| It's just a misunderstanding (ft Connor Barrett) (-18) |
| | (#)Jeu 19 Mar 2020 - 16:08 | |
| @Elizabeth Warren - Je te préviens, c'est coquin. Si tu cliques, t'assumes hein :
Nous y sommes. Interdit de reculer maintenant. De toute façon, si je recule, je vais me cogner les fesses contre le bureau, et ce n'est pas vraiment agréable. Ce baiser était à la fois tendre et délicat. Une véritable carresse, pleine de douceur. Ce qui était appréciable. Mais cela n'était pas suffisant pour éteindre le feu qui brûle en moi. Ce que je veux, c'est lui ôter tout ce qui lui reste sur la peau. Je la veux nue, entièrement nue. Ai-je précisé que pendant l'acte, je suis celui qui domine ? Et elle allait l'apprendre très vite. C'est à mon tour de l'embrasser, de façon plus passionnée. Ma langue touche la sienne, encore et encore, tandis que mes mains étreignent de plus en plus fort son postérieur. Je ne me pose plus de questions. Tout est clair. Tout est évident. Je veux son corps. Là, maintenant, tout de suite. Alors, après cet échange de baisers passionnés, je prends la peine de la poser avec la plus grande délicatesse sur ses pieds, puis je me dirige vers le bureau et, comme dans tout ces films ringards, j'envoie tout valser. Il ne reste plus rien, et le fracas causé n'a pas manqué d'attirer l'attention. Je me redirige vers ma tentatrice, carrément excitante en sous-vêtements, et alors que je m'apprêtais à l'amener vers le bureau en la portant à nouveau contre moi, on entend quelqu'un toquer à la porte du bureau. Au moins la personne est polie. Ou alors elle est terrifiée de savoir ce qui se passe. Nous nous regardons, et d'un commun accord du regard, je vais ouvrir. Il n'y a que ma tête qui dépasse de l'ouverture. De l'autre côté, une femmme, peut-être l'hôtesse de la soirée, se demande ce qui se passe.
- Tout va bien, rassurez-vous. Par contre ce serait génial si vous pouviez retourner dans le salon avec les autres, merci.
Bam, porte refermée, et cette fois, je verrouille la pièce. Là nous sommes seuls, complètement seuls. Je suis toujours en sous-vêtements, elle aussi. Je lui fais signe de me rejoindre près de ce grand bureau vide de choses, et, facilement, je la soulève pour l'asseoir dessus. Je ne veux rien lui dire, tout lui faire comprendre. J'embrasse à nouveau ces douces et pulpeuses lèvres avant d'accompagner son allonge avec mes bras. Mes lèvres font ainsi connaissance avec son cou, son buste, son nombril, de plus en plus bas... Et nous y voilà. Son intimité la plus pure. Il reste un dernier obstacle entre elle et moi, que je prends le soin de retirer. Passons aux choses sérieuses, au diable cette partie de billard. Au pire des cas, nous pourrons la continuer après. Je m'attèle à embrasser toute cette zone, tous ces recoins tous aussi intimes les uns que les autres, puis c'est au tour de ma langue de prendre le relais. De vrais coups de langue sensuels, brûlants de désir et de passion. D'une vraie douceur, j'allais vers quelque chose de plus intense, de plus passionné. J'entends des gémissements. Je vois des muscles se crisper et se relâcher. Je sens ces mouvements furtifs, ces frissons parcourir son corps. L'intensité atteint son paroxysme quand, en plus d'utiliser ma langue, ce fut au tour de mes doigts de rejoindre la danse. Toujours plus vite, toujours plus intense. J'aime ce que je suis en train de lui faire. Et j'imagine qu'elle aussi. Puis c'est le moment de s'arrêter, de passer à autre chose. Je me relève, et j'aide ma reine à se redresser pour retrouver une position assise.
- Alors, on continue le billard ou on continue... ça ?
Avant de la laisser répondre, je passe mes mains dans son dos, et tout en l'embrassant, je parviens à dégrafer l'ultime sous-vêtement restant. La voilà maintenant nue. Totalement nue. Elle est magnifique.
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| | | | (#)Ven 20 Mar 2020 - 10:23 | |
| @Connor Barrett - Tu es prévenu, si tu lis la suite c'est que tu as plus de 18 ans, sinon change de page de suite ;-) :
Le lieutenant rendit le baiser à la belle. Ils se dévoraient littéralement. Les particules de chaleur étaient en folie, ça devenait l’anarchie et elles s’éparpillaient partout. Elle sentit les mains de Connor la découvrir. Le contact, et l’électricité qu’il dégageait, étaient divins. Son postérieur se faire masser, palper…et celui-ci se contractait de plaisir. Lorsqu’il la déposa délicatement au sol, son cœur se serra. Chaque seconde passée loin de lui devint une torture. Elizabeth ne comprenait plus ce qu’il se passait à l’intérieur d’elle et là, elle s’en fichait carrément. Elle ne voulait plus que lui. Elle observait cette statue grecque dans chacun de ses recoins alors qu’il s’éloignait d’elle. Il balança tout ce qui se trouvait dessus le grand bureau. Le bruit fut assourdissant mais au lieu de faire sursauter la belle ou de lui faire peur, cela l’excitait davantage. Connor était incontestablement le genre d’homme qui prenait les choses en main et la belle aimait ça. Elizabeth émettait tellement de contrôle dans tous les aspects de sa vie qu’il en fallait bien un où elle lâchait prise…Mais elle ne fut pas surprise de savoir que cet homme lui correspondait parfaitement, comme si depuis les premiers échanges piquants entre leurs réparties mutuelles, c’était une évidence qu’il saurait répondre comme il se doit aux désirs de la belle.
Soudain, un toc à la porte…Ce n’était pas surprenant étant donné le fracas que les objets avaient entrainé en tombant au sol. Connor et Elizabeth s’observèrent et une fois de plus, le lieutenant prit les devants. Elizabeth n’écouta pas du tout l’échange que Connor pu avoir avec cette personne. Elle s’en moquait, elle n’avait aucune personne dont elle était proche ici. Et en cet instant, rien ne comptait plus que de ne faire qu’un avec Connor. Elle savait ce qui l’attendait une fois cette porter fermée. Elle savait qu’il la porterait sur ce bureau et qu’il ferait sauter ce dernier bout de tissu qui les empêchait de sentir leur corps fondre l’un sur l’autre, dupliquant toutes les sensations de caresses et de contact. Elle savait qu’il allait la dominer, la transcender.
