| Lost girls, drunk girls | freya & ariel |
| | (#)Lun 29 Juil 2019 - 4:14 | |
| Freya n'est pas une experte en danse. Elle a même deux pieds gauches et aucun sens du rythme. Mais là, embrumée et enivrée dans l'ambiance, les ailes lui poussent et elle se laisse porter. Principalement par Charlie, qui se trouve visiblement dans son élément. Charlie a toujours cette fougue et cette innocence que Doherty a perdu depuis des années. Alors quand la rousse traîne ses mains partout, son aînée la suit. Elle joue le jeu parce que c'est fun, parce qu'il faut savoir lâcher prise et parce que c'est Charlie. Elles avaient l'air sans un autre monde sur leur table, inconscientes des yeux braqués sur eux. Tentatrice enfant qu'elle est, Villanelle mène littéralement la danse. Freya ne la lâche pas du regard, mettant une confiance soudaine envers la jeune femme en face d’elle. Peur de tomber, peur de se ridiculiser peut-être aussi… Mais à en juger par les bruits autour d’elles qui lui parvenaient vaguement aux oreilles, ridicule n’est pas le mot à employer pour les décrire à ce moment-là.
Et le monde s’éclipse totalement quand Charlie pose ses lèvres sur les siennes. Littéralement. Freya aurait pu s’écrouler et se casser la gueule, la terre aurait pu s’arrêter pendant ces secondes précises où les lèvres de la jeunesse déambulent sur sa peau qu’elle ne le remarquerait pas.
Étrange. (Y a des chances pour que tu t’en rappelles pas anyway.)
Freya regretterait presque le changement de musique qui éloigne sa partenaire d’elle.
Trois minutes après, Freya s'affale avec plaisir dans le canapé qui lui tend les bras tout en mettant la main dans le sac, sans faire attention à ce qu’elle prend. Tout ce qu’il y a dans ce sac lui conviendra, de toute façon. Elle a l'impression d'avoir parcouru le marathon. Mais non, c'est juste l'ambiance, l'euphorie, l'ivresse que cette soirée est en train de prendre le dessus. Retrouver Ariel & Charlie dans ce genre d’endroits, c’est toujours une bénédiction. Les propices que la soirée allait être bonne – ou non, d’ailleurs mais c’est ça qui est grisant. Elles ne sont pas sages, loin d’être des enfants de cœur et il n’y a en général pas une pour rattraper les deux autres.
Ce n’est que quand Ariel la petite sirène remarque les admirateurs en question que Freya pose ses yeux sur la foule qui commence à se dissiper. Elle sourit légèrement tout en portant la bouteille à ses lèvres, avec avidité, comme si sa gorge, c’est le désert du Sahara. Whisky ? Oh. Nice. De l’alcool fort. Si elle finit cette bouteille à elle toute seule, elle va sortir de cette baraque les pieds devant. « Tout l’mérite revient à Charlotte aux fraises. » Les cheveux rouges, et tout ça, comprenez. Elle lève sa bouteille avant de la faire trinquer sur celle de Charlie. « On pourrait presque monter un show, ça cartonnerait, j’en suis sûre. » Non, elle ne montrera pas qu’elle a été quand même un peu secouée. Ou plutôt troublée. Parce que ce n’est qu’éphémère, demain elle ne s’en rappellera pas, elle aura oublié, end of the story.
« J'ai l'impression que quelqu'un veut récupérer ses jouets. » Tout de suite, Freya suit le regard d’Ariel, qui se perd dans la contemplation de trois autres personnes qui les observaient. Elle les regarde tout en buvant trois longues gorgées de son liquide brun ; putain que ça monte à la tête. Trop vite, trop fort, elle sent sa tête tournée légèrement. Freya pose sa tête sur l’épaule d’Ariel avant d’entendre une voix inconnue lui parvenir aux oreilles. Ce à quoi l’ange aux cheveux argentés répond. « N'est-ce pas les filles ? » Toujours la tête coincée sur l’épaule de son amie (aussi lourde que la planète entière, bordel), Freya hausse la tête.
