je déciderai de ne pas passer la porte du bar. » C’est mon petit jeu, lui faire croire à chaque fois que c’est la dernière. Que nous nous sommes bien amusés, assez laissés emportés par la luxure mais qu’il est temps de redescendre sur terre de se rappeler que nous appartenons à deux mondes qui ne sont pas compatibles.

Ses lèvres se posent sur mon épaule avant de descendre jusqu’au creux de mon creux me faisant frissonner au passage. « Tu sais que si tu étais un peu moins portée sur l’illégal, tu pourrais faire un tabac dans les affaires ? » Encore une fois je laisse échapper un sourire, levant un sourcil, assez surprise. « Tu as des relations, tu sais tirer les ficelles en douce, et t’as pas froid aux yeux. Ce sont des qualités indéniables. » Amusée, je laisse une main courir sur son torse. « Je ne suis même pas sure que le fait d’être portée sur l’illégal soit complètement incompatible. Et je te l’ai déjà dit, te concernant, l’offre tiens toujours. » Cette offre qui a forcé notre rencontre. Mitchell qui a estimé que j’étais la mieux placée pour approcher le politicien, le tentant avec de l’argent sale pour financer sa campagne électorale. Finalement, je secoue la tête. « Et je suis aussi une campagnarde, sans diplôme, qui n’a pas fait d’études et avec un casier judiciaire. » Une broutille à vrai dire, par rapport aux délits que j’ai commis depuis. Vol à l’étalage, alors qu’à dix-huit ans, arrivée en stop à Brisbane sans un sou en poche acheter ma drogue était devenu plus vital à mes yeux qu’acheter de quoi me nourrir. « Dis pas de bêtises. Je ne suis pas idiote, ton monde laisse aucune chance aux personnes comme moi. » Je continue à caresser doucement son torse, me perdant sur son flanc. Et avant de passer pour une mélancolique, je rajoute. « Et c’est très bien comme ça. Mon univers me convient. » Il m’offre quelque chose qu’un job de bureau ne pourrait à mes yeux jamais m’offrir : le frisson.






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