Brisbane n'est plus ... La fin du monde est présente à tout les coins de rues. Une expérience ratée a fait en sorte que les morts deviennent des zombies assoiffés de chaire humaine. Pourtant Isaac et Dylane sont toujours vivants et comptent bien le rester. Après avoir survécu à plusieurs attaques, avoir fait le plein de nourriture, ils sont à la sortie de Brisbane. Il ne leur manque qu'une seule chose, une voiture. Marcher, c'est bien mais là, ils en peuvent plus les deux. Des voitures à l'abandon, il y en a plein mais faut-il encore en trouver une qui démarre. La brune regarde d'un côté pendant que le brun regarde de l'autre. Elle teste tous les véhicules qu'elle peut trouver. «  Rhaaaaa c'est pas possible qu'aucune ne se mette en marche » Elle soupire las de tout ça mais elle ne peut pas abandonner, pas maintenant, pas si prêt du but. Surtout que selon les dires populaires, il y aurait un camp de survivants à Sydney. Faut qu'ils tentent leur chance là-bas. Dans tout les cas, cela ne peut pas être pire que dans leur ville natale ou encore le reste du monde. Elle teste une vieille voiture, un pick up qui a l'air d'avoir fait son temps. Elle a peu d'espoir et pourtant le moteur se met à ronronner. » Isaac j'ai trouvé «  Lance-t-elle toute heureuse de sa trouvaille. De suite, elle balance les sacs dans la benne arrière et grimpe sur le siège passager préférant largement laisser son ami conduire en premier. De toute façon, ils vont se relayer pour pouvoir dormir chacun leur tour. Et puis il leur faudra faire des escales pour chopper de l'essence aussi. Ce trajet ne va pas être un parcours de santé mais au moins, ils ne seront plus à pied et c'est déjà une belle avancée.

A défaut de m'être transformé en zombie, j'ai la sensation d'avoir endossé le rôle d'un robot. Continuellement en état de marche, perpétuellement à avancer quoi qu'il en coûte. Je suis intimement convaincu que demeurer au même endroit, prendre refuge dans un squat ou essayer de se créer un camp à Bribane constitue une peine perdue. La ville me paraît ravagée et en majeure partie occupée par des morts-vivants qui ne demandent qu'à transmettre leur pathologie à des êtres encore sains. J'ai croisés des zombies qui étaient jadis des proches, des amis, des collègues. J'ai d'ailleurs dû en détruire certains par légitime défense, et aussi parce qu'une partie de moi ne pouvait pas supporter voir des gens que j'aimais réduits à cette catégorie monstrueuse.

On a entendu parler d'un camp de réfugiés à Sydney, Dylane et moi. Je suis vraiment heureux de poursuivre cette fuite, cette route vers une vie plus ou moins normale vu les circonstances actuelles, avec la Bradford. On a fait le plein de vivres à mesure de dépouiller des dépanneurs et quelques maisons qui nous semblaient dénuées de présence néfaste. La route de Brisbane à Sydney étant longue, nous nous ambitionnons désormais de dénicher un véhicule. N'importe quoi, du moment que nous pouvons mordre les kilomètres avec un bolide.

Dylane tente les voitures stationnées sur la droite, j'arpente pour ma part celles de gauche. Avec une tige métallique, je fais sauter les loquets et je me permets de regarder si des éléments intéressants se trouvent dans les automobiles pour la suite de notre parcours. Je déniche quelques outils et un jerrycan remplis au quart. « Rhaaaaa c'est pas possible qu'aucune ne se mette en marche. » Il me semble que cela fait plus d'une heure qu'on cherche à démarrer un moteur, en vain. Je soupire doucement, encourage cependant : « Lâche pas, on va bien en trouver une... » Et quelques minutes après, Dylane tombe sur le gros lot. « Isaac j'ai trouvé, » elle m'annonce et je perçois le moteur d'un pick-up ronronner. « Yes bien joué ! J'ai trouvé un peu de fuel. » Je démontre le bidon et rejoins la vingtenaire. La camionnette a l'air d'avoir fait son temps mais elle nous sera très utile, j'en suis persuadé. « Il va être pratique, j'suis sûr, » je commente en tapotant la carcasse métallique. Nous glissons les affaires à l'arrière et je grimpe au niveau du siège du conducteur, Dylane à mes côtés.

