| (Amelyn #38) ► Without a trace |
| | (#)Dim 6 Déc 2020 - 1:04 | |
| WITHOUT A TRACE Il y a mieux, en effet. Bien mieux que des douceurs pour le palais. Sa peau nue sous la pulpe de mes doigts ou sous l’ourlet de mes lèvres est plus délicieuse qu’un gâteau. Ce point, je lui concède bien volontiers d’un sourire. Pour peu, si tant est qu’elle ait enrobé le propos d’espièglerie, je l’aurais assumé comme une invitation. Toutefois, il n’en est rien et bien que mon appétit d’elle soit généralement insatiable, mon humeur ne ferait pas honneur à la bagatelle. La sienne non plus par ailleurs et déjà je me prépare à une conversation douloureuse, voire houleuse, qui aurait trait à ce qui nous oppose. D’instinct, je me suis drapé dans l’étole de “la bonne composition”. Je n’ai pas, cet après-midi, la force ni le courage de croiser avec elle le bâton de la discorde. Je prie aussitôt pour que ce baiser, aussi sincère soit-il, ne réprime en elle toute envie de communiquer autour de Liv, d’un traité d’immunité ou de mon absence de manière qui, à elle-seule, justifie du point de vue de Rae qu’elle s’encombre de méfiance. Or, ce n’est ce qui la préoccupe, mon âme sœur. La source de sa fébrilité concerne Sarah et se résume au contenu de la farde à rabats qu’elle me tend. Son hésitation m’intrigue. Son silence ne m’inspire qu’une mauvaise nouvelle… L’est-elle vraiment, mon ex, irréprochable ? Ne cache-t-elle donc jamais de poussière sous le tapis de ses apparences angéliques ? Etonnamment, je serais déçu, et ce pour deux raisons. La première, c’est que je me suis fait à l’idée qu’elle se soit ébrouée dans le lit conjugal avec un autre, un autre auqel j’aurais un jour témoigné de la confiance ou que j’aurais côtoyé : Kilcoy étant une petite ville. La seconde, c’est que je suis pétri dans la pâte de l’espoir que la cueillette de Rae soit si fructueuse qu’elle me nourrirait de l’occasion de revenir sur l’accord tacite discuté dans la matinée. N’aurais-je pas de quoi me réjouir ? Le ciel me paraîtrait plus bleu encore et je suis effrayé à présent. J’ai la troulle, tandis que j’ouvre ce dossier, d’être renvoyé au rang de perdant. Sauf que, ma complice, elle est surprenante d’empathie. A s’inquiéter de ma réaction face aux clichés, elle a oublié que mon cœur est verrouillé pour Sarah. Et, pour cause, ma jolie blonde détient la clé de la moitié qui lui appartient, l’autre étant destinée à Sofia, ma fille que j’ai plus tôt préféré morte que le contraire. Sans ce désaveu, sans doute aurais-je bondi de joie. J’aurais aussi soulevé de terre ma dulcinée pour la faire danser au rythme d’une valse à trois temps : un pour l’amour, un pour la gratitude et un dernier pour le soulagement. Malheureusement, la honte est une ignoble assaillante. Elle est plus féroce qu’un chein enragé : quand elle mord, elle ne lâche pas. Elle inocule au contraire son virus avec joie, trop enjouée de se sentir moins seule dans le cachots des émotions détestables. Dès lors, à défaut de m’exalter, je sacrifie mon ego sur l’autel de mes sentiments parce qu’avec Rae, j’y ai le droit.