Ariel a bien répondu. Ils vont dégager, hein, pas vrai ? Pas de chance, non.
« Ecoutez, les meufs, rendez-nous tranquillos notre sac et on vous laisse sans faire d’histoire, deal ? » Mais c’est qu’ils ont l’air insistants, en plus. Ils sont en train de réveiller Freya peu à peu et ça sent mauvais. Si Charlie est douée pour la danse et Ariel pour foutre l’ambiance et trouver de la booze facilement, c’est Freya qui reste en charge du côté violent. Montrer les crocs, sortir les griffes, hausser le ton, devenir une véritable lionne, c’est son domaine, c’est dans ses gènes. « Le deal, mon gars, c’est qu’tu vas dégager de notre champ d’vision illico presto avant que j’t’en foute une. » Le type en face d’elle regarde en rigolant ses potes sur les côtés. « T’es complètement torchée, tu penses pouvoir te lever dans cet état ? » Il essaie vraiment de la foutre au défi, là ?
Freya se lève du canapé, avec certes un peu de difficulté mais elle réussit à tenir sur ses cannes. Par pure provocation, elle boit de nouveau avant d’ouvrir la bouche. « J’vais pas me répéter une deuxième fois. Vous avez entendu la jolie donzelle, c’est à nous. Alors déguerpissez ou vous finissez votre soirée la gueule déformée. » Elle est hargneuse et elle ne le cache pas. La violence a toujours fait partie de sa vie, c’est un mal profond qui se tapie au fond d’elle-même et qui ressort à des occasions comme celle-ci.
Et une Doherty qui commence à bouillonner, ce n’est jamais bon signe. Même si dans l’état actuel des choses, c’est tout aussi grisant qu’un baiser d’une jeune tentatrice insoupçonnée.
Il ose mettre la main sur son épaule alors que Freya commençait à retourner s’asseoir. « Ecoute-moi bien, you fucking bitch... » Il n’eut pas le temps d’aller plus loin que le poing de Freya atterrit directement sur sa putain de face. L’alcool rend invincible, c’est bien connu. Et elle a toujours eu un bon crochet gauche, de toute façon. Puis elle commence à déverser le contenu de sa bouteille sur ce fichu type qui l’emmerde royalement. « La bitch elle t’emmerde ! Va t’faire foutre, asshole ! Tu les veux, tes bouteilles? Come and get them, you son of a bitch! »
Elle aurait été un de ses frères qu’elle l’aurait menacé d’un briquet. Mais elle n’est pas un homme de la famille, le feu la terrorise plus que de raison alors elle se contente d’éclater la bouteille par terre.
C'est à elles, c'est leur récompense, c'est leur butin. Ils vont devoir lui passer sur le corps pour le récupérer.
La soirée tourne en nœud de boudin, clairement.
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| | | | (#)Jeu 1 Aoû 2019 - 5:39 | |
| Lost girls, drunk girls @Freya Doherty @Ariel James
Un éclat de voix. Un verre brisé. Un coup de tonnerre. Une seule seconde et tout bascule. Fait chier.
