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 UA - Il était une fois à Bordeciel

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Message(#)UA - Il était une fois à Bordeciel - Page 2 EmptyJeu 25 Juin - 12:35




IL ETAIT UNE FOIS A BORDECIEL
Univers alternatif - Skyrim

@Amos Taylor  

« Essaie encore. »
« Essaie plus fort. »

En aucun moment j'ai eu l'impression qu'Amos et moi travaillions séparément. En aucun moment j'ai cru qu'on pouvait même être à contre courant, malgré toutes ces fois où son opinion, où ses actions différaient des miennes. Il est beau lorsqu'il risque tout, il l'est encore plus lorsqu'il me froisse, me brusque en suivant ses idées et ses envies contrairement aux miennes. Pourtant jamais je n'ai considéré ne pas faire partie de son équipe, tout comme il a toujours été, est et restera mon seul et unique allié. Ce soir n'est qu'une énième confirmation qu'il est mon tout et que je suis bénie d'être le sien.

« Sithis. Vous voulez me donner Sithis ? » voilà qu'il comprend un peu mieux, l'idiot. C'est pas trop tôt. « Nous prendrais-tu pour des menteurs ? » le ton aussi las que posé d'Amos est glacial, ma peau sur la sienne est brûlante. « Tout doux, l’animal. » le contraste m'amuse, m'a toujours amusée, m'amuse encore plus lorsque le spectacle qui se joue devant mes yeux n'est que la concrétisation d'un plan qui voit le jour au fur et à mesure des pièces d'échec qu'il aligne aussi bien, que j'additionne au vol. « Si je suis vif, elle l’est autant que moi. Elle en vaut cent pareil à toi. » je ne me lasserai jamais, de ça. Qu'il m'estime au point d'avancer de telles remarques, quand il m'est évident qu'il en vaut tout autant. Que si je sais tout ça, si j'ai eu la chance d'apprendre tout ça, c'est parce qu'il me l'a permis, parce qu'il a servi de cocon de protection le temps que j'épluche tous les grimoires de la planète ou presque, le temps que je me noie de savoir alors qu'il affutait savamment ses lames.

« La liberté ou ta guilde. Je n’ai pas encore statué. Ma dame ? » mes doigts jouent avec la dague qui siège entre nous, mes prunelles violacées n'ont pas quitté une seule fois le profil de notre interlocuteur. Je le jauge et je le calcule, je l'analyse et je le comprends, le lis comme un grand et évident livre ouvert. « Crois-tu qu’il soit prêt à nous la donner pour sauver ta peau ? » « Pourquoi choisir. » mon sourire lui, se dessine le plus lentement du monde sur mes lèvres, il savoure et moi aussi. « Amène-nous à lui. On fera tout le reste. » la liberté, et la guilde. Je veux tout, et Amos le mérite. C'est ce qui compte maintenant, c'est ce qui compte toujours.

***

Je préfère la nuit au jour. Je préfère la lune au soleil. Je préfère la brise fraîche à la chaleur étouffante, je préfère dormir dans un lit d'herbes, de fleurs et de feuilles que sur un matelas recouvert de coussins et de couvertures. « Je me rappelle plus de la dernière fois où on a regardé les étoiles. » je sens la chaleur de la silhouette d'Amos contre la mienne, ma tête s'est logée contre le creux de son épaule. Brynjolf nous a quitté pour la nuit, nous a promis tout ce qu'on lui a demandé pour le jour d'après. Il ne nous reste qu'à dormir à la belle étoile avant de pouvoir mettre notre plan en marche, avant de pouvoir faire un nouveau pas dans un guet-apens qui l'est pour tous mais pas pour nous.

Au-dessus de nos têtes se dessinent lueurs et planètes, et je jurerais voir des lucioles qui font la fête. « On a juste à survivre à demain. Après, tout ira bien.» ma voix souffle, se casse sur sa peau, sa mâchoire revenue à elle-même, son nez aussi. Il est de nouveau lui, je suis de nouveau moi, et on est nous, éternellement nous deux.


