Elle n’arrivait plus à dormir, Debbie. Le sommeil l’avait quitté depuis quelques jours. Elle était exténuée, elle dormait à peine deux heures par nuit et ce n’était plus possible. Elle avait tout essayé – même l’ASMR louche dont elle avait entendu parler par la meuf d’un pote… wtf cette chose, enfin bref. – mais rien n’y faisait. Elle commençait à être à court d’idée et la fatigue se mêlant à la morosité de sa vie ces temps-ci ne l’aidait absolument pas à garder le moral. La femme enfant qu’elle était commençait doucement à sombrer dans la dure réalité du monde des adultes, des responsabilités et des sentiments mis à mal qu’elle avait fort du mal à assumer. Elle n’y arrivait pas, elle n’y arrivait plus. Elle ne parvenait pas à s’y faire, elle refusait même de s’y habituer à vrai dire. Ce n’était pas elle tout ça, ce n’était pas son genre d’être ainsi et elle se devait d’y remédier, de quitter cet état second dans lequel elle était plongée depuis quelques semaines déjà.
Alors elle était venue frapper à sa porte sur les coups de 20h. Elle se souvenait de son adresse, de ce grand immeuble devant lequel elle l’avait déposé en la ramenant de l’hôpital. Putain d’immeuble de luxe d’ailleurs, ça l’énervait presque – la fatigue, sûrement. Elle ne savait pas trop à quoi s’attendre ni vraiment ce qu’elle était censée lui demander et comment mais elle était là, elle venait de frapper et la porte s’ouvrait déjà sur le visage de Raelyn, visiblement étonnée de voir Deborah sur le pas de sa porte. « Tu diras à tes voisins que c’est pas très intelligent de laisser n’importe qui entrer dans l’immeuble simplement parce qu’on lui demande à l’interphone. » Bon dieu, il y avait des gens teubés quand même. « Salut... » Ouais, c’est bien déjà pour commencer au lieu d’insulter les voisins, c’est un bon début. « Tu vas sûrement me trouver particulièrement hypocrite et connasse mais je m’en fou… » parce que ça lui passait au-dessus de la tête à ce niveau-là, elle n’était plus à ça près – en ce moment et avec la blonde d’ailleurs. « J’ai besoin de ton aide... je suis crevée et aucune pharmacie ne veut me filer des somnifères plus forts que ceux sans ordonnance. » Est-ce qu’elle avait vraiment besoin de s’expliquer plus que ça ? « Je sais pas combien tu vends ça mais j’ai de quoi payer. » Quitte à ne pas payer une partie de sa part de loyer, tant pis.
Dernière édition par Deborah Brody le Mer 11 Déc 2019 - 10:13, édité 1 fois
Raelyn Blackwell
la muse des cauchemars
ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn. STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille. MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie. LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux. POSTS : 34332 POINTS : 3250
TW IN RP : Mention de drogues dures, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, deuil, automutilation. ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : indianred. RPs EN COURS :
maxyn #7 & sms ☆ i'm sick, yeah, i'm sick, and honestly, i'm getting high off it. your smoke in my hair hot and dirty like the l.a. air. that face, baby, it ain't fair, but you don't know what you don't know. oh, so you wanna talk about power ? oh, let me show you power. i eat boys like you for breakfast, one by one hung on my necklace. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7
spencer #14 ☆ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand. take another walk out of your fake world, please put all the drugs out of your hand. you'll see that you can breathe without no back up, so much stuff you got to understand.
danalyn #4 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.
cecilia #2 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.
miles #1 & #2 ☆ i've been waiting patiently, i built this tower quietly. And when my well of wellbutrin is running dry of serotonin i can say things I don't mean. or maybe it's the truth in me, i feel it building, bubbling up.
RPs EN ATTENTE : aisling #3
RPs TERMINÉS : liste tenue à jour dans ma fiche de liens
Douchée, maquillée, j’avais passé un quart d’heure à déambuler en sous-vêtements dans mon dressing à la recherche de quelque chose à porter. Quelque chose qui veuille dire "Je suis sexy mais pas une prostituée, mais si tu me le demande très gentiment je rentrerais certainement avec toi." Vous voyez le genre. Je m’étais finalement décidée sur une robe noire moulante en dentelle, le dos ajouré, parce qu’avec ce genre de tenue il était impossible de faire fausse route. Bouche carmin, cheveux lâchés mais méthodiquement coiffés, c’est au moment où je sors de ma chambre presque prête à quitter le loft que la sonnerie de la porte m’interpelle. Je fronce les sourcils, assez surprise, je n’attends personne ce soir, avant d’enfiler ma paire de talons aiguilles pour me diriger vers la porte, que j’ouvre sans prendre le temps de regarder dans le judas. « Tu diras à tes voisins que c’est pas très intelligent de laisser n’importe qui entrer dans l’immeuble simplement parce qu’on lui demande à l’interphone. » Je suis bien incapable de cacher l’air surpris qui se peint sur mon visage à la vue de la brune. Comment elle a réussi à entrer et à arriver sur le pas de ma porte a finalement peu d’importance, non ce que je me demande c’est surtout ce qu’elle peut bien faire ici, puisqu’on ne peut pas réellement nous qualifier d’amies. Ma première pensée est qu’elle cherche surement Jo, mais je ne suis pas sa chaperonne, il faut dire que sinon j’en serais une bien mauvaise. « Salut... Tu vas sûrement me trouver particulièrement hypocrite et connasse mais je m’en fou… » Sans trop réfléchir je lui adresse un geste vague de la main, avant d’entamer une réponse presque murmurée. « Il est pas ic… » Alors que j’allais reposer la main sur la poignée pour refermer la porte en terminant ma phrase, la demoiselle me coupe. « J’ai besoin de ton aide... je suis crevée et aucune pharmacie ne veut me filer des somnifères plus forts que ceux sans ordonnance. » Mon geste s’interrompt, et je lève un sourcil, amusée, avant de croiser mes bras contre ma poitrine, assez curieuse de la suite. « Je sais pas combien tu vends ça mais j’ai de quoi payer. » L’oie blanche, Candy a besoin de mon aide, pour mettre la main sur des substances illégales. Magnifique. Je prendrais une photo sur j’avais mon téléphone sous la main. « Tu sais que je suis pas une dealeuse rassure-moi ? » Bon je joue avec les mots, je ne vends plus, mais à partir du moment où je trempe dans ce genre de milieu je doute que cela fasse une différence pour Deborah. Mais bon, mes activités me concernent, et j’ose espérer que Jo ne s’est pas permis d’en faire un rapport détaillé à son amie. Je pousse finalement un soupir. « Allez, entre. » Je m’écarte le temps de la laisser entrer, avant de refermer la porte derrière elle. « Impressionne moi avec tes connaissances Candy, qu’est-ce que tu veux, Héroïne, Morphine, GHB, Opium ? » Bon, je me fous en partie de sa gueule, de toutes les substances que je lui cite je ne suis capable d’en fournir que certaines, rapidement en tout cas, et je n'en ai testé pratiquement aucune, mais j’aime bien l’idée de la voir devenir blanche comme un linge.
