[-18] A friendship that started badly (Caroline)

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A friendship that started badly

ft. John Williams [Flashback, 1 year ago]

Collé contre John, je profite de cette proximité pour relaxer le long du trajet. Ma main baladeuse c’est fait plus tranquille lorsque ma conquête m’a susurré à l’oreille. « Gardes en un peu pour tout à l'heure ! » Et il n’a pas tort. Si on précipite les choses, on finira beaucoup trop vite cette soirée fortement intéressante. Durant le trajet, je me suis permise de poser ma tête contre son épaule, regardant le paysage défiler sous mes yeux lumineux. Une fois arrivé à destination, John s’occupe de payer le chauffeur et de m’inviter à rentrer chez lui. Il prend ma main et me fait pénétrer dans sa demeure en poussant la porte d’entrée de son pied. « Bienvenue dans mon humble demeure ! » Je lui esquisse un sourire, promenant mes yeux sur chaque recoins de son appartement. Un loyer typiquement masculin, entretenu par un seul mec, j’en suis certaine. Je n’ai pas le temps d’approfondir mes recherches que John me prend dans ses bras, plaquant ses lèvres contre les miennes. À cet instant précis, je perds toute notion du temps. Ce qui compte, c’est qu’on s’amuse. Je l’embrasse de plus belle, essayant de suivre petit à petit John qui se glisse dans une chambre, la sienne je suppose. On perd pied dans un tas de linge qui jonche le sol. La course se termine sur son matelas. J’échappe un rire amusé lorsqu’il retire mon haut, dévoilant mon soutien-gorge bourgogne en dentelle. « C'est joli ça ! » Suite à son commentaire, il embrasse ma poitrine, déposant une parcelle de baiser sur ma peau, promenant ses mains sur ma nudité. Ses baisers se logent dans mon cou, me faisant frissonner de plaisir. Je cherche ses lèvres, glissant mes doigts sur le rebord de son t-shirt. Je soulève le tissu vers le haut de sa tête pour retirer entièrement le vêtement. Ce qui se cache en dessous est très alléchant. Je le pousse légèrement pour l’inciter à se coucher sur le dos. J’embarque par-dessus lui en califourchon, frottant délicatement mon entre-jambe sur son membre que je sens gonfler sous son jeans. J’emprisonne la bouche de John avec la mienne, brisant la barrière de nos lèvres avec ma langue pour retrouver la sienne. Cet échange langoureux dure quelques minutes, puis à mon tour, je parcours son torse nu de plusieurs baisers. Je descends tranquillement vers le petit chemin qui mène droit au bonheur. Une fois que ma bouche embrasse le métal froid du bouton de son jeans, je me redresse légèrement. Je le fixe avec un regard empli de désir. Je déboutonne son jeans pour permettre à son membre durcis de respirer un peu plus. Puis je me redresse debout, déboutonnant à mon tour mon jeans que je retire entièrement. Une fois en sous-vêtement, je m’écarte du lit pour laisser le regard de John désirer mon corps. Je me dirige nonchalamment vers ce qui me semble la salle de bain. Je pénètre à l’intérieur, trouvant facilement la lumière. Je retire mon soutif pour le lancer en dehors de la pièce. Son vol se termine sur le coin du lit puis je lance sensuellement une requête à John. « Tu viens me rejoindre? » À voir sa musculature, son âge qui lui a fait acquérir de l’expérience sexuel et son membre bien dur, je n’ai qu’une seule envie… Baiser sous la douche. Je me penche pour allumer la douche, choisissant la température parfaite pour notre petite escapade nocturne.

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Caroline & John.

T'as toujours aimé jouer avec les gens, surtout lorsqu'il s'agit des femmes. La soirée ne fait que commencer malgré le fait que l'aube soit pratiquement en train de se lever. Le taxi se gare en bas de ton immeuble. Tu le règles en lui tendant un billet de vingt dollars. Un simple merci de sa part et le voilà déjà partis. T'attrape la main de Caroline et la conduit jusqu'à chez toi en faisant le moins de bruit possible. T'as un peu honte de lui présenter ton appartement dans lequel il est actuellement. Ce n'était absolument pas prévu qu'elle vienne passer la soirée chez toi mais ça ne te déplait pas, bien au contraire. Tu claques la porte avant de tourner la clé dans la serrure. Des fringues, des boite de pizza, des cannettes de bière trainent ici et là de ton appartement. Aussi étrange que cela puisse paraitre, l'évier de ta cuisine est vide et propre. La poubelle est également vidée. C'est rare alors il faut le souligner. Tu poses ta veste, ton téléphone et tes baskets dans un coin de l'entrée. Sans laisser le temps de la laisser en placer une, tu l'attrapes par la taille. Son corps vient se coller contre le tien, tes bras encerclent la taille de la demoiselle. Tes lèvres viennent se poser sur les siennes. Tu la fais reculer jusqu'à ta chambre. Une pile de fringues qui trainent par terre vous fait trébucher sur le lit. Un rire s'échappe de tes lèvres. Sans perdre plus de temps, tu commences à faire voler le haut de la demoiselle sur le sol de ta chambre. Tu découvres la beauté de ses sous-vêtements et t'en exclames à voix haute. Tes lèvres reprennent possession de celles de Caroline. Tes mains caressent la moindre parcelle de sa peau en la découvrant en même temps. Elle est tellement belle. Tu n'éprouves aucun regret à l'avoir laisser attendre l'heure de fermeture afin de la ramener chez toi. T'as même totalement oublié les trois jours de mise à pieds que tu viens d'avoir à cause de la demoiselle à moitié dénudée qui se trouve en-dessous de toi. Plus un mot ne sors de vos bouches. Très vite, elle commence à te déshabiller à son tour. Ton tee-shirt rejoins le sien sur le plancher de ta chambre. Tu te retrouves sur le dos, Caroline au-dessus. Ses caresses te font frissonner. Vos lèvres ne se lâchent plus. Tes mains posées sur ses hanches, tu la laisses prendre les commandes. Du moins, pour le moment. En moins de temps qu'il en faut pour le dire, ton jean et le sien se retrouvent eux aussi par terre. Allongé sur le lit, tu l'observes alors qu'elle se trouve à quelques mètres de toi. Sourcils froncés, tu te demandes bien ce qu'elle attend. Elle s'éclipse de la chambre. Deux secondes plus tard, tu vois son soutien gorge voler à travers la pièce. Elle est donc joueuse. "J'arrive princesse !" Petit surnom qui te fait sourire. Tu la retrouves à la salle de bain en moins de trente secondes. Lorsque t'arrives à la salle de bain, Caroline est penchée dans la douche. Tu viens mettre tes mains sur ses hanches et l'embrasser dans le dos. Tu la fais entrer dans la douche. Ton corps se colle au sien. L'eau chaude coule sur vous. Vos lèvres entrent de nouveau en contact et tu ne la lâches plus. "Je ne te savais pas si coquine !" Tu ne la connais pas du tout, du moins pas pour le moment. T'as pour habitude de baiser les femmes dans ton lit. Rares sont celles qui acceptent la douche, à moins que ça ne soit le lendemain matin avant que tu ne les renvoies de ton appartement. Tu te frottes lentement à elle et, sans qu'elle ne s'y attendre, tu viens te loger en elle. Sensation de bien-être qui s'empare de toi. Tu fais de lents mouvements de vas et viens en elle, en même temps que tes lèvres continuent d'embrasser les siennes.

