ÂGE : 25 ans (28.03.99) - bélier ascendant taureau SURNOM : Meg généralement, "Barbie les emmerdes" pour Joséphine. STATUT : Elle a dit oui à Damon une première fois en novembre 2021, et à nouveau en novembre 2022. La seconde fois, plus personne n'avait de doigts croisés dans le dos. MÉTIER : Modèle photo, wannabe influenceuse et rôle principal du film "Nine" - adapté de la biographie à succès du même nom - sorti en salles en février 2024. En parallèle, en janvier 2024, elle a repris ses études après six ans d'interruption : cette fois, elle se dirige vers un bachelor en "Social Work" avec l’espoir d’un jour aider des gamins qui traversent les épreuves qu’elle a traversées enfant et adolescente. LOGEMENT : Megan, Damon et Bowie, le chien qui ne garde pas grand chose, ont d'emménagé en janvier au #283 Dornoch Terrace, à West End, dans une petite maison à la façade typiquement australienne. POSTS : 5711 POINTS : 410
TW IN RP : Négligence et retrait de l'enfant par les services sociaux / enfance dans le système, objectification de la femme, dépendance affective, fausse couche, infertilité et procréation médicalement assistée. ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : véritablement obsédée par l'idée de s'élever dans l'échelle sociale, elle s'y emploie sans penser aux dommages collatéraux › forte, passionnée, impatiente et déterminée, Megan est courageuse et têtue jusqu'à l'épuisement › balottée entre une mère toxicomane et alcoolique et plus de familles d'accueil qu'elle ne veut les compter, elle ne parle de son enfance à personne › spécialiste des fausses bonnes idées, Megan agit avant et réfléchit après › elle a un grand coeur, pourtant elle n'hésite pas à laisser derrière elle ceux qui deviennent pour elle des "poids morts" DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : darkgoldenrod. RPs EN COURS :
cosigan #41 ☆ you made me cry, i won't deny that. yes, we lied and told our friends that we were fine and played pretend but i'm so scared of being alone and you're the only one that feels like home. i'm just a mess, now I'm just a mess, and you're just the person that changed my life. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7 › 8 › 9 › 10 › 11 › 12 › 13 › 14 › 15 › 16 › 17 › 18 › 19 › 20 › 21 › 22 › 23 › 24 › 25 › 26 › 27 › 28 › 29 › 30 › 31 › 32 › 33 › 34 › 35 › 36 › 37 › 38 › 39 › 40 › 41
melly #5 ☆ are you a stranger ? but you seem so familiar, it's hard to explain. and maybe i'm broken, but my arms are wide open for you. and you'll never know it, but you're just like me. now you can't deny the times you lied and cried, you missed your mother. and I know, the story goes, you say you really tried, you didn't try at all. so now you hate the world, it hates you back is your excuse to fall.
joseegan #14 ☆ sometimes, baby, i'm so carefree, with a joy that's hard to hide. and then, sometimes, again it seems that all i have is worry, and then, you're bound to see my other side. but i'm just a soul whose intentions are good. oh lord, please don't let me be misunderstood.
meloh #14 ☆ you have my heart, and we'll never be worlds apart. when the sun shines, we'll shine together. told you i'll be here forever, said i'll always be your friend, took an oath, i'ma stick it out 'til the end. these fancy things will never come in between, you're part of my entity, here for infinity.
morigan #5 ☆ every single day, yeah, i dig a grave, then i sit inside it, wondering if i'll behave. it's a game i play, and i hate to say, you're the worst thing and the best thing that's happened to me. i don't know what to do, you don't know what to say, the scars on my mind are on replay.
RPs EN ATTENTE :
milo (scénario libre) ☆ there's always a joker in the pack, there's always a lonely clown. the poor laughing fool falls on his back and everyone laughs when he's down. there's always a funny man in the game, but he's only funny by mistake. and everyone laughs at him just the same, they don't see his lonely heart break.