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Dernière édition par Raelyn Blackwell le Mar 27 Aoû 2019 - 2:41, édité 1 fois
Elle aurait pu se rendre chez un médecin et avoir l’ordonnance tant rêvée mais ici, en Australie, ça coûtait plus cher de consulter un médecin et de payer des médicaments que de se tourner vers des solutions moins légales. C’est son porte-monnaie fort peu lourd qui l’avait poussé jusqu’ici et même si elle ignorait si Raelyn pouvait vraiment l’aider – ni même si elle voulait simplement le faire – ça ne lui coûtait rien d’essayer. Quoi que… si elle parlait à Joseph ça risquerait de dégrader d’autant plus ce qui avait tendance à s’effriter sérieusement en ce moment. Hm, elle doutait que la blonde allait le faire, elle devait sûrement s’en foutre et se contenterait sûrement de rien dire et même si c’était le cas, Debbie n’était plus à ça près, encore une fois. « A vrai dire, je sais pas trop ce que tu es. » mais ça n’avait pas grande importance, n’est-ce pas ? Dealeuse, revendeuse, elle pouvait même être la plus haute tête d’une quelconque mafia que Debra s’en ficherait, elle savait juste qu’elle avait sûrement ce qu’il lui fallait sous la main.
« C’est joli ça. » avouait-elle en frôlant à peine la robe du bout des doigts en entrant dans le grand appartement de la jeune femme. Pour être grand, il était grand… elle comprenait mieux sa petite réflexion sur la taille du sien et l’impossibilité de s’y perdre. Elle serait foutue de se perdre dans le salon ici. « Si tu me files de l’héro, je te suspecterais de vouloir me tuer. » Pour ça, elle était sûre. L’héroïne, puissant antidouleur, certes mais surtout excitant et elle serait bien incapable de dormir après consommation. « Je suis pas sûre que la Morphine endorme. Je sais que l’Opium est connu pour avoir été consommé par beaucoup d’écrivains mais j’ignore dans quel but et le GHB, les effets sont connus de tous mais est-ce que tu dors vraiment, j’ai un gros doute là-dessus. » haussant les épaules, l’aveu le plus évident du monde passait le seuil de ses lèvres. « Mais c’est pas moi l’experte, je te fais confiance là-dessus. » Au moins là-dessus ouais. Peut-être pas la meilleure de ses idées mais qui vivra verra, n’est-ce pas ? « Et arrête de m’appeler Candy, je ne suis pas aussi naïve et innocente que tu sembles le croire. » Et peut-être que ce soir, ça serait l’occasion de lui montrer d’ailleurs.
Raelyn Blackwell
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ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn. STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille. MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie. LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux. POSTS : 34332 POINTS : 3250
TW IN RP : Mention de drogues dures, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, deuil, automutilation. ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : indianred. RPs EN COURS :
maxyn #7 & sms ☆ i'm sick, yeah, i'm sick, and honestly, i'm getting high off it. your smoke in my hair hot and dirty like the l.a. air. that face, baby, it ain't fair, but you don't know what you don't know. oh, so you wanna talk about power ? oh, let me show you power. i eat boys like you for breakfast, one by one hung on my necklace. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7
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danalyn #4 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.
cecilia #2 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.
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Je ne l’attendais pas là la brune, je suis bien obligée de l’admettre. Elle ne m’avait pas donné l’impression d’être pourvue du moindre cran, encore moins celui de venir frapper à ma porte alors que la soirée était entamée et me demander aussi ouvertement de lui fournir quelque chose qu’elle ne pouvait obtenir légalement. Elle s’était tant insurgée en nous trouvant le brun et moi l’autre soir que je l’imaginais mal consommer quoi que ce soit, j’avais même du mal à penser qu’elle ait déjà tiré sur un joint. « A vrai dire, je sais pas trop ce que tu es. » Amusée, je lève un sourcil avant de m’effacer. « Et c’est très bien comme ça. » On était pas copines elle et moi, et j’avais pas mal moindre envie qu’on le devienne.
