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Dernière édition par Maisie Moriarty le Lun 20 Sep 2021, 16:21, édité 3 fois

Maisie Moriarty

Life is a comedy to those who think, a tragedy to those who feel.

Pièce d'identité

NOM ≈ Moriarty, allez-y avec les références à Sherlock ou Sur la route, je les ai déjà toutes entendues et cette facilité ne fera que trahir votre cruel manque d’originalité tandis que j’ai appris à rester impassible ou, à défaut, à offrir un sourire hypocrite pour vous convaincre que oui, oui, vous êtes le premier à me faire la vanne, ahah, félicitations à vous, allez mourir. PRÉNOM(S) ≈ Maisie, court, simple et efficace. Terriblement ennuyant, aussi. Je n’ai jamais su les raisons derrière ce prénom, je n’ai jamais cherché à le savoir non plus ; probablement qu’un site lifestyle saura vous aiguiller dans des explications toutes mignonnes et ridicules qui sauront vous convaincre du bien porté (ou non) de ce prénom, alors faites-vous plaisir. ÂGE ≈ Vingt ans, à vous de juger s’ils se voient sur mon visage (en cas de réponse négative, merci de vous abstenir de le verbaliser). Née le 10.02.2001, c'est drôle, ça se lit dans les deux sens, qu'est-ce qu'on s'éclate, ahah. LIEU DE NAISSANCE ≈ Londres, en Angleterre. Papa est anglais, maman est australienne ; bercée par la culture anglaise jusqu’au début de mon adolescence, avant que maman nous embarque sur ses terres natales et que papa reste en Angleterre. Évidemment que le divorce allait mal tourner et se faire dans le sang, être présente pendant les matchs de cricket entre les deux nations étaient déjà un avant-goût de l’apocalypse qui allait suivre. STATUT SOCIAL ≈ Célibataire, vierge et pas intéressée, je peux toujours vous rencarder avec mes copines qui sont, elles, célibataires, en manque et déprimées, si besoin, hein. MÉTIER ≈ En perdition. Des études d’assistante sociale arrêtées par la force des choses (ou plutôt, mon manque de force), jamais envisagées d’être reprises malgré mon intérêt, parce qu’il faut se rendre à l’évidence : je ne suis pas suffisamment stable pour ça, mais voyons ça comme un objectif de vie. Depuis, j’accumule les métiers peu glorieux, mais qui permettent de me remplir l’estomac (ahah, je suis définitivement hilarante aujourd’hui). Actuellement, je suis employée polyvalente dans un cinéma de quartier ; passant de la préparation de votre pop-corn au nettoyage des toilettes – ou dans l’ordre inverse selon votre politesse à la caisse. Et puisque ça ne rapporte pas assez, je me nourris aussi des fantasmes d’autres ; j’ai un compte OnlyFans qui me sert à vendre mes sous-vêtements sales, à envoyer des photos de mes pieds et toute autre demande qui ne m’oblige pas à me dénuder. Je ne juge pas ces fétichismes, puisqu’ils m’arrangent bien, hein. ORIENTATION SEXUELLE ≈ Pas intéressée, j’ai dit. Bien que les seules lèvres qui m’ont dégoûtées de toute démonstration affective ait été masculines. GROUPE ≈ 17 ans encore, c’est d’ailleurs un peu infantilisant si vous voulez mon avis. AVATAR CHOISI ≈ Il parait que je ressemble à Daisy Edgar-Jones, le succès en moins. Soit.

