ÂGE : trente-deux ans (03.08.1992) SURNOM : Penny étant déjà le surnom de Penelope, difficile de faire bien plus court. STATUT : trois ans qu'il lui fait vivre la plus folle et la plus belle des histoires, Isaac est tout pour elle et plus encore. MÉTIER : maman à temps plein, elle partage le reste de son temps entre la fondation Run for Judy à l'hôpital, et la fondation Tomlinson, à défaut de se sentir prête à reprendre le chemin devant les caméras. LOGEMENT : nouvellement installée dans une belle grande maison à Bayside, qu'ils ont choisi ensemble avec Isaac et qui répond à tous les besoins de leur petite tribu. POSTS : 13982 POINTS : 0
TW IN RP : mentions d'agression sexuelle, neurodiversité, parentalité, mentions d'abandon d'enfant. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : elle a un jeune frère autiste qu'elle aime plus que tout et surprotège › fière belle-maman de Jude (13.09.2018) et maman de Maia (14.06.2022) et les jumeaux Jack et Mila (01.08.2023) › bénévole auprès des enfants malades depuis 2020 › être devant la caméra lui manque, mais elle sait son temps auprès des siens plus précieux que jamais.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : Penny crée des malaises en mediumorchid ou en teal. RPs EN COURS : (03) ≡ angus › chris › ethel.
+ the one and only(03) ≡ isaac #23 › isaac #24 › isaac (ff) › isaac (tel). RPs EN ATTENTE : andréa › harleen › micah #6 › riley #2 › rory #12 › you? RPs TERMINÉS :
Le soleil n’était pas encore couché que déjà l’excitation se faisait ressentir tout autour. 26 janvier, fête nationale de l’Australie. Pays qui tu chéris depuis ta naissance. La maison, la seule et l’unique. Ça fait des jours que tu profites des différentes attractions mises à disposition partout en ville pour souligner l’évènement en grand. Ça fait même pas encore une semaine que tu es revenue de Los Angeles et t’es encore plus fatiguée aujourd’hui que tu ne l’étais le jour que tu es arrivée. Faut dire que tu ne te donnes pas vraiment le temps d’arrêter et de te reposer. Tu as peur d’arrêter et de réaliser que tu as tout simplement rêver les derniers jours, les dernières semaines. Si tes quelques jours à Brisbane pour le temps des fêtes ont été plus catastrophiques qu’autre chose, ta vie semble avoir fait un tour à 180 degrés depuis et les bonnes nouvelles s’empilent, comme si tu avais finalement droit à un peu de bon karma. T’as peur d’en profiter trop fort et que ça te sois arrachée subitement tout comme tu as peur de ne pas assez profiter pendant que c’est là et réaliser que t’aurais vraiment dû chérir chaque instant plutôt que de t’en faire autant. Ce soir, t’as l’intention de ralentir un petit peu, pour la première fois depuis le début de cette nouvelle année. T’as invité Erika pour aller voir les feux d’artifices. T’as trouvé un petit endroit tranquille ou vous alliez être en mesure de profiter sans être au beau milieu d’une foule. Il y a quelques personnes autour sur cette terrasse reculée d’un restaurant que tu connais bien, mais c’est quand même bien plus tranquille que ne pourrait l’être la plage en ce moment. T’es installée à ta table, verre de rouge sous les yeux et un déjà prêt pour ton amie qui arrive et c’est avec un large sourire que tu l’accueilles. Tu te lèves et tu viens rapidement la serrer dans tes bras, l’invitant à s’asseoir alors que ton regard passe du soleil couchant jusqu’à elle. « Ça fait trop longtemps. Comment tu vas? » Les derniers mois n’ont pas été de tout repos pour toi et tu t’es reculée beaucoup de celle qui se rapproche le plus de cette grande sœur que tu n’as jamais eu.
L’Australie a beau ne pas être le pays d’origine d’Erika, la brune se sent toujours aussi excitée à l’idée de fêter le vingt-six janvier avec ses amis car la ville fait toujours les choses en grand. Attractions en tout genre, barbecue et feux d’artifice, tous les ingrédients sont réunis pour passer un bon moment et la jeune femme ne manque jamais à l’appel. Et puis toutes ces festivités attirent les touristes et souvent, les ventes de résidences secondaires s’envolent à cette période de l’année, à croire que l’hiver australien a de quoi séduire beaucoup. Elle en sait quelque chose puisque c’est bel et bien le climat qui a achevé de lui donner envie de rester ici près de vingt ans plus tôt alors que son grand amour s’est révélé être un parfait idiot. Ce souvenir tire un sourire à Erika alors qu’elle est en route pour rejoindre Penny afin de boire un verre en observant les feux d’artifice à distance raisonnable. Avant, elle était la première à foncer dans la foule afin de profiter mais à présent, un peu de calme ne lui fait pas de mal, elle peut l’avouer. L’actrice l’a bien compris puisqu’elle a jeté son dévolu sur un bar discret et tranquille, deux qualificatifs on ne peut plus importants lorsqu’on a une notoriété comme la leur. Bien sûr, Erika est loin de partager le niveau de célébrité de son amie – un fait qu’elle remercie d’ailleurs – mais Brisbane est sa ville et peu de personnes ici ignorent qui elle est. Par conséquent, une soirée passée à l’abri des regards demeure un moment précieux, un sentiment que l’actrice doit probablement partager elle aussi. D’ailleurs, elle est déjà là, deux verres de vin rouge posés devant elle et ça amuse Erika de voir à quel point elles se connaissent pour une amitié vieille d’à peine quelques années. Penny croise son regard et se lève pour la rejoindre, la serrant brièvement dans ses bras avant de faire un geste en direction de sa chaise et s’asseoir sur la sienne, sourire aux lèvres. « Ça fait trop longtemps. Comment tu vas? » En effet, les occasions pour elles de se croiser se font bien trop rares, la faute à des emplois du temps qui refusent de se synchroniser, quoi qu’elles fassent. « Je suis d’accord, je n’en reviens pas qu’on arrive à se voir seulement maintenant. Tu repars quand ? » Parce qu’elle ne reste jamais bien longtemps dans le coin Penny, elle le sait bien. « Et je vais bien, merci. Et toi ? » La question est posée par politesse alors que son regard, lui, se veut inquisiteur. La réponse, elle la devine déjà.
