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 Peace and love, bitches || Wolvy (+ Yoko & Charlie)

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Message(#)Peace and love, bitches || Wolvy (+ Yoko & Charlie) - Page 2 EmptyMar 3 Sep - 12:08

Peace and love, bitches@Clément Winchester, @Charlie Villanelle & @Yoko Lee
Soudain, j'avais oublié qu'est-ce qu'on fichait ici. Est-ce que j'étais supposé rentrer avec Clément ? Est-ce que j'avais prévenu Charlie pour qu'elle me retrouve et qu'on rentre ensemble à l'appart' ? Est-ce que Yoko devait venir chercher Clément comme on viendrait chercher un gosse à la maternelle un jour de rentrée ? Je regardai les trois protagonistes de cette soirée sans queue ni tête en fronçant les sourcils. Enfin, là, je dévisageai surtout Charlie qui avait l'air de vouloir me censurer. Je ne réagis que par un regard éloquent lorsque ma meilleure amie m'expliqua connaître Yoko par l'intermédiaire de son travail. Moi aussi, je connaissais Yoko ! Mais la main qui me barrait la bouche m'empêchait de démentir ce que Yoko soulignait derrière nous. La fac. N'importe quoi. Tout le monde racontait absolument n'importe quoi, ce soir.

Et lorsque Charlie proposa un groupe whatsapp, je secouai la tête. Pourquoi faire un groupe whatsapp quand on pouvait tous se retrouver pour aller boire un coup ? J'attrapai sa main pour ma décoller de ma bouche, alors qu'elle soulignait mon ivresse manifeste. « M'non. Je peux faire le truc du doigt et du nez. Regarde. » Toute ma concentration était désormais projetée sur mon index droit, placé à distance raisonnable de mon visage. De mon index gauche, je tentai de faire les voyages 'nez-index gauche' sans trop d'encombres. Le geste fonctionna une fois ou deux, mais la tâche se compliqua lorsque mes yeux furent incapables de se focaliser sur l'index tendu. Ma vision trouble me fit rater la cible, aussi abandonnai-je l'exercice en soupirant. « On a pas tant bu que ça. On avait un truc à fêter. » Quoi d'abord ? Je venais d'oublier.

Clément avait réquisitionné la présence de Yoko et moi celle de Charlie. Notre joyeuse petite troupe se dirigeait maintenant vers un endroit inconnu - ou alors avais-je oublié notre destination - et j'en étais ravi. Je ne voulais pas que la nuit se termine. Et lorsque mes yeux se posèrent à nouveau sur Yoko, je me souvins ce dont je voulais parler à Charlie. « Moi je connais Yoko, mais c'est pas pareil que vous. Une fois je l'ai vue à mon- » Intervention incroyable de Clément, qui vint me censurer - mais avec un baiser, cette fois. Je n'étais pas frustré de ne pas pouvoir parler, sourire niais aux lèvres. Mon cadet avait l'air de devoir expliquer quelque chose de très important à Yoko. Mon bras passé autour de celui de Charlie, je m'efforçai de mettre un pied devant l'autre. Exercice compliqué, quand on considérait que le sol tanguait super bizarrement; à croire que quelqu'un avait mal construit la route. Ces ingénieurs, décidément, parfois on les payait à mal faire leur boulot. « C'est fou. » Complètement fou.

Mais Charlie n'avait probablement pas entendu toute la réflexion que je venais d'avoir avec moi-même, dans ma tête, à propos des ingénieurs qui faisaient mal leur boulot. Et avant que je n'ai le temps d'expliquer à Charlie ma théorie sur les routes bancales, on hurla mon prénom. « Hé attends, et Charlie et Yoko ? Venez ! » Je me retrouvai à nouveau contre Clément, qui m'entraînait visiblement du côté d'un magasin. « On pourra pas les faire pousser, j'ai pas de jardin. T'as un jardin toi ? » L'air tempéré de la boutique nous happa. Elle semblait complètement vide, à l'exception d'un caissier à la casquette verte et au gilet orangé. Quelqu'un manquait visiblement de goût, pour créer les tenues des employés. Dans les hauts parleurs, on entendait Shut up and dance, une musique que je ne jugeais pas très adaptée à un supermarché. Je me détachai de Clément pour essayer de chercher le rayon fruits et légumes. Lorsque mon regard se posa sur les étales colorées, j'attrapai la main de Clément pour l'attirer vers notre but - qui me semblait tout à fait logique à atteindre. Un truc me frappa soudain. Une réalité parfaitement évidente, si incroyablement logique que je me tournai vers mon compagnon pour la lui exposer. « Mais Clément, il est quelle heure ? S'il est pas minuit, on en trouvera jamais. Les citrouilles ne redeviennent des citrouilles qu'à minuit. » Planté devant mon camarade, je partis soudain d'un rire tant l'idée me sembla absurde. « C'est difficile de se concentrer avec la musique. » Je me mis à fredonner la musique, comme si la chanter avait le pouvoir de la faire disparaître plus vite. « Oublie pas les cours de danse. J'ai pas oublié que tu dois m'apprendre. » Ivre, mais pas amnésique.