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ft. John Williams [Flashback, 1 year ago]

« J'arrive princesse ! » Je me débarrasse de ma petite culotte avant de me repencher pour ajuster l’eau. John arrive par derrière, déposant ses mains sur mes hanches et embrassant mon dos. Son corps contre le mien me fait frissonner à nouveau. Une fois complètement nue, il m’invite à rentrer dans la douche, sous le jet d’eau chaude. Nos deux corps se retrouvent dans cette petite boîte d’eau chaude, se trémoussant l’un contre l’autre. Nos bouches se retrouvent rapidement, échangeant de nombreux baisers langoureux. « Je ne te savais pas si coquine ! » Je lui souris. « Je suis une femme pleine de surprise John… » Dis-je dans un souffle avant de m’emparer de sa bouche. Je sens la verge de John se loger au fond de moi. Je le fixe avec un large sourire en ressentant le plaisir me conquérir. Il commence à faire des mouvements lents de va et vient, m’embrassant de nouveau. Je soulève ma jambe droite pour faciliter la pénétration, passant mes bras autour du coup de John pour garder l’équilibre. On garde cette position pendant de longues minutes, n’augmentant pas la cadence de nos mouvements. Cette délicatesse me fait perdre la tête tellement chaque coup de bassin de la part de John sont exquis. Je me retire doucement, empoignant son sexe entre mes mains pour continuer de lui faire plaisir pendant que je change de position. Je prends le temps de l’embrasser, lui mordillant la lèvre inférieur, avant de lui faire dos. Je me penche légèrement vers l’avant et réinsère le membre de John en moi. Je poursuis le mouvement de va et vient au même rythme que nous avions tout à l’heure. Je colle mes mains contre la céramique froide et mouillée du bain, gagnant en stabilité lorsque les coups de John commencent à se faire insistants. Un petit cri de plaisir s’échappe de mes lèvres. Les paupières fermées, je me laisse envahir par cette sensation incomparable. Ce mec est un très bon candidat. Je dirais même une conquête de choix. Ce n’est pas compliqué, tout se fait dans un naturel électrisant. Je sais que son âge fait en sorte qu’il a de l’expérience, qu’il sait comment faire plaisir aux femmes. Je me sens choyée de pouvoir échanger une nuit torride à ses côtés. Je me redresse, collant mon dos contre son torse et plaçant mon bassin pour que John continue de me faire l’amour. Je tourne légèrement, enfouissant mon visage contre sa joue, cherchant ses lèvres à nouveau. Un autre baiser langoureux et ses mains qui se baladent sur mon corps me fait frémir. Je rapproche ma bouche de son oreille. Je réussi à lui chuchoter entre un court gémissement. « John… C’est tellement bon. »

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Caroline & John.

En arrivant dans la salle de bain, tu laisses tomber ton boxer sur le sol. Mains posées sur les hanches de la jeune femme, tu la pousses dans la cabine de douche. L'endroit est un peu étroit certes mais tant pis. Ton corps se colle à celui de la jeune femme. Vos lèvres ne tardent pas à se retrouver, échangeant des baisers tous plus passionnés les uns que les autres. « Je suis une femme pleine de surprise John… » Un large sourire sur ton visage, tes mains viennent la caresser sensuellement. L'eau chaude qui coule sur toi est tellement agréable. "Et ça me plait !" Dernier baiser sur ses lèvres avant de venir te loger en elle, tout en douceur. Ton regard est plongé dans celui de la demoiselle. Tu la dévores du regard en entamant les vas et viens en elle. Inutile d'accélérer la cadence. Tu lui fais l'amour avec douceur et envie. La nuit est à vous. Tu prends donc ton temps d'aller et venir en elle. Chacun de tes coups de rein déclenchent en elle des râles de plaisir. Tes gémissements viennent se mêler au sien. Tu viens la prendre dans tes bras, la plaquer contre la paroi de la cabine de douche et accélère un peu plus fort tes coups de reins. Tes baisers se perdent sur sa poitrine. Tu lui mordilles légèrement sa lèvre inférieure. Caroline jouit rapidement. Tu te retires d'elle pendant qu'elle se charge de caresser ton membre toujours assez dur et qui n'en a pas encore terminé avec elle. Dos à toi, ses mains sont posés sur la paroi carrelée ta douche. Tu viens t'enfoncer une seconde fois en elle. Rares sont les femmes que tu as pris de cette manière. Au fur et à mesure que le temps s'écoule, tu apprends à connaitre Caroline et ce que tu découvres d'elle te fait vraiment très plaisir. Elle n'a pas froid aux yeux et sait très bien ce qu'elle veut. Tes mains sur ses fesses, tu commences à aller et venir en elle. Tous les deux, on croirait voir un couple qui consume leur amour. Ce n'est absolument pas le cas. Caroline est juste une amante d'une nuit, même si renouveler cette soirée ne te poserais aucunement un souci. Caroline est une très bonne amante qui n'a pas peur d'expérimentée de nouvelles expériences. Vos gémissements remplissent l'entièreté de ta salle de bain et, d'un coup, vous venez jouir en même temps. Tu la retournes. Ton corps, encore tremblant de désir pour elle, se retrouver coller contre celui de la brunette. Un nouveau baiser fougueux est échangé. « John… C’est tellement bon. » Tu souris et caresses sa joue. "J'aime réaliser tes fantasmes !" Tu viens l'embrasser avant de couper l'eau et sortir de la douche. Tu lui tends une serviette propre et enroules la tienne autour de ta taille. Main dans la main, vous revenez à ta chambre. Sur le plancher, c'est l'apocalypse. Vos vêtements sont emmêler les uns aux autres. Allongé sur le lit, tu viens la tirer contre toi. Bras autour de sa taille, tu l'embrasses encore et encore. Impossible de te passer de ces baisers. "J'espère avoir été à la hauteur de tes attentes. En tout cas, toi tu l'as été !" Ta main se perd sous sa serviette. Tu caresses chaque parcelle de sa peau que tu peux atteindre. Lui retirant sa serviette, tu te glisses au-dessus d'elle en embrassant son corps. La fatigue n'est pas encore arrivée. Ton regard se perd dans le sien tandis que tes mains la caressent toujours plus sensuellement. "Il te reste un peu de force pour un second round ?" Petit air de défi sur le visage, ta bouche s'amuse avec l'un de ses seins.