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Penny Stringer
l’ère de l'apaisement
ÂGE : trente-deux ans (03.08.1992) SURNOM : Penny étant déjà le surnom de Penelope, difficile de faire bien plus court. STATUT : trois ans qu'il lui fait vivre la plus folle et la plus belle des histoires, Isaac est tout pour elle et plus encore. MÉTIER : maman à temps plein, elle partage le reste de son temps entre la fondation Run for Judy à l'hôpital, et la fondation Tomlinson, à défaut de se sentir prête à reprendre le chemin devant les caméras. LOGEMENT : nouvellement installée dans une belle grande maison à Bayside, qu'ils ont choisi ensemble avec Isaac et qui répond à tous les besoins de leur petite tribu. POSTS : 13982 POINTS : 0
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Tu n’avais pas assisté à beaucoup d’évènements dans la dernière année, préférant plutôt vivre à l’écart de ce monde ou tout se savait trop rapidement, toujours devant ou derrière une caméra, à parler d’un tel ou une telle et espérer en apprendre davantage sur les derniers potins. Quand bien même cela faisait partie du métier que tu avais choisi, il y avait quelque chose de particulièrement épuisant à ce rythme de vie et après l’agression du début de 2020, tu avais ressenti le besoin de faire un pas derrière, de te mettre de côté pour tenter de préserver le peu de toi qu’il restait. Si tu ne regrettais pas cette décision encore aujourd’hui, tu savais toutefois que cette dernière avait eu un impact direct sur le nombre de fois que tu avais pu voir Erika dans les derniers mois. Celle qui avait d’abord été une connaissance d’évènements en tout genre était devenue une amie au fil des années, allant même jusqu’à prendre un rôle similaire à celui d’une grande sœur dans ton univers. Mais au moment même ou tu aurais sans doute eu besoin de l’épaule et des conseils d’une grande sœur, tu avais plutôt fait ce pas de recul dans votre relation aussi, même en dehors des évènements, de peur peut-être de ne pas paraître comme étant cette femme forte et courageuse que tu voulais tant être devant la Woodall. Mais elle t’avait manqué la jeune femme et tu le réalisais maintenant plus que jamais alors que tu posais à nouveau les yeux sur son visage. « Je sais, je n’en reviens pas qu’on arrive à se voir seulement maintenant. Tu repars quand? » Le commentaire t’arrache un sourire ainsi qu’un petit rire forcé alors que tu insistes sur le ha-ha-ha. Elle est même pas encore assise qu’elle te nargue sur ton absence, ce qui ne te surprend pas vraiment au fond. « Je viens à peine de revenir que tu veux déjà que je parte? » que tu dis sur un ton faussement heurtée alors que tu reprends place devant elle et prend une gorgée de ton vin. « Et je vais bien merci, et toi? » Elle t’observe Erika, comme si elle avait peur que tu lui tombes entre les mains comme tu t’étais pourtant refusée de le faire dans les quelques fois ou tu l’avais vu dans la dernière année. Pas ce soir. Ce soir, tu souris, sincèrement. Ce soir, tu es contente d’être là. « Ça va. Los Angeles m’a vraiment fait du bien. » que tu admets, sans trop en rajouter. « Tu as passé un beau temps des fêtes? » Il fallait te mettre à jour sur sa vie, comme tu avais bien l’intention d’être honnête sur la tienne pour une fois.
Apprendre sur le tard que Penny est à Brisbane depuis un moment déjà a eu le don d’affecter Erika, même si elle n’en a rien montré au moment où son amie a pris la peine de lui téléphoner pour qu’elles se rencontrent. Si les amitiés vont et viennent au fil du temps, la brune sait qui a de l’importance dans sa vie et l’actrice en fait partie, même si cette dernière a pris du recul sur leur relation sans qu’elle n’ait le moindre indice pouvant lui expliquer le pourquoi du comment. Elles ont l’habitude de se voir quand leurs emplois du temps coïncident et si la jeune femme a mis un frein à ses nombreux voyages, ce n’est pas le cas de la brune qui continue de courir aux quatre coins du globe et c’est bien normal ; sa carrière décolle et elle doit en profiter. Mais si l’absence est compréhensible, le manque de communication entre elles l’est un peu moins et c’est précisément là-dessus que l’agent espère obtenir des réponses, persuadée que quelque chose ne va pas. Son intuition la trompe rarement, surtout lorsqu’il est question d’une autre personne qu’elle. Alors, elle s’assied face à celle qu’elle considère presque comme la sœur qu’elle n’a jamais eue et se pare de son plus beau sourire en attrapant son verre de vin, avide d’apprendre les dernières aventures de l’actrice. Sa vie est palpitante et tous les journaux en parlent, mais qu’est-ce que la principale intéressée a à dire ? Souvent, la réponse est bien différente de ce que l’on attend. « Je viens à peine de revenir que tu veux déjà que je parte? » Elle paraît heurtée la brune, mais Erika sait qu’elle a l’habitude de surjouer en toute circonstance, ce qu’elle trouve adorable par ailleurs. « Un petit oiseau m’a dit que tu étais déjà revenue depuis un bon mois. » Signale la brunette en jouant avec son verre sans quitter l’actrice des yeux, haussant un sourcil dans sa direction. Le petit oiseau en question s’appelle internet et comme Penny peut s’en douter, l’agent a programmé toutes sortes d’alerte pour garder un œil sur elle ; on ne sait jamais. « Mais au contraire, j’aimerais beaucoup que tu restes. » Est-il nécessaire de le préciser ? Apparemment oui, même si la brune doit s’en douter elle aussi. « Ça va. Los Angeles m’a vraiment fait du bien. Tu as passé un beau temps des fêtes? » Erika hoche la tête, espérant que cette réponse est teintée de vérité et non d’une quelconque politesse destinée à éloigner le sujet de conversation de sa personne. « Je suis retournée à Seattle passer un peu de temps en famille, Ian était… occupé. » Son compagnon a d’autres priorités pour l’instant et même s’il a aussi des racines sur le continent américain, les fêtes n’ont pas semblé être une excuse suffisante pour le faire sortir de son bureau.