« Bon, c'est parti... T'es prête ? » Je jette un coup d’œil complice à ma binôme. On a l'air tous les deux complètement ravagés par la fatigue, les combats, les fuites, mais on est bien vivants. Je m'engage sur la voie et lance avec entrain et optimisme : « Adios Brisbane ! » Curieux, j'appuie sur le bouton permettant de mettre en marche la radio. Peut-être y a-t-il encore des canaux en fonction ou bien des personnes qui tentent de communiquer de cette façon ?

dé win : Seuls des grésillements sont captés par la radio. Ils roulent durant plusieurs heures sans élément notable. Isaac a proposé à Dylane de se reposer puis attire son attention lorsqu'une station-service qui semble peu atteinte par l'invasion de zombies n'apparaisse sur leur droite. « On y jette un coup d’œil ? » demande-t-il.
dé so close : Des voix se font entendre via la radio mais il est très difficile de les capter de sorte à comprendre ce qu'il se dit. Ils roulent plusieurs heures, la fatigue se fait sentir mais Isaac n'abandonne pas, déterminé à mettre Brisbane autant derrière eux que possible. Sur leur gauche, un groupe de jeunes apparaît, mais il est encore difficile de dire s'ils sont des zombies ou pas. « Regarde, à gauche, » il signale le groupuscule à son amie, dubitatif.
dé fail : La radio ne fonctionne absolument pas. Après plusieurs kilomètres parcourus, le moteur commence dangereusement à surchauffer. La forte chaleur environnante n'aide sans doute pas non plus. « On fait un break ? » propose-t-il.

Un pick-up en état de marche est déniché par Dylane et après avoir déposé nos affaires à l'arrière de l'habitacle, nous nous installons afin de mordre les kilomètres en direction d'un prétendu camp de survivants qui se trouverait à Sydney. Je m’assois côté conducteur et priant pour que le véhicule nous conduise le plus loin possible, je m'engage sur la voie. Il y a quand même pas mal d'essence à l'intérieur, ce qui est assez positif. Toutefois, l'on sent que la camionnette en a vu des vertes et des pas mûres et le nombre de kilomètres à son compteur est faramineux.

Nous faisons nos adieux à Brisbane et je ris devant le doigt d'honneur qu'adresse la Bradford à la ville. C'est que vu ce qu'on y a vécu, ce geste n'est assurément pas volé. « J'espère que Sydney sera mieux, » je prononce tout en testant la radio. Peut-être que nous pourrions capter des informations intéressantes. Après tout, il s'agissait d'un moyen de communication plutôt répandu et souvent utilisé dans l'histoire en temps de crise. Mais malheureusement, les efforts sont vains et je capitule pour l'instant.

Quelques heures de route plus tard, j'étouffe un bâillement avant d'attirer l'attention de mon amie sur un groupe de jeunes. « Humm je les sens pas mais ralentis tout de même » J'affiche un rictus sceptique mais m'exécute. Il faut croire que nous étions pas dans le domaine paramédical pour rien, on doit toujours voir auprès des autres si jamais il y a de quoi faire. Sauf que là, les personnes s'avèrent des motards hargneux qui attaquent dès qu'on les approche la carrosserie du pick-up. Je les entends vociférer des menaces et des ordres dans l'optique de nous dépouiller sans merci. « Fonce Isaac » J'appuie sur l'accélérateur et dans une fumée de gaz suivie de complaintes du moteur, je nous distance des motards. Je referme ma portière qui avait été ouverte par l'un d'entre eux, vorace. « Purée mais c'est pas possible les gens, » je commente et inspecte mon bras comme si je redoutais avoir été blessé par le barbu. Je n'ai certainement pas envie d'être contaminé si stupidement. « Merde... » Je marmonne en jetant un coup d’œil dans le rétroviseur. « Accroche-toi, » je lui conseille en appuyant davantage sur le champignon.

dé win : Les motards les suivent et semblent bien déterminés à les piller. Une course fuite débute et après multiples virages, Isaac parvient à semer le groupe.
dé so close : Les motards partent à leur chasse et devant eux, un pont de bois en piteux état les attend. Isaac opte pour le franchir le plus rapidement possible, en espérant qu'il ne craque pas sous leur poids.
dé fail : Les motards s'élancent à leur suite et bien vite, ils se retrouvent à la hauteur de la cabine. L'un d'entre eux grimpe dans la cuve du pick-up.

