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 (dylias) parfois je me plante entre l'amie et l'amante

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Message(#)(dylias) parfois je me plante entre l'amie et l'amante - Page 2 EmptyLun 13 Juil 2020 - 17:41

@Elias Sanders & Dylane Bradford
Parfois je me plante entre l'amie et l'amante
Des mecs chiants, Dylane en a rencontré et pas qu'un seul. Mais le spécimen devant elle était unique en son genre. Elle arrive pas à le cerner et ça l'énerve. Elle aime pas ça. Et encore moins quand il a toujours quelque chose à dire. De suite, ça lui donne envie de répondre, d'attaquer ... Dylane c'est pas le genre de filles à courber l'échine et s'effacer quand on la pique. Non, ce serait mal la connaître. Il a l'air de la même trempe. Des étincelles jailliraient presque dans leurs paroles. Ils mettent le feu et n'ont pas l'intention de l'éteindre. Ce sera à celui qui baisse sa garde en premier. « Madame est parfaite ? » Et c'est reparti pour un tour. «  La perfection serait bien trop ennuyante » Elle n'a pas la prétention de se croire parfaite. Loin de là. Elle a ses défauts et certains lui pourrissent la vie mais elle doit s'en accommoder. Si elle ne les avait pas, elle serait pas elle-même et que ça plaise ou pas, elle a pas cette envie de changer. Et encore moins pour un inconnu. Un mec qu'elle ne reverra pas une fois la prise en charge terminée. Il aime pas perdre mais elle non plus. Ayant été élevée dans un milieu masculin et sportif, c'est pas ce qu'on lui a inculqué, la défaite. Fallait tout donner et si la défaite était là tout de même, alors c'était sans regret. Avec lui, elle avait cet hargne. C'est comme s'il venait de lui donner un défi et elle compte bien le relever. Le revoir, c'est pas dans ses projets que ce soit à long ou à court terme.  « Tu heurtes mon cœur fragile… » Ce rire froid, sans âme ne lui fait plus rien. Il peut bien essayer de faire le beau, de faire celui qui ne montre rien. Elle est bien placée pour savoir que c'est faux. Elle est pareille. Un sourire naît sur ses lèvres. «  Un cœur ... Faudrait déjà que tu sois capable de le faire fonctionner » Dire qu'il n'en a pas serait stupide. Mais ouais, l'utiliser à bon escient pas sûre qu'il en soit capable. Le principal est fait. Il est dans l'ambulance. C'est bien la première fois qu'une personne met autant de temps à y monter. C'est pas qu'elle est pressée mais tout comme. Il pose des questions sur son frère, elle y répond avec une pointe de tristesse. Pas plus, il a pas à savoir son mal être. La phrase de trop est dite. Il a pas à juger, il est pas dans son droit. « T’en sais rien… » Son regard se pose sur lui. Est ce que lui aussi participe à ces courses maudites ?! Dans le fond, elle serait pas étonnée. «  Tu devrais faire attention à ce que tu dis » Est ce qu'elle va utiliser ça contre lui ?! Non, il en vaut pas la peine. Elle préfère ignorer et le laisser dans sa connerie. Qu'il y soit en tant que flic ou coureur, elle s'en bat les reins. C'est plus son problème et encore moins maintenant qu'elle le dépose devant l'hôpital et qu'elle part sans se retourner. Une bonne chose de faite. (...) Si on lui avait dit qu'elle devrait se rendre chez lui, à nouveau lui faire face, elle aurait ri mais c'est la triste vérité. Ça l'enchante pas d'être là mais elle suit les ordres. La porte s'ouvre, il a pas l'air heureux de la voir et rien que ça, ça en valait le détour. Voir l'agacement dans son regard est presque une victoire pour la demoiselle. Le portable entre ses mains, elle le nargue et lui montra la raison de sa venue. Faudrait pas qu'il pense qu'elle était là de son plein gré non plus. « Tu connais mon prénom ? Merveilleux ! » Elle penche sa tête sur le côté «  Pas que «  Un sourire taquin se plante sur ses lèvres. Son chef lui avait donné une fiche avec des informations sur lui. Juste pour qu'elle ait son adresse. Comme s'il ne pouvait pas juste lui noter sur un bout de papier. Maintenant, elle connaît son nom, son prénom, son adresse, sa date de naissance et d'autres futilités dont elle se fout royalement mais qu'elle pourrait utiliser si ça lui chante. «  Je te pensais pas si vieux. T'as plus une tête de gamin «  Elle hausses les épaules.  « Maintenant que tu m’as vu, je te montre pas le chemin du retour ? » Repartir, elle en a envie mais le faire chier encore plus. Son regard le toise et elle ne peut s'empêcher de voir qu'il n'a pas soigné sa cheville. Inconscient en plus de ça, il a gagné l'oscar du mec le plus désagréable et stupide dans la même soirée, que d'honneur ! « Ouais et ? »  Pas question qu'elle se fasse refermer la porte au nez de la sorte. Sa conscience professionnel prend le dessus. Elle arrive à se faufiler chez lui non sans mal. Le téléphone trône dans sa poche arrière.  « Chut ! Va pas réveiller ma sœur avec tes histoires de cheville à la con ! » Ses bras se croisent sur sa poitrine «  Si tu t'étais fait soigner, on en serait pas là » Mais pourquoi elle s'obstinait tant à faire en sorte de le soigner ?! Sûrement pas défi d'y arriver. Elle le connaît pas donc elle peut pas s'inquiéter pour lui. Dylane, faut pas chercher à la comprendre. Plus on la fait chier et plus elle en redemande à croire. Elle cherche la pharmacie la demoiselle et il ne va pas l'y aider. « J’en ai pas ! »  Elle roule des yeux. Son regard s'éparpille dans l'appartement. La vue de la salle de bain lui fait tilt, elle s'y engouffre encore une fois sans demander son avis. C'est pas comme si elle en avait besoin. Si elle a décidé quelque chose, elle le fait, ça s'arrête là. Et dans le cas présent, ce sera cet Elias. L'armoire s'ouvre sous ses doigts, elle attrape le nécessaire, du moins ce qu'elle trouve. Elle revient avec son butin et le pose sur la table basse. La seconde étape allait être qu'il coopère. Tâche non aisée mais elle partira pas tant que ce sera pas le cas. Elle est plus en service, ses vêtements le prouvent donc elle a toute la nuit voire même plus. Donc s'il voulait se débarrasser d'elle au plus vite, il savait ce qu'il lui restait à faire. « T’as pas un autre homme à faire chier ? » Ses bras se croisent à nouveau sur sa poitrine alors qu'elle le toise du regard «  Si peut-être mais c'est moins marrant qu'avec toi » Les mecs en soi, elle en côtoie mais ce sont ses amis, tout le contraire de ce mec. Il est pas son ami et risque pas de le devenir. Bien qu'elle devrait pas parler aussi vite, la vie est assez tordue pour faire en sorte qu'elle le recroise dans d'autres circonstances. Pas sûre qu'elle apprécie la blague ou si ... «  Bon je te soigne et je dégage ou tu continues à faire ton caïd ? J'ai tout le temps de mon côté «  Elle sourit ironiquement. Ses yeux regardent la pièce. Il avait parlé d'une sœur, elle devait s'occuper de la décoration car pour un appartement d'un flic, c'était assez joli et rangé. Ouais, non, c'était certaine que c'était pas l’œuvre de ce brun mais de sa cadette ou son aînée, elle savait pas. Peu importe, elle attend qu'il se décide et prend place sur une chaise. Si c'est pour attendre autant que ce soit plus confortable après tout.