personality

(sarcastique) Certains s'étonnent des mots qui peuvent sortir d'entre mes lèvres, parfois trop piquants et qui contrastent avec un visage que beaucoup jugent, à tort ou à raison je l'ignore, comme doux. J'ai souvent été considérée comme fragile uniquement sur le seul critère de mon corps trop aminci, trop faible, qui m'a lâché parce que je l'ai forcé à le faire. Mais les épreuves ne m'ont pas fragilisée et je sais qu'il est cliché d'en parler ainsi, mais elles m'ont fortifiées. Avec le recul, je me moque de ma situation, j'utilise un humour noir à en déranger certains, mais qui a le mérite de préserver les barrières qu'il m'a fallu construire. Si ma vie s'est bâtie sur un certain nombre d'échecs, dont une bonne partie pour lesquels je suis responsable, il ne tient qu'à soi de les envisager comme tels ou d'essayer d'en tirer une force; j'ai opté pour la seconde perspective. (positive) Peut-être que le sarcasme et l'optimisme sont difficiles à lier, toujours est-il que j'essaie de faire usage de l'un comme de l'autre. Je n'ai jamais jugé utile de m'abattre sur mon sort puisque cela n'aurait rien changé ; au contraire, l'expérience m'a montré que revivre une situation n'est de loin pas le meilleur moyen de s'en tenir à distance. Llewyn m'a énormément aidé pour cela, m'obligeant à voir le monde avec une nouvelle paire d'yeux que je ne pensais pas être la mienne. Mais sa naïveté, son insouciance et sa bonne humeur ont déteint, petit à petit, sur moi et j'ai compris que le monde était plus beau, malgré les épreuves, si on acceptait de le voir comme tel et uniquement comme tel. (arrogante) J'ai appris à me construire par la force des choses ; je sais ce que je vaux et ce que je ne vaux pas. Dans un cas comme dans l'autre, l'assurance dont j'ai appris à faire preuve en apprenant à me connaître peut parfois être vue comme de l'arrogance, pour laquelle je ne compte pas m'excuser. J'ai trop longtemps été dépendante des volontés des autres pour taire celles qui sont désormais les miennes, que cela plaise ou non m'importe peu. Sauf quand il s’agit de Glen. Ce qu’il pense m’importe toujours et je sais que cette arrogance est souvent mal perçue par mon frère, mais je ne sais pas plus m’adresser à lui aujourd’hui que je ne savais le faire à quinze ans. (militante) Cette assurance s'est traduite, au fil des années, par des convictions que je ne passe pas sous silence comme je l'aurais fait plus jeune. J'ai appris à croire en certaines choses, à me battre pour d'autres et aujourd'hui encore j'ai à cœur de défendre mes intérêts autant que les causes qui sont chers à mes yeux. Certains me qualifient d'hippie de pacotille à cause de certaines de mes croyances, mais là-encore cela m'importe peu : l'essentiel est que je me retrouve dans ce en quoi je crois et non