| JILLYA/BAILEY/TIM/ELIAS • apocalypse now. |
| | (#)Mer 16 Oct 2019 - 22:26 | |
| Apocalypse now
Jill rit à toutes les remarques de Freya et ne se gêne pas elle aussi pour engueuler Elias. Elle défend son amie, même si elle n'avait jamais rencontré ce mec. Elle s'arrête de rire quand elle voit Bailey débarquer. Et lui aussi commence à l'engueuler. « C'est quoi ce bordel ? ». Et merde. « Coucouuuu Bai ! » Il n'a pas l'air de super humeur, certainement parce qu'elle l'a réveillé au beau milieu de la nuit. Elle se rapproche des barreaux pour se rapprocher de lui. Il est en jogging et en sweat, il a l'air fatigué, et il boude, Jill le sait. Elle sait très bien que ça va être compliqué mais elle tente quand même de se rapprocher pour l'amadouer. « Tu te mets à voler maintenant ?! De mieux en mieux Jillian. » Elle fronce les sourcils quand elle l'entend l'appeler Jillian. Elle déteste ça. « Tu sais que t'es super sexy comme ça ? ». L'alcool et la drogue coulent encore dans son sang, et elle lui sourit, toujours pour essayer de le calmer. Freya se tourne vers Jill, « Bailey ? Le fameux Bailey ? ». Jill la regarde avec des yeux ronds. « Heuu..... Oui ! » et elle sourit légèrement à son amie, pour essayer de lui montrer qu'elle est légèrement gênée. « Ouais et même qu'elle est douée pour ça... saut quand elle se fait choper, bien sûr. ». Jill ne peut pas s'empêcher de rire. « De me faire choper ? On était deux dans cette histoire B ! » et elle lui fait un clin d’œil avant de plonger de nouveau son regard dans celui de Bailey. « Laisse couler Bai, c'est rien de grave, c'est pas comme si on avait braqué une banque, on a fait que voler des connards qui voulaient nous sauter dessus en nous filant des litres et des litres d'alcool ! Et promis j'ai pas couché avec eux ! ». Elle lui fait les yeux doux, espérant le faire rire, ou au moins sourire un peu. Une réaction un peu moins distante et froide. Elle attend ça depuis des semaines déjà. « Freya, ravie d'enfin t'rencontrer. Même si les circonstances sont pas très glorieuses. Mea Culpa. ». Jill regarde son amie en souriant, au fond, elle espère qu'ils s'aimeront bien ces deux. Elle tend sa main vers Bailey, attendant une quelconque réaction, elle essaie de l'attirer vers elle.
Quelques minutes plus tard c'est Tim qui arrive. Lui a l'air complètement paniqué. Et il demande des nouvelles des deux filles. Jill lui fait un grand sourire, comme pour le rassurer. « Vous allez bien, les filles ? Je suis venu aussi vite que j'ai pu. On peut les sortir de là maintenant ? Je veux juste rentrer à la maison et... Espérer que tout aille bien. » Jill sourit en voyant les mains de Freya se glisser dans celles de Tim. Elle ne lui donne pas de détails sur leur présence ici, mais elle ne se gêne pas pour de nouveau piquer Elias. Elle ne peut pas s'en empêcher apparemment. « Bon du coup, Bailey, je te présente Freya, même si elle s'est déjà présentée, ma meilleure amie, et Tim, un ami très proche aussi ! ». Elle avait parlé de Bailey à ses deux amis, mais elle n'avait jamais parlé d'eux à Bailey. Et c'était pas avec cette ambiance pourrie chez lui qu'elle allait pouvoir lui en parler. Elle pose sa tête sur les barreaux en regardant Tim et Freya. « Et tu sais que c'est un peu grâce à moi si ils sont ensemble ces deux-là, j'ai motivé Tim pour qu'il prenne les devants et qu'il la laisse pas partir ! ». Elle était fière de ça et elle abusait certainement un peu la chose, Tim c'était très bien débrouillé tout seul, mais elle aimait beaucoup les voir ensemble. |