Elle entre et se permet une main sur le haut de mon bras pour toucher la dentelle de ma robe, frôlant ma peau au passage, et je me fais violence pour retenir un mouvement de recul. « C’est joli ça. » Je fronce les sourcils, assez étonnée. « Je, merci ? » C’est pas pour elle que je l’ai enfilée en tout cas. Assez amusée par la situation, je lui déroule une liste de toute ce qui me passe par la tête, avide de jauger sa réaction. « Si tu me files de l’héro, je te suspecterais de vouloir me tuer. » Je lève les yeux au ciel. Elle n’en mourrait pas, tout de suite il faut qu’elle exagère. Même moi je ne me suis jamais laissée tenter cela dit, et j’ai conscience qu’il s’agit là d’une des drogues les plus addictives. « Je suis pas sûre que la Morphine endorme. Je sais que l’Opium est connu pour avoir été consommé par beaucoup d’écrivains mais j’ignore dans quel but et le GHB, les effets sont connus de tous mais est-ce que tu dors vraiment, j’ai un gros doute là-dessus. Mais c’est pas moi l’experte, je te fais confiance là-dessus. » Elle ne sait pas de quoi elle parle la demoiselle, et lui vendre quoi que ce soit serait de toute façon inconscient. Immoral. Enfin, si j’en avais quelque chose à foutre. « Et arrête de m’appeler Candy, je ne suis pas aussi naïve et innocente que tu sembles le croire. » Je ne peux m’empêcher de laisser échapper un rire bref en me dirigeant sur le salon, avant de m’asseoir sur le canapé, croisant mes mains dans ma nuque. « T’as déjà ne serait-ce que tiré sur un joint ? » Je la regarde, clairement dubitative. « Je prends pas de drogues pour dormir, je les prends pour planer. Je dois quand même avoir des benzo dans la salle de bain, mais ces merdes là sont addictives, je sais pas pourquoi je préfère te prévenir. » Finalement je décroise mes mains pour les poser sur mes genoux avant de me pencher légèrement vers l’avant. « Donc ça dépend de ce que tu cherches vraiment. Et ce qui te met dans cet état aussi Candy. » Je ne suis pas psy, mais curieuse, c’est indéniable. J’appuie volontairement sur ce dernier mot, pour lui montrer qu’elle peut causer, je m’en fous en ferait et dirait bien ce qui me passe par la tête.
:
Dernière édition par Raelyn Blackwell le Mar 27 Aoû 2019 - 2:41, édité 1 fois
« Qui ne l’a pas fait en dehors des gosses de trois ans ? » Tirer sur un joint, c’est comme boire sa première bière ou crapoter sa première clope. Rares sont ceux qui n’ont jamais essayé. Debbie faisait partie de ces personnes qui avaient essayé et surtout continué. Sans que cela ne soit de l’excès, il lui arrivait de temps à autre, d’en consommer en soirée. Rien de bien méchant, clairement pas de quoi s’alarmer. « Mais c’est pas ce que je veux. » Ca ne serait pas assez fort, elle le savait, et ça risquerait davantage de la déprimer plus qu’autre chose. Une grimace traversait son esprit quand la demoiselle lui parlait de benzo. Un instant de réflexion, dû à la fatigue sûrement, avant de comprendre de quoi elle parlait. « Je tiens pas franchement à consommer ce genre de truc. A défaut d’un truc pour dormir, si tu as un truc qui fait planer assez fort pour oublier ou se focaliser sur des futilités, je suis preneuse. »
Quand bien même elle avait conscience que ça pouvait être tout l’un ou tout l’autre. Ça pouvait la détendre et la rendre gamine à rire de tout et n’importe quoi comme ça pouvait, au contraire, accentuer son anxiété sur ce qui la tracassait déjà et l’empêchait de dormir. « Avec un peu de chance, je planerais assez fort pour me sentir relaxer et m’endormir. » qu’elle disait en posant à son tour les fesses sur le canapé immaculé, ses doigts massant l’arrête de son nez en quête d’un soulagement de cette migraine oculaire engendrée par le reste. « Quant à ce qui me met dans cet état, c’est pas ton problème, Blondie. » pourtant elle pourrait deviner – en partie – mais la Candy en question n’avait pas envie d’en parler. Elle connaissait assez Raelyn pour savoir qu’elle ne la portait pas dans son cœur et que ça serait juste une occasion de plus pour la rabaisser et elle n’était pas venue ici pour ça. « Tu sais que plus vite tu arrêteras de jouer aux devinettes, plus vite je me casserais d’ici pour te foutre la paix et te laisser à ta soirée. » Parce qu’elle l’avait remarqué à ces fringues et ses lèvres carmines qu’elle était sûrement apprêtée pour s’en aller quelque part.