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ft. John Williams [Flashback, 1 year ago]

Cet échange charnel est considérablement une expérience délectable. Mon dos plaqué contre son torse, je me repenche vers l’avant pour laisser John m’agripper par la taille. Un flot de va et vient intense s’en suit. Je ne peux retenir mes gémissements, se mêlant au râlement de John. Nos sons s’unissent et se répercutent contre les parois du mur, créant un écho. Je me laisse gagner par le plaisir qui me submerge et échappe un petit cri libérateur suite à mon orgasme. Je sens John extirper son membre de moi avant de jouir à son tour. Il y a ce respect mutuel entre deux inconnus qui ont une partie de plaisir. Toujours faire attention de ne pas répandre sa semence dans la femme. Il y a beaucoup trop d’histoire choquante d’enfant conçu par accident qu’il est hors de question que je me laisse faire. Mais John a eu l’intelligence émotionnelle de se retirer avant d’éjaculer. Il me reprend dans ses bras pour m’embrasser. Ensuite, il coupe l’eau et sort de la douche pour me tendre une serviette. Je prends le temps de retirer toutes les gouttelettes d’eau qui se sont incrusté sur ma peau. Après avoir asséché mes cheveux, j’enroule la serviette autour de ma poitrine. John prend ma main et m’attire sur son lit. Je sourie en découvrant l’état de la chambre. Elle était déjà en désordre, mais avec nos vêtements jonchant le sol ici et jà, c’est très drôle à voir. Il s’allonge sur le lit et m’attire contre lui. Nos lèvres se retrouvent. « J'espère avoir été à la hauteur de tes attentes. En tout cas, toi tu l'as été ! » « Si tu savais à quel point je suis satisfaite en ce moment.. Tu n’avais même pas à poser la question. Mon index se promène sur ses lèvres, puis chatouille son torse. John retire ma serviette, parsemant mon corps de baisers. La fièvre s’éprend de moi instantanément. Il me fait de l’effet comme peu d’homme on réussit à m’allumer. « Il te reste un peu de force pour un second round ? » Dit-il tout en mordillant la pointe durcit de mon sein. J’acquiesce tout en me cambrant sous les frissons qui parcourent mon corps. Sa bouche et ses mains se permettent de caresser ma peau brûlante de désir. J’empoigne son menton pour l’attirer jusqu’à ma bouche, plaquant mes lèvres contre les siennes. De mon autre main, j’agrippe son membre en constatant qu’il est toujours aussi rigide et réveillé. Je masse son entre-jambes, poussant John pour prendre le dessus. J’adore mener la dance lorsque j’ai un partenaire ouvert. Tout doucement, je me fraye un chemin jusqu’à sa verge, bécotant sa peau ici et là. Lorsque ma bouche frôle son sexe, je le le regarde pour voir sa réaction lorsque j’engouffre son membre dans ma bouche. Il est bien proportionné, parfait pour que je puisse m’amuser longuement avec mon nouveau jouet. Je prends un malin plaisir à sucer mon partenaire, entourant ma main autour de sa verge pour compléter mes mouvements de va et vient. Une fois satisfaite de mon travail, je remonte tranquillement mon corps, jusqu’à ce que mon entre-jambes retrouve le sexe de John. À califourchon par-dessus lui, j’insère en moi son bâton du plaisir. Assise sur lui, je me cambre vers l’arrière sous l’effet du plaisir. Mes longs cheveux bruns touchent le haut de mes fesses. Tout doucement, je commence à sautiller sur place pour reprendre le plaisir que nous avions eu durant notre séance dans la douche…

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Caroline & John.