I can live under water Lucia Whitemore & @Eirlys Walsh
Je me souviens avoir promis à Hannah qu’elle rencontrerait Eirlys – en fait c’est plutôt elle qui a imposé la chose, je n’ai pas réellement eu le choix ni l’envie de la contredire, mais à présent je me pose des questions. Ma colocataire est une fille bien, j’en suis persuadée, mais Hannah arrivera-t-elle à s’en rendre compte si elle lui rentre dedans sa prendre de pincettes ? La demoiselle n’a pas l’air d’avoir sa langue dans sa poche et j’ai même l’impression qu’elle dit à voix haute tout ce qui lui passe par la tête et si avec quelqu’un d’aussi concilient et doux que moi cela ne pose pas de problème particulier pour que nous nous entendions malgré tout, qu’en sera-t-il avec Hannah ? Mon ainée n’est pas du genre à se laisser marcher sur les pieds, elle est têtue et n’aime pas qu’on lui dise qu’elle a tort. Une telle rencontre serait explosive à coup sûr, et d’un coup j’en viens à l’appréhender. « C’est fou ce que les gens aiment chipoter, je n’en reviens pas. Elle doit franchement s’ennuyer dans la vie si elle a du temps à perdre à alimenter sa propre colère contre toi. » Je fais la moue, fais mine de réfléchir et finis par ajouter, même si j’ai conscience que chercher des excuses à Hannah n’est pas la bonne façon de faire avec Eirlys. Mais ma sœur n’est pas Lawrence, et je me sens cette fois ci obligée de défendre son point de vue, même si elle n’a que faire du mien. « Pas vraiment en fait. Elle est interne en psychiatre à Saint Vincent, elle est psychiatre bénévole dans une association qui accompagne les gens atteints du cancer… Je suis pas sûre qu’elle s’ennuie. » Je réalise que dit à haute voix, Hannah en devient l’archétype de la fille qui a réussi, plus encore qu’elle ne l’est vraiment. Ce constat qui serait agaçant pour la plupart des individus – c’est vrai, et puis quoi encore, elle sauve des bébés dauphins ? – a toujours forcé mon respect, mon admiration pour la brune. « J’imagine que tu as raison, le mieux c’est d’attendre qu’elle finisse à faire un pas vers toi vu que tu as déjà essayé, sans succès, d’en faire un vers elle. » Je hoche la tête, parce que cette fois-ci je ne vois pas quoi ajouter. Si ce n’est « Elle veut te rencontrer tu sais. Voir avec qui je vis je suppose, s’assurer que tu n’es pas le gourou d’une secte prête à aspirer mon âme et mon faible esprit. » Parce que c’est de ça qu’il s’agit, ma faiblesse d’esprit, je suis persuadée qu’elle n’a jamais demandé à rencontrer le moindre colocataire de Gabrielle.
Eirlys semble cela dit revenir un peu sur son avis très tranché sur ma sœur, et fait même preuve d’une clairvoyance qui me surprend : pas si binaire que ça finalement, ma colocataire. « En même temps, peut-être qu’elle ne t’en veut pas forcément pour ton absence mais aussi parce que tu es capable de reproduire exactement la même erreur dans le futur vu que tu n’as pas l’air de bien la comprendre. » Moi tout ce que je trouve à faire, c’est entortiller mes doigts les uns dans les autres et baisser les yeux, comme une enfant prise en faute. « Ouais y’a peut-être un peu de ça. » Une part de moi sait qu’elle a raison. Hannah l’a dit, que j’étais trop naïve et que je me ferais encore avoir, que c’est ça qui lui faisais le plus de peine. « Parce que c’est une chose de reconnaitre qu’on a eu tort, mais c’en est une autre d’avoir envie de changer de comportement pour ne pas reproduire le même schéma plus tard. » J’en ai envie, de changer, j’ai envie de faire des efforts, mais on ne parle pas de prendre des douches plus rapides ou de couper l’eau quand on se brosse les dents. On parle de ma nature la plus profonde et de ma façon d’aborder l’autre de manière générale. « L’envie c’est pas ça qui manque. Et tout ça m’a servi de leçon, vraiment. Mais dire que je retomberai jamais dans le même schéma, c’est prématuré, je sais que j’ai encore du chemin à faire avant d’être une adulte fonctionnelle. » Je hausse les épaules et lui adresse un sourire, comme si j’étais capable d’assez de recul pour prendre ça avec humour, alors que j’ai juste envie de me faire assez petite pour rentrer dans un trou de souris. « En cours, très bien. » Un sourire fier sur les lèvres je hoche la tête frénétiquement, en espérant être le plus convaincante possible.
