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 let me adore you (jailey #44)

Arthur Coventry
Arthur Coventry
la chute d'Icare
la chute d'Icare
  
let me adore you (jailey #44) FQgUS3L Présent
ÂGE : trente-trois ans - (23.08.1991)
STATUT : même le bonheur, c'est sympa, mais c'est pas stable. c'est juste une pause entre deux trucs qui s'passent mal.
MÉTIER : il faisait des efforts, mais le projet qui devait changer sa vie est revenu à une autre entreprise. il se retrouve sans emploi, sans perspectives d'avenir non plus. en gros? c'est la merde...
LOGEMENT : on lui a repris les clés du #333 water street (sping hill), mais prétends que c'est juste le temps de quelques travaux, conséquence d'un dégât des eaux. en attendant de trouver une issue à son mensonge, il oscille entre une chambre d'hôtel, le lit de Greta et le canapé de Kendall
let me adore you (jailey #44) SA0OH
POSTS : 7524 POINTS : 1120

TW IN RP : consommation de drogue, déni d'addiction, propos homophobe et sexiste
GENRE : Je suis un homme
ORIENTATION : J'aime les jolies filles.
PETIT PLUS : véritable produit de la bourgeoisie londonienne › égoïste, il pensera toujours à lui avant toute chose › addict à la poudre malgré une première désintoxication en août 2021 › grand enfant qui ne sait toujours pas quoi faire de sa vie et préfère s'amuser en pensant qu'il n'y aura jamais de conséquences.
CODE COULEUR : #0C4857
RPs EN COURS : (06) greta #16swann #17ken #3ottielenamurphy

(ua) bailinny

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moventry #9 › i feel a little nauseous and my hands are shaking. i guess that means you're close by. my throat is getting dry and my heart is racing, i haven't been by your side in a minute, but i think about it sometimes. even though i know it's not so distant ❘ #1#2#3#4#5#6#7#8#9#10#11#12#13#14#15#16

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swann #17 › well, well, you better run from me. you better hit the road, you better up and leave. don't get too close, 'cause i'm a rolling stone and i keep rolling on. you better run from me before i take your soul. even if your heart can't take i'll light you up in flames.

― communications ―
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(2023) greta #2swann #6swann #7eleonora #3mariage rowanngreta #3swann #9greta #4 (2016)greta #5greta #6swann #10corey #3noorswann #13 (2011)greta #9malone #2london gangemery #1mickey

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AVATAR : françois civil.
CRÉDITS : brenda-panicstation (avatar), harley (gif profil&signa), harley (gif greta), harley (gif swann), endlesslove (code signa), loonywaltz (ub)
DC : atlas siede (ft. sebastian stan) › shiloh atkins (ft. haley lu richardson) › nina sterling (ft. suki waterhouse) › ollie gallagher (ft. paul mescal)
PSEUDO : paindep.
INSCRIT LE : 19/11/2018
https://www.30yearsstillyoung.com/t40844-icarus-fall-arthur
https://www.30yearsstillyoung.com/t41639-arthur-icarus-fall
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Message(#)let me adore you (jailey #44) EmptySam 26 Déc 2020 - 22:55

Telle une tornade instable, je virevolte sur le toit, arrange un coussin, m’assure que le projecteur fonctionne et place une bouteille de vin dans le seau à champagne. Un coup d’œil à ma montre m’informe que Jill ne devrait plus tarder. J’abandonne le toit du studio pour descendre sur le parking, là où je lui ai donné rendez-vous pour notre quatrième date. Chacun notre tour, on a organisé quelque chose pour l’autre. Si j’avais joué avec le feu la première fois en l’emmenant à une exposition, j’ai préféré jouer la carte de l’intimité pour cette soirée. En déposant les jumeaux chez la jeune femme en début de semaine, j’ai pu remarquer que quelque chose n’allait pas. Son sourire semblait terne, son esprit complètement ailleurs. Elle m’a juré ne rien vouloir reporter, qu’elle avait besoin de perpétuer cette tradition que l’on, c’est donner. Depuis, je me pose tout un tas de questions, tenter de faire taire cette flamme de jalousie qui parfois s’embrase sans raison. C’est dans ces moments-là que je réalise, a quel point la confiance, c’est ébranler, que tout est encore bien fragile. Qu’importent mes doutes, je me suis juré de ne plus jamais me laisser emporter par les émotions dans un délire qui ne vit que dans ma tête. Ce n’est en rien un exercice des plus simple, mais pour elle, je veux tout essayer. Ce soir, on va s’installer à l’abri des regards, loin de tous, sur le toit qui domine légèrement la ville. Si elle a besoin de souffler, je lui donnerai tout l’espace dont elle a besoin sans rager, sans m’imposer. Si au contraire, elle est d’humeur à partager alors on improvisera sans se forcer tant j’ai amené assez de possibilité à porter de main.

Du bout des doigts, je lisse mon jean à la recherche du moindre défaut. Pour la énième fois, je passe une main dans mes cheveux trop long, trop bouclé et en pagaille. Soupire en me demandant si je n’aurais pas mieux fait de me raser et abdique en m’asseyant sur les marches du studio. L’image d’une Jill triste me revient en tête. Si j’ai juré lui faire confiance, une part de moi ne peut s’empêcher d’imaginer le pire. À tout moment, on c’est donner le droit de faire marche arrière. C’est en tout point le but de manœuvre, se donner une chance sans jamais la forcer. S’autoriser le droit de dire non, de dire stop, sans que cela ne finisse en reproche. Un dernier essai, une ultime tentative en se libérant de nos chaînes. Son retard me rend anxieux tout autant que son arrivé lève un poids de mes épaules. « Bonsoir. » que je murmure en venant chercher ses lèvres lentement. Le baiser est si léger qu’il existe à peine, mais dans la seconde suivante ma main à trouver la sienne. « On prend de la hauteur ce soir. » Et je l’entraîne dans les bureaux, grimpe les marches les unes après les autres avant de lui laisser découvrir ce que j’ai bien pu aménager toute l’après-midi.

Le silence s’étire alors qu’elle s’installe sur le sofa improvisé et que je me bats avec le bouchon de liège. Mon regard se perd sur sa silhouette et tel un adolescent, je ressens ces foutus papillons dans le ventre lorsque son regard croise le mien. Je dois lui sourire tel un amoureux transi – ce que j’ai toujours été avouons-le – avant de lui tendre un verre de son vin favori, blanc et sucré.

C’est a elle de donner la mesure tandis que je m’installe à ses côtés. La toile tendue face à nous offre la possibilité d’une séance de cinéma improvisé. La platine à ses pieds est couverte de vinyles prêts à nous faire danser. Le sourire tendre que je lui offre murmure que tout peut-être aborder ou que rien ne peut être dit. C’est sa soirée, à elle de mener la danse.




take me far from streets and roads. lead me out in the night, don't show me the way back home. because i'm craving, craving, craving something i can feel. where do i go, what do i need, is it ecstasy or is it fear? am i on my own, am i even close? because i'm still craving something i can feel




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Message(#)let me adore you (jailey #44) EmptySam 26 Déc 2020 - 23:34

C’est le quatrième rendez-vous. Il est spécial celui-là, parce que, quelques jours avant, Pete faisait des aveux à Jill, et il l’a embrassée. Elle ne sait pas comment le dire à Bailey, mais elle se doit de lui dire. Ils ont dit qu’ils ne devaient plus rien se cacher, et rester sincères l’un avec l’autre. Elle ne trouve jamais le bon moment, parce qu’elle se demande quand est ce qu’elle va pouvoir lui annoncer une chose pareille. Elle ne veut pas le blesser, ni le perdre. Elle a mis du temps à se préparer, et elle est un peu angoissée.