Connor verrouilla le bureau, ils étaient à présent sûrs de ne plus être dérangés. Il lui fit signe de le rejoindre près du grand bureau et elle s’exécuta, elle était plus que prête à lui obéir aveuglément. Après tout, c’était un homme de loi donc elle était obligée…Il la souleva à nouveau avec une facilité déconcertante et elle aimait savoir qu’il pouvait faire ce qu’il voulait de son corps. Il la couvrait de baisers. Le corps d’Elizabeth s’agitait, cela la démangeait d’en avoir encore plus. Toujours plus. Ses baisers provoquaient un feu d’artifice de sensations. Il descendait toujours un peu plus bas et Elizabeth ne put s’empêcher de se demander s’il allait faire un arrêt pour jouer davantage avec elle. Mais il n’en fit point. Il dégrafa le bas du body en dentelle et il n’hésita pas une seule seconde à s’élancer vers le point culminant du volcan qu’Elizabeth incarnait, prête à rentrer en éruption à tout moment.
Telle une voiture qui s’élançait sur l’autoroute, il commença doucement puis accéléra le rythme. Elizabeth se cambrait, la langue de Connor n’était pas timide et n’hésitait pas à se faire conquérante. Il accompagna ses coups de langue sensuels avec ses doigts et le plaisir n’en était que décuplé. Elizabeth gémit, elle ne put retenir ce petit cri. Il savait s’y prendre. C’était un délicieux supplice…Elle était prête à le laisser la noyer. Et soudain, il s’arrêta. Elle savait pourquoi, il ne fallait pas le jeu s’arrête ici. Ils avaient tous les deux prévu d’aller plus loin.
Il l’aida à se relever et malgré sa très bonne forme physique, Elizabeth accepta volontiers l’aide. Son corps vibrait, il tremblait de désir et elle sentait qu’elle faiblissait. Et pas que physiquement. Elle sentait ses barrières internes valdinguer. Au fond d’elle, elle avait peur que cette étreinte s’arrête, bien que ce serait le cas plus tard… Elle reconstruirait son enclos à ce moment-là.
- Alors, on continue le billard ou on continue... ça ?
C’était comme si la question n’avait pas besoin de réponse car à peine posée, il dégrafa l’arrière du body et l’enleva sans attendre la réponse de la belle, comme si finalement ils n’avaient plus besoin de mots pour se comprendre. Elle était désormais nue face à lui et elle aimait ça. Elle aimait qu’il puisse observer ce qu’elle est entièrement. Elle fit promener son index sur sa lèvre inférieure tout en le regardant intensément, faisant mine de prendre le temps de réfléchir mais elle savait déjà ce qu’elle voulait. Elizabeth n’était pas du tout le genre de femme à hésiter.
Elle puisa dans toute la force qui lui restait pour se mettre debout et elle embrassa le lieutenant de plus belle. Elle lui mordit légèrement la lèvre puis la relâcha. C’était à son tour de découvrir chaque cm de ce corps taillé à la perfection. Elle se dirigea vers son lobe et le suça à pleine bouche. Puis elle descendit petit à petit sur cette magnifique courbe de cou avec ses lèvres brûlantes et brûlées et en utilisant ses doigts qui traçaient le chemin à suivre. Connor frissonnait, c’était divin de pouvoir découvrir le goût qu’il avait, de sentir son odeur, son parfum qui étourdissait Elizabeth…Mais elle ne perdit pas le fil du contact avec cette délicieuse peau chocolat. Sa bouche se stoppa mais sa main déjà lancée, avec son autre main qui prit le relai de l’autre côté, continuèrent leur chemin jusqu’à rencontrer celles de Connor.
Elle s’en saisit. Le contact était doux, tendre, et cela perturba Elizabeth d’émettre une telle douceur envers un homme. Le temps se stoppa, ils se regardèrent et sa respiration s’arrêta. Il était tellement beau. Non, elle ne pouvait pas laisser de l’affection naître. C’était du sexe, tout simplement du sexe. Elle lâcha les mains et utilisa ses doigts de fée pour venir effleurer la bosse de Connor, toujours présente et qui la narguait plus que jamais. Elle fit quelques aller-retour légers sur le tissu comme pour teaser ce qui attendait ce futur joujou. Puis, elle s’empressa d’encercler les deux poignets de Connor afin de le changer de sens. Il se retrouvait à nouveau les fesses contre le bureau, Elizabeth avait repris les commandes. Et pas que de Connor, de elle aussi. Elle éloigna les pseudos sentiments qui essayaient de naître et décida de s’attaquer à ce caleçon, qui était de trop dans cette partie de billard.
« On va peut-être se débarrasser de ça non ? »
Dit-elle en désignant le bout de tissu blanc. Elizabeth avait une idée très précise de ce qu’elle voulait faire ensuite.
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| | | | (#)Sam 21 Mar 2020 - 11:50 | |
| @Elizabeth Warren - On va pas le dire à chaque fois hein... :
Au moins nous étions d'accord sur un point. La partie de billard pouvait attendre. Nous avions des choses beaucoup plus importantes à faire. Se découvrir, s'apprivoiser, et peut-être même tellement plus. Nul ne savait ou cela allait nous mener. Après tout, ce n'est pas qu'une question de calculs, de réflexions. Non, c'est cet instant, ce moment présent, qui importe. Depuis mon entrée dans cette maison et mon regard croisant le sien, elle est devenue la chose que je convoite le plus. Et nous y sommes presque. Dans quelques minutes, nous ferons ce que les êtres humains qui sont attirés l'un par l'autre font. Cela ne fait aucun doute, il ne peut rien se passer qui vienne changer ce divin programme. Alors qu'elle est nue face à moi, je prends le temps de la regarder, encore et encore. J'en ai le souffle coupé. Une beauté d'une pureté rare. Je sens que ma garde se baisse, et l'élan de domination que je venais d'instaurer était sur le point de voler en éclats.