La voiture est enfin trouvée, ils peuvent partir ou plutôt fuir Brisbane, cette ville qui les a vu grandir, où ils ont connu des joies et des peines. Ils s'en vont vers de nouveaux horizons avec de l'espoir dans leur coeur. Peut-être le dernier avant de longs mois voire même années. Personne ne sait, si un jour, le monde redeviendra ce qu'il était. Cela reste un euphémisme pour le moment. Alors qu'ils roulent la demoiselle regarde un peu ce qui se trouve dans le véhicule et tombe sur un photophore ce qui lui fait hausser un sourcil. Elle hausse les épaules et vient le mettre à l'arrière comme si ce genre de lampe pourrait leur utile un jour. Le superflu n'a plus sa place.

Alors que les heures passent, un groupe de personnes fait de l'oeil à Isaac qui prévient de suite la brune. Elle relève le regard et même si elle ne les sent pas du tout, elle dit qu'ils peuvent ralentir. Sait-on jamais que ce soit des personnes dans le besoin. Mais s'arrêter non, car ils se sont déjà fait avoir par leur trop grand coeur à maintes reprises. Dans ce genre de situation, les hommes devraient unir leurs forces mais malheureusement la nature humaine fait que c'est beaucoup souvent chacun pour soi. Arrivés à leur hauteur, ils s'aperçoivent que c'est un groupe de motard et pas des gentils du tout. Ils en veulent à la voiture et son contenu. Bordel, ils ont la poisse là. « Purée mais c'est pas possible les gens, » La brune regarde en arrière. «  Ils nous suivent et merde » Ses yeux regardent ensuite Isaac mais il n'a pas l'air d'avoir quelque chose ce qui la fait soupirer de soulagement. « Merde... » Voilà qu'il augmente la vitesse. « Accroche-toi, »  Ni une ni deux, elle veut mettre sa ceinture mais celle-ci est cassée donc elle se tient à la portière qu'elle a verrouillée préalablement. Une course-poursuite commence. Ces motards ne lâchent pas l'affaire. Il faut qu'Isaac pousse le moteur à bout pour qu'enfin, ils lâchent l'affaire. «  Peu importe les gens on ne s'arrête plus » Dit-elle tout en soupirant. S'il faut qu'ils deviennent à leur tour égoïste pour rester en vie alors oui ils le feront.

Win : Ils peuvent souffler et sur le chemin, ils voient un supermarché et s'y arrêtent pour prendre quelques réserves de nourriture surtout qu'il n'a pas l'air d'avoir été totalement pillé.
So close : Le supermarché n'est pas complètement pillé mais des zombies sont à l'intérieur, s'ils veulent manger va falloir les tuer d'abord.
Fail : A force d'avoir trop roulé, le pneu arrière crève. Il y a un pneu de secours mais faudrait pas que les motards reviennent ou des zombies. Ca craint.

A peine arrivés à la hauteur du groupe de motards, ceux-ci s'avèrent extrêmement hostiles et se ruent sur le pick-up dans l'objectif d'en prendre possession et de le piller. La portière de mon côté s'ouvre et laborieusement, je parviens à repousser le barbu tout en éloignant notre bolide. Je redoute qu'un de ces malfrats se soient installés dans la cuve de la camionnette mais il n'est pas le moment de confirmer le nombre de passagers dans l'automobile, en effet, une course-poursuite s'amorce. « Ils nous suivent et merde, » Je jette un coup d’œil aux rétroviseurs et appuie sur le champignon, après avoir conseillé à Dylane de bien s'accrocher. Je me console par ailleurs en songeant qu'à cette vitesse, si un intrus est parmi nous, il ne devrait pas faire long-feu.