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Dernière édition par Dylane Bradford le Ven 31 Juil 2020 - 18:36, édité 1 fois
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Message(#)(dylias) parfois je me plante entre l'amie et l'amante - Page 2 EmptyMar 28 Juil 2020 - 15:30

(dylias) parfois je me plante entre l'amie et l'amante - Page 2 Tumblr_ow2f4owqxQ1tza9ejo7_250(dylias) parfois je me plante entre l'amie et l'amante - Page 2 Tumblr_ow2f4owqxQ1tza9ejo5_250
 « parfois je me plante entre l'amie et l'amante »  (dylias) parfois je me plante entre l'amie et l'amante - Page 2 873483867  dylane bradford & elias sanders


Elias Sanders ne pige pas vraiment ce qu’elle souhaite, très certainement qu’il soit docile et qu’il l’écoute sans rien dire. C’est pour sa santé dirait les moins récalcitrants, et pourtant elle est capable de deviner qu’il n’est pas comme ça, et qu’il ne le sera jamais. Dans d’autre terme c’est un petit con, qui bouscule la vie, se joue d’elle et de ses femmes qui le fréquentent, qui considèrent qu’il n’est pas aussi caractérielle, même si en le connaissant un minima on s’aperçoit rapidement qu’il l’est réellement. Qu’il a même un caractère de cochon, et qu’il n’est jamais prêt à abandonner, à lâcher prise, il fonce parfois tête baissée, dans un mur. « La perfection serait bien trop ennuyante. » Il lève les yeux au ciel, est-ce qu’il la croit ? Pas vraiment non. Physiquement, elle semble sortir de ses magazines, il n’allait pas prétendre le contraire, elle est plutôt agréable à regarder même si ça semble s’arrêter là et qu’il est encore moins prêt à le dire à haute voix ! « J’te le fais pas dire ! » Parce qu’il ne conçoit pas les choses trop droites, trop parfaites, il aime sortir des lignes, ne jamais se mettre de limite. Peut-être parce qu’il n’en a jamais vraiment eu, il a vite prit le rôle de seul mec de famille très au sérieux quand son père les a abandonné, et que sa mère passait son temps à bosser jour et nuit pour payer l’appart miteux qu’ils avaient à fortitude valley. Un quartier qu’il n’a jamais vraiment pu quitter, un quartier qui l’a vu grandir, s’épanouir, se détester. Se tenant devant l’ambulance il ricane froidement, alors qu’elle lui renvoie sans tarder. « Un cœur ... Faudrait déjà que tu sois capable de le faire fonctionner » Il lève les yeux au ciel bien volontiers face à sa réplique, comme si ça pourrait le toucher. « T’en fais pas pour moi, je ne le fais pas fonctionner si la personne en face ne le mérite pas ! » Mais en réalité, il le sait bien lui-même qu’il n’est pas de ce genre-là, qu’il n’est pas du genre à tomber sous le charme des femmes facilement, pas au point du moins de tout lâcher, et de vivre d’amour et d’eau fraîche. Il a ce besoin d’être toujours en compétition. Aimer c’est être lâche, et il n’y a encore personne qui n’est parvenu à le faire changer d’avis. Puisque la seule qui aurait pu – Freya Doherty – a pris toute ses affaires sans même l’en avertir pour retourner en Suède d’après son grand frère. Il l’a donc haïe et si il dit à qui veut l’entendre qu’elle ne représente plus rien pour lui, on sait tous que c’est faux et qu’il n’est pas capable d’offrir son cœur à quelqu’un d’autre, pour le moment du moins… Prit dans cette soudaine rancœur, il ne peut s’empêcher de lui renvoyer en pleine figure qu’il connaît peut-être son frère, pire encore qu’il aurait peut-être été là ce soir. Mais le regrette à la seconde où ça passe la barrière de ses lèvres, «  tu devrais faire attention à ce que tu dis. » Ca avait été plus fort que lui, comme si ça l’avait démangé sans toutefois qu’il ne comprenne d’où ça venait. Ce besoin de vouloir sur enchérir sur l’autre, de paraître plus forte qu’elle. Est-ce qu’il avait besoin de sa reconnaissance aussi incertaine soit-elle ? Il n’en sait rien. (…) Il était enfin chez lui, il avait rêvé de ce moment depuis un paquet d’heure, sa soirée de courses s’était mal passée, mais jamais ça ne lui avait donné l’envie d’arrêter. Il poursuivait toujours, sans se soucier de la fois d’avant. Il y avait parfois les flics qui aimaient débarqués, créant la zizanie, mais jamais on ne l’avait chopé, et il faisait tout pour masquer son jeu. Mais finalement quand on toqua chez lui, il mit un peu de temps avant d’aller ouvrir avant de découvrir le visage de celui qui l’opportunité à une heure si tardive. « Pas que… Je te pensais pas si vieux. T'as plus une tête de gamin. » Il ne relève pas vraiment sur ses derniers mots, il se fichait bien de savoir ce qu’elle avait appris sur lui, ou pas, « et qu’est-ce que tu comptes faire sérieusement avec mon nom et ma date de naissance ? » Il pouffe, moqueur.  « J’suis flic ne l’oublie pas, moi aussi je pourrai lancer une ou deux recherches sur ton compte… » Qu’il souffle la braise, alors que son regard s’illumine pour une raison inconnue, poussant Elias à paraître si sûr de lui, alors qu’elle avance qu’elle tient des choses sur lui. La seule chose qui pourrait sans doute l’inquiéter, serait qu’elle sache pour les courses, ou qu’elle fasse le rapprochement avec sa petite phrase. Mais il jouerait forcément sur le fait que son boulot le mène dans ses endroits, et qu’il vaut mieux garder un œil précieux sur ses ennemis… Il a toujours rebondi, parce qu’être flic c’était en lui, depuis gosse. Qu’il s’est toujours battu depuis plus de dix ans pour sauvegarder les deux. Et qu’il n’est pas encore prêt à devoir choisir entre ses courses et son job ! [color:51a1=#mimi]«  Si tu t'étais fait soigner, on en serait pas là » Il hausse les épaules, soupirant, elle n’allait pas mettre ça sur le tapis ? Il n’allait pas pouvoir se débarrasser d’elle facilement … Et là voilà qui se casse dans la salle de bain pour récupérer sûrement compresses, désinfectant, bande ou je ne sais quoi encore. Il lève les yeux au ciel, fallait qu’il tombe sur une casse-couille comme elle, c’était bien sa veine ! « Sérieusement, c’est quoi ton problème ? Tu me déposais le téléphone que ton chef te demander et tu repartais… C’était pas simple ainsi ? » Mais non, elle devait en rajouter des tonnes, des caisses. Au nom de sa bonne conscience, il en est sûr Sanders ! « Si peut-être mais c'est moins marrant qu'avec toi. » Nous y voilà, un sourire parvient à ses lèvres qu’il cache rapidement, en une moue peu convaincante, mais néanmoins ravi de savoir qu’elle le préfère a d’autre… « Bon je te soigne et je dégage ou tu continues à faire ton caïd ? J'ai tout le temps de mon côté. » Elle est vraiment sérieuse là ? « Je sais pas ce que tu fais mais moi je vais aller me coucher ! » Qu’il se contente de dire, avant de faire un signe de tête sur le canap. « Il est confortable, bonne nuit ! » Et il passe à côté d’elle, entre le canapé et Dylane, il a cette façon bien à lui de laisser parler son égo. Elle allait devoir le forcer.
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Message(#)(dylias) parfois je me plante entre l'amie et l'amante - Page 2 EmptyVen 31 Juil 2020 - 18:38

@Elias Sanders & Dylane Bradford
Parfois je me plante entre l'amie et l'amante
Soirée de merde et surtout un appel plus chiant que les autres. Ce flic aurait presque pris toute son énergie de ce soir. Même si au fond, elle l'aurait pu l'envoyer chier et le laisser sur le trottoir. Mais ça avait été plus fort qu'elle, elle avait du l'emmerder jusqu'au bout et le point final avait été l'hôpital. Pensant être débarrassée de lui, c'est en soufflant qu'elle revient à la caserne pour se changer. Mais c'était sans compter sur son chef qui lui demande d'aller remettre en mains propres ce téléphone à son propriétaire. Fallait vraiment que ce soit lui qui le perde dans son ambulance. Ca pouvait pas être le petit papy tout innocent ou encore cette jeune fille. Non bien sur. C'est pas de gaieté de coeur qu'elle arrive devant sa porte. A un moment, elle hésite même à laisser le portable dans la boîte aux lettres. Non. Voir sa tête la démange de trop. A croire qu'elle n'en a pas eu assez ce soir avec lui. C'est presque devenu un jeu ou ça va en devenir un. Après quelques secondes d'attentes, il vient ouvrir. De suite elle le nargue en tenant l'appareil du bout des doigts. Faut pas qu'il croit qu'elle est venue ici de son plein gré non plus. Il est déjà imbu de lui-même donc non, loin d'elle l'idée qu'il croit qu'elle a le béguin ou une connerie du genre. De suite les hostilités sont lancées. Elle s'amuse à balancer les informations qu'elle a sur lui. Bien qu'elle sont assez légères en soi.  « et qu’est-ce que tu comptes faire sérieusement avec mon nom et ma date de naissance ? » La brune esquisse un sourire qui se veut sournois «  Je viendrais te souhaiter ton anniversaire bien entendu » Dit-elle sous le ton de l'ironie. Comme si elle comptait faire ça un jour. « J’suis flic ne l’oublie pas, moi aussi je pourrai lancer une ou deux recherches sur ton compte… »   Un rire moqueur sort d'entre ses lèvres «  Te donne pas cette peine. J'ai rien à cacher «  En réalité, il lui suffisait de taper bêtement son nom sur le net et les infos seraient présentes. Merci la famille de sportifs connus. Chose dont elle ne va pas se vanter. C'est pas son genre de dire regardez moi je suis riche et connue. Trêve de plaisanterie, son regard la mène vers son pied qui n'est en aucun soigné. Sans lui demander la permission, elle entre chez lui bien déterminée à le soigner. Pourquoi ? Sûrement sa conscience professionnelle qui parle bien que l'envie de le faire chier est présente également. Allez savoir pourquoi ?! Arriver à le soigner sonne un peu comme un défi pour la demoiselle et elle aime ça donc elle va pas s'en priver. Elle ira au bout. Enfin si elle perd, elle n'en fera pas une histoire, elle n'est pas comme lui la dessus. Bien qu'elle ne compte pas baisser les armes de si tôt. La voilà dans la salle de bain occupé de prendre ce dont elle a besoin. Du moins ce qu'il a car faut dire que la pharmacie n'est pas très garnie. Elle revient et pose le tout sur la table. « Sérieusement, c’est quoi ton problème ? Tu me déposais le téléphone que ton chef te demander et tu repartais… C’était pas simple ainsi ? » Elle fait mine de réfléchir «  C'est vrai que j'aurais pu. Mais si mon chef sait que je t'ai laissé dans cet état, pas certaine qu'il apprécie non plus » En réalité, elle n'en sait rien mais ça pourrait être le cas. Son chef étant fort amis avec le chef de la police, faudrait pas qu'un de ses éléments n'ait pas les capacités pour aller bosser. Voilà qu'il lui demande si elle n'a pas d'autres mecs à emmerder. Ho si, il y en a mais ils n'ont pas ce caractère qui la pousse à vouloir renchérir. Non, lui seul est comme ça. Elle n'ira pas avouer que ça lui plaît bien que ce soit le cas. Un sourire se fait voir sur le visage du brun bien qu'il le change bien vite en moue boudeuse tel un gosse. Elle roule des yeux et pose son regard sur lui. Reste à savoir s'il veut se faire soigner et qu'elle foute le camp ou s'il veut faire durer ce petit manège. « Je sais pas ce que tu fais mais moi je vais aller me coucher ! » Il veut continuer très bien « En refusant, tu sais que je vais rester. A force je vais croire que tu aimes ma compagnie ou pire que c'était une invitation » balance-t-elle sachant bien qu'il allait vite réagir en prônant que tout cela est faux, qu'il ne souhaite que son départ de chez lui. « Il est confortable, bonne nuit ! » Son regard suit sur son geste. Ha non, il va pas s'en sortir de la sorte. Alors qu'il passe, elle se lève plus vite que son ombre et lui fait face et le pousse pour qu'il tombe dans ce fameux canapé. L'avantage de son pied foulé fait qu'elle arrive facilement à le faire dévier de sa trajectoire. En d'autres circonstances, elle n'y serait pas arrivée. Il est musclé le flic. C'est pas qu'elle le mate en soi mais ça se remarque. « Donc on en était où ? » Dit elle avec un sourire taquin sur les lèvres tout en prenant place à ses côtés «  C'est vrai qu'il est confortable » Dit-elle tout en se penchant pour attraper le bandage qu'elle a laissé sur la table. Va falloir qu'elle ruse pour avoir accès à son pied et encore plus pour qu'il ne bouge pas de cette place. La nuit va être longue ... Mais est ce que ça la dérange vraiment ?! Elle aurait pu jeter les armes depuis longtemps et lui se laisser faire et tout deux serait tranquille. A croire que cette situation leur plaisait à tout les deux ... Bien qu'aucun ne rangera sa fierté pour l'avouer.