Ça me gêne, que la conversation tourne exclusivement autour de moi. Je ne suis pas du genre à aimer me livrer, parce que je ne suis pas douée pour mettre des mots sur ce que je ressens, alors que je suis pourtant une bonne oreille. Mais Eirlys me renvoie dans mes buts à chaque tentative d’en savoir un peu plus sur sa vie privée à elle, et j’ai peur de faire un faux pas, si bien que je m’aventure sur un autre terrain, celui de l’appartement et de notre cohabitation à deux que j’aimerais transformer en cohabitation à trois, puisque nous avons une dernière chambre de disponible. « Je pensais en faire une serre, j’ai déjà commencé. » Ah, une serre… Si ses plantes payaient un loyer, l’idée d’en remplir l’appartement me remplirait de bonheur, mais voilà, mes robes Zara ne vont pas s’acheter toute seules. « Mais ce serait cool de pouvoir diviser le loyer par trois, ouais. » C’est un gros ouf, un gros soupir de soulagement que de l’entendre avouer ça. « Et si je peux ne pas m’en occuper, c’est avec plaisir. »« Je m’occupe de tout, c’est pas un problème ! » Je suis prête à me plier en quatre si elle accepte, c’est limite si je ne lui propose pas de passer l’aspirateur pendant un mois. « Je m’en fiche de qui tu choisis, mais je veux pas d’enfant ici et pas d’animaux. » Fidèle à moi-même, je me lève de mon tabouret vivement, comme s’il m’avait brulée. « Attends. » Je file dans ma chambre, attrape l’un de mes multiple petit carnet, celui que j’utilise généralement pour mes bullet list, un stylo, et je reviens en trombe pour me hisser à nouveau sur mon tabouret. Je suis une scolaire, j’ai toujours été une scolaire, alors j’enlève le capuchon de mon stylo et je la commence à noter. « Pas d’enfants. Pas d’animaux. » Bon, c’est pas le moment de lui dire que je voudrais vraiment un chiot alors. Je relève la tête vers elle, un sourire candide sur les lèvres. « Quoi d’autre ? Une fille ou c’est sans importance ? Faut qu’il ou elle travaille de jour non ? Quelqu’un qui aime bien sortir où qui soit plutôt du genre Netflix et tisane ? » On a le droit de regarder Netflix d’ailleurs ou pas, vu que c’est une multinationale américaine ? « Il faudra aussi qu’ils suivent les règles. » Mon stylo commence à gratter sur le papier. « Les règles c’est bon, je les connais. » Je lui adresse un clin d’œil avant de noter sur mon carnet sa liste de doléances du matin même. « Sinon, tu fais tout ce que tu veux. » Je termine de griffonner l’interdiction de lancer une machine à laver si elle ne déborde pas à ras bord et finalement je relève les yeux vers elle. « C’est noté. Bon, maintenant, dis-moi ce que tu aimes faire de tes week-end, de ton temps libre. » C’est plus pour apprendre à la connaître que pour rédiger l’annonce de colocation, mais au moins je passe un peu moins pour une folle furieuse à poser ce genre de question, et j’évite un peu le piège de l’indélicatesse dans lequel je tombai il y a quelques minutes en la questionnant sur ses relations amoureuse et sa famille.
The earth, the air, the land, and the water are not an inheritance from our forefathers but on loan from our children
Je crois que je ne comprendrais jamais les histoires pouvant exister entre les gens et les tentatives de dialogues et de réconciliation qui échouent toujours lamentablement. Je pars tout simplement du principe que déception est égale à disparition et si quelqu’un fait quelque chose qui me déplait, je n’ai aucun scrupule à le faire sortir de ma vie. Bon, bien sûr, je sais nuancer un peu – ou pas – et je ne prends pas ce genre de décision à la légère, arrivant quand même à jauger si l’action est effectuée vaut le coup que je sois vraiment fâchée ou non. J’ai donc beaucoup de mal à me retenir de dire à Lucia de laisser tomber sa sœur plutôt que de se miner le moral en essayant de se racheter auprès de quelqu’un qui n’a de toute façon pas envie d’entendre ses excuses et ses applications. C’est dommage de gaspiller son énergie de cette façon alors qu’elle pourrait l’employer pour quelque chose de nettement plus constructif. « Bah alors c’est dommage qu’elle gaspille le peu de temps libre qu’il lui reste à te faire la gueule. » Je rectifie, suite aux informations que me donne Lucia. J’avoue que ne suis pas du genre à admirer les gens qui sauvent les êtres humains, non pas parce que je ne suis pas consciente que la tâche est importante, mais surtout parce que je ne comprends pas pourquoi sauver des hommes et des femmes