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Penny Stringer
l’ère de l'apaisement
ÂGE : trente-deux ans (03.08.1992) SURNOM : Penny étant déjà le surnom de Penelope, difficile de faire bien plus court. STATUT : trois ans qu'il lui fait vivre la plus folle et la plus belle des histoires, Isaac est tout pour elle et plus encore. MÉTIER : maman à temps plein, elle partage le reste de son temps entre la fondation Run for Judy à l'hôpital, et la fondation Tomlinson, à défaut de se sentir prête à reprendre le chemin devant les caméras. LOGEMENT : nouvellement installée dans une belle grande maison à Bayside, qu'ils ont choisi ensemble avec Isaac et qui répond à tous les besoins de leur petite tribu. POSTS : 13982 POINTS : 0
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« Un petit oiseau m’a dit que tu étais revenue depuis un bon mois. » Tu fronces les sourcils, légèrement surprise par l’information que ton amie avance. Un mois? Tu secoues légèrement la tête. Tu ne savais pas d’où elle tenait cette information, mais les cernes sous tes yeux et les courbatures de ton corps elles te rappelaient sans aucune équivoque que non, ça ne faisait pas si longtemps que ça. « Je pense que tu devrais changer d’oiseau parce que je suis revenue au pays ça fait même pas cinq jours. » Cinq jours et t’es encore sur le décalage horaire. Cinq jours et faut avouer que t’as pas vraiment pris le temps de te reposer depuis. Tu fais des siestes à toute heure du jour et de la nuit, seulement quand tu en as réellement besoin parce que tu veux profiter un maximum de tes quelques jours de congé avant de te lancer dans ton nouveau projet. Projet dont la brune devant toi n’a aucune idée. Tu n’avais d’ailleurs pas prévu du tout passer d’un tournage à un autre si rapidement. Tu pensais que tu allais avoir le temps de faire les choses correctement avec Clyde, au sujet de Byers, mais tes priorités avaient légèrement changé et tu te demandais comment tu allais tout gérer de front. « Mais au contraire, j’aimerais beaucoup que tu restes. » Tu ne peux t’empêcher de lui sourire doucement, ta main venant trouver la sienne dans une marque commune mais limitée depuis un an déjà de l’affection que tu as pour la brune. « Je ne vais nulle part pour un moment. J’ai un nouveau rôle pour un film qui se tourne ici même. » Un coup de chance? Tu osais le croire, même si tu devais apprendre à danser pour le rôle ce qui n’était pas gagné d’avance. « Je suis retournée à Seattle passer un peu de temps en famille, Ian était... occupé. » « Le boulot? » Ça te fait toujours de la peine de voir que la brune semble si déroutée au sein de son couple qui semble aller de moins en moins bien chaque fois que tu lui parles. « Je savais même pas que t’étais retournée aux States, on aurait pu se rejoindre quelque part! » que tu dis, comme si le pays n’était pas immense et que tu n’avais pas eu le moindre temps libre dans les dernières semaines de ton tournage. Mais bon, c’est toujours plaisant de prétendre, non?
(c) ethereal
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Dernière édition par Penny Stringer le Ven 22 Jan 2021 - 16:04, édité 1 fois
« Je pense que tu devrais changer d’oiseau parce que je suis revenue au ça fait même pas cinq jours. » Erika hoche la tête dans un sourire, pas vraiment étonnée que ce qu’elle lise dans la presse ne soit pas accurate. « Je n’aurais pas besoin d’oiseau tout court si la principale intéressée se donnait la peine de faire savoir qu’elle était en vie, de temps en temps. » Son arcade sourcilière se lève alors qu’une lueur amusée s’allume dans son regard ; elle ne lui en veut même pas dans les faits, mais son amie lui manque et elle s’inquiète pour elle. Toutes ces rumeurs doivent forcément l’atteindre et si elle en sait quelque chose sur l’apparence de femme forte, elle sait aussi ce qu’il en est de la sensibilité qui se cache derrière. « Alors, LA ? » Ca fait longtemps qu’elle n’y a pas mis les pieds mais elle a toujours adoré cette ville qui en fait rêver plus d’un. « Je ne vais nulle part pour un moment. J’ai un nouveau rôle pour un film qui se tourne ici même. » Erika serre brièvement sa main dans un énième sourire, ravie d’apprendre qu’elle prévoit de poser bagages un peu plus longtemps que quelques jours ; elles vont pouvoir rattraper le temps perdu, du moins l’espère-t-elle. « Un film, ici à Brisbane ? » C’est plutôt étonnant et surtout, elle n’en a pas entendu parler. Ça aussi c’est surprenant, mais elle n’est pas vraiment en contact avec le showbiz que côtoie Penny, d’ailleurs la brune est une exception à elle seule. « Il va falloir que tu m’en dises plus. » Lance-t-elle en laissant un rire s’échapper de ses lèvres avant de s’emparer de son verre de rouge et de le humer avant de s’avancer à boire la moindre gorgée. « Le boulot? » « Quoi d’autre ? » Un nouveau rire s’échappe de ses lèvres mais cette fois, il est là pour camoufler la moue qui pointe le bout de son nez alors que le sujet glisse sur Ian et son éternelle absence. « Je savais même pas que t’étais retournée aux States, on aurait pu se rejoindre quelque part! » « Je ne suis pas restée longtemps, et tu connais ma mère, elle m’aurait étripée si j’avais osé faire autre chose que rester avec eux pour les fêtes. » Elle ne la connaît pas en vérité, mais Erika a suffisamment parlé d’elle que pour que Penny se fasse une idée plutôt précise du phénomène qu’était sa mère.
