| | ÂGE : des milliers d'années, mais je suis bien conservé. STATUT : marié au hasard. MÉTIER : occupé à pimenter vos vies, et à vous rendre fous (a). LOGEMENT : je vis constamment avec vous, dans vos têtes, dans vos esprits, et j'interviens de partout, dans vos relations, dans vos joies, vos peines. POSTS : 31460 POINTS : 350 TW IN RP : nc PETIT PLUS : personne ne sera épargné, c'est promis les chéris. AVATAR : je suis tout le monde. CRÉDITS : harley (avatar), in-love-with-movies (gif) DC : nc PSEUDO : le destin. INSCRIT LE : 15/12/2014 | (#)Lun 22 Juin - 18:50 | |
| Le membre ' Colleen Sainsbury' a effectué l'action suivante : Lancer de dés
'dé action' : |
| | | | (#)Lun 22 Juin - 18:55 | |
| Rira bien qui rira le dernier, hen Epstein? Parce que ouais, il s'est clairement joué un sale tour Jack, quand il réalise que I drove all night est resté prise dans sa tête encore et toujours, quel bordel. C'est même pas sa préférée de Céline, c'est ça le pire, il aurait dû y aller avec quelque chose de bien plus vintage, de bien plus classique, mais il a fait dans le cliché le canadien, et il s'est tendu lui-même son propre piège. Bien fait.
« Mais je me plie volontiers à cet exercice, cher ami » et quand Colleen se prête au jeu, il est si attentif que c'en est presque attendrissant. « J’ai certainement plus de ressources que tu pourrais l’imaginer » sa voix les guide, elle qui s'applique, elle qui fronce adorablement du nez à chaque nouveau mot qu'elle ajoute à ses phrases. Elle est mignonne la brune, et probablement que s'il lui disait elle prendrait mal, la femme forte qu'elle est n'en ayant sûrement rien à faire, qu'il la catégorise ainsi. Mais c'est dans un moment aussi simple qu'il se dit que même s'ils ne survivent qu'à deux semaines d'aventure, ils ont marqué un lien qui restera dans leurs vies envers et contre tout, tous les deux. « Apparemment Jack à côté de moi est en manque de Céline. Elle lui manque terriblement. Je ne comprends vraiment pas cette addiction, tu ne connaîtrais pas un antidote ? Je ne suis pas sûre de le supporter encore bien longtemps »
Une véritable reine, qu'il pense hilare, quand ils finissent par être déposés en bordure de la route. Les 19h tapantes ne sont pas encore là, il leur reste encore une poignée d'heures, il se sent chanceux quand il tourne la tête vers elle et demande un enfantin « Vérité : c'est quoi le truc que t'aurais envie de manger, là de suite, si t'étais au paradis de la bouffe? » s'ils ont réussi à trouver un véhicule pour les amener ici, peut-être trouveront-ils de quoi manger aussi. |
| | | | (#)Lun 22 Juin - 19:13 | |
| Louis lui manquait déjà. C’était idiot, ça n’avait aucun sens, mais force était de constater qu’elle s’était attachée à sa bonhomie naturelle en l’espace d’une heure seulement. Race of Australia, la course des rencontres. Pour le moment, Jack et Colleen n’avaient pas eu beaucoup de chance à ce jeu. Les types qu’ils avaient croisés n’étaient pas toujours très agréables, et même le moine tibétain du premier jour ne leur avait pas offert le gîte sans contrepartie – il n’avait eu aucun scrupule à les forcer à récurer les toilettes, le moine.
Mais Colleen avait bien eu raison de ne pas désespérer car Louis venait de briser la malédiction. Louis avait été leur sauveur, et ce à bien des niveaux. Elle lui fit de grands signes avant de se retourner vers son coéquipier, dont le regard rêveur était posé sur elle. Il choisit vérité, et lui demanda ce qu’elle rêverait de manger si elle pouvait choisir, s’ils étaient au paradis de la bouffe, pour reprendre ses propres mots. Facile. « Des macarons » S’exclama-t-elle, rêveuse elle aussi. « Ou n’importe quelle pâtisserie française, à vrai dire. Je ne suis pas difficile. Mais les macarons, ça j’avoue que ça m’envoie du rêve ». Malheureusement, elle doutait trouver ce genre de sucreries au fin fond de l’Australie. « Tu as faim ? » S’enquit-elle. Elle-même résistait plutôt bien au manque de nourriture, mais elle pouvait comprendre que cela puisse tourmenter Jack. Alors elle extirpa les billets de sa poche et les brandit sous ses yeux. « Je ne pense pas qu’on soit particulièrement en retard aujourd’hui, alors si tu veux faire une pause pour trouver quelque chose à manger, je te suis ». De toute façon, elle n’avait pas vraiment besoin de l’affirmer : elle le suivait depuis le début et n’avait pas l’intention de s’arrêter en si bon chemin.