est plus important que de sauver le reste du monde qui lui aussi se meurt et principalement à cause de nous, en plus. J’imagine qu’une fille qui veut laver son pull préféré tout seul dans une machine pour pouvoir le porter le lendemain n’est pas apte à avoir ce genre de débat avec moi, aussi je me garde bien de faire cette réflexion à haute voix. « Je vois, donc elle ne veut pas te parler et te pardonner mais elle veut contrôler ta vie, de mieux en mieux. » Et personnellement, je n’ai aucune envie de rencontrer miss médecin parfait qui pense qu’elle peut dicter à Lucia son comportement. Bon, je dois admettre que moi aussi je profite un peu de la flexibilité de la jeune fille. J’ai été un peu vache avec elle sur les règles à mettre en place au sein de cet appartement et puisqu’elle ne s’en plaint jamais, je n’hésite pas à en ajouter d’autres au gré de mes envies, cherchant des limites qui, chez elle, semblent être inatteignables. En un sens, je comprends Hannah de vouloir la protéger vu la naïveté dont elle est capable de faire preuve, mais je n’aime pas du tout l’idée d’être analysée comme si j’étais un rat de laboratoire – les pauvres sont tellement maltraités – et je n’ai aucune intention de me laisser faire. Toutefois, en discutant davantage avec Lucia, je me rends finalement compte que les craintes et les réticences d’Hannah ne sont peut-être pas infondées et que ma colocataire semble être encore bien sous l’emprise de ce garçon qui a pourtant eu une très mauvaise influence sur elle. « Les adultes fonctionnels, ça n’existe pas. » Je lui fais remarquer, parce qu’il est vrai qu’entre les égocentriques, les sales cons, les gens trop pressés, pas assez patients, trop déterminés, incapables de se remettre en question et j’en passe, on ne peut pas dire qu’il y ait une vraie définition de l’adulte fonctionnel. « L’important c’est de ne pas faire trop confiance aux autres, ils finissent toujours par en abuser. » C’est fou comme je suis positive, pauvre Lucia, elle va finir par croire que je déteste le monde entier et finalement, elle n’aurait pas vraiment tort.
L’idée d’avoir une nouvelle colocataire ne me remplit pas de joie, c’est un fait, parce qu’une me suffit largement d’autant plus que je n’ai pas encore réussi à lui faire intégrer tous les principes de ma vie qui me tiennent à cœur et sans lesquels je ne peux pas vivre. Pourtant, je sais que ce serait une bonne opportunité financièrement, ça m’obligerait juste à prendre davantage sur moi et à revoir mes projets de création de serre dans la pièce encore inoccupée de notre appartement. J’ai besoin de cet argent pour repartir en voyage et j’ai envie de bouger parce que je me maintiens à Brisbane depuis trop longtemps sans réussir à récolter les fonds nécessaires à une nouvelle expédition. Lucia est enthousiaste et semble vouloir prendre les choses en main et je n’ai aucune raison de ne pas la laisser gérer tout ça, d’autant plus que je commence à la connaitre suffisamment pour savoir qu’elle ne fera rien sans mon approbation et que mon avis comptera autant que le sien à ses yeux. En plus, à dire vrai, quitte à avoir une troisième personne à la maison, peu importe de qui il s’agit tant qu’elle est compatible avec la vie que nous menons. Et comme prévu, Lucia prend son rôle très à cœur, allant même jusqu’à noter dans son petit carnet mes désirs pour être sûre de ne rien oublier. Elle est touchante comme ça, à jouer les élèves studieuses comme si tout ce que je pouvais dire était d’une importance capitale et je lui suis reconnaissante de me prendre véritablement en considération au lieu de me traiter simplement comme une folle aux idées un peu farfelues. J’ai l’habitude qu’on me dévisage comme si je sortais d’une mauvaise comédie ou d’un film de science-fiction et ça fait du bien de voir un autre regard posé sur moi, je dois bien l’admettre. « Une femme, un homme, aucune importance du moment que son hygiène de vie n’est pas pitoyable. » Hors de question que je trouve plein de poils dans la douche et trois semaines de vaisselle dans l’évier. Je veux quelqu’un qui s’intègre dans notre univers et qui ne se fasse pas remarquer pour de mauvaises raisons. « Je m’en fiche qu’il ou elle travaille de jour, à la limite même s’il ou elle bosse de nuit, c’est mieux, on se marchera pas dessus, mais si c’est important pour toi, tu peux le mettre dans tes critères. » J’espère que cette envie de travail de jour ne signifie pas