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Penny Stringer
l’ère de l'apaisement
ÂGE : trente-deux ans (03.08.1992) SURNOM : Penny étant déjà le surnom de Penelope, difficile de faire bien plus court. STATUT : trois ans qu'il lui fait vivre la plus folle et la plus belle des histoires, Isaac est tout pour elle et plus encore. MÉTIER : maman à temps plein, elle partage le reste de son temps entre la fondation Run for Judy à l'hôpital, et la fondation Tomlinson, à défaut de se sentir prête à reprendre le chemin devant les caméras. LOGEMENT : nouvellement installée dans une belle grande maison à Bayside, qu'ils ont choisi ensemble avec Isaac et qui répond à tous les besoins de leur petite tribu. POSTS : 13982 POINTS : 0
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« Je n’aurais pas besoin d’oiseau tout court si la principale intéressée se donnait la peine de faire savoir qu’elle était en vie, de temps en temps. » Tu te pinces les lèvres légèrement, c’est vrai que tu as été un peu distraite dans les dernières semaines et que tu n’as pas trop donner de nouvelles à qui que ce soit, désirant rester dans ta bulle plus que douce à Los Angeles. Tu essayes de te souvenir si tu as eu des messages textes d’Erika que tu as ouvert sans lui répondre, ou si tu n’as pas été la seule à avoir manqué de vigilance ces derniers temps. T’es incapable de te souvenir donc dans le doute, tu assumes qu’il y a bel et bien des messages qui sont restés sans réponse. Oups. « La principale intéressée s’excuse et rajoute qu’elle a été vraiment occupée ces derniers temps... » Tu lui fais des beaux yeux tout en lui offrant un de ses sourires qui l’a fait toujours rire là Woodall. Si tu sais qu’elle ne t’en veut pas vraiment, tu ne peux t’empêcher de te sentir mal. Tu te promets de faire mieux maintenant que tu es à Brisbane pour quelque temps. « Alors LA? » « Incroyable. » Enfin, tu décides d’omettre les premières semaines au tournage désastreux et aux tensions épouvantables pour te concentrer sur ce qui a bien été. « Netflix ne fait pas les choses à moitié. » que tu rajoutes avec un sourire aux lèvres, ne réalisant toujours pas que tu allais être la vedette d’une production Netflix. « Un film, ici à Brisbane? » Tu hoches la tête, ton sourire qui ne diminue pas alors qu’elle te répète ce que tu viens de lui dire. Ça aussi, tu ne le réalises pas encore pleinement. « Il va falloir que tu m’en dises plus. » Tu n’as pas encore beaucoup d’informations, le tournage ne commençant que dans plusieurs semaines. Tu n’avais même pas encore eu l’occasion de lire tout le script avec attention. « C’est encore un peu flou, même pour moi, mais je vais devoir apprendre à danser. » Et tu savais que juste ça, ça allait la faire rire, Erika. « Quoi d’autre? » « Il s’arrête vraiment jamais... » Et venant de toi, ça pouvait sembler un peu hypocrite, mais tu voulais faire des efforts pour tes proches. T’avais pas l’impression que c’était le cas de Ian toutefois. « Je ne suis pas restée longtemps, et tu connais ma mère, elle m’aurait étripée si j’avais osé faire autre chose que rester avec eux pour les fêtes. » «Ça passe, pour cette fois. » que tu dis avec un léger rire dans la voix. « On devrait partir toutes les deux. » que tu t’empresses d’ajouter avec une étincelle dans les yeux. Ce n’était pas la première fois que l’une de vous emmenait l’idée. La mettre à exécution toutefois était toujours bien plus difficile, vu vos horaires respectifs.
Il n’est pas difficile de se rendre compte que l’absence toute relative de Penny est davantage due à la distraction qu’à une réelle envie de la ghoster, mais la tentation est trop forte pour y résister. Erika se fend d’un sourire en la voyant hésiter et probablement se remémorer leurs derniers échanges afin de se souvenir à quand ils peuvent bien remonter. Le constat n’est pas si atroce, mais la tête brune lui manque et tout ce que l’agent peut lire sur internet ne la rassure pas vraiment sur le moral de l’actrice. « La principale intéressée s’excuse et rajoute qu’elle a été vraiment occupée ces derniers temps... » Hein hein. La tête qu’affiche Penny suffit à tirer un petit rire à la jeune femme qui lève les yeux au ciel avant de se décider à plonger ses lèvres dans le breuvage rubis dont les effluves lui rappellent les vignobles qu’elle a pu découvrir en Europe. Un rapide coup d’œil à la bouteille laissée sur la table par le serveur lui indique qu’elle a vu juste et son nez se fronce légèrement, ravie de constater qu’elle s’avère de plus en plus douée en la matière. « Je vais faire semblant de la croire, mais vraiment parce qu’elle est adorable. » Et qu’elle ne peut pas lui en vouloir pour si peu. « Incroyable. Netflix ne fait pas les choses à moitié. » Penny semble sincèrement exaltée par l’expérience et ça rassure Erika de la voir ainsi. « Tu m’en diras tant. Il en est où d’ailleurs mon rôle de figurante ? » La plaisanterie dure entre elles depuis un moment déjà, mais jamais la brune ne se risquerait à passer dans une série ; chacun son métier, après tout. « C’est encore un peu flou, même pour moi, mais je vais devoir apprendre à danser. » « Tu vas… quoi ? » La brune s’esclaffe et porte sa main à sa bouche, surprise d’entendre une chose pareille. « Tu me diras quand il sort, que je prépare ma soirée juste pour l’événement. » Lance-t-elle ensuite sans se départir de son sourire, amusée de pouvoir la taquiner autrement qu’à des milliers de kilomètres de distance. « Il s’arrête vraiment jamais... » Les yeux de la brune se lèvent au ciel, signe qu’elle ne peut qu’être d’accord avec ce constat, même si elle s’efforce de ne pas se montrer trop critique. Après tout, elle est un peu pareille. « Ça passe, pour cette fois. On devrait partir toutes les deux. » Le regard de l’agent s’illumine alors que Penny propose une nouvelle fois l’un des délires qu’elles n’ont jamais pu mettre en œuvre. « Dans un pays où on danse beaucoup, comme ça tu pourras t’entraîner. » Raille-t-elle en levant son verre dans sa direction, ravie d’être enfin en sa présence après tout ce temps.
