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Sergio Gutiérrez

so hit me with a riptide if that's the way you wanna say goodbye

Pièce d'identité

NOM ≈ Gutiérrez, comme une longue lignée mexicaine désormais éparpillée dans le monde entier. Cortés pour la lignée maternelle, quoiqu'il a décidé d'abandonner ce nom. PRÉNOM(S) ≈ Sergio Agustin. Il a pris le pli de la culture australienne à ne se contenter que de son premier prénom. ÂGE ≈ 50 ans, le cap passé, les restes de jeunesse sur le point de s'évaporer. LIEU DE NAISSANCE ≈ Acapulco, Mexique. Les quartiers qu'on ne voit pas sur les cartes postales mais qu'on déconseille dans les guides. STATUT SOCIAL ≈ Divorcé depuis presque dix ans. Il pensait que ce serait une bonne idée mais n'a que faire de cette liberté du coeur. MÉTIER ≈ Agent artistique entre Los Angeles et Brisbane. Un parmi tant d'autres, mais incroyablement doué quand il s'agit de tirer son épingle du jeu. ORIENTATION SEXUELLE ≈ Hétérosexuel et fermé sur le sujet. GROUPE ≈ 40 ans mode d'emploi AVATAR CHOISI ≈ réponse ici.

Les informations en vrac

Charismatique, charmant, beau parleur. Sergio est le genre d’homme qui sait séduire ses interlocuteurs, dire exactement ce que les gens souhaitent entendre. Fin manipulateur, il est celui qui s’attire la sympathie plutôt que la méfiance. ≈ Le cap de la cinquantaine a fait du mal à son ego. L’idée ne vieillir ne lui plaît guère. Cela justifie l’acharnement qu’il met à s’entretenir, à rester en forme et à avoir toujours une allure impeccable. ≈ Il est le genre à avoir toujours ce qu’il veut, peu importe le temps et l’effort qu’il devra y mettre. Cela se ressent dans son travail, dans ses relations, dans ses conquêtes. ≈ Ces dernières années lui ont permis de se constituer une petite fortune personnelle. Il a réussi, le sait, et n’hésite pas à l’afficher. Villa avec piscine et employés, voiture rutilante, costumes et chemise de marque, voyages. C’est ce qu’on pourrait appeler un vrai show off. ≈ Il est extrêmement discret sur sa vie personnelle, ne parle pour ainsi dire jamais de ses enfants qui ne lui voient aucune légitimité -pour un peu qu’il les (re)connaissent lui-même, ou de son ex-femme qui n’a jamais quitté vraiment ses pensées. ≈ Il a un goût prononcé pour la séduction, ne refuse jamais de s’oublier dans les bras d’une jolie femme. Malgré tout, la perspective de se relancer dans une relation sérieuse n’a jamais été une option envisageable à ses yeux. ≈ Sergio a un faible pour les soirées privées, les jetons déposés sur le tapis du casino ou les billets posés sur une table de poker. Ce qui lui a coûté de sérieuses dettes à l’époque est aujourd’hui un passe-temps somme tout lucratif. ≈ Débrouillard, il a fait bien des boulots avant d’arriver où il en est aujourd’hui. A rencontrer les bonnes personnes et à être au bon endroit au bon moment, il a réussi à se dégotter un contrat en or dans une agence artistique en tant qu’agent, permettant à l’agence de se faire un nom en Australie. Vendre du rêve à des âmes prêtes à tout pour se faire connaître est ensuite devenu une formalité. ≈ Il y a trois ans, il a adopté un doberman, une femelle nommée Etna. Si à l’origine, son rôle était surtout de surveiller la maison, il a développé une certaine affection pour l’animal. ≈ C’est un passionné des sports de l’extrême. De manière générale, il n’est pas celui qui tuera le temps devant la télévision ou dans son lit. Sauf s’il est en bonne compagnie, de toute évidence. ≈ Il n’a rien d’un père, ne trouve qu’un intérêt limité aux enfants. Il a donné son nom et ses gènes de nombreuses fois sans avoir la moindre envie de contribuer à leur éducation ou épanouissement. Pourtant, il a envie d’en être fier. Et certains ne lui laissent pas cette opportunité avec leurs pauvres choix de vie. ≈ Il vient d’une fratrie nombreuse, abandonnée derrière lui quand il a quitté le Mexique. Sergio n’a jamais réussi à se sentir lié à sa famille et ne ressent ni le besoin, ni la moindre culpabilité à n’être plus qu’un nom sur l’arbre généalogique. ≈ Les maladies d’Alzheimer et de Parkinson précoces sont fréquentes dans sa famille. Plus il vieillit, plus la perspective d’un jour perdre ses moyens ou son esprit le terrifie. ≈ De par son métier, Sergio est hyper connecté. Réseaux sociaux, presse virtuelle et physique, rumeurs. Il est l’homme qui connaît du monde dans quasiment tous les domaines. Son téléphone est son meilleur outil de travail. Cela force la curiosité morbide avec cette génération égocentrée. S’il veut fouiner dans le quotidien d’une personne, il saura où chercher. ≈ C’est un homme qui sert principalement ses intérêts et peut insulter jusqu’à sa morale et ses principes pour tirer son épingle du jeu, ce qui peut le faire tomber dans les extrêmes par moment.

