| (carmi) j'ai voulu calmer ton souffle qui s'étouffait... |
| | (#)Mer 22 Avr 2020 - 15:45 | |
| Je sens des boums et des bangs Agiter mon cœur blessé L'amour comme un boomerang Me revient des jours passés A pleurer les larmes dingues D'un corps que je t'avais donné Mimi a eu une enfance heureuse, paisible, auprés de son père. Elle n'a pas connu sa mère, ou du moins trés peu, elle est partit quand elle n'était qu'une petite fille. Les addictions au jeu de son père auront eu raison de leur mariage, la tristesse aussi, la blonde ne ressent pas de rancoeur envers cette femme qui les a abandonné, elle n'est pas capable de ressentir de la haine Mimi, pas même envers Alexander. Elle a peur de lui oui, elle le craint, mais elle n'arrive pas à le haïr parce qu'elle part du principe que la douleur part toujours de quelque part. C'est pareil pour Carter, elle en est certaine, il suffit qu'elle pose son regard bleu sur lui pour comprendre qu'il n'a pas dû vivre des choses facile, une douleur qu'elle voudrait faire disparaître Mimi, mais elle n'est pas magicienne, juste elle, et elle ne peut rien faire de plus que sourire et être là. Elle s'exprime avec sincérité, elle a besoin de faire confiance oui, besoin de pouvoir se fier aux autres. Pas lui apparemment.«Pourtant, tu as confiance en moi non ? Elle demande avec douceur, parce qu'elle n'a pas l'impression qu'il se méfie d'elle, en même temps elle n'a rien d'effrayant Mimi, rien de terrible en elle, juste une infinie douceur et des sourires à distribuer. Il ne la repousse pas ce soir et lui autorise même à faire quelques pas avec lui, et ça suffit à la rendre heureuse, à faire battre son coeur un peu plus vite dans sa cage thoracique. Il tire sur sa cigarette, de la fumée blanche s'échappant de ses lèvres alors qu'il lui parle de son lieu de vie. Fortitude Valley. C'est vague, le quartier est grand, mais elle comprend rapidement qu'elle n'obtiendra pas plus d'informations que ça. «Est-ce que tu ramènes toutes les filles avec qui tu couches dans une chambre d'hôtel ? Elle demande sans réfléchir, sa main contre sa bouche, la mine choquée. «Oh pardon je suis désolée, c'est sortit tout seul. Et c'est incroyablement indiscret non ? En tout cas, elle regrette un peu son élan de mots. «Je ne me balade pas beaucoup par là bas. Hormis pour se rendre à l'emporium hotel, évidemment. Elle regarde un instant la cigarette qu'il lui tend, et Mimi décide de faire preuve d'une dose de courage, prenant la cigarette qu'il lui tend pour tirer une latte. La fumée qui la fait tousser et ses yeux qui deviennent un peu rouge, elle n'a jamais tirer sur ce genre de chose, il faut croire qu'elle a bu son premier verre avec Carter, fume sa première cigarette avec lui. «C'est... Beurk. Comment tu fais pour inspirer un truc pareil ? Parce que l'expérience n'est pas plaisante. Mimi retrouve son souffle et lui rend la clope, elle ne recommencera pas, elle sait au moins que ça, c'est pas son truc.
