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 Tu me donnes tant d'amour, tant de force, que je ne peux plus, me passer d'toi • Calex 26

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Message(#)Tu me donnes tant d'amour, tant de force, que je ne peux plus, me passer d'toi • Calex 26 - Page 2 EmptyMer 9 Sep 2020 - 21:50

Calex
Si j'avance, avec toi, c'est que je me vois faire cette danse, dans tes bras. Des attentes, j'en ai pas. Tu me donnes tant d'amour, tant de force, que je ne peux plus, me passer d'toi. Si mes mots te blessent, c'est pas de ta faute. Mes blessures sont d'hier. Il y a des jours plus durs que d'autres. Si mes mots te pèsent. J'y suis pour rien. Mais, je t'aime. Je t'aime, du plus fort que je peux.
Savoir que Lucy et Lena réagissent particulièrement à mes caresses sur son ventre me pousse à me poser quelques questions. Je me demande si elles me reconnaissent si elles savent qui je suis pour elle, ou bien si c’est une simple coïncidence – ce que j’aurais plus tendance à croire – mais je sais que si je lui dis ça, ça ne lui plairait pas alors je le garde pour moi, me contentant simplement de lui demander si elle pense que nos filles me reconnaissent. Ça semble un peu improbable, d’ailleurs. J’ai du mal à voir comment elles pourraient me reconnaître puisqu’elles ne peuvent qu’entendre ma voix. « Tu sais qu'elles t'entendent alors je suis sûre qu'elles te reconnaissent, après je sais pas si elles savent qui tu es vraiment mais je sais qu'elles doivent savoir que tu es quelqu'un d'important pour elles. »  J’hoche doucement la tête sans dire un mot de plus moyennement convaincu par sa réponse. En tout cas, attendre la naissance commence à être long pour moi alors je n’ose pas imaginer pour elle. J’ai envie que cette grossesse se termine, j’ai envie de pouvoir voir mes filles et c’est sûrement aussi parce qu’il me tarde de voir comment elles vont être, si elles vont avoir du caractère comme leur mère, si elles vont être calmes, de quelle couleur seront leurs yeux, leur cheveux. Enfin bref. Je me pose beaucoup de questions et l’excitation de l’attente de leur arrivée est même plus importante que l’appréhension et la peur que je peux ressentir. « Tu devrais essayer et les laisser pousser si tu veux. » Est-ce qu’elle est vraiment en train de me proposer de me laisser pousser les cheveux ? Je ne peux pas cacher ma surprise en entendant sa proposition mais je ne tarde pas à lui donner ma réponse en secouant la tête de gauche à droite. « Non, non ça va. Et puis c’est beaucoup d’entretien. » Même si moi, je ne serais pas contre les laisser pousser un peu au contraire. Mais tout ce que je veux c’est plaire à Alex et je sais qu’avec des cheveux un peu trop longs ça ne sera plus forcément le cas, je l’ai bien compris. C’est en partie pour cette raison que je préfère rester avec des cheveux plus courts et que je décide de ne pas alimenter la conversation, espérant qu’elle abandonne elle aussi de son côté.