pas que les autres s'y identifient. (extravertie) Là-aussi, on peut supposer que les bribes d'une enfance passée à être en retrait s'exprime pas une facilité à me mettre en scène et en avant. Jamais pour voler la vedette ou simplement faire l'intéressante, mais juste parce que j'en ai envie, parce que je suis dans une situation où je désire vivre les choses et faire mes expériences. J'ai mis du temps à sortir de ma coquille et aujourd'hui, je n'ai aucune raison de m'excuser, peu importe si mes idées et mes plans peuvent sembler farfelus, stupides, malaisants : si j'en ai envie, je le fais et je ne réfléchis pas plus loin. (impulsive) En ce sens, on peut me considérer comme impulsive, ne réfléchissant que peu souvent aux conséquences. C'est peut-être la raison pour laquelle je suis tombée dans les troubles alimentaires, parce que le bénéfice était immédiat et que les problèmes sont apparus sur le long terme. Pourtant, en avoir conscience de m'a pas empêché de récidiver - mais ce n'est pas pour autant que je souhaite me pencher sur la question. (immature) J’ai encore l’excuse de la jeunesse pour justifier la manière dont je me comporte parfois, dont d’autres font parfois les frais (je pense à mes colocataires, toutes mes excuses à eux), la vérité c’est que je ne suis pas sûre que cette immaturité disparaisse avec le temps. J’ai eu l’impression de passer à côté d’une partie de ma vie et je suis encore assez jeune pour tenter de rattraper le temps perdu. Je sais, ça fait ridiculement philosophique et je ne sais pas exactement quand j’ai commencé à penser comme un ancêtre fossilisé, mais je me suis imposée trop d’interdits pendant trop longtemps pour continuer à me mettre des barrières. Bien sûr, il y a des aspects sur lesquels je suis incapable de perdre le contrôle, mais pour le reste, j’ai décidé d’apprendre à vivre. Un peu tard, peut-être, mais le plaisir n’en est que décuplé. (fragile) Oui, même s’il m’en coûte d’admettre que mon physique traduit de cette partie de ma personnalité, pourtant c’est une vérité : je suis fragile et je le serai toujours. Mon anorexie ne sera jamais totalement guérie, c’est un constat que j’ai fait après une énième hospitalisation survenue au début d’année dernière après un certain temps sans crise aiguë ; mais j’ai appris à vivre avec cet aspect de ma personnalité que jamais je ne pourrai totalement renier – même si ce n’est pas l’envie qui manque, croyez-moi. Le fait est que lorsque les émotions sont trop, trop nombreuses, trop fortes, je n’y arrive plus et je cède à mes vieux travers ; peut-être est-ce la raison pour laquelle je me cache derrière un enthousiasme parfois trop exacerbé, pour tenir à distance les vrais problèmes – mais si je refuse de les voir, alors ils ne peuvent pas s’imposer à moi et exister, n’est-ce pas ?