Raelyn Blackwell
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ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn. STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille. MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie. LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux. POSTS : 34332 POINTS : 3250
TW IN RP : Mention de drogues dures, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, deuil, automutilation. ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : indianred. RPs EN COURS :
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« Qui ne l’a pas fait en dehors des gosses de trois ans ? Mais c’est pas ce que je veux. » Je hausse les épaules, finalement assez déçue par la réponse de la brune, qui ne m’apprends qu’une chose : qu’elle est d’une banalité triste à pleurer. Consommer des joints en soirée pour avoir l’air plus cool, plus ouverte et se fondre dans la masse, quelle originalité. « Je tiens pas franchement à consommer ce genre de truc. A défaut d’un truc pour dormir, si tu as un truc qui fait planer assez fort pour oublier ou se focaliser sur des futilités, je suis preneuse. » Je hausse les épaules, répondant simplement. « Tu m’as demandé quelque chose pour dormir, si tu veux des somnifères homéopathiques t’as frappé à la mauvaise porte. » Pour quoi elle est là en fait ? Elle cherche juste un peu de frisson, elle a envie de se foutre le cerveau en l’air le temps de quelques heures et ses insomnies ne sont qu’un prétexte ? Je l’observe s’installer sur le canapé après avoir jeté un œil à la pièce dans laquelle nous nous trouvons. « Avec un peu de chance, je planerais assez fort pour me sentir relaxer et m’endormir. » Je l’observe un instant, sans trop savoir où elle veut en venir, ce qu’elle attend réellement de moi, et ce qu’elle veut que je lui fournisse. Parce que si elle veut jouer, on peut jouer, mais pas sure qu’elle ne le regrette pas demain au réveil, quand elle réalisera que les stupéfiants ne sont pas des jeux. « Quant à ce qui me met dans cet état, c’est pas ton problème, Blondie. » Je laisse échapper un sourire satisfait sous l’effet de la joute verbale. Elle est mignonne, à débarquer chez moi sans crier gare, à me demander de la fournir sans trop savoir où elle met les pieds ni combien elle devra débourser pour ça, et en plus à essayer de me clouer le bec. Elle a de l’audace, je dois bien le lui avouer, et un sacré culot. « Tu sais que plus vite tu arrêteras de jouer aux devinettes, plus vite je me casserais d’ici pour te foutre la paix et te laisser à ta soirée. » Je réfléchis un instant, jambes croisées et bras posés sur mes cuisses, avant de pencher ma tête sur le côté. « Pour planer t'es au bon endroit, mais t’es vraiment sûre de toi ? Après la scène que tu nous as faite l’autre jour, j’ai bien du mal à y croire. » Je marque une pause, mais sans lui laisser le temps de reprendre, je continue, me penchant sur la table basse pour attraper mon paquet de cigarette. « Et c’est devenu mon problème à partir du moment où t’as décidé de venir me déranger jusqu’à chez moi en me suppliant de t’aider. » Supplier, le terme est en peu fort, mais elle avait avoué avoir besoin de mon aide, et venant d’elle c’était la même chose pour moi. « J’en ai rien à foutre de ton argent. Mais les histoires et confessions, ça c’est une monnaie d’échange qui m’a toujours intéressée. » Je me lève finalement pour entrouvrir la baie vitrée, et allumer une cigarette que je coince entre mes lèvres carmins, tirant une première latte avant d’expirer l’air de mes poumons, fixant la vue quelques secondes avant de reposer mes yeux sur la brune.
Elle ne savait plus vraiment ce qu’elle voulait ou plutôt, elle n’avait jamais su. Est-ce qu’elle voulait vraiment dormir ou simplement faire abstraction de ses pensées, éteindre ce cerveau trop actif qui prenait un malin plaisir à la torturer ? Peut-être. Peu importe. L’un dans l’autre, ça revenait au même. Dormir lui permettrait d’oublier quelques heures, c’était le plus important. Alors non, Brody ne savait pas vraiment ce qu’elle voulait parce qu’elle n’y connaissait rien à ces conneries de drogues et c’était bien pour ça qu’elle était là, comptant sur Raelyn pour la renseigner et peut-être même la fournir si elle avait ce qu’il fallait. C’était la seule chose dont elle était sûre, vouloir tout éteindre. « Oui je suis sûre de moi. Ce n’est pas tant la consommation de drogue qui m’a emmerdé la dernière fois mais bref. » Non, elle n’avait pas envie d’en parler, elle n’était pas là pour parler de Joseph et ses conneries à la con, ça aussi ça la fatiguait trop et elle n’avait pas besoin de ça en plus en ce moment.
Mais la blonde en décidait autrement. Elle voulait la faire parler, même lui tirer les vers du nez à ce niveau-là. Elle ne voulait pas d’argent, juste l’entendre parler des raisons de cette envie de s’envoyer en l’air. Debbie ne pensait pas avoir frappé à la porte d’une psychologue… « Tu es en train de me demander de te donner des raisons de te foutre de ma gueule plus qu’à l’accoutumée? » Elle se tournait vers elle, elle la fixait, la cigarette entre les lèvres, les iris dans les siens. Elle attendait les confessions, les raisons qui la posaient à avoir son cul dans son canapé. Alors Debbie, elle soupirait dans un premier temps, elle roulait un peu des yeux et elle finissait par lâcher quelques mots. « Tu vas trouver ça pitoyablement minable tellement c’est banal mais tu l’auras voulu : je cumule les jobs, le stress avec, les heures de sommeil en moins. Je me suis embarquée dans une histoire complètement barje que je suis pas sûre de totalement assumée… » Et elle voulait pas en parler, et pourtant son instinct lui hurlait de le faire. Ça la bouffait de l’intérieur, comme si elle devait le dire pour évacuer la chose comme si Raelyn ne s’en doutait pas alors que c’était évident. « Et l’autre là... » un instant de pause, juste le temps de cracher sa rage, celle qui fait mal et qu’elle ne retient pas. « Putain, quel connard ! »
Raelyn Blackwell
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ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn. STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille. MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie. LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux. POSTS : 34332 POINTS : 3250
TW IN RP : Mention de drogues dures, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, deuil, automutilation. ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : indianred. RPs EN COURS :
maxyn #7 & sms ☆ i'm sick, yeah, i'm sick, and honestly, i'm getting high off it. your smoke in my hair hot and dirty like the l.a. air. that face, baby, it ain't fair, but you don't know what you don't know. oh, so you wanna talk about power ? oh, let me show you power. i eat boys like you for breakfast, one by one hung on my necklace. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7
spencer #14 ☆ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand. take another walk out of your fake world, please put all the drugs out of your hand. you'll see that you can breathe without no back up, so much stuff you got to understand.
danalyn #4 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.
cecilia #2 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.
miles #1 & #2 ☆ i've been waiting patiently, i built this tower quietly. And when my well of wellbutrin is running dry of serotonin i can say things I don't mean. or maybe it's the truth in me, i feel it building, bubbling up.