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| | | | (#)Lun 27 Avr 2020 - 0:27 | |
| « j'ai voulu calmer ton souffle qui s'étouffait » mimi faure & carter rollins
C’est éphémère le monde dans lequel il vit. Dans lequel le dealer reste sans amertume, et sans once de peur. Il ne s’est jamais réellement demandé si cette vie lui est destinée coûte que coûte, si il ne rêvait pas d’un monde meilleur, moins nocif pour lui, parce qu’il n’a jamais eu la prétention de vouloir changer, parce que ça n’a jamais vraiment traversé son esprit. Lui vivre au jour le jour sans aucune attache le satisfait. C’est ce qu’il prétendra du moins, parce qu’il n’ose pas regarder les choses différemment. Avoir de l’importance dans les yeux de quelqu’un d’autre qu’il finira sans souci par détruire, ou blesser. « Pourtant, tu as confiance en moi non ? » Il n’en sait rien lui. Faire confiance en quelqu’un qu’on connaît à peine, n’était-ce pas étrange comme concept. Quelque chose qui échappe au dealer qui vit dans un monde de méfiance, qui vit dans le mauvais jugement mais qui ne s’en plaint pas. « J’suis pas certain de comprendre réellement ce principe… » Et il juge pas la peine d’expliquer davantage, fronçant ses sourcils comme si elle lui parlait chinois, ou une langue quelconque bien loin de la sienne. Ils marchent dans la rue sombre, et elle semble être en sécurité à ses côtés, mais probablement que si elle savait réellement l’envers du décor, elle ferait comme ses autres, elle partirait. Le plus loin de lui. « Est-ce que tu ramènes toutes les filles avec qui tu couches dans une chambre d'hôtel ? » Il ne prend pas la peine de tourner son visage vers elle, en sa direction. Il la ressent ce besoin d’en savoir plus sur lui, comme si il suffisait qu’elle pose des questions pour qu’il réponde. Mais elle perd son temps, il n’est pas aussi docile que ça, il a besoin de plus. « Oh pardon je suis désolée, c'est sorti tout seul. » Qu’elle reprend, alors que le silence s’est installé. Pas par malaise causé par Mimi. Plus parce que la réponse lui semble si évidente, mais ça l’empêche pas de rire, « Tu veux savoir si l’une d’elles a vu mon appart ? Ca aurait été plus direct sûrement, mieux vaut pas, j’ai deux bras cassés en coloc… » Et il a l’air amusé le bougre. L’excuse des colocs ça passe toujours. Même si en soit, il n’avait pas tort. Il avait réellement sur son dos Jeremiah et Birdie, deux adolescents autant attardés que lui. Et il a fini par s’en accommoder, il irait même sur la pente glissante à dire que sans eux, il s’ennuierait presque. Mais ce serait grotesque. Pour un dealer de sa carrure, un dealer du club. « Je ne me balade pas beaucoup par là bas. » Elle grimace légèrement avant qu’il tire de nouveau sur sa cigarette, c’est devenu pour lui une drogue, un besoin. Absurde. Idiot. Il hausse les épaules, « c’est sans doute mieux ainsi… » Et loin de lui de s’inquiéter pour elle. Il n’aimerait probablement pas que quelqu’un à qui il tienne, et plus encore quand c’est une femme traîne la nuit dans cet endroit. Il en entend de ses choses qui font froid dans le dos. Comme un peu partout dans le monde, des gangs rivales, des coups de feu par erreur. Des règlements de compte. « C'est... Beurk. Comment tu fais pour inspirer un truc pareil ? » Elle le fait ressortir de ses pensées, alors qu’elle a pris de ses mains la cigarette pour tirer dessus. Mais visiblement elle n’aime pas et ne semble pas enjouée à l’idée de fumer. Il hausse les épaules. « On s’y fait… » La vérité ? Il en est devenu accro… Et devient encore plus irritable si il n’a pas sa dose. « Et moi je me demande comment tu fais pour ne pas connaître ce plaisir ? » Un plaisir malsain, mais un plaisir quand même. Un parmi tant d’autre, au-delà de celui d’attirer les jeunes femmes dans ses filets et de les soustraire à leur monde de rêve et de paillettes. Carter leur rend service : il les ramène dans la stricte réalité de l’enfer… |
| | | | (#)Lun 27 Avr 2020 - 11:50 | |