Cet échange charnel avec Caroline est vraiment agréable. Deux fois de suite dans la douche, l'eau chaude qui coule sur vos deux corps s'unissant à la perfection. Ton bassin claque contre les fesses de la demoiselle. Vos gémissement se mêlent les uns aux autres, remplissant entièrement ta petite et modeste salle de bain. L'orgasme s'empare de vous en même temps et, dans un puissant râle de plaisir, tu jouis le prénom de ta dulcinée d'un soir. Il n'est pas question de jouir en elle, tu te retires donc rapidement d'elle afin de ne pas déverser ta semence en elle. Tu le retournes pour avoir le plaisir de la contempler. Elle est tellement belle. Tu te sens tellement chanceux qu'elle aie attendue durant toute la soirée l'heure de la fermeture du bar. D'un coup, ta mise à pieds te semble loin, très loin. T'aurais bien le temps d'y penser à partir de demain et puis, c'est quoi trois jours dans une vie ? Ce n'est pas grand chose, on est bien d'accord ?! Il n'était pas question de la laisser en plan avec ces verres. T'es pas le genre d'homme à refuser de relever un défi, surtout face à une demoiselle telle que Caroline. Tu le savais que t'allais faire une connerie en acceptant les deux verres qu'elle a pu te proposer, tu le savais mais rien à faire, tu les as bu et en ce moment, tu n'éprouve aucun regret. Surtout pas après ce petit épisode baise intense à l'intérieur de ta douche.
Allongé sur le lit, Caroline collée contre toi, tu laisses tes mains vagabonder avec plaisir le long du corps de la demoiselle. « Si tu savais à quel point je suis satisfaite en ce moment.. Tu n’avais même pas à poser la question. Tu souris. Sa réponse te satisfait amplement mais elle a raison, tu n'avais pas besoin de lui demander. Ses gémissements ont parlés pour elle. "Et moi dont ! T'es la meilleure amante que j'ai eu jusqu'à présent !" Et pourtant, elle ont été nombreuses à passer dans ton lit. Rares sont celles qui ont eu l'audace de proposer de le faire dans un lieu aussi insolite que ta cabine de douche. Tu viens l'embrasser en laissant tomber sa serviette sur le sol. Tes lèvres embrassent la moindre parcelle de sa peau qu'elles peuvent atteindre. Tes mains, la caressent sensuellement. "J'imagine donc que coucher avec un homme de trente-sept ans ne te dérange pas ?" Tu n'attends pas spécialement une réponse de sa part. T'es bien trop occupé à mordiller l'un de ses seins. Elle réagit parfaitement au moindre contact de ta peau contre la sienne. Tu gémis son nom lorsqu'elle vient prendre ton membre toujours dur dans sa main. Tu roules sur le dos, Caroline se retrouve sur le dessus. Vue non loin d'être déplaisante, au contraire. Mains sur ses hanches, tu la laisses s'occuper de ton membre. Yeux fermés, tu gémis lorsqu'elle vient s'amuser avec ce dernier. "Bordel Caro .." Tes doigts serrent fortement les draps de ton lit. Aucune femme ne t'as fait ce genre de choses encore. Ça te plait. Cinq minutes passent et tu jouis son prénom, lui tirant la main pour qu'elle se recule afin de ne pas que sa bouche soit remplie par ta semence. Tu l'aides à se positionner sur toi, à califourchon. Tes mains titillent légèrement ses seins tandis que ton bassin bouge à l'unisson avec celui de la brunette. Elle tente de prendre les commandes mais tu viens donner un fort coup de bassin afin de lui montrer que c'est toi qui pilote cet acte charnel. Ton bassin claque contre le sien. Le temps semble s'être arrêté juste pour vous laisser profiter au maximum de ce moment de plaisir. Tu viens jouir une nouvelle fois le prénom de la demoiselle et la fais descendre de toi, encore une fois tu refuses de la salir avec ta semence. Les yeux rivés sur le plafond, tu reprend lentement ton souffle. "Quelle soirée .." C'est tout ce que tu trouves à dire. Tes lèvres viennent encore une fois rencontrer celles de la demoiselle. Coup d'oeil sur le radio réveil posé sur la table de nuit, cinq heures. La lueur du jour commence à pointer le bout de son nez. La fatigue également, d'ailleurs. Main posé sur son sein, tu plonges ton regard dans le sien. "Tu restes dormir .. ?" Pas envie de la laisser rentrer chez elle. De toute façon, vous devez aller chercher vis bécanes demain, à votre réveil.

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ft. John Williams [Flashback, 1 year ago]

Le commentaire sur son âge m’a fait longuement sourire. Je n’ai aucun jugement sur le fait qu’il soit plus vieux que moi. Au contraire, il est doué avec toute l’expérience qu’il a accumulée avec les années. Ce n’est certainement pas moi qui vais se plaindre. Je luis fais rapidement comprendre que non, cela ne me dérange en aucun cas, en lui faisant plaisir avec ma bouche. Satisfait, John m’aide à me positionner par-dessus-lui. J’empoigne son membre pour le faire pénétrer en moi, prête à une dernière partie de plaisir. Je commence à me mouvoir sur son bâton rigide, jusqu’à ce qu’il décide de prendre le contrôle de notre dernière baise. Ses mains se promènent sur ma poitrine, agrippant mes seins, pour ensuite terminer leur route sur mes hanches. Ses coups de bassin sont si profond que je ressens un plaisir incommensurable m’envelopper. La cadence augmente et John finit par jouir une dernière fois, prenant soin de m’extirper de lui avant d’éjaculer. Je me laisse choir doucement à ses côtés, nettoyant sa semence avec un mouchoir qui termine rapidement dans la poubelle. Je me colle contre cet homme impressionnant, reprenant tranquillement mon souffle. « Quelle soirée .. » J’acquiesce en souriant légèrement, étreignant mon partenaire pour me blottir d’avantage contre son corps chaud. Ses lèvres me volent un doux baiser tandis que sa main se réfugie sur ma poitrine. Je ferme les paupières et profite de cette proximité charnelle entre deux corps. Il est rare pour moi de partager ma nuit avec un homme et ce n’est jamais déplaisant de rester coller à quelqu’un durant le sommeil. « Tu restes dormir .. ? » Un simple « Mmmh… » sonore réussit à franchir mes lèvres. Je suis épuisée, alors il est impératif que je dorme ici. En moins de deux, je m’endors, collé contre John.

*****

Je me réveille doucement, découvrant toujours une main contre ma poitrine. Je souris en découvrant John qui dort à point fermé. Son visage tout près du mien, j’embrasse délicatement son front. Le contact de mes lèvres sur sa peau le fait changer de position. Je le contemple longuement, jusqu’à ce que mon ventre hurle famine. Je cherche ma petite culotte à tâtons dans la pièce, l’enfilant aussitôt qu’elle me passe sous les doigts. Je vais me rafraîchir rapidement à la salle de bain avant de traverser la chambre de John. Je fouille dans ses tiroirs, lui volant un t-shirt pour me couvrir. J’attrape mon cellulaire et quitte la chambre en jetant un coup d’œil à mon compagnon de nuit qui dort encore paisiblement. Une fois dans la cuisine, je me permets d’ouvrir le frigo pour regarder ce qu’il y a à l’intérieur. Pas grand-chose, mais je suis capable de faire un bon petit déjeuner avec ce qu’il a. Je vais sur l’application Spotify et j’écoute une liste de musique pour m’accompagner durant que je vais avoir les mains à la pâte. Je m’assure de ne pas mettre le volume trop fort pour ne pas réveiller John. Je commence à cuisiner, fouinant dans les armoires pour trouver tout ce dont j’ai besoin pour concocter une omelette. Après une dizaine de minute de coupage de légumes et de préparation, je fais cuire mon omelette sur le fourneau. La bonne odeur se répand dans l’appartement de John. Il m’arrive parfois de danser sur place, ne me souciant aucunement que John puisse démarquer d’une minute à l’autre dans sa cuisine. D’ailleurs, je ne remarque même pas son arrivée, continuant de monter les assiettes pour faire une belle présentation. Je me dandine les fesses d’un côté et de l’autre puis je goûte à mon déjeuner. J’acquiesce dans le vide, validant la bonne saveur de mon plat. Je suis complètement dans ma bulle, ne me rendant aucunement compte que je me fais épier depuis quelques minutes.