La tentatrice se lève du bureau, et se décide à être plutôt entreprenante. C'est on ne peut plus agréable. Pour une rare fois, je me laisse faire, lui laissant le contrôle de mon corps. Finalement, ce n'est pas si compliqué à faire, de laisser le contrôle à l'autre. Tout ce qu'elle me fait augmente toujours un peu plus mon envie d'elle. Mon envie de l'embrasser, de la carresser. Lui faire du bien tout en lui faisant du mal. C'est le seul moyen que j'ai pour évacuer tout ce désir que je ressens. M'offrir à elle, corps et âme, pendant de très longues minutes. Une chose est certaine, elle sait s'y prendre avec mon corps. Ses carresses sont de vrais instants de délice. Puis elle décide de passer aux choses sérieuses, comme moi quelques instants auparavant. Sentir ses doigts serrer mon anatomie puis faire des mouvements de va et vient était une sensation quasi jouissive. Et, avec une certaine assurance, elle me demande s'il ne vaut pas mieux que je me sépare de mon sous-vêtement. Assurément oui. Alors je m'exécute, et alors que je le retire, j'en profite pour embrasser le corps de ma partenaire. Et alors que je suis accroupi et que mon visage rencontre à nouveau son anatomie, j'en profite pour lui faire un petit rappel de ce qui s'est passé précédemment. Pas très longtemps, à peine quelques secondes. Mais je mourrais d'envie de la consommer encore un peu. Je me relève, libéré du dernier morceau de tissu présent sur mon corps. Ne sachant pas réellement ce qu'elle voulait faire de moi, malgré le fait que j'ai une petite idée, je pose mes fesses sur le bureau, attendant de savoir à quelle sauce je vais être mangé...
- Je t'en prie, fais toi plaisir.
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| | | | (#)Sam 21 Mar 2020 - 12:43 | |
| @"Connor Barrett" - Attention les yeux, ça déborde de sensualité ici...:
Ca y’est. Il était face à elle, entièrement nu. La masculinité et la force qu’il dégageait étaient à couper le souffle. D’ailleurs, il fallait qu’elle le reprenne son souffle. Elle décida de ne pas se lancer de suite dans la quête du graal qui pourtant était à portée de main, juste en face d'elle et qui l'appelait. Oui, il fallait qu’elle retrouve de l’air. Non…en réalité, il ne s’agissait pas de ça, elle n’avait pas du tout besoin de souffler. Si elle était honnête avec elle-même, elle voulait que le moment ne s’arrête pas, qu’il dure encore. Elle voulait encore profiter de sa présence, de cet instant incroyable qu’ils étaient en train de vivre. Il fallait trouver quelque chose.
Elle avait repéré plus tôt dans la soirée une vieille chaîne hi-fi dans le bureau. Elle se dirigea vers celle-ci.
« Tu devrais savoir que je suis du genre à aimer gémir fort. Bien que je ne doute pas du fait que mes cris seront couverts par la musique d’à côté, mieux vaut prévenir que guérir, n’est-ce pas lieutenant ? »
Mais bien sûr, ce n’était pas l’idée qu’elle avait en tête, c’était un prétexte car la musique d’à côté pouvait largement dominer ses gémissements de plaisir même s’ils seraient forts et intenses. Elle avait en réalité envie d’utiliser ses talents de danseuse. Elle prit quelques secondes pour lire les CDs, déposés à côté. Elle en prit un et le mit dans l’appareil.
« Ca ira très bien ça »
Et soudain, ce fut « Marvin Gaye – Let’s get it on » que l’on pouvait entendre. Au tout début de l’introduction, elle se dirigea vers l’autre bureau sur lequel trainait encore le verre de whisky. Elle prit une gorgée. Ce whisky était divin. Cet homme était divin. Cet instant était divin. Puis elle reposa le verre et se tourna vers Connor, qui était assez éloigné de la belle. Trop éloigné.
Elle le regarda et déposa ses propres mains à elle à plat de chaque côté de son cou. Puis elle les fit remonter délicatement en traversant sa belle chevelure brune tout en se déhanchant doucement. Ses mains se retrouvèrent au dessus de sa tête, avec les bras tendus et elle continua de faire bouger ses fesses sur la musique. Puis elle redescendit ses bras et ses mains avec une grâce à couper le souffler. Les années de danse de sa jeunesse parlèrent en cet instant.
Elle se dirigea vers lui en croisant une jambe devant l’autre, sa démarche était assurée et sensuelle. Quand elle se retrouva plus proche de Connor, mais encore à un pas de lui, elle ouvrit légèrement sa jambe gauche vers sa gauche. Puis elle se caressa elle-même sa joue et sa main se tourna pour poursuivre la caresse sur le reste de son corps. Ses doigts se déplacèrent avec une telle lenteur…Ils se placèrent sur son cou et se glissèrent entre ces deux seins pour continuer en passant sur son nombril et terminer leur course d’escargot sur la partie la plus intime de la belle et s'y attarder un peu pour jouer avec. Elizabeth avait fermé ses yeux et se mordait la lèvre, elle imaginait que sa main n’était autre que celle de Connor en repensant à l’effet électrisant que le contact avec sa main à lui avait provoqué. Elle frissonnait de plaisir. Elle voulait que Connor assiste à chaque seconde de ce spectacle.
Elle rouvrit les yeux et se rapprocha du lieutenant mais en se tournant. Elle colla ses fesses contre le bassin de Connor. Le serpent conquérant vint se loger au chaud, contre le corps brûlant d’Elizabeth. Elle fit de nouveau quelques déhanchements. Connor respirait de plus en plus fort. Il déposait des baisers dans son cou, le contact de ses lèvres était étourdissant. Il ne fallait pas qu’elle se fige. Elle se retourna, lui faisant désormais face, puis elle encercla la tête de Connor avec ses bras, tout en continuant de déhancher légèrement. Connor avait un sourire resplendissant. Il était tellement rayonnant qu’il aurait pu éblouir le Soleil lui-même. Et, là, elle se stoppa et, elle sourit aussi. Ce n’était pas un sourire de provocation. Ce n’était pas un sourire de séduction. C’était tout simplement un sourire sincère. Elle se mettait face à lui dans son plus simple appareil. Elle se sentait comme une reine faisant face à son roi. Désormais, il n’y avait pas que du désir entre eux, il y avait aussi de la complicité.