« Bonsoir. » Elle sourit et le laisse l’embrasser en regardant rapidement autour d’eux. Elle aime ce jeu de discrétion, et, pour le moment, personne ne les a pris en flagrant délit. « On prend de la hauteur ce soir. » Elle fronce les sourcils, elle ne sait pas ce qui l’attend et c’est ce qui rend tous ces rendez-vous aussi intéressants et amusants. “Je te suis.” Et ils grimpent les escaliers à grande vitesse. Elle se retrouve sur le toit et elle regarde autour d’elle. Il a dû passer des heures à tout préparer et elle continue de sourire. Pendant un instant, elle oublie l’annonce qu’elle doit lui faire et ses yeux pétillent de malice. “Ouais c’est pas mal.” Elle le taquine et se rapproche de lui pour laisser glisser ses bras autour de son cou et ses lèvres rapidement sur les siennes.

Elle s’installe sur le sofa, toute cette ambiance est très intime et elle est nerveuse. Même lors de sa première fois elle ne l’était pas autant. Bailey ouvre le vin et le silence est presque pesant. Elle s’enfonce dans le canapé et capte son regard. Pendant un instant le temps est suspendu. Elle attrape sa main pour le ramener vers elle et s'assoit à ses côtés. “Merci…” Et elle boit une gorgée de vin. Ce secret qu’elle garde pour elle devient bien trop lourd et elle ne se sent pas à l’aise de lui cacher les événements plus longtemps. “Je dois te parler de quelque chose.” L’entrée en matière est abrupte, mais Jill n’a jamais été très délicate. “On a dit qu’on devait plus se mentir et je veux pas te cacher ça pendant toute la soirée.” Plus elle attend, et plus ce sera compliqué. “J’étais à l’anniversaire de Pete il y a quelques jours et il me faisait la tête, et je déteste ça… J’ai voulu arranger les choses et on s’est retrouvé dans sa chambre, il a fini par m’embrasser et me dire qu’il m’aime mais je l’ai repoussé et je lui ai dit qu’on était ami et rien de plus.” Il y a des centaines de détails que Bailey ne connait pas, et elle panique déjà la McGrath en cherchant son regard. Elle ne sait pas s’il lui fait assez confiance pour la croire quand elle lui dit qu’elle l’a repoussé et qu’il n’y a que lui qu’elle aime à ce point là.

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Message(#)let me adore you (jailey #44) EmptyDim 27 Déc 2020 - 0:38

« Ouais, c’est pas mal. » Qu’elle assène d’une moue boudeuse, sourire malicieux au coin des lèvres. Un jour, elle me rendra dingue avec ses remarques espiègles, mais pas ce soir. Pas alors que ses bras s’enroulent autour de mon cou et que ma nervosité s’envole dès l’instant où ses lèvres retrouvent les miennes. « Je retiendrais de faire moins d’effort, la prochaine fois. » On sait tous les deux que ce n’est que pur mensonge, mais si elle taquine, je sais piquer aussi. En rien, je n’ai oublié tout ce qu’elle avait su me dire, alors petit à petit, j’oublie ma carapace dans un coin. Même quand le silence semble s’étirer une minute de trop, même lorsqu’elle ne cesse de gigoter sur place. Quelque chose ne va pas, je le sais, je le sens. Il s’agit juste de lui laisser le temps.

Je voudrais me racler la gorge, trouver quelque chose d’intéressant à dire, bousculer la conversation dans sur un terrain neutre, mais quelque chose m’en empêcher. Je la connais par cœur et je sais, que son regard fuyant n’amène rien de bon, que son silence est dû à des réflexions. Je pourrais entendre les rouages qui s’entremêlent dans un coin de sa tête. Si avant je serais reparti me cacher dans ma bulle, ce soir, je lui donne le temps. Un verre de vin, un sourire et sa main qui finis par chercher la mienne dans un geste qui se veut bien trop rassurant. « Je dois te parler de quelque chose. » Le couperet tombe et dès l’instant les vieux démons se réveillent, eux qui n’attendaient que cela, le grain de sable qui viendrait enrayer la machine. Elle se tient prête l’angoisse, elle qui n’a pas endosser son rôle depuis si longtemps. « On a dit qu’on devait plus se mentir et je veux pas te cacher ça pendant toute la soirée. » Sa nervosité me laisse le temps d’imaginer le pire. Tout converge à se dire que tout va prendre fin là, sur ce toit. Avant, j’aurais déjà eu du mal à respirer, je me serais éloigné d’un pas, renfermer comme une huître. Ce soir, je relève la tête, serre ses doigts entre les miens et me bat contre tous les vieux démons à la fois. « Tu peux tout me dire Jill. » C’est là que je dois lui faire confiance, là que je me dois de lui prouver que tout à changer. Qu’importe ce qu’elle dira. « J’étais à l’anniversaire de Pete il y a quelques jours et il me faisait la tête, et je déteste ça… J’ai voulu arranger les choses et on s’est retrouvé dans sa chambre, il a fini par m’embrasser et me dire qu’il m’aime, mais je l’ai repoussé et je lui ai dit qu’on était ami et rien de plus. » Même ça…

Elle me tiraille le cœur cette pointe de jalousie de savoir qu’un autre à poser ses lèvres sur les siennes, mais ce n’est pas ce que je retiens quand son regard semble fouiller le mien dans une panique que je ne lui connaissais pas. Elle a peur et j’embarque sur le mauvais chemin. « Il t’a forcé ? » C’est comme si elle ne disait pas tout et je crains la suite. Je n’ai jamais apprécié Pete et ne me suis jamais réellement cacher pour le dire. S’il a eu le malheur de s’imposer plus, il en paiera le prix fort. Elle se raccroche à chacune de mes inspirations et la bataille que je mène me semble autant ingérable qu’elle se doit d’être surmontable. Mes doigts serrent les siens avec force alors que je me voudrais d’être rassurant. « Je te crois. » que je murmure doucement, grimaçant face à ma formulation. « Je veux te croire. » que je corrige dans la seconde. « Sauf que ce n’est pas n’importe qui, c’est lui… » Celui qui a toujours été là, toujours été bien trop imposant, celui qui a toujours hurler sur tous les toits que j’étais trop mou, trop ennuyeux, pas assez bien pour elle. Et j’ai peur, moi aussi. « Faut croire que quelqu’un viendra toujours se mettre entre nous. » Dire qu’on commençait tout juste un nouveau chemin.

Et voilà que je retombe dans les mauvais travers, baisser les bras à la première difficulté, laisser un autre marché sur mes plates bandes, dire amen a tout. « Non. » Je secoue la tête, mon regard plongeant dans la sien. « Non, je laisserai pas ça tout gâcher, pas cette fois! Je baisserais pas les bras. » Je refuse d'abandonner, pour elle.




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Message(#)let me adore you (jailey #44) EmptyDim 27 Déc 2020 - 12:35

« Je retiendrais de faire moins d’effort, la prochaine fois. » Elle fait la moue mais continue de se rapprocher de lui. Elle le remercie vraiment d’avoir pris le temps d’organiser tout ça, mais elle n’arrive pas encore à profiter complètement du moment. Elle a besoin de lui parler, mais elle est terrifiée. Elle se demande pendant de longues minutes si elle va pouvoir cracher le morceau. Elle ne veut pas tout gâcher, mais elle ne peut pas non plus profiter pleinement de ce rendez-vous en lui cachant ce qu’il s’est passé avec Pete.