| Vendez moi un peu de rêve, j'ai plus l'temps. Sauvez moi ici je crève, j'ai plus l'cran. Je veux déployer mes ailes, m'envoler. Mimi essaye de comprendre, est-ce qu'il ne faut pas avoir confiance pour coucher avec quelqu'un ? Mimi lui fait confiance elle, peut être trop facilement, mais elle est comme ça, elle ne se méfie peut être pas assez, ou peut être est-elle trop naïve. Il y'a un peu de tout ça sans doute, pourtant, elle le regarde, un instant. «Mais tu as bien des amis non ? Une famille ? .» Il doit bien avoir des personnes dans son entourage en qui il a confiance, qui peut vivre en comptant que sur soi-même ? Carter apparemment. Et elle trouve ça triste Mimi, elle trouve ça triste de ne pouvoir rien partager avec personne parce qu'il est presque toujours sur la défensive. Sauf quand il laisse tomber les armes pour se perdre dans un corps à corps passionné. Puis, la blonde se permet une question indiscrète, rougissant un peu de sa curiosité, c'est pas vraiment le genre de question qu'on pose ? Pas que ça la dérange, non, parce qu'elle a aimé ce moment dans cette chambre d'hôtel. Il vit en colocation ? Vraiment ? Elle ne peut s'empêcher de rire un peu. «C'est drôle j'ai du mal à t'imaginer vivre avec quelqu'un. Ils sont comment tes colocataires ? » Elle essaye de l'imaginer vivre en communauté, il doit s'énerver souvent non ? Ou faire la tête peut être, parce que Carter ne sourit pas souvent. Elle a bien comprit que c'était un solitaire. Un solitaire qui vit quand même à trois. C'est étrange, mais c'est une image qui lui plaît bien à la blonde. Mimi ne se balade pas beaucoup dans le quartier de Carter, juste pour rejoindre sa chambre d'hôtel, mais elle va partir pour aller vivre quelque temps chez Connor et ce n'est pas plus mal, elle se sentira plus en sécurité sans doute. Peut être qu'elle aussi, elle devrait trouver une colocation, ou quelque chose comme ça, mais ça pourrait être dangereux si Alexander venait à la retrouver, Mimi n'a pas envie d'entraîner quelqu'un dans sa chute, c'est là toute la difficulté finalement. Ce qui l'empêche de réellement se lier avec les autres. Elle tire sur la cigarette et s'étouffe presque, c'est infecte, et elle ne sait pas comment il fait pour inspirer cette fumée là. «Parce que j'évite tout ça en général. Et parce qu'on ne m'a jamais proposé d'essayer .» Sans doute. Mais en tout cas, pour elle, ce n'est pas un plaisir. Carter est bien placé pour savoir qu'elle ne connaît pas grand chose à tout ça, parce qu'il lui a fait découvrir son corps d'une façon qu'elle ignorait, complètement. «je préfère t'embrasser.» Oui, ça c'est un plaisir qu'elle préfère nettement à la cigarette. Elle sourit un peu, pas gênée de ses mots pour une fois, parce que Mimi les assume pleinement. Elle aime la passion qui s'émane de lui, pas la nicotine.
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| | | | (#)Lun 27 Avr 2020 - 16:35 | |
| « j'ai voulu calmer ton souffle qui s'étouffait » mimi faure & carter rollins
Elle cherche à en découvrir plus sur lui, comme toujours. Elle cherche à en savoir davantage sur le brun. Mais elle ne saura rien, rien qui ne veuille témoigner. Rien qui joue contre lui. Parce qu’il est du genre à savoir ce qu’il veut Carter, ce qu’il doit dire, ou ne pas dire. « Mais tu as bien des amis non ? Une famille ? » Elle est si douce Mimi, si l’opposé de ce monde dans lequel il évolue le dealer. Mais il n’y a pas de mal à vouloir lui faire découvrir la vie dur de la rue selon lui. Il sera là pour la protéger. Il sera là pour la hanter. Il sera là pour l’entraîner dans ses propres vices. « Mon frère c’est tout… » Il se contente de dire, en hochant la tête. Peut-être ses colocs aussi. Mais il est trop fier pour le dire à voix haute, il préfère garder ça pour lui. Il se contente alors de refermer sa bouche. « C'est drôle j'ai du mal à t'imaginer vivre avec quelqu'un. Ils sont comment tes colocataires ? » Elle avoue, doucement en lui offrant un rire, « pire que moi… Est-il en train de s’en vanter ? Enfin je crois… » Qu’il rétorque en sentant son regard sur lui, en haussant les épaules. « Parce que j'évite tout ça en général. Et parce qu'on ne m'a jamais proposé d'essayer » Et c’est bien dommage, si elle l’avait connu plus tôt, il l’aurait invitée à prendre goût. « Ton mec ne fume pas ? » Qu’il demande, sans doute un peu dépassé, et en réalité accorderait-il de l’importance à savoir si il fumait ou pas. Carter se fiche bien généralement des gens qui l’entourent. Mais avec Mimi, il ressentait ce besoin de vouloir comprendre, de vouloir