as soon as i saw you, i knew adventure was going to happen.
« Mais une heureuse coïncidence que tu sois ma voisine, tout de même ». Visiblement, la rencontre avec Gabrielle semblait avoir fait presque oublié à Milo la panne de sa moto qui, pourtant, encore quelques minutes plus tôt, l’avait mis en colère. Disons que la conversation entre les deux était loin d’être déplaisante, tout comme leur compagnie. C’est peut-être ça qui faisait penser au jeune homme que c’est le destin qui avait fait en sorte de les réunir ce soir, au milieu de nulle part tout en sirotant une bière. L’échange sérieux et cordial au début semblait prendre cependant une tout autre tournure entre eux. En effet, une sorte de flirt et sous-entendus en tout genre commence à se mettre en place. L’avocate doit reconnaitre que Milo est tout à fait à son goût. Peut-être qu’elle a aussi besoin de combler ce manque, celui d’être seule depuis quelques temps, bien avant de débarquer en Australie. Et puis, cette nouvelle vie qui l’attend, lui donne ce côté aussi insouciant au point qu’elle se laisse porter par ses envies. « Je pourrais te surprendre, j’en suis sûr ». Cela éveille forcément la curiosité de Gabrielle, qui laisse apparaitre un sourire malicieux sur le coin de ses lèvres alors que son regard l’est tout autant. « Mais si je peux dire quelque chose, c’est que j’aimerai beaucoup être ta proie ce soir, Gabrielle ». Il n’y a plus de doute sur cette attirance réciproque entre eux. La jeune femme aime jouer, elle aime et sait séduire. C’est aussi sa manière à elle de se protéger, ne cherchant pas à avoir de relation sérieuse car elle n’en a pas besoin. Surtout, elle n’a besoin de personnes dans sa vie, s’étant toujours débrouillé par ses propres moyens. Elle sait que Milo n’est que de passage, qu’elle passera sûrement la nuit avec et que, dès le lendemain matin, il partira. L’Australie est un pays bien vaste, et elle est persuadée que jamais leurs chemins respectifs ne se recroiseront. Ainsi, elle est certaine que, quoi qu’il se passe entre eux, il ne sera pas question d’autre chose qu’une simple aventure d’un soir. Gaby reste silencieuse un long moment, après avoir laissé échapper un petit rire aux derniers mots prononcés par le beau métis en face d’elle. Elle prend le temps de terminer sa bière dans le silence avant de se lever, un frisson parcourant sa peau du fait de la fraicheur du soir « Peut-être que je pourrais te faire visiter mon antre avant que tu ne prennes de décision trop hâtive ». Son sourire taquin alors qu’elle lui tourne le dos, se dirigeant vers la porte coulissante de son van. Alors qu’elle commence à l’ouvrir, elle laisse échapper « On ne sait jamais ce que tu peux découvrir sur moi à l’intérieur ». Elle s’amuse de la situation, elle retient même un rire alors qu’elle l’invite à la suivre à l’intérieur. Elle referme la porte derrière eux alors qu’elle le laisse découvrir par lui-même les lieux. Des lieux restreint, où ils ne tiennent pas vraiment debout, Gabrielle venant alors s’asseoir sur le lit « Impressionnée ? » demande-t-elle alors, croisant les jambes en l’observant. « Tu es sur de ne pas vouloir revenir sur ta décision ? On risque d’être un peu serré mais comme visiblement, ça n’a pas l’air de te poser de souci… ». Elle utilise un ton indifférent bien que sa posture montre qu’elle est désormais pleinement entrée dans le jeu… Celui de la séduction.