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Caroline & John.

Tu ne comprends pas les gens qui se sentent complexés par leur âge. Le tien n'a jamais été un réel problème. T'assume très bien avoir presque quarante ans. Contrairement à ce que certains peuvent penser, ce n'est pas la fin de la vie. Au contraire, c'est un nouveau départ. C'est ici que tout est possible encore. Certes, ton coeur est malade mais ça ne veut pas dire que tu ne peux pas faire ce dont tu as envie. Après tout, tu ne te prives pas de pratiquer la boxe de manière illégale. Personne ne le sait. C'est ton petit secret. T'aime cette sensation d'avoir le contrôle sur ta vie en filtrant ce que tu confies à tes proches. Même ta meilleure amie ne connait pas tout de toi. Tu souhaite garder une part de mystère, un petit jardin secret. Ce soir, il n'est pas l'heure aux grandes confidences. Toutefois, tu confies à la demoiselle qui est en train de se mouvoir sur toi que tu ne regrettes pas de l'avoir fait attendre ce soir. Il n'est pas polis de faire attendre une dame mais parfois, on a pas le choix. La soirée défile à une vitesse ahurissante. La nuit est déjà bien avancé et bientôt l'aube commencera à pointer le bout de son nez. Quatrième fois que tu jouis de plaisir en murmurant le prénom de la demoiselle. Tes voisins ont dû passer une agréable nuit grâce à Caroline et toi. Tu ne t'excuseras pas pour la gêne occasionnée lorsque tu viendras à les croiser dans la cage d'escalier. Tous les deux épuisés, vous rejoignez les bras de Morphée en un rien de temps. Ton bras encerclant la taille de la demoiselle. Le reste de la nuit est calme, paisible. Aucun bruit extérieur n'est à déclarer. Pas de klaxon, pas de sirènes de police ou de pompier. Pour la première fois depuis un long moment, tu dors à poings fermés. Rien, ni personne ne parviendrait à te réveiller. Tu n'as pas pour habitude de dormir aux côtés des femmes que tu ramènes chez toi. Elles partent aussi vite qu'elles sont arrivés, une fois qu'elles ont eu ce qu'elles désiraient. Dormir aux côtés de Caroline te fait plaisir mais c'est aussi un peu bizarre quand même. L'impression de former un couple avec la jeune femme. Or, ce n'est clairement pas le cas.
Le lendemain, lorsque tu te réveilles, t'es un peu surpris de constater que Caroline ne se trouve plus dans le lit à tes côtés. Sur le sol, ses vêtements trainent encore. Ouf, elle est encore chez toi. La salle de bain peut-être ? Ou bien la cuisine. À l'aide d'une de tes mains, t'attrapes ton boxer et l'enfile aussitôt. D'un bond, tu te retrouves sur tes deux pieds. Tu passes devant la salle de bain, la lumière est éteinte. Non, elle n'est pas là. De petits bruits se font entendre dans ta pièce à vivre. Un sourire se dessine sur ton visage lorsque tu arrives au milieu du salon et découvres la demoiselle dans ta cuisine. "T'as pris tes marques à ce que je vois !" T'admire sa petite danse. Elle est sublime dans ton tee-shirt, il lui va comme un gant. Ses fesses se dandinent pour ton plus grand plaisir. Une bonne odeur d'omelette se répand dans tout le salon. T'es assez compliqué en cuisine mais si l'on te fait des pâtes ou une omelette, c'est bon t'es content. Il en faut peu pour te rendre heureux. "ça sent bon dis-moi ! Une amante parfaite, une cuisinière au top. Il m'en faudrait pas plus pour t'épouser." Ce n'est qu'une plaisanterie, bien évidement. T'es pas prêt à te marier et surtout pas avec une femme rencontré la veille dans un bar. Passant derrière elle, tu ne te gênes pas pour taper gentiment ses fesses. Tu viens te faire couler un café. Impossible pour toi de commencer une journée sans ta dose de caféine. "T'en veux un ?" Tu lui tournes le dos en ne sortant qu'une seule tasse tant que tu n'as pas sa réponse. T'es tout de même assez étonné de la voir encore chez toi.

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ft. John Williams [Flashback, 1 year ago]

