And he broke your throne and he cut your hair - Eliah (Jet et Elora)
Shiloh Atkins
la reconstruction
ÂGE : vingt-huit ans - (8.11.1996) SURNOM : elle préfère shiloh et rien d'autre STATUT : célibataire, elle réapprends à faire confiance après une relation abusive. MÉTIER : styliste pour la maison de couture Weatherton, un rêve devenu réalité pour lequel elle continue à travailler comme une acharnée LOGEMENT : #45 james street, fortitude valley où elle donne une nouvelle chance à la colocation avec Olive POSTS : 5488 POINTS : 1160
TW IN RP : mention de relation abusive (psychologique et physique), revenge porn, dépréciation de soi GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : a un frère jumeau, Nathan › sait coudre depuis ses dix ans et ne rate jamais une occasion de créer ses propres vêtements › viens tout juste de revenir à Brisbane › sort d'une relation abusive qui aura durer un peu plus d'un an › naturelle et souriante, elle c'est renfermé sur elle-même ces derniers temps DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #AA6195 RPs EN COURS : (05)kieran #1 › lewis #5 › megan #14 › cleo #3
leloh #5 › and i want to tell you everything. the words i never got to say the first time around and i remember everything from when we were the children playing in this fairground. wish i was there with you now. if the whole world was watching i'd still dance with you, drive highways and byways to be there with you, over and over the only truth. everything comes back to you
meloh #14 › only you know me the way you know me, only you forgive me when i'm sorry. need you when i'm broken, when i'm fixed, need you when i'm well, when i'm sick. friends that i rely on don't come through, they run like the river, but not you. there you are, with open arms.
Il me faudra quelques secondes pour me mettre réellement dans l’ambiance et je finis par chanter comme si j’étais seule dans ma salle de bain. Autant dire que rien n’est parfait, je chante probablement trop vite, trop fort et… Bien trop mal, mais je m’en fiche. J’ai bien trop bu pour me soucier de ce que les gens vont penser de moi et c’est bien le fun dans tout ça. Je vois bien que Jet semble perdu dans son monde lorsqu’il joue de la guitare et je trouve cela encore un peu plus sexy. Les musiciens, c’est toujours sexy. Je tente même quelques petits pas de danse sur la scène avant que la chanson se termine. C’est brouillon et un brin maladroit, mais au moins je m’amuse vraiment. Lorsque l’on descend de la scène, je manque de m’étaler au sol et me rattrape à Jet en souriant. Il assure que je chante comme une casserole et ça me fait rire aux éclats. « C’est pas un truc qu’on dit aux demoiselles, tu sais. » ajoutais-je en riant un peu. J’embrasse le coin de ses lèvres sans réellement oser faire plus alors qu’il me propose un autre verre.
« Oui, complètement bourré pour te ramener plus facilement chez moi ! Fais gaffe que j'essaie pas de mettre quelque chose dans ton verre pour te droguer ! » Je le regarde avec des yeux ahuris avant de me mettre à rire de bon cœur. En temps réel, je crois que j’aurais pris peur. Ce soir ? Je trouve cela drôle et je me dis qu’un gars déterminé ne parlerait pas de son plan aussi facilement. Non ? Je préfère ne pas penser à cela et reste près de lui pour retourner contre le bar. « T’es trop mignon pour être un grand méchant. Je crois ! » Je souris un peu et reste accrocher à son bras comme si je ne savais plus marcher seule. Ce qui est probablement le cas dans le fond. Et je ne compte pas le laisser s’échapper. Je veux continuer à passer ma soirée en sa compagnie et cela implique une petite descente sur la piste de danse. Bien entendu, le brun ne semble pas être de mon avis. « T'es sûre ? Tu préfères pas que je retourne jouer de la guitare ? Je suis bien meilleur en guitare ! » Je secoue la tête et prends la paille de mon cocktail entre mes dents pour en boire une petite gorgée. Je m’amuse avec le petit parasol en plongeant mon regard dans celui du jeune