Ce fut à nouveau Elizabeth qui rompit ce beau moment de partage. Il n’était pas question que des sentiments naissent. Elle, qui mettait tellement d’énergie à tenir une distance de sécurité affective. Pourquoi cet homme la perturbait tant ? Elle tentait de se recentrer sur l’aspect physique du moment. Elle prit délicatement l’index de Connor et le goûta goulûment en faisant tourner sa langue autour. Elle ferma les yeux pour mieux savourer cet instant de pure sensualité. C’était sa façon à elle d’indiquer qu’elle était sa prochaine idée. Elle aussi, elle voulait montrer au lieutenant ses talents d’exploratrice.
Dernière édition par Elizabeth Warren le Mar 1 Sep 2020 - 0:10, édité 1 fois |
| | | | (#)Dim 22 Mar 2020 - 19:39 | |
| @Elizabeth Warren - On va pas faire un blabla à chaque fois hein :
Quel spectacle les amis. Quel spectacle. Je suis littéralement envouté par cette danse lascive, aux extraits de sensualité et de romantisme. Le choix de la musique était parfait. A la fois calme et puissante. A la fois entrainante et réchauffante. Mes yeux ne loupent pas une miette du spectacle auquel j'assiste, et ça doit bien être la première fois qu'une femme fait cela pour moi. Mon subconscient prend le contrôle de mon corps, et en plus de tendre de plus en plus mon intimité, je sens un énorme sourire se dessiner sur mon visage. Un vrai sourire franc, honnête, sincère. Si elle s'en donnait la peine, elle pourrait compter le nombre de mes dents, toutes dehors. La voir se déhancher, et d'un coup carresser son intimité, plantant ses yeux dans les miens, avait un effet terrible sur moi. Je crois même que sans le vouloir, je reproduis l'image qu'elle est en train de m'envoyer, et ma main s'enroule autour de ma lance afin de la préparer à l'assaut. Et puis, ce jeu sensuel est positif pour nous deux. Je la stimule, elle me stimule, cela promet une explosion de désir.
La température augmente encore de quelques dixièmes lorsque ma tentatrice, visiblement bouillante, vient à coller ses petites fesses parfaitement rondes et bombés sur mon anatomie. Un matelas parfait, parfaitement logé dans l'interstice. Au bout d'elle, j'arrive à percevoir l'humidité de son jardin secret. Nous n'en sommes qu'au tout début, les préliminaires sont tout juste lancés, et pourtant je ne suis pas encore totalement satisfait. Ma volonté de pénétrer son intimité se faisait de plus en plus pressante. Mais cette femme est intelligente. Pleine de ressources. Alors qu'elle aurait pu se saisir de n'importe quelle partie de mon corps, elle se concentre sur mon index, lequel vient se loger dans sa bouche et subit une volée de coup de langues très bien sentis. Je ne peux pas la laisser faire aussi facilement. Alors, ma seconde main étant libre, elle décide de prendre le chemin de son fessier, lui apportant quelques douces carresses avant d'y appliquer une légère fessée. Un geste ni trop doux, ni trop brusque. C'était une façon d'extérioriser cette passion qui brule en moi. Et alors que mon index est toujours dans sa prison dorée, mes doigts libres prennent le chemin d'un lieu qui me tardait de découvrir avec mon intimité. Très vite, je comprends qu'elle aussi brule de passion, à en juger par l'humidité de son entrejambe. Impossible d'occulter cela. Puis vient le moment d'entrer dans le vif du sujet. Quelques mouvements de va et vient pour l'exciter toujours plus. Cela ne dure que quelques secondes, mais que c'est intense. A en perdre la tête. Elle semble prête pour passer à la suite.
- Je t'en prie, fais toi plaisir.
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| | | | (#)Lun 23 Mar 2020 - 17:08 | |
| - Là on rentre dans le vif du sujet, il est encore tps de détourner le regard ;-) :
Alors qu’elle s’appliquait à donner un aperçu de tout le savoir-faire de sa langue, Connor vint lui caresser les fesses et…bam, ce fut la fessée. Un contact primitif et fougueux qui servait probablement à relâcher un peu de pression (mais pas trop). Elizabeth fut surprise mais ce geste l’excita tellement davantage. Elle émit un petit cri, impossible à contenir. Elle aussi, ce qu’elle ressentait la prenait aux tripes.
Il accompagna ce geste d’une nouvelle approche de son intimité. Il connaissait déjà l’intérieur de sa grotte et fut plus précis dans ses mouvements. Comme un pianiste apprenant un nouveau morceau, il maîtrisait davantage la partition et ses subtilités. Ce fut intense, Elizabeth se demandait combien de temps elle pourrait tenir encore. Il lui fallait un temps de répit pour reprendre le contrôle sur son corps où il n’allait pas tarder à lâcher dans une explosion de plaisir. Eux deux, c’était tout simplement de la dynamite, prête à tout terrasser sur son passage. Leur association était parfaite. C’est comme s’ils étaient faits pour se rencontrer à cet instant précis. Connor la touchait au plus profond d’elle, physiquement et métaphoriquement. Il termina l’approche de son jardin secret et se retira. Le cœur de la belle se serra. C’était comme se réveiller le matin de Noël et devoir ouvrir les cadeaux un à un alors que l’on voulait tout déballer de suite.
« - Je t'en prie, fais toi plaisir. »
Connor avait un sourire à tomber par terre. Avait-elle déjà vu un homme avec autant de charisme ? Le reverrait-elle ? Penserait-elle à lui la prochaine fois qu’elle serait avec un homme ? Elizabeth reprit ses esprits, ce n’était pas le moment pour réfléchir et encore moins à des sujets aussi pénibles. Il était hors de question de changer le train de direction, le trajet était cette nuit, l’arrivée était à la fin de celle-ci et ils prendraient alors des chemins différents, comme deux personnes qui avaient discuté agréablement pendant le déplacement mais qui retournaient à leur vie après le voyage.
« Oh mais j’y compte bien »
Comme elle l’avait annoncé en titillant cet index, elle décida d’endosser le rôle d’une charmeuse de serpent et de partir à la quête de cet animal sauvage. Elle se baissa en prenant tout son temps. Elle voulait que dans l’esprit de Connor naisse une appréhension, une attente, une envie telle qu’il en perdrait son rapport à la réalité pour rejoindre le 7ème ciel au contact de sa langue brûlante de désir pour lui. Et c’était le cas, car sa respiration s’accélérait par anticipation. Elizabeth se saisit d’abord de la perche avec sa main dominante, la droite, et fit quelques allers-retours. Mais elle ne mit pas longtemps à céder à la tentation de goûter au délice du lieutenant. Lorsque sa bouche rencontra son phallus, Connor émit un mouvement de hanches vers l’avant. Il tremblait de désir pour la belle.