Elle l’aide à s’asseoir à côté d’elle pour lui parler. Son coeur bat la chamade et elle hésite encore quelques secondes. Elle ne compte pas enjoliver les choses, et elle va être sincère très rapidement. Elle cherche ses mots avant de tout balancer d’une traite et d’attendre sa réaction. Elle se demande si ça va être la fin de tout ce qu’ils ont décidé de créer ou s’il va réussir à passer au dessus de tout ça. Elle finit de parler et elle cherche son regard. Les doigts de Bailey resserrent ceux de Jill et ça la rassure qu’il ne cherche pas déjà à s’éloigner. « Il t’a forcé ? » “Non, non il s’est rien passé de plus ça a duré une seconde.” Elle n’a pas compté, mais la seule chose qu’elle sait, c’est qu’elle ne lui a pas rendu son baiser. Elle ne lâche pas sa main et elle cherche à analyser ses réactions. « Je te crois. » Un soupir de soulagement passe la barrière des lèvres de la McGrath. « Je veux te croire. » Elle grimace, ça aurait été bien trop facile. Il ne la croit pas vraiment donc, et elle ne sait pas quoi faire pour le convaincre que c’est avec lui qu’elle a envie de continuer son histoire. « Sauf que ce n’est pas n’importe qui, c’est lui… » Il sait qu’il s’est déjà passé des choses entre eux, parce que Jill n’a pas cherché à le lui cacher. “Je sais…” Parce que Pete a toujours eu une place particulière dans le coeur de la jeune femme. « Faut croire que quelqu’un viendra toujours se mettre entre nous. » Elle a l’impression d’entendre des mots qui sonnent la fin de quelque chose. Elle secoue la tête et elle continue de chercher ses mots. Elle déglutit mais ne lâche pas sa main. S’il ne s’éloigne pas elle ne le fera pas non plus.

« Non. » Elle fronce les sourcils, ne comprend pas tout de suite ce qu’il veut dire « Non, je laisserai pas ça tout gâcher, pas cette fois! Je baisserais pas les bras. » Elle ne peut pas s’empêcher de sourire et de soupirer. “Y’a personne entre nous.” Parce qu’elle a fait en sorte de lui faire comprendre qu’il n’y avait plus de place du côté amoureux. Elle se rapproche de lui et pose sa main sur la joue de Bailey. “Je crois qu’on a tous les deux bien changé.” Elle penche légèrement la tête sur le côté. Le côté jaloux et battant de Bailey est nouveau, et Jill a l’impression de découvrir une nouvelle personne à travers ces nouveaux rendez-vous. “Et ça me plaît.” Elle sait que l’annonce peut être difficile à digérer alors elle n’approche pas plus son visage, elle le laissera venir vers elle s’il a vraiment décidé de passer au dessus et de lui faire confiance.

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Message(#)let me adore you (jailey #44) EmptyDim 27 Déc 2020 - 21:15

Ses dents viennent torturer sa lèvre inférieure, ses yeux se posent nulle part plus de dix secondes. Quelque chose ne va pas, quelque chose la tracasse. Elle hésite, elle inspire et souffle dans la mauvaise direction. Tout s’éparpille et c’est comme si le château de cartes commençait lentement à s’ébranler sous mes yeux. Un coup de vent et tout pars en vrille. Son annonce est froide, brutale, complètement clinique. Il l’a embrassé, elle la repousser. Fin de l’histoire. C’est ce dont on rêverait. Une bosse sur le chemin, un petit rien qui nous a fait trébucher sans jamais se lâcher la main. Cela aurait pu être un tout petit caillou sur notre route. Ce n’en est rien, lorsque le caillou se prénomme Pete et qu’il est là depuis bien plus longtemps que moi. Leur dynamique m’a toujours paru étrange, trop soudée pour de simples amis, trop complexifiés par des baisers pour n’être qu’une amitié comme une autre. Il a toujours été dans les parages et il a toujours su exprimer son opinion sur ma personne. Il l’a embrassé et je prends peur. Le château de cartes vacille bien plus dangereusement auprès du sol. Ce n’est pas n’importe qui, c’est lui. Celui avec lequel elle partage une histoire que je ne comprendrais jamais vraiment, celui qui compte tant. « Je sais… » Tout pourrait s’arrêter là, en un souffle. L’épreuve de trop, celle que l’on ne saurait réellement surmonter.

C’est ce qui se serait probablement passer, il y a encore quelques mois de cela. Je me serais mis à paniquer pour un rien. J’aurais laissé les émotions prendre le dessus, me bouffant tout entière, sans me laisser le temps d’analyser proprement la situation. Il y a encore quelques mois de cela, je ne suis même pas sûr que Jill m’aurait en réalité dit quoique ce soit.

On avait promis de se battre.

« Y’a personne entre nous. » « Personne ne se mettra plus jamais entre nous. » Je ne laisserais pas cet accident de parcours, cet élan qu’à trouver Pete – je ne sais où d’ailleurs – venir gâcher tout ce que l’on cherche à reconstruire. Elle semble respirer autrement Jill, alors que sa main vient lentement se poser sur ma joue. Comme si c’était ce qu’elle avait toujours attendu, dans le fond. « Je crois qu’on a tous les deux bien changé. Et ça me plaît. » Son visage est si proche du mien que j’en viendrais à loucher pour apercevoir ses lèvres. Celles qu’un autre est venu embrasser. Elle bouillonne de l’intérieur la rage, si profondément que je ne saurais réellement reconnaître le sentiment. Durant des années, je me suis laissé marcher sur les pieds, laissant les autres prendre ma place à ses côtés, estimant que j’avais mérité la place du bon dernier. Aujourd’hui, trop de choses ont changé pour que je laisse un autre tout ruiné. Mes doigts viennent effleurer sa joue alors que je me recule un peu, préférant mettre un espace entre nous. « J’ai confiance en toi. » C’est important. Je me devais de le dire maintenant. « Les autres par contre… Je ne leur ferais jamais confiance. » Pas quand ils ont pris pour acquis une femme comme Jill, pas quand ils ne cesseront jamais de penser qu’elle est cette jeune femme papillonnante qui refuse de se stabiliser. « Et surtout pas lui. » Je n’ai jamais pu l’encadrer, il est grand temps de le dire franchement. Je ne suis personne pour lui dicter qui voir et qui fréquenter, je suis malgré tout son mari pour lui dire ce que j’approuve ou non. « Je ne laisserai plus jamais quelqu’un se mettre entre nous. » Je veux qu’elle l’entende encore, que cela s’imprime de partout sur le nouveau contrat que l’on ne cesse d’ériger ensemble. « Il a plutôt intérêt à ne pas recommencer. » C’est mon poing qu’il va goûter d’une manière ou d’une autre.




take me far from streets and roads. lead me out in the night, don't show me the way back home. because i'm craving, craving, craving something i can feel. where do i go, what do i need, is it ecstasy or is it fear? am i on my own, am i even close? because i'm still craving something i can feel




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Message(#)let me adore you (jailey #44) EmptyDim 27 Déc 2020 - 21:55

Elle reste assise en face de lui, main dans la main et elle se demande comment il va bien pouvoir réagir. Elle ne veut pas le perdre à cause de cette histoire, mais elle ne veut pas non plus que Pete sorte de sa vie pour toujours. Les deux hommes sont des constantes dans sa vie et elle ne se voit pas évaluer sans l’un des deux. Ils sont tous les deux trop importants pour qu’elle laisse un baiser tout gâcher. Elle est tendue mais Bailey finit par lui dire qu’il ne lui en veut pas. Même si elle le sent énervé, elle ne sait pas si elle peut faire quelque chose pour lui changer les idées.