Le joueur derrière l'écran

Sur le net, on m'appelle Tiphaine, mais appelez-moi Tiph. J'ai 24 ans, et je viens de Espagne. J'ai découvert 30YSY grâce à Rudy, et j'ai cédé à m'inscrire parce que faut bien le surveiller. Malgré mon emploi du temps chargé, je pourrai tout de même être présent(e) tous les jours. Mon personnage est un scénario de Rudy et la ptite famille, pis d'Eleanor. Je suis content(e) de vous rejoindre dans l'aventure et vive les tortues sergio ○ an ugly mess you created 1615570432

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Il était une fois, mon histoire

But hey, it was an honest mistake. We'll go our separate ways, we don't need to dig our own gravestones

Sergio, c’est tout simplement l’histoire d’un homme qui n’a toujours servi que ses propres intérêts. Il suffit de le voir aujourd’hui avec sa carrière, ses belles fréquentations, son argent, les beautés qui s’enchaînent dans son lit. Il est de ceux qu’on s’envie. Avec le temps, même l’accent qui trahissait ses origines mexicaines et qui il est réellement a fini par disparaître. Il s’est laissé avoir par les vices de la vie.

Il n’a toujours eu que Maritza comme kryptonite. Maritza avec sa longue chevelure brune, son regard sombre si expressif, son air mutin, la douceur de sa peau, ses rires si légers. Il n’était qu’un adolescent quand il a posé les yeux sur elle la première fois et pourtant, il était intimement persuadé qu’elle était celle qu’il désirerait toute sa vie. La vie ne lui a pas donné tort ; elle lui a fait l’honneur de l’aimer en retour. Pour elle, il a tout accepté sans broncher. Il a mis son ambition de côté pour lui offrir la sienne, a renoncé à toute forme de liberté pour la voir faire ce qu’elle aimait. Son bonheur avait toujours eu ce côté contagieux, au point que lui aussi a réussi à se sentir heureux le jour où elle lui a annoncé être enceinte. Il se souviendra toujours de la manière dont elle a balayé son appréhension et ses doutes d’un mouvement de la main, la façon dont elle a endormi son incertitude à parler de leur vie future. Il a fait d’elle sa femme aux yeux de Dieu, alors qu’ils attendaient leur premier fils. Ce même Dieu qu’elle remerciait pour ces cadeaux de la vie, quand lui a vite compris qu’il s’agirait d’une malédiction. Car c’était leurs croyantes religieuses qui ont fait que jamais le sujet d’un avortement n’aurait pu venir sur le tapis. C’était sur lui qu’elle rejetait la responsabilité quand il lui disait ne pas vouloir d’autres enfants.