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Penny Stringer
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ÂGE : trente-deux ans (03.08.1992) SURNOM : Penny étant déjà le surnom de Penelope, difficile de faire bien plus court. STATUT : trois ans qu'il lui fait vivre la plus folle et la plus belle des histoires, Isaac est tout pour elle et plus encore. MÉTIER : maman à temps plein, elle partage le reste de son temps entre la fondation Run for Judy à l'hôpital, et la fondation Tomlinson, à défaut de se sentir prête à reprendre le chemin devant les caméras. LOGEMENT : nouvellement installée dans une belle grande maison à Bayside, qu'ils ont choisi ensemble avec Isaac et qui répond à tous les besoins de leur petite tribu. POSTS : 13982 POINTS : 0
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« Je vais faire semblant de la croire, mais vraiment parce qu’elle est adorable. » Tu bats des cils un peu plus vite avant de rire de plus belle, contente de savoir que tu peux avoir utiliser tes petites techniques pour te faire ‘pardonner’ aux yeux d’Erika, même s’il ne s’agissait pas là d’une très grande offense. La vie était venue se mettre sur vos chemins respectifs et le temps avait filé avant que tu n’aies eu le temps de comprendre que ça faisait bien trop longtemps depuis la dernière fois que tu avais eu vraiment de ses nouvelles et plus qu’un simple salut ça va? échangé à la va vite entre deux voyages. « Tu m’en diras tant. Il en est ou d’ailleurs mon rôle de figurante? » « Je leur ai suggéré que tu joues ma mère, mais ils ont décidé que tu étais trop vieille pour le rôle. » Tu sais que tu vas t’attirer ses foudres à faire de tels commentaires, mais la tentation était trop grande comme l’en témoigne déjà ton rire communicatif. Elle sait que tu plaisantes, tu as seulement toujours trouvé drôle de faire des commentaires du genre sur votre différence d’âge qui au fond n’est pas si importante que ça. Et puis elle se moque de toi en retour dès que tu lui mentionnes ton nouveau rôle. Toi aussi, tu voudrais pouvoir en rire, mais t’es trop occupée à paniquer à la simple idée de devoir jouer une danseuse à l’écran, toi qui n’as aucune coordination. « Tu vas… quoi? » Et elle pouffe la brune alors que tu lui offres une grimace. « Tu me diras quand il sort, que je prépare ma soirée juste pour l’évènement. » « Merci de croire en moi, ça fait plaisir. » que tu rétorques, sarcastique au possible, bien qu’un sourire au coin de tes lèvres trahissent vraiment comment tu te sens par rapport à sa réaction. « Dans un pays ou on danse beaucoup, comme ça tu pourras t’entraîner. » « Gniah gniah gniah. » que tu dis comme gamine en grimaçant encore. « Tu sauras que j’ai déjà des cours privés à l’horaire avec l’un des professeurs les plus réputés de la ville. » Et tu stressais énormément à la simple idée de ne pas être à la hauteur. « On pourrait partir à Bali. Une petite semaine juste toi, moi et un bar open! » Le rêve. Mais vraiment, qui a le temps pour ça?
Penny se met à battre des cils, comme si son visage angélique pouvait l’exonérer de son manque de disponibilité et Erika secoue la tête, ayant déjà décidé de faire l’impasse sur le sujet. Après tout, elle est occupée et voyage énormément, une situation similaire à celle qui était la sienne lorsqu’elle avait l’âge de la brune et que le monde était à ses pieds, ou presque. La jeune femme ne peut que se mettre à sa place et comprendre son état d’esprit, raison pour laquelle elle s’autorise à ne pas lui en vouloir pour si peu. A la place, elle relance un de leur blague favorite, celle qui consiste à trouver un rôle de figurante à Erika qui est pourtant loin d’avoir l’âme – ou le talent – d’une actrice et qui n’en a même pas réellement envie. « Je leur ai suggéré que tu joues ma mère, mais ils ont décidé que tu étais trop vieille pour le rôle. » La brunette a beau ne pas être si susceptible, le sujet de son âge reste sensible et ses lèvres se plissent en même temps que ses yeux alors qu’elle observe Penny plaisanter avec sa bonne humeur légendaire, bien loin de s’imaginer le drame du passage des quarante ans. « Arrête, je pourrais aisément jouer le rôle de ta grande sœur si je voulais. » Lance-t-elle finalement en fronçant le nez en en haussant un sourcil dans sa direction, laissant finalement un sourire étirer le coin de ses lèvres qui se transforme rapidement en rire à mesure que celui de Penny prend de l’ampleur, toujours aussi communicatif. A son tour de se moquer en apprenant que son nouveau rôle consiste à danser ; elle a suffisamment côtoyé la brune en soirée pour savoir que la catastrophe était imminente. « Merci de croire en moi, ça fait plaisir. » « Bon, de toute façon ils vont te payer des cours, non ? J’espère juste qu’ils ont prévu un budget rien que pour ça. » Elle continue sur sa lancée, décidée à lui faire gentiment payer la remarque sur sa prétendue vieillesse. L’actrice semble désolée d’apprendre que Ian joue encore au fantôme et lui propose un voyage, encore une bonne idée qu’elles ne semblent pourtant jamais réussi à concrétiser. « Gniah gniah gniah. Tu sauras que j’ai déjà des cours privés à l’horaire avec l’un des professeurs les plus réputés de la ville. » La question est donc réglée, même si l’air qu’affichait la brune était loin d’être enchanté par l’idée. « Tu stresses, avoue. » Erika l’observe avec un sourire qui n’a plus rien de moqueur cette fois-ci, comprenant parfaitement ce que peut provoquer une situation dans laquelle on n’est pas à l’aise. « On pourrait partir à Bali. Une petite semaine juste toi, moi et un bar open! » Bali, une destination de rêve qu’elle n’a pas encore eu l’opportunité de découvrir. Est-ce que Jacob serait intéressé d’ouvrir une filiale sur place ? L’idée la fait sourire et elle songe à le faire marcher en lui annonçant qu’elle part sur les frais de la société, à titre d’observation. « On y arrivera un jour, mais entre ta nouvelle série et mon agenda, je pense qu’on devrait planifier ça au moins deux ans à l’avance. » Plaisante-t-elle, même s’il y a un fond de vérité dans de constat.