homme. « Nope. T’as dit qu’on faisait ce que je voulais. » Je lui fais un grand sourire vraiment fier de moi. « Je sais que tu veux me ramener chez toi alors va falloir travailler dur, tu vois. » Je lui fais un clin d’œil et me redresser un peu sur mon tabouret. « Bon en vrai t’y es presque hein, mais je fais pas ce genre de truc d’habitude. Je veux dire, aller chez un inconnu et tout ça, mais j’ai envie. Je crois. » Et voilà que je me mets à trop parler, mais c’est souvent le cas avec moi. Je suis un peu stressée, mais j’ai envie de finir la nuit avec lui. J’ai juste jamais réellement fait cela et j’ai pas réellement confiance en moi. Pas du tout même. « Non, je suis sûre même. » Je souris et reprends une gorgée de mon cocktail. « Désolée, je suis pas très intéressante hein. »
and i want to tell you everything. the words i never got to say the first time around and i remember everything from when we were the children playing in this fairground. wish i was there with you now, if the whole world was watching i'd still dance with you. drive highways and byways to be there with you. over and over the only truth, everything comes back to you
Elle reste proche de moi, et je la laisse faire, je préfère ne pas prendre les devants pour l'instant. Mais je reste taquin, et ça a l'air de beaucoup lui plaire, je lui plais apparemment beaucoup et ça ne m'étonne pas vraiment, j'ai trouvé exactement comment faire pour qu'elle ai confiance. « C'est pas un truc qu'on dit aux demoiselles, tu sais. » Je ris, et elle me suit avant d'embrasser le coin de mes lèvres. « ça va tu le prends pas trop mal à ce que je vois. » et je lui fais un clin d’œil en attrapant sa main pour retourner vers le bar. Je lui fais part de faux plans que je pourrais avoir pour la ramener chez moi, je teste son humour, et sa confiance, et elle me regarde étonnée. Alors je lui fais un clin d’œil pour la rassurer, elle n'est pas au courant que je pourrais réellement faire ça si je le pouvais. Elle a de la chance que je ne sois pas ce genre de mec.
« T'es trop mignon pour être un grand méchant. Je crois ! » Je souris en coin, si elle savait. Elle est vraiment naïve la petite, mais elle serait presque touchante. Aucune fille ne me fait confiance aussi rapidement d'habitude, et aucune n'est aussi amusante. Je ne sais pas vraiment ce que j'en pense, mais je continue de lui parler, et de m'amuser. « Alors comme ça je suis trop mignon ? » et j'hausse un sourcil en plantant mon regard dans le sien. J'essaie de négocier pour pas qu'elle m'oblige à aller danser, ça fait des années que je ne suis pas allé sur une piste de danse, j'ai jamais besoin d'aller jusque là d'habitude, mais pourquoi pas, on va certainement continuer de s'amuser. « Nope. T'as dit qu'on faisait ce que je voulais. » J'ouvre la bouche, m'apprêtant à répondre, avant qu'elle ne recommence à parler elle aussi. « Je sais que tu veux me ramener chez toi alors va falloir travailler dur, tu vois. »Je tourne ma tête vers elle, elle est vraiment surprenante cette fille. J'avance vers elle, je me rapproche un peu plus, nos visages sont de nouveau très proche, trop proche. Elle a pris sa décision et je ne risque pas d'essayer de l'en dissuader, c'était exactement mon plan de la soirée. « Non, je suis sûre même. » Je rapproche mes lèvres des siennes pour l'embrasser avant qu'elle ne puisse dire quoi que ce soit de plus. Je bois mon dernier verre cul sec avant le l'attraper par le bras pour l'emmener vers la piste de danse. « Allez, viens, tu voulais danser non ? » Je lui fais un clin d’œil. « Désolé, je suis pas très intéressante hein. » Je secoue la tête en posant ma main sur sa joue, je sens qu'elle aimera ce contact. « Tu es certainement la fille la plus intéressante de cette salle ! » je plante mon regard dans le sien pour appuyer mes propos. Mais c'était toujours un jeu non ? Je jouais toujours un peu, même si je me surprenais à lui faire un sourire sincère en l'entraînant proche de moi pour bouger en rythme avec la musique.