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Dernière édition par Dylane Bradford le Lun 3 Aoû 2020 - 2:07, édité 1 fois
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Message(#)(dylias) parfois je me plante entre l'amie et l'amante - Page 2 EmptyLun 3 Aoû 2020 - 0:38

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La soirée ne s’était pas forcément bien passé mais elle avait eu le mérite de finir et Elias n’en était que soulagé. Jusqu’à ce que la sonnerie de son appartement retentisse, un appartement à fortitude valley, là où il a toujours grandi, un quartier qu’il n’a jamais pu abandonner, côtoyant la misère du monde, mais c’est pourtant ici, qu’il a pu grandir et devenir l’homme qu’il est aujourd’hui. Il ne regrette rien de son passé, pas même le fait d’avoir grandi sans père, sans modèle d’homme, lui qui a toujours gravité autour des femmes. Fils pas toujours modèle, petit ami encore moins apte à s’attacher à quiconque, Elias est un homme bien trop indiscipliné et solitaire pour intéresser vraiment. Mais surtout pour s’intéresser aux autres. Pour autant, la retrouver devant lui, ne le dérange pas autant qu’il cherche à le montrer. Mais ce jeu du chat et de la souri, il a toujours aimé ça, depuis toujours, et avec quiconque qui attire indéniablement son regard, il est de toute façon un beau parleur. Jamais elle n’entendra de sa bouche qu’il aime qu’on lui courre après, encore moins elle. Il se veut mystérieux, inaccessible même si son passé de don juan ne lui permets pas d’avoir un tel discours, mais qui est-elle pour le savoir ? Elle ne le connaît évidemment pas, et c’est pas en restant en retrait, prisonnier de cette solitude que les choses changeront réellement. « Je viendrais te souhaiter ton anniversaire bien entendu » Il lève les yeux au ciel plus par automatisme qu’autre chose en réalité n’étant guère touché par cette façon bien à elle de répondre comme si tout lui était dû. Il n’aime pas cette nana, et même si il raffole finalement de ce jeu, il n’est pas prêt à lâcher du lest, à rendre sa vie plus douce et plus charmante. Il a un rôle de petit con à tenir… Et si elle ne le sait pas encore, elle en fera les frais tôt ou tard, parce qu’il ne sait jamais rien gardé aux creux de ses mains Elias. Il trouve toujours comment détruire les relations autour de lui, même quand il s’y attache. « Et tu viendras évidemment avec un gâteau ?! » Qu’il demande, avec une ironie avant de lui filer un autre de ses goûts, finalement ce jeu puéril aura le don de les faire découvrir, l’un à l’autre, « j’aime le chocolat… » Comme si elle pourrait en avoir sérieusement à faire quelque chose… Mais il y croit le flic et c’est le plus important. « Te donne pas cette peine. J'ai rien à cacher » un sourire narquois au coin de ses lèvres, avant qu’elle finisse par visiter d’elle-même son appart, d’un regard furtif. Les pompes de sa sœur qui trainent ci et là, dans l’appart. « C’est ce que disent ceux qui ont quelque chose à se reprocher… » Sa voix est presque indifférente et un haussement d’épaule accompagne son discours, alors qu’elle se faufile dans la salle de bain, il reste immobile arquant un sourcil, croisant les bras, l’attendant de pied ferme. Il ne sait pas vraiment quel est le moment propice pour la foutre dehors, peut-être qu’il tient un peu à son téléphone faut croire… « C'est vrai que j'aurais pu. Mais si mon chef sait que je t'ai laissé dans cet état, pas certaine qu'il apprécie non plus » il relève la tête sur Dylane, pourquoi il n’appréciait pas ? Elias est majeur et vacciné, puis il est flic, il doit bien savoir qu’il est responsable – ou irresponsable dans son cas mais peu importe, ça n’arrange pas ses affaires tout ça… « Pauvre chéri… Il s’en serait remis… » Qu’il commente, avec de l’ironie à peine flagrante. « En refusant, tu sais que je vais rester. A force je vais croire que tu aimes ma compagnie ou pire que c'était une invitation » Non mais elle rêve madame la princesse ! Depuis quand Elias courre après les nanas ? Ce sera pas demain la veille, oh ça non, encore moins le prétendre. « Tu prends tes rêves pour des réalités… » Et à son âge c’est grave, il aurait presque envie de lui dire que le père noël n’emmène pas vraiment de cadeau, et que les marmottes qui mettent le chocolat dans le papier, ça n’existe pas vraiment… Mais il aurait peur d’heurter le cœur sentimentale de l’ambulancière. « Mais bon si tu veux rester, juste ne ronfle pas trop fort, les murs ne sont pas insonorisés… » Complètement faux mais c’était pour la titiller, comme si rien n’était assez suffisant pour le flic. Et puis assise sur le canapé, elle se redresse légèrement pour le faire tomber, si il n’avait pas tant fait le fier il ne se serait pas fait prendre à son propre piège, mais désormais le cul assis sur son canap, il boude, il râle de sa moue. « Donc on en était où ? C'est vrai qu'il est confortable. » Il lui fait une grimace bien volontiers, comme si elle était fière d’elle à cet instant, mais puisqu’elle voulait jouer, elle allait perdre. Il allait la pousser à bout, et dans ce domaine il ne perd jamais… « Si tu me voulais dans tes bras fallait m’le dire… » Ses chevilles enflent, son regard est espiègle et surtout sa main et son bras passe derrière sa nuque, posé sur le dossier du canapé, cette proximité soudaine lui fait avoir un sourire grandissant, sûrement parce que dans ce jeu, il est à l’aise Elias, le dragueur en lui est à l’aise…
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Message(#)(dylias) parfois je me plante entre l'amie et l'amante - Page 2 EmptyLun 3 Aoû 2020 - 5:16

@Elias Sanders & Dylane Bradford
Parfois je me plante entre l'amie et l'amante
Fortitude Valley, elle porte pas ce quartier dans son coeur. C'est ici que son frère a connu la mort, que cette course débile lui a ôté la vie comme un malpropre. Non vraiment, elle est pas fan. Et pourtant, elle s'y trouve. Non pas par envie mais obligation. Ce flic, même quand il est pas devant elle, arrive à la faire chier. A croire qu'il a fait exprès de laisser tomber son portable dans l'ambulance. Bien que cette idée lui ait traversé l'esprit, elle l'a vite chassée. C'est pas son genre et puis il aurait envie de la revoir. Ca n'a pas de sens. Elle non plus ne le souhaite pas. Malgré tout, elle se trouve devant sa porte hésitant à sonner pour finalement le faire se maudissant déjà d'avoir accepter de faire le coursier pour son chef. Le voilà devant elle toujours avec cet air arrogant comme si ça ne le quittait jamais, comme si c'est tout ce qu'il représente. C'est peut-être le cas, elle en sait rien et elle s'en fout la brune. L'échange aurait du être rapide. Elle devait lui donner son téléphone et repartir. Mais non, faut qu'elle remarque qu'il s'est pas soigné et de là, le jeu recommence. Un jeu qui au fond lui plaît même si elle ne va pas l'admettre. Le voilà à nouveau à lever les yeux au ciel à la moindre de ses paroles. Il a pas l'air de comprendre que ça ne lui fait ni chaud ni froid ses réactions. Ils s'aiment pas, ça se sent, ça se voit surtout. Ou bien c'est autre chose encore. Deux caractères de merde ensemble, ça fait des étincelles. Elle s'amuse avec les infos qu'elle a eu sur lui bien qu'elles ne sont pas conséquentes. Est ce qu'elle aurait voulu en savoir plus ?! Peut-être bien pour assouvir sa curiosité, sans plus. Une fois qu'elle aura quitté cet endroit, elle compte pas le contacter et ça même si elle pourrait. A quoi ça lui servirait franchement ? « Et tu viendras évidemment avec un gâteau ?! » Il l'a prise pour une docile femme au foyer ou ça se passe comment ?! «  Je sais pas cuisiner sauf si t'aimes les choses brûlées » Elle sait même pas pourquoi elle lui répond et pourquoi elle avoue des choses sur elle. Rien de bien grave important de toute façon. C'est pas comme si elle allait lui dévoiler sa vie bien qu'il en connaisse déjà assez avec son frangin. Elle aurait mieux fait de se mordre la langue que d'en parler. « j’aime le chocolat… » Sa tête se penche sur le côté «  Ma voisine fait des muffins au chocolat mais elle veut pas me donner la recette. Dommage enfin pour toi ! » Elle hausse les épaules. Il croit qu'elle a quelque chose à cacher ce qui octroie un sourire en coin chez la demoiselle. « C’est ce que disent ceux qui ont quelque chose à se reprocher… » Elle entre sans demander son reste. Comme si c'était naturel. Elle s'en fout la brune de ce qu'il pense et ça même si c'est chez lui. « Peut-être que je cache des choses, peut-être pas » De toute façon, c'est pas comme s'il allait vérifier. S'il le fait, ce serait presque lui donner de l'importance et elle n'en a pas à ses yeux comme il n'en a pas aux siens. Bien que leur jeu puisse faire penser le contraire. Deux personnes énigmatiques en tout point. Les bras chargés, elle revient de la salle de bain et pose le tout sur la table précisant bien que c'est son chef qui serait pas heureux qu'il se fasse pas soigner. Elle a pas envie de se faire réprimander par ce dernier. Il peut être chiant par moment.  « Pauvre chéri… Il s’en serait remis… » Elle roule des yeux «  Faut croire qu'il t'apprécie mon chef. Je me demande bien pourquoi, il est vieux ça doit être ça. En vieillisant on a plus toute sa tête » Foutaises, son chef est quelqu'un de bien. Il doit avoir ses raisons d'aimer Sanders. Rien à faire, il refuse les soins tel un gosse qui a peur que le désinfectant pique de trop. Un soupir sort d'entre ses lèvres alors qu'elle le toise du regard. Le pire il sait bien qu'elle partira pas. S'il a compris son mode de fonctionnement du moins. Il se dit joueur, elle l'est aussi. Et même si ça devrait pas, ça l'amuse tout ça. Elle en vient même à prêcher le faux du vrai.  « Tu prends tes rêves pour des réalités… » Elle se pince les lèvres «  A vrai dire, ça me rassure ta réponse «  Hors de question d'être la énième fille à tomber pour ce genre de mec. Aussi attirant soit-il, elle tombera pas dans le piège. « Mais bon si tu veux rester, juste ne ronfle pas trop fort, les murs ne sont pas insonorisés… » Son regard se porte de lui de haut en bas. Il croit réellement qu'elle va le laisser filer de la sorte. C'est mal la connaître. D'un geste simple vu son pied ballant, elle fait en sorte que ses fesses retrouvent leur place initiale dans le divan. Divan qu'elle trouve confortable d'ailleurs. Une moue apparaît sur les lèvres du flic ce qui la fait sourire. Mais elle l'efface vite faudrait pas qu'il croit que ce sourire lui est destiné bien qu'un peu. Son dos se penche pour attraper une bande avant de se reposer dans le divan. « Si tu me voulais dans tes bras fallait m’le dire… » Il veut glisser sur ce terrain ... Très bien mais elle n'en est pas à son coup d'essai non plus. Dylane est pas le genre à tomber amoureuse à tout va. User de ses charmes, elle sait le faire aussi. Seulement, si elle entre sur ce terrain, c'est dangereux, c'est glissant ... Et surtout il va penser avoir gagner. Elle doit pas se louper avec lui. Faire partie de son tableau de chasse ne l'intéresse pas. Le sourire trônant à présent sur le visage du flic ne dit rien qui vaille. Son bras se dépose sur le dossier du canapé et vient frôler sa nuque. «  Sérieusement ? C'est ta manière d'aborder une fille ? Je suis déçue » Son regard se plante dans le sien alors que discrètement elle déroule la bande entre ses doigts n'ayant pas oublier le but de sa présence dans ce logement. Sa main se pose sur sa jambe «  Et si on passait aux choses sérieuses ? » Phrase à double tranchant bien qu'elle ne parlait de rien d'autres que de le soigner. Le fait-elle exprès ? Totalement ! Bien qu'elle doute qu'il soit assez con que pour croire qu'elle vient de tomber dans ses bras comme une mouche.
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Dernière édition par Dylane Bradford le Lun 3 Aoû 2020 - 15:32, édité 2 fois
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Il aurait envie de partir de son propre appartement juste parce qu’elle est là, en face de lui, à respirer le même air. Mais elle se contenterait de le regarder s’éloigner d’elle, avec un air satisfait au coin des lèvres et ça, lui était impensable à Elias. Alors il préférait rester là et subir, parce qu’il n’est pas faible, il est encore moins un lâche, à part quand il a tiré son coup, et qu’il quitte la chambre d’hôtel de manière subtil sans vouloir recroiser la nana une énième fois. Parce qu’il est plus simple de coucher sans s’apprivoiser, et s’attacher. Parce qu’il n’a pas appris à aimer les autres, seule sa sœur compte dans sa vie. Seule elle, a le mérite de le rendre fou d’inquiétude. Mais pourtant bizarrement, revoir Dylae quelques heures après, ne semble plus autant le déranger que dans cette ruelle froide. Il serait presque un peu moins piquant et a rangé visiblement son regard noir. Seule l’ironie l’accompagne dans ses moments d’incertitude, alors qu’il fourre ses mains dans ses poches, arquant un sourcil. Est-il sérieusement en train de lui parler de lui, de ses éventuels goûts pour qu’elle lui offre un cadeau ? Sérieusement Sanders, pathétique ! « Je sais pas cuisiner sauf si t'aimes les choses brûlées » Il fait une mine outrée – ouais c’est un très bon acteur, avant de répliquer, dans toute son arrogance la plus subtil sur les activités des femmes et des hommes dans notre monde aujourd’hui, bien qu’il n’en pense pas moins, il allait la pousser dans ses retranchements, c’était le prix à payer pour venir le déranger à une heure si tardive. « T’es une nana et tu sais pas cuisiner ? » Franchement, il était mal barré avec elle alors ! « Heureusement je me débrouille, enfin prends pas ça pour une invitation, je te supporterais pas plus de deux minutes dans mon périmètre de sauvetage ! » Faux mais qu’elle le croit, ça le dérange pas finalement. « Ma voisine fait des muffins au chocolat mais elle veut pas me donner la recette. Dommage enfin pour toi ! » Elle semble presque déçue et triste quand elle repose son regard sur lui, comme si elle pourrait l’être, et c’est pas ça qui arrêtera Sanders. « Des muffins cramés j’ai jamais vraiment goûté… » Qu’il avoue dans une moue impeccable alors qu’il comptait lui refermer la porte au bec, trêve de bavardage. Pas qu’il s’ennuie mais vu l’heure, son lit chéri l’appelait depuis un moment… D’ailleurs dans l’une des chambres, il espérait que sa sœur dorme à point fermé sinon elle allait se demander ce qu’il fricotait. Et si c’était pour que le lendemain elle lui pose mille questions sur cette aventurière énigmatique, ça risquait de fort saouler le flic. « Peut-être que je cache des choses, peut-être pas » Et elle rentre dans l’appartement, semblant presque s’y plaire dans ce rôle alors qu’un long soupire peu satisfait sort de ses lèvres, c’était bien sa veine de devoir la supporter. « N’éveille pas le mystère, je me ferai une joie de faire des recherches… » En réalité il aurait pu le penser si fort que les yeux globuleux de Dylane qui se posent sur lui, permet au flic de comprendre que c’est surtout à haute voix qu’il vient de se confier. Il reprend alors, voulant remettre toute de suite les choses au clairs, « enfin au nom du boulot hein ! » Pas pour sa vie privé, ou sentimentale ou que sais-je, pffff ! « Faut croire qu'il t'apprécie mon chef. Je me demande bien pourquoi, il est vieux ça doit être ça. En vieillissant on a plus toute sa tête » Il ricane, avant d’ajouter, « c’est pas très jolie ce que tu dis sur lui… » Il fait mine d’être offusqué un instant, bien qu’en réalité il pourrait l’être davantage plus pour le fait qu’elle soit pas déjà tomber dans ses bras. Mais elle serait probablement une tête de plus, un nom en plus sur cette longue liste. Parce que l’attache c’est pas fait pour le flic. Il n’a jamais eu de réel sentiment autre que pour sa meilleure amie et au vu où ça l’a mené, mieux vaut qu’il laisse ça à distance… « Enfin je te rassure, tu tomberas sous le charme aussi. » Il en est persuadé, sinon elle ne resterait pas là, à le narguer, à le repousser dans ses retranchements. Et franchement, il ignore si c’est ce qu’il voudrait ou pas, il préfère chasser cette image loin de lui, et plutôt faire face à elle, le gros dur, sans aucun sentiment. « A vrai dire, ça me rassure ta réponse » Il pouffe légèrement, en levant les yeux au ciel, « désolé d’avoir casser ton désir, vraiment… » Mets-y un peu plus du tiens Elias, ça se voit qu’il joue d’elle, ça s’entend surtout. Mais elle a décidé de jouer avec lui et comme souvent, il ne refusera pas, c’est elle qui se brûlera les ailes avant lui. Parce qu’il y a trop d’égo en lui, trop de fierté. Quand on le pousse, il ne sait plus