| | | ÂGE : trente-trois ans - (23.08.1991) STATUT : même le bonheur, c'est sympa, mais c'est pas stable. c'est juste une pause entre deux trucs qui s'passent mal. MÉTIER : il faisait des efforts, mais le projet qui devait changer sa vie est revenu à une autre entreprise. il se retrouve sans emploi, sans perspectives d'avenir non plus. en gros? c'est la merde... LOGEMENT : on lui a repris les clés du #333 water street (sping hill), mais prétends que c'est juste le temps de quelques travaux, conséquence d'un dégât des eaux. en attendant de trouver une issue à son mensonge, il oscille entre une chambre d'hôtel, le lit de Greta et le canapé de Kendall POSTS : 7493 POINTS : 870 TW IN RP : consommation de drogue, déni d'addiction, propos homophobe et sexiste GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : véritable produit de la bourgeoisie londonienne › égoïste, il pensera toujours à lui avant toute chose › addict à la poudre malgré une première désintoxication en août 2021 › grand enfant qui ne sait toujours pas quoi faire de sa vie et préfère s'amuser en pensant qu'il n'y aura jamais de conséquences. CODE COULEUR : #0C4857 RPs EN COURS : (06) greta #16 › swann #17 › ken #3 › ottie › lena › murphy
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| Je ne sais même pas ce que je fais là. J’aurais dû rester dans mon lit, après tout Jill me rappelle toujours qu’elle, c’est parfaitement se débrouiller sans moi. Pourtant, je suis incapable de ne pas venir courir à sa rescousse, parce qu’elle avait l’air vraiment désolé au téléphone. Encore une fois, je me suis fait duper tout simplement parce que je suis bien trop amoureux de la brunette. Et me voilà donc dans un commissariat en plein milieu de la nuit face à une Jill qui semble encore bien bourrée et, au vu de ses pupilles, bien défoncées. Un soupire s’échappe d’entre mes lèvres alors qu’elle dit me trouver sexy comme cela. Oui, c’est clair que je suis au top de ma sensualité-là. N’importe quoi. Et sans que je n’aie le temps de comprendre quoique ce soit, la blondinette qui l’accompagne se rapproche de moi, le sourire tout aussi intoxiqué par l’alcool. Je suis ravie d’apprendre qu’elles, ce sont fait choper et qu’une nouvelle fois Jill semble trouver cela drôle. Je crois que je vais juste faire demi-tour et me barrer. C’est rien de grave qu’elle me dit. Bien sûr… Voler n’est pas puni par la loi après tout, c’est bien connu. La blondinette finis par se présenter et je comprends que Jill lui a très souvent parlé de moi. Parfait. Au moins, je ne suis pas un illustre inconnu pour tout le monde, c’est déjà cela de gagner. Je toise la jeune femme de haut en bas sans même lui répondre. Je ne suis pas d’humeur. Encore plus lorsque je remarque que Jill tente de me faire les yeux doux. Je ne sais pas pourquoi, mais cela me met encore plus sur les nerfs. « Les circonstances ne sont pas vraiment glorieuses effectivement. » Et heureusement, le flic se ramène. Il me dit partir se renseigner tandis qu’un autre jeune homme arrive en trombe dans le couloir. Il a l’air vraiment inquiet et semble connaître les deux jeunes femmes. Il leur demande comment elles vont et bien entendu elles sont tout heureuse. Jill s’empresse de me présenter le fameux Tim et comme il a l’air d’être aussi éveillé que moi, je lui tends la main pour serrer la sienne rapidement. « Tu veux pas qu’on les laisse là et on revient dans une douzaine d’heures. » Je serais réellement prêt à le faire, sans aucun scrupule. Enfin, un peu, mais Jill n’a pas besoin de le savoir ça. Jill continue à parler, elle ne sait jamais se taire lorsqu’elle a trop bu, et me dit fièrement que ses amis sont en couple grâce à elle. Elle en est fière en plus et ça me pince le cœur. Elle est fière que ses amis soit un vrai couple et elle me crache presque dessus lorsque j’évoque le fait que l’on pourrait en être un. « J’aurais jamais imaginé que tu puisses jouer à Cupidon… » dis-je sèchement avant d’aller m’appuyer contre le mur le plus loin de la cellule attendant le retour du flic qui nous tiendra au courant de la situation. |
| | | | (#)Sam 19 Oct 2019 - 23:56 | |