Charlie s’amusait pourtant comme une folle, elle buvait, elle dansait, elle embrassait une fille hyper canon en pensant en faire enrager une autre. Elle vivait sa vie de jeune femme belle, naïve et insouciante à souhait. Le monde n’avait d’yeux que pour elles pendant quelques secondes mais ses yeux à elles étaient tournés vers Freya uniquement. Freya et Ariel. Toujours Ariel, fourrée quelque part, à l’affût, prête à bondir au moindre signal. Cette même Ariel qui prévient ses comparses d’un danger potentiel à midi, et une Charlie trop envoûtée pour daigner relever les yeux de la bouteille de vodka qu’on lui a tendu. Ca ressemble à de l’eau, alors ça ne peut pas être mauvais. Pourquoi est ce que ça ressemblerait à de l’eau sinon, hein ? Alors Charlie tâte le goulot du bout des lèvres avant de rapidement faire basculer la bouteille et sa tête avec pour en boire quelques gorgées. De toute façon ça ne doit pas être si grave si personne n’a hurlé ou que le monde n’a pas explosé. Ca doit seulement être une fausse alerte, Ariel qui s’en fait pour rien, Ariel qui crie au loup alors qu’elle est le seul prédateur de ce foutu appartement. Sauf que cette fois ci elle entend la voix du loup en question, une voix grave qui n’est définitivement pas celle d’aucune de ses amies. Si seulement il n’avait été question que d’Ariel, la rousse aurait pu gérer. Elle aurait pu rassembler toutes ses forces pour se relever et les séparer avec toute l’envergure que peuvent prendre ses bras tendus. Le seul problème à ce merveilleux plan ? Freya. Freya et sa putain de tête brûlée. Freya toujours fourrée dans les problèmes depuis la première heure. Une Doherty en puissance, quoi. La rousse ne connaît pas ses frères mais bizarrement elle n’a pas forcément envie d’en savoir plus sur eux, se doutant que la testostérone n’arrange rien à la fibre génétique consistant à semer la zizanie partout où ils passent. Elle ne connaît pas grand chose de Freya mais ça elle le sait ; tout le monde le sait.
Sentant le temps virer à l’orage, Charlie pose sa bouteille sur la table en bois tout en sachant qu’elle ne la reverrait plus à partir de maintenant. Peu importe. Des bouteilles y’en a plein, des amies qui se la jouent suicidaires beaucoup moins. Surtout Freya avec sa gueule d’ange et ses mots mâchés qui ne sait pas tenir sa langue. Elle fulmine, elle crache, elle postillonne. Elle s’en fout de la bienséance Freya, elle cherche la bagarre. Ca se voit à son regard, à son allure. Elle pourrait se battre avec n’importe qui, et s’ils ont le malheur de lui donner une seule raison de le faire ils sont fichus. Charlie observe ce spectacle de longues secondes, interdite, incapable de prendre la moindre décision. Le sang tape contre ses tempes trop rapidement, sa tête tourne et l’intérieur de ses yeux lui fait si mal. Ses membres sont fatigués, sa gorge nouée. Elle ne va carrément pas bien, non. Pourtant y’a une Freya à aller sauver avant qu’elle ne s’attaque à plus forte qu’elle, à quelqu’un qui a peut être moins de gueule mais un couteau dans la poche arrière de son jean. Et le poing part déjà. Merde. Cette fois ci Charlie ne réfléchit plus et se lève aussitôt pour se mettre entre les deux et poser sa main sur le torse de l’inconnu qui tâte déjà les dégâts sur son si joli minois. Sauf que c’est Freya qu’elle aurait dû garder, c’est Freya qui en rajoute encore et encore comme s’il n’y avait pas déjà assez de problèmes comme ça. Elle qui déverse tout le contenu de la bouteille sur lui, l’odeur trop forte qui donne envie de vomir à la rousse. Le premier réflexe de Charlie est de prendre la bouteille d’Ariel de ses mains et de faire de même avec celle qu’elle avait posé sur la table et qui y est miraculeusement encore. « Tu prends ça et tu te casses. Elle a fait d’la taule, la cherche pas. » Charlie sait que c’est faux (enfin normalement) mais espère du plus profond de son coeur qu’il se la jouera pas suicidaire et qu’il va sagement repartir avec son dû. Techniquement Freya lui a rendu sa bouteille d’alcool aussi vu que ses vêtements en sont désormais imbibés. « Casse toi putain ! » Il ne faut pas compter sur l’intimidation de Villanelle pour qu’il s’exécute mais son cri aigu et sa voix brisée l’aideront peut-être à déguerpir. Elle est toujours entre lui et Freya, ne sait pas vraiment qui est ce qu’elle est en train de protéger de qui tellement tout est désormais flou dans sa tête. Si le supplier pour qu’il parte aurait changé quelque chose, elle