s’arrêter, plus se stopper et dépasser les limites, il s’en fiche bien. Il ne la reverra pas de toute évidence. Une fois qu’elle se sera lassée de ce jeu, elle quittera la pièce, l’immeuble et le quartier. « Sérieusement ? C'est ta manière d'aborder une fille ? Je suis déçue » Il arque un sourcil en jetant son regard sur elle, maintenant qu’ils sont côte à côte, et qu’il semble bien détendu à poser son bras sur le dossier du canapé. « Oserai-tu émettre mes talents en doute ? » Il hausse les épaules presque déçu, se sentant obligé de rétorquer, « crois-moi que si j’ai envie, je pourrais parfaitement te mettre dans mon lit ! » Elle le cherchait bien trop pour qu’il reste distant, surtout qu’une grande gueule, c’est ce qu’il possède, nul n’en doute ! « Et si on passait aux choses sérieuses ? » Qu’elle avoue avant de poser sa main sur la jambe du flic. Non mais elle rêve elle ! Elle croit l’amadouer ainsi, jamais il ne posera sa jambe sur sa cuisse pour qu’elle lui foute le bandage à sa cheville. Il préférait rester handicapé toute sa vie. (quoi que, il tient bien trop à ses courses illégales et à son job !) Il posa sa main sur celle de Dylane pour la repousser dans ses retranchements, non mais sérieusement, il lui faudrait plus de tact, parce que là c’était gros comme une maison. « J’ai tout mon temps tu sais, tu craqueras avant moi… » A croire que la garder près de lui, lui plaisait, ironie du sort…
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@Elias Sanders & Dylane Bradford
Parfois je me plante entre l'amie et l'amante
C'était simple et rapide. Donner le téléphone et repartir. Son air agacé en ouvrant la porte a eu raison d'elle. Pas dans le sens où elle en a quelque chose à faire mais bien pour le faire chier encore un peu. A croire qu'elle a pas eu sa dose sur ce trottoir et dans l'ambulance. Les paroles piquent des deux côtés. Aucun des deux n'a sa langue dans sa poche si bien que des choses se dévoilent alors que c'est pas le but. Dylane est pas le genre à parler d'elle facilement. Elle se méfie des gens. Ils sont tous pareil à vouloir profiter de son nom de famille et de l'argent qui va avec. Peut-être que lui ne le sait pas. En tout cas, il a pas relevé quand son collègue l'a mentionné. A cause de ça, la brune s'est formée une carapace. Et par je ne sais quel moyen, il arrive à lui soutirer des informations. Les mots sortent comme si c'était normal. Et même si ce sont des choses banales, elle les dit tout de même. Elle aurait déjà du quitter son logement. Faire ce qu'on a lui demandé et c'est tout. Ce jeu l'amuse bien trop. Une part d'elle en est consciente et l'autre ne fait que se brûler un peu plus à chaque seconde qui passe. Maintenant faut pas croire qu'elle compte passer la nuit ici. Non c'est pas son but. Le faire enrager un peu plus oui, ça s'arrête là. Le jeu s'arrête où lui ? Elle sait pas. Elle le découvrira quand elle stoppera car mine de rien, elle sait que lui continuera jusqu'à gagner. Gagner la satisfaction de l'avoir poussée à bout et de la voir claquer la porte. Son anniversaire vient sur le tapis. Faut pas qu'il s'imagine qu'elle va réellement venir ce jour là faire la fête avec lui. Un gâteau, elle aimerait savoir en faire un mais pas pour lui, juste pour dire de savoir cuisiner un minimum. C'est chiant à force les plats tout fait. « T’es une nana et tu sais pas cuisiner ? » Le cliché qu'il vient de lui sortir lui fait rouler des yeux. « Heureusement je me débrouille, enfin prends pas ça pour une invitation, je te supporterais pas plus de deux minutes dans mon périmètre de sauvetage ! » Elle secoue la tête en mode désespérée « Si cela en est pas une pourquoi tu te justifies ? J'ai rien demandé » Lance-t-elle pour le chercher un peu plus. «  Mais je te rassure je serais pas venue » Ou si mais ça elle va pas lui dire. Elle a pas envie qu'il se prenne la grosse tête ce flic. Parler chocolat lui fait penser aux muffins de sa voisine. Ils sont bons. Tout ce qu'elle prépare pour elle quand elle va en garde est délicieux mais non elle veut pas donner la recette à Dylane. Elle lui a bien dit qu'elle voulait bien lui apprendre mais elle a pas eu le temps la brune. Bien trop occupée par le boulot et sa vie en général. « Des muffins cramés j’ai jamais vraiment goûté… » Un sourire narquois se pose sur ses lèvres. Mal le prendre, elle va pas le faire car c'est la réalité. «  Elle aurait pu les faire et je t'en aurais donné un ... «  Non mais elle vient vraiment de lui soumettre l'idée qu'elle pourrait revenir avec un foutu gâteau. La conne ! L'heure tourne et ils en sont toujours au même point et elle sait pas trop si ça changera. A force, elle fatigue aussi l'ambulancière, elle a une garde de 15h derrière elle et pas des plus charmantes. Cacher des choses ou pas, elle sait pas trop ce qu'il pourrait trouver sur elle. A part ce que la presse sait déjà. « N’éveille pas le mystère, je me ferai une joie de faire des recherches… » Elle hausse les épaules «  Le mystère c'est bien ! » Elle aime bien ça mais pas trop non plus où elle se perd ne sachant pas sur quel pied danser.  « enfin au nom du boulot hein ! » Elle rit légèrement et hoche la tête négativement. «  Mon casier est vide mais si au nom du boulot, tu veux vérifier je t'en prie » Pas une amende, rien ... La fille Bradford est clean sur papier. Dans la vie c'est autre chose. Elle a ses tares comme tout le monde. Son chef lui sert d'alibi pour la cheville du flic.  « c’est pas très jolie ce que tu dis sur lui… »  Son visage affiche un sourire en coin «  Et je l'aime bien lui ! Donc imagine ce que je pourrais dire sur quelqu'un que je porte pas dans mon coeur » Bien entendu qu'elle parle de lui sans le mentionner. C'est plus drôle que de suite mettre le point sur sa personne.  « Enfin je te rassure, tu tomberas sous le charme aussi. » Une grimace se joint à son soupir agacé. « Va falloir te faire à l'idée que je ferais pas partie de ton tableau de chasse » Il doit être rempli de noms en tout genre et elle a pas envie d'être un nom de plus sans importance. Elle est pas farouche en soi la brune mais se retrouver dans celui de ce Sanders, elle veut pas. Et encore moins quand il clame haut et fort qu'elle y sera. Il a voulu partir se coucher mais c'était sans compter sur elle pour lui faire barrage tenant bien à accomplir la tâche qui l'a fait entrer dans cette demeure. Il veut la pousser dans ses retranchements en jouant la carte de la drague. Que grand bien lui fasse, elle jouera dans son jeu jusqu'au moment de dire stop car non, elle ira pas au bout. Assez loin pour arriver à ses fins mais c'est tout. Il est beau gosse, elle dira pas le contraire bien que trop énervant.  « Oserai-tu émettre mes talents en doute ? » Elle penche son visage sur le côté avec un léger sourire «  Totalement » Il y croit vraiment à ce qu'il dit ou il joue aux cons ?« crois-moi que si j’ai envie, je pourrais parfaitement te mettre dans mon lit ! » Elle roule des yeux «  Je voudrais bien voir ça » Mais ta gueule Dylane, tu t'enfonces ! Elle vient d'ouvrir une porte alors qu'elle voulait pas. C'est plus fort qu'elle, faut qu'elle rétorque. Rester là à elle le laisser parler, elle peut pas et des fois elle devrait. Faut qu'elle chasse cette idée de partout. Sa main se pose sur sa jambe, elle veut passer aux choses sérieuses concernant son pied et partir. La main du flic se pose sur la sienne. Son regard se pose sur celles-ci puis sur lui. Elle se laissera pas démonter et c'est pas ce geste anodin qui va la faire fuir. Il en faudra plus ... Ou alors elle a peut-être pas envie de partir. « J’ai tout mon temps tu sais, tu craqueras avant moi… » Il la défie encore une fois. Elle se mord la lèvre tout en le regardant «Je suis pas pressée non plus. » Lance-t-elle alors que ses yeux se plongent dans les siens. Sa main libre lâche la bande et vient se glisser dans les cheveux du brun. » Mais tu sais que si tu te laisses faire, tout pourrait très vite rentrer dans l'ordre et comme bonus tu serais débarrasser de moi » Elle aurait pu dire ça sans faire ce geste qui diminue encore la distance entre eux. Seulement il a commencé ce nouveau jeu et elle ne peut faire autrement que de le continuer ... Elle a envie aussi de jouer bien qu'elle ne finira pas dans ses draps. C'est tout ce dont elle est certaine.