Elle respire mieux, et elle reste proche de lui, lui laissant le pouvoir sur ce qu’il se passe entre eux et le rythme qu’il a besoin d'imposer après avoir appris cette nouvelle. « Personne ne se mettra plus jamais entre nous. » Ils sont d'accord sur ce point, ils ont dit qu’ils allaient se battre l’un pour l’autre et c’est ce qu’ils sont en train de faire. Son pouce passe doucement sur sa joue et elle n’impose rien. Il a certainement besoin de temps, Jill n’aurait sûrement pas réussi à rester aussi calme s’il lui avait annoncé une chose pareille. « J’ai confiance en toi. » Elle sourit, elle a besoin d’entendre ce genre de choses. Ils apprennent à créer une nouvelle histoire et la confiance est la base de ce dont ils ont besoin. « Les autres par contre… Je ne leur ferais jamais confiance. » Elle penche la tête sur le côté, elle aime voir ce nouveau côté de Bailey. “Pas besoin d’avoir confiance en qui que ce soit d’autre.” Ils vivent pour eux et Jill ne voit plus que lui depuis plus d’un an déjà. Il n’y a eu personne d’autre que lui pour elle depuis des mois et il le sait.

« Et surtout pas lui. » Elle pince les lèvres, mais elle ne peut rien dire pour défendre Pete cette fois. Il a fait une connerie et elle savait que Bailey le détestait déjà. “J’ai jamais aimé que vous vous détestiez.” Mais elle vient de lui donner une nouvelle raison de ne pas pouvoir le voir. Mais elle n’avait pas le choix. « Je ne laisserai plus jamais quelqu’un se mettre entre nous. » “C’est pareil pour moi.” Il s’éloigne d’elle et elle se lève pour aller mettre de la musique. Elle peut enfin profiter du moment comme il se doit, et elle a envie de lui changer les idées. Elle met un disque au hasard et se tourne vers lui. « Il a plutôt intérêt à ne pas recommencer. » Elle ne peut pas s’empêcher de sourire et elle attrape sa main une nouvelle fois pour le ramener vers elle. “C’est que tu commences à être possessif.” Et au final, c’est peut-être ce qu’elle a toujours attendu. “Je crois que j’aime encore plus ce nouveau Bailey.” Elle se confie, il a besoin d’être rassuré et elle se doit aussi de faire des efforts. “Tu danses ?”

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ÂGE : trente-trois ans - (23.08.1991)
STATUT : même le bonheur, c'est sympa, mais c'est pas stable. c'est juste une pause entre deux trucs qui s'passent mal.
MÉTIER : il faisait des efforts, mais le projet qui devait changer sa vie est revenu à une autre entreprise. il se retrouve sans emploi, sans perspectives d'avenir non plus. en gros? c'est la merde...
LOGEMENT : on lui a repris les clés du #333 water street (sping hill), mais prétends que c'est juste le temps de quelques travaux, conséquence d'un dégât des eaux. en attendant de trouver une issue à son mensonge, il oscille entre une chambre d'hôtel, le lit de Greta et le canapé de Kendall
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POSTS : 7524 POINTS : 1120

TW IN RP : consommation de drogue, déni d'addiction, propos homophobe et sexiste
GENRE : Je suis un homme
ORIENTATION : J'aime les jolies filles.
PETIT PLUS : véritable produit de la bourgeoisie londonienne › égoïste, il pensera toujours à lui avant toute chose › addict à la poudre malgré une première désintoxication en août 2021 › grand enfant qui ne sait toujours pas quoi faire de sa vie et préfère s'amuser en pensant qu'il n'y aura jamais de conséquences.
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(2023) greta #2swann #6swann #7eleonora #3mariage rowanngreta #3swann #9greta #4 (2016)greta #5greta #6swann #10corey #3noorswann #13 (2011)greta #9malone #2london gangemery #1mickey

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CRÉDITS : brenda-panicstation (avatar), harley (gif profil&signa), harley (gif greta), harley (gif swann), endlesslove (code signa), loonywaltz (ub)
DC : atlas siede (ft. sebastian stan) › shiloh atkins (ft. haley lu richardson) › nina sterling (ft. suki waterhouse) › ollie gallagher (ft. paul mescal)
PSEUDO : paindep.
INSCRIT LE : 19/11/2018
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Message(#)let me adore you (jailey #44) EmptyLun 28 Déc 2020 - 0:04

Il s’agit de tout réapprendre, d’envisager la danse autrement, de passer l’épreuve des bosses en cassant un peu le dos. C’est nouveau et c’est bien loin d’être parfait, mais on ce l’était jurer que c’est l’honnêteté qui se devait de primer après des années à garder cadenasser tant de choses enfouies par milliers. Dans son aveu, je ne lis qu’une volonté profonde de vouloir bien faire même si la nouvelle qu’elle apporte ne me donne en rien l’envie de me réjouir. En retour, je lui livre mes émotions les plus crues, cette jalousie qui prime, celle que je n’avais jamais su exprimer par avant. « Pas besoin d’avoir confiance en qui que ce soit d’autre. » Il n’y a qu’elle qui compte dans la finalité, mais les autres ne cessent de graviter autour d’elle, telle des vautours qui attendent un signal de faiblesse et Pete viens d’être nommé chef d’orchestre. J’ai toujours su que le regard qu’il posait sur elle convoyait bien plus qu’une simple amitié. Il a bien souvent été source de dispute sans jamais réellement être nommé. Il a été source d’angoisse et d’anxiété pour ma part dans un silence des plus total. C’est de l’histoire ancienne tout cela. « J’ai jamais aimé que vous vous détestiez. » Je ne sais retenir le rire nerveux qui m’échappe. « C’est pas comme s’il faisait des efforts pour se faire apprécier. » Il a toujours su me montrer son hostilité et son dernier coup est si bas qu’il en deviendrait presque pathétique. Il m’insupporte autant qu’il me fait enrager et il vaudrait mieux pour lui que je ne le croise pas pendant un temps. « C’est que tu commences à être possessif. » Et c’est là que je réalise pleinement à quel point je n’ai jamais su tout lui dire. Trop souvent, je lui ai reproché de mes cacher les choses, de ne pas être pleinement honnête avec moi alors que je n’étais pas mieux. En rien, ma jalousie est une nouveauté, elle a toujours été présente et a bien souvent été source de souffrance, dans un silence des plus total. J’acceptais de me laisser bouffer par les émotions pour ne rien lui imposer. « Je crois que j’aime encore plus ce nouveau Bailey. » Quand c’est tout ce qu’elle semblait attendre durant tout ce temps. « Je l’ai toujours été. » que je murmure lentement. « Je savais simplement jamais te le dire. » J’étais terrifié que cela l’emmène loin de moi, encore une fois, je m’étais trompé sur toute la longueur.

« Tu danses ? » C’est seulement maintenant que je reconnais les notes de musique qu’elle a lancée sur la platine. Un de mes plus vieux albums, une pépite de ma collection, celui que l’on écoutait tant lorsque l’on passait des heures à se cacher du monde, du temps de Londres. Ma main attrape la sienne tandis que mon bras vient verrouiller ses hanches contre les miennes. Mes lèvres effleurent sa mâchoire dans un souffle qui se veut rassurant. « Merci. » D’avoir été honnête, d’avoir tout dit sans attendre. « Ça compte vraiment. » Bien plus que ce qu’on aurait pu imaginer auparavant.