RPs EN ATTENTE : aisling #3
RPs TERMINÉS : liste tenue à jour dans ma fiche de liens
« Oui je suis sûre de moi. Ce n’est pas tant la consommation de drogue qui m’a emmerdé la dernière fois mais bref. » Je lève un sourcil, assez interpellée par tout ça. J’ai du mal à imaginer ce qui a tellement pu troubler la brune, si ce n’est l’état dans lequel elle a trouvé son ami, son plan cul, son mec ou je ne sais quoi encore. Pas son mec, certainement pas son mec, elle ne serait pas là sinon vu tout ce que je lui ai balancé au visage ce soir-là. Elle me haïrait, elle m’aurait sauté dessus pour m’attraper par les cheveux si elle avait nourri des sentiments amoureux à son égard. Je m’appuie contre la baie vitrée entrouverte pour profiter de ma cigarette alors que Deborah se pose sur le canapé, et je ne la quitte pas des yeux, assez amusée par la scène que j’ai sous les yeux. J’ai envie de la voir supplier la jeune femme, se plier à ma volonté pour avoir ce qu’elle souhaite, c’est ma façon à moi de me venger pour cette soirée où elle s’est permise de s’attaquer à moi. Alors je la fais parler dans un premier temps, parce que j’ai toujours accordé plus de valeur à l’information qu’à quoi que ce soit d’autre, et parce que cela m’amuse, de la voir se livrer alors qu’elle ne doit malgré tout pas me porter dans son cœur. « Tu es en train de me demander de te donner des raisons de te foutre de ma gueule plus qu’à l’accoutumée ? » Je laisse échapper un sourire en coin. « Tu vois, t’es pas si idiote, t’as compris toute seule. » Je porte à nouveau ma cigarette à mes lèvres, mon bras libre croisé contre ma poitrine, me délectant de la scène que j’ai sous les yeux. « Tu vas trouver ça pitoyablement minable tellement c’est banal mais tu l’auras voulu : je cumule les jobs, le stress avec, les heures de sommeil en moins. Je me suis embarquée dans une histoire complètement barje que je suis pas sûre de totalement assumer … » Je suis assez déçue jusqu’ici, mais reste silencieuse puisque j’ai l’intention qu’elle n’a pas terminé, qu’il lui reste encore quelque chose à dire avant d’avoir complètement vidé son sac. La chose qui la met dans cet état, puisque c’est celle qu’elle retient pour l’instant. « Et l’autre là... » On y vient. Elle n’a pas besoin de m’expliquer qui est l’autre. « Putain, quel connard ! » Je l’observe un instant, sans répondre, tirant une nouvelle bouffée, comme pour rythmer la conversation, me faire attendre. « Vous êtes quoi tous les deux au juste ? » Il s’agit là de curiosité, pas de jalousie. J’essaye de comprendre ce qui peut bien la mettre dans cet état-là. « Parce que de mon point de vue, ce qu’il s’est fait l’autre soir, c’est du mal à lui, pas à toi. » Avec ma vision étriquée de l’amitié et des relations humaines, j’ai du mal à comprendre la colère de la jeune femme. « J’espère que t’es pas sa copine. Parce qu’il a jamais parlé de toi, et si ma conscience n’en souffrirait pas, je trouverais toutefois ça d’une banalité à pleurer. » Et je n'ai pas l’impression qu’il le soit, banal, notre ami en commun. Et elle non plus, finalement.
La question était posée, elle venait de tomber. Qu’est-ce qu’ils sont ? Deborah ne s’était jamais posé la question et c’était étrange de devoir y répondre. C’était si naturel entre Joseph et elle qu’elle ne s’était jamais demandé ce qui les liait vraiment. Ce n’était pas de l’amour, pas dans le sens amoureux du commun des mortels, ça c’était certain mais ce n’était pas un banal copain non plus. L’appeler le meilleur ami serait terriblement cliché, c’était pourtant ce qui s’en rapprochait le plus sans être tout à fait ça pour autant. Il était plus que ça, bien plus que ça. Joseph c’était un tout, pas vraiment définissable mais ô combien indispensable, et c’est ce qui emmerdait le plus la brune là-dedans. Elle n’était pas foutue de se passer de lui quand bien même il était le premier à la blesser… contrairement à Raelyn qui arrivait à lui arracher un rire bien malgré elle certainement. « Putain, non, je suis pas sa meuf, heureusement. » L’idée la faisait rire parce qu’elle admettait que ça pouvait être crédible. Entre sa réaction de l’autre soir et la tendance de Joseph à être jaloux, il était aisé de se poser la question mais l’évidence de leur amitié – bien que bancale – avait pris le pas sur une éventuelle romance dont ils n’étaient de toute façon pas capables individuellement. « On est des amis. On était des amis en tout cas, je ne sais pas trop ce qu’il en est maintenant. » Elle haussait les épaules, sans savoir empêcher cette peine qui traversait ses traits l’espace d’une seconde. « Je ne sais même pas où il est. » Un instant de suspension dans l’air, une pause d’une seconde pour mieux compléter dans la précipitation. « Et je veux pas le savoir. » Menteuse qui reniait cette crainte entraînée par la non connaissance. « Je veux juste dormir, planer, peu importe tant que ça me fait oublier cette énorme connerie qu’on appelle la vie. »
Raelyn Blackwell
la muse des cauchemars
ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn. STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille. MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie. LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux. POSTS : 34332 POINTS : 3250
TW IN RP : Mention de drogues dures, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, deuil, automutilation. ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : indianred. RPs EN COURS :
maxyn #7 & sms ☆ i'm sick, yeah, i'm sick, and honestly, i'm getting high off it. your smoke in my hair hot and dirty like the l.a. air. that face, baby, it ain't fair, but you don't know what you don't know. oh, so you wanna talk about power ? oh, let me show you power. i eat boys like you for breakfast, one by one hung on my necklace. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7
spencer #14 ☆ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand. take another walk out of your fake world, please put all the drugs out of your hand. you'll see that you can breathe without no back up, so much stuff you got to understand.