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Message(#)Peace and love, bitches || Wolvy (+ Yoko & Charlie) - Page 2 EmptyMar 3 Sep - 16:44

Yoko a cette incroyable capacité de sauter à pied joint dans les problèmes sans jamais s’en rendre compte. Si Charlie lui avait raconté toute l’histoire alors la nippone n’aurait rien dit de tout cela, mais il est désormais trop tard pour revenir en arrière. Elle vient vraiment de proposer à Clément de dormir chez Léo et c’est une offre que le brun sera incapable de refuser. Aucun des deux bruns, même. Nota bene : mettre Yoko au courant de tout, un jour, et ne pas oublier de lui faire un update toutes les vingt quatre heures vu le rythme auquel tout change. Elle aurait aimé, pourtant, que la nippone abandonne Clément comme elle en a vaguement énoncé l’idée en rigolant. Elles l’auraient retrouvé le lendemain matin toujours posé au même endroit, criant à tue tête qu’il recherche des citrouilles. Pourtant la rousse le prend en pitié, se dit qu’il reste un boulet mais qu’au moins s’ils se retrouvent tous chez Léo alors elle pourra garder un oeil sur lui. Un mal pour un bien. Il n’aura de toute façon pas accès à sa chambre parce qu’elle est gentille mais il ne faut pas déconner non plus. Winchester va découvrir les joies des chats sur sa tête de bon matin. “Je peux le ramener chez Léo mais je les laisse pas seuls, ils vont se retrouver en Nouvelle Zélande sinon les deux là.” C’est vrai. C’est une bonne excuse. L’autre vérité c’est qu’elle ne veut pas les laisser seuls tous les deux parce qu’elle n’a absolument aucune confiance en le brun. Charlie a volontairement ignoré la seconde partie de son amie consistant à laisser les garçons entre eux et elles de rentrer chez elles. Hors. de. question. Elle aide Clément, la blonde aide Léo. Chacune soutient son poids mort, chacune son bourré, chacune son meilleur ami de merde.
Le regarde noir qu’elle lance à Clément s’imaginant déjà dans le lit de son amant vaut tous les mots du monde. Not on my watch. La blonde ne prend même plus la peine d’écouter tous les mots sortant de la bouche du danseur, lui qui parle tant pour ne rien dire. Quand l’enchaînement des mots a miraculeusement un sens, il ne s’agit de rien de logique. Charlie souffle légèrement, fatiguée par la tournure que prennent les évènements.