Lentement, je nous fais virevolter au rythme de la mélodie, oubliant le monde extérieur et ses nuisances. Il n’existe plus qu’elle, sa peau sous mes doigts et son souffle contre ma joue. On n’avait jamais réellement dansé comme cela, sans vraiment tourner, sans vraiment s’en soucier. L’étreinte perdure et la colère de la révélation s’estompe. « J’ai jamais compris pourquoi tourner en rond sur soi-même pouvait compter comme une danse. » Durant des années, on a su qu’être sérieux, c’est ma façon de relâcher un peu la pression.




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Message(#)let me adore you (jailey #44) EmptyLun 28 Déc 2020 - 15:39

Tout se passe bien. Jill est rassurée de voir que Bailey ne s’éloigne pas d’elle, et elle lui laisse le temps d’accepter la nouvelle. Elle lui fait aussi comprendre qu’il n’y a plus que lui dans son coeur et elle ne veut pas tout gâcher. Le problème est plus ou moins résolu et Jill cherche à passer à autre chose. Il a passé du temps à préparer tout ça alors elle veut profiter. Elle lui avoue des choses, elle tente de le rassurer et ça a l’air de fonctionner. « C’est pas comme s’il faisait des efforts pour se faire apprécier. » Elle secoue la tête, elle ne peut pas le défendre cette fois. Il a fait une connerie et elle le sait. Jamais Bailey et Pete n’arriveront à avoir une bonne relation, et elle n’aime pas vraiment ça. « Je l’ai toujours été. » Elle le sait au fond, qu’il a toujours été jaloux. Elle l’a toujours été aussi, mais elle était bien plus démonstrative que lui. “Continue de le montrer.” Elle sourit un peu « Je savais simplement jamais te le dire. » “Tu peux le montrer…” Ca lui fait plaisir de le voir comme ça, de voir qu’ils sont capable enfin de montrer qu’ils veulent créer ce lien à deux sans que personne ne soit au milieu.

« Merci. Ça compte vraiment. » Elle laisse glisser ses lèvres sur sa joue. “C’est aussi important pour toi que pour moi.” Elle lui tend la main après avoir mis un disque qui leur rappelle pas mal de souvenirs différents. Et ils sont là pour en créer des nouveaux. Elle soupire de soulagement quand il la rejoint et qu’ils commencent à danser. Rien de très recherché, ils sont simplement enlacés l’un à l’autre à tourner en rond. « J’ai jamais compris pourquoi tourner en rond sur soi-même pouvait compter comme une danse. » Elle pouffe de rire. “Tu voudrais qu’on danse autrement ?” Elle éloigne un peu sa tête et laisse glisser ses mains autour de son cou. “Si on met d’autres musiques je peux même te donner un cours de danse.” Elle hausse les épaules, bien plus joueuse que quelques minutes auparavant. Ils ne sont plus aussi sérieux qu’avant et c’est pour le mieux. Elle s’éloigne et change de musique, c’est bien plus lent et bien plus sensuel. Elle est joueuse Jill, et elle veut profiter au maximum du moment qu’ils sont en train de vivre. “Ca c’est mieux non ?” Elle pince les lèvres et se rapproche de lui à nouveau. Elle a toujours été bonne danseuse la McGrath, et elle joue de ses charmes face à l’homme qu’elle aime. Elle tourne, danse dos à lui, gardant toujours une partie de son corps collé à lui et elle finit par rire et se remettre face à lui. “T’as jamais été bon danseur.”

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Message(#)let me adore you (jailey #44) EmptyLun 28 Déc 2020 - 22:12

Pour beaucoup, je lui ai promis de faire des efforts. Je lui ai surtout promis de ne plus me cacher derrière des excuses, derrière une peur qui n’a jamais réellement eu lieu d’être. C’est la franchise qui se doit de primer quand durant des années, j’ai tout donné pour tenter de conserver le damage control. Alors, je l’affirme, le souligne en gras et en italique, je n’aime pas Pete. Il serait idiot de dire jamais quand il s’apparente qu’aujourd’hui Auden et moi sommes capable de rester seul dans la même pièce sans s’entretuer. Il a encore du chemin à faire Pete et surtout, c’est sa langue dans sa bouche qu’il se doit de garder. « Continue de le montrer. » Jamais je n’aurais pensé qu’elle aurait apprécié que je me montre ainsi, que je fasse savoir qu’elle est un peu à moi et pas vraiment aux autres. J’avais tant de fois imaginé son expression si j’avais osé. Ce petit rictus au coin de sa lèvre et cette flamme dans ses yeux qui assure qu’elle fera le plus de mal avec le moins de mots possibles. Ce n’était qu’une frayeur de plus quand elle semble vouloir entendre tout cela, le savoir et surtout le voir. « Tu peux le montrer… » Je hoche la tête, enregistre la moindre information jusqu’à l’intonation de sa voix et le regard qu’elle me lance. Quelque chose change, là, sous nos yeux. Pour la première fois de ma vie, je n’ai pas peur du changement. « J’ai plus envie de retenir quoique ce soit. » C’est derrière moi tout cela. Les vieux démons ne sont jamais loin, mais on apprend à tomber pour mieux se relever. Un pas après l’autre.

La musique qu’elle lance impose un autre rythme, plus calme, plus serein. On s’enlace autant que l’on valse en douceur dans un cercle si fin que l’on n’irait nulle part même si on le voulait. Sa peau brûle la mienne autant que mon palpitant semble rater un battement ou deux. Cette soirée se devait d’être légère pour renoncer aux obligations, à la pression du regard des autres. L’humour n’a jamais été mon fort, mais lui arracher un rire semble être la plus belle des victoires. « Tu voudrais qu’on danse autrement ? » Et l’ambiance change, encore une fois, en un claquement de doigt. « Si on met d’autres musiques, je peux même te donner un cours de danse. » Je connais ce regard par cœur. C’est celui du jeu, celui qui annonçait toujours un débordement, un flirt avec la limite. Celui qui aujourd’hui semble vouloir se redéfinir autrement. Le piano fait place à une mélodie hispanique bien plus sensuelle et Jill ondule dans ma direction, ses prunelles river dans les miennes. Ce serait mentir que d’affirmer qu’à cet instant précis, elle ne réveille pas une colonie entière de papillons dans le bas de mon ventre. La sensation me fait sentir pleinement vivant alors que mes dents viennent torturer ma lèvre inférieure. En rythme et dans une lenteur qui rendrait fou n’importe quel homme sain d’esprit, elle joue. « Ca, c’est mieux non ? » Déjà, son corps se colle au mien et j’en oublie le reste. « C’est parfait. » Surtout ne t’arrête pas. Ce sont mes mains qui glissent contre ses hanches pour venir coller son dos à mon torse. Ce sont mes lèvres qui tracent un millier de foyers sur la ligne de son cou. C’est elle tout entière qui m’avait tellement manqué. « Ne t’arrête pas. » Mon ton se fait plus insistant, bien moins charmeur, un brin décisif. Mes doigts glissent sur son ventre, cherchent la couture de son haut, pour glisser sous le tissu, à la recherche du contact de sa peau brûlante.