Concentrée à me dandiner les fesses et à terminer ma recette d’omelette, je n’aperçois pas John dans le salon. « T'as pris tes marques à ce que je vois ! » Je sursaute en entendant sa voix, me retournant vers John pour lui esquisser un sourire. Il est beau. D’une beauté qui me donne des frissons. Je parcours mon regard sur sa musculature, m’attardant sur son boxer quelques secondes. Je me mords la lèvre inférieure. C’est normal de désirer un inconnu? Peut-être que oui, mais c’est clairement pas catholique. Je n’ai pas eu beaucoup de conquête, juste assez pour dire que j’ai profité de ma jeunesse. Cela faisait un certain temps que je n’avais pas partagé le lit d’un mec. Ça ne m’a pas déplu au contraire, j’en redemanderais encore. « Ça sent bon dis-moi ! Une amante parfaite, une cuisinière au top. Il m'en faudrait pas plus pour t'épouser. » « Je t’assures, tu ne voudrais pas de moi comme épouse… » Je lui fais un clin d’œil, riant de bon cœur par la suite. Je me connais trop bien pour savoir que je ne suis pas vraiment compatible avec personne. Jusqu’à maintenant, je n’ai eu que des aventures. Rien de ben sérieux. J’ai 26 ans et je n’ai toujours pas trouvé l’amour. Dois-je m’inquiéter? Toutes les filles de mon âge sont présentement enceintes, mariées et ont une maison. Pour l’instant, j’ai la maison… S’en suivra sûrement le mec et les marmailles un jour. Je termine les derniers préparatifs du petit déjeuner tandis que John se faufile derrière moi, tapant mes fesses au passage, pour se diriger vers la cafetière. « T'en veux un ? » Je jette un coup d’oeil par-dessus son épaule pour regarder ce qu’il fait. Je me glisse derrière son dos, passe mes bras autour de sa taille pour me blottir contre lui. « Oui, je prendrais bien ma petite dose de caféine, histoire de bien me réveiller… Même si je connais un truc infaillible pour avoir de l’énergie pour le restant de la journée. » J’embrasse le haut de son dos, promenant mes mains sur son torse dénudé. Ma main droite descend plus bas, caressant délicatement le sexe endormi de mon partenaire. Puis je me décolle doucement, jouant un peux l’agace. Je m’assoie sur le comptoir pour faire face à John. Je prends mon assiette pour commencer à manger. « Deux sucres stp! Je prends une grosse bouchée de mon omelette en faisant un long Mmmmhh. C’est délicieux! Je ne suis pas une chef cuisinière, mais j’ai toujours su me débrouiller. « Alors Johnny Boy… Dit-moi, t’as des enfants? T’es déjà grand-père? » Je me mets à rire en voyant sa réaction. Je ne peux m’empêcher de le taquiner avec son âge. Le pire dans tout cela, c’est que s’il ne m’avait pas avoué son âge, je n’aurais jamais douté qu’il approchait la quarantaine. Il est en forme, beau comme un cœur, jeune d’esprit. « Plus sérieusement, parle-moi un peu de toi, j’ai envie de connaître l’histoire du mec avec qui j’ai passé une excellente soirée hier… » Je croise les jambes, installant mon assiette sur ma cuisse. Je suis confortable et toute ouïe, prête à écouter le récit du beau grand brun.

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Caroline & John.

Cela doit faire cinq bonnes minutes que tu te trouves accoudé au bar délimitant la cuisine du salon. Un sourire aux lèvres, t'observes Caroline qui se met à exécuter une petite danse au beau milieu de ta cuisineton regard se pose sur les fesses de la jeune femme qui se dandine sans même savoir que tu te trouves derrière elle. Ce n'est que lorsque tu lui fais une petite réflexion qu'elle comprends qu'elle est observé. Il est rare que tes conquêtes de la nuit précédente reste afin de te préarer le petit déjeuner. Caroline est même la première à le faire. Il ne faudrait pas qu'elle le fasse à chaque fois, t risquerais d'y prendre gout. La dévisageant de haut en bas, tu la trouves vraiment très attirante. Encore plus lorsque la jeune femme porte l'un de tes tee-shirt. "Ils te vont bien mieux qu'à moi !" T'arrive près d'elle et passes tes mains sur ses hanches. Rares sont les fois où tu fais de la vraie cuisine. Pour une fois, cette pièce porte très bien son nom et puis, ça sent terriblement bon. T'en as presque l'eau à la bouche. « Je t’assures, tu ne voudrais pas de moi comme épouse… » Un petit sourire aux coins des lèvres. Tu ne comprends pas pourquoi elle dit ça mais elle ne voudrait certainement pas de toi comme époux non plus. T'es de très loin être le gendre idéal. "Ce n'est pas d'une épouse que j'ai besoin mais plutôt d'une amante qui n'a pas froid aux yeux. Et tu sembles être la candidate idéale." Elle est surtout la seule candidate, du moins pour le moment. Effleurant les fesses de Caroline, tu passes derrière et commence à faire couler ton café à l'aide de cette machine à dosettes que tu t'es offerte il y a peu de temps. T'as voulu tenter l'entrée dans la modernité et dire au revoir à ta vieille machine à café. La jeune femme s'en vient derrière toi, mettant ses bras autour de ta taille. Un frisson te parcoure la colonne vertébrale de haut en bas. Tu te retournes et viens lui dérober un baiser. Tes mains se glissent sur ses fesses en les pinçant légèrement. "Je suis partagé entre le fait de déguster ce succulent petit-déjeuner que tu nous as préparé et le fait de te satisfaire dès le réveil." Tes lèvres descendent dans son cou en le mordillant légèrement. "Il ne faudrait pas que tu m'oublies." Tu lui murmures doucement à l'oreille. Caroline fait tout ce qu'il faut pour t'exciter. Il n'en faudra pas plus pour te mettre au garde à vous. Elle vient s'assoir sur ton bar en commençant à manger. « Deux sucres stp! " Tu t'exécute et lui sers son café avec deux sucres. Tu te prépares la même chose. Adossé contre le l'évier de la cuisine, tu te tiens en face d'elle. "Cette omelette est un régal. Sûrement la meilleure omelette que j'ai jamais mangé !" Un sourire sur tes lèvres, le plaisir charnel attendra. Même la nourriture passera toujours avant. « Alors Johnny Boy… Dit-moi, t’as des enfants? T’es déjà grand-père? » Tu ne peux t'empêcher de rire malgré le fait que t'en es plein la bouche. Rares sont les fois où tu parles de toi à tes conquêtes d'une nuit, toutefois tu fais exception face à Caroline. "Au risque de te décevoir, je n'ai pas d'enfants. Ni enfant, ni femme. Mais ça t'as dû le constater en arrivant ici hier soir !" Ton appartement ressemble plus à une garçonnière qu'à un lieu de vie habitable. Il est clair que lorsqu'on pose les pieds pour la première fois chez toi, on peut très clairement voir qu'aucune femme ne vit ici. « Plus sérieusement, parle-moi un peu de toi, j’ai envie de connaître l’histoire du mec avec qui j’ai passé une excellente soirée hier… » Il n'y vraiment rien à dire d’intéressant sur toi. On ne parlera pas de famille, elle se résume principalement à un père et une mère. Un père que tu refuses de voir et une mère qui te reconnait à peine. Côté coeur, c'est le néant le plus total. Il n'y a que le travail qui semble bien aller dans ta vie mais là encore, tu ne prends rien pour acquis. Tout peut très vite basculer. "Y'a pas grand chose à dire tu sais. Célibataire. Je refuse tout attachement à une femme. Côté famille, jme considère comme orphelin.. Et tu sais déjà que je suis barman. Tu ne vois pas quoi rajouter d'autres. En trois coups de fourchette, tu termines ton assiette et vient entamer ta tasse de café. "Ah si, je suis un accro à la caféine et au sexe." Un regard coquin sur le visage, tu t'approche et viens poser son assiette plus loin sur le bar. Tu passes ta main dans sa petite culotte et commence à plonger un doigt en elle. Tes lèvres embrassent son cou en venant mordiller sa lèvre inférieure doucement.