Les lèvres d’Elizabeth étaient d’abord dévorantes, goulues, elle voulait le sentir entièrement, dans tous ces reliefs. Puis, une fois un peu de pression et de passion dégagées, elle ralentit son mouvement et décida d’ajouter plusieurs nuances à sa manipulation. Sa langue se faisait endiablée mais agile, très loin d’être timide. Elle s’amusait à modifier l’intensité : tantôt tout en puissance, tantôt tout en douceur. La belle n’hésitait pas non plus à utiliser de ses charmes en plantant son regard dans celui du lieutenant. Elle voulait qu’il sache qu’elle le voyait, qu’elle ne perdait pas une miette de ce qu’il ressentait. Si beaucoup de femmes pouvaient trouver la position dégradante, Elizabeth trouvait au contraire que cela procurait beaucoup de force et de pouvoir. C’était elle qui maîtrisait le jeu maintenant. Cela n’allait sûrement pas durer étant donné le caractère que Connor avait laissé apparaître. Mais en attendant, c’était elle le chef, c’était elle qui était aux commandes. Et elle se régalait de ce sentiment et de sentir Connor s’abandonner à elle entièrement. La fermeté et la vitalité du graal était prometteuse pour la suite du programme.
Elle ne baissa pas son ardeur impétueuse et l’enthousiasme dont elle pouvait faire preuve à exécuter cette tâche et ce fut Connor qui l’interrompit.
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| | | | (#)Lun 23 Mar 2020 - 17:54 | |
| @Elizabeth Warren - Là c'est le feu :
C'est... un... DIX ! Mon dieu, mais quel talent. J'ai rencontré quelques femmes dans ma vie, mais aucune ne maitrisait cet art à la perfection comme le maitrise ma tentatrice. Tout y était. La qualité des mouvements de mains, les mouvements de langues différents, ce contact visuel comme pour me rappeler qu'à cet instant, c'est elle qui me contrôle. Elle guide mes pas. Si elle me frôle, alors je ne réponds plus de rien. Mon corps est partagé entre l'envie de profiter encore quelques minutes de ce réel plaisir, et celui de la relever de toutes mes forces, lui tourner les hanches et rendre vraiment officiel cet acte intime que l'on a commencé depuis déjà un moment. Et c'est le premier choix que je choisis. Un coup les yeux fermés, comme pour profiter à fond de l'instant, un autre coup les yeux grands ouverts, ébahi par le spectacle proposé. Franchement, si j'avais mon téléphone pas loin de moi, j'aurais surement immortalisé ce moment pour des prochaines séances de douceurs personnelles. L'excitation était tellement intense que je sentais mon intimité devenir douleureuse, tellement les afflux de sang étaient conséquents. Plus les secondes s'écoulent, plus ma patience s'égrène. Il va vraiment falloir passer aux choses sérieuses. Tout de suite. Maintenant. C'est donc au tour de la deuxième solution. Je passe ma main gauche dans ses cheveux, puis j'en serre de longues mèches afin d'extraire ses lèvres de mon anatomie. Ma main droite vient se poser sur son cou, guidant son relèvement. Puis elle la conduit au niveau de mon visage. Nos lèvres sont à nouveau si proches, et je n'hésite pas un instant à l'embrasser à nouveau, de façon toujours plus passionnée, tandis que ma main gauche retrouve le chemin de son intimité. Je veux la chauffer, encore et encore, afin que la première pénétration fasse exploser la puissance du désir qu'elle ressent.
Désormais c'est terminé. J'espère qu'elle a bien profité de son moment, celui ou finalement, le seul à genoux devant l'autre était moi, car maintenant, c'est moi qui prend le contrôle des opérations. Et, dans un ultime baiser torride, je laisse ma force naturelle faire le reste. Là voilà à nouveau allongée sur le bureau, les fesses posées à la limite de la surface, les jambes dans le vide. J'arrive. Sois prête. Afin qu'elle soit confortablement installé, je laisse l'extrémité de ses jambes se reposer sur mes épaules, tandis que mes mains saisissent ses cuisses. Il ne restait plus qu'à faire une entrée fracassante dans son palais royal. Nul besoin de forcer l'entrée, l'excitation s'était déjà occupée de me préparer le chemin. Avant toute chose, je prends soin de nous protéger de toute déconvenue. Le plastique c'est fantastique, ne l'oubliez jamais. Ca y est. Je suis en elle. Et son premier soupir, plein de relâchement et de passion, venait de me prouver que ce moment allait être tout simplement délicieux. Pour l'instant, je résiste à la tentation de la sauvagerie, préférant adopter des mouvements amples et profonds. Ce n'est qu'après quelques minutes que je décide d'accélérer la cadence, de façon plus rapide et plus puissante. Je veux qu'elle sente à chaque aller retour le désir que j'éprouve pour elle. Et alors que ses soupirs se transforment peu à peu en des gémissements sensuels, j'en profite pour planter légèrement mes ongles dans ses cuisses, afin de la stimuler toujours plus. Je maintiens la cadence, encore et encore. Pourvu que ce moment dure l'éternité. Petit à petit je ralentis, jusqu'à m'arrêter complètement. Je n'ai plus envie de parler, je ne veux rien lui dire. Mes gestes parleront à ma place. Alors je sors de son intimité, et avant qu'elle ait le temps de dire quoi que ce soit, je la porte façon jeune mariée, pour venir se servir du canapé présent juste derrière le bureau. Je la guide afin qu'elle puisse se retrouver dans la position la plus animale possible. Ses genoux sont sur le canapé, ses mains aggripent le dossier de l'assise. Face à moi, ses fesses, ni plus ni moins. N'étant pas un barbare, je profite de la situation pour les caresser, les embrasser. Mes mains frôlent son dos, pour lui déclencher un énorme frisson. Puis, comme un bis repetita, mon intimité prend à nouveau le chemin du sien.