Shiloh Atkins
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ÂGE : vingt-huit ans - (8.11.1996) SURNOM : elle préfère shiloh et rien d'autre STATUT : célibataire, elle réapprends à faire confiance après une relation abusive. MÉTIER : styliste pour la maison de couture Weatherton, un rêve devenu réalité pour lequel elle continue à travailler comme une acharnée LOGEMENT : #45 james street, fortitude valley où elle donne une nouvelle chance à la colocation avec Olive POSTS : 5488 POINTS : 1160
TW IN RP : mention de relation abusive (psychologique et physique), revenge porn, dépréciation de soi GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : a un frère jumeau, Nathan › sait coudre depuis ses dix ans et ne rate jamais une occasion de créer ses propres vêtements › viens tout juste de revenir à Brisbane › sort d'une relation abusive qui aura durer un peu plus d'un an › naturelle et souriante, elle c'est renfermé sur elle-même ces derniers temps DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #AA6195 RPs EN COURS : (05)kieran #1 › lewis #5 › megan #14 › cleo #3
leloh #5 › and i want to tell you everything. the words i never got to say the first time around and i remember everything from when we were the children playing in this fairground. wish i was there with you now. if the whole world was watching i'd still dance with you, drive highways and byways to be there with you, over and over the only truth. everything comes back to you
meloh #14 › only you know me the way you know me, only you forgive me when i'm sorry. need you when i'm broken, when i'm fixed, need you when i'm well, when i'm sick. friends that i rely on don't come through, they run like the river, but not you. there you are, with open arms.
En entrant dans ce club, je pensais que j’allais passer la nuit a m’ennuyer et à regarder Itziar de loin alors qu’elle s’amuserait avec un mec. Je n’avais pas réellement prévu que moi aussi, j’allais rencontrer quelqu’un et que surtout, pour une fois, je n’allais pas me laisser bouffer par ma timidité. Je prends réellement sur moi afin de passer un agréable moment avec Jet. Le beau brun sait clairement jouer de son charme et si je me méfiais un peu au départ, désormais, je serais capable de le suivre dans toutes ses idées un peu folles. Ma timidité ne va pas disparaître aussi facilement, mais j’ai réellement envie d’arrêter de me poser mille questions à la minute. Je voudrais juste profiter de ma soirée et pourquoi pas rentrer avec le musicien. Cela n’a jamais réellement été mon genre et l’alcool me le fait dire à voix haute. C’est bien le problème lorsque je bois un peu trop, je deviens un vrai moulin à paroles et je suis assez tactile aussi. Je touche le bras de Jet à peu près toutes les trente secondes et lui souris comme jamais. « Alors comme ça, je suis trop mignon ? » Je rougis légèrement en me rendant compte de ce que je viens de lui dire. Gosh. On dirait véritablement une adolescente de seize ans devant son crush. Je ne sais vraiment pas m’y prendre avec les hommes. Pourtant, cela ne semble pas réellement déranger Jet. Bien au contraire. Son visage est subitement très proche du mien. Vraiment très proche. Je peux sentir son souffle chaud contre ma joue et cela me fait frissonner de la tête aux pieds. J’attends qu’il m’embrasse, mais continue à parler pour ne pas perdre pied. Il finit par me faire taire en écrasant ses lèvres contre les miennes. Je suis tellement surprise que je réalise uniquement lorsqu’il a reculé. « Oh. » Je suis persuadé d’avoir un sourire immense sur les lèvres. Pourtant, je tente de rester calme.