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ft. John Williams [Flashback, 1 year ago]

« Au risque de te décevoir, je n'ai pas d'enfants. Ni enfant, ni femme. Mais ça t'as dû le constater en arrivant ici hier soir ! » En effet, en un seul coup d’œil, il était évident que John habitait seul. À moins que sa femme est pris une semaine de vacance ou qu’il l’ai caché dans le garde-robe. Je lui demande plus sérieusement de me parler de lui, curieuse d’en apprendre davantage à son sujet. « Y'a pas grand chose à dire tu sais. Célibataire. Je refuse tout attachement à une femme. Côté famille, j’me considère comme orphelin.. Et tu sais déjà que je suis barman. » Wow… Résumé bref et concis. Je m’interroge sur le son refus d’attachement aux femmes. Son cœur a souffert pour une meuf et depuis, il ne s’ouvre plus facilement? Et pourquoi se considère-t-il comme un éternel orphelin. Je fais la moue, triste sous ses révélations, mais je n’ose pas m’aventurer plus loin dans ce genre de conversation. Je vois bien qu’il est fermé et que ce genre de discussion ne mènera nulle part. « Ah si, je suis un accro à la caféine et au sexe. » Sa révélation m’arrache un sourire. Il s’approche de moi, sourire coquin aux lèvres. Il dépose son assiette derrière moi et j’en fais tout autant. J’ai comme l’impression que notre soirée d’hier n’est pas terminée. Collé contre moi, il promène sa main sur mon entre-jambe pour écarter ma petite culotte et m’insérer un doigt. J’écarquille les yeux sous la surprise avant qu’il ne m’embrasse, mordillant ma lèvre inférieure. Je lui retourne son baiser en passant mes bras autour de son cou, le laissant jouer avec mon plaisir à sa guise. Je cambre ma tête vers l’arrière, sentant mes pointes durcir sous l’effet de l’excitation. Doucement, je glisse ma main dans son boxer pour agripper son membre bien dur. Un sourire s’installe encore une fois sur ma bouche. Quel bonheur de pouvoir partager quelques folies avec un complice tel que John. Je retire ma petite culotte, la trouvant de plus en plus encombrante, pour la laisser tomber sur le sol de la cuisine. Puis j’incite John à en faire autour en essayant de descendre son boxer le long de ses jambes. Une fois libéré de nos sous-vêtements, je me couche un peu plus sur le comptoir pour faciliter la pénétration du sexe de John dans mon entre. Je le guide légèrement entre mes jambes vue que la position est un peu plus complexe. Ensuite, je le laisse m’asséner des coups de bassin qui me fond lâcher quelques hoquets de plaisir. « Bordel John…» La cadence est rapide à m‘en faire perdre la tête. Je le pousse légèrement avec mon pied pour qu’il sorte de moi, me permettant de descendre du comptoir qui n’est pas très confortable. Une fois debout, je retire mon t-shirt pour me retrouver complètement nue, je me colle contre lui puis approche ma bouche de son oreille. « Baise moi John… » Je veux et j’exige une autre partie de jambes en l’air torride avec ce mec. Qu’il me fasse jouir encore et encore et encoooore…

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Caroline & John.

Rares sont tes conquêtes d'une nuit qui souhaite rester chez toi après avoir eu ce qu'elles voulaient et, qu'on se le dise, ça t'arrange bien. Caroline ne semble pas vouloir partir, elle a même préparée une omelette pour le petit déjeuner. Cette pièce n'a jamais aussi bien porté son nom que ce matin. Tu ne cuisines quasiment jamais. Tu te contentes de te commander à manger ou bien de faire réchauffer un plat au micro ondes. Rares sont les fois où tu prends le temps de réellement cuisiner. Il te faut une très bonne excuse pour le faire. Ce matin c'est avec plaisir que tu retrouves la jeune Caroline dans ta cuisine. Elle est vêtue de sa petite culotte et de ton tee-shirt lui en arrivant à la limite de son postérieur. Tout en dégustant l'omelette qu'elle t'as concocté, tu lui parles brièvement de toi. Tu ne sais pas encore si elle va rester dans ta vie longtemps ou si dès aujourd'hui, elle en sortira aussi vite qu'elle y est rentrée. Pour le moment, t'estimes que la demoiselle n'a pas besoin d'en savoir plus que ça sur l'homme que tu es. Tu verras bien comment votre relation évolue dans l'avenir. La jeune femme ne dit rien. Elle se contente de manger sa part d'omelette. Un sourire coquin aux lèvres, tu pose mon assiette sur le plan de travail derrière elle et t'approche de la brunette. Baladant ta main vers son intimité, tu te permet d'enfoncer un doigt en elle. Caroline ne tarde pas à réagir et sa façon de le faire te plait beaucoup. Au niveau du plaisir charnel, vous êtes en parfait osmose. Vous vous complétez parfaitement. Tes lèvres se mettent à prendre possession des siennes et tu l'embrasses passionnément. Mordillant sa lèvre au passage. Tu sais que cette relation est sans attache. Du moins, elle l'est de ton côté. Caroline s'agrippe à toi, tu viens la serrer d'avantage contre toi. Tes baisers quittent ses lèvres et viennent s'amuser à titiller ses seins. Ton membre est déjà bien dur lorsqu'elle se saisit de ce dernier pour jouer avec. Tu n'as pas envie de la laisser partir de ta vie. Pas question qu'elle devienne ta petite amie, juste une amante régulière. La première depuis ces dernières années. Lentement, sa petite culotte et ton boxer rejoigne le sol. Caroline est prête à te recevoir. Sans plus attendre, tu viens te loger en elle et pousses un gémissement de plaisir. Au début, ce ne sont que de petits coups de bassins contre le sien. Plus les secondes défilent et plus tu accélères la cadence. Une fois de plus, vos gémissements se font entendre dans tout ton appartement. Tant pis pour les voisins, tu ne fais que satisfaire ta partenaire de bon matin et, à en juger par sa manière de gémir, elle est amplement satisfaire. "Caro ..." Lâches-tu entre deux gémissements. Pas le temps de jouir, elle te repousse à l'aide de son pied. Intrigué, tu arques un sourcil en l'observant. Elle se dénude une nouvelle fois devant toi et vient se coller contre ton corps. « Baise moi John… » Qu'elle te murmure à l'oreille. Un sourire satisfait sur le visage, tu viens la porter dans tes bras jusqu'au canapé du salon. "Tes désirs sont des ordres princesse !" Tu l'installes à quatre pattes uis, vient t'enfoncer en elle sans préliminaires. Tes mains sur ses fesses, tu la tiens afin qu'elle ne tombe pas. Tu la baises violemment comme elle te l'as demandée. Il est rare de trouver une femme qui te demande de la baiser comme ça. D'ordinaire, une femme ça aime quand c'est doux mais elle, elle semble être différente et ça te plais. "comme ça ?" Souffles-tu entre deux gémissements. Tes mains titillent le bout de ses seins. Ton bassin claque contre ses fesses fortement. Tu n'arrêtes de la baiser que lorsque vous venir jouir en coeur. Tu te recules, venant t'allonger sur le canapé et la prenant sur toi en l'empalant sur ton sexe, ce qui a pour but de te décrocher un soupir de plaisir. "Je te laisse mener la danse pour cette fois ma belle !" Tes mains se posent sr ses fesses en attendant qu'elle commence à bouger sur toi. Ton regard se pose sur elle, tu brules de désir pour cette demoiselle.