a million little things

(trigger warning : troubles alimentaires)
(relations) Ils sont pourtant bien présents, ces problèmes que je me suis imposée adolescente. Il était aisé d'exister par mon envie de disparaître et n'allez pas croire qu'il suffit d'une bonne thérapie et d'une hospitalisation pour aller mieux ; mon corps s'est retrouvé soigné, mais mon esprit, lui, n'a jamais vraiment suivi. C'est ce qui me pousse à faire, parfois, du mal aux autres sans m'en apercevoir, c'est notamment ce qu'il s'est produit avec mon dernier petit ami, celui qui a tenté de me soutenir durant ma dernière hospitalisation et qui a baissé les bras face à la montagne de travail qui l'attendait. Je ne lui en veux pas, j'ai baissé les bras bien avant lui alors ce n'était qu'une juste continuité qu'il en fasse de même. Il en va de même avec ma mère, qui s'est avérée soutenante pendant de nombreuses années avant que je ne replonge, encore et encore, et qu'elle abandonne elle-aussi la bataille. L'une comme l'autre avons conscience que je ne gagnerai jamais, de toute évidence. (nourriture) Par conséquent, mon rapport à la nourriture a toujours été compliqué. L'obsession des calories s'est peu à peu transformée en nécessité de contrôler tout ce que j'ingère, au point de noter chaque repas et chaque aliment. L'obsession ne vise plus à punir mon corps, mais à avoir le contrôle pour ne plus dérailler comme j'ai pu le faire par le passé. Au-delà de ça, il m'est très difficile de manger face au quiconque et si c'est le cas, c'est que je vous fais une entière confiance, profitez-en. (amour) J’ai vingt ans, j’ai déjà été en couple, mais je n’ai jamais osé franchir le pas d’une relation physique. Mon rapport à l’intimité est faussé par l’image que mon propre corps me renvoie dans un miroir ; cela s’accompagne souvent d’une grimace et de la conviction que jamais je n’imposerai telle vision à qui que ce soit, malgré les mots réconfortants ou à l’inverse, une tendance à insister. Je n’ai pas encore franchi le pas de m'offrir à quelqu’un et je pourrais proclamer que j’attends le bon ; la vérité est que je n’attends personne et que si j’ai le désir de connaître de telles sensations un jour ou l’autre, je ne suis pas encore prête. Ça m’angoisse et même si je ne le crie pas sur tous les toits, je n’ai pas honte d’être vierge, j’aimerais seulement que la société cesse de me donner l’impression que je devrais l’être. (hôpital) C'est devenu ma seconde maison avec les années, une maison que j'affectionne quand elle m'aide et que j'exècre quand elle manque à sa mission. Il est toujours plus facile de rejeter la faute sur autrui et l'institution qui est supposée prendre soin de moi s'avère être le parfait coupable. J'ai fait de belles rencontres comme des mauvaises et chacun, à sa façon, à façonner mon rapport à la maladie, pour le meilleur comme pour le pire. Le meilleur, lorsque je parviens à gérer par moi-même une crise. Le pire, quand je n'arrive plus à gérer et que la seule manière d'y arriver semble consister à me punir. Beaucoup ne comprennent pas le raisonnement, moi la première. (musique) Je suis tombée dedans très jeune, dans les moments où Glen me considérait comme sa sœur et non une étrangère. Il a toujours été plus créatif que moi et son truc a toujours été la musique. J’ai d’abord été réceptive par volonté de tisser un lien avec ce frère trop distant et, peu à peu, c’est devenu une évidence pour moi aussi. J’ai le mérite de me débrouiller suffisamment pour avoir toujours eu ma place dans un groupe. J'espère que le prochain sera Oxtorm, dont la petite annonce publiée m’a fait de l’œil et après quelques mois à vouloir m’assurer que ma situation est suffisamment stable pour ne pas les décevoir eux-aussi, à termes, me voilà prête à sauter le pas du premier contact. (entourée) J’ai besoin de l’être, parfois à outrance. La solitude me pèse et pour contrer celle-ci et les dérives qu’elle appelle avec elle, je m’entoure, parfois de bonnes fréquentations, parfois d’autres plus discutables. L’essentiel est de ne jamais me retrouver seule avec mes pensées, peu importe le moyen pour y arriver. C’est ainsi que je me retrouve parfois à nouer des liens avec des individus pour lesquels je n’aurais jamais eu d’intérêt en temps normal, à en faire des causes pour lesquelles je m’investis, avant qu’ils ne deviennent des gens dont plus jamais je ne veux me séparer. (active) Le sport m’est déconseillé par les extrêmes par lesquels est passé mon corps, mais marcher a toujours été quelque chose que j’affectionne. Me perdre dans les rues de Brisbane sans réel but, autant qu’avec la volonté de découvrir diverses activités, souvent culturelles, organisées par-ci et là de la ville, souvent accompagnée de Llewyn a toujours été quelque chose d’important. (+++) La couleur jaune, le rock britannique, le thé et les scones, la bière, les plantes, le do it yourself, ma collection d’étiquettes de bières du monde entier, la famille royale (une vraie obsession), Londres, les câlins, les surnoms débiles, les savoirs inutiles, le théâtre, ma basse baptisée Jimi, mon stylo porte-bonheur offert par Glen, les fruits secs, un bracelet de pâtes offert par Lleywn, les habits trop amples, les cahiers, le contrôle, l’humour, l’eau, la cigarette, les joints, les chewing-gums (---) la pop aseptisé, le pudding de l’hôpital St-Vincent, le blanc, les aiguilles, les pommes, les réseaux sociaux, les challenges débiles, les médias, les statues, le latex.