Si l’ami de Yoko semble demander toute leur attention, c’est vers Léo que les yeux bleus de la jeune femme se pose. Il est le seul dont elle se soucie réellement, le seul qu’elle pardonnera totalement au petit matin. Elle le trouve mignon, à essayer de lui prouver qu’il est sobre et merveilleusement échouer. Ils arrivent à marcher tous les quatre dans un silence relatif pendant quelques minutes à peine avant que l’alarme Clément ne se remette en route. Ils ont oublié de lui créer un putain de bouton off, et voilà que l’Alarme vient lui voler son meilleur ami des bras pour l’emmener vers de nouvelles combines toujours plus tordues. Pour ses putains de citrouilles. Elle va les lui faire bouffer, ses citrouilles de merde. Cependant prise d’un élan d’empathie, elle les laisse s’aventurer tous les deux seuls dans le magasin puisqu’ils ont l’air un peu plus calmes qu’auparavant. Ce n’est toujours qu’une question d’apparence bien sûr et elle s’en rend compte rapidement, entrant dans le magasin quelques minutes seulement après eux. Pas besoin de les chercher, ils sont les deux seuls clients à cette heure si tardive et, surtout, ils crient. Ils ne parlent plus, ils se hurlent dans les oreilles l’un de l’autre. "Il est minuit passé, y’a plus de citrouilles Léo." qu’elle annonce doucement, reprenant son ami par le poignet pour lui montrer la sortie du magasin, s’excusant d’un signe de main au pauvre caissier. "Mickael Jackson est à l’appartement ce soir, c’est son jour tu t’en souviens pas ? Il t’apprendra tous les pas que tu veux mais pour ça il faut rentrer." La blonde use d’une logique imparable tout en laissant ses doigts inspecter la peau de son visage de peur qu’il ne se soit blessé sans même s’en apercevoir. Il va bien. Il va bien alors elle peut prendre sa main dans la sienne et ne plus jamais le laisser filer. ”Faut pas qu’on tarde trop, ton lit va être triste si tu n’es pas là."
Un dernier coup d’oeil vers le rayon lui rappelle qu’il y a aussi le second gus à gérer et que c’est bien la dernière chose dont elle a envie ce soir. Sans lâcher la main de Léo, son autre index vient s’apposer sur le torse de Clément, menaçant. "Toi tu te tais et tu obéis à Yoko. Pas un mot de plus sinon on te laisse là. Tout seul." Sans Léo. "Tu dormiras sur le canapé."
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Message(#)Peace and love, bitches || Wolvy (+ Yoko & Charlie) - Page 2 EmptyJeu 5 Sep - 15:13

CLÉMENT & LÉO & CHARLIE & YOKO If you want to keep a secret, you must also hide it from yourself.

juin 2019
L’idée des double date qui ressemble à une double connerie — arrêtez l’alcool, les tocards ! ça vous rend vraiment pas plus intelligent ; et cette théorie se confirme dans les propos de Léo (coupez-lui la capacité à s’exprimer franchement !) qui, alors que les ombres chinoises ont décidé d’entamer le pas incertain dans les rues de Logan City, manquent de faire rater un battement de cœur à Yoko — une fois, je l’ai vu à mon— (ses iris s’écarquillent, son souffle se coupe) et elle bénit Clément, qu’elle maudissait quelques secondes auparavant, pour son intervention, l’empêchant de devoir plaquer sa main sur les lèvres de celui qui en sait beaucoup trop sur elle. L’alcool n’aidant pas, son partenaire de danse déblatère un discours sans aucun sens sur Halloween et sur l’achat immédiat d’une citrouille pour pouvoir y arborer le portrait de la jolie asiatique, à en faire pleurer les enfants ! (rire qui se perd dans la nuit) elle lève les yeux au ciel tout en affichant une grimace, maintenant faiblement leur équilibre bancal. Yoko a beau être totalement éveillée (et sous l’emprise d’aucune substance), elle peine à maintenir son partenaire debout et prie pour que la destination soit atteinte dans les plus brefs délais — elle veut dormir chez elle. D’une démarche maladroite, on les entend rire et soupirer (ah) la joyeuse bande totalement décalée ! Rêvant déjà de son lit et de ses prochaines maigres heures de sommeil, elle tente de puiser dans ses dernières ressources d’énergie — mais c’était sans compter sur le supermarché (ouvert 24h/24) qu’elle maudit en coréen dans sa tête. Evidemment ! il fallait bien que les deux enfants décident naïvement d’y entrer pour y trouver leur citrouille (qu’elle meurt d’envie de faire brûler) et si elle marmonne un « On vous attend dehors, les tocards » tout en s’appuyant contre un poteau d'un air dépité, Yoko finit cependant par suivre Charlie qui, en un regard, lui fait comprendre qu’ils ne vont très certainement pas être sage dans l’établissement. « Vraiment, le baby-sitting à minuit non rémunéré, merci mais non merci » soupire la jolie nippone avant de pénétrer dans le supermarché, cherchant du regard les deux gamins à charge ; c’est Charlie qui prend les devants — qui leur annonce qu’il n’y a plus de citrouille, doucement mais fermement, qui invente une bêtise irréelle pour les faire sortir de leur monde parallèle. Légèrement en retrait, Yoko ne peut s’empêcher de poser ses orbes chocolat sur Charlie et Léo, sur cette main qui sert ce poignet, sur ce duo à l’aura si complexe qu’elle se demande bien quel est leur (véritable) lien — mais ça ne dure que quelques secondes ; l’instant d’après, c’est de nouveau la garderie de minuit. « Allez, Clément, on rentre aussi sinon c’est Mickael Jackson qui va choper ton copain »copain, dans le sens pote mais qui ce soir peut être interprété de mille et une façons différentes (et merde, elle s’est encore plantée). L’index réprobateur de Charlie se pose sur le torse de Clément, intimant un ordre non-négociable que Yoko songe elle-même à se taire, bien que la requête ne la concerne pas. Ses iris glissent entre les trois protagonistes avant qu’un léger rire gêné s’échappe de ses lèvres. « Obéis à ton aîné, Winchester ! » annonce-t-elle d’une voix un peu forte, d’un sourire un peu fier tout en se dressant sur la pointe des pieds pour être à la même hauteur que Clément — Clément, au regard brouillé par l’alcool. « J’te laisse pas tout seul ici, j’voudrais pas que les flics viennent me chercher demain pour non-assistance à personne en danger » ; elle lui tire le poignet aussi, l’incite à la suivre (en silence, par pitié) pour quitter le supermarché, baissant la tête face au caissier dans une piètre marque d’excuse et de respect (elle en oublie ne pas être en Corée). « Toujours, j’me retrouve mêler à vos histoires » marmonne-t-elle tout en sortant son téléphone pour y voir avec horreur l’heure — quelle soirée de merde.
vivement la sieste