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| | | | (#)Mar 23 Juin - 16:00 | |
| « Des macarons » elle le fait rêver, elle le fait revenir en arrière, quand sa voisine française en cuisinait les dimanche, qu'ils embaumaient la rue en entier, ses macarons cuisinés dans sa petite cuisine de bourgade de fils de parents dans l'armée, à Whitehorse. « Ou n’importe quelle pâtisserie française, à vrai dire. Je ne suis pas difficile. Mais les macarons, ça j’avoue que ça m’envoie du rêve » il adorait ceux au citron et pavot, il adorait ceux à la vanille aussi, les classiques. Un homme de peu de complexité Jack, un homme tout en simplicité. « Tu as faim ? » « Affamé. Ton idée de macarons, c'est une tuerie. » il se moque, il sourit, il râle jamais quand son appétit se met au diapason de leurs aventures, mais aujourd'hui il paierait cher pour avaler un véritable repas qui ne consiste pas en conserves, en riz, en pâtes, ou en un mix des trois.
« Je ne pense pas qu’on soit particulièrement en retard aujourd’hui, alors si tu veux faire une pause pour trouver quelque chose à manger, je te suis » « On pourrait faire une pierre deux coups? »
Il propose, un coup d'oeil vers les billets qu'elle aligne, entamant la marche en direction du village à proximité. Du bout de ses baskets, il renvoie devant eux quelques cailloux, cassant les roches au passage et imaginant la suite comme un nouveau pèlerinage. « Prendre un truc à manger, un truc à boire. Se faire un vrai repas de célébration. » il a des idées de grandeur Jack, quand d'habitude il se contente de peu, si peu. « On a même pas pris le temps de célébrer qu'on est passés à la seconde semaine. » ils ont été si pressés de partir, de se dépêcher à suivre le groupe, qu'ils en ont oublié leur pacte : s'amuser. « On trouve ce qui ressemble le plus à des macarons, on agence ça avec un bon verre et on s'installe pour regarder le coucher de soleil. Tu veux? »
WIN : ON SORT LE CHAMPAGNE & LES MACARONS SO CLOSE : ON SORT LA BIÈRE & LES CROISSANTS FAIL : ON SORT LA PELLE & ON FAIT UN JEÛNE |
| | | ÂGE : des milliers d'années, mais je suis bien conservé. STATUT : marié au hasard. MÉTIER : occupé à pimenter vos vies, et à vous rendre fous (a). LOGEMENT : je vis constamment avec vous, dans vos têtes, dans vos esprits, et j'interviens de partout, dans vos relations, dans vos joies, vos peines. POSTS : 31460 POINTS : 350 TW IN RP : nc PETIT PLUS : personne ne sera épargné, c'est promis les chéris. AVATAR : je suis tout le monde. CRÉDITS : harley (avatar), in-love-with-movies (gif) DC : nc PSEUDO : le destin. INSCRIT LE : 15/12/2014 | (#)Mar 23 Juin - 16:00 | |
| Le membre ' Jack Epstein' a effectué l'action suivante : Lancer de dés
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| | | | (#)Mar 23 Juin - 16:24 | |
| Des macarons. Son péché mignon. Colleen n’avait pas particulièrement faim mais Jack était parvenu à lui mettre l’eau à la bouche avec sa question. A tel point qu’elle avait presque l’impression que des macarons dansaient devant ses yeux, preuve que ses hallucinations la guettaient toujours et qu’elle traînerait sa gueule de bois pendant encore un bon bout de temps. A vouloir jouer les piliers de bar jusqu’à pas d’heure, voilà ce qui arrivait. En cet instant, elle jura de ne plus jamais toucher à un mojito de sa vie. Une promesse qui durerait – au mieux – vingt-quatre heures.
Tous les deux emballés par l’idée des macarons, ils se dirigèrent vers le village le plus proche. Colleen n’était pas convaincue de pouvoir trouver ce genre de merveilles sucrées à proximité – il aurait fallu pour cela croire en un miracle – mais si ses estimations étaient correctes, ils n’étaient pas à la traîne dans la course et pouvaient se permettre une pause goûter tardive.
Jack lui fit remarquer qu’ils n’avaient même pas encore pris le temps de célébrer leur deuxième semaine de compétition et Colleen hocha la tête. A vrai dire, elle avait le sentiment de l’avoir déjà fêtée avec un peu d’avance lors de l’animation proposée par May deux jours plus tôt, mais elle n’y fit pas référence. « Sounds like a plan » Répondit-elle à Jack quand il lui proposa d’apprécier le coucher du soleil autour d’un modeste festin.