La vitesse de l'automobile suit une courbe exponentielle. Mon amie s'est accrochée à sa portière, faute de ceinture de sécurité valable. Je multiplie les virages afin de semer nos assaillants et une dizaine de minutes plus tard, il me semble ne plus voir de menace dans notre périmètre. « Peu importe les gens on ne s'arrête plus. » J'acquiesce en soupirant de soulagement et en reprenant une vitesse correcte. « Non... » Je frotte mon front et m'installe plus confortablement dans le siège dans l'optique de me décontracter un peu, bien que les ressorts se fassent aisément sentir.

Nous mordons encore plusieurs dizaines de kilomètres avant qu'un bruit suspect ne se fasse entendre. Je sens le pick-up s'incliner et rapidement, je conçois le pire : un pneu crevé. « Purée... » Impossible de rouler dans ces conditions. J'observe les alentours, au moins, il ne semble pas y avoir âme qui vive. Je gare le véhicule sur le bas-côté de la route et pars en quête d'un pneu de secours. « Pneu arrière crevé... » J'annonce à Dylane en farfouillant. « Ha, bingo ! » Je prends le pneu ainsi qu'un cric et m'exécute à remplacé le crevé aussi vite que possible. Je n'ai pas envie que nous soyons attaqués, surtout que nous étions totalement à découvert. Nous avions essuyé de multiples situations difficiles mais si l'on pouvait nous épargner une nouvelle épreuve, je ne m'y opposerais assurément pas. « Tu connais du monde, à Sydney ? T'y es déjà allée ? » Je questionne par la suite la Bradford. Nous avions abordé le camp de survivants mais jamais avions-nous parlé de nos connaissances relatives à la ville.

dé win : Isaac change rapidement le pneu et ils reprennent la route. Quelques minutes plus tard, un hurlement à glacer le sang se fait entendre.
dé so close : Isac a presque fini de changer le pneu mais l'on peut entendre les gémissements et plaintes de zombies à proximité.
dé fail : Un motard jaillit de la cuve du pick-up une fois le pneu crevé retiré.

Des personnes qui ont réellement besoin d'aides, voire même de soins, il doit y en avoir plein mais non il faut qu'ils ralentissent devant un groupe de motard et pas des plus commodes. Un peu plus et un d'entre eux éjectait Isaac de son siège. Heureusement qu'il a eu le bon réflexe. Bien entendu, ils ne s'arrêtent pas là et prennent leur bécanes pour les suivre. La course-poursuite a démarré. Dylane se tient tant bien que mal à sa portière à défaut de pouvoir mettre cette ceinture cassée. Tout en regardant dans le rétroviseur, la brune émets l'idée de ne plus s'arrêter pour personne, c'est bien trop dangereux.  « Non... » un soupir sort d'entre ses lèvres. « Notre bonté nous perdra Isaac, je te le dis » Elle secoue la tête alors qu'elle ne les voit plus derrière eux. Ils peuvent donc enfin souffler. A part que la voiture en a décidé autrement. « Purée... » Elle hausse un sourcil et regarde son ami avec une mine interrogative. Dylane n'a pas reconnu le bruit et le voit alors se garer au bord de la route ce qu'elle n'aime pas trop à vrai dire avec tout le danger environnant. « Pneu arrière crevé... » La main de la brune vient se plaquer sur son visage alors qu'elle sort de la voiture à son tour. « Ha, bingo ! » Heureusement qu'un pneu de secours est présent. «  Je peux t'aider ? » Demande-t-elle même si elle n'a jamais changé un pneu de toute sa vie se rendant à chaque fois au garage ou demandant à ses frères. Mais Isaac a l'air de se débrouiller donc elle en profite pour guetter les alentours.  « Tu connais du monde, à Sydney ? T'y es déjà allée ? » Un léger rictus apparaît sur son visage. «  C'est la ville où je suis née mais je doute que ceux que j'ai connu soit encore de ce monde ou alors sous une autre forme » Une grimace se forme sur ses lèvres à cette pensée. Alors qu'il est presque à bout du pneu, la brune hausse les sourcils. «  On est pas seuls » Elle avance un peu et aperçoit quelques zombies venant dans leur direction. Ils doivent être trois. » Il y en a trois je m'en occupe » Elle s'empare de son couteau et va vers eux. C'est presque devenu une habitude de leur mettre un coup de couteau dans le crâne.