peut-être au fond la protéger. Mais s’y refusait, tout simplement, « je préfère t'embrasser. » Qu’elle avoue, et s’étire sur son visage, un sourire. Etait-elle devenue accro à lui ? Mais pire que tout, lui aussi ? Il ne pouvait s’en empêcher, c’était presque irréel. Complètement absurde, parce qu’en temps normal, il l’aurait envoyé promener, il serait parti, en la bousculant, la plantant là comme une vieille chaussette. Comme la dernière des cruches. Et c’était inexplicable qu’il reste là, planté comme un con, devant elle qui l’observe. Elle est belle, il ne peut le nier, et son contraste l’attire. A sourire à sa demande. Mais il ne pouvait rester insensible, il n’avait jamais appris à l’être par le passé. Devant les femmes. C’est la raison pour laquelle, il tire son bras pour la plaquer contre le premier mur qui croise leur route. Mais il n’est pas violent Carter, rien qui ne puisse réellement l’effrayer après ses paroles. Elle avait envie de l’embrasser, alors qu’elle tente. Qu’elle ose. Et il ne tarde pas à ce que ses lèvres heurtent une énième fois les lèvres de la blonde, il doit puer l’alcool, la clope. Qu’importe. Seul le plaisir de la conquérir de nouveau était là, bien vivant en lui, alors que ses mains récupèrent celles de Mimi, qu’il relève pour les tenir contre le mur. « Comme ça… » Il souffle entre deux baisers. Parce qu’il vit de danger, d’adrénaline. Parce qu’il est poussé par le vice et que rien ne le blesse vraiment. Ne le dérange vraiment. Il aime le contact de sa peau contre la sienne, son souffle aussi. Il s’aperçoit qu’il la désirait lui aussi. Depuis l’autre soir, à l’hôtel. |
| | | | (#)Lun 27 Avr 2020 - 17:15 | |
| Vendez moi un peu de rêve, j'ai plus l'temps. Sauvez moi ici je crève, j'ai plus l'cran. Je veux déployer mes ailes, m'envoler. Mimi essaye de le découvrir davantage, est-ce qu'il a de la famille quelque part ? Ou est-ce qu'il est toujours tout seul ? Elle trouverait ça triste elle, vraiment. Même s'il n'est pas tout seul, parce qu'il a ses colocataires et qu'il est malgré tout entouré même s'il veut prétendre le contraire, Carter n'est peut être pas si solitaire que ça finalement. Un frère ? Ah oui ? Elle a envie de poser beaucoup de questions, mais elle se retient malgré tout, parce que ce n'est pas un grand bavard et qu'il n'aime pas vraiment ça, discuter. Mimi ne peut s'empêcher de rire un peu, pire que lui, vraiment ? «C'est possible ça ? » Elle le taquine, tire la langue, et s'amuse finalement de la situation. Elle se fige un peu quand il lui parle d'Alexander et elle secoue finalement la tête. «Non, juste il boit.» Et c'est déjà beaucoup, ça fait déjà bien assez de vices, pas besoin de plus que ça. Réellement. La blonde n'a pas peur de lui dire ses envies, et ce qu'elle préfère et elle, ce qu'elle préfère largement à la nicotine ce sont les lèvres du dealers. C'est tout. Elle sourit Mimi, insouciante, ses cheveux volant un peu au vent. Elle avance, se laisse simplement porter par le moment et, elle ne s'attendait pas à sentir la main de Carter sur son poignet. Elle ne s'attendait pas non plus à ce que son dos heurte le mur. L'adrénaline qui coule dans ses veines et sa respiration qui s'accélère un peu, elle brûle de sentir sa bouche contre la sienne et, c'est ce qu'il fait, ses mains plaquées au dessus de sa tête. Elle ferme les yeux Mimi, elle laisse sa langue caresser la sienne avec envie. Ce mélange d'alcool et de nicotine ne la dérange pas, ça a un effet aphrodisiaque venant du brun. Sa lèvre qu'elle mordille légèrement, elle voudrait que ça ne s'arrête jamais Mimi, elle voudrait pouvoir encore sentir ses lèvres sur les siennes. Elle oublie l'endroit dans lequel elle est, elle ne pense plus qu'au corps du brun contre le sien. «Comme ça.» Elle souffle, contre sa bouche. «Embrasses moi encore.» Une énième demande. Mimi ne veut pas qu'il s'arrête, elle se laisse porter par la passion et par tout ce qui l'anime lorsque Carter est dans les parages. Elle se sent bien quand il est là. Elle aime ses sourires du coin des lèvres et son air parfois prétentieux. Une façade qu'elle ne laisse pas l'atteindre, non, elle veut connaître le vrai Carter, celui qui l'embrasse avec fougue et passion, celui qui lui fait voir les étoiles à chaque fois qu'il la touche.