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Dernière édition par Dylane Bradford le Lun 3 Aoû 2020 - 20:37, édité 1 fois
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Il aurait aimé être indifférent à sa venue, être quelqu’un qui s’en fiche royalement, mais en réalité, ce n’était pas le cas, et si elle l’ignorait, lui ce n’était pas le cas. Est-ce que ça a le don de l’agacer ? Très franchement oui. Parce que ce jeu est complètement idiot, et même le flic à la grande langue bien pendue le voit, et le considère comme tel. Mais il n’a pas le choix que de poursuivre dans sa voix, dans sa lancée parce qu’Elias n’a pas appris à faire demi-tour, il est un passionné dans l’âme, et ce qu’il fait, c’est avec le cœur. Qu’importe si c’est bien pour lui, ou deux d’en face, il n’est pas prêt à admettre qu’il pourrait perdre. Qu’il accepterait de perdre une énième fois, face à une femme, sans réellement se douter de l’ampleur de ce jeu. Elle n’était pas la première et ne serait sûrement pas la dernière à se perdre avec lui, dans un jeu stupide mais si attirant. Il ne le fait pas exprès, il est comme ça Sanders. Sur le pas de la porte de l’appartement il parle de gâteau, de cadeau, de ce qui est censé faire une femme ou un homme, rien de méchant en soit, sauf quand il fait sa vanne habituel sur les tâches des femmes dans notre monde. Sa sœur l’entendrait, elle aurait envie de le baffer, d’ailleurs elle doit être en train de l’étrangler dans sa tête, mais qu’importe elle est censé dormir. D’ailleurs c’était prévu pour le flic avant que Dylane ne débarque et ne perturbe une nouvelle fois sa routine. «  Si cela en est pas une pourquoi tu te justifies ? J'ai rien demandé » Il hausse les épaules, le gamin en lui aurait envie de lui tirer la langue, manquant de réparti tout à coup, parce que clairement il allait s’enterrer de nouveau. S’enfoncer une nouvelle fois pour ses beaux yeux, et ça l’insupportait ! « Je me justifie pas ! Je préfère être clair avec toi avant que tu te fasses des films. » Qu’il avoue bien que l’idée qu’elle se fasse des films ne le déranger pas vraiment, mais Dylane ne serait pas du genre à le lui dire. Evidemment que non… Il n’en doute pas une seconde Elias. « Elle aurait pu les faire et je t'en aurais donné un ... » Il arque un sourcil, elle est sérieusement en train d’émettre l’hypothèse qu’elle partagerait un bout d’un gâteau avec lui. Oula il avance plus qu’il ne pourrait l’espérer. « On en est déjà à ce stade ? » Il cligne des yeux, un sourire pourtant se dessine au coin de ses lèvres, « je savais pas que je te faisais autant d’effet ! » Tout, mais absolument tout part en cacahuète et il est évident que pour que Elias redescende les pieds sur terre, ça allait être compliqué. Fallait pas lui donner autant d’importance à Sanders, il se lasse vite… «  Mon casier est vide mais si au nom du boulot, tu veux vérifier je t'en prie. » Au nom du boulot, à bon entendeur ! Et ça le fait sourire légèrement qu’elle le lui fasse remarquer. « Et je l'aime bien lui ! Donc imagine ce que je pourrais dire sur quelqu'un que je porte pas dans mon coeur » Qu’elle avoue en se retournant à présent dans l’appartement, il relève ses yeux sur elle, une grimace se lit sur son visage avant qu’il avoue, « et je me demande sérieusement si on peut l’imaginer… » Il fait mine de chercher avant de rétorquer, « enfin heureusement je suis pas dans le lot. » Evidemment… «  Va falloir te faire à l'idée que je ferais pas partie de ton tableau de chasse » Il hausse les épaules, presque déçu d’entendre ça. « Tu vas heurter mon cœur fragile… » Une petite mine, une voix presque trop douce pour être réellement sincère, il pourrait gagner les oscars, le flic. « Vous êtes beaucoup à le prétendre, j’ai pas de raison de m’affoler… » Franchement, en aurait-il ? Sans doute pas. Pas à voix haute en tout cas. «  Totalement, je voudrais bien voir ça ! » Ca ne ravive que davantage ce jeu entre eux, un jeu pour lequel, rien n’avait été prévu. Une ambulancière venant à la rescousse à un accident de voiture lors de course illégale – bien qu’elle ne se doute pas de ce petit détail, aurait tendance à faire sourire. Surtout pour un homme comme Sanders, fier et imbus de lui-même, n’acceptant pas les mains tendues en sa direction. Elles sont souvent empoisonnées ! « Pari tenu ! » Et il regrette à la seconde même sa phrase mais son égo parle, au-delà de n’importe quoi d’autre. «  Je suis pas pressée non plus. Mais tu sais que si tu te laisses faire, tout pourrait très vite rentrer dans l'ordre et comme bonus tu serais débarrasser de moi » Il fronce les sourcils quand il sent sa main dans ses cheveux mais si elle croit qu’il va reculer, elle se trompe ! « Qu’est-ce que t’essaye de faire ? » L’amadouer ? Parce qu’elle pense que ça pourrait fonctionner ? « Faut croire que je m’habitue à ta présence et à tes piques… » Quel beau parleur ce Sanders, un peu trop d’ailleurs pour rompre si facilement ce jeu dans lequel ils s’enferment sans même s’en rendre compte. Qui ne semblent pas vraiment prêt à craquer pour la voir déguerpir. « De toute façon même si t’arrives à me foutre ton truc là, rien ne te dis que je l’aurai pas retiré à peine passer la porte… » Qu’il avoue en montrant d’un signe de tête la bande posée au côté de la jeune femme. Une manière pour lui, de dire que la revoir ne le dérangerait probablement pas autant qu’il n’en laissait paraître, sans réellement l’avouer de vive voix… Fallait pas abuser quand même !
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Message(#)(dylias) parfois je me plante entre l'amie et l'amante - Page 2 EmptyLun 3 Aoû 2020 - 20:41

@Elias Sanders & Dylane Bradford
Parfois je me plante entre l'amie et l'amante
Après l'avoir déposé à l'hôpital, elle en était débarrassée ... Ca aurait pu en être de même si elle avait juste fait ce qu'on avait lui demandé. Non, il faut qu'elle entre dans ce jeu. Ne pas lui répondre serait s'avouer vaincue et elle a pas envie la brune. Et plus il s'agace et et plus elle en redemande. C'est une partie sans fin qui s'annonce si seulement elle a envie d'y mettre un terme. Ce n'est pas le cas même si elle va pas l'admettre poussant le vice à faire croire que c'est lui le seul investigateur de ce qui passe. Après tout, il a commencé non ?! Elle l'a cherché aussi et elle est forcée de l'admettre à soi-même. Pas à lui. Elle lui fera pas cette honneur la demoiselle. A vrai dire, elle sait pas trop dans quoi elle s'aventure bien qu'elle connaisse ses limites. Elles ne sont pas encore atteintes donc elle peut s'amuser encore un peu. Le voilà occupé de faire son matcho en prétendant qu'une femme doit savoir cuisiner bien qu'il se perd en disant qu'heureusement il sache le faire. Ca sonnerait presque comme une invitation à se revoir. Et elle ne loupes pas l'occasion de lui en faire part. Et puis il se justifie alors qu'elle a rien demandé. Bien entendu, il se laisse pas faire. Cela aurait étonnant en soi. « Je me justifie pas ! Je préfère être clair avec toi avant que tu te fasses des films. » Il pense vraiment qu'elle va le croire là de suite. Non non, elle a bien entendu sa phrase. Chiante, sale caractère et tout ce qu'on veut mais pas stupide. « C'est toi qui a parlé de gâteau et cadeau et ensuite que tu savais cuisiner, donc tu t'es fait film tout seul » Et boom ça relance mais à juste titre tout de même. Elle va pas admettre non plus que l'idée ne lui est pas totalement déplaisante. Parler de gâteau lui fait de suite penser à sa voisine, elle les fait si bien. D'ailleurs, ses collègues en raffolent dés qu'elle en apporte. « On en est déjà à ce stade ? » Son regard se pose sur lui alors qu'un sourire prend place sur les lèvres du flic.  « je savais pas que je te faisais autant d’effet ! » Sans le lâcher du regard «  Ho pardon, je pensais au gâteau en fait, pas à toi ! » Est ce qu'elle serait capable de se ramener un jour avec un des cupcakes ?! Peut-être mais juste pour qu'il voit ce qu'il rate. Il peut bien aller vérifier son casier ou chercher des infos sur elle, elle s'en fout royalement. Il sera déçu de ne rien trouver en soi. Enfin si il peut tomber sur l'accident de son frère mais ça, c'est pas une trouvaille vu qu'elle en a, malgré elle, parlé. Mettre tout sur le dos d'autrui l'arrange bien pour le coup. Même si elle compte pas dire à son chef qu'elle s'est servie de lui. "et je me demande sérieusement si on peut l’imaginer… » Vaut mieux pas qu'il imagine. Elle est gentille là Dylane mais elle peut mordre et pas qu'un peu. « enfin heureusement je suis pas dans le lot. » Un sourire prend place sur ses lèvres «  Non, toi t'es dans la catégorie en dessous de ceux que j'aime pas ! C'est pire » Rien à faire, il reste persuadé qu'elle est attiré par lui. Elle aurait pu physiquement parlant mais non, elle veut pas de lui.  « Tu vas heurter mon cœur fragile… » Comme si ça pouvait lui faire quelque chose et surtout comme si elle le croyait. Pas du tout. Il est pas crédible et il  le sait. Il joue encore et toujours en pensant qu'elle va gober ses paroles comme une grenouille gobe les mouches. « Vous êtes beaucoup à le prétendre, j’ai pas de raison de m’affoler… » Suite à cette phrase, son regard fait le tour de la pièce «  Elles sont bien cachées tes prétendantes ou ... «  Ses yeux fixent l'étage «  Elles t'attendent bien sagement dans ton lit » Qui sait ?! Après tout, elle a débarqué des heures après et elle l'empêche peut-être de tirer son coup. Si c'est le cas, tant mieux, ça lui fera les pieds ! Remettre ses talents de séducteur, c'est fait mais pas sans risque vu qu'elle demande à voir. Grosse erreur. « Pari tenu ! » Bizarrement, elle n'en attendait pas moins de lui. Il faut toujours qu'il prouve qu'il est le meilleur et ce domaine en fait partie bien entendu. Son bras est derrière elle, sa main rejoint celle qu'elle a posé sur sa jambe et elle enchérit en glissant une main dans ses cheveux. L'amadouer, voilà ce qu'elle essaye de faire. Le flic est pas con et s'en rend vite compte. Il est tard, la fatigue est présente donc niveau subtilité, Dylane repassera. « Qu’est-ce que t’essaye de faire ? » Elle hausse les épaules « Je joue comme toi tu le fais » Ca c'est dit ! Au moins, il comprendra qu'il n'y a rien de sérieux dans ses gestes. S'il veut qu'elle parte, elle lui fait comprendre que le moyen est simple en soi mais qu'autrement, elle bougera pas ses fesses de ce divan. « Faut croire que je m’habitue à ta présence et à tes piques… »  C'est bien sa veine ça. «  Et après tu vas encore dire que je me fais des films » Elle roule  des yeux la brune. Bien qu'elle va peut-être finir par s'en faire réellement. « De toute façon même si t’arrives à me foutre ton truc là, rien ne te dis que je l’aurai pas retiré à peine passer la porte… » Juste, elle va pas rester la indéfiniment pour contrôler ce qu'il fait. «  J'aurais fait mon job, le reste je m'en fous ! Tu crois quand même pas que je vais passer tout les jours vérifier si la bande est toujours là ? Ce serait te donner une importance que tu n'as pas » Bien que ... Elle lui a déjà donné une sorte d'importance en étant là et ne voulant pas décamper. Les phrases autant de l'un que de l'autre sont remplies de faux semblant et démêler le vrai du faux n'est pas une tâche aisée. Sa main quitte ses cheveux qu'elle s'est surprise à caresser pour rependre ladite bande en mains. Son regard se pose sur lui alors qu'elle penche sa tête sur le côté «  Toujours pas décidé ? Si tel est le cas, autant que je pique un somme dans ton divan hein » Dit-elle tout en appuyant sa tête contre celui-ci ayant presque oubliée la présence de son bras qui est peut-être un peu trop confortable d'ailleurs ...
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Dernière édition par Dylane Bradford le Mar 4 Aoû 2020 - 18:49, édité 1 fois
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Le monde lui offre tant de surprise alors qu’il ne supporte pas être au centre des attentions, pas dans ce cas-là, Elias est du genre à trop aimer sa solitude, et rester en retrait dans son coin. Mais ce jeu devient complètement hors de contrôle même pour lui, qui est du genre à tout vouloir maîtriser. Jusqu’à ses relations. Il ne comprend pas vraiment d’où lui sort ce besoin de lui parler de cadeau, mais comme tout le monde, il aime en recevoir, c’est une manière pour lui d’être dans la dérision la plus totale alors qu’il y a quelques heures de ça, il soupirait à tout va en cherchant à la faire fuir. Mais comme lui, dans le domaine du boulot, elle semble savoir ce qu’elle veut, et tout faire pour l’obtenir. « C'est toi qui a parlé de gâteau et cadeau et ensuite que tu savais cuisiner, donc tu t'es fait film tout seul. » Elle veut toujours avoir le dernier mot, et ça l’agace le flic, parce que lui aussi est de ce genre-là, alors forcément ça clash bien rapidement. Mais en réalité une part de lui est quand même amusée. « Et je t’ai dit que ce serait pas une invitation pour que tu viennes manger… » Il rectifie, un sourire en coin, la titillant. Ils en sont là ? L’atmosphère est devenue étrange quand même. Et quand il prend un compliment qui lui est destiné – ou pas, pour lui, elle remballe illico ses paroles. « Ho pardon, je pensais au gâteau en fait, pas à toi ! » Il lève les yeux au ciel, fallait pas qu’elle lui fasse à l’envers, il sait très bien ce qu’il a entendu mais forcer serait se contenter de sa phrase et surtout vouloir qu’elle lui porte plus d’attention, et en cela c’est inutile de dire qu’il n’est pas prêt. « Reclassé derrière un gâteau au chocolat, c’est triste la vie… » Qu’il avoue, argumentant avec une moue sur son visage visible, « je crois qu’il y a bien pire… » Il hausse les épaules, il y a forcément pire. « Non, toi t'es dans la catégorie en dessous de ceux que j'aime pas ! C'est pire » Il pouffe légèrement, parce que franchement ça dépend pour qui… « Qui te dit que cette place ne me conviendrait pas ? » Est-ce qu’il avait une tête à y apporter de l’importance ? Il lui avait bien prouvé sa bonne foi dans la ruelle de fortitude valley pourtant, que les gens et lui ça ne fait pas bon ménage. Installés sur le canapé, il n’en bouge toujours pas. Il lui suffirait pourtant pas grand-chose pour se lever et la laisser en plan. « Elles sont bien cachées tes prétendantes ou ... Elles t'attendent bien sagement dans ton lit » Son visage s’illumine par un sourire bien trop radieux pour que ça ne cache rien derrière. « Fais gaffe tu vas peut-être avoir une horde de harpie qui vont débouler dans le salon pour que tu me relâches… » La vie est faite de pleine de surprise et très honnêtement cette scène le ferait rire mais il sait que c’est impossible. Bien qu’elle pourrait parfaitement recevoir des messages de ses anciennes conquêtes pour dire à Dylane de ne pas trop s’attacher à lui, de ne pas trop rester avec lui. Qu’il n’apporte que malheur, qu’il n’est qu’un menteur doublé d’un ego surdimensionné. Et d’ailleurs, il ne s’en cache pas vraiment, profitant avec légèreté du corps des femmes sans y voir une once de scrupule. « Et je suis certain que ça t’effraie même pas… » Une moue peu satisfaite au coin de ses lèvres, « Je joue comme toi tu le fais » Il arque un sourcil, dans ce domaine elle ne donne pas son reste, « et après tu vas encore dire que je me fais des films » Il lève les yeux au ciel, « peut-être parce que c’est le cas… » Il hausse les épaules, d’un air indifférent. Mais ce n’est sûrement qu’une façade. « J'aurais fait mon job, le reste je m'en fous ! Tu crois quand même pas que je vais passer tout les jours vérifier si la bande est toujours là ? Ce serait te donner une importance que tu n'as pas. » Et encore heureux qu’elle n’est pas prête pour lui donner cette importance, c’était pas ce qu’il demandait, enfin pas vraiment non. D’ailleurs, il n’attendait pas grand-chose à part qu’elle lui rende son portable. « Toujours pas décidé ? Si tel est le cas, autant que je pique un somme dans ton divan hein » Et elle laisse sa tête tomber sur le dossier du canapé. Fermant un peu les yeux – c’est du moins ce que pense Elias sans vraiment y accorder plus d’attention. Il se redresse légèrement, récupérant sa jambe avant de la pousser par le bras, d’un air taquin, « va peut-être falloir me filer mon portable… » Il n’a pas oublié qu’elle lui a kidnappé son portable et ça commence à lui manquer, « tu ruines ma vie sentimentale là… » Et peu importe si c’est vrai ou pas, il n’était pas question qu’elle s’endorme là, il la réveillera en fanfare sinon.