Win : Elle arrive à tuer tous les zombies et ils peuvent reprendre la route mais cette fois-ci, Dylane prend le volant pour qu'Isaac se repose un peu.
So close : Elle en tue deux mais l'autre arrive vers Isaac avant qu'elle n'ait pu le toucher. «  Isaac attention »
Fail : Elle va vers eux et fait vite demi-tour en voyant que c'est une horde. « Isaac c'est une horde bordel, il y en a de partout » Le stress total !

Malgré le fait que ceci soit devenu habituel, je demeure constamment surpris par le talent de l'univers pour parsemer notre chemin d'embûches toutes aussi originales les unes que les autres. C'est comme si nous ne pouvions pas être tranquilles ou avancer dans le bon sens plus de quelques minutes consécutives : il faut sans arrêter que notre vie soit mise en danger.

Après une course poursuite des plus intensives, il me semble que nous avons semé le groupuscule de sinistres et hostiles motards qui n'avaient vœu que de nous piller sans merci aucune. Nous en sommes sortis indemnes, après inspection rapide de mon propre corps qui aurait pu être griffé par l'un de ses malfrats et l'état encore solide de Dylane qui avait dû se cramponner à la portière, faute de ceinture de sécurité. Je ralentis doucement jusqu'à devoir me mettre totalement à l'arrêt à cause d'une crevaison.

Soupirant, je pars en quête d'un pneu de secours en informant mon acolyte de la situation. Nous avions acté de ne plus nous arrêter pour qui que ce soit sur la route et cette décision me semblait des plus judicieuses vu le drame auquel nous venions d'échapper. Désormais, je priais pour que les motards ne nous rattrapent pas ou que des assaillants ne viennent menacer notre intégrité. « Je peux t'aider ? » « Ça devrait aller, merci, » je réponds à l'ambulancière en positionnant le crique et retirant le pneu hors d'état.

Tout en m'appliquant à nous remettre en circulation le plus rapidement possible, je questionne la Bradford sur Sydney. Ça me rassure et me motive toujours de me projeter à notre futur proche. « C'est la ville où je suis née mais je doute que ceux que j'ai connu soit encore de ce monde ou alors sous une autre forme » Je hoche la tête en adressant un sourire compatissant à la brune. « On verra bien... L'avantage, c'est que tu pourras nous guider dans la ville, du coup, » j'optimise avant que des râles de morts-vivants ne se fassent entendre. Dylane m'indique s'en charger et j'acquiesce en mettant le turbo pour changer le pneu. Je ne doute pas des capacités de la vingtenaire à neutraliser des zombies, même s'ils sont trois et elle seule. C'est qu'à force, nous avions développé notre offensive comme défense vis-à-vis de ces monstres.

« Isaac c'est une horde bordel, il y en a de partout » m'alerte toutefois l'australienne quelques secondes après. « Merde, » je commente en jetant un rapide coup d’œil derrière Dylane. En effet, des dizaines de morts-vivants s'orientent dangereusement vers nous. J'émets un juron. « Ok, rentre dans la voiture, allume le moteur, je finis vite fait ! Démarre dès que j'te dis, même si j'suis pas là ! » Je lui prie. Il me fallait absolument terminer de changer le pneu et, à mon sens, le véhicule restait la meilleure de solutions pour lutter contre cette horde.

dé win : Isaac termine de changer le pneu à l'honneur. Il abandonne le crique derrière eux et grimpe dans la cuve du pick-up : « Mets les gaz, Dylane ! »
dé so close : Isaac termine de changer le pneu à l'arrachée. Il sort son couteau de sorte à repousser les zombies les plus proches qui menacent de le retenir. « Vas-y Dylane, démarre ! » Il lui hurle avant de grimper dans la cuve. Des zombies s'y trouvent aussi et commencent à investir le véhicule, il fait tout pour les jeter par-dessus bord.
dé fail : Des zombies arrivent de tous les côtés et envahissent les lieux. Isaac vient de terminer de changer le pneu, il court pour s'installer sur le siège passager et referme la portière derrière lui. Il y a des zombies partout autour d'eux qui ne demandent qu'à rentrer et détruire le pick-up.