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Dernière édition par Yoko Lee le Jeu 5 Sep - 16:28, édité 1 fois
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Message(#)Peace and love, bitches || Wolvy (+ Yoko & Charlie) - Page 2 EmptyJeu 5 Sep - 16:10

Je sens que je vais me rappeler encore longtemps de cette soirée. Ou peut-être qu’avec un peu de chance j’aurais tout oublié d’ici demain. On verra bien. Mais pourtant mon cerveau se désinhibe complètement et ne connaît plus aucun filtre. Je me moque de Yoko et je suis content qu’elle connaisse mon humour et qu’elle ne prenne pas mal ce que je lui dise, avant que mon regard ne soit attiré par l’enseigne d’un super marché ouvert 24h/24 vers lequel j’entraîne joyeusement Léo. Ignorant le regard assassin de Charlie, j’emmène mon compagnon de soirée à l’intérieur «Mais je m’en fou de les faire poussé ! » m’exclamais-je « moi ce que je veux c’est le manger ! J’vais te faire une suuuuuuperbe soupe à la citrouille ! Il nous faut juste …ben une citrouille et de la crème et des oignons et …» je me tais lorsque nous arrivons au niveau du rayon fruit et légume et que, désillusionné, me dit qu’on trouvera pas de citrouille s’il est pas encore minuit ; « mais si mais si il est bien plus tard que minuit, il est …» j’attrape mon portable et le déverrouille mais n’ai pas le temps de dire quoique ce soit que Léo change brusquement de sujet me parlant d’une promesse que je lui aurais faite et qui concernerait des cours de danse. C’est un regard malicieux que je pose sur, lui rangeant mon portable «on peut commencer ici, là, maintenant. Je … »

Encore une fois je suis coupé dans mon élan et soupire lourdement lorsque Charlie s’avance vers nous. Elle attrape Léo par le poignet et me vole mon partenaire de danse dans état d’âme. J’allais protester, mais c’est un doigt menaçant qu’elle pointe sur mon torse, me sommant de ne plus rien dire, d’obéir et de venir, précisant que je dormirais sur le canapé « pas garve, je connais bien son canapé !» lançais-je en croisant les bras, boudeur avant que mon regard ne se pose sur Yoko qui dit que si je ne viens pas tout de suite Michael Jackson me piquera mon copain « Il est bizarre Léo mais je pense pas qu’il soit nécrophile» marmonnais-je. J’ai beau être bourré, on ne me la fait pas à moi ! Mais au final, je suis obligé d’observe Charlie qui entraîne Léo vers la sorti alors que yoko me dit de respecter mes aînés « aînés ? Quels aînés ? Vous êtes tous plus jeune que moi. Sauf Léo mais lui je le respect déjà assez et …» je me tais finalement, sentant ma joie retomber tout à coup. «bon allez on se casse » grognais-je en passant à côté de Yoko pour sortir. Et c’est dans une ambiance lourde et d’une humeur morose que je prends la direction de l’appartement de Léo –fort heureusement guidé par Yoko et Charlie.

Pas besoin de décrire le lendemain, nous connaissons tous les effets sur que ce genre de soirée peut avoir sur la tête et le ventre et l’humeur en général.

@Léo Ivywreath @Yoko Lee @Charlie Villanelle
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