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@Elias Sanders & Dylane Bradford
Parfois je me plante entre l'amie et l'amante
C'est qui étonne grandement la brune en ce moment est que le flic ne lui ai pas encore dit de dégager. Ce qui aurait été logique en soi surtout vu son attitude quand elle est arrivée pour le soigner. A croire que ce jeu est plus important à ses yeux. Bien qu'elle ait beaucoup de mal à la cerner. Elle tente mais en vain, il brasse le chaud et le froid à la fois. C'est déstabilisant mais est ce qu'elle est mieux que lui dans le domaine ? Pas vraiment donc elle peut pas trop lui reprocher. Tout ça, elle le garde pour elle. Être un livre ouvert n'est pas compatible avec l'ambulancière. Des gâteaux, des cadeaux, un anniversaire ... Conversation qui se veut dérisoire au total. Et après il dit qu'elle se fait des films bon un peu. Bien qu'elle ne soit pas certaine que tout est un film. Rétorquant à la moindre des phrases, elle s'amuse à essayer de le démonter. Pas facile avec un type pour qui gagner est le seul but dans la vie. La vie n'est pas comme ça, faut savoir perdre et apprendre de ses erreurs. Dylane le sait bien qu'elle aime tout autant la victoire que celui-ci. « Et je t’ai dit que ce serait pas une invitation pour que tu viennes manger… » Il insiste un peu trop à son goût. Ses yeux dévient sur ce sourire qui l'agace tant mais lui va si bien à la fois. «  De toute façon, j'aurais décliner l'invitation. » Elle hausse les épaules. Ca l'affecte pas plus que ça. Une dîner avec lui, ce serait juste de la torture. Et dans tout les sens du terme. Il prend trop ses désirs pour la réalité. La brune pensait au gâteau pas à lui enfin pas tout à fait. Et puis les gâteaux de sa voisine sont bien trop bon pour qu'elle en donne à n'importe qui, ça se mérite un tel chef d'oeuvre culinaire.  « Reclassé derrière un gâteau au chocolat, c’est triste la vie… » Pour seule réponse elle lève les bras en l'air non sans remarquer cette moue qu'elle a bien vu trop souvent depuis son arrivée devant cette porte. « je crois qu’il y a bien pire… » Que répondre à ça ? Qu'il a raison ? Certainement pas. Voilà qu'elle le classe en dessous de ceux qu'elle aime pas. Connerie qu'elle vient de faire et elle s'en rend compte à sa phrase.  « Qui te dit que cette place ne me conviendrait pas ? » Un soupir sort d'entre ses lèvres qui se pincent. Elle vient de lui donner une sorte d'importance en le mettant à part alors que son but était de le descendre. Ce flic trouve toujours un avantage dans ce qu'elle dit et c'est usant à force. «  Si t'aimes être plus bas que les autres, c'est ton choix » Elle va pas se laisser démonter pour autant. Lui qui prétend pouvoir mettre toutes les filles dans son lit, elle trouve que c'est assez vide de présence féminine dans le coin. Ho, elle a bien remarqué des chaussures de filles mais il a parlé de sa soeur tout à l'heure donc elle se doute que ça doit lui appartenir. « Fais gaffe tu vas peut-être avoir une horde de harpie qui vont débouler dans le salon pour que tu me relâches… »  Elle rit la brune tout en secouant la tête. Cette vision tellement improbable. Lui entouré d'un harem, c'est juste pas possible. Non, elle le voit pas ramener des filles ici alors qu'il vit pas seul. Ce serait pas logique en soi. « Et je suis certain que ça t’effraie même pas… » Elle tapote sa jambe sur laquelle sa main est posée «  Et tu as raison vu que je ne te retiens en aucun cas. » Non, elle détient son portable et encore ... Mais lui pas du tout. Il n'a qu'à se lever pour la laisser en plan. Il ne le fait pas, elle va finir par penser qu'il apprécie sa compagnie. Avouer qu'elle joue tout comme lui semble normal mais il lève les yeux au ciel. A force de le faire, il va finir bloquer le flic. Il aurait l'air bien comme ça. « peut-être parce que c’est le cas… » A son tour de rouler des yeux, ils sont presque pareils, c'est perturbant. «  C'est toi qui dit que tu t'habitues à moi, j'en demande pas autant vu que je compte pas te revoir » Non, elle voit pas de réelles raisons de le revoir de toute façon. Et si elle vient à le croiser, pas certaine qu'elle lui dise bonjour. La brune s'impatiente un peu, elle aimerait pouvoir faire son job et repartir, la fatigue l'emporte et elle se surprend à poser sa tête sur le divan. Bien qu'elle ne ferme pas totalement les yeux. Trop risqués qu'elle s'endorme réellement. « va peut-être falloir me filer mon portable… » Un léger sourire prend place sur ses lèvres alors qu'elle retient sa jambe «  Tatata, elle reste ici elle » Dit-elle tout en la retenant et prenant le bandage entre ses mains. Profitant un peu, beaucoup, du changement d'humeur, elle l'enfile autour de son pied faisant semblant de rien. « tu ruines ma vie sentimentale là… » La tâche presque finie, elle tourne son visage vers lui «  Pauvre chou, tes prétendantes sont déjà en manque de toi ou c'est le contraire ? » Et hop, elle a réussi même si elle craint que tout cela n'ait servi à rien. Le flic est bien capable de s'en défaire une fois qu'elle aura le dos tourné. Tant pis, elle aura fait son devoir et non sans mal. «  Et ton portable, ça fait longtemps qu'il est posé sur la table » Qu'elle montre du doigt caché derrière un bandage. Donc s'il avait ouvert les yeux un peu plus, il aurait pu le récupérer sans soucis. Espiègle la brune, elle l'a placé là en revenant de la salle de bain. Un sourire trône sur son visage autant car elle a réussi que parce qu'elle l'a berné. Il ne va pas apprécier mais c'est le but. «  Bon ton canapé est bien confortable mais je préfère largement mon lit » Elle ne citera pas son bras même si elle n'en pense pas moins. Flatter son égo, c'est pas son but. Elle se lève et s'étire doucement tout en se dirigeant vers la porte. «  Fais de beaux rêves et pense pas trop à moi surtout » Dit-elle en lui faisant un clin d'oeil pour ensuite tourner la poignée. Elle est sur le départ. Elle devait rester cinq minutes à tout casser et là, le jour arrive ... La journée risque de piquer aussi bien pour l'un que pour l'autre.  
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Il n’aurait jamais pensé tenir aussi longtemps auprès de la jeune femme, Elias, et il est évident que si on le lui avait dit, il aurait rigolé au nez de la personne tant ça lui aurait paru impossible. Un début chaotique parce que ni l’un ni l’autre ne voulait lâcher prise, et renoncer à avoir le dernier mot. Ca restait impensable pour le flic, il aime la compétition, il aime quand on lui résiste et quand on lui tient tête, et elle semble l’avoir compris Dylane, parce que c’est ce qu’elle fait. Ils sont encore à parler de leur cadeau et gâteau, ils veulent là-dessus aussi avoir le dernier mot, et perdre le bousillerai. «  De toute façon, j'aurais décliner l'invitation. » Non mais sérieusement ? Il fronce les sourcils, ne voulant pas rester sur cette note, avant de finalement l’ouvrir, et peut-être qu’il ferait mieux de se la fermer un peu, de tourner sa langue sept fois dans sa bouche avant de parler, non ? « Pour ça, il aurait fallu que j’t’invite ! » Et même pas en rêve. Même pas si c’est la dernière femme sur la terre ! C’est ce qu’il aurait envie de lui dire, parce qu’il le pense, dur comme fer. « Si t'aimes être plus bas que les autres, c'est ton choix » Il soupire légèrement en haussant les épaules, qu’elle ne s’inquiète pas pour lui, il ne reste jamais bien longtemps sans proie, il est plutôt du genre à plaire. Et même si ça ne dure que souvent quelques heures, Elias n’a jamais désiré plus. Laissé entrer une femme dans son périmètre n’est pas son style. Jusqu’à preuve du contraire, Freya a toujours réussi à s’immiscer entre ses prétendantes et lui lorsqu’une s’intéressait trop à lui, et finalement ça l’arrangeait pas trop mal. Il n’a jamais vraiment souffert en amour, pas en dehors de la disparition soudaine de la Doherty. Bien qu’il ne l’avouera jamais ! « Et tu as raison vu que je ne te retiens en aucun cas. » Il hausse les épaules, encore heureux personne ne le retient et ne le retiendra jamais. «  C'est toi qui dit que tu t'habitues à moi, j'en demande pas autant vu que je compte pas te revoir, » là au moins il est d’accord avec elle ! « Aucune chance ! » Pourquoi devraient-ils se revoir d’ailleurs ? Il n’y a aucune raison à cela. Ils ont bien passé plus de vingt ans sans se croiser et puis c’est pas une femme qui va décider pour lui, vaut mieux sans aucun doute que leur chemin s’achève là. Ils sont bien trop semblables, ce serait bien trop explosif entre eux. Alors qu’il voulait se redresser, et récupérer sa jambe, elle la retient. «  Tatata, elle reste ici elle » Non mais c’est pas possible, pourquoi on le colle toujours avec des folles ? Entre sa co-équipière Serinda, et elle, ambulancière, il n’avait pas de veine Elias. Et quand elle finit par lui mettre la bande, il la regarde, arquant un sourcil. Sérieusement, elle est contente, enfin ? « Ca y’est t’es contente ? Tu vas pouvoir le noter sur ton calendrier ?! » Il est blasé Elias et ça se voit, ça s’entend, il finit du coup par lever la jambe pour poser le pied par terre. «  Pauvre chou, tes prétendantes sont déjà en manque de toi ou c'est le contraire ? » Rêve pas … « T’en fais pas pour moi, je survivrai… » Manquerait plus l’inverse maintenant. « Et ton portable, ça fait longtemps qu'il est posé sur la table » Hein ?! Il se tourne brusquement pour regarder la table basse. « Putain, tout ça pour rien ! » Il se l’était farci pour ça au final ? Sérieusement ? « Bon ton canapé est bien confortable mais je préfère largement mon lit » C’est pas l’hôtel ici… Mais elle se lève et il soupire. « Fais de beaux rêves et pense pas trop à moi surtout » Il pouffe, elle rêve là… « Ca risque pas, ou je t’aurai tué 36 fois dans mon cauchemar. » Cauchemar, Elias est-ce bien sûr ? Et la porte se referme derrière la silhouette de la brune alord qu'Elias est déjà en train de retirer son bandage pour aller se coucher.


FIN
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