J’ai un van aménagé dans lequel je dors par moment et qui me permet de voyager avec Llewyn (+) Je suis très bonne cuisinière, contrairement aux idées reçues sur les anglais. (+) Mon accent est à couper au couteau, je n’ai jamais réussi à m’en débarrasser et je ne le veux pas. (+) fumeuse occasionnelle de weed, fumeuse (trop) régulière de cigarettes. (+) bobo et écolo sur les bords, vegan et activiste, en prime. (+) Je me déplace toujours avec un sac à dos dans lequel j’ai des contenants vides ‘’juste au cas où’’. (+) J’ai un cochon d’Inde par dépit, parce que Llewyn ne peut pas en avoir chez lui et que j’ai voulu lui faire plaisir. J’ai écrasé le précédent sans le vouloir en faisant le ménage, je l’ai donc remplacé, honteusement (non) de toute urgence. (+) j’ai une passion pour le bricolage, enseigné par mon père dans les rares moments où mon frère n’était pas dans ses pattes. Je prône à qui veut l’entendre que je rivalise avec Bob, la vérité c’est que j’ai plus de chance de m’électrocuter qu’autre chose, mais après moult péripéties, j’arrive (presque) toujours au résultat escompté. (+) Adepte du DIY, j’ai parfois des idées saugrenues qui exaspèrent mon entourage : il n’est pas rare que je rende mes vêtements inutilisables parce que l’expérience a mal tourné et que je bouche les canalisations de la maison que je partage avec Sofia et Swann en voulant cacher les preuves de ma bêtise. (+) Grande fan de la Pat’Patrouille à cause de mon petit frère quand il était plus jeune, je collectionne (pas si) honteusement les objets dérivés, pensez-y pour mon anniversaire, c’est devenu un running gag récurrent. (+) Passionnée de musique, je ne me couche jamais sans regarder un live que je trouve au hasard sur youtube. Pour certains, c’est netflix, pour moi c’est un concert de Jojo Siwa et je me force à regarder chaque recommandation, pour la science, même si ça me fait souffrir pendant deux heures. (+) Bénévole à l’hôpital qui m’a traitée, je ne suis pas suffisamment stable pour accompagner des jeunes dans ma situation, cependant je fais partie de la très importante équipe des docteurs pour peluche : recoudre le nez d’un chien ou l’oreille d’un lapin en coton n’a aucun secret pour moi. Il m’arrive même de piquer la blouse d’un infirmier pour parfaire le tout. (+) Adepte de memes, mes sms sont souvent composés de ceux-ci ou d’un gif qui se prête à l’occasion, en plus ça m’évite de s’étendre sur les sujets que je ne veux pas aborder. (+) J’ai peur des statues et autres poupées de cire, toujours inquiète à l’idée que celles-ci puissent prendre vie suite à une plaisanterie de mon frère. (+) Allergique au latex, ce qui pour l’instant n’est pas vraiment un problème, vous en conviendrez. (+) Je suis suivie par un psychiatre pour mes troubles alimentaires et je suis encore sous médication. (+) Je joue de la basse depuis gamine et j'ai la prétention de très bien la maîtriser. Avec les années, je me suis intéressée à d'autres types de musique et aujourd'hui, je maîtrise également certains logiciels informatiques même si certains ne qualifient pas cela de musique. Moi, ça m'éclate de faire mes expérimentations et j'espère qu'il en sera de même pour Oxtorm quand je tenterai de vendre mon CV. (+) Le cinéma n'a pas toujours été une passion comme c'est le cas à l'heure actuelle. C'est par le biais de mon emploi que j'ai commencé à m'y intéresser et à devenir une fan absolue et pour ça, je remercie Rose, la propriétaire du ciné où je bosse de m'avoir transmis sa passion. Rose n'est plus toute jeune et a passé sa vie à défendre et à partager son amour pour le septième art. Aujourd'hui, son petit cinéma de quartier connaît la crise à cause des envahisseurs représentés par les grandes chaînes, mais du haut de ses huitante ans, elle continue de se battre pour qu'on existe.

Le joueur derrière l'écran

Sur le net, on m'appelle Leave, mais appelez-moi Chris(telle). J'ai 26 ans, aïe, et je viens de Suisse. J'ai découvert 30YSY grâce à please, et j'ai cédé à m'inscrire parce que je suis faible. Malgré mon emploi du temps chargé, je pourrai tout de même être présent(e) beaucoup trop souvent pour mon propre bien. Mon personnage est un INVENTÉ mixé à des pré-liens (@Jessalyn Oxton, @Swann Buchanan, @Sofia Shaw). Je suis content(e) de vous rejoindre dans l'aventure et premier du mois, fin d'examens, tout ça, on connaît.