danalyn #4 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.
cecilia #2 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.
miles #1 & #2 ☆ i've been waiting patiently, i built this tower quietly. And when my well of wellbutrin is running dry of serotonin i can say things I don't mean. or maybe it's the truth in me, i feel it building, bubbling up.
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J’observe les réactions qui passent sur son visage sans un mot, en me délectant de la voir lutter pour mettre des mots sur cette relation de toute évidence étrange qui les lie. Elle semble surprise, ou en tout cas elle semble hésiter. Sur ce qu’elle ressent et sur la réponse en elle-même, ou sur le fait de savoir si oui ou non elle doit me la donner ? Difficile à dire, difficile d’être certaine en tout cas, mais je ne peux m’empêcher de noter le trouble, et de la voir perdre un peu de sa superbe, elle qui pour l’instant me faisait face comme si elle était chez elle, et pas comme si elle s’était invitée elle-même dans mon appartement. Je ne dis rien et reste impassible, ma cigarette qui se consume entre mes doigts alors que je ne la quitte plus du regard. J’ai du mal à comprendre, cette difficulté à mettre des mots sur leur relation. Pour moi tout est simple, parce que je ne fais pas dans l’ambiguïté. Alec et un ami. Jo est un plan cul. Les choses sont plus simples, lorsqu’elles sont ainsi cloisonnées. L’ambigüité c’est le risque de laisser les choses nous atteindre, et ce risque là il y a longtemps que je n’en suis affranchie. « Putain, non, je suis pas sa meuf, heureusement. » Je hausse un sourcil et hoche la tête. Après tout ce ne sont pas mes affaires. « On est des amis. On était des amis en tout cas, je ne sais pas trop ce qu’il en est maintenant. » Encore une fois je ne peux empêcher un air étonné de traverser mon visage. « Parce qu’il se drogue ? » Elle me donnerait alors l’impression d’être bien intransigeante, et pas le genre d’amie que j’ai envie d’avoir à mes côté, si c’était le cas. Je me retiens bien de dire ce que je pense très fort, qu’à première vue c’est quelque chose qui ne la concerne pas. « Je ne sais même pas où il est. » Je penche la tête sur le côté, me demandant un instant si elle veut a réponse à cette question, avant qu’elle n’enchaîne rapidement. « Et je veux pas le savoir. Je veux juste dormir, planer, peu importe tant que ça me fait oublier cette énorme connerie qu’on appelle la vie. » Je l’observe en silence un instant avant de finalement me décoller du mur pour venir écraser ma cigarette dans le cendrier posé sur la table basse, et m’installer sur le canapé en face de celui sur lequel elle a pris place. « Il était là l’autre nuit. Mais comme je l’ai pas pucé, j’aurais de toute façon pas pu te répondre. » La dernière fois que j’ai vu Jo c’était il y a deux jours, peut être trois, et la situation aurait été autrement cocasse si la brune avait décidé de se pointer à ce moment-là. « Je consomme de l’ecstasy et le péché mignon de Jo, c’est la cocaïne, mais c’est peut-être une entrée en matière un peu violente. Je dois avoir quelques champis, pour planer, tu planeras. » Des restes de la soirée à laquelle j’ai amené Jo, à laquelle elle est venue nous chercher, mais je ne suis pas sure qu’il soit nécessaire de le préciser… J'ai hâte de voir Candy halluciner, et d'en découvrir un peu plus sur ce que renferme cet esprit qui me semblait jusqu'ici si étriqué.
Elle l’observait, Raelyn. Avec sa clope au bec, qui semblait se consumer aussi rapidement que la patience de Debra. Elle semblait plus éclairée par la lueur de la lune que par la lumière de son salon. Elle était belle, il fallait l’avouer. Cette blondeur parfaite, ce visage aux traits francs mais gracieux, Ses courbes, aussi discrètes soient-elles, soulignées par cette robe particulièrement moulante. Deborah la voyait sous un nouveau jour tout à coup – ou sous un nouveau soir, elles qui avaient l’habitude de se fréquenter étrangement la nuit – comme si son esprit cherchait à dériver ses pensées pour ne plus penser à Joseph mais à Raelyn, tentative relativement vaine compte tenu de la conversation qu’elles entraînaient. « Non, ça je m’en fou... enfin, non, je m’en fou pas, je préférai pour lui qu’il ne soit pas accro à cette merde mais en soit ça me concerne pas, il fait ce qu’il veut. Me mentir pendant plus d’un an, en revanche, les yeux dans les yeux sans jamais sourciller, ça passe beaucoup moins. Il faut croire que lui et moi on n’a pas franchement la même conception de l’amitié. » Amitié censée être sincère, surtout quand elle est à un niveau si important de confiance mais elle ignorait si la blonde pouvait le comprendre parce qu’elles n’étaient pas assez proches pour que la brune soit au courant des amitiés ou non de Raelyn. Peut-être que ce soir, ça pourrait les rapprocher, qui sait.