| La situation aurait pu être hilarante dans d'autres circonstances mais à ce moment précis, Tim était loin d'avoir en vie de rire. Il y avait trop de monde ici, trop d'angoisse à faire taire dans son système immunitaire et l'environnement actuel ne l'aidait pas à se débarrasser de cette peur panique qui s'était emparé de son être au moment de répondre au téléphone. Freya était vivante, c'était ce qui comptait, le seul fait qui avait de l'importance en réalité et pourtant, Decastel avait encore bien du mal à respirer. Il arrivait à se montrer fort, néanmoins, souriant à Jillian quand elle sembla heureux de l'apercevoir, vantant les mérites de la relation qu'elle avait fait naître entre le jeune homme et la suédoise. Suédoise qui, justement, posait sa main sur la sienne entre les barreaux et même s'il avait peur, même s'il se sentait mal, Timothy ne pouvait que lui offrir son plus beau sourire parce que c'était Freya et qu'il ne pouvait pas oublier tout ce qu'il avait sacrifié pour être avec elle. "Jill, je sais pas si ça intéresse ton ami cette histoire... Enfin, c'est pas l'urgence qu'on parle de Freya et moi." Non, les sortir de là avant tout, même si Bailey n'avait pas l'air pressé de récupérer la garde de McGrath. Qui pouvait le blâmer quand on voyait l'état des deux jeunes femmes? Elles avaient dû consommer énormément cette nuit-là et cela ne faisait que raviver les tensions chez Tim, cette sensation de perdre le contrôle et de ne pas être à la hauteur pour Doherty. Elle avait l'air si malheureuse et lui n'avait pas de solution à lui apporter, se contentant de sourire à Bailey, en attendant que le policier leur offre la solution miraculeuse pour que tout le monde puisse rentrer chez soi. "Je serais plus rassuré si je savais les filles en sécurité et à la maison, personnellement." Ses doigts caressèrent la peau de Freya alors qu'il tournait son regard vers Jillian, le cupidon de toute cette histoire apparemment. "Du coup, vous allez les laisser sortir maintenant qu'on est là ou on vous doit quelque chose?" Il s'était effectivement vite retourné vers Elias, ne cherchant pas à s'éterniser ici. Il sentait son coeur battre trop vite et il allait vite falloir qu'il parte d'ici, avant de se perdre. Avant de sombrer. |
| | | | (#)Dim 20 Oct 2019 - 21:43 | |
| « deep shit » freya doherty & jillian mcgrath & elias sanders
Elias était épuisé de devoir supporter les deux femmes, mais tourner le dos, faire demi-tour satisferait bien trop les deux jeunes femmes et il n’a jamais habitué Freya à fuir un quelconque affrontement. Lui, il fuit quand les sentiments s’en mêlent, quand il sent que doucement la pente devient glissante. Mais jamais quand il la provoque, il aime ça d’ailleurs le flic. Provoquer, titiller. Jusqu’à l’épuisement. Toujours en faire trop et voir son interlocuteur agacer. Comme présentement, il se fiche bien de savoir ce que Jillian pense de lui, et de sa relation avec Freya. Elle, elle ne la connaît pas comme lui la connaît, et il la sent cette petite pointe de jalousie quand les deux femmes le regarde, provocatrices dans l’âme, le tourmentant bien plus qu’elles ne l’imaginent. Jillian joue de lui, le provoque parce que son amie a dû lui dire que son sang-froid n’est pas très résistant la concernant. Sans doute. Mais putain, elle n’était pas là cette relation avec Freya. Il n’était pas né pour la détester alors qu’elle fût depuis toujours dans ses jupes, et que contrairement à ce qu’il prétendra, il l’épaulera coûte que coûte. Même pour en perdre son boulot, même si il doit se retrouver seul contre tous. Mais l’avouer, jamais ! Plutôt mourir ! Plutôt crever ici. Quand l’homme s’approche d’eux, Elias ne peut s’empêcher de glisser ses yeux sur lui, son cœur se serre et quand il s’aperçoit qu’il est venu pour Jill, le flic se détend un peu… Il ose même un regard presque compatissant pour lui alors que mine de rien, ses traits fatigués, il devait certainement être dans les bras de Morphée. Celui-ci lui demande si Elias pouvait ouvrir la grille ou si il allait avoir une somme à régler pour récupérer le ‘paquet’… Le flic hausse les épaules, ce n’est pas lui qui les a embarqué, mais à cette image il se serait