« T’as jamais été bon danseur. » C’est elle qui me rend joueur. « Excuse toi !! » Oh que je me vexe d’un rien. Oh que je vais lui prouver qu’elle a cruellement tort. La tentative est aussi vaine qu’hilarante – cela dépend des points de vue – alors que je tente de danser de manière lascive. Mon esprit se pense désirable comme jamais alors que mes membres volent dans tous les sens dans un rythme diablement en accord avec la musique, mais avec une grâce qui me fait cruellement défaut. « Je danse très bien. » que j’affirme fièrement alors que la réalité est tout autre. Lorsque mon regard croise le sien, je comprends que ma nullité dépasse l’entendement. « Tu devrais avoir honte de te moquer de ton mari. » Son mari. Le possessif prend toute sa définition alors que je m’approche d’elle, dansant d’une manière endiablée et bien décider de lui voler un baiser. Bien décider de retrouver sa peau, encore.

Jouer avec le feu, c’est l’essence même de ce que nous sommes.
Ce soir, et pour la première fois, le jeu n’a plus rien de malsain.




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Message(#)let me adore you (jailey #44) EmptyMar 29 Déc 2020 - 18:06

Elle est ravie d’avoir réagi de cette manière et de lui avoir parlé de tout ce qu’il s’est passé. Elle n’aurait pas pu passer une bonne soirée si elle n’avait pas pris son courage à deux mains pour lui parler. « J’ai plus envie de retenir quoique ce soit. » Elle sourit et l’embrasse une nouvelle fois, ça redevient une habitude et elle aime ça. Elle rattrape des mois sans l’avoir approché, et elle se demande pourquoi est ce qu’elle a autant hésité à revenir vers lui, et pourquoi elle n’a plus voulu de cette vie pendant quelques semaines.

L’ambiance change, le ton aussi et l’angoisse disparaît petit à petit. Elle profite de ce moment et elle joue comme elle a toujours su le faire. Parce que cette partie d’elle ne changera jamais. Ils s’aiment comme ça, et Jill aime être de nouveau aussi proche du jeune homme. La musique est sensuelle et elle danse. Elle se colle à lui, sachant très bien quel genre d’effets elle peut lui faire. « C’est parfait. » Elle sourit, un sourire taquin et amusé. Elle laisse glisser ses dents sur sa lèvres inférieure et ses mains se baladent sur les bras de Bailey. “Je suis toujours parfaite.” Oh que c’est faux. Elle est loin de l’être mais elle reste sur le ton de la rigolade. « Ne t’arrête pas. » Elle aime ce ton, il la désire et c’est aussi son cas. Mais elle se sent bizarre Jill, elle n’est pas du tout à l’aise et ça c’est nouveau. Il glisse ses mains sous tee-shirt pour caresser son ventre et un frisson qu’elle n’apprécie pas lui parcourt l’échine. Mais elle essaie de ne pas y penser. Elle serre les dents et elle se tourne vers lui, retrouvant la lueur amusée dans son regard. Elle laisse glisser ses lèvres sur sa mâchoire et ne s’arrête jamais de sourire. “Pas avant la fin de la musique.” Elle hausse les épaules et continue de bouger, toujours collée à lui.

Elle s’éloigne un peu et Bailey se met à danser, elle ne peut s’empêcher de rire. Elle le trouve mignon comme ça, mais elle ne peut pas s’empêcher de se moquer un peu. « Excuse toi !! » “Certainement pas.” Et elle pouffe de nouveau de rire. « Je danse très bien. » “Mais bien sûr !” Elle boit une gorgée de vin et retourne vers lui en tentant de guider ses pas et ses hanches, un petit cours de danse improvisé. « Tu devrais avoir honte de te moquer de ton mari. » “Je suis la seule à avoir le droit de le faire !” Elle vient mordiller son cou et profite des lèvres de Bailey qui se baladent sur son visage et dans son cou. Elle colle chaque partie de son corps à Bailey, elle a besoin de cette proximité et elle n’écoute pas cette voix dans sa tête qui lui dit qu’elle n’est pas prête. Elle n’écoute pas non plus la crispation quand ses mains se font un peu trop baladeuses et qu’elles prennent leurs places sur des zones qu’elle aime habituellement. Mais ce soir, ça semble différent.

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STATUT : même le bonheur, c'est sympa, mais c'est pas stable. c'est juste une pause entre deux trucs qui s'passent mal.
MÉTIER : il faisait des efforts, mais le projet qui devait changer sa vie est revenu à une autre entreprise. il se retrouve sans emploi, sans perspectives d'avenir non plus. en gros? c'est la merde...
LOGEMENT : on lui a repris les clés du #333 water street (sping hill), mais prétends que c'est juste le temps de quelques travaux, conséquence d'un dégât des eaux. en attendant de trouver une issue à son mensonge, il oscille entre une chambre d'hôtel, le lit de Greta et le canapé de Kendall
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POSTS : 7524 POINTS : 1120

TW IN RP : consommation de drogue, déni d'addiction, propos homophobe et sexiste
GENRE : Je suis un homme
ORIENTATION : J'aime les jolies filles.
PETIT PLUS : véritable produit de la bourgeoisie londonienne › égoïste, il pensera toujours à lui avant toute chose › addict à la poudre malgré une première désintoxication en août 2021 › grand enfant qui ne sait toujours pas quoi faire de sa vie et préfère s'amuser en pensant qu'il n'y aura jamais de conséquences.
CODE COULEUR : #0C4857
RPs EN COURS : (06) greta #16swann #17ken #3ottielenamurphy

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moventry #9 › i feel a little nauseous and my hands are shaking. i guess that means you're close by. my throat is getting dry and my heart is racing, i haven't been by your side in a minute, but i think about it sometimes. even though i know it's not so distant ❘ #1#2#3#4#5#6#7#8#9#10#11#12#13#14#15#16

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― communications ―
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AVATAR : françois civil.
CRÉDITS : brenda-panicstation (avatar), harley (gif profil&signa), harley (gif greta), harley (gif swann), endlesslove (code signa), loonywaltz (ub)
DC : atlas siede (ft. sebastian stan) › shiloh atkins (ft. haley lu richardson) › nina sterling (ft. suki waterhouse) › ollie gallagher (ft. paul mescal)
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INSCRIT LE : 19/11/2018
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Message(#)let me adore you (jailey #44) EmptyMer 30 Déc 2020 - 22:11

On laisse sa révélation sur le côté de la route. On inspire un bon coup et on avance. On se l’est promis, de ne plus se laisser retenir par les détails, par ce qui ne ressemble qu’à des parasites autour de nous. Sa franchise est tout ce que je retiendrais au bout du fil et les actions de Pete n’en seront que doublement surveiller de près. Ce n’est pas cela qui viendra gâcher notre soirée, je l’ai décidé. Je préfère par mille fois la voir rire aux éclats. « Je suis toujours parfaite. » Je pouffe si fort qu’elle en tourne la tête et je me mords la lèvre prétendant ne pas avoir remis en question ses quelques mots. « Ça reste discutable. » que j’avance, le regard empli d’une malice que je pensais oublier depuis des années. « Quand tu piques toute la couette et que tu colles tes pieds froids sur moi, t’es loin d’être parfaite. » Je l’ai remarqué au fil des années, quand parfois elle se laissait aller à une nuit à mes côtés, que ses pieds sont toujours froids. J’en ris le cœur léger, aujourd’hui, de connaître ce détail parmi tant d’autres. « Puis quand tu prends toute l’eau chaude, quand tu gribouilles sur mes partitions ou quand tu mâches trop fort au petit-déjeuner. » Tous les détails que je ne prenais plus le temps de relever, mais tout ceux que j’aime tant chez elle. Tout ce que je souligne par un énième baiser alors que l’on danse comme les deux adolescents incapables de se séparer que l’on est devenu dernièrement.