Il y a eu Roderick. Diego. Alma. Son sang, des âmes innocentes qu’il était de leur responsabilité d’éduquer, de faire s’épanouir. Des nuits sans sommeil, des couches, des cris, une attention permanente. Il a essayé avec Rudy, à peine avec Diego. Il a essayé de se reprendre avec Alma, en espérant que le fait qu’elle soit une fille change la donne. Mais c’était un mode de vie qui ne lui convenait pas. Plutôt que de s’estimer chanceux, c’est le ressentiment qui a grandi, aussi insidieux que virulent. Il passait ses journées à travailler pour faire vivre sa famille, rentrait sur les cris, les responsabilités trop lourdes et une Maritza aux yeux tirés. Puis la nuit tombait, la journée se terminait ici. Sans rien de plus que des devoirs, des corvées. C’était à peine s’il pouvait avoir du temps avec son épouse. Ils n’avaient plus le temps ou l’argent pour les sorties en amoureux, pour les voyages, pour des moments à deux. La patience a rapidement fini par disparaître, tout comme lui. A quoi bon rentrer directement après le travail, dans ces conditions ? Il y avait plus intéressant à l’extérieur. Il y avait les bières avec des collègues, des soirées poker dans des salles à l’arrière, des fêtes de décadence quand on connaissait les adresses. Tous ces endroits où rien ne le rappelait à ses responsabilités, au point d’y engager son argent. C’était drôle au début, c’était lucratif. Il gagnait, perdait, se refaisait sur la partie suivante pour payer la tournée de la soirée.

Mais il n’était pas si bon que ça. Quand la spirale infernale s’est activée, ça a été le début du cauchemar. Il s’est bien gardé d’en parler à Maritza pendant de longues semaines, l’ayant habituée à ses absences. Sauf qu’aussi indifférent soit-il à l’éducation et aux soins de ses enfants, il n’y avait que lui pour répondre aux besoins financiers, sous ce toit. S’il finissait ruiné, ils seraient à la rue. Il n’avait pas le droit de leur faillir à ce point. Voir des types rôder autour de son logement un soir a fini de le décider. Il a pris ses chances, demandé un prêt à l’un des hommes auprès de qui il n’était pas encore endetté, a abusé de sa confiance. Puis, quand il a eu son salaire, il a pris des billets d’avion direction l’Australie. Il n’a pas laissé le choix à son épouse, ce qui leur a valu l’une de leurs plus grosses disputes durant leur mariage. Il n’a rien voulu lui dire sur les raisons de ce déménagement soudain, s’est même laissé aller à mentir, à prétendre qu’il avait une opportunité professionnelle intéressante là-bas.

Pour ce que cela vaut, il a essayé. L’arrivée en Australie n’a pas été simple. Il a dû prétendre être l’homme de la situation. Leur trouver un logement, une école pour les gamins, la paperasse de l’immigration. Il a dû être à la hauteur de toutes les promesses faites pour que Maritza accepte de le suivre. Il lui a fallu un nombre incroyable de mensonges au monde entier pour enfin s’en sortir. Il a dégoté un job dans une boîte d’événementiel en tant que coordinateur à cette époque, a usé de culot et de fausses références pour l’obtenir. Le salaire était bon, les horaires imprévisibles. Cela lui a offert une excuse pour se tenir loin certains soirs, ne pas affronter la corvée des enfants tous les jours. Mais malgré tout, il a essayé d’être présent du mieux qu’il pouvait. D’être là au repas du soir, de passer voir les gamins pour leur souhaiter bonne nuit. Il a essayé de s’habituer à cette vie. De ne plus mentir à son épouse sur ses absences. De l’aimer comme il le pouvait. Il a même feinté d’être heureux quand elle lui a annoncé encore une nouvelle grossesse. Une autre fille, Sara. Le retour des nuits sans sommeil, des biberons, des couches, de tous les fléaux qui suivent l’accouchement. Il a augmenté ses heures, à la naissance de la petite. Préférant se cacher derrière l’aspect financier plutôt que de devoir assumer encore un enfant de plus.