as soon as i saw you, i knew adventure was going to happen-- @Gabrielle Strange
☽ août 2020. Milo était parti à la volée. A peine le pied à terre qu’il avait pris sa moto pour rejoindre ces routards qu’il aimait rejoindre dès qu’il avait envie d’un peu d’aventures. Cette fois-ci, son aventure répondrait au doux nom de Gabrielle. Le destin avait fait que sa moto tombe en panne et que l’assurance ne veuille pas l’aider pour la soirée. C’était une coïncidence qui incita l’américaine à l’inviter à boire une bière. Le métis avait fini par accepter, de toute manière il n’avait rien d’autre à faire, à part peut-être marcher un bon kilomètre pour rejoindre un motel miteux. La jeune femme ne connaissait personne ici, enfin du moins de ce que Milo comprenait, elle cherchait l’aventure. Le militaire, quant à lui, appréciait sa compagnie, et ce petit jeu qui s’installait entre eux. D’un naturel charmeur, Milo n’en était pas moins réservé pour autant. Toutefois, il ne savait pas si c’était l’ambiance de la soirée, de se retrouver au beau milieu de nulle part mais Wilson se permit de la draguer ouvertement, un petit flirt innocent qui semblait être réciproque… Milo avait fini sa bière, il la posait au pied de sa chaise sans pour autant lâcher le regard de la brune qui prit quelques secondes pour réfléchir. Peut-être pesait-elle le pour et le contre de briser cette barrière entre eux… « Peut-être que je pourrais te faire visiter mon antre avant que tu ne prennes de décision trop hâtive » Ses yeux la suivaient alors qu’elle s’était levée. « On ne sait jamais ce que tu peux découvrir sur moi à l’intérieur » Il bascula la tête en arrière, un rire s’échappa de ses lèvres. Les mains posées sur les accoudoirs de sa chaise de camping, il se leva pour la suivre. La jeune femme referma la porte derrière eux, et en effet, l’espace était assez restreint, sûrement assez confortable pour une à deux personnes tout au plus. « Impressionnée ? » Elle s’était assise au bord du lit, croisant ses jambes, il restait de bout à un petit mètre d’elle. « Tu es sur de ne pas vouloir revenir sur ta décision ? On risque d’être un peu serré mais comme visiblement, ça n’a pas l’air de te poser de souci… » Il sourit encore, la jeune femme le cherchait, clairement. Il n’y avait aucun doute. Il retira sa veste qu’il posa sur la mini-table, ses gestes étaient lents… Il retira sa montre qu’il posa sur sa veste. Un sourire mutin était dessiné sur son visage… « Moi, la proximité me pose aucun problème… » dit-il finalement en venant retirer son t-shirt pour se retrouver torse nu face à elle. Il posa son t-shirt sur sa veste, et finit par croiser enfin son regard. « Et toi ? » demanda-t-il finalement, soutenant son regard afin de voir sa réaction. Il n’avait pas à se plaindre au niveau de son corps… C’était peut-être même un point fort pour lui, et il espérait qu’elle continue ce petit jeu avec lui…
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Gabrielle l’invita à visiter le van pour qu’il puisse se faire une idée de l’intérieur et en découvre un peu plus sur elle. En réalité, il ne s’agissait que d’une excuse pour qu’il la suive alors que la tournure de la conversation a changé. L’étape où ils se dévoilaient un peu tout deux sur leurs raisons d’être en road trip et leurs origines a été écourté par un jeu de séduction qu’autant l’un que l’autre a lancé. Un jeu qui ne déplait pas à Gaby qui se lève alors que le jeune s’esclaffe d’un rire franc, ce qui la fait sourire. Une fois à l’intérieur, elle le laisse passer et referme la porte du van derrière eux. Il n’y a évidemment rien à découvrir de particulier, le van étant plutôt sommaire, étant donné qu’il s’agit d’une location et qu’elle n’a pas prévu de le décorer avec goût. Il est cependant bien rangé, le plan du désert australien ayant été abandonné quelques minutes plus tôt sur la mini-table et un bouquin