Raelyn, elle ne m’entend pas, elle m’écoute. Elle ne me juge pas, elle comprend ou s’y emploie avec l’abnégation des femmes plus qu’éprises. Je me fiche bien que ma foi en elle manque de réciprocité. Je me confie, de crainte qu’elle se méprenne, l’enlaçant, acquiesçant à ses révélations sur l'adultère de Sarah, celui vraisemblablement né avant que sa “remplaçante” - quelle connerie - et moi n’écrivions le chapitre premier de notre roman d’amour. Bien sûr, soucieux de ne pas être un poids pour elle, j'absous de toute tentative pour me consoler. Peut-être est-ce son rôle. A sa place, j’aurais fait peu de cas de sa désapprobation. Je serais cependant touché si elle collait, quoique je ne l’attende pas là, pas aujourd’hui. Sur l’heure, mon coeur réclame de la légèreté et je convoque l’enjeu de notre dernier pari. La réponse, je la repousse à plus tard, juste après les remerciements et la passion d’un baiser avec au coeur un mélange de désespoir et de désir. Les contours de mes émotions sont floues. Mais, dès lors qu’elle est libre de prendre la parole, je sais que Raelyn n’a pas à redouter que je sois blessé. Certes, je n’exclus pas la possibilité que mon cerveau n’ait pas encore intégré l’information dans sa globalité, mais mon ex n’a plus vocation à m’abîmer : c’est terminé. «Je n’ai pas mal, Raelyn.» ai-je donc rétorqué, résolu et sincère. « Je ne sais pas exactement ce que je ressens, mais la concernant, ce n’est pas désagréable. » Au sujet de mon bébé, la chanson est composée en la mineur, mais n’a-t-elle pas toujours les mots, ma partenaire ? Bouffi par la reconnaissance, par ce réconfort inouï qu’elle induit en moi, je la dévore des yeux désormais. « Oui ! Tu as sans doute raison et c’est pour ça qu’on ira dans toutes les boutiques qui te chantent et moi, je porterai les sacs, en râlant et j’essaierai de me faufiler dans la cabine d’essayage sous l’oeil mauvais de la vendeuse. On fera tout ça. Un pari est un pari. Et ça me fera plaisir. Mais, ça, il ne faut pas le répéter. Jamais.» ai-je remarqué, un sourire malicieux fendant mes traits qui s’éclairent peu à peu. « Je vais déposer tout ça chez mon avocat. Tu viens avec moi ? On mangera les pâtisseries dans la voiture et puis, en rentrant, on devrait aller plonger. ça fait longtemps.» Et n’est-ce pas une activité des plus intimes que de nous émerveiller ensemble des trésors cachés sous nos pieds ?
∞∞∞∞∞ Les conséquences de la trahison de Sarah m’ont bousculé par vague au cours des trois jours qui ont suivi et, j’ai enfin réussi à nommer ce qui m’ébranle autant et à retardement : la peur. L’effroi m’a talonné jusque dans mes nuits. Il les a agitées de cauchemars qui, surprenamment, ne m’ont pas propulsé au front ou lors de l’accident funeste qui m’a coûté ma place et mon grade au sein de la RAN. Ces sombres chimères, elles avaient toutes pour théâtre le bateau, Raelyn et un homme au visage inconnu. La mise en scène était toujours identique : les tourtereaux, fumant le même mégot, s’enfermaient dans une chambre non sans m’avoir adressé un dernier signe de la main. Moi, curieux, j’espionnais et, de dernière la porte, les preuves de leurs méfaits me lacéraient les bras, les jambes, le coeur. Lorsque la porte cédait enfin sous mon poids, je me réveillais en sursaut et en sueur avant de prendre conscience que rien de tout cela n’était réel. Rien. Tout était faux et mon soulagement m’aidait alors à sombrer dans un sommeil plus léger. Pas cette nuit néanmoins. Celle-ci, j’ai éveillé ma dulcinée sans grande délicatesse. Je ne l’ai pas secouée, mais la panique dans mon regard l’a alerté : elle a écarquillé de grands yeux ronds. « Il faut que tu me promettes quelque chose, Raelyn. Si, un jour, tu es malheureuse avec moi, si tu te dis que je suis qu’un pauvre type, dis-le moi. Me trompe pas, joue pas avec moi, dis-le moi. Si je peux, je nous aiderai. Et si j’y arrive pas, alors quitte-moi.» ai-je réclamé en serment, perclus par l’angoisse du désamour, celui qui, chemin faisant, empêche toute forme de respect. D’une autre, je m’en moque : j’ai survécu. De sa part, ce serait comme mourir de sa main. |
| | | ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn. STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille. MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie. LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux. POSTS : 34325 POINTS : 3130 TW IN RP : Mention de drogues dures, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, deuil, automutilation. ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : indianred. RPs EN COURS :
(07) chad #3 › spencer #14 › miles #1 (2005) › danaë #4 (2018) › maxwell #7 › miles #2 › cecilia #2
(ua) maxwell #6 (jurassique)
maxyn #7 & sms ☆ i'm sick, yeah, i'm sick, and honestly, i'm getting high off it. your smoke in my hair hot and dirty like the l.a. air. that face, baby, it ain't fair, but you don't know what you don't know. oh, so you wanna talk about power ? oh, let me show you power. i eat boys like you for breakfast, one by one hung on my necklace. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7
spencer #14 ☆ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand. take another walk out of your fake world, please put all the drugs out of your hand. you'll see that you can breathe without no back up, so much stuff you got to understand.