qu’elle s’attend à de super brunchs du dimanche en trio, parce que ce n’est vraiment pas l’idée que je me fais de cette colocation. Certes, nous devons cohabiter, mais ce n’est pas pour autant que nous devons nous lier d’amitié. Bien sûr, je trouve Lucia attachante et j’aime partager des moments avec elle, mais je doute qu’elle puisse trouver une perle rare qui me donne envie d’adopter le même comportement avec elle et il faut qu’elle se prépare à ce que je sois beaucoup moins ouverte et volubile en sa présence. « S’il ou elle aime bien sortir, je m’en fiche, du moment qu’il nous ramène pas les trois quarts de Brisbane et ne finit pas sa nuit écroulé devant les toilettes. » Je veux être en colocation avec un ou une adulte et pas quelqu’un qui n’a pas terminé sa crise d’adolescence. « Je fais plein de trucs le weekend ! » Je m’extasie soudain, heureuse de pouvoir partager mes passions. « Souvent, je travaille pour la WWF, je participe aux préparations de manifestations, parfois je voyage un peu sur différentes missions, je prépare les nouvelles bannières, je rencontre les nouveaux bénévoles… Je fais vraiment plein de choses. » Et j’adore ce que je fais. La vie à Brisbane ne me convient pas, c’est un fait, je ne suis pas faite pour rester longtemps au même endroit, mais puisque je suis obligée de me poser pendant quelques temps, je suis heureuse d’avoir réussi à trouver des choses qui me plaisent et à continuer les actions que j’avais commencé. « Et toi, qu’est-ce que tu fais de tes weekend ? Je suis sûre que tu prends des cours de poterie et que tu fais de la danse classique. » Ou pas, mais dans mon esprit un peu bizarre, je trouve que ça lui va bien.
ÂGE : 25 ans (28.03.99) - bélier ascendant taureau SURNOM : Meg généralement, "Barbie les emmerdes" pour Joséphine. STATUT : Elle a dit oui à Damon une première fois en novembre 2021, et à nouveau en novembre 2022. La seconde fois, plus personne n'avait de doigts croisés dans le dos. MÉTIER : Modèle photo, wannabe influenceuse et rôle principal du film "Nine" - adapté de la biographie à succès du même nom - sorti en salles en février 2024. En parallèle, en janvier 2024, elle a repris ses études après six ans d'interruption : cette fois, elle se dirige vers un bachelor en "Social Work" avec l’espoir d’un jour aider des gamins qui traversent les épreuves qu’elle a traversées enfant et adolescente. LOGEMENT : Megan, Damon et Bowie, le chien qui ne garde pas grand chose, ont d'emménagé en janvier au #283 Dornoch Terrace, à West End, dans une petite maison à la façade typiquement australienne. POSTS : 5711 POINTS : 410
TW IN RP : Négligence et retrait de l'enfant par les services sociaux / enfance dans le système, objectification de la femme, dépendance affective, fausse couche, infertilité et procréation médicalement assistée. ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : véritablement obsédée par l'idée de s'élever dans l'échelle sociale, elle s'y emploie sans penser aux dommages collatéraux › forte, passionnée, impatiente et déterminée, Megan est courageuse et têtue jusqu'à l'épuisement › balottée entre une mère toxicomane et alcoolique et plus de familles d'accueil qu'elle ne veut les compter, elle ne parle de son enfance à personne › spécialiste des fausses bonnes idées, Megan agit avant et réfléchit après › elle a un grand coeur, pourtant elle n'hésite pas à laisser derrière elle ceux qui deviennent pour elle des "poids morts" DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : darkgoldenrod. RPs EN COURS :
cosigan #41 ☆ you made me cry, i won't deny that. yes, we lied and told our friends that we were fine and played pretend but i'm so scared of being alone and you're the only one that feels like home. i'm just a mess, now I'm just a mess, and you're just the person that changed my life. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7 › 8 › 9 › 10 › 11 › 12 › 13 › 14 › 15 › 16 › 17 › 18 › 19 › 20 › 21 › 22 › 23 › 24 › 25 › 26 › 27 › 28 › 29 › 30 › 31 › 32 › 33 › 34 › 35 › 36 › 37 › 38 › 39 › 40 › 41
melly #5 ☆ are you a stranger ? but you seem so familiar, it's hard to explain. and maybe i'm broken, but my arms are wide open for you. and you'll never know it, but you're just like me. now you can't deny the times you lied and cried, you missed your mother. and I know, the story goes, you say you really tried, you didn't try at all. so now you hate the world, it hates you back is your excuse to fall.