Il m’entraîne sur la piste de danse et je comprends que je n’ai réellement rien à perdre. Pire des cas, on couche ensemble et je ne le reverrais plus jamais, non ? J’ai envie de vivre la vie des jeunes de mon âge. Je n’ai pas coucher avec quelqu’un depuis bien trop longtemps et j’ai réellement envie de remédier à cela. J’ai besoin de remédier à cela. Alors quand Jet me sors une nouvelle phrase toute faites, mais qui me fait frissonner un peu, je n’hésite plus et viens l’embrasser à mon tour avec passion et envie. Je passe mes bras autour de son cou et me mets à danser au rythme de la musique. Il commence à y avoir du monde sur la piste de danse et je n’aime pas vraiment tout cela. Je me rapproche de Jet et tente de ne pas y penser à l’embrassant à nouveau, mais la foule n’a jamais été ma passion. « On… On pourrait aller ailleurs ? » Je m’accroche à ses hanches plus vraiment dans le mood pour danser.
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J'ai fait le premier pas, je l'ai embrassé en premier, et ça a l'air de lui plaire. Un grand sourire s'installe sur son visage avant que je ne l'emmène sur la piste de danse. Elle s'accroche à moi, ses mains autour de mon cou. Et ses lèvres qui ne quittent plus les miennes. Il y a de plus en plus de monde et elle est de plus en plus proche de moi. L'ambiance est électrique entre nous deux, et nos souffles haletants. « On peut aller ailleurs ? » Mon regard est brillant, et mes mains glissent le long de son dos jusqu'au creux de son dos. Je hoche la tête et la tire par le bras vers la sortie. Je passe mon bras autour de son cou. « Tu veux aller où ? » Je ne savais pas vraiment si elle voulait venir chez moi, qu'on aille chez elle, ou qu'on fasse totalement autre chose avant de rentrer. On pouvait bien faire ce qu'elle voulait, je savais que je finirai ma soirée, ma nuit avec elle, alors je la suivais, dans n'importe quelle activité qu'elle pourrait me proposer.
On se retrouve à l'angle d'une rue, et je lui lance un regard en coin, joueur. Je la rapproche d'un mur avant de plaquer mes lèvres contre les siennes dans un baisé long et langoureux. J'aime prendre les devants, mes mains passent de ses hanches à ses fesses, et je continue de scruter ses réactions, m'assurant toujours qu'elle est d'accord avec ce que je fais. Je ne voudrais pas la faire fuir parce que je veux rajouter un peu de piquant à cette fin de soirée. Mes lèvres passent dans son cou, la rue est toujours totalement déserte. Et je la regarde, toujours aussi amusé de la voir réceptive. « Tu me dis si je dois arrêter ! ».
Shiloh Atkins
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ÂGE : vingt-huit ans - (8.11.1996) SURNOM : elle préfère shiloh et rien d'autre STATUT : célibataire, elle réapprends à faire confiance après une relation abusive. MÉTIER : styliste pour la maison de couture Weatherton, un rêve devenu réalité pour lequel elle continue à travailler comme une acharnée LOGEMENT : #45 james street, fortitude valley où elle donne une nouvelle chance à la colocation avec Olive POSTS : 5488 POINTS : 1160
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leloh #5 › and i want to tell you everything. the words i never got to say the first time around and i remember everything from when we were the children playing in this fairground. wish i was there with you now. if the whole world was watching i'd still dance with you, drive highways and byways to be there with you, over and over the only truth. everything comes back to you
meloh #14 › only you know me the way you know me, only you forgive me when i'm sorry. need you when i'm broken, when i'm fixed, need you when i'm well, when i'm sick. friends that i rely on don't come through, they run like the river, but not you. there you are, with open arms.