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Penny Stringer
l’ère de l'apaisement
ÂGE : trente-deux ans (03.08.1992) SURNOM : Penny étant déjà le surnom de Penelope, difficile de faire bien plus court. STATUT : trois ans qu'il lui fait vivre la plus folle et la plus belle des histoires, Isaac est tout pour elle et plus encore. MÉTIER : maman à temps plein, elle partage le reste de son temps entre la fondation Run for Judy à l'hôpital, et la fondation Tomlinson, à défaut de se sentir prête à reprendre le chemin devant les caméras. LOGEMENT : nouvellement installée dans une belle grande maison à Bayside, qu'ils ont choisi ensemble avec Isaac et qui répond à tous les besoins de leur petite tribu. POSTS : 13982 POINTS : 0
TW IN RP : mentions d'agression sexuelle, neurodiversité, parentalité, mentions d'abandon d'enfant. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : elle a un jeune frère autiste qu'elle aime plus que tout et surprotège › fière belle-maman de Jude (13.09.2018) et maman de Maia (14.06.2022) et les jumeaux Jack et Mila (01.08.2023) › bénévole auprès des enfants malades depuis 2020 › être devant la caméra lui manque, mais elle sait son temps auprès des siens plus précieux que jamais.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : Penny crée des malaises en mediumorchid ou en teal. RPs EN COURS : (03) ≡ angus › chris › ethel.
+ the one and only(03) ≡ isaac #23 › isaac #24 › isaac (ff) › isaac (tel). RPs EN ATTENTE : andréa › harleen › micah #6 › riley #2 › rory #12 › you? RPs TERMINÉS :
Tu sais que tu t’aventures sur une piste glissante quand tu mentionnes l’âge de ton amie, mais tu ne peux qu’espérer qu’elle sache au fond que tu ne fais que l’agacer. Il y a beau avoir plusieurs années qui vous séparent l’une de l’autre, ça n’a jamais vraiment été quelque chose que tu remarques ou quoique ce soit, même que la décennie de vie de plus d’Erika t’apporte souvent bien des conseils et un peu de sagesse bien que ta vie semble souvent à l’opposée de celle de la Woodall. « Arrête, je pourrais aisément jouer le rôle de ta grande sœur si je le voulais. » Tu ris doucement, avant de renchérir de plus belle. « Tu pourrais rien jouer du tout et tu le sais très bien. » Si Erika était excellente dans son domaine, il avait déjà été établi depuis un moment qu’elle ne ferait pas une très grande actrice et que la comédie demeurait donc ton domaine à toi. Tu as cependant rapidement droit à un retour cosmique alors que c’est à son tour de se moquer de toi face à ton nouveau rôle qui implique que tu deviennes rapidement douée dans un domaine ou ton talent semblait plutôt absent : la danse. « Bon, de toute façon ils vont te payer des cours, non? J’espère qu’ils ont prévu un budget rien que pour ça. » Tu mets une main sur ta poitrine, prétend d’être profondément blessée alors qu’un léger ouch s’échappe de tes lèvres avant que tu ne te mettes à rire de plus belle. « Évidemment qu’ils vont me payer des cours. J’ai six semaines pour apprendre trois chorégraphies. » Et ça te semblait ne pas être assez de temps, mais alors là, pas du tout, mais tu essayais de ne pas trop stresser avec tout ça avant le moment venu. « Tu stresses avoue. » Mais elle te connaît assez pour savoir que derrière tes commentaires sarcastiques et ta composition qui se veut sans faille, t’es complètement terrifiée à l’idée d’échouer. « T’as pas idée. » que tu lui avoues finalement en un souffle, alors tu préfères te perdre dans l’idée d’un voyage ou vous pourriez toutes les deux décrochées du stress de vos réalités respectives. « On y arrivera un jour, mais entre ta nouvelle série et mon agenda, je pense qu’on devrait planifier ça au moins deux ans à l’avance. » Il y a un autre rire qui siffle d’entre tes lèvres, bien que ça te semble parfois injuste de ne pas avoir plus de liberté pour partir sur un coup de tête. « Ça te fâche pas parfois, d’avoir autant de responsabilités? De pas simplement pouvoir faire ce dont tu as envie? »
« Tu pourrais rien jouer du tout et tu le sais très bien. » Autant dire que Penny n’avait jamais fait en sorte de la caresser dans le sens du poil, ce qui avait toujours été une qualité appréciable chez elle. Rien de plus énervant que quelqu’un qui tenait un discours supposé aller dans votre sens et en l’occurrence, l’actrice faisait tout l’inverse. Heureusement pour elle que sa susceptibilité avait des limites et que celles-ci concernaient davantage son affection pour elle qu’une réelle tolérance aux remarques sur son âge ou sur ses talents de comédienne. « Je pourrais te surprendre. » Argua-t-elle en souriant à son tour, même si elle savait pertinemment qu’elle serait incapable de tenir à réplique à qui que ce soit. Retenir tout un texte lui semblait impossible et prétendre des émotions qui n’étaient pas les siennes l’était tout autant, voire plus. Et à en juger par ce que Penny venait de lui annoncer, ce n’était pas les seules difficultés que l’on pouvait rencontrer dans le domaine, au contraire ? De la danse, vraiment ? « Évidemment qu’ils vont me payer des cours. J’ai six semaines pour apprendre trois chorégraphies. » Et cela faisait donc deux semaines par chorégraphie, autant dire que ça allait s’annoncer sportif. La brune haussa un sourcil surpris et pencha la tête sur le côté en tentant de sonder l’esprit de son amie. Elle paraissait enjouée, mais la pression devait être immense. « Tu vas y arriver. Tu veux qu’on s’entraîne sur Just Dance en attendant ? » Un rire s’échappa de ses lèvres alors qu’elle tentait de détendre la brune qui lui faisait face et qui paraissait envahie par le stress. Il y avait de quoi, avec un chorégraphe professionnel et une foule de personnes qui attendraient des résultats rapides. « T’as pas idée. » Erika hocha la tête d’un air compréhensif, persuadée qu’elle y parviendrait à se dépasser, comme toujours. « Je suis certaine que tu ne manqueras pas de les bluffer. Tu sais comme dans les films, quand la fille est super nulle au début et puis qu’elle devient meilleure que tout le monde à la fin. » Un sourire illumina son visage alors que l’actrice faisait référence à un voyage, encore un auquel elles penseraient mais qu’elles ne parviendraient pas à concrétiser. « Ça te fâche pas parfois, d’avoir autant de responsabilités? De pas simplement pouvoir faire ce dont tu as envie? » Erika hésita avant de décider de lui répondre avec toute la sincérité dont elle était capable. « J’ai tellement travaillé dur pour arriver là où j’en suis que je ne saurais pas éprouver la moindre frustration par rapport à tout ça. » Avoua-t-elle dans un sourire, jouant avec son verre de vin d’un air distrait. « Et puis j’ai eu la chance de voyager énormément, même s’il s’agissait de déplacements professionnels. » En clair, elle ne regrettait rien. A son sens, d’autres avaient bien moins de chance qu’elle et par conséquent, le manque de liberté dans son emploi du temps n’était rien à côté des autres avantages.