l’aurait fait. Elle aurait ravalé son ego et sa fierté et elle l’aurait supplié à genoux. Mais il ne bouge pas, non, il reste là avec sa tête d’ahuri et les deux bouteilles dans les mains sans ne savoir quoi en faire. Alors elle crie, encore, elle crie des choses incompréhensibles et ses poings viennent s’écraser sur ses bras sans violence aucune. Il s’en va enfin, il renonce à un affrontement. Elle est si soulagée, la jeune femme rousse, de ne pas avoir à se retrouver à l'hôpital à une heure si tardive à cause d’une bagarre. Si soulagée et si énervée. « T’es vraiment conne Freya. » Ses sourcils se froncent, son regard devient noir. Pas autant que celui de la blonde, mais elle n’utilise jamais ses poings, n’hausse jamais le ton en temps normal. Ce n’est pas son monde à elle tout ça et pourtant ce soir elle ressent le besoin de gronder, d’avertir les deux femmes qu’elles vont trop loin (c’est toi qui dit ça Charlie ?). Son index se pose sur son torse, menaçant, inquisiteur. Ses yeux se tournent rapidement vers Ariel à son tour. Oh Ariel, comment l’oublier ? « Et toi tu vaux pas mieux. » La rage lui monte à la tête, plus rien ne l’amuse, elle veut seulement rentrer chez elle. Rentrer en ne plus les voir. Alors elle titube, elle se retourne, place ses mains devant elle pour se faire une place dans cette foule de malheur. Elle étouffe. Elle veut de l’air, elle veut être seule.
- Spoiler:
fin de mon côté si personne ne vient la chercher, l'un ou l'autre peu m'importe, à vous de voir
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| | | | (#)Lun 2 Sep 2019 - 15:19 | |
| Elle aime ça, Ariel. L'odeur des ennuis, la lumière douce du chaos qui se prépare, le goût de la bagarre. C'est familier, ordinaire ; c'est une expérience qui n'en est plus une, comme un disque trop souvent écouté. C'est ce qu'elle fait de mieux, au final, un rictus aux lèvres quand ce n'est ni une clope ni une bouteille: se préparer pour la bagarre. Si vis pacem, para bellum, mais elle ne veut pas la paix. La paix, elle ne la connaît pas, et ça ne lui promet rien de plus attrayant que ce qu'elle ressent en se baladant tout le temps au bord du gouffre à emmerdes qu'est sa vie.
Et visiblement, elle n'est pas la seule. Ses yeux s'agrandissent avec émerveillement lorsqu'elle voit Freya se redresser, et se jeter dans la mêlée avec des menaces à peine voilées. L'orage est prêt à éclater, et Ariel sent presque l'atmosphère devenir littéralement électrique. Collision de maux, brutaux, et toujours plus lourds jusqu'à ce qu'ils se matérialisent sous la forme d'un poing. Et Ariel de lâcher un cri rempli d'excitation au moment de l'impact, un cri de victoire, un cri de bataille. Elle n'aurait jamais été prise dans une quelconque équipe de cheerleading mais elle se sent comme à deux doigts de sortir la panoplie pour acclamer les pulsions violentes de Freya, pour se nourrir de cette envie de sang, de ce besoin de rage.
Evidemment, il faut que Charlie intervienne. Charlie, Charlie, est-elle donc si sage? C'est vrai qu'elle est encore jeune, et certainement moins cabossée par la vie que ses deux comparses - mais come ooon, ce n'est pas si grave, reste en dehors de ça, voudrait dire Ariel. À la place, rien ne sort, et seuls ses yeux verts passent de l'amusement à l'horreur lorsqu'elle voit la rousse essayer de s'interposer entre les parties. Et, lorsque Doherty en rajoute une couche, de jouer les médiateurs en refilant les bouteilles volées au mec. "Hey, what the fuck?" Injuste! Ça s'fait pas, voler c'est voler, redonner c'est tricher! Et puis, c'est bien elles qui les voulaient, non? Les sourcils froncés, elle voudrait trouver les mots pour leur expliquer que ça ne se fait pas de pas assumer jusqu'au bout, un pari c'est un pari et tant pis si ça les met dans la merde. Que si elles voulaient faire la fête sagement sans accroches, fallait pas l'inviter, ou alors fallait pas la défier. Mais tout s'enchaîne trop vite, et le cerveau de la blonde refuse de former des phrases cohérentes. Elle voudrait bien céder aux vapeurs d'alcools et s'effondrer et dormir, mais l'adrénaline est montée bien trop haut et aura du mal à redescendre. À sa gauche, Freya et Charlie se démènent comme elle peuvent, Freya visiblement prête à casser la gueule au monde entier (yay!) et Charlie en train de hurler aux inconnus de déguerpir (bouh!). Puis, ils partent, et elles restent là comme trois poupées de chiffon, le vide trop soudain après toute cette agitation.