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| | | | (#)Ven 1 Mai 2020 - 19:03 | |
| « j'ai voulu calmer ton souffle qui s'étouffait » mimi faure & carter rollins
Carter n’est pas celui qui parle le plus, qui se confie le plus, il est plutôt distant, voir même méfiant, il n’y peut rien. Il n’a jamais réussi à casser cette barrière, et bon nombre se sont pris un mur en essayant. Et pourtant, il voit bien qu’elle voudrait essayer elle aussi. A le faire parler, à lui poser des questions. Elle a ce regard brillant quand elle pose ses yeux sur lui, et malgré la nuit tombée, il arrive à le deviner. Il arrive à lire en elle comme dans un livre ouvert, parce qu’elle est différente de lui, Mimi. Elle est douce, généreuse, joviale. Elle est son contraste absolu, et visiblement elle aime flirter avec le danger et ce n’est pas le Rollins que ça inquiète. Il n’en fera qu’une bouchée, c’est ce qu’il pense du moins. Parce que personne ne peut le résister longtemps. Avec son côté mystérieux au possible. « C'est possible ça ? » Il tourne la tête vers elle, et si elle le cherche volontairement du regard il hausse les épaules, comme si il s’en fichait, avec cet air de mauvais garçon, « tu crois qu’il n’y a pas pire que moi ? » C’est rien de vulgaire, rien de méchant, ça ressemble même à un jeu, de celui qui convaincra davantage l’autre. De celui qui aura le dernier mot, et il a de la répartie le Rollins. Il veut la mettre au défi. Ils continuent de marcher légèrement, le vent soufflant sur leur visage, il a bu mais pas suffisamment pour parler sans s’en souvenir, alors ce n’est pas aujourd’hui, qu’il en dira trop. « Non, juste il boit. » Il hausse les épaules, de pire en pire il comprend pourquoi elle l’a quittée, même si en réalité il est bien loin de se rendre à l’évidence, du mal qu’à eu la jeune Mimi. Il serait pourtant prêt à sauter à la gorge de quiconque qui s’aventure à présent un peu trop près d’elle. Mais ne l’avouera pas, jamais. Ce serait être faible. Et il ne sait pas pourquoi mais quand elle lui dit qu’elle préfère ses lèvres, il ne réfléchit pas. Carter a jamais appris à réfléchir, il agit. Souvent bêtement. Et c’est sûrement bête pour elle, de l’attirer toujours à lui. De pas la laisser partir, de pas la faire fuir. C’est idiot, mais il croit qu’il a envie d’elle aussi. Alors il l’empoigne par le poignet, et sourire carnassier au coin des lèvres, il l’entraîne au pied du mur, avant de poser ses lèvres sur celles de la jeune femme. Plus rien autour de lui, sauf elle, et ses caprices. Sauf elle, et ses désirs. Elle répond à son baiser, fermant les yeux, elle arrive même à lui pincer la lèvre inférieur, et un bruis sort de sa bouche. « Comme ça. Embrasses moi encore. » Elle souffle, obtempère. Lui aussi, à sa façon. Quand il l’entraîne non sans lui lâcher les lèvres, jusqu’au fond de la rue. Si elle veut faire partie de son monde, faudra qu’elle s’habitue à la fraîcheur de la nuit, aux démons qui l’entourent. Il se colle à elle, se frotte à la jeune femme non sans retenue. Passant sa main sur sa joue pour finir le chemin dans ses cheveux blonds, poussant son visage en arrière pour avoir plus d’emprise. Il veut sentir son cœur prêt à exploser, sentir ses lèvres contre les siennes sans retenue. Poussant les vices un peu plus loin, il pivote, se tenant contre le mur. Ils ont inversés leurs places et si il ne quitte pas sa peau qu’il embrasse de ses lèvres, il n’empêche qu’il est prêt à ce qu’elle lui en fasse voir de toute les couleurs… |
| | | | (#)Ven 1 Mai 2020 - 19:37 | |
| Vendez moi un peu de rêve, j'ai plus l'temps. Sauvez moi ici je crève, j'ai plus l'cran. Je veux déployer mes ailes, m'envoler. Est-ce que c'est possible ça, d'être pire que lui? Bien sûre qu'elle le taquine, bien sûre qu'elle s'amuse de la situation Mimi, parce qu'il y'a ce jeu là, qui s'est installé entre eux, ce jeu si plaisant qu'elle n'a pas envie d'arrêter. Mimi n'a pas envie de s'éloigner de lui. Elle n'a pas envie d'imaginer une seule seconde ne plus le croiser dans son quotidien parce qu'il est devenue une constante sans qu'elle ne s'en rende réellement compte.