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Penny Stringer
l’ère de l'apaisement
ÂGE : trente-deux ans (03.08.1992) SURNOM : Penny étant déjà le surnom de Penelope, difficile de faire bien plus court. STATUT : trois ans qu'il lui fait vivre la plus folle et la plus belle des histoires, Isaac est tout pour elle et plus encore. MÉTIER : maman à temps plein, elle partage le reste de son temps entre la fondation Run for Judy à l'hôpital, et la fondation Tomlinson, à défaut de se sentir prête à reprendre le chemin devant les caméras. LOGEMENT : nouvellement installée dans une belle grande maison à Bayside, qu'ils ont choisi ensemble avec Isaac et qui répond à tous les besoins de leur petite tribu. POSTS : 13982 POINTS : 0
TW IN RP : mentions d'agression sexuelle, neurodiversité, parentalité, mentions d'abandon d'enfant. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : elle a un jeune frère autiste qu'elle aime plus que tout et surprotège › fière belle-maman de Jude (13.09.2018) et maman de Maia (14.06.2022) et les jumeaux Jack et Mila (01.08.2023) › bénévole auprès des enfants malades depuis 2020 › être devant la caméra lui manque, mais elle sait son temps auprès des siens plus précieux que jamais.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : Penny crée des malaises en mediumorchid ou en teal. RPs EN COURS : (03) ≡ angus › chris › ethel.
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« Je pourrais te surprendre. » Tu souris avec une nouvelle tendresse habitant ton visage parce qu’il y avait bien quelqu’un en mesure de le faire, c’était bien elle. Elle était le genre de personne qui ne s’arrêtait devant rien lorsqu’elle se mettait un nouveau but en tête et tu ne serais même pas étonnée de la voir tout donner pour quelque chose qui ne lui vient pas naturellement, un peu comme tu allais le faire avec la danse après tout. Si tu avais la mauvaise habitude de l’agacer comme le ferait une petite sœur, il n’en restait pas moins que tu éprouvais pour la Woodall une affection particulière. Elle était définitivement cette grande sœur avec laquelle tu aurais aimé pouvoir grandir. Celle qui aurait pu guider ton chemin, en cas de besoin. Et dieu sait que si t’avais eu le courage de lui parler sincèrement dans la dernière année, tu aurais bien eu besoin de sa sagesse et de sa guidance. « Tu vas y arriver. Tu veux qu’on s’entraîne sur Just Dance en attendant? » Et elle rit la brune et tu ne peux t’empêcher de joindre le mouvement. C’est une terrible idée, ça ne va absolument rien apporter sauf peut-être de t’épuiser les jambes avant le temps, mais tu te dis que c’est peut-être exactement ce dont tu as besoin en ce moment. De ne pas te prendre trop au sérieux avant le temps. « Je pari que je peux te détruire sur Just Dance! » Toujours dans la compétition, comme le ferait de vrais sœurs, tu peux déjà imaginer les fous rires si vous décidez vraiment de le faire.
Mais elle voit clair dans ton jeu Erika, elle sait que même si tu fais ton arrogante et que tu fais des blagues, ça ne t’empêche pas d’être morte d’inquiétude à la simple idée de ne pas être à la hauteur pour ce tournage dont les défis sont immenses. « Je suis certaine que tu ne manqueras pas de les bluffer. Tu sais comme dans les films, quand la fille est super nulle au début et qu’elle devient meilleure que tout le monde à la fin. » Tu lui offres un sourire sincère alors que ses mots te font du bien. Et puis elle n’a pas tort, tu es une spécialiste des films et de ses clichés, aucune raison pour que tu ne puisses pas faire tout en ton possible pour l’appliquer à ta réalité. Tu ne penses pas un jour devenir meilleure que tout le monde, mais tu espères au moins être assez douée pour garder le rôle et ne pas t’humilier complètement au passage. « J’ai tellement travaillé dur pour en arriver là ou j’en suis que je ne saurais pas éprouver la moindre frustration par rapport à tout ça. » Et tu hoches la tête parce que la Penny d’il y a un an à peine aurait pensé exactement de la même façon. « Et puis j’ai eu la chance de voyager énormément, même s’il s’agissait de déplacements professionnels. » « T’es chanceuse. » que tu souffles doucement. « D’aimer autant ce que tu fais. Tu mérites d’être ou tu es rendue aujourd’hui. » Tu le penses vraiment et tu espères qu’elle le sait. T’es juste incapable d’avoir la même certitude au sujet de ta carrière. « J’me demande seulement si je serais pas plus heureuse sans toute la pression d’une grande carrière. » Ça été ton rêve pendant tellement longtemps, tu sais pas trop qui tu serais sans ça. Tu aimes ce que tu fais, là n’est pas la question. Faut croire qu’en ce moment, tu remets tout un peu en question.