Il aurait pu tenir bon avec cette vie là. Eloigné des vices financiers, enfoncé dans cette routine où, à défaut d’être un père et un mari exemplaire, il avait fait des progrès. Mais il marchait sur une corde tendue. Un soir en rentrant, lorsqu’elle l’a accueillie avec ce regard grave, il a su immédiatement qu’il avait atteint les limites. Il ne pourrait plus jouer à ça, pas encore. Et il aurait aimé dire qu’il a regretté ses actes quand il a claqué la porte avec sa valise, quand il est parti s’installer seul. Sauf que ce serait un mensonge ; il s’est mis à respirer pour la première fois depuis longtemps. Seule Maritza lui manquait.

Sa vie à partir de ce jour n’a été constituée que d’égoïsme pur et dur. Il a appris à vivre pour lui-même, à mettre ses intérêts en avant. Sans Maritza, les choses étaient bien plus simples. Il a fini par se comporter comme n’importe quel homme de trente ans, s’est laissé consumer par l’ambition et l’envie de conquérir le monde. Il a développé ses relations, s’est mis à travailler pour des gens plus influents. Il a fréquenté d’autres femmes, celles qui ne venaient pas avec une ribambelle d’enfants. Il a découvert de nouvelles passions qu’il pouvait commencer à s’offrir. Les sorties nocturnes et irresponsables n’avaient plus grande importance, désormais. Le pire était probablement que sa désormais ex-épouse mise à part, il était heureux de cette nouvelle vie, déchargé d’un fardeau trop lourd. Il n’a jamais ressenti le besoin de revenir à sa vie d’avant, de prendre des nouvelles de ses enfants. Le mieux qu’il faisait étant d’augmenter la pension alimentaire quand il se souvenait de l’un de leurs anniversaires.

Dix ans de sevrage et un divorce. Puis, il a fallu qu’il la revoie un jour dans les rues de Brisbane. L’effet brutal de la kryptonite, le manque d’elle qui s’est manifesté immédiatement. Aussi divorcés soient-ils, aussi puissants que soient les reproches, ce jour-là, Sergio n’a pas pu s’en empêcher. Il a essayé de la récupérer, juste elle. Ils se voyaient chez lui, loin des enfants. Ils n’en parlaient pas vraiment non plus. Peut-être par peur de ce que la réalité pourrait venir leur faire. Cette même réalité qui les a rattrapés brutalement. Il l’a pourtant prévenue cette fois-ci que cela ne changerait rien, qu’il ne reconnaîtrait pas ce nouvel enfant, qu’il ne voudrait jamais en entendre parler. Qu’elle ferait mieux de ne pas le garder. Elle n’a pas écouté. Cela a créé un nouveau gouffre dans leur relation à peine retrouvée, durant laquelle il a préféré partir explorer une opportunité dans une agence de talents aux Etats-Unis plutôt que d’être témoin une nouvelle fois de ce corps prêt à donner la vie, d’être appelé à l’hôpital pour entendre son (ex) femme souffrir puis déborder d’une joie non partagée à tenir un bébé fripé et gueulard.

Il aurait certainement dû se tenir à cette décision plutôt que de se laisser avoir par des réminiscences du passé. Car un an plus tard, lorsque Maritza l’a appelé, c’est le même cirque qui a recommencé. Les rencontres secrètes, quoique plus compliquées à cause du bébé qui était à la maison. Les moments passionnés, les sorties discrètes. Tout ce qu’ils auraient dû faire plutôt que de changer des couches pendant autant d’années. Ils en parlaient souvent de combien le temps les avait changé, des aspirations qui étaient différentes aujourd’hui. Il avait de l’argent, plus qu’il n’en avait jamais eu. Des envies d’explorer le monde avec son ex-épouse. Sur l’oreiller, il leur arrivait de rêvasser avant qu’elle ne s’en aille. Il s’en contentait, d’une certaine manière.