Pour recenser votre avatar

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à remplir si vous refusez le doublon de prénom

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Dernière édition par Maisie Moriarty le Lun 20 Sep 2021, 16:30, édité 5 fois

Il était une fois, mon histoire

Look in a mirror and find a ghost

PERCY MORIARTY
Papa est anglais, papa a rencontré maman durant un voyage scolaire de cette dernière ; le cliché du coup de foudre devient réel, celui des adolescents insouciants qui ne savent pas se protéger aussi quand Glen naît bien trop vite, dès que Madelyn a rejoint l’Angleterre pour y poursuivre un échange afin de ne jamais être loin de celui qu’elle considère (naïvement) comme l’homme de sa vie. Au départ, ils m’ont romancé l’histoire de leur rencontre et puis les années ont passé, leur amour s’est effrité et le divorce a été acté, de quoi assombrir le beau récit d’un amour pourtant passionnel. Entre temps, mon arrivée huit ans après mon frère n’a pas pu sauver les choses. J’avais huit ans quand nos parents ont décidé de mettre un terme à leur mariage ; le divorce n’a été acté que deux ans après. Ce fut deux ans de bataille judiciaire sur bataille judiciaire, de haine et de reproches, de coups bas et de trahisons pour être le gagnant de cette guerre ; le but n’était pas tant de préserver ses propres intérêts et ceux des enfants que d’obtenir le pouvoir ultime de la victoire. Comme toujours, Glen est resté en retrait et en colère, me donnant l’impression d’affronter la tempête seule et de prendre les torts d’une certaine façon : ils avaient survécu à mon aîné et mon arrivée avait mis à mal leur équilibre, alors que je faisais de mon mieux pour m’effacer et ne pas donner raison à cette petite voix dans ma tête insistant sur ma place extérieure à ma propre famille. Pourtant, au fil des années, elle a gagné du terrain sans que je ne puisse dire pour quelle raison je lui ai donné une telle importance. Pour finir, maman nous a embarqué dans son Australie natale, papa s’est remarié avec une femme à peu près sympathique et deux enfants sont venus compléter les rangs. Si je connais leurs prénoms, je serai bien incapable de reconnaître leur visage dans la rue. Le poids de la distance, du désintérêt et d’une certaine jalousie, surtout.

GLEN MORIARTY
Glen avait déjà huit ans quand je suis née. Premier enfant d’un couple à peine sorti de l’adolescence, nos parents se sont présentés comme des copains plus qu’une autorité. Glen prenait toute la place. Toujours, tout le temps. Il passait avant tout, il attirait toute l’attention. Il fallait courir au commissariat pour le récupérer, au détriment de mon spectacle de danse. Il fallait parler avec lui pendant des heures pour tenter de pénétrer son esprit barricadé, au détriment de mes propres inquiétudes que jamais, jamais il ne fallait partager. Il fallait céder à toutes ses menaces et ses pressions pour qu’il puisse obtenir ce qu’il désirait, peu importe si cela impliquait de me sacrifier à sa place. Les économies sont parties pour ses études ; après tout, jamais je n’aurais élevé la voix comme lui, alors cela voulait bien dire que je n’avais aucune ambition contrairement aux siennes, toujours verbalisées haut et, surtout, fort. Il est celui qui n'a jamais hésité à faire entendre sa voix, à partager ses désaccords et à tenter de faire primer son opinion sur celles des autres. Paradoxalement, même si j'ai toujours l'impression d'être écrasée par lui, il est celui auquel je m'accroche plus que de raison. Il n'est pas fiable, il est impossible de compter sur lui, il réduit à néant toutes les belles promesses qu'il peut faire. Il est instable, il fait tout le contraire de ce qu'on attend de lui, il déçoit souvent. Il coche toute la liste des défauts que l'on peut trouver chez un être humain et pourtant, il reste parfait à mes yeux. Glen, c'est celui qui est maladroit quand il s'agit des émotions et qui ne sait pas comment réagir, Glen, c'est celui qui ne m'a pas donné l'impression d'être une bête de foire et qui a continué de me traiter normalement en se désintéressant de mes soucis. Il est celui qui m'énerve, mais aussi celui pour qui je ferais tout - quitte à aller le chercher au poste à 3h du matin. Je peux lui pardonner tous ses excès, en partie parce que je l'envie. Je l'envie d'être aussi libre, aussi je m'en foutiste, de faire ce qu'il veut en toutes circonstances, de vivre sa vie comme il l'entend sans que rien ni personne ne l'arrête. Glen fait n’importe quoi, Glen n’a jamais su gérer sa vie, Glen me fait encore payer le prix à l’heure actuelle. Glen, je l’aime autant que je le déteste, je le veux à mes côtés autant que je veux le rayer de ma vie, j’utilise tous les péjoratifs du monde pour le décrire alors que mes yeux brillent en pensant à lui.