Sentir mes filles bouger reste toujours une sensation incroyable dont je ne suis pas prêt de me lasser. C’est la même chose pour Alex, ses lèvres, ses baisers je les aime et je ne m’en lasse pas. J’aime l’embrasser, j’aime la sentir contre moi, j’aime la toucher et je ne m’en prive pas d’ailleurs. On s’embrasse d’une manière peut-être pas réellement adaptée au lieu dans lequel nous nous trouvons, je glisse mes mains sous ses fesses et je sens même que ce simple geste de la laisse pas indifférente. Honnêtement, j’ai envie de plus. J’ai envie d’elle, là, maintenant, tout de suite. J’ai envie de lui montrer à quel point, même en étant enceinte de jumelles de six mois j’ai envie d’elle, qu’elle me fait toujours énormément d’effet. Pour ça je l’embrasse, je la caresse et quand je la sens frissonner ça ne fait que me confirmer qu’elle ne reste pas indifférente au moment que nous sommes en train de passer et pour tout vous dire, si elle n’avait pas mis fin à ce baiser elle-même je serais encore en train de l’embrasser. Elle me le confirme en m’avouant avoir envie de moi et cette confession de sa part m’amuse presque autant qu’elle me fait aussi de l’effet. J’ai envie d’elle, elle a envie de moi alors pourquoi se priver ? Quand elle me demande comment mon cœur va, je comprends pourquoi elle a mis fin à ce moment et cette fois ça ne m’amuse pas du tout. J’ai vraiment envie d’aller plus loin, je lui fais comprendre mais elle reste complètement silencieuse et je ne sais pas vraiment ce que ça veut dire. J’essaie de me mettre autre chose en tête alors je préfère me concentrer sur la nourriture, à défaut de pouvoir me concentrer sur Alex et sur les pensées pas vraiment catholiques que j’aies là, maintenant, tout de suite. Je mange ma part de pizza, je bois mais je sens un regard insistant sur moi, je lui jette quelques coups d’œil mais sans vraiment m’y attarder. J’essaie vraiment de ne pas penser à tout ça. J’évite de tourner mes pensées sur ses lèvres, sur ses mains et l’effet incroyable qu’elles ont sur moi, je ne pense pas à la douceur de sa peau ni même à notre alchimie incroyable. Je me concentre sur ma part de pizza mais une fois terminée je finis par lui demander si elle préfère remonter ce à quoi elle répond. « Arrête de me regarder comme ça, j'essaye de me calmer et tes yeux m'aident pas, clairement pas. T'es beaucoup trop sexy, éloignes toi de moi et me touche pas. » Elle rit un peu, mais moi c’est en rigolant beaucoup que je réagis dans un premier temps. Je me pince les lèvres tout en secouant la tête de gauche à droite d’un air amusé. « Tu vois dans quel état tu me mets. » Je rigole de plus belle parce que la situation m’amuse vraiment beaucoup et Alex semble avoir beaucoup de mal à se ressaisir. Je me mords la lèvre inférieure tout en avançant mon visage vers le sien. « Je vois pas de quoi tu parles, j’ai rien fait. » Bien sûr que si je sais de quoi elle me parle. Mon baiser, mes mains, mes caresses. Je savais très bien que ça ne la laisserait pas de marbre et tant mieux puisque c’était le but. « Laisse moi quelques minutes pour retrouver mes esprits et après on remonte oui, même si toi et moi seuls dans une chambre, je suis pas sûre que ce soit une bonne idée. Je me savais faible face à toi mais peut-être pas à ce point quand même, mes hormones sont en ébullitions à cause de toi. » Encore une fois elle me fait rire, et elle aussi rigole un peu et ça me fait craquer. Je me mords toujours la lèvre alors que je ne la quitte pas des yeux, cet air amusé toujours sur mes lèvres. « Et si je fais ça, tes hormones seront toujours en ébullition ? » Je lui murmure ces quelques mots avant de m’emparer de nouveau ses lèvres. Pour l’embrasser cette fois tout de suite avec beaucoup, beaucoup de désir, ma langue joue avec la sienne une de mes mains se pose sur sa joue et la deuxième se pose sur sa cuisse, glissant du bout des doigts vers l’intérieur de celles-ci. En la cherchant comme ça je tombe dans mon propre piège parce que moi aussi je suis très excité maintenant mais j’ose espérer qu’elle change d’avis. Ma main remonte doucement alors que mes lèvres s’approchent doucement de son oreille pour lui murmurer toujours quelques mots. « Si on avait été seuls je peux t’assurer que ma main serait déjà dans ta culotte. » Et ça m’amuse lui dire tout ça, bien que ça soit totalement vrai. Je l’embrasse encore, toujours avec passion, désir et envie. Oui, très clairement je la chauffe, j’ai envie de la faire changer d’avis et pour ça je sais comment m’y prendre – enfin je pense. – Ma main reste maintenant immobile mais toujours dans l’intérieur de ses cuisses mais je finis par me détacher de ses lèvres, l’embrassant rapidement sur la joue mettant fin à ce moment bien trop excitant. « Bon, on y va ? » Je me lève et lui tends la main pour l’aider à se lever. Est-ce que je le fais exprès pour la frustrer encore un peu ? Oui. Mais le problème c’est que moi aussi maintenant j’en meurs d’envie.
© nightgaunt