Même si je suis une grande timide, j’ai toujours aimé sortir pour danser. Lorsque l’on se retrouve sur une piste danse, c’est un peu comme si plus rien n’existait, on se laisse emporter par la musique et rien d’autre. Il m’a fallu un peu d’alcool pour me lâcher, certes, mais à cet instant précis, je ne me prends réellement plus la tête avec quoique ce soit. Je veux tout simplement profiter de l’instant présent avec Jet. Nos corps se cherchent, se frôlent, s’éloignent et puis se retrouve. Il a fait le premier pas et désormais, je me sens bien plus à l’aise pour venir l’embrasser moi-même. Ses lèvres ont le goût de l’alcool et d’un brin de cigarette. Je m’accroche à son cou, colle mes hanches aux siennes, bouge mon corps au rythme du sien. Je me perds dans l’émeraude de ses yeux. Pourtant, je commence à prendre conscience du monde qui nous entoure et je suis de moins en moins à l’aise avec tout cela. Je ne suis pas vraiment une grande fan des foules. Une personne me pousse et par réflexe, je m’accroche à Jet. Une musique très populaire commence et la piste de dance est envahie par les différents clients du bar. Je sais que proposer à Jet d’aller ailleurs envoi un message tout autre que mon besoin de m’éloigner de la foule. J’en suis parfaitement consciente, mais je sais que je veux finir la nuit en sa compagnie. Cela fait bien trop longtemps que je n’ai pas fait cela et puis merde, j’ai bien le droit de me faire plaisir. « Tu veux aller où ? » Je n’avais pas pensé cela, mais la question ne se pose pas longtemps. « Chez toi. Mes colocs sont à l’appart. » Et clairement, je ne suis pas encore assez à l’aise à la colocation pour ramener un mec avec moi.
On se retrouve rapidement dans la rue annexe au bar. Je prends deux minutes afin d’envoyer un message à Itziar pour lui faire savoir que je suis parti, je ne veux pas qu’elle s’inquiète. Lorsque je range mon portable dans la poche de mon jean, Jet vient me plaquer contre le mur le plus proche. Ses lèvres retrouvent les miennes tandis que ses mains parcourent mon corps. Ces gestes me font frissonner de la tête aux pieds. Je ferme les yeux alors que ces lèvres gagnent le creux de mon cou. Je penche quelque peu la tête pour lui laisser l’accès. « Non t’arrête pas. » Je passe ma main sous son haut pour sentir sa peau brûlante sous mes doigts. Je me mords la lèvre pour ne pas gémir alors qu’il atteint un point sensible qui me fait vraiment frissonner. J’ai soudainement l’impression de redécouvrir mon désir avec lui. Ma main droite vient se glisser dans ses cheveux et tire un peu pour que mes lèvres puissent rejoindre les siennes à nouveau. « J’ai très envie de toi. » Je me surprends presque à dire cela, mais je suis lancé et l’alcool aide grandement.
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On danse seulement quelques minutes, et Elora ne quitte plus mes lèvres. Elle se rapproche toujours plus de moi, et je ne m'en plains pas. Mes mains se posent sur ses hanches avant qu'elle ne me demande d'aller ailleurs. Je hoche la tête en la regardant dans les yeux. « Chez toi. Mes colocs sont à l'appart. » Je lui souris en attrapant sa main pour sortir. Je la regarde près de moi et j'ai envie de rendre sa soirée inoubliable, je sens que c'est une fille qui a décidé qu'il fallait qu'elle s'amuse, qu'elle vive au jour le jour, et je vais l'aider. Tant qu'elle accepte de jouer, je continuerai. On se retrouve dans une rue totalement déserte et je souris. Je la plaque contre le mur et l'embrasse avidement, elle ne me repousse pas, et ça me fait encore plus sourire. Mes lèvres s'égarent sur son cou et le haut de son torse.
Je continue de jouer et lui demande si elle veut que j'arrête « Non t'arrête pas. » elle est haletante et je suis fier de moi. Je souris contre les lèvres quand elle tire mes cheveux pour m'embrasser. Je lui rends son baisé avec plaisir et laisse trainer mes mains sur tout son corps. Elles passent de son cou à sa poitrine et à ses fesses. Je ne m'aventure pas vraiment plus loin pour l'instant, même si j'en ai envie. Je lâche ses lèvres une seconde. « Heureusement que mon appart est pas trop loin... Tu penses que tu vas tenir 5 minutes de marche sans me sauter dessus ? » je lui fais un nouveau clin d’œil avant de laisser mes lèvres se perdre à nouveau dans son cou. Je laisse une marque violette, une tâche qui ne s'en ira pas avant quelques jours. Je me colle encore à elle, ne la laissant pas échapper à mon emprise pour l'instant, histoire de faire durer un peu le plaisir. « J'ai très envie de toi. » Je recule légèrement la tête pour la regarder malicieusement. « J'aurais pas deviné ! » je la taquine, j'ai vu qu'elle aimait beaucoup ça. Je me rapproche et lui chuchote à l'oreille. « Je crois que moi aussi. » Comme si elle pouvait en douter. Je laisse mes mains se balader sur ses cuisses avant de reculer et de lui tendre ma main pour continuer à marcher et rejoindre l'appartement.