« Il allait bien ? » Parce qu’elle continuait de l’aimer cet enfoiré alors elle était bien incapable de s’empêcher de poser la question, de prendre un minimum de nouvelles. Elle était idiote parce qu’elle pourrait le contacter et il répondrait sûrement immédiatement mais elle lui avait dit qu’elle voulait plus le voir ni lui parler s’il ne se faisait pas soigner et Debra n’avait qu’une parole… presque… ou un égo fort mal placé. « Je note que mes conneries valent assez le coup pour des champis. » Ça la faisait rire. Elle n’avait plus envie de pleurer, ni de s’énerver, elle n’avait plus la force ni l’énergie pour ça. Et puis elle était là pour se détendre de toute façon. « C’est quel type de champi et comment ça marche ? » Bah ouais… en plus il lui fallait une posologie à celle-là. Autant dire qu’elle avait aucune idée de ce qui l’attendait, ni comment ça se prenait. Elle était si loin de l’univers de Raelyn et Joseph et l’idée d’y mettre un pied était assez étrange et excitant à la fois. « Je te fou la paix après. J’irais les prendre chez moi. » Bien loin l’idée que ça puisse être dangereux si elle était seule.
Raelyn Blackwell
la muse des cauchemars
ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn. STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille. MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie. LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux. POSTS : 34332 POINTS : 3250
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maxyn #7 & sms ☆ i'm sick, yeah, i'm sick, and honestly, i'm getting high off it. your smoke in my hair hot and dirty like the l.a. air. that face, baby, it ain't fair, but you don't know what you don't know. oh, so you wanna talk about power ? oh, let me show you power. i eat boys like you for breakfast, one by one hung on my necklace. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7
spencer #14 ☆ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand. take another walk out of your fake world, please put all the drugs out of your hand. you'll see that you can breathe without no back up, so much stuff you got to understand.
danalyn #4 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.
cecilia #2 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.
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Je ne sais pas réellement ce qu’elle fait là la demoiselle. Certes, elle sait que je peux lui fournir ce dont elle pense avoir besoin, mais je ne suis pas la seule dealeuse de Brisbane, et certainement pas sa préférée. Il suffit d’aller dans la moindre boite de nuit, de connaître un minimum le milieu et simplement le Brisbane nocturne pour trouver de quoi se défoncer. Pourquoi venait-elle à moi ? « Non, ça je m’en fou... enfin, non, je m’en fou pas, je préférai pour lui qu’il ne soit pas accro à cette merde mais en soit ça me concerne pas, il fait ce qu’il veut. Me mentir pendant plus d’un an, en revanche, les yeux dans les yeux sans jamais sourciller, ça passe beaucoup moins. Il faut croire que lui et moi on n’a pas franchement la même conception de l’amitié. » Je la regarde, portant une dernière fois le filtre de ma cigarette contre mes lèvres, avant de hausser les épaules. « On a pas l’a même non plus alors. » J’ai toujours considéré qu’être ami ne veut pas dire partager chacune pensée et chaque secret. Mais je ne connais pas leur relation, peut-être l’a-t-il regardée droit dans les yeux en lui jurant qu’il ne consommait pas, ou plus. « Il allait bien ? » A présent assise sur le canapé, les jambes croisées et le poids de mon corps vers l’avant, je l’observe quelques secondes. Pour quelqu’un qui ne veut pas parler de lui, elle se soucie beaucoup trop de son bien-être. « Il allait comme d’habitude. On peut pas dire que les conversations à bâtons rompus soient notre truc. » Aheum. Ouais, ça elle le savait, il me semble que j’avais été cruellement claire la dernière fois. « Je note que mes conneries valent assez le coup pour des champis. » Je lui adresse un sourire, sans préciser que cela doit être le truc le moins cher que j’ai chez moi, avant de me lever et d’ouvrir le tiroir de la console proche de l’entrée, pour en tirer une petite poche en plastique. « C’est quel type de champi et comment ça marche ? Je te fou la paix après. J’irais les prendre chez moi. » Je laisse échapper un rire en revenant vers le salon. « Pas ceux que tu mets sur la pizza, si tu veux tout savoir. » Je m’approche d’elle pour m’asseoir à ses côté sur le canapé blanc. « C’est simple comme bonjour. Ouvre la bouche. » Mes doigts fouillent le sachet pour en sortir quelques champignons séchés, avant de plonger mon regard dans le sien, attendant qu’elle s’exécute. Hors de question de rater Candy sous hallucinations.
« Je sais pas si je dois dire « tant mieux » qu’il soit comme d’habitude mais disons que c’est un bon signe. » Parce que comme d’habitude, ça voulait dire qu’il n’était pas en danger mais ça voulait aussi dire qu’il n’était pas en état de manque et ça, ça voulait tout dire mais Debbie ne préférait pas s’attarder sur la question, ça la minerait d’autant plus et être ici n’était certainement pas le but. Instinctivement, le regard de la brune suivait Raelyn qui allait simplement prendre un sachet dans un tiroir de l’entrée. C’était relativement fou comme c’était simple comme bonjour. Pour Raelyn, avoir de la drogue dans un tiroir, c’était comme avoir un crayon bic pour le commun des mortels. « Manger une pizza aux champis avec ceux-là, ça pourrait être drôle. »
Et puis Raelyn la surprenait. Elle voulait lui faire prendre les champignons immédiatement. « Tu es sûre de toi ? Parce que je risque d’être encore plus chiante que d’habitude tu sais et j’ai bien vu que déjà en temps normal, je te saoule très souvent. » Bah quoi ? Ça se voyait à sa tronche la dernière fois et surtout à son envie de se casser. « Je suis désolée pour la dernière fois d’ailleurs. » Elle l’avait déjà dit, la dernière fois justement, mais elle tenait à lui redire, dans un contexte plus calme, pour souligner qu’elle ne l’avait pas exprimé exprès la fois dernière simplement pour lui faire plaisir et pour la faire céder. « Tu comptes en prendre aussi ou m’observer ? … Et je me tais avant de te saouler de nouveau. » Et elle se contentait d’ouvrir la bouche, les yeux dans les yeux de Raelyn, attendant (trop) sagement sa récompense, se perdant un peu dans son regard aussi clair que celui de Joseph… putain, il était temps qu’il sorte de son esprit celui-là.