Penny lui adresse un sourire et la brune le lui rend sans hésitation, convaincue lorsqu’elle lui dit qu’elle pourrait la surprendre. Il ne lui en faut pas beaucoup pour se lancer des défis personnels et autant dire que quand on remet ses capacités en doute, Erika est capable de se donner encore plus pour prouver qu’elle peut le faire. Mais dans ce cas précis, elles discutent de son talent d’actrice et l’agent a suffisamment de recul pour savoir qu’il s’agit là d’un milieu dans lequel elle ne tient pas à évoluer, même si elle s’amuse à prétendre le contraire auprès de son amie. Elle a déjà une certaine notoriété de son côté et elle doit bien l’avouer, il ne s’agit pas forcément de quelque chose qui lui plaît toujours. Cependant, la brune s’en sert à des fins louables et ça suffit à la consoler avec le manque de vie privée qui marque son quotidien depuis de longues années maintenant. « Je parie que je peux te détruire sur Just Dance! » La jeune femme hausse un sourcil amusé en constatant que Penny utilise le mot fatidique, celui qu’elle ne peut pas ignorer. « Pari tenu, on fait ça après ? » Erika se sent dans une forme olympique et autant dire qu’elle n’a pas peur du ridicule, surtout si elles terminent cette bouteille de vin rouge à peine entamée pour l’instant. Elle essaie d’alléger l’atmosphère la brune, parce qu’elle sent qu’au-delà des plaisanteries, son amie est réellement paniquée à l’idée de ne pas réussir à être à la hauteur de ce rôle. La difficulté est présente évidemment, mais ils ne l’auraient jamais engagée s’ils ne voyaient pas son potentiel ; il fallait juste qu’elle s’en rende compte elle aussi. La brune lui demande si elle n’en a pas marre des responsabilités qui lui incombent désormais avec son statut de directrice d’agence, mais Erika ne vit que pour cette carrière qu’elle a construite seule et sans l’aide de personne. « T’es chanceuse. D’aimer autant ce que tu fais. Tu mérites d’être ou tu es rendue aujourd’hui. » Un sourire étire les lèvres de la jeune femme qui ne se lasse jamais d’entendre un compliment, surtout lorsqu’il vient d’une personne à qui elle tient et dont l’avis compte vraiment. « Merci, mais tu ne démérites pas non plus. » D’autant que Penny est encore jeune et que sa carrière commence seulement à décoller. La brunette est persuadée qu’elle évoluera très vite dans les hautes sphères, même si elle garde ses prédictions pour elle. « J’me demande seulement si je serais pas plus heureuse sans toute la pression d’une grande carrière. » L’agent plisse légèrement les yeux, soucieuse d’entendre celle qu’elle considère comme de la famille se poser autant de questions. « Qu’est-ce qui t’arrive Penny ? » Parce qu’elle n’allait pas la lui faire à elle, quelque chose se trame, elle en est persuadée. « Tu sais que tu peux me parler de tout, pas vrai ? » Ces hésitations sur sa carrière ne lui ressemblent pas, surtout pas après tout ce qu’elle a entreprit pour en arriver là où elle en est.
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ÂGE : trente-deux ans (03.08.1992) SURNOM : Penny étant déjà le surnom de Penelope, difficile de faire bien plus court. STATUT : trois ans qu'il lui fait vivre la plus folle et la plus belle des histoires, Isaac est tout pour elle et plus encore. MÉTIER : maman à temps plein, elle partage le reste de son temps entre la fondation Run for Judy à l'hôpital, et la fondation Tomlinson, à défaut de se sentir prête à reprendre le chemin devant les caméras. LOGEMENT : nouvellement installée dans une belle grande maison à Bayside, qu'ils ont choisi ensemble avec Isaac et qui répond à tous les besoins de leur petite tribu. POSTS : 13982 POINTS : 0
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« Pari tenu, on fait ça après? » C’est un défi que tu lui as lancé à Erika et elle ne dit jamais non à un défi la brune. Toi non plus d’ailleurs et tu hoches vivement de la tête, prête à prouver que tu es peut-être une piètre danseuse pour le moment, mais tu sais encore te déhancher sur le jeu de Just Dance sans aucun problème. Il y a longtemps que tu n’as pas joué toutefois, tu ne sais pas de quoi vont avoir l’air les premières parties, mais t’es prête à tenir tête à la Woodall autant que possible, quitte à te ridiculiser au passage. T’as besoin de rire, t’as besoin de te détendre et tu sais que Just Dance avec quelques verres de vin dans le nez, c’est un moyen comme un autre de faire passer le stresse, surtout en compagnie de celle qui sera à jamais comme une sœur pour toi. Elle te connaît bien Erika, elle voit bien que tu n’es pas comme d’habitude, elle essaye de te faire rire, elle essaye de te rassurer alors que tes peurs et tes craintes se font voir avec un peu trop de vulnérabilité à ton goût. Tu préfères paraître forte. Tu préfères paraître en contrôle. Mais ça fait un moment que tu ne joues plus aussi bien ton rôle et si une distance entre vous a sauvé les apparences, il est plus difficile de tout cacher ce soir. « Merci, mais tu ne démérites pas non plus. » Tu parviens à lui offrir un mince sourire alors que tu repenses à l’état de ta carrière. Oui, tout est sur une pente remontante, enfin. Mais ça n’efface pas les difficultés qui ont suivi la chute après l’agression. Agression qui pèse autant mais dont la vérité semble de moins en moins difficile à admettre. « Qu’est-ce qui t’arrive Penny? » Tu soupires doucement, secoue doucement la tête. T’es presque tentée de lui servir tes mensonges habituels, que tout va bien, que ce n’est rien. « Je suis fatiguée Erika. » que tu finis par admettre. Fatiguée des secrets. Fatiguée de ton dernier tournage oui, mais surtout fatiguée de ne plus être cent pour cent certaine de ce que tu veux vraiment. Fatiguée du tourbillon qu’est devenue ta vie depuis un an. « Tu sais que tu peux me parler de tout, pas vrai? » Tu hoches doucement la tête, prend une longue gorgée de ton verre de vin avant de retrouver le regard inquiet de ton amie. « Je sais, je sais... » Tu prends une longue inspiration avant de souffler tout aussi longtemps, t’achetant ainsi un peu de temps alors que tu tentes de faire le tri dans tes pensées. « Tu te souviens, l’année dernière, quand le film sur lequel je tournais a été annulé? » Tu détestes repenser à tout ça, mais tu sais que Erika mérite d’apprendre la vérité de ta bouche et non pas aux nouvelles. « Il s’est passé quelque chose, sur le tournage. » Un autre souffle. Tu prends une seconde, et puis une autre alors que tes doigts tapotent contre ton verre de vin maintenant vide. « J’ai été agressé, par le réalisateur. » Et là voilà, l’horrible vérité. Celle qui t’empêche de dormir depuis un an. Celle qui explique les changements chez toi depuis si longtemps. La vérité qui fait mal, qui lacère, qui détruit. Mais t’es encore là. Et t’es plus forte que ça, tu le réalises enfin.
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