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ÂGE : vingt-huit ans - (8.11.1996) SURNOM : elle préfère shiloh et rien d'autre STATUT : célibataire, elle réapprends à faire confiance après une relation abusive. MÉTIER : styliste pour la maison de couture Weatherton, un rêve devenu réalité pour lequel elle continue à travailler comme une acharnée LOGEMENT : #45 james street, fortitude valley où elle donne une nouvelle chance à la colocation avec Olive POSTS : 5488 POINTS : 1160
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meloh #14 › only you know me the way you know me, only you forgive me when i'm sorry. need you when i'm broken, when i'm fixed, need you when i'm well, when i'm sick. friends that i rely on don't come through, they run like the river, but not you. there you are, with open arms.
Je n’ai jamais fait ça. Je n’ai jamais suivi un pur inconnu dans une ruelle. Je n’ai jamais laissé un homme me plaquer contre un mur dans la rue pour que l’on s’embrasse comme si nos vies en dépendaient. Je pourrais compter en année, la dernière fois que quelqu’un m’a touché de cette manière. C’est probablement pour cela que je plonge dans le moment tête la première. Je ne veux plus être la petite Elora toute timide, qui se pose un million de questions, qui s’enferme dans son chagrin et ses regrets. J’ai vingt-quatre ans. Je veux pouvoir profiter de l’instant présent, le décès de maman m’a bien appris que la vie pouvait s’arrêter du jour au lendemain. Jet me plaît, beaucoup et ce soir, je compte bien garder mon corps collé au sien. Je compte bien coucher avec lui et probablement ne jamais le revoir. Je n’en sais rien. Je ne me pose pas la question. À cet instant précis, tout ce que je veux c’est que ses mains ne quittent jamais mon corps, que ses lèvres continuent leur chemin sur ma peau et probablement que l’on se retrouve nu aussi. Je m’accroche à son cou, plaque mon bassin au sien, sentant déjà son érection contre ma cuisse. Je lui plais et je ne me souviens plus de la dernière fois où j’ai pu ressentir ce genre d’émotions, si intense, si crue. Plus rien ne compte si ce n’es ce qui se passe entre nous, là, en pleine rue.
« Heureusement que mon appart est pas trop loin... Tu penses que tu vas tenir 5 minutes de marche sans me sauter dessus ? » Je ne peux m’empêcher de rire. Je me redresse un peu, remets mon haut correctement et plonge mon regard dans le sien. « Je crois que ça ira, t’en fais pas. » Je ne suis pas non plus intenable. Loin de là. Le beau brun m’assure qu’il a envie de moi et je me sens frissonner en entendant cela. Je n’ai jamais entendu quelqu’un me dire cela et ça me fait tout drôle, je dois l’avouer. Il attrape ma main et on part en direction de son appartement. Le trajet se fait plutôt en silence et j’ai la sensation d’entre les battements de mon cœur s’accélérer au fur et à mesure de nos pas.
Une dizaine de minutes plus tard, me voilà en train de grimper les escaliers à la suite de Jet. Je sens mes mains devenir moites, le cœur qui bat trop vite et la bouche sèche. On entre dans son appartement et pour me détendre, je regarde un peu autour de moi. « Je peux avoir un verre d’eau ? » Soudainement, je suis un peu plus nerveuse. Beaucoup plus nerveuse en réalité. Je sautille d’un pied sur l’autre alors que Jet semble tellement à l’aise. Il revient vers moi et je sens bien qu’il va vouloir reprendre là où nous nous étions arrêtés. « Je… J’ai pas l’habitude de faire ça. » dis-je doucement en revenant dans ses bras. Je dois pas perdre le contrôle. « Embrasse moi. » Pour oublier, pour me donner du courage, pour continuer ce que l’on avait commencé.