A leur arrivée dans le village, ils se mirent donc en quête de leur butin sucré. Comme Colleen l’avait prédit, les macarons étaient introuvables. Cependant ils trouvèrent du réconfort autour de deux croissants et une pinte de bière – la jeune femme avait laissé à son partenaire le monopole de la boisson alcoolisée, rien que l’odeur s’échappant de la choppe remuant ses entrailles d’une manière peu agréable. Le biper sonna. 19h. Pour une fois, ils ignorèrent complètement la vibration sur le bord de la table, perdus dans la contemplation de l’horizon rougeoyant. « On n’est pas bien, là ? » Demanda-t-elle à Jack. « Je choisis vérité » Ajouta-t-elle sans le regarder. « Si tu pouvais faire un vœu, là, maintenant, tout de suite… Quel serait-il ? ».
WIN : Le gérant du café propose de les héberger pour la nuit. SO CLOSE : Le gérant du café offre une deuxième chope à Jack. FAIL : Il pleut.
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| | | ÂGE : des milliers d'années, mais je suis bien conservé. STATUT : marié au hasard. MÉTIER : occupé à pimenter vos vies, et à vous rendre fous (a). LOGEMENT : je vis constamment avec vous, dans vos têtes, dans vos esprits, et j'interviens de partout, dans vos relations, dans vos joies, vos peines. POSTS : 31460 POINTS : 350 TW IN RP : nc PETIT PLUS : personne ne sera épargné, c'est promis les chéris. AVATAR : je suis tout le monde. CRÉDITS : harley (avatar), in-love-with-movies (gif) DC : nc PSEUDO : le destin. INSCRIT LE : 15/12/2014 | (#)Mar 23 Juin - 16:24 | |
| Le membre ' Colleen Sainsbury' a effectué l'action suivante : Lancer de dés
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| | | | (#)Mar 23 Juin - 19:25 | |
| Alors c'est la bière qui gagne, c'est la bière qui gagne et c'est avec elle qu'ils passeront le temps qu'il faut, le temps de bien se reposer et le temps de certainement penser à la suite. Elle les fait pas trop paniquer, la suite justement, elle aurait sûrement dû. Plus ils avancent dans la journée et plus ils semblent se dire qu'advienne que pourra. Jack a eu sa pinte et Jack est un homme de peu de besoins, Jack a pris le temps de se poser et Jack a le sourire collé au visage, les yeux qui dérivent par-delà le profil rieur d'une Colleen qu'il n'aurait pas échangée pour rien au monde en l'état. Elle a le don de le calmer bien plus qu'elle ne le réalise, et il faudra qu'il le lui dise à un moment ou un autre.
Pour l'instant, ce qu'il se dit, c'est qu'ils sont bien ici. Il sait même pas c'est où "ici", il se dit qu'il devrait le noter dans le guide des bleds pourris dans lesquels ils sont passés, pour en refaire un pèlerinage avec Colleen le jour où ils auront envie de se rappeler cette aventure. Elle est là la blague ; en auront-ils envie que les gens douteraient, que les gens mettraient en compte. Quand vraiment, lui, il n'y voit que du bon, que de beau. Les derniers rayons tapent encore un peu en fin de journée, ils ont eu de quoi se mettre sous la dent, de quoi se ravitailler aussi. Ils ont eu de la chance d'être arrivés là et ils ont eu de la chance d'être ensemble aussi. Ça lui suffit.
« On n’est pas bien, là ? » le soleil se couche doucement, leur journée se termine aussi éreintante qu'elle ait pu être. Son bras passe autour des épaules de la brune, il la ramène dans une étreinte qui a tout de protectrice et rien d'autre que pudique, fraternelle. « Je choisis vérité » il sourit, il aime bien lui dire la vérité, à Colleen. Elle est une oreille incroyable. Le temps qu'elle pense il lui pique un morceau de croissant, fait des miettes partout sur ses fringues à lui comme sur ses fringues à elle. « Si tu pouvais faire un vœu, là, maintenant, tout de suite… Quel serait-il ? » « De rester ici. De profiter un peu, d'ici. » ils ralentissent jamais. Ils se pressent toujours. Il veut lui montrer à elle, que leur calme vaut mieux que tout le reste, il en crève d'envie.
Demain, le gérant du café les amènera à bon port. Demain, ils reprendront l'aventure plus reposés et solides que jamais. Demain, tout ira bien. |
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