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Message(#)UA - Il était une fois à Bordeciel - Page 2 EmptyLun 29 Juin - 9:37




IL ETAIT UNE FOIS A BORDECIEL
Univers alternatif - Skyrim

@Ginny McGrath-Williams  
Elle a exigé, Ginny. Elle a plongé ses yeux mauves dans ceux du voleur et il a faibli. Je l’ai senti tressaillir à l’évocation du nom de la mère de la nuit. Il a tremblé à découvrant le sceau de ma dague de ses yeux écarquillés de stupeur. Il s’est enfui la queue entre les jambes et, pourtant, j’ai quitté la taverne avec au coeur un mauvais pressentiment. Est-il justifié cependant ? Est-il réellement rationnel ? Ne naît-il pas de la peur que sa guilde nous tende un piège ? Ai-je seulement peur pour ma vie d’ailleurs ? Alors que nous avons dressé une tente de fortune au milieu des bois afin de ne pas être exposé, tandis que ma magicienne et moi observons les étoiles illuminant ce ciel d’été, je réalise que je crains la mort, pas la mienne, mais la sienne. Je redoute ces certitudes de victoire et son trop-plein d’assurance. J’ai peur qu’ils causent sa perte. Je suis épouvanté à l’idée de ne pas être capable de la protéger et je crois qu’elle le sens, qu’elle le ressent. Au contraire, elle n’aurait pas posé sa tête au creux de mon épaule pour me ramener vers des considérations à propos de la beauté du monde qui nous entoure. Elle me tirerait pas sur le terrain de la nostalgie, celui où nous n’étions que deux marmots libres d’aller et venir, heureux malgré nos estomacs vides. « Moi non plus. Mais je sais que ça m’a manqué. » Et la remarque est bien plus sincère que la suite, celle qui me présente tel un ignorant, un amnésique dès lors qu’il s’agit surtout de raviver les souvenirs moins plaisants de cette époque lointaine. « Pourquoi les avons-nous rejoints, Ginny? » ai-je donc lancé en pivotant mon corps vers elle. J’ai besoin d’apprivoiser à nouveau ses traits fins et mutins maintenant que le sort est levé. J’ai besoin de plonger mon regard vif éclairé par la lune. “Tu te rappelles ? “Je n’en doute pas un seule seconde : l’histoire n’a rien de joli. Elle a failli me blesser à cause de l’instabilité de ses pouvoirs. Malheureuse, fourbue par la culpabilité, elle a estimé qu’il valait mieux nous cloîtrer pour éviter de se perdre, de nous perdre l’un l’autre. Moi, je ne lui en ai jamais tenu rigueur malgré la balafre qui barre mon torse. Elle était toute pardonnée avant de m’avoir heurté de plein fouet par foudre. Elle l’a toujours été et le sera toujours d’ailleurs, et ce qu’importe ce qui nous arrivera demain. Que nous arrivera-t-il, d’ailleurs ? A quelle sauce serons-nous mangés ? A quoi sommes-nous destinés à survivre ? « Les voleurs sont perfides. » Je dois en être le contre-exemple d’ailleurs. « Je veux vivre, tout comme toi, mais pas dans un monde sans toi. » ai-je avoué quoique je déclame une évidence. J’ai récupéré sa main dans la mienne et je les ai levées bien haut vers le ciel dégagé. Je les ai observées et Dieu que le contraste m’a paru éloquent. Elle a la peau douce quand la mienne est rugueuse de tendre les arcs. « Promets-moi de faire attention à toi, demain. Promets-moi de ne pas être trop sûre de toi. Promets-moi que tu te sauveras, sans moi, si ça dégénérait. Promets-moi que… » Demain, tout ira réellement bien ? Elle ne peut s’y risque sans mépriser mes mises en garde et je me suis aussitôt corrigé. « Promets-moi que, dans tes plans, tu ne prévois pas de nous sauver de la confrérie pour nous enchaîner à une autre. » Parce que je ne sais rien de ce qu’elle a en tête, ma sorcière. Je sais simplement que je la suivrais aveuglément où qu’elle aille et, en guise d’aveu, j’ai posé mes lèvres sagement sur le dos de sa main que j’ai finalement posée sur ma bouche afin qu’elle y reste.

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Message(#)UA - Il était une fois à Bordeciel - Page 2 EmptyMar 30 Juin - 11:24




IL ETAIT UNE FOIS A BORDECIEL
Univers alternatif - Skyrim

@Amos Taylor  
Les brins d'herbe chatouillent mes joues. Son souffle aussi. Les uns sont froids, l'autre est chaud, bouillant. Le contraste fait autant de mal que de bien, j'ignore pourquoi mais je laisse aller, lâche prise entièrement que lorsqu'il est le seul à mes côtés. « Moi non plus. Mais je sais que ça m’a manqué. » je l'entends le sourire dans sa voix. À défaut qu'il ne l'arbore pleinement sur son visage bafoué par la vie, le stress, les blessures, les cassures. Le mien de visage, se niche un peu plus contre son épaule, au risque que mes mèches lui grattent les joues, lui envahissent l'air. « Pourquoi les avons-nous rejoints, Ginny? » parce qu'il n'y avait pas d'autres choix, que je pense, que je souffle, tragique. Parce qu'il fût un temps c'était la seule option viable. “Tu te rappelles ? “ il se tourne vers moi au même moment où je me tourne vers lui. Le geste aurait tout de chorégraphié pourtant il ne l'est pas du tout, encore moins prémédité. C'est simplement ce qui arrive lorsqu'on passe sa vie à vivre l'un avec l'autre, l'un pour l'autre.