traînant aussi sur le lit. D’ailleurs, elle prend place sur celui-ci, tenir debout étant un peu compliqué dans cet espace bien trop étroit. Elle croise ses jambes et demande l’avis du jeune homme avant de lui demander s’il souhaite revenir sur sa décision, lui expliquant qu’ils risquent d’être un peu à l’étroit tous les deux. Elle l’observe alors qu’il retire lentement sa montre « Moi la proximité ne me pose aucun problème… ». Le message ne peut être plus explicite, Gabrielle arquant un sourcil et souriant d’un air moqueur alors qu’il vient à retirer son t-shirt. Même si elle semble en rire, elle ne peut pas dire qu’elle trouve désagréable la vue qu’il lui offre. Au contraire, elle vient à se mordiller la lèvre inférieure alors qu’il vient à trouver son regard. « Et toi ? ». Elle penche légèrement la tête sur le côté, montrant cette fois qu’elle observe sa musculature dénudée sans vergogne. Comme si la réponse qu’elle s’apprêtait à lui demander ne dépendait que de ce détail… cependant non négligeable. « Et bien… ». Elle retire alors son gilet qu’elle n’avait pas encore quitté, pour se retrouver en petit débardeur à fines bretelles « je ne pense pas… ». Elle prend soin de marquer une pause entre chacune de ses phrases, volontairement, comme pour le faire languir. « Ca dépendra de toi en réalité ». Gaby sous-entend bien plus à travers cette phrase, celle où elle attend de lui que cette proximité devienne agréable, où il lui fasse passer un moment qu’elle n’était pas prête d’oublier. Elle lui fait signe de venir avec son index qu’elle replie pour lui indiquer de s’approcher d’elle alors qu’elle est toujours assise sur le lit les jambes croisées. Il s’exécute lentement et lorsqu’il est suffisamment proche, elle vient à lui murmure à l’oreille « Ca me plait déjà… ». Un échange de regard, elle retire son propre débardeur et après avoir décroisé ses jambes, vient se saisir de ses lèvres sans retenue et l’invite à la suivre alors qu’elle commence à s’allonger sur le dos.
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☽ août 2020. La panne de sa moto allait peut-être permettre à Milo de connaître, le temps d’une soirée (ou plus ?) le réel plaisir de se déconnecter de la réalité. Il avait bu cette bière, et entre ce jeu de regard, et ces suggestions à double-sens, Milo saisit la perche et la suivit dans le van. Le jeune homme voyait la lueur qui animait le fond des yeux de la brunette. Ce n’était pas un jeu qui le déplaisait, et il faisait mine de regarder autour de lui pour inspecter l’habitacle de son van. L’américaine s’était avancée jusqu’à son lit pour s’asseoir, croiser les jambes et le jauger du regard avec un air de défi. Si elle voulait jouer, elle n’était pas prête d’être déçue avec lui. Le militaire était plutôt habitué à profiter du moment présent, s’interdisant par-dessus tout de s’attacher (au sens second du terme, parce que le premier sens, littéralement attaché, c’était quand elle voulait où elle voulait). Milo retirait donc sa montre, lentement et un sourire mutin aux lèvres, il expliquait à Gabrielle qu’il n’était pas dérangé par la proximité. Il se demandait si elle l’était, de son côté… Toujours dans des gestes lents, Milo retira sa veste et son t-shirt, prenant le temps de tout mettre correctement sur la table, il espérait que la jeune femme apprécie la vue. Le métis restait planté là, torse nu, il aimait la voir le lorgner sans gêne, et son sourire s’élargit sur son visage. « Et bien… » Il plissa les yeux, s’apprêtant à tout avec une joueuse de son envergure. Le militaire posait ses yeux sur les mains de la jeune femme qui prenait le temps de retirer son gilet, à tour de rôle, ils prenaient plaisir de se chercher. « je ne pense pas… » La tête penchée tout en la regardant, Milo était plutôt amusé par ce jeu qui se mettait en place. « Ca dépendra de toi en réalité » Un haussement de sourcils pour marquer