«Hm.. A toi de me dire Carter, est-ce qu'il y'a plus mauvais garçon que toi ? » Peut être bien oui, et ça lui va à Mimi, elle n'a pas envie qu'il change, elle n'a pas envie de le voir différemment, elle apprécie tout ce qu'il peut lui montrer de lui, est-ce que c'est mal ? Elle n'en a pas l'impression la blonde, sa vie a prise un tout autre sens. Alexander ne fume pas non, mais il boit et c'est déjà suffisant, des souvenirs qu'elle préfère chasser de son esprit Mimi, qu'elle préfère éloigner parce que ça lui donne de mauvais frissons, parce qu'elle a eu si peur quand elle est partit, elle a cru qu'elle ne s'en sortirait jamais, qu'il l'avait peut être brisé pour de bon cette fois. Mais ce n'est pas arrivé,parce que malgré tout peut etre que Mimi est plus forte qu'elle ne le pense. Elle a l'envie de s'en sortir, cette rage de vaincre et de ne plus jamais souffrir, ne plus jamais accepter qu'on puisse lever les mains sur elle. Alors, peut être que Carter est un mauvais garçon mais elle sait qu'il ne la blessera jamais physiquement, elle en est certaine, elle a peut être trop confiance Mimi mais elle sent que son instinct ne peut pas la tromper. Pas là dessus. Elle fait confiance parce qu'elle a besoin de pouvoir croire en quelqu'un et, c'est en lui qu'elle croit. Mimi le provoque avec ses mots, mais elle ne le nie pas, elle a envie de lui. Encore. Elle désire chacun de ses mots et chacun de ses baisers. Chacun de ses gestes qu'il peut poser sur sa peau. Elle se laisse attirer dans le fond de la ruelle Mimi, elle veut qu'il continue. Elle oublie tout, l'endroit où ils sont, il ne reste que le corps du brun contre le sien, que cette passion qui la consume là, au creux de son ventre. Sa langue qui joue contre la sienne, ses mains sur les joues du brun, elle répond avec passion, avec envie. C'est le corps du brun qui trouve le mur froid et gris, est-ce qu'il lui laisse le contrôle ? Elle n'y réfléchit même pas Mimi, elle se laisse juste guider par ses pulsions. Ses lèvres qui retrouve les siennes et son corps qui se presse contre celui de Carter, Mimi ondule lentement des hanches contre lui, faire monter le désir. L'envie.«J'ai envie de toi. » Elle souffle, les joues un peu rouge et les yeux brillant. Ses mains qui se balade sous le haut du brun, sur son ventre, ses lèvres ne quittant jamais les siennes. Désir violent qui pulse dans son bas ventre, le souffle qui s'accélère. Mimi est incapable de se contrôler quand il l'embrasse de cette façon là. Quand il la regarde d'une façon si intense.
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| | | | (#)Ven 15 Mai 2020 - 22:04 | |
| « j'ai voulu calmer ton souffle qui s'étouffait » mimi faure & carter rollins
Il y a un jeu instauré entre eux, un jeu compulsif, où l’envie est flagrante et même quand on les connaît pas, on peut la ressentir cette alchimie, ce besoin de plaire à l’autre. C’est inévitable, il ne parvient jamais à se contrôler quand elle est là, dans les parages. Marionnette intrépide, qui avance au gré de ses humeurs, et de ses envies. Mais elle a compris comment l’atteindre sans le déranger. Sans empiéter de trop dans sa sphère. Quand il pose ses yeux sur elle, il n’existe plus rien d’autre à côté, et ça le déstabilise. Lui Carter Rollins, et ça le fait chier. D’être si faible, envoûte par de grands yeux noirs. Une douceur dont il a rarement rencontré par le passé, avec cette pointe de lueur et d’amusement dans ses yeux. Elle le cherche, si souvent. Et le trouve à la seconde d’après. Elle l’attire, et il en recule la seconde d’après. Parce que le piège est bien réelle, mais qu’il n’en demeure pas moins confronté. « Hm.. A toi de me dire Carter, est-ce qu'il y'a plus mauvais garçon que toi ? » Il sourit avec toute sa spontanéité, il sourit parce qu’il ne sait pas montrer autre chose que ce regard envieux. Il l’a dans la peau ? Si vite ? Il refoulera tout ce qui le possède à cet instant même. « Mauvais garçon ? Pas plus angélique que moi tu veux dire… » Fin sourire au coin de ses lèvres, imperturbable, mauvais. D’une arrogance frappante. Ses yeux brûlent devant elle, de cette manière assez surprenante, qu’il n’a encore jamais connu jusqu’ici, alors que ses lèvres quittent un instant ses lèvres, pour descendre dans son cou. Un chuchotement, dérisoire quand on sait de quoi il est capable de faire pour être un dealer. Mais ce jeu du chat et de la souri coule dans ses veines. Appuyé contre le mur, elle se tient devant elle, glissant ses mains contre le torse du brun, il lui mordille le lobe de l’oreille. Et si elle voulait résister il ne lui en donnera aucun moyen, comme si ça le