Mon index trace la ligne, celle que j'abjecte, celle qui me brise le coeur, celle que j'ai causée, le long de son torse. Les tissus de ses vêtements sont rêches sous mon épiderme, mes prunelles n'ont pas lâché les siennes quand la réponse s'impose d'elle-même. « J'avais peur. J'étais pas prête. » c'est ma faute et que la mienne. C'est moi qui en prend l'entière responsabilité, même si elle vient avec son lot de remords et de regrets que je ne me pardonnerai jamais. Lui il l'a fait, lui il m'a pardonnée, et je le vois autant dans son coup d'oeil que je l'entends dans son souffle qui suit mes délicats mouvements. Mon doigt quitte son torse, doigt qui n'a pas touché la balafre depuis des années maintenant, doigt qui sait pourtant exactement où elle est. Amos est marqué au fer rouge sur sa peau, je le suis dans mon esprit. À jamais.

« Les voleurs sont perfides. » je le suis aussi, je l'ai été tellement. Je m'assagis pourtant, à ses côtés. Il est le seul qui arrive à me calmer sans me faire étouffer, il est l'unique en qui j'ai assez confiance pour me laisser désamorcer. « Je veux vivre, tout comme toi, mais pas dans un monde sans toi. » mes doigts s'agitent entre les siens simplement pour le sentir refermer son emprise, pour qu'il en sente le besoin de le faire. « Promets-moi de faire attention à toi, demain. Promets-moi de ne pas être trop sûre de toi. Promets-moi que tu te sauveras, sans moi, si ça dégénérait. Promets-moi que… » jamais, jamais je te promettrai ça. Jamais je ne lui promettrai de le laisser seul, derrière, jamais je ne le laisserai et il le sait pertinemment. Il m'insulte presque de me croire assez lâche et égoïste pour agir ainsi. « Promets-moi que, dans tes plans, tu ne prévois pas de nous sauver de la confrérie pour nous enchaîner à une autre. » « Je te promets. » ça, je le peux. Ça, je le ferai. Ses lèvres sur le revers de ma paume ne sont qu'une signature, qu'une entente de plus, n'en reste que désormais, c'est nous deux contre le monde ; comme ça aurait toujours dû l'être. À l'époque j'étais terrorisée. Je suis prête désormais.

« Je t'aime. » de ses lèvres sur ma peau, se déposent maintenant les miennes sur la sienne. Le baiser est chaste, doux, il contraste lui aussi avec la dureté de nos propos, avec la lourdeur de nos aveux. Il est léger, il s'égare à peine sur ses lèvres, éphémère, quand mon amour pour lui n'a rien de volage. Il est solide, il est stoïque, il est pur, il durera une éternité et une autre. Il est mon roc et il le sait, j'en crèverais qu'il en doute. « Dis rien, réponds rien. » mon front s'ancre à celui d'Amos, l'expiration que je perds au passage a tout d'une supplication silencieuse de le garder silencieux à son tour. « Je veux mémoriser tout ça. » les étoiles, le fantôme de ses lèvres sur les miennes, la sensation de liberté, la vraie.

Demain, qu'on meurt ou qu'on vive, la finalité n'en sera que la même. Le scénario le plus fatal que j'ignore le plus volontairement du monde, quand un nouveau baiser dévie de sa commissure jusqu'à son front. « Demain, on redevient toi et moi. »




yada yada:
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LE DESTIN
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l'être suprême
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ÂGE : des milliers d'années, mais je suis bien conservé.
STATUT : marié au hasard.
MÉTIER : occupé à pimenter vos vies, et à vous rendre fous (a).
LOGEMENT : je vis constamment avec vous, dans vos têtes, dans vos esprits, et j'interviens de partout, dans vos relations, dans vos joies, vos peines.
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PETIT PLUS : personne ne sera épargné, c'est promis les chéris.
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INSCRIT LE : 16/12/2014

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Le membre 'Ginny McGrath-Williams' a effectué l'action suivante : Lancer de dés