sûrement régalé de passé les menottes à Freya ! Avec toute son arrogance et sa fierté d’un Sanders. Les hommes de la famille ne sont pas réputés pour être bon, ou loyal. Et même si son père est un sujet tabou – que Freya a gentiment remit sur le tapis, Elias sait combien c’est dans ses veines. Son père est en lui plus qu’il n’acceptera de l’admettre. L’homme échange quelques mots avec les deux femmes à travers la grille, Elias ne suit que de loin la conversation, « les circonstances ne sont pas vraiment glorieuses effectivement. » C’était sur ses dernières paroles, que Elias s’était dissimulait dans le décor du commissariat. Il s’installe dans la salle de repos pour se prendre un café. S’asseyant sur le bord de la petite table au coin du mur, il soupire, le regard un peu perdu. Surtout un cœur vide, il se pose tant de questions. Il ne veut plus de cette relation toxique, il ne veut plus de cette femme dans sa vie. Peu à peu la lanterne dans sa tête s’allume, et il prend conscience qu’ils ne sont peut-être pas faits pour être ensembles. Que cette jalousie et cette rivalité en lui n’a pas lieu d’être et qu’il doit se détacher de cette amitié toxique pour eux deux. Il est toxique pour Freya, autant qu’elle pour lui. Et puisqu’elle a voulu s’envoler loin de lui, il ne cherchera pas le contact, encore moins de la garder près de lui. Sa fierté d’homme sans doute qui parle, et elle est violente. Elle se déchaîne sur les pores de tout son être. Il lève ses fesses de la tale, s’enfilant le café rapidement avant de retrouver un de ses collègue, il discute de l’affaire de ses deux paumées comme il les appelle devant lui. Les faire passer comme deux petites malheureuses l’amuse au flic visiblement. Mais il savait que si il prenait la cause de Doherty et pas de son amie, cette dernière finirait par faire péter un esclandre dans tout le commissariat, ses collègues étaient déjà à bout de nerf et visiblement il y avait d’autres missions plus importantes qu’elles. Ce qui arrangeait bien l’affaire du flic sauveur de ses dames, sans toutefois qu’il l’avoue à Freya, plutôt crever ! « Bon, Sanders, tu t’magnes le cul ? On compte pas crécher ici toute la soirée au cas où tu l’aurais pas compris. Nos chevaliers servants ont clairement la tête dans les vapes. » Ils se regardent, Elias soupire et comme à son habitude, il prendra tout son temps pour débarquer. Plusieurs longues minutes à vrai dire, l’un d’eux était contre le mur, un second que Elias n’avait pas encore vu, visiblement pour venir délivrer Freya, lui demande à son tour en le voyant approcher, « du coup, vous allez les laisser sortir maintenant qu'on est là ou on vous doit quelque chose? » Elias ne sourit pas vraiment, probablement l’agacement d’avoir supporté les deux femmes, plus encore les missions qui s’enchaînent, d’ailleurs il devait être opérationnel dans quelques minutes. Quand Bailey s’approche à son tour, Elias leur dit, de manière à ce que les deux femmes n’entendent pas vraiment, « on va les libérer et sans aucune caution, mais on m’a bien fais comprendre, qu’il faut pas que ça se reproduise trop souvent… » Qu’il dit aux deux hommes, ils avaient l’air plus sérieux que les demoiselles en tout cas, « vous pourrez y veiller ? » Bon Elias admets que ça ne leur sera peut-être pas si facile que ça, elles ont l’air quand même bien atteintes quand elles sont ensembles, il ne reconnaît pas vraiment Freya d’ailleurs. Et pendant qu’il parlait, une femme est venue secourir ses charmantes demoiselles, leur rendant la liberté. « Tentez au moins d’être raisonnable pour le reste de la soirée… » Qu’il leur dit à Freya et Jillian, quand les deux femmes s’approchent d’eux. Mais une nouvelle vague de jolies brochettes débarquent dans le commissariat et très vite la cellule des deux femmes est prise… Le cauchemar est presque terminé… |
| | | | (#)Jeu 24 Oct 2019 - 21:02 | |