Elle se moque et elle rit alors que je tente mes meilleures moves. Ses mains rejoignent mes hanches tandis que ses lèvres se promènent sur ma peau. C’est le rythme qui nous emporte ou l’envie de redécouvrir l’autre qui nous enivre. C’est brouillon comme jamais, mais c’est libre. « Je suis la seule à avoir le droit de le faire ! » qu’elle souligne dans un sourire. « L’unique. » La seule qui n’a jamais compter, celle pour qui tout me semble possible. L’on aura passé dix années à se chercher sans parfois savoir se trouver, on aura prétendu tout savoir quand en réalité on ne savait rien de l’autre. On a pensé pouvoir cacher les cadavres sous le tapis sans jamais les évoquer. Il aura fallu enchaîner les erreurs, tomber au plus bas, créer une famille de travers pour mieux apprendre la leçon. Attendre de presque tout perdre, pour se trouver enfin. Les entraves qui nous retenaient ont disparu, on ne peut plus se cacher derrière des excuses. Toutes les possibilités sont là et il ne nous reste qu’à les saisir.

Chacun de ses gestes semble familier, chacun de ses baisers réveiller une flamme sur mon épiderme. Ses mains trouvent le chemin de mon torse, les miennes danse à l’orée de ses hanches. Chaque parcelle de sa peau passe entre mes lèvres, chaque seconde passée rapproche son corps du mien. Rien n’est contrôlé, tout n’est qu’improvisation et désir. Tout ce que l’on, c’était promis de ne pas précipiter. Résister à la tentation semble impossible tant elle connaît encore par cœur la moindre chose qui me fera tourner la tête. Pourtant, quelque chose sonne différent lorsqu’elle a un pas de recul alors que ma main frôle son ventre, lorsqu’elle retient son souffle quand du bout des doigts, je viens frôler le tissu de son soutien-gorge. Quand mes lèvres retrouvent les siennes, tout semble mécanique dans ses gestes. Alors, je ris, inconscient du dilemme qui se joue dans un coin de sa tête. « Et si on mangeait ? » Lever de drapeau blanc, proposition d’une trêve avant de franchir la limite. « Tu me fais tourner la tête. » Dans tous les sens, pire qu’une machine à laver lancer à plein régime. On ne détaillera pas, mon souffle court et mes mains qui tentent tant bien que mal de replacer mon jean discrètement.

C’est son silence qui finit par me faire relever la tête.




take me far from streets and roads. lead me out in the night, don't show me the way back home. because i'm craving, craving, craving something i can feel. where do i go, what do i need, is it ecstasy or is it fear? am i on my own, am i even close? because i'm still craving something i can feel




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Message(#)let me adore you (jailey #44) EmptyJeu 31 Déc 2020 - 20:44

Elle joue et elle oublie ce qui la stressait il y a encore quelques minutes. Elle a été honnête, elle l’a dit et maintenant ils arrivent à profiter de la musique et de leurs moments. Elle le taquine, c’est comme toujours. Ils retrouvent cette complicité qu’ils n’ont jamais vraiment perdu. Elle dormait juste dans un coin en attendant qu’ils soient capables de prendre conscience de leur volonté de prendre un nouveau départ. « Ça reste discutable. » Elle lui fait une fausse moue outrée, elle le sait qu’elle n’est pas parfaite, personne ne peut l’être. « Quand tu piques toute la couette et que tu colles tes pieds froids sur moi, t’es loin d’être parfaite. » “Je vois pas de quoi tu parles.” Elle hausse les épaules avant de rire, il met le doigt sur des détails qu’il est le seul à connaître. « Puis quand tu prends toute l’eau chaude, quand tu gribouilles sur mes partitions ou quand tu mâches trop fort au petit-déjeuner. » “Les partitions gribouillées sont celles avec les meilleures chansons dessus. Et c’est celles que tu préfères." Elle lui fait un clin d’oeil et reste collé à lui en continuant de bouger au rythme de la musique. « L’unique. » Elle est la seule à pouvoir se moquer de lui, la seule à avoir le droit de le toucher et de l’embrasser, comme il est le seul à pouvoir le faire aujourd’hui. Qui aurait cru qu’un jour, Jill aurait voulu à ce point être exclusive avec un homme ? Elle a mis du temps à grandir, mais elle est sur la bonne voie, elle le sent.

Ils bougent et ils se rapprochent. Il n’y a que très peu de mots, seulement des caresses et leurs corps qui s’entremêlent. Jill ne se sent pas comme d’habitude, elle se pose des questions et elle frissonne, mais pas de la bonne manière. Elle ne se sent pas très bien mais elle continue. Elle n’a pas envie de se poser des questions, ce n’est pas le moment, pas alors qu’ils commencent tout juste à se retrouver. Elle connait les bons gestes, les bonnes choses à faire pour qu’il perde la tête. Ils se connaissent par coeur, et elle connait chacun des recoins et des caresses qui peuvent le rendre fou. Il vient toucher son ventre et elle tremble une seconde avant de se retourner pour se trouver face à lui. Sa respiration se fait plus saccadée mais elle a l’impression que c’est à cause de la peur, pas à cause de l’excitation. Elle déglutit quand il s’éloigne, se demande s’il a remarqué quelque chose ou si elle a fait quelque chose de mal. « Et si on mangeait ? » Elle pince les lèvres et sourit en voyant l’expression sur son visage. « Tu me fais tourner la tête. » Elle le sait, et elle en joue beaucoup. Mais son corps ne répond pas comme il le fait d’habitude, et elle ne comprend pas ce qu’il se passe la McGrath. Elle se tait et elle se pose des millions de questions. Elle s’assoit pour manger un morceau et elle a l’estomac noué. “Je suis désolée je me sens pas très bien.” Son état à changé du tout au tout à cause de cette proximité et elle a l’impression de tout gâcher. “Je veux pas gâcher ce moment.” Elle baisse les yeux une seconde avant de croiser le regard de Bailey.

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Message(#)let me adore you (jailey #44) EmptyVen 1 Jan 2021 - 19:05

« Les partitions gribouillées sont celles avec les meilleures chansons dessus. Et c’est celles que tu préfères. »
« Il m’en faudrait des nouvelles. »

Des partitions qui en valent la peine, mais surtout ses doodles sur la marge. Reprendre enfin la musique, me plonger à cœur perdu dans mon piano, mes mélodies et tout ce qui trotte dans un coin de ma tête depuis si longtemps. La laisser entrer dans mon monde, partageant le sien à la fois.