@Alex Clarke Tu me donnes tant d'amour, tant de force, que je ne peux plus, me passer d'toi • Calex 26 - Page 2 2396639051  Tu me donnes tant d'amour, tant de force, que je ne peux plus, me passer d'toi • Calex 26 - Page 2 2954228499  Tu me donnes tant d'amour, tant de force, que je ne peux plus, me passer d'toi • Calex 26 - Page 2 763064237
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Message(#)Tu me donnes tant d'amour, tant de force, que je ne peux plus, me passer d'toi • Calex 26 - Page 2 EmptyJeu 10 Sep 2020 - 8:52

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Message(#)Tu me donnes tant d'amour, tant de force, que je ne peux plus, me passer d'toi • Calex 26 - Page 2 EmptyVen 11 Sep 2020 - 12:01

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Message(#)Tu me donnes tant d'amour, tant de force, que je ne peux plus, me passer d'toi • Calex 26 - Page 2 EmptyMer 16 Sep 2020 - 21:11

Calex
Si j'avance, avec toi, c'est que je me vois faire cette danse, dans tes bras. Des attentes, j'en ai pas. Tu me donnes tant d'amour, tant de force, que je ne peux plus, me passer d'toi. Si mes mots te blessent, c'est pas de ta faute. Mes blessures sont d'hier. Il y a des jours plus durs que d'autres. Si mes mots te pèsent. J'y suis pour rien. Mais, je t'aime. Je t'aime, du plus fort que je peux.


Et en sortant de la salle de bain c’est comme un dur retour à la réalité : l’hospitalisation, nous ne sommes pas chez nous mais je suis à l’hôpital pour je ne sais combien de temps. Pas longtemps normalement, quelques jours, une semaine grand maximum mais je ne compte pas rester trop longtemps. Instinctivement je me dis que j’ai un travail, un restaurant à gérer mais je me souviens tout de suite de la dispute encore récente de la veille. Je travaille trop. Je ne suis pas assez présent, elle se sent délaissée et même si j’étais persuadé d’être à la hauteur sur ce point-là, maintenant je ne suis plus sûr de rien alors j’empêche cette pensée d’arriver jusqu’à mon cerveau. Enfin du moins j’essaie, parce qu’au final je me demande quand même comment je vais devoir m’organiser si j’en viens à devoir être en arrêt pendant quelques jours ou quelques semaines. Je ne peux pas laisser le restaurant sans supervision, du moins pas sans la mienne. Et c’est donc avec toutes ces pensées envahissantes que je m’assois au bord de mon lit tout en me rongeant les ongles mais je me ressaisis rapidement. Parce que je ne veux pas qu’elle se rende compte de ma légère montée d’angoisse, elle me reprochera forcément de penser à mon travail alors je fais diversion. « Ce genre de moment me fait vraiment penser à nous, il y a dix ans. » Je lui dis tout en relevant le regard vers elle, un léger sourire aux lèvres. Quand on découvrait tous les deux le sexe, on laissait parler nos pulsions et nos envies sans vraiment se mettre des limites. Je plonge mon regard dans le sien, ma main frôle son visage alors que j’accompagne une de ses mèches de cheveux derrière l’oreille. Ses yeux dans les miens suffisent amplement à m’apaiser et calmer la petite angoisse que j’ai pu ressentir tout à l’heure en pensant à mon travail et à notre dispute de la veille. Tout ça n’a finalement pas vraiment d’importance tant que j’ai la possibilité de la regarder dans les yeux ainsi.