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cecilia #2 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.
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Elle parle encore de lui, encore et encore, comme s’il faisait partie intégrante de sa vie. Si j’avais voulu entendre parler de Jo ce soir, je l’aurais appelé pour lui demander de venir. Je n’aurais pas fait venir Candy pour qu’elle me parle de leur relation, du problème de son ami avec le drogue, ou du désespoir qu’il avait induit chez elle. Bon ok, sur ce dernier point, une partie de moi se réjouissait intérieurement. Pas parce que je lui souhaitais du mal, pas plus à elle qu’à lui, mais parce que j’avais l’impression d’assister à une pièce de théâtre immersive, de tenir un rôle secondaire et de me délecter de ce qu’il se passait devant moi. Toujours ce foutu manque d’empathie, il faut croire. « Je sais pas si je dois dire « tant mieux » qu’il soit comme d’habitude mais disons que c’est un bon signe. » Je hausse les épaules, avant de balayer le sujet dans une dernière phrase. « Tu te feras du mal si tu penses pouvoir faire changer les gens, les aider alors qu’ils n’ont pas envie d’être aidés. » Je n’avais jamais assez échangé avec Jo à ce sujet pour savoir si c’était son cas ou pas, mais la demoiselle et son complexe de mère Térésa risquaient de prendre des coups dans la mâchoire, de façon plus générale. « Manger une pizza aux champis avec ceux-là, ça pourrait être drôle. » Je me garde bien de lui dire que certains le font, parce que je n’ai pas envie de briser sa si belle innocence, mais me permets un sourire en coin alors que je viens me rasseoir, lui demandant simplement d’ouvrir la bouche. « Tu es sûre de toi ? Parce que je risque d’être encore plus chiante que d’habitude tu sais et j’ai bien vu que déjà en temps normal, je te saoule très souvent. » Je secoue la tête, assez amusée par cette soudaine lucidité. « Si j’en ai marre je te mettrai dehors. » C’est faux, parce que même moi je ne mettrai pas à la porte la brune si elle est sous l’emprise de stupéfiants. « Je suis désolée pour la dernière fois d’ailleurs. » Je vrille mes pupilles dans les siennes, assez surprise qu’elle réitère ses excuses quand même moi c’est le genre de chose que j’ai bien du mal à ne faire ne serait-ce qu’une seule fois. « Tu comptes en prendre aussi ou m’observer ? … Et je me tais avant de te saouler de nouveau. » Je réfléchis un instant. « J’ai pas prévu de consommer ce soir. » Elle finit par – enfin – se taire et ouvrir la bouche, alors que je dépose une légère dose de champignons sur le bout de sa langue du bout des doigts. « Maintenant tu mâches, c’est pas sorcier. »
Elle avait tort mais Deborah se gardait bien de lui dire. Elle le savait que Jo subissait la drogue, qu’il n’en voulait pas dans sa vie, qu’il ne serait pas contre l’idée de se faire aider s’il le pouvait, qu’il la laisserait sûrement l’aider s’il le lui demandait. Elle le savait, Debra, que Joseph subissait la drogue et qu’il s’en débarrassait bien mais elle savait aussi qu’il n’avait pas eu le déclic, que ces quelques années de sevrage, il les avait tout autant subies. Elle se taisait donc, préférant de l’affirmation de la blonde. « Je peux te faire confiance pour, au moins, appeler un taxi si tu me jartes ? » Non parce que l’idée de se retrouver dehors et droguée, ça lui plaisait que moyennement. Puis elle mâchait. Encore. « Je tiens à dire que c’est dégueulasse quand même, à titre d’information que tu dois déjà connaître. » Encore. Enc…
Et elle avait fini par s’affaler sur le canapé. L’heure était passée à une vitesse folle et les effets étaient rapidement montés dans le corps presque vierge de drogues de Debra. Elle avait ce sourire niais plaqué sur le visage et le rire si facile. Si Jo – et ses autres problèmes – n’avait pas quitté son esprit, il s’était amoindri au profit d’une hallucination pour le moins étonnant. « C’est plus confort que je le pensais un alligator. » Elle avait ri, aux éclats. Ces mêmes éclats qu’elle avait quand elle était gamine et qui ne s’étaient pas fait entendre depuis longtemps. L’éclat de l’innocence et de l’insouciance, même si c’était basé sur le canapé qui s’était étrangement transformé. Et puis son regard s’était de nouveau posé sur Rae avec une insistance grande. Elle ne la quittait plus du regard, comme si elle venait d’avoir un coup de foudre sur une inconnue croisée dans la rue. « T’es canon quand même, il se fait pas chier l’autre. » Ouais, l’autre, encore mais pour une fois ses pensées étaient bien plus tournées vers Rae que Jo… et c’était pas bien catholiques là-dedans. Oups.