MAISIE MORIARTY (trigger warning : troubles alimentaires)
J’ignore comment cela s’est immiscé dans ma tête. J’ignore à quel moment j’ai commencé à croire cette petite voix lorsqu’elle me soulignait que je n’avais pas vraiment ma place dans cette famille. Il y avait Glen et sa vie de presque adulte d'un côté, ma mère et mon père de l’autre. Moi, j’étais au milieu et je ne savais pas vraiment ce qu’il devait advenir de moi, alors j’ai essayé de le comprendre en observant mon frère et mes parents. Glen avait sa propre personnalité, mon père transpirait l’assurance, ma mère était d’une beauté incroyable. Moi, je n’avais ni la personnalité, ni la beauté. J’avais l’impression que personne ne me voyait ou ne prêtait attention à moi et avec le recul, j’ai conscience que cette idée était biaisée par ces pensées qui se sont frayées un chemin dans mon esprit. J’ai commencé à stresser, j’ai commencé à sauter un repas, puis un deuxième. J’ai perdu du poids et ma mère a remarqué mes jambes tremblantes et mon pull devenu trop large. Elle a essayé de m’en parler et nous avons passé l’après-midi ensemble, comme nous ne l’avions pas fait depuis longtemps. Je ne sais pas et je crois que je ne veux pas savoir comment les choses se sont liées dans mon esprit, j’ai conscience que c’est malsain autant que cliché, mais j’ai fait deux constats ce jour-là : ma volonté de m’effacer avait enfin un sens, des yeux se posaient enfin sur moi. Je ne suis pas tombée dans les troubles alimentaires par pur égoïsme qu’on me regarde. C’est ce que j’essaie de me dire ; je n’ai jamais voulu être la première de la classe, le centre de l’attention, celle dont on veut être l’amie ou l’amant, l’entre-deux dans lequel j’évoluais me convenait parfaitement. Je le croyais. Mais la fièvre et la nausée ne suffisaient pas pour qu’on me voit ; et mes vêtements sont devenus toujours plus amples, mon corps toujours plus aminci, mes remords toujours plus grands après une crise de boulimie. Pour la première fois de ma vie, j’avais du contrôle sur moi-même et sur ma vie ; les autres étaient à mon service. Et le cercle vicieux s’est mis en place, contre ma volonté, sans que je puisse l’arrêter : c’est dans ma confrontation avec la mort que je ne me suis jamais sentie aussi vivante. Même aujourd’hui, après plusieurs rechutes et une stabilité difficile à maintenir, je n’arrive pas à me dire que les choses sont allées trop loin. J’ai l’impression de toujours avoir eu le contrôle, même au pire de ma déchéance, même quand la détresse cardiaque et le tuyau dans le nez auraient dû m’aiguiller sur la gravité de la situation ; au final, ce n’était qu’un test et je m’en suis toujours sortie. Je m’en sors toujours. Promis, je vais bien.