© nightgaunt


@Alex Clarke Tu me donnes tant d'amour, tant de force, que je ne peux plus, me passer d'toi • Calex 26 - Page 2 2396639051  Tu me donnes tant d'amour, tant de force, que je ne peux plus, me passer d'toi • Calex 26 - Page 2 2954228499  Tu me donnes tant d'amour, tant de force, que je ne peux plus, me passer d'toi • Calex 26 - Page 2 763064237
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Message(#)Tu me donnes tant d'amour, tant de force, que je ne peux plus, me passer d'toi • Calex 26 - Page 2 EmptyVen 18 Sep 2020 - 2:48

✧ Si j'avance, avec toi, c'est que je me vois faire cette danse, dans tes bras. Des attentes, j'en ai pas. Tu me donnes tant d'amour, tant de force, que je ne peux plus, me passer d'toi. Si mes mots te blessent, c'est pas de ta faute. Mes blessures sont d'hier. Il y a des jours plus durs que d'autres. Si mes mots te pèsent. J'y suis pour rien. Mais, je t'aime. Je t'aime, du plus fort que je peux.
Caleb Anderson & Alex Clarke
◇ ◆ ◇
« Je t’aime. » Sa tête à quelques centimètres de moi, je reste là mes yeux plongés dans les siens, mes mains posés sur sa nuque, je le regarde pendant quelques secondes, silencieuse. Je suis toujours essoufflée, et j'ai un peu de mal à reprendre mes esprits après ce moment torride qu'il m'a fait vivre. Ce moment intense, et fort qui est aussi l'une des caractéristiques de notre couple. Je le regarde toujours, « je t'aime tellement, peut-être encore plus après un tel moment. » quelques mots chuchotés à son oreille accompagné d'un léger rire alors que ma respiration reprends peu à peu un rythme plus normal. Il se détache de moi et tout en ramassant mes affaires, il me demande de m'habiller pour que personne ne puisse me voir comme ça. « Tu sais chéri, je sais que je t'avais dis que tu serais le seul à me voir nu cette année, mais pour l'accouchement prépare toi à ce que beaucoup de monde me voit ainsi. » Bon pas totalement nue, mais certaines parties de mon corps vont être touchées, regardées, analysées par plusieurs personnes, mais c'est un détail et encore une fois j'accompagne cette phrase d'un léger rire. Je suis détendue, je suis plus calme, je suis bien à ses côtés. Il me redonne mes affaires et je prends quelques secondes pour le regarder, parce que lui aussi est totalement nu devant moi. Je regarde son corps qui était contre moi il y a encore quelques secondes, je l'observe et je souris me rapprochant de lui pour un dernier câlin avant qu'il ne se rhabille, avant que son torse ne soit caché par le tissu de son tee-shirt. « J'aime te voir torse-nu. » Ma tête contre son torse, j'en profite pour sentir son cœur battre. Le mien bat vite, le sien aussi mais j'essaye de ne pas trop m'inquiéter parce que je sais qu'après un tel moment c'est normal que son cœur s'emballe un peu. Alors je ne dis rien, je ne pense à rien, je flotte sur ma petite vague de plaisir et de bien-être. Je me sens bien, je me sens détendue, je me comblée aussi. La tension des dernières heures semble s'être envolée, ou plutôt elle s'est dissipée au moment ou il me faisait crier de plaisir. Je me sens sereine dans ses bras et après un dernier baiser, je me rhabille et il en fait de même. Nous quittons la salle de bain, l'endroit de notre folie, et je retrouve les murs blancs, le lit d’hôpital, et tout ce qu'il va avec. Le retour à la réalité ne me plaît pas vraiment, l'idée de devoir dormir sans lui pendant quelques jours, l'idée surtout de se dire que son cœur ne va pas forcément bien, même s'il semblait aller très bien dans cette salle de bain. Tout ça revient, les doutes, l'inquiétude, les risques, les souvenirs de