la surprise de cette remarque, il pensait pourtant avoir été clair. Gabrielle soutint finalement son regard en lui faisant signe avec son index d’approcher, satisfait, Milo s’avança lentement réduisant indéniablement la distance entre eux. Il s’était placé entre ses jambes et elle vint lui murmurer : « Ca me plait déjà… » . Il bascula sa tête en arrière avec un petit rire qui s’échappa en prime. Il la regarda retirer son débardeur, et dans la foulée, Gabrielle ne perdit pas de temps avant de l’embrasser avec fougue. Il répondit à ce baiser venant retrouver sa langue pour la première fois, posant les mains de part et d’autre de la jeune femme pour remonter dans le lit. Il laissa la jeune femme s’installer sur les coussins, et alors qu’il se soutenait d’une main, il vint attraper la main de l’américaine avec son autre main pour qu’elle vienne la glisser le long de son torse, lentement… Il suivit ce mouvement des yeux avant de relever le regard vers elle. « J’espère que tu aimes. » dit-il finalement en souriant alors que finalement, il attira sa main sur son jeans là où une bosse commençait à se former, sentant la chaleur l’envahir après de telles avances. Le jeu allait devenir intéressant. Milo plongeait son visage dans le cou de la demoiselle pour venir l’embrasser alors qu’elle laissait sa main sur cette bosse naissante, le militaire vint poser la sienne sur la poitrine de la jeune femme qu’il vint malaxer dans une fougue qui trahissait le désir qui lui montait à la tête.
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Gabrielle n’a rien prémédité, ne pensant pas trouver une si bonne compagnie en cours de route durant son road trip. Surtout dans un pays où elle ne connait personne, surtout dans un pays dans lequel elle vient juste de débarquer. Pourtant, l’homme rencontré ce soir allait lui montrer qu’il n’était pas improbable de faire d’agréables rencontres. Il lui fait la démonstration déjà rien que lorsqu’ils se retrouvent dans son van et que la température à l’intérieur commence à devenir un peu trop élevée alors qu’il quitte sans vergogne son t-shirt pour se retrouver torse nu devant l’américaine. Elle ne s’en plaindra pas quand elle le regarde sans gêne, parcourant sa musculature du regard avec une certaine malice. Non, évidemment, être à l’étroit ce soir, cette proximité qui aurait pu être gênante avec une autre personne, ne le sera pas avec lui. Elle le met au défi de ne pas lui faire regretter sa réponse et surtout ne pas lui faire regretter de lui avoir offert l’hospitalité pour ce soir… Tout dépendra de lui, et s’il semble être surpris par la remarque, Gabrielle, quant à elle, s’en amuse, laissant planer le doute sur la signification de ses mots. Elle attend qu’il la surprenne, qu’il lui fasse passer un bon moment qu’elle n’est pas prête d’oublier. En attendant, elle prend un peu les devants en l’invitant à s’approcher d’elle. Gaby joue le jeu de la séduction, lui murmurant que ça lui plait déjà ce qui fait rire le jeune homme alors qu’elle commence à se dénuder à son tour. Elle ne cherche pas à passer par quatre chemins cependant, venant plaquer ses lèvres contre les siennes pour l’embrasser de manière explicite. Gabrielle ne se pose aucune question, commençant à s’allonger sur le dos alors que Milo la suit dans son mouvement. Un échange de regard une fois qu’elle est installée et qu’il est au-dessus d’elle, elle sent les doigts du militaire se glisser entre les siens pour que sa main vienne glisser le long de son torse, lentement. Tout comme la vue, le toucher est agréable, valant un deuxième pincement de lèvre de la part de Gaby qui suit du regard le parcours de sa main « J’espère que tu aimes ». Un sourire malicieux s’affiche sur ses lèvres alors qu’elle laisse échapper un « Plutôt » qui pouvait laisser penser qu’elle aime mais attends plus. C’est certainement ce qui le pousse à lui faire descendre sa main sur sa zone plus sensible…