joseegan #14 ☆ sometimes, baby, i'm so carefree, with a joy that's hard to hide. and then, sometimes, again it seems that all i have is worry, and then, you're bound to see my other side. but i'm just a soul whose intentions are good. oh lord, please don't let me be misunderstood.
meloh #14 ☆ you have my heart, and we'll never be worlds apart. when the sun shines, we'll shine together. told you i'll be here forever, said i'll always be your friend, took an oath, i'ma stick it out 'til the end. these fancy things will never come in between, you're part of my entity, here for infinity.
morigan #5 ☆ every single day, yeah, i dig a grave, then i sit inside it, wondering if i'll behave. it's a game i play, and i hate to say, you're the worst thing and the best thing that's happened to me. i don't know what to do, you don't know what to say, the scars on my mind are on replay.
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milo (scénario libre) ☆ there's always a joker in the pack, there's always a lonely clown. the poor laughing fool falls on his back and everyone laughs when he's down. there's always a funny man in the game, but he's only funny by mistake. and everyone laughs at him just the same, they don't see his lonely heart break.
I can live under water Lucia Whitemore & @Eirlys Walsh
« Bah alors c’est dommage qu’elle gaspille le peu de temps libre qu’il lui reste à te faire la gueule. » Dis comme ça, cela paraît plutôt évident. Hannah passe pour la sœur qui exagère, qui se fie à sa rancune au lieu de penser à la force du lien familial qui nous unit, et j’aimerais que les choses soient aussi simple. J’aimerais, comme Eirlys, être capable de réduire la situation à ce dilemme qui n’en est plus un, être capable de tenir tête à Hannah et de lui expliquer qu’elle me blesse, qu’elle doit me pardonner ou que nos rapports finiront pas en pâtir définitivement. Est-ce à cause de cette façon de voir les choses qu’elle n’a personne à inviter à l’appartement ? Est-ce qu’elle se sent seule ? A-t-elle des gens, une famille, qui que ce soit pour être à ses côtés et le cas contraire, est-ce que ça la blesse ? Ou bien s’en fiche-t-elle ? Je ne me risque pas à poser ces question, je n’ai pas envie de la blesser ou de la brusquer. « Je vois, donc elle ne veut pas te parler et te pardonner mais elle veut contrôler ta vie, de mieux en mieux. » J’adresse un sourire timide à la demoiselle. « Comme je te dis, je crois surtout qu’elle veut s’assurer que toi tu la contrôles pas. » D’un air distrait, je plante ma fourchette dans mon assiette. « Mais je lui ai dit que t’étais géniale et que ma mère et Gabrielle t’avait trouvée sympathique la fois où elle sont venues, je suppose que ça l’a rassurée. » Mais je préfèrerais qu’elle accepte de s’asseoir autour d’une table avec Hannah, même si ce n’est que le temps d’un café. Si ça peut m’aider à recoller les morceaux avec ma sœur, je lui serais reconnaissante d’accepter, malgré son a priori négatif au sujet de la brune. « Les adultes fonctionnels, ça n’existe pas. L’important c’est de ne pas faire trop confiance aux autres, ils finissent toujours par en abuser. » Je fronce le nez, peu convaincue par son cynisme. Je suis une éternelle optimiste et j’ai même tendance à faire trop vite confiance, même à des gens qui ne le méritent pas, elle aura donc du mal à me convaincre en quelques jours de changer la façon dont j’aborde les relations humaines depuis vingt-cinq ans. « Je crois pas que ce soit vrai. Je crois que y’a des gens vraiment altruistes, vraiment gentils et qui ont à cœur de toujours s’améliorer, de venir en aide à leur prochain quand elles le peuvent. » Et je crois même, parce que je suis toujours positive dans l’excès, qu’elle en fait partie.