C’est un point de départ lorsqu’elle lance un vinyle et que dans la seconde son corps obéit au rythme, se déhanchant de manière autant suggestive qu’envoûtante. Elle a toujours su danser Jill, toujours su jouer de son charme sur ma personne. Elle connaît chacune de mes failles, chaque geste qui pourrait me faire craquer en une demi seconde. Ses mains qui retrouvent les endroits stratégiques, ses lèvres qui viennent titiller ma peau sur ce point qui me fait frémir de la tête aux pieds. L’univers tout entier semble se suspendre et ne tourne qu’autour d’elle. Mes prunelles scrutent le moindre de ses gestes, le bonheur de l’instant se nourrit de ses sourires et éclats de rire. À pleine main, je saisis les formes de ses hanches, autant que la chance qui se présente à moi. Elle joue comme toujours, elle gagne comme bien trop souvent. Je m’emballe, perds de vue la promesse que l’on c’était fait. Et tout chance, dans un instant, un minuscule éclat qui me fait réaliser que si son sourire ne se décroche pas un instant, Jill n’est pas pleinement présente. L’énième frisson qui émane sous la pulpe de mes doigts ne ressemble en rien à du plaisir, mais bien plus à une crainte que je suis bien incapable d’identifier. Un battement et elle s’éloignent. Un pas et elle reculent si long qu’elle me semble intouchable. L’excuse se présente dans un rire, son silence me déstabilise. Quelque chose ne va pas. C’est là, sous mes yeux et je suis bien incapable de poser le doigt dessus. Son regard est fuyant et je pense à ce qu’elle a bien pu m’avouer. Est-ce qu’elle regrette ? Est-ce qu’elle pense à lui ? J’ai juré de ne plus me laisser envahir par ce genre de pensée néfaste. J’expire, relève la tête, frissonne lorsque tout son corps est sur la défensive. « Je suis désolée je me sens pas très bien. » Un pas en arrière de plus, pour lui laisser de l’espace, pour ne pas imposer ma présence auprès d’elle. « Je veux pas gâcher ce moment. » C’est son regard qui fixe le sol, ce sont ses épaules enfoncer sur elles-mêmes qui donne tous les signes. Et c’est là que je dois prendre mon rôle à pleine main, celui que j’ai tant négligé auprès d’elle. « Eh… Tu gâches rien du tout. » que je lui assure le plus tendrement du monde. Je viens m’asseoir à quelques mètres d’elle, a même le sol, pour croiser son regard sans jamais m’imposer. « C’est moi qui me suis emballer, tu n’as rien à te reprocher. » On s’était assuré de ne pas retomber dans nos vieux travers, de faire du sexe l’élément privilégier de notre relation. J’ai oublié, je me suis laissé aspirer dans tout ce qu’elle me fait ressentir. « On peux juste manger un bout et regarder un film. » que je lui assure, sourire toujours aux lèvres. « A ton rythme. » En rien, je n’avais planifié cette date pour que cela se termine entre les draps, ce n’est pas quelque chose que l’on doit prévoir, jamais je ne lui imposerais cela quand visiblement le problème est présent. « Je suis désolé Jill. » D’avoir franchi la limite sans demander son autorisation.




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Message(#)let me adore you (jailey #44) EmptySam 2 Jan 2021 - 19:13

Elle s’emballe Jill, et elle replonge tête baissée dans ses mauvaises habitudes. Elle est dans la séduction, dans le désir, et pourtant, son corps n’a pas l’air en accord avec elle pour le moment. Elle n’a rien fait pendant des semaines, voir même des mois. Elle n’a rien fait depuis qu’elle était enceinte. C’était par choix, à cause du fait qu’elle ne voulait personne d’autre que Bailey dans sa vie. Mais même être aussi proche de Bailey la met mal à l’aise à cet instant. Elle ne montre rien, elle le tente du moins, mais Bailey n’est pas dupe, et il la connaît par coeur. C’est lui qui finit par s’éloigner.

Elle a l’impression de tout gâcher alors qu’ils redevenaient aussi proche qu’avant. « Eh… Tu gâches rien du tout. » Il s’assoit à côté d’elle, et elle n’a plus faim la McGrath. Elle ne fait que réfléchir à ce qui ne va pas chez elle. Pourquoi elle n’arrive pas à se rapprocher de lui alors qu’ils semblaient être sur la même longueur d’onde ? « On peux juste manger un bout et regarder un film. » Elle soupire, ce n’est pas du tout le genre de soirée qu’elle aimait faire avant. Ils n’auraient même pas mangé si tout ça s’était passé quelques mois auparavant. Et aujourd’hui, elle se sent mal uniquement parce qu’il lui a frôlé le bras. “C’est pas ce que j’avais imaginé en venant ici.” Elle serre les dents, mais elle doit comprendre que ça fait partie du nouveau elle, et de ses vraies envies et besoins. « A ton rythme. » “Et c’est quoi le tien ?” Elle se demande s’il est déçu. « Je suis désolé Jill. » Il s’excuse et elle se rapproche pour le prendre dans ses bras. “C’est pas toi.” Bien au contraire. “C’est moi qui ai commencé, je…. c’est juste comme ça que j’ai toujours fonctionné.” Elle hausse les épaules, se demandant désormais comment ça va se passer si elle n’est même pas capable de danser collée à lui.

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Message(#)let me adore you (jailey #44) EmptySam 2 Jan 2021 - 19:48

Il n’aura fallu qu’un instant pour que le comportement de Jill change du tout au tout. S’il y a quelques minutes encore, elle dansait autour de moi, son sourire de séductrice aux lèvres, désormais elle est recroquevillée sur elle-même dans un coin du canapé. C’est avec prudence que je m’approche d’elle, incapable de réellement comprendre ce qui est en train de se dérouler dans un coin de sa tête. Je redoute une crise, mais elle semble bien trop prostrer pour que ce soit le cas. C’est comme si elle était en train de réaliser quelque chose et qu’elle ne sait pas réellement si cela doit être positif ou non. Avec toute la maladresse du monde, je tente de la rassurer. En rien, je n’avais prévu que l’on couche ensemble ce soir, ce n’était pas une idée fixe, ça ne devrait d’ailleurs jamais l’être. On s’est laissé entraîner sur le moment, mais ce n’avait pas besoin d’être une finalité en soit. « C’est pas ce que j’avais imaginé en venant ici. » Ou tout du moins, ce ne l’était pas pour moi. Surpris par sa réponse, je marque un temps d’arrêt et me recules quelque peu. C’est à cet instant précis que toute la confiance perdue transparaît. Je pensais que toute cette époque, où seul le plaisir charnel comptait, était loin derrière nous. Il faut croire que je m’étais trompé aveuglément. « Et c’est quoi le tien ? » Je retiens une pique bien trop violente pour respirer un coup et prendre le temps de lui répondre bien plus calmement. « Je n’ai pas besoin que l’on couche ensemble pour que ce soit une bonne soirée Jill. » Je tente de lui sourire même si l’envie, c’est un peu dissiper. Certes, elle m’avait fait tourner la tête. Bien entendu, qu’on se serait sûrement perdu à se donner du plaisir si elle n’avait pas mis de la distance, mais ce n’est pas quelque chose que j’avais planifié. « Il y a aucun rythme à s’imposer, on devrait même pas réfléchir, quand ce sera le moment ça viendra. » C’est ma vision des choses, mais j’ai soudainement peur que ce ne soit pas complètement partagé par la jeune femme à mes côtés. Malgré ses bras qui retrouvent les miens, malgré son timide sourire. Je ne suis plus vraiment sûr de rien. « C’est moi qui ai commencé, je… C’est juste comme ça que j’ai toujours fonctionné. » Et on vient de mettre le doigt sur le problème. En plein dans le mille. « C’est ce qui nous a perdues à un moment donner. » Quand une relation ne se base que sur le sexe, c’est tout ce qui a autour qui finit par en pâtir, on ne construit rien de solide sur un désir unique. « Je… Je pensais que tu voulais plus que ça pour nous désormais. » Et c’est moi qui commence à me sentir mal désormais, effrayé à l’idée d’avoir complètement halluciné tout ce qu’elle avait bien pu me dire. « Je suis pas sûr de comprendre. » que j’avoue sans jamais juger. Peut-être que l’on a encore besoin de se parler, tous les deux.




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