la veille, les images de Caleb allongé brûlant et le cœur qui bat si vite dans sa poitrine. Je frisonne, je déteste vraiment cet endroit, tout sauf la salle de bain. Je le regarde, lui aussi semble un peu ailleurs et je remarque qu'il se ronge les ongles, détails qu'il ne fait que quand il est stressé. Je prends sur moi pour éviter de lui montrer que de nouveau les doutes reviennent en moi. Je m'avance vers lui et avant même que je n'ai le temps de dire quoique ce soit, il me sourit tout en évoquant le souvenir de notre couple, dix ans plus tôt. Et il a raison, ce genre de moment c'était nous, dix ans plus tôt, dix ans plus jeunes aussi. Inexpérimentés mais toujours prêts à tenter de nouvelles choses ensembles. Certains souvenirs sont particulièrement forts, et inoubliables pour tout un tas de raisons. Et ce moment risque de l'être aussi finalement, puisqu'il nous a permis de nous retrouver après une soirée compliquée, après cette soirée qui aurait pu être catastrophique. « J'aimais beaucoup ce genre de moment, mais tu es encore plus doué qu'il y a dix ans, et j'aime toujours autant ces moments de folies entre nous. » Je le regarde, un sourire aux lèvres et j'oublie les souvenirs de cette soirée chaotique alors que sa main se pose sur mon visage. Je voudrais pouvoir rester mon regard dans le sien, oublier la chambre d’hôpital, oublier les mots, oublier les images de la veille. Oublier les craintes que j'ai eu et que j'ai à nouveau pour lui, pour sa santé. J'aime tellement cet homme, j'ai tellement besoin de lui que l'idée de le perdre m'est insupportable. Mais sa main sur ma joue, je me rappelle les sensations de son corps contre le mien et je me détends à nouveau, parce qu'il est là avec moi, il me l'a prouvé et plutôt très bien. Je finis par m'asseoir à ses côtés, ma tête contre son épaule, mes yeux se ferment presque tout seuls alors que mon corps semble se détendre totalement, enfin. Après une nuit avec très peu de sommeil, beaucoup d'angoisses et de tensions, après une matinée à courir un peu partout pour le retrouver au plus vite,  je me sens submergée par la fatigue d'un coup. Complètement KO, physiquement et émotionnellement je suis vidée de toute énergie, je murmure doucement quelques mots. « Tu me réveilles si le médecin revient avec des nouveaux résultats. » Ma tête s'appuie contre son épaule, je sais que je devrais m'allonger pour être plus à l'aise, mais là je suis contre lui et j'ai pas envie de bouger. Je sens mon corps qui bascule vers l'arrière et je me rends compte que c'est pas moi mais Caleb qui est en train de m'allonger et de m'installer dans son lit. J'ouvre les yeux, légèrement pour le regarder. « Tu t'allonges avec moi ? » C'est à peine audible, mais je prends sa main pour l'attirer vers moi. Je voudrais passer du temps avec lui, je voudrais pouvoir lui tenir compagnie mais je suis juste épuisée finalement et j'ai besoin de dormir, mais je le veux auprès de moi. « Chéri ? Merci d'être là avec moi et de prendre soin de moi. » Les yeux fermés, je n'ai plus la force de lutter contre le sommeil, mais alors que je m'endors je repense à ce moment dans la salle de bain et c'est avec un sourire aux lèvres que je m'endors.

⇜ code by bat'phanie ⇝


@Caleb Anderson  Tu me donnes tant d'amour, tant de force, que je ne peux plus, me passer d'toi • Calex 26 - Page 2 2954228499  Tu me donnes tant d'amour, tant de force, que je ne peux plus, me passer d'toi • Calex 26 - Page 2 394614564  Tu me donnes tant d'amour, tant de force, que je ne peux plus, me passer d'toi • Calex 26 - Page 2 893420793
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