danalyn #4 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.
cecilia #2 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.
miles #1 & #2 ☆ i've been waiting patiently, i built this tower quietly. And when my well of wellbutrin is running dry of serotonin i can say things I don't mean. or maybe it's the truth in me, i feel it building, bubbling up.
RPs EN ATTENTE : aisling #3
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amelyn ☆ wasted in love, misunderstood, baby, it's harder to breathe when you're gone. so i hold in my hands pictures of you and dream of the day i was eating for two. all this love, i'm so choked up, i can feel you in my blood, i'm so scared to give you up. valentine, my decline is so much better with you. valentine, my decline, i'm always running to you. and i cover myself in tattoos of us, and dream of the day we embrace and combust. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7 › 8 › 9 › 10 › 11 › 12 › 13 › 14 › 15 › 16 › 17 › 18 › 19 › 20 › 21 › 22 › 23 › 24 › 25 › 26 › 27 › 28 › 29 › 30 › 31 › 32 › 33 › 34 › 35 › 36 › 37 › 38 › 39 › 40 › 41 › 42 › 43 › 44 › 45 › 46 › 47 › 48 › 49 › 50 › 51 › 52 › 53 › 54 › 55 › 56 › 57 › 58 › 59 › 60 › 61 › 62 › 63 › 64 › 65 › 66 › 67 › 68 › 69 › 70 › 71 › 72 › 73 › 74 › 75 › 76 › 77 › 78 › 79 › 80 › 81 › 82 › 83 › 84 › 85 › 86 › 87 › 88 › 89 › 90 › 91 › 92 › 93 › 94 › 95 › 96 › the end. AVATAR : Lady Gaga CRÉDITS : me (avatar), harley (gif profil, maxyn, spencer, amelyn), fuckyougifs (gif danaë) & jifdirectory (gif cecilia), erikawrites (gif miles) DC : Megan Williams (Sydney Sweeney) & Midas Sterling (Leo Woodall) PSEUDO : stairsjumper INSCRIT LE : 21/02/2019 | (#)Dim 6 Déc 2020 - 16:13 | |
| Without a trace Raelyn Blackwell & @Amos Taylor
« Je n’ai pas mal, Raelyn. Je ne sais pas exactement ce que je ressens, mais la concernant, ce n’est pas désagréable. » Je puise dans son regard la certitude qu’il ne dit pas ça uniquement pour endormir ma méfiance et me rassurer. Il est sincère et je respire un peu mieux : j’aurais eu mal pour lui et mal pour moi, qu’il pleure la fidélité de celle qui ne partage plus sa vie. J’aurais compris une blessure de l'ego, mais j’aurais mal vécu une blessure de son cœur. Mais il me dévore des yeux, il noue ses bras dans mon dos et je comprends qu’il n’en est rien : je comprends que s’il est tracassé, c’est surtout au regard des mots qu’il a adressés à Sarah au sujet de Sofia. Je me demande pourquoi ils le mettent dans un tel état : pas une âme qui le côtoie ne pourrait douter de l’amour qu’il porte à sa fille et du fait qu’il n’a pas fait son deuil, jamais. Seule Sarah s’y risque, et parce qu’elle est dévorée par la jalousie, la haine et la mauvaise foi. Amos aurait tué pour sa fille, je n’en doute pas une seconde puisqu’il lui a dédié sa vie en élaborant un plan dédié à la venger, il lui a dédié toute sa vie au point que parfois je lutte pour y trouver ma place. Pour moi c’est évident : Sarah a usé sa patience jusqu’à la corde, elle l’a fait depuis des mois, depuis des années et elle a récolté exactement ce qu’elle a semé, à savoir son mépris le plus total. « Oui ! Tu as sans doute raison et c’est pour ça qu’on ira dans toutes les boutiques qui te chantent et moi, je porterai les sacs, en râlant et j’essaierai de me faufiler dans la cabine d’essayage sous l'œil mauvais de la vendeuse. On fera tout ça. Un pari est un pari. Et ça me fera plaisir. Mais, ça, il ne faut pas le répéter. Jamais. » « Compte pas sur moi pour ça. » J’esquisse un sourire espiègle avant de me hisser sur la pointe des pieds pour lui voler un baiser brûlant. Je le lui répèterai à chaque fois qu’il me