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Elle me suit, bien plus rapidement que ce que j'aurais pu prévoir. Elle est surprenante cette fille. Elle est même... intéressante. Ça fait bien des années que j'ai pas trouvé une fille intéressante. Même si elle fait un peu gamine, elle doit d'ailleurs être bien plus jeune que moi. J'aime bien passer ma soirée avec elle. Elle paraît si innocente, le genre de personne qui verra certainement souvent le verre à moitié plein, et toujours ce qu'il y a de positif chez les gens. Jusqu'au moment où elle se rendra compte qu'il n'y a rien de positif chez moi. Juste un connard qui aime avoir ce qu'il veut. Un connard possessif qui n'aime pas qu'on touche à ses affaires quand les gens deviennent, pour leur plus grand malheur, un peu trop proches. Mais ça je le dis pas, pourquoi je le dirais ? Ça n'a aucun intérêt. Je préfère largement la jouer mec parfait, pendant un temps. Et disparaître sans jamais rien dire un peu plus tard. Alors je lui souris, je la touche, je la cherche. Et on finit par sortir du bar. J'ai envie de jouer, toujours, et je la bloque contre un mur dans une ruelle pour l'embrasser une nouvelle fois. Bien plus intensément que dans le bar. Et je souris quand je voir une lueur de désir qui grandit au fur et à mesure que je laisse courir mes lèvres et mes mains sur tout son corps. « Je crois qu ça ira, t'en fais pas. » Et je grogne presque. J'aurais aimé qu'elle dise le contraire. Qu'on reste un peu plus longtemps dans cette ruelle. Parce que c'était bien plus excitant qu'un appartement. Mais je la suis.
Je l'emmène jusqu'à chez moi. Quelques minutes sont passées et elle est bien plus calme. « Je peux avoir un verre d'eau ? » Je hoche la tête et pars vers la cuisine pour lui ramener un verre rempli d'eau. « J'ai encore quelques bouteilles dans les placards si ça t'intéresse ! » Je propose, on sait jamais. Je veux pas qu'elle finisse par fuir mon appart en courant. Je vais fermer la porte, on ne sait jamais, dans ce quartier. « Je te séquestre pas ! Je préfère éviter qu'un voisin bourré finisse par se tromper de porte ! » et je lui souris en faisant un clin d’œil. « Je... J'ai pas l'habitude de faire ça. » Les plans culs. C'est étonnant, moi je ne fais que ça depuis de nombreuses années. « T'es obligé de rien ! » Masque du gars parfait. Mais au fond, j'espère bien qu'elle ne compte pas s'arrêter là, pas en si bon chemin. « Embrasse moi. » Je l'attrape par la taille pour la rapprocher de moi. Je replace une de ses mèches de cheveux avant de l'embrasser comme elle me le demande. Je l'attire vers le canapé pour l'asseoir sur mes genoux avant de poser mes lèvres dans son cou. J'ai un bon nombre de phrases qui sont censées faire craquer n'importe quelle fille. « Tu es magnifique ! Tu veux que je continue ? » Mes yeux qui cherchent à capter les siens.