| C’est vrai qu’il est sexy, son rouquin à Jill. Elle glousse légèrement, amusée par la situation, par l’air furibond du Bailey et par la réponse de Jill. Elles ne sont pas adroites avec les codes de la société alors une fois alcoolisées et droguées, autant dire qu’il n’y a plus aucun filtre. Freya pince le bras de Jill en riant alors que la brune était en train de la balancer au rouquin de l’autre côté des barrières. « Hey, t’es pas obligée de retourner ta veste parce que ton utérus est soudainement en feu, meuf ! » Parce que Bailey, le fameux Bailey, il lui a dit qu’il l’aimait et elle lui a dit qu’elle l’aimait aussi – Jill, pas Freya. Bon, le roux n’a pas l’air aussi ravi de la voir elle et franchement, ça lui fout presque les boules. Parce que c’est le darling de sa meilleure amie et qu’elle veut quand même qu’il l’apprécie. Même un chouilla. Ce n’est pas beaucoup, c’est peu, c’est rien. Du coup, Freya se met à faire la moue, avant que la moue ne disparaisse pour que son visage s’illumine à l’apparition de Tim. Il a l’air paniqué, évidemment qu’il l’est parce qu’il ne serait pas lui s’il ne l’était pas. Mais elle glisse sa main pour attraper la sienne à travers les barreaux et un joli sourire vient honorer sa vue édulcorée de substances plus ou moins légales. « Et tu sais que c'est un peu grâce à moi si ils sont ensemble ces deux-là, j'ai motivé Tim pour qu'il prenne les devants et qu'il la laisse pas partir ! » Freya roule des yeux. « Jill, je sais pas si ça intéresse ton ami cette histoire... Enfin, c'est pas l'urgence qu'on parle de Freya et moi. » La suédoise penche la tête sur le côté. « T’as autre chose de prévu, honey ? » Comme si sortir d’ici lui a zappé la cervelle. Un détail sans importance.
« Tu veux pas qu’on les laisse là et on revient dans une douzaine d’heures. » Freya eut un cri scandalisé. « Hey ! C’est pas très gentil, ça ! Jill, dis à ton chien d’garde d’être plus sympa ! J’ai l’impression d’avoir commis le pire crime du monde, là ! Il est toujours aussi grognon ou c’est juste une apparence ? » Oui parce que Freya veut bien être sympathique deux secondes mais croupir ici toute une nuit, c’est hors de question. Elle retournera la cellule et les locaux entiers toute la nuit s’il le faut, on ne coince pas une Doherty entre quatre murs. Ça lui donne l’impression d’être son père et ça lui donne envie de vomir. Plutôt crever que de rester enfermée à dormir sur des vulgaires bancs. « Je serais plus rassuré si je savais les filles en sécurité et à la maison, personnellement. » Freya se mord la lèvre et tire un peu sur leurs mains jointes. « J’pourrai t’embrasser là, Tim. Au moins quelqu’un de raisonnable ce soir, p’tain. » Qu’elle dit avant de regarder Bailey puis Elias qui a fait son apparition. Doherty fronce des sourcils alors qu’il semble parler pas trop fort, mais juste assez pour que les deux jeunes femmes ne l’entendent pas. Et bordel, ça fonctionne. « Arrêtez de parler comme si on était pas là, putain, vous faites chier ! » Elle a l’impression d’être une gamine et qu’ils sont les parents en train de juger ce qu’ils vont faire d’elles. Et elle n’aime pas cette impression. Elle ne l’aime pas du tout. Ce qu’elle aime par contre, c’est la porte qui s’ouvre. « Bordel, pas trop tôt. » qu’elle grommelle dans sa barbe. « Tentez au moins d’être raisonnable pour le reste de la soirée… » Freya fusille du regard Elias alors qu’elle se dirige vers Tim pour l’embrasser de tout son soûl. Rien à foutre du monde autour, il lui a manqué. Et si ça peut rendre Elias jaloux, c’est encore mieux. Prends-toi ça dans la gueule, Sanders. Elle éloigne ses lèvres mais ses bras s’enroulent autour de la taille de Tim, l’enlaçant furieusement. « Tim, t’as devant toi c’qui m’a servi de meilleur ami pendant des annééééées. Faut faire gaffe parce qu’il tire sur les gens qui m’aiment bien. » Et Tim lui a dit qu’il l’aimait. Il n’a pas eu peur, alors qu’elle venait de la lui foutre, cette peur. « C’est vrai qu’t’es un modèle de raisonnabilité, hein, Sanders ? » Puis Freya regarde Jill avec un œil malicieux. « T’entends ça, B ? Le flic essaie d’nous faire la morale. C’est vraiment l’hôpital qui s’fout de la charité. »