dépassait. Comme si tout ce jeu était au-dessus de ses forces. « J'ai envie de toi. » Qu’elle souffle, quelque chose de chaud sur son visage, et un sourire qui s’illumine sur ce visage, elle fait bien, lui aussi… Désir qu’il voudrait refouler, ne pas ressentir pour elle, ni pour une autre. Il voudrait rester cet être intouchable, mais c’est encore bien trop demandé pour le dealer, qui l’attire avec lui, tentant d’ouvrir les premières portes qui s’offrent à eux. Avant qu’une cède sous son coup de pied, il tourne son visage vers elle, fier de lui, et tant pis si il ne devrait pas. L’attirer dans sa décadence, elle mériterait mieux Mimi que cet être abject. Elle mériterait mieux que ce loup impulsif et solitaire, mais il est trop arrogant pour le témoigner. « Où on en était ? » Peu importe chez qui ils sont, peu importe où ils sont. Au moindre problème, il sortira son arme, mais il semblerait que l’endroit est désert, tant mieux… Il l’attire à lui, reprenant alors leur baiser, la poussant d’une main sur le divan en plein milieu du salon, un sourire narquois au bout des lèvres. Prêt à s’en donner à cœur joie, encore… |
| | | | (#)Sam 16 Mai 2020 - 8:36 | |
| Vendez moi un peu de rêve, j'ai plus l'temps. Sauvez moi ici je crève, j'ai plus l'cran. Je veux déployer mes ailes, m'envoler. Son regard qui papillonne toujours trop facilement jusqu'à lui. Mimi finit toujours par le trouver dans cette grande ville, et pourtant, elle ne le fait pas exprés, elle voit ça comme un joli signe, malgré son caractère de cochon et son regard parfois trop sombre. La blonde penche légèrement la tête sur le côté. Lui angélique ? Elle n'y croit pas une seconde, ce serait un rôle qui ne lui conviendrait pas. La blonde l'apprécie comme ça, avec ses sourires moqueurs et ses mots hautains qui ne l'atteignent pas vraiment, parce que c'est davantage ce qu'il y'a sous sa carapace qui l'attire. Celui qui finit toujours par la sortir de situations difficiles. Carter sourit. Un vrai sourire pour une fois, pas quelque chose de narquois. Boum. Le coeur de Mimi rate un battement. Il est encore plus beau quand il arbore cet air là. Ses doigts qu'elle glisse sur la joue du brun.«angélique oui... bien sûre..». Les lèvres de Carter qui glissent sur son cou, un soupir de bien être qui s'échappe des lèvres de Mimi, ses doigts se logeant dans ses cheveux brun, sa respiration qui s'accélére un peu, elle n'est pas capable de lui résister et elle le sait, les mains de la blonde partent déjà à l'exploration du torse du dealer. Elle a envie de lui, des mots qu'elle lui souffle sans honte, il fait naître chez elle un désir qu'elle n'est pas capable de contrôler. Il lui a fait connaître la passion Carter et c'est quelque chose qu'elle a envie de revivre la blonde. Il l'attire contre lui et elle se laisse faire, quelque peu surprise quand il essaye d'ouvrir les portes de la rue sombre. Il a l'air de savoir ce qu'il fait, à moins qu'il ne se laisse guider seulement par ses pulsions. Mimi se laisse faire, parce qu'elle a confiance, est-ce que c'est le genre de chose qu'il fait avec d'autres femmes ? Des pensées qu'elle chasse rapidement, ce n'est pas le moment de penser à ça, ni maintenant, ni jamais. Il a été clair là dessus Carter, il est indomptable et Mimi n'a pas la prétention de croire qu'elle pourrait y arriver. Elle a de toutes façons bien trop de soucis pour entrevoir cette issue là. Un coup de pied et la porte finit par céder, son air fier la fait rire un peu, il n'y a que lui pour être fier d'entrer par effraction chez les gens non ? Leurs lèvres qui se retrouvent et Mimi mordille doucement la lèvre de Carter. Mimi se retrouve rapidement sur le canapé du salon, elle attrape doucement le col de Carter et l'attire à elle en tirant dessus, l'embrassant avec envie. Des baisers qu'elle pose dans le cou du brun, s'enivrant de son odeur, la même qui a marqué ses draps dans la chambre d'hôtel et dans laquelle elle s'est endormie. La blonde a envie de le rendre dingue, de s'ancrer là, quelque part en lui, pour qu'il ne l'oublie pas demain matin. Elle se lève, le poussant doucement sur le canapé pour le forcer à s'y asseoir. Son regard bleu qui ne quitte pas le regard sombre de Carter et son haut qu'elle retire avec une lenteur délibérée. «Est-ce que tu veux me voir nue ? » Un léger sourire mutin aux lèvres et son haut qu'elle fait glisser au sol.