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| | | | (#)Lun 23 Mar 2020 - 23:28 | |
| - Le final... :
Elizabeth sentit la main de Connor dans sa douce chevelure. Il accompagna le mouvement de la belle pour qu’elle se redresse. Ils faisaient de nouveau face l’un à l’autre. Ils se regardèrent intensément quelques secondes qui semblaient être l’équivalent de plusieurs heures. Et ce fut à nouveau un baiser dévorant, tumultueux, passionné…Elizabeth, trop concentrée sur les lèvres juteuses et délicieuses qu’elle avait collé aux siennes, fut surprise de l’assaut des mains de Connor, qui revenaient de plus bel titiller son intimité. Elle était plus que prête à accueillir le lieutenant entièrement en elle. La saison du jardin secret d’Elizabeth était équivalent à celle d’un pays à climat tropical : brûlant et humide. Connor arrêta son mouvement. Mais la belle en voulait plus. Elle prit son index et le lécha allègrement en gémissant. Puis elle s’attaqua eu majeur. Elle voulait qu’il l’observe déguster les délices de sa propre intimité mêlés aux effluves de parfum de la succulente peau du lieutenant. Ultime geste de provocation qui fit réagir instantanément Connor qui la stoppa net.
Puis il la souleva mais pas que physiquement. Elizabeth sentait qu’il l’emmenait à la découverte d’une contrée de plaisir qu’elle n’avait peut-être jamais découverte…Elle qui pourtant avait beaucoup voyagé…Mais avec lui tout était différent, tout était décuplé. Elle se retrouvait désormais allongée sur le bureau. Il la laissait attendre quelques très longues secondes, le temps d’aller attraper un petit paquet qui se trouvait dans la poche arrière de son jean. Il l’ouvrit et équipa son anatomie confortablement. La vue était abasourdissante et rageante en même temps. Elle le voulait tout de suite, elle n’en pouvait plus. Elle essayait de ne pas gigoter mais c’était plus fort qu’elle. Elle patienta en s’occupant de son précieux bijou à elle. Elle frôlait d’abord la surface avec ses doigts de velours mais la casserole était déjà prête à déborder, elle bouillait plus que jamais et la belle ne put faire que quelques allers-retours avant d’être obligée de se retirer. Le membre tuméfiant de Connor était magnifique à regarder, une œuvre d’art qui ne demandait qu’à être touchée. Il ne fut pas long à habiller son manche avec le petit bout de plastique nécessaire pour ne pas avoir de petit bout tout court…Et là, il se décida enfin à rompre cette attente déchirante, torturante et elle put le sentir entièrement en elle. Le soupir qui sortit d’Elizabeth était un concentré de soulagement, de savoir qu’il était là en elle, et de passion dévorante la poussant à la limite du gouffre.
Le Diable avait d’abord comme idée d’aller visiter la profondeur de son loft pour revenir ensuite dans l’entrée. Mais chaque partie de chaque pièce étaient une explosion d'enchantements. Les accoups étaient solides, ils allaient au bout. Elle sentit les ongles de Connor dans ses cuisses et cela ne la gênait absolument pas. Elle voulait savoir que ce qu’elle vivait était réel, qu’il était bien là car les frontières entre la réalité et le plaisir n’étaient plus très distinctes. Il alternait le rythme des pénétrations et c’était divin. A chaque fois qu’il rentrait en elle, elle sentait son désir pour elle. Il ne mettait aucune barrière dans ce qu’il transmettait.
Et soudain, tout se stoppa. Tout se déroulait très vite. Connor la porta à la façon d’une jeune mariée. Cette démonstration de force était excitante et en même temps perturbante. Mais qu’importe, elle n’avait pas l’énergie pour se soulever elle-même. Elle se retrouva sur le canapé, elle savait ce qui l’attendait et elle n’y émit aucune objection. En cet instant, elle se moquait bien de savoir qui détenait le pouvoir et elle était plus que ravie que Connor puisse avoir un gros plan sur son fessier musclé. Elle lui offrait ce spectacle car elle savait que ses yeux se régalaient. Toutes ces heures de sport servaient bien à ces moments-là après tout…Et l’idée qu’il la domine pleinement augmentait le curseur d’excitation. Il fit balader sa main joueuse dans son dos et ce fut inévitablement un frisson qui vint parcourir le corps chancelant de la belle. Heureusement qu’elle avait une très bonne forme physique qui lui permettait de tenir encore. Elle s’agrippait également au canapé autant qu’elle pouvait. Et là, elle le sentit la remplir.
Autant la sensation était divine, autant le fait de ne pas le voir était frustrant. Mais le sentir exposer sa masculinité avec une telle sauvagerie était vivifiant. Car Connor se lâchait, il avait désormais augmenté la cadence et une nouvelle fessée apparut. C’en était trop, la belle n’en pouvait plus et elle céda à la maîtrise du lieutenant. Son plaisir ressortit dans un cri primitif, le tsunami l’envahissait et elle s’y jetait volontiers dedans. Elle entendit Connor la rejoindre au diapason. Ils ne faisaient qu'un, ils étaient unis. Elle avait les yeux fermés et sa respiration était saccadée. Que venait-il de se passer ? Comment était-il possible que cet homme ait pu lui donner autant de plaisir ? @Connor Barrett |
| | | | (#)Mar 24 Mar 2020 - 16:01 | |
| @Elizabeth Warren - Normalement c'est le dernier :
L'excitation était à son paroxysme. La voir s'offrir à moi, de façon si naturelle et si spontanée provoquait en moi de véritables décharges électriques. Il est grand temps de passer à l'apothéose. Puissance maximale. Ma tentatrice faisait ressortir en moi mon côté le plus animal, le plus bestial. S'il y avait d'autres morceaux de tissus sur elle, je les aurais probablement arrachés. La question n'était pas de savoir si je me faisais plaisir, mais si je lui faisais plaisir. Et ce sont ses cris, de plus en plus puissants, qui me répondent. Encore Connor, plus vite, plus fort. Alors, j'applique les directives à la lettre. Et dans la folie de l'instant, je marque de mes mains son fessier si musclé et si rebondi. Elles changent de couleur, adoptant une teinte beaucoup plus rouge. Mes mains sur ses hanches se voulaient de plus en plus serrantes. Je suis un serpent, étreignant sa proie, de plus en plus fort, jusqu'à la faire suffoquer. Mes coups de bassin deviennent de plus en plus violents, et encore plus, et toujours plus. A tel point que les petits cris saccadés de ma partenaire se transformaient peu à peu en des hurlements de plaisir, bien plus longs et bien plus audibles.