'dé action' :
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Message(#)UA - Il était une fois à Bordeciel - Page 2 EmptySam 3 Oct - 4:45




IL ETAIT UNE FOIS A BORDECIEL
Univers alternatif - Skyrim

@Ginny McGrath-Williams  
« Je sais. C’était légitime. Mais ça n’a jamais été grave. » Ma question n’avait pas vocation à réveiller en elle de vieux traumatisme. Je ne lui en ai jamais voulu pour l’accident. Sur l’heure, je m’interrogeais, vraiment, jusqu’à ce qu’elle glisse son index le long de la vieille cicatrice qui barre mon torse. Elle est douloureuse parfois. Je ne le lui reproche rien par contre, pas même celui qu’était de faire fi de notre indépendance et de l’offrir en cadeau à la mère noire de la nuit. C’est terminé à présent. Nous avons ficelé un plan pour dénouer le lien qui nous retient à elle. Mais n’est-il pas risqué ? J’ai peur ! Je n’aime pas l’admettre, mais je suis terrifié et, nos doigts jouant ensemble, nos phalanges se frolant et se caressant, mon regard épris du sien, je lui réclame des promesses. Je l’implore d’être prudente. Je la supplie d’être attentive, de prendre soin d’elle, de fuir si nous tombions dans un piège. Elle n’accède pas au trois-quarts. Pour être exact, elle ne m’en accorde qu’une : celle qui me jure que nous ne serons plus jamais enchaîné à une confrérie… à moins d’en être à la tête. Elle me conjure également que son coeur vibre à l’unisson avec le mien et appuie la révélation d’un baiser qui, finalement, me surprend à peine. J’aime à prétendre qu’elle est une soeur pour moi. J’aime la regarder comme si nous faisions partie d’une seule famille : la nôtre. Mais, la réalité, c’est qu’ensemble nous formons les deux faces d’une même pièce. Elle est le pile, le face et trop souvent j’ai souffert de jalousie à chaque fois qu’un homme a croisé le violent de ses yeux. Ce baiser n’est finalement que le reflet d’une évidence. Alors, mes mains se font plus curieuses. Elles glissent le long de sa silhouette souvent contemplée, mais jamais approchée. Elles sont prêtes à découvrir, presque timidement, quand elle brise l’aparté de son pragmatisme. Si elle me rêve silencieux, alors je lui répond d’un sourire évocateur et d’un sourire. Comme elle, je fige l’instant dans ma mémoire. « Et si je n’en avais pas envie… ? » me suis-je permis, fermant les yeux  quand sa bouche dérive de mes lèvres à mon front. Moi, j’en profite pour entourer ses épaules de mes bras. Je la serre contre moi et, tandis que le vent souffle légèrement autour de nous, qu’ils soulèvent les feuilles de chêne, qu’il nous caresse le visage, je m’endors en craignant l’avenir.

≈≈≈≈≈≈≈

C’était un piège que nous avons pourtant déjoué. Nous avons pénétré les égoûts de la guilde entouré d’une orbe protectrice qui a fait son oeuvre. Les archers ne sont pas atteints. Les fourbes voleurs ne nous ont pas approché en sortant de l’ombre puisque le sol s’est éclairé des foyers que ma magicienne a bouté dans les quatre coins de la pièce. Quand leur sorcier s’est avéré être une menace, j’ai dégainé mon arc et je l’ai occis d’une flèche en plein coeur. D’autres de nos assaillants sont tombés sous mes flèches jusqu’à ce qu’ils se rendent. Ils sont tombés à genoux pour nous supplier de les épargner. La puissance de Ginny m’a effaré. Ma cruauté m’a fait peur. Ils sont tous morts de mes mains d’une opinel dans le coeur. Ce sang, quoiqu’il me soit familier, a suscité en moi une vague de désir décuplé par ce que nous sommes désormais chez nous, dans nos quartiers. Nous sommes maîtres en ces lieux. Nous n’avons plus qu’à reconstruire sur les cendres de ce qu’il reste, mais qui pourrait nous arrêter ? Qui pourrait nous empêcher de nous retourner contre le nouvel ennemi qu’est la main noire ? Glissant ma main dans celle de Ginny, je l’ai tirée vers moi, j’ai plongé mon regard dans le sien et c’est moi qui lui ai volé un baiser, un qui a appelé à plus, beaucoup plus, et qui fut consommé à même le sol, au milieu des corps sans vie de nos victimes. « A partir d’aujourd’hui, nous sommes un autre toi et toi, ma magicienne.» lui ai chuchoté au terme d’une étreinte brûlante.

Sujet clôturé


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