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| | | | (#)Mar 26 Mai 2020 - 11:06 | |
| « j'ai voulu calmer ton souffle qui s'étouffait » mimi faure & carter rollins
Ce n’est pas l’insalubrité de la rue qui le repoussera à Carter. Il est habitué à cette vie, à séduire et laisser ses pulsions faire le boulot. Il est habitué à cette misère, mais elle, elle mériterait bien mieux que ce qu’il pourrait lui offrir – à condition qu’il veuille lui offrir quelque chose. Il n’est capable que du pire, et ne cessera jamais dans ses conneries, connaissant du peu qu’il la connaît, elle prétendra que ça lui suffira. Mais dirait-elle réellement ça quand elle saura toute la vérité ? Le métier qu’il cache soigneusement du reste du monde, de son frère surtout ? Ne le verrait-elle pas comme un détritus de plus dans ce bas-monde ? Un déchet inutile sur terre ? Bien sûr, elles finissent toute par lui échapper, et si elles ne lui échappent pas, c’est lui qui s’en charge. A sa manière. Parfois avec douleur pour ses filles. Sans préavis, sans rien demander. Parce qu’il est arrogant et prétentieux, parce qu’elles méritent toujours mieux, et qu’il ne s’en soucie que à sa façon. Mais la tension est palpable entre leurs deux corps, tant et si bien que son regard ne détourne à aucun moment de son corps qu’il convoite, qui l’attire indéniablement. Et ce sourire qui se loge sur ses lèvres, ce soupire qui s’extirpe de sa bouche, ses yeux qui brûlent de désir. De la posséder. Lui procurant d’une manière peu commune un effet boomerang, il a envie d’elle, autant elle que lui, et son souffle chaud contre ses lèvres témoignent de ce besoin de ne faire plus qu’un, que sa silhouette devienne sienne. Il souffle le chaud et le froid en quelques secondes, sans se soucier de ce qu’elle pourrait penser de lui. De ce qu’elles pourraient faire pour lui plaire, pour attiser cette flamme. « angélique oui... bien sûre.. » Elle ne le croit pas et ça le fait sourire à Carter. Il ne peut nier qu’il n’est pas le plus angélique du monde, bien au contraire, et il est inutile qu’il joue ce jeu avec elle, elle ne le croirait pas. Et aurait-elle tort ? Bien sûr que non. Il ne la trompera pas sur ce terrain, c’est évident. Le reste est déjà loin derrière lui et si il reste silencieux, un sourire narquois, d’une arrogance qui lui est propre vient se loger au creux de ses pommettes. Le regard sombre, toujours, alors qu’elle n’a pas le temps de plonger ses yeux dans les siens, qui l’attire avec lui, se faufilant sans mal jusque dans l’espèce de salon qui s’offre à eux. Ca leur suffira pour ce laps de temps, peut-être quelques heures avant qu’il ne s’échappe de son emprise sans qu’elle ne puisse totalement le posséder. Pas assez pour ne faire qu’un avec lui, du moins. « Est-ce que tu veux me voir nue ? » C’est une question qui ne le laisse jamais indifférent. Alors qu’installé sur elle, sur ce canapé miteux, il l’observe du coin des yeux. Elle le repousse et il vient s’asseoir avant qu’elle ne tire à peine sur le vêtement en trop qu’elle laisse à même le sol, jonchant sur un cadavre de verre. « Tu sais me prendre par les sentiments… » Qu’il souffle, l’attirant à lui, elle jonche son corps, passant sa jambe de l’autre côté, alors qu’il glisse sans gêne ses yeux sur son dessous qui recouvre encore ses seins, pour venir se loger au creux de son cou, en l’embrassant avec cette passion qui transpire sa peau à cet instant. |
| | | | (#)Mar 26 Mai 2020 - 21:51 | |
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| | | | | | | | (carmi) j'ai voulu calmer ton souffle qui s'étouffait... |
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