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| | | | (#)Ven 25 Oct 2019 - 14:40 | |
| Apocalypse now
Jill et Freya continue de se taquiner, même si maintenant elles sont entourées. Il y a les personnes qui comptent le plus pour elles et elles continuent de raconter des conneries. « Hey, t'es pas obligée de retourner ta veste parce que ton utérus est soudainement en feu, meuf ! » Jill se retourne vers elle en la regardant avec un air faussement offusqué. « Dit celle qui devient gnangnan comme un gamine quand elle croise le regard de Tim ! » et elle lui fait un clin d’œil en voyant Tim arriver paniqué. « Les circonstances ne sont pas vraiment glorieuses effectivement. » Jill roule des yeux. Il allait encore faire tout un plat d'une histoire qui n'était pas important. Comme pour le pari. Il ne lui parlait déjà plus alors elle ne pouvait pas perdre plus. « ça te fera une raison de plus pour me détester et continuer à pas m'adresser la parole ! ». Elle était encore défoncée et elle arrivait à relativiser encore un peu.
« Hey ! C’est pas très gentil, ça ! Jill, dis à ton chien d’garde d’être plus sympa ! J’ai l’impression d’avoir commis le pire crime du monde, là ! Il est toujours aussi grognon ou c’est juste une apparence ? » Jill regarde sa meilleure amie qui restait accrochée à Tim. Elle ne pouvait pas s'empêcher de les regarder avec envie. Freya réagissait à ce que venait de dire Bailey, il voulait les laisser encore des heures dans cette cellule et Jill lui lance un regard mauvais. « Si je te fais tant chier que ça fallait pas t'emmerder à sortir de ton lit ! ». Elle recule et marche un peu, toujours à l'intérieur de la cellule. Son regard faisait des allers-retours entre un Tim inquiet et qui voulait les sortir de là et Bailey qui, si il le pouvait, les laisserait là pendant des années. Quand Tim dit qu'il les veut en sécurité Jill le regarde en souriant avant de se rapprocher des barreaux. « T'es tellement adorable Tim ! ». ça devait être la personne la plus gentille qu'elle avait jamais rencontré.
« J'aurais jamais imaginé que tu puisses jouer à cupidon... » Jill ne le regarde même pas, elle sent que sn ton est sec, et elle sait aussi pourquoi. Déjà, Bailey fatigué est naturellement ronchon, alors fatigué, dans un poste de police avec Jill qui fait une connerie et qui raconte qu'elle crée des histoires d'amour, ça ne lui plaisait pas vraiment. « Oui ça m'arrive de pas être une connasse sans cœur de temps en temps c'est dingue non ? » et elle soupire en posant sa tête contre les barreaux pendant que Bailey s'éloigne le plus possible d'elle pour se poser contre le mur. « Ah oui j'avais oublié, tu m'adresses pas la parole et en plus tu gardes une distance de sécurité de plus de 3 mètres ! ». Elle en arrivait même à se demander pourquoi elle avait décidé de l'appeler.
« Arrêtez de parler comme si on était pas là, putain, vous faites chier ! » Jill applaudit Freya pour marquer son accord avec elle. Jusqu'à ce que la porte s'ouvre, Freya se précipite dans les bras de Tim et Jill reste un peu en arrière en croisant les bras. Elle essayait de ne pas croiser le regard de Bailey. « Je te rembourserai ». Elle se concentrait sur Freya et sur ce qu'elle disait sur Elias. Elle rigole en enendant ce qu'elle dit et lui fait un clin d’œil quand elle croise son regard complice. « Un vrai exemple à suivre... ». Elle va vers Tim en souriant et en passant son bras autour de son cou. « Allez arrête de t'inquiéter, tout va bien ! On est sorti et elle va bien, elle est juste un peu défoncée mais ça ira mieux après avoir dormi un peu ! Hein B ? » et elle fait un nouveau clin d’œil à son ami avant de croiser à nouveau le regard d'un Bailey qui avait toujours l'air autant de mauvais poil. |
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