demandera si “j’ai vraiment besoin de rentrer dans cette boutique”, à chaque fois qu’il me demandera si “je n’ai pas déjà exactement la même dans mon dressing” je lui rappellerai que ça lui fait plaisir, et qu’il ne peut revenir là dessus. « Je vais déposer tout ça chez mon avocat. Tu viens avec moi ? On mangera les pâtisseries dans la voiture et puis, en rentrant, on devrait aller plonger. ça fait longtemps. » Mon cœur jusqu’ici souffreteux se détend et prend une inspiration. Il est là, il est avec moi et il n’a pas l’intention d’aller nulle part. Son besoin de s’isoler suite à notre discussion concernant la proposition d’Olivia ne signifiait pas qu’il mettait en marche un long processus pour apprendre à m’aimer un peu moins et si sa proposition de l’accompagner, de manger ensemble dans la voiture et de plonger - il l’a fait sans moi, la dernière fois - ne suffisent pas à apaiser toutes mes angoisses, mes doigts noués dans son dos se détendent un peu. Alors j’acquiesce, je le dévore de baisers sucrés à chaque feu rouge, je renoue avec la découverte de fonds marins et, lorsque nous remontons à la surface, nous renouons avec nos jeux les plus licencieux.
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Ses doigts qui s’accrochent à mon épaule, son souffle saccadé et son sursaut, je ne sais ce qui me réveille mais lorsque j’ouvre les yeux et si j’émerge difficilement, je suis rapidement happée par la panique que je lis sur ses traits. Il est en nage mon amant, il a les yeux grands ouverts et avant que je n’ai le temps de lui demander ce qu’il se passe, s’il a fait un mauvais rêve ou s’il vient d’être réveillé par un appel et une mauvaise nouvelle, il m’éclaire. « Il faut que tu me promettes quelque chose, Raelyn. Si, un jour, tu es malheureuse avec moi, si tu te dis que je suis qu’un pauvre type, dis-le moi. Me trompe pas, joue pas avec moi, dis-le moi. Si je peux, je nous aiderai. Et si j’y arrive pas, alors quitte-moi. » Je fronce les sourcils et, doucement, chassant la fatigue du mieux que je peux, je me redresse pour l’observer. Je ne suis pas assez réveillée pour être éloquente, mais je comprends qu’il s’agit là d’une réaction à la traîtrise de Sarah : il a peur. Peur qu’à cause d’un désamour je le trahisse et me laisse tenter par les bras d’un autre, comme l’a fait Sarah. Son coeur n’a pas mal à cause de son ex : il a peur pour nous et si je déteste qu’il se sente comme ça, je ne peux m’empêcher d’être rassurée : il n’est pas en train d’apprendre à se détacher de moi, il n’y aspire pas. Au contraire, il m’aurait poussé à reproduire les comportements de son épouse au lieu d’en faire des cauchemars. « Je te ferais jamais ça Amos. » Je passe une main dans mes cheveux et une sur mes yeux pour éloigner Morphée, avant de la tendre vers lui pour caresser sa joue. « Je nous abandonnerais jamais sans me battre jusqu’à être à bout de force. » Il ne sera pas le seul à tenter toutes les manœuvres possibles pour nous éviter un naufrage. « Et si un jour on réalise qu’on est plus sauvables je... » La simple idée que cela puisse nous arriver me serre le cœur, même s’il ne s’agit que d’une hypothèse. « Je te trahirais jamais. » Ma seconde main se pose sur son autre jour et je me penche sur son visage encadré par mes mains pour poser mon front contre le sien. « Jamais. Je te le promets. » Sans lâcher son visage, je me rallonge pour coller mon corps contre le sien et je dépose un baiser dans son cou. « Je suis là, je bouge pas. » Et pour qu’il cesse de trembler, j’emmêle mes jambes aux siennes et dépose mes mains à plat sur son torse.
RP terminé
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