Jusqu’à ce qu’un jour, ce ne soit pas Maritza sur le pas de sa porte mais Rudy, son aîné. Plus âgé que la dernière fois qu’il l’avait vu, plus abîmé. Dévoré par la violence, assez pour que la lame froide d’un couteau vienne se poser sur sa gorge. Y appuyer assez fort pour que le sang perle. Il se souviendra toute sa vie des prunelles remplies de haine qu’il a dû affronter, des paroles acerbes qui lui interdisaient de revoir son ex-femme sous peine d’avoir le couteau qui lui déchirerait la jugulaire. Malgré les protections et les défis de l’âge, l’amour de sa vie attendait leur septième enfant. Celui de trop, pour tout le monde. Mais ce qui a surtout marqué Sergio ce jour-là, c’est combien son cœur est resté insensible face à l’aversion manifeste de son fils. Un constat glacial, à vomir. Il avait toujours été celui qu’il aimait le moins. Pendant une seconde, le père avait imaginé répliquer, coller une baffe bien méritée à ce gamin. Lui apprendre un peu de respect, une notion visiblement oubliée. Pourtant, il le savait. Ils avaient atteint ce point de non-retour. Il ne parierait pas sa vie.

Quelle douce ironie finalement que ce soit l’absence de Rudy qui ne pousse Sergio à faire pire que de se rapprocher de sa mère, encore. Il n’y a certainement pas de mots pour exprimer la déception qu’il a ressentie en apprenant que son fils avait terminé derrière les barreaux, pour il ne savait trop quel méfait. Celui qui avait pensé utiliser la violence pour protéger sa famille s’en retrouvait éloigné irrémédiablement pour plusieurs années. Au début, ce serait mentir que de dire que Sergio n’avait pas pensé en profiter pour retrouver Maritza. Avant de réaliser que ce n’était pas réellement ça, qu’il souhaitait. Il avait fait le choix d’être absent, de ne pas s’occuper de ses enfants. Mais il n’en restait pas moins leur père et le patriarche de cette famille. Peut-être n’auraient-ils pas vingt ans de bons souvenirs ensemble, mais cette place lui revenait de façon légitime. Il était hors de question que le nom des Gutiérrez ne soit associé à des petites frappes délinquantes, surtout pas alors qu’il était enfin en train de devenir quelqu’un. Il ne laisserait pas les choses se dérouler ainsi.

Cette famille est la sienne. Peu importe le temps que cela prendra pour tous les reconquérir. Et peu importe les moyens qu’il faudrait employer. Car si ces dernières années lui ont appris quelque chose, c’est que tous les moyens sont bons pour arriver à ses fins.

bienvenue par ici & bonne chance pour ta fiche :l:

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Bienvenue et bon courage pour l'écriture de ta fiche ! sergio ○ an ugly mess you created 2954228499

Bienvenue parmi nous sergio ○ an ugly mess you created 1949770018

Bon courage pour ta fiche sergio ○ an ugly mess you created 394614564

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Invité Invité

Bienvenue

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Quel beau choix de scénario sergio ○ an ugly mess you created 3258319053

bienvenue parmi nous sergio ○ an ugly mess you created 1949770018

Invité Invité

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Bienvenue à toi et bon courage pour ta fiche.
Tu fais un tellement bon choix de scénario, tu ne vas pas être déçu sergio ○ an ugly mess you created 199959295

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Je vais garder un oeil sur ta fiche pour venir te demander un éventuel lien avec mon triple compte (Gabrielle Strange), vu que monsieur a voyagé entre Los Angeles et Brisbane, il y a possibilité de trouver quelque chose d'intéressant. sergio ○ an ugly mess you created 1001340119

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Invité Invité

"faut bien le surveiller", non mais je rêve :drama:

un jour on jouera autre chose qu'un lien parent/enfant, mais pour l'heure, je suis beaucoup trop contente sisi

(ok j'admets que le daddy est canon)
bienvenue à la maison, et j'ai haaaaaaaaaaate de lire ta fiche sergio ○ an ugly mess you created 199959295

Je ne connaissais pas l'avatar, mais il loin d'être désagréable sergio ○ an ugly mess you created 4251317097

Hâte d'en savoir plus sur monsieur sergio ○ an ugly mess you created 3922047296

En attendant, bon courage pour ta fiche, et bienvenue parmi nous sergio ○ an ugly mess you created 3731487388

Another love shit.

And I wanna sing a song, that'd be just ours, but I sang 'em all to another heart. And I wanna cry, I wanna fall in love, but all my tears have been used up. And I wanna kiss you, make you feel alright, I'm just so tired to share my nights. I wanna cry and I wanna love, but all my tears have been used up