J'ai perdu toute notion du temps. Je ne sais pas depuis quand nous sommes dans cette position, ni même depuis quand je maintiens cette cadence aussi élevée. La seule chose que je ressens, ce sont mes jambes en train de vaciller. Ma divine semence n'en peut plus d'être enfermée dans sa prison. Elle veut sortir pour m'offrir la jouissance espérée. Et, dans d'ultimes mouvements de bassins d'une rapidité à couper le souffle, je sens tout ce fluide sortir de mon intimité, pour venir se loger dans l'extrémité de la protection. Soudain, le silence. Notre ébat, incroyablement bruyant, venait de toucher à son terme. Mon intimité quitte la sienne après un premier rendez-vous concluant, alors que je me jette sur le canapé, ayant un besoin fort de récupérer un peu de souffle. Dans mon élan, je prends ma partenaire dans les bras afin de l'asseoir sur mes genoux. Pas un mot, pas un bruit. Seulement quelques baisers que je dépose dans son cou. Je ne sais pas vraiment comment qualifier ce sentiment qui m'envahit. Pour les quelques conquêtes d'un soir que j'ai eu, la fin de l'ébat était beaucoup moins tendre et délicate. En général, je passe à la salle de bain me nettoyer tandis que la femme se rhabille, puis je pars, sans vraiment prendre le temps de regarder une dernière fois ma partenaire. Cette fois, c'est différent. Ce moment, je veux qu'il dure encore quelques minutes. La prendre dans mes bras, la serrer fort, lui témoigner la tendresse que je commence à éprouver à son égard. Ce n'est pas une simple partie de baise que l'on venait de faire. En tout cas pas pour moi.
Quelques minutes plus tard, ma tentatrice se relève de mes genoux, commençant à récupérer ses affaires éparpillées un peu partout. Quant à moi, je la regarde, souriant bêtement. Je suis un homme heureux, tout simplement. Je la rejoins dans sa mission, lui apportant son body qui était tombé de l'autre côté du bureau. Puis je me mets en quête de mes propres affaires, et je commence à me rhabiller. La protection part à la poubelle, alors que j'utilise mon boxer pour essuyer mon anatomie. Pas très glamour, mais je n'allais pas traverser toute cette maison entièrement nu pour aller me changer dans un endroit plus adéquat. Me voilà à nouveau habillé, à la différence que maintenant une odeur de fennec émane de moi. Pas très agréable. Je vais être bon pour rentrer directement prendre une douche. Tant pis pour mes hôtes de ce soir. Je les appellerai demain pour m'excuser de ne pas être retourné les voir. Au pire j'inventerai une fausse histoire d'interpellation et ça devrait le faire. Mes yeux se portent à nouveau vers ma tentatrice, qui a l'air un peu moins enjouée que tout à l'heure. De mon côté, je n'ai toujours pas réussi à défaire ce sourire niais qui arbore mon visage depuis quelques minutes.
- Est-ce que tout va bien ?
Sa réponse est floue, étrange. Je ne comprends pas tout ce qu'elle me dit, si ce n'est que contrairement à moi, elle a besoin de se nettoyer un peu mieux qu'avec un sous vêtement puant de fluides corporels. Je souris, et la regarde déverrouiller la porte et partir. J'en profite pour faire un peu d'ordre dans ce bureau. Après un rapide coup d'oeil à mon téléphone, je m'aperçois que cela fait déjà vingt minutes que je suis en train de ranger, et toujours pas de signe d'elle. Mais où est-elle ?
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| | | | (#)Mar 24 Mar 2020 - 19:41 | |
| On n’entendait plus que leur souffle. Puis le silence qui venait apporter un contraste surprenant étant donné la bataille de cris et de gémissements qui venaient de retentir dans la pièce à peines quelques minutes plus tôt. Connor vint prendre Elizabeth dans ses bras et prit la peine de l’asseoir sur ses genoux. Il lui envoyait de l’affection en la couvrant de petits baisers. Ce moment était beau. Ce moment était pur. Elizabeth se surprit à se délecter encore du contact avec cet homme. Elle fermait les yeux, comme pour se faire croire qu’elle était en train de rêver et qu’elle avait le droit d’en profiter puisque ce n’était pas réel. Elle se délectait de ces lèvres chaudes qui venaient couvrir sa peau de sensations inédites. Elle avait perdu toute notion du temps. Mais ce moment intemporel ne dura pas. La réalité reprenait le dessus. Elizabeth se sentait envahie par ses émotions…Elle avait envie de rester là, dans ses bras et de se blottir contre lui. Elle avait envie que ce moment ne s’arrête jamais. Et c’était bien justement ça le problème. Elle ne pouvait laisser son cœur s’emballer, laisser son ventre se remplir de beaux papillons colorés, laisser son esprit être distrait…Elizabeth n’avait pas de place pour l’amour dans sa vie. Et puis l’amour c’était quoi exactement ? Les personnes s’accrochaient à cette émotion pour exister alors qu’il y avait bien d’autres façons de laisser sa marque dans ce monde. Oui, elle n’avait pas besoin d’un homme pour la valoriser, la soutenir. Elle était sa propre personne, prête à tout affronter, capable d’avancer contre vents et marées. Elle se leva et commença à rassembler ses affaires. Connor la regardait. Son regard ne quittait pas la belle. Au contraire, il s’y accrochait. A quoi pensait-il ? Il avait encore ce terrible sourire sur son visage, celui qui faisait craquer Elizabeth mais qui lui déchirait aussi le cœur car elle savait à quel point il lui manquerait. Il l’aida dans sa tâche, lui passant son body. Elizabeth se rhabilla. Bien sûr le chemisier était ouvert mais heureusement elle arriva à le nouer juste au dessus de la jupe. Ainsi elle pouvait sortir décemment habillée de la pièce. De toute façon, vu l’état des personnes à côté, personne n’aurait remarqué même si elle était passée sans le chemisier. C’était surtout pour elle qu’elle avait ce besoin de s’en équiper, pour repartir dignement. Pour faire comme si de rien n’était une fois cette porte passée. « - Est-ce que tout va bien ? »S’en souciait-il