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ft. John Williams [Flashback, 1 year ago]

Je ne peux pas le nier, nous avons déjà un point en commun. Le sexe. C’est fou comment cet acte si personnel peux rassembler deux parfaits inconnus. Évidemment, il faut le vouloir et être capable de se détacher de ses sentiments lorsque vient le temps d’échanger une bonne partie de jambe en l’air. Je dois vous avouer que je n’ai pas de difficulté à écarter mes émotions –ni mes jambes - lorsque vient le temps de baiser. Je ne me considère pas comme une dévergondée, car il est tout de même rare que je profite de ce genre d’occasion, mais je ne suis pas une sainte non plus. Après avoir demandé à John de me baiser, ce dernier a affiché un large sourire de satisfaction. Il me prend dans ses bras, tel une princesse, pour me déposer sur le canapé. « Tes désirs sont des ordres princesse ! » Un rire s’échappe de la commissure de mes lèvres, amusé par nos folies. Puis sans crier gare, John s’installe derrière moi pour enfoncer son membre dans mon entre. Je reste surprise, mais grandement chaude à l’idée de faire cette positionne que j’affectionne personnellement. Le beau grand brun met ses mains sur mes fesses, m’aidant ainsi à garder l’équilibre. On recommence notre rituel de mouvements incessants. Je halte sous la vitesse et les coups de bassin que John engendre en moi. « Comme ça ? » La cadence accélère, me faisant fermer les yeux pour rester concentrer sur mon orgasme. Comme seule réponse, je jouie son nom. Désolé les voisins, mais je ne m’empêcherai pas de vivre un moment intense comme celui-ci sans crier haut et fort comme c’est bon. John se détache de moi quelques instants pour s’allonger sur le divan, me soulevant légèrement pour m’installer sur son membre toujours bien dur. Je m’installe dessus, souriant coquinement à mon partenaire. « Je te laisse mener la danse pour cette fois ma belle ! » Je me mordille la lèvre inférieure, bien contente de pouvoir lui montrer à quel point je sais danser. Doucement, je fais des mouvements d’en avant vers l’arrière, tenant ma poitrine entre mes mains. Je me penche vers John, cherchant ses lèvres pour échanger un long baiser langoureux. Mes doigts se faufilent dans ses cheveux, terminant leurs coursent derrière son cou pour maintenir une pression sur sa nuque, plaquant davantage ses lèvres contre les miennes. Je continue de bouger mon bassin pour satisfaire mon partenaire. Je me redresse, attrapant les mains de John pour les déposer sur mes seins. Je sautille sur place, faisant travailler mes cuisses qui brûlent sous la fatigue de nos ébats sexuels. Malgré tout, je maintiens ma position, activant mon déhanchement pour en arriver à notre dernier souffle de plaisir. Une fois satisfaite, je me laisse choir contre John, me blottissant contre son torse haletant. Je ferme les yeux, logeant mon nez dans son cou. « Merci… » Fut le seule mot que je puisse prononcer. Après une dizaine de minutes à rester coller l’un contre l’autre, je me relève doucement. « Je vais reprendre une douche… » J’attrape ma petite culotte et son boxer dans la cuisine. Avant de se diriger vers la salle de bain, je lui lance son caleçon en riant. Je lui fais un clin d’œil avant de me rendre dans sa chambre. Je pars à la recherche de mes vêtements. Une fois tous mon linge sous la main, je me faufile jusqu’à la salle de bain pour prendre une bonne douche chaude. Une fois propre, je m’essuie et m’habille pour ensuite retrouver John dans le salon. Il a enfilé son boxer, mais semble endormi sur le canapé. Je m’approche de lui, passe une main dans sa chevelure avant de lui sourire. « C’est pas facile de faire l’amour à ton âge n’est-ce pas? » Évidemment, je me moque de lui. J’aurais certainement dormi avec lui si je ne devais pas quitter pour démarrer ma journée. « Merci pour tout… Et peut-être à un de ces jours… » Je l’embrasse une dernière fois avant de ramasser mon casque et mes effets personnels. Je lui fais un clin d’œil avant de quitter son appartement. Une fois derrière la porte, un large sourire s’installe sur mon visage. La journée commence du bon pied!

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