T'es vraiment conne, Freya. Les mots claquent, et instinctivement Ariel se range à côté de Doherty car ce n'est pas sa faute. Charlie, pourquoi t'es obligée de péter l'ambiance, hein? C'est ça aussi, de s'acoquiner avec plus rude que toi, avec deux écorchées, avec deux irresponsables. Go big or go home, comme on dit, et Ariel est toujours partante pour un défi. Quitte à le perdre. Et toi, tu vaux pas mieux. "Ça va, hein, la donneuse de leçons. Tout d'un coup y'a quelque chose qui cède. La frustration d'avoir été privée d'un bon show? L'agacement, parce-que Charlie a joué les garde-fous au lieu de les encourager dans leurs conneries? Peu importe. Qu'est-ce que t'es allée de foutre au milieu de tout ça, t'aurais pu t'en prendre une! Règle sans numéro: que les victimes des bagarres consentent à se prendre beignes et châtaignes. Les dommages collatéraux sont le genre d'ennuis qui ne font rire personne. En tous cas, joli crochet, Doherty!" lâche-t-elle dans un clin d'oeil complice et provocateur. Qui ne déride pas la rousse, visiblement, puisque Villanelle se détourne d'elles, blanche et visiblement, plutôt dans le mood "go home" que "go big". Soit.
Elle a beau être soûle, et remplie de mauvaises idées, elle sait qu'il y a mieux à faire que d'essayer de récupérer Charlie. Les chances sont minces pour que l'humeur joyeuse de la rousse revienne, alors, dans un soupir un rien dramatique, Ariel s'approche, pose une main sur son épaule. "Allez baby C, rentre chez toi. Va décuver.", d'un ton plus doux. Quant à elle, elle n'a pas l'intention de partir, même si elle a causé une scène il y a à peine dix minutes. Nah. Et puis, elle est venue avec d'autres personnes qui doivent sûrement avoir assisté à leur grand éclat tout en se réjouissant de pouvoir dire, pour une fois, j'la connais pas, c'est pas ma pote. Alors, elle se tourne vers la furie à peine calmée - et note mentalement d'éviter, dans le futur, de se battre avec Doherty, qui a l'air de bien se débrouiller en la matière. "Bon? Je suis avec d'autres potes, j'pensais aller les retrouver. Tu veux venir? Pas besoin de préciser que s'ils supportent Ariel ivre, ils feront une place de guest star à Doherty. "J'me sens pas d'humeur à rentrer, et si toi non plus... comme on dit, plus on est de fous, plus on rit." Elle n'est pas souvent d'humeur à rentrer, en fait. Alors, elle fait un sourire charmeur à Freya, parce-qu'elle est déçue que tout se soit cassé la gueule, et qu'elle se sent tout à fait disposer à traîner un peu plus avec sa copine de boire et de déboires. Heureusement pour elle, le sentiment semble partagé: et, bras dessus bras dessous comme les clichés de meufs bourrées qu'elles sont, partent à la recherche du reste de la troupe, laissant derrière elles une flaque d'alcool et de verres brisés, et une petite âme en peine... et même pas un blessé. Enfin, pas encore.
Après tout, la nuit ne vient que de commencer.
- RP TERMINÉ -
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