vraiment ? Ses yeux semblaient honnêtes pourtant. Non, c’était probablement de la politesse. Il était plus facile de se dire que c’était du savoir-être plus qu’un réel intérêt pour les émotions de la belle. Après tout, ils avaient juste couché ensemble. Dans la profondeur de son monde interne, elle savait qu’elle se mentait à elle-même, que ce n’était pas que du sexe, qu’elle avait entrouverte une porte à Connor. Mais elle était déterminée à ne pas le laisser rentrer, à le laisser au pas de la porte, tout comme au pas de la porte qu'elle allait bientôt franchir. Que se passerait-il s’il mettait le bazar dans son espace à elle ? Certaines choses cassées ne peuvent être réparées et Elizabeth avait besoin d’être solide. Pour son travail. Pour sa famille. C’était sa responsabilité. « Oui, j’ai juste besoin d’aller me rafraichir. »Elle commença à se tourner vers la porte qu’elle déverrouilla. Elle ne devait pas se retourner. Non, elle devait regarder droit devant et avancer. Physiquement et métaphoriquement. Mais elle ne put s’en empêcher, elle tourna la tête. Juste pour le voir encore, le voir une dernière fois. Lorsqu’elle le fit, sa respiration se coupa. Il était tellement beau. « Merci pour ce moment »Elle se força à sourire. Il méritait au moins un sourire. Il méritait tellement plus d’ailleurs mais elle était dans l’incapacité de lui offrir plus. Elle le regarda quelques secondes, et elle s’en alla. Elle se dirigea vers le vestiaire de l’entrée et prit ses affaires. Heureusement qu’elle n’avait pas trop bu. Lorsqu’elle fut dans sa voiture, prête à démarrer, elle hésita quelques secondes. Allait-elle vraiment le laisser ainsi ? Si elle décidait de rester, elle n’était pas sûre d’arriver à le repousser. Cela lui fendrait le cœur bien plus que de le laisser tel quel. C’était mieux ainsi. Elle démarra la voiture et partit en direction de son appartement. Etait-ce réellement la fin de leur histoire ? |
| | | | (#)Mer 25 Mar 2020 - 18:36 | |
| @Elizabeth Warren Là, ça devient vraiment suspect. Vingt minutes supplémentaires se sont ajoutées aux précédentes, et toujours aucun signe de vie de ma tentatrice. Je venais tout juste de finir de remettre les choses en ordre, terminant par le rangement du billard. Je n'arrivais pas à me résoudre de laisser cette partie de billard non terminée. Si je range tout, on ne pourra pas la continuer juste après. Et puis, c'est la première chose que nous avons fait avant de passer à des choses beaucoup plus intimes. Alors, j'ai laissé le billard en l'état. De toute façon, tout le reste du bureau est rangé à la perfection. J'imagine que les propriétaires de la maison ne râleront pas de voir leur précieuse table déballée. Et puis normalement, ma partenaire de jeu va revenir, je vais lui montrer qui est le dieu du billard, et nous pourrons prolonger ce moment jusqu'au bout de la nuit. Mais, devant son absence qui commence à s'éterniser, je me dis qu'il serait judicieux de prendre de ses nouvelles. Un rapide coup d'oeil au bureau me permet de constater qu'il n'y a pas une seule affaire à elle. Bizarre. Je décide donc de quitter cette pièce et de passer en revue l'intégralité de la maison. Je commence par la pièce principale, où la musique est toujours aussi forte, et les gens de plus en plus alcoolisés. J'interroge quelques personnes, mais aucune information vraiment utile ne m'est donnée. Je crois que sur ce coup, je vais devoir me débrouiller seul. Cette maison est vraiment grande, sur deux niveaux. Je fouille le premier de fond en comble, aucune salle de bain, et aucune tentatrice. Echec mission. Puis je monte à l'étage. Après avoir ouvert quelques portes, j'arrive enfin à localiser une salle de bain, dans laquelle une personne semble être enfermée. Je toque une fois, deux fois, mais pas de réponse. Pourtant j'entends des bruits derrière cette porte, mais personne n'ouvre. Alors, je mets un grand coup de pied dedans, pour m'apercevoir deux personnes en train de faire leur petite affaire. Leur taux d'alcool est tellement haut qu'ils ne prennent même pas la peine de s'arrêter. Bon, elle n'était pas ici. Je continue mon périple, je localise une deuxième salle de bain. Celle ci est ouverte, mais personne à l'intérieur. Je jette un oeil à la robinetterie, pas utilisée depuis plusieurs heures. Aucune tâche d'eau, rien en désordre, visiblement personne n'est venu ici de toute la soirée. Je finis mon tour de l'étage bredouille. Visiblement, je viens de me faire avoir. Ma tentatrice m'a posé un lapin. Je sens un frisson parcourir mon corps. Puis des aiguilles se planter dans mes poumons. Conclusion de l'enquête : elle est partie. Elle m'a laissé seul dans cette maison, après ce moment intense que l'on venait de vivre. C'est un énorme coup dur. Je sens que mes mains tremblent, entre la colère et l'angoisse. J'ai beau les joindre pour essayer de les contrôler, je n'y parviens que très difficilement. Je redescends vite, très vite. Si elle m'avait donné son prénom, je l'aurais très certainement crié partout dans la maison. Je suis de retour dans le bureau, me disant qu'elle y est peut-être retournée pendant que j'explorais les lieux. Mais non, personne. Toujours personne. Je suis seul. Terriblement seul. De colère, je prends l'une des boules du billard et je la jette de toutes mes forces contre le mur, ce qui provoque la chute d'un tableau accroché non loin de l'impact. Je dois me rendre à l'évidence, elle ne reviendra pas. Elle est partie. Je me sens dégouté. Je me sens honteux. J'ai toutes mes affaires sur moi, il ne me reste plus qu'à quitter les lieux à mon tour. Je n'entends plus la musique. Je n'entends plus les cris. Je n'entends plus la pluie. Je n'entends plus ma voiture. Juste le silence. Le silence de ma solitude. Je suis seul. Terriblement seul. |
| | | | | | | | It's just a misunderstanding (ft Connor Barrett) (-18) |
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