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ÂGE : vingt-huit ans - (8.11.1996) SURNOM : elle préfère shiloh et rien d'autre STATUT : célibataire, elle réapprends à faire confiance après une relation abusive. MÉTIER : styliste pour la maison de couture Weatherton, un rêve devenu réalité pour lequel elle continue à travailler comme une acharnée LOGEMENT : #45 james street, fortitude valley où elle donne une nouvelle chance à la colocation avec Olive POSTS : 5488 POINTS : 1160
TW IN RP : mention de relation abusive (psychologique et physique), revenge porn, dépréciation de soi GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : a un frère jumeau, Nathan › sait coudre depuis ses dix ans et ne rate jamais une occasion de créer ses propres vêtements › viens tout juste de revenir à Brisbane › sort d'une relation abusive qui aura durer un peu plus d'un an › naturelle et souriante, elle c'est renfermé sur elle-même ces derniers temps DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #AA6195 RPs EN COURS : (05)kieran #1 › lewis #5 › megan #14 › cleo #3
leloh #5 › and i want to tell you everything. the words i never got to say the first time around and i remember everything from when we were the children playing in this fairground. wish i was there with you now. if the whole world was watching i'd still dance with you, drive highways and byways to be there with you, over and over the only truth. everything comes back to you
meloh #14 › only you know me the way you know me, only you forgive me when i'm sorry. need you when i'm broken, when i'm fixed, need you when i'm well, when i'm sick. friends that i rely on don't come through, they run like the river, but not you. there you are, with open arms.
On sort du bar. On se perd dans une ruelle. Il me plaque contre un mur, tout devient plus sensuel, plus intense. C’est bien la première fois que je suis un homme comme cela, que je le laisse me toucher dans une rue. Je me laisse emporter par l’instant présent, je ne pense plus à rien, juste à ses mains sur mon corps, ses lèvres sur les miennes. On s’enflamme, on s’emporte. Pourtant, je ne veux pas rester ici. Je ne me sens pas complètement à l’aise. Je voudrais pouvoir avoir sa confiance, mais c’est bien plus compliqué que cela. Je me suis promis de ne pas me prendre la tête ce soir et je me laisse porter par les baisers que m’offre Jet. Il me donne chaud même si nous sommes encore en pleine rue. Je m’enivre de ses lèvres et de l’odeur de son parfum. J’en aurais presque la tête qui tourne. Il me taquine et je me perds dans le vert de ses yeux. Je suis incapable de refuser de le suivre jusqu’à chez lui. Je ne suis peut-être pas très sûre de moi, mais je sais que ce soir, je ne reculerai pas. Je me suis pas envoyé en l’air depuis des mois, un an même. C’est tout ce qu’il cherche après tout et il faut croire que pour une fois, je suis sur la même longueur d’onde. Je ne veux pas me poser trop de questions, juste passer un bon moment avec lui.
Malgré tout ma bonne volonté, une fois arriver chez Jet, j’ai la sensation de perdre cette confiance en moi que m’avait donné l’alcool. Je me sens plus nerveuse que jamais, les mains moites et cette envie de parler pour ne rien dire, juste pour combler le silence. Heureusement, Jet semble comprendre la situation. Il est vraiment doux. Il tente de détendre l’atmosphère et je dois dire que cela fonctionne plutôt bien. « On voudrait pas qu’un de tes voisins vienne nous déranger, c’est sûr. » Je lui fais un clin d’œil et termine le verre d’eau qu’il venait de me donner. Je finis par me retrouver à califourchon sur lui et je dois dire que la danse de nos lèvres me fait subitement oublier ma nervosité. Encore plus lorsqu’il glisse ses mains sous mon haut. « T’arrête pas. » Non par pitié, ne t’arrête pas Jet. Il me fait frissonner de la tête aux pieds, et même s’il me faut un peu de temps pour véritablement entrer dans l’action, je ne changerai d’avis pour rien au monde.
Ce soir-là, Jet m’a ouvert les yeux sur bien des choses. Pour la première fois, depuis longtemps, j’ai pensé à mon plaisir en premier. Je ne me suis pas posé de questions, j’ai couché avec un inconnu et pour être totalement honnête, j’ai pris mon pied. Il faut dire que le beau brun sait ce qu’il fait au lit. Je ne m’étais pas éclaté comme cela depuis bien trop longtemps. Il a tellement réussi à me faire perdre pied qu’on a remis le couvert en pleine nuit. Juste pour le plaisir. Juste pour jouir un peu plus. Juste comme ça.
and i want to tell you everything. the words i never got to say the first time around and i remember everything from when we were the children playing in this fairground. wish i was there with you now, if the whole world was watching i'd still dance with you. drive highways and byways to be there with you. over and over the only truth, everything comes back to you