Sur le sujet de la troisième chambre, je tente de déployer toute la force de conviction que je possède, c’est-à-dire, pas grand-chose. Heureusement elle n’est pas difficile à convaincre, il faut croire que pour sauver la planète aussi il faut de l’argent. « Une femme, un homme, aucune importance du moment que son hygiène de vie n’est pas pitoyable. » Mon style s’agite sur mon petit carnet, je note chaque moi de ma colocataire comme s’il m’était précieux et comme si j’avais peur de l’oublier. Une femme ce sera alors, parce que de mon côté j’ai conscience que je n’arriverais pas à être à l’aise si nous vivions avec un homme. Depuis Lawrence, je ne me sens plus en sécurité lorsque je suis auprès de l’un d’eux. Une femme maniaque de la propreté, pour qu’Eirlys n’ait rien à dire à ce sujet. « Je m’en fiche qu’il ou elle travaille de jour, à la limite même s’il ou elle bosse de nuit, c’est mieux, on se marchera pas dessus, mais si c’est important pour toi, tu peux le mettre dans tes critères. » Je continue à noter ses critères, de ma jolie écriture fine, avec des rond sur mes i à la place de points, et mes arabesques dans la marge. Je rajouterai des couleurs aussi plus tard, je sais bien que je serai incapable de m’en empêcher. « S’il ou elle aime bien sortir, je m’en fiche, du moment qu’il nous ramène pas les trois quarts de Brisbane et ne finit pas sa nuit écroulé devant les toilettes. » Moi je suis prête à tenir la tête de notre futur colocataire, mais je suis d’accord avec elle : si elle peut partager des soirées Netflix avec moi plutôt que me sermonner parce que je ne sors pas assez de l’appartement, ça me va. « C’est noté ! Je vais la trouver notre perle rare, pour le coup ça ne m’a pas l’air si compliqué. » Noté sur du papier, avec de jolies cases à cocher que je rajoute devant chaque prérequis, rien ne m’a l’air compliqué. Il suffit que je trouve quelqu’un qui me les fasse toutes cocher, simple comme bonjour même. Si je demande à Eirlys ses centres d’intérêt, c’est autant pour les avoir en tête lors de choisir notre troisième larron que parce que ça m’intéresse sincèrement. Je sais que c’est une adulte, et que donc par conséquent se faire des tresses et fabriquer ensemble des bracelets de l’amitié avec moi ne l’intéressera pas – sinon j’aurais déjà proposé – mais j’ai envie d’en savoir le plus possible sur la demoiselle. « Je fais plein de trucs le weekend ! Souvent, je travaille pour la WWF, je participe aux préparations de manifestations, parfois je voyage un peu sur différentes missions, je prépare les nouvelles bannières, je rencontre les nouveaux bénévoles… Je fais vraiment plein de choses. » J’aimerais avoir du temps à accorder au bénévolat de mon côté, travailler à l’hôpital ou dans des associations qui viennent en aide à des sans-abris, je sais que ce genre d’initiative plairait à Hannah, mais mon emploi du temps risque de se charger à partir de janvier. « Et toi, qu’est-ce que tu fais de tes weekend ? Je suis sûre que tu prends des cours de poterie et que tu fais de la danse classique. » Je rougis en entendant cette vision qu’elle a de moi. « J’ai fait de la danse classique en fait, pendant des années, mais j’ai arrêté il y a trois ans, presque quatre. » Suite à cette blessure qui me donne toujours l’impression que mon genou rouille par temps de pluie. « Jamais de poterie. » Je lui réponds dans un sourire, pas vexée qu’elle dresse un portrait de moi un peu cliché. « Pas de scout, pas de macramé, pas de scrapbooking, pas de cuisine, pas de jardinage. Bon j’avoue, je fais un peu de pâtisserie. » Me croit-elle directement sortie d’un roman à l’eau de rose ? « Je vais surtout plus avoir le temps de faire grand-chose à partir de janvier, j’ai décroché un boulot dans ma branche. » Un qui risque de ne pas trouver grâce à ses yeux, j’en ai bien peur. « Mais comme je serai à l’essai, je vais garder mon job au bar où je bosse. Je ferai les soirées et les week-ends, dès que j’aurais un peu de temps. » Et je pense que même si je venais à cesser de bosser pour le DBD, je continuerai d’y passer du temps, j’aime trop l’atmosphère qui s’en dégage est les gens avec lesquels je travaille. « Les gens sont vraiment gentils là-bas, un peu tous aussi paumés que moi, mais gentils. » Je comprends mieux Charlie, lorsqu’elle me parlait de grande famille.