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☽ août 2020. Milo avait foncé sur cette route dans l’idée de retrouver cette petite bande de motards. Finalement, il se retrouvait à siroter une bière, sa moto abandonnée ou presque, à flirter avec une inconnue qui était plutôt généreuse avec lui. Il semblerait que les deux inconnus se soient rencontrés au bon moment. Ils avaient apparemment envie de la même chose et ce jeu de flirt allait vite déraper en quelque chose de beaucoup moins innocent. Il le comprit quand elle l’invita à l’intérieur de son van, Milo savait que cela ne serait pas pour enfiler des perles. La brune était assez explicite, et montrait des signes de séduction qu’il ne pouvait pas manquer. Le jeune homme aimait ce jeu entre eux, faisant tout avec une lenteur évocatrice. Tout appelait à une suite plus lubrique et fun pour le reste de la soirée. « Plutôt » C’était ce que Gabrielle venait de lui répondre alors que Milo n’avait pas à se plaindre de son physique. Après tout, il était un militaire qui s’entraînait tous les jours il n’avait pas de quoi rougir. Il avait donc souri à cette petite réponse même s’il était persuadé que Gabrielle appréciait passer sa main sur son torse…
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☽ août 2020. Milo n’aurait jamais mis une pièce sur la fin de cette soirée. Tout semblait mal se dégoupiller : à partir du moment où il avait posé le pied à terre, les merdes s’étaient enchaînées. Sa moto l’avait lâchée, son assurance jouait les troubles fêtes, et il était perdu au milieu de nulle part. Dans son malheur, il semblait avoir comme voisine, une très jolie demoiselle qui avait le goût du risque. En analysant la situation, on pouvait croire qu’elle était totalement folle de proposer son aide à un inconnu de la carrure de Milo. Pourtant, très vite, une connexion s’était établie entre eux, vite au point qu’ils se retrouvent dans le van de la jeune femme, sans vêtements, sans rien. Les deux adultes se cherchaient du regard, indéniablement dans le but de se provoquer. Ils étaient conscients du jeu dangereux auquel ils jouaient mais semblaient vouloir signer pour conclure ce soir.
L’américaine était divine, et Milo n’avait pas mis longtemps avant de craquer. Il avait eu le plaisir de découvrir ses lèvres ainsi que chaque centimètre de son corps. Les inconnus se complétaient à merveille, si bien qu’ils finirent par atteindre le Nirvana ensemble. Cette scène sortait presque d’un rêve inavoué, comme si ce moment était sorti des abysses. Pourtant, le regard de la brune dans le sien, Milo comprenait qu’il n’avait rien rêvé du tout. « Je n’ai définitivement aucun regret d’avoir couché avec un inconnu » Un rire s’échappa des douces lèvres du militaire, il vint caresser la joue de sa partenaire, remettant une mèche derrière son oreille. « J’en redemanderai presque… » Gabrielle se montrait conquise par l’union qu’ils venaient de vivre, et Milo était sur le même nuage. « Je n’ai aucun impératif, je suis tout à toi. » dit-il alors avec un sourire enjôleur au visage. « On peut remettre ça quand tu veux. » ajouta-t-il finalement pour être plus clair, il avait glissé une de ses mains dans la nuque de la jeune femme avant de l’attirer vers lui pour lui offrir un baiser sensuel. Le duo improbable finit par remettre le couvert un peu plus tard dans la nuit. Au petit matin, tout semblait être encore intact entre eux. Après avoir réglé son problème de moto, Milo et Gabrielle finirent par s’accorder une semaine de vacances. Les deux étrangers s’étaient accordés à ne pas s’attacher, à profiter de la liberté de la route pour s’octroyer de beaux souvenirs. L’avenir dirait si leur route se recroiserait un jour, mais ce qui était sûr c’était que Milo garderait toujours un doux souvenir de sa belle.
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