MADELYN MORIARTY
Madelyn, australienne, reine des abeilles déchue qui n’a jamais retrouvé son trône, aux atteintes anormales et toujours plus lourdes sur les épaules de ses trois enfants. Madelyn n’est pas méchante, Madelyn est juste paumée ; Madelyn s’est sacrifiée pour son fils et a été là pour moi au moment de ma déchéance. À ma première hospitalisation, il était d’abord essentiel de mettre en avant l’absence de mon père comme facteur de mon état, l’argument imparable pour avoir une pension plus conséquente. De longues heures à discuter avec l’avocat, à m’exhiber dans toute ma faiblesse, en espérant que j’accède à sa demande de feinter des larmes pour être plus convaincante quand il s’agissait d’exposer ma vie à des personnes qui n’en savaient pas plus sur moi que moi-même et puis, ensuite, un amour maternel étouffant quand elle s’est découvert un instinct manquant à l’appel pendant de nombreuses années. Je ne lui en veux pas et jamais je ne pourrai lui en vouloir d’avoir tout donné pour m’aider. Malgré sa maladresse, malgré ses mots durs visant à me faire réagir, malgré la déception autant verbalisée que lue dans ses yeux mouillés, elle ne m’a jamais lâché. C’est moi qui l’ai fait quand j’en ai eu la force, lassée de la suivre elle et son impulsivité, ses sentiments décuplés pour le premier venu qui faisait défiler un lot d’hommes dans notre appartement (pas toujours sympathiques, mais toujours avec une date de péremption sur le front), au point de gâcher les quelques belles histoires vécues. Pas toutes, puisque si Tobias a fui ma mère, il ne m’a pas fuie, et s’il n’a plus aucun statut officiel à ses yeux, aux miens il reste ce beau-père que je pourrais presque considérer comme un père, en réalité. Des histoires de ma mère, il ne reste que deux nouveaux divorces et un enfant perdu au milieu de tout ça, Llewyn, peut-être sa plus belle création.

LLEWYN MORIARTY
Parlons-en, d’ailleurs. Llewyn a neuf ans et il est l’homme de ma vie. Je n’ai pas toujours pensé ça de lui, et au départ je l’ai vu comme une énième bêtise de ma mère ; trop convaincue d’avoir trouvé le nouvel homme de sa vie qu’elle s’est empressée de l’attacher avec un mouflet. Bien sûr, ledit homme n’en voulait pas et a fui à la première occasion. Elle a mené sa grossesse à termes, dans l’hypothèse où la naissance de son gosse serait susceptible de lui faire changer d’avis, mais ça n’a pas été le cas. Elle n’a plus jamais eu de ses nouvelles et s’est retrouvée seule avec un enfant à un âge où elle n'en voulait plus et où elle souhaitait retrouver son statut de femme et non de mère, autant dire qu’elle a été complètement dépassée. Elle s’est reposée sur moi et je me suis rapidement retrouvée à agir telle une mère plus qu’une grande sœur. Je me suis opposée à un statut comme à l’autre pendant les cinq premières années de sa vie, ne le côtoyant qu’en cas de force majeure. Et puis, petit à petit, quand il a commencé à s’exprimer, à dessiner les contours de sa personnalité, je me suis rendue compte que je ne pouvais pas agir comme Glen l'avait fait avec moi ; Llewyn n’avait rien demandé et je me sentais suffisamment coupable d’avoir bénéficié d’un foyer à peu près stable quand il n’a pas cette chance. En voulant lui offrir un semblant de stabilité, j’ai ouvert une brèche dans laquelle il s’est faufilé pour mon plus grand plaisir ; ce gamin est incroyable et ne cesse de me surprendre de jour en jour. Quiconque désire faire partie de ma vie doit accepter Lee dans le paysage, car si je râle encore auprès de ma mère pour la forme, le fait est que je donnerais tout pour ce gamin. J’ai envie de préserver sa naïveté pendant encore longtemps, autant que j’ai besoin de lui dans ma vie, parce que jamais je n’aurais pu apercevoir les choses sous un jour plus insouciant s’il ne m’avait pas instruit de ce côté-là. J’ai beau tenté de lui enseigner de nombreuses choses pour l’aider là où notre mère a jeté l’éponge, c’est pourtant bien lui qui m’en apprend le plus. Llweyn devait être une erreur, il s’avère finalement qu’il est mon plus beau cadeau.

TOBIAS KEPNER
Tobias, c’est l’énième compagnon de ma mère, l’un des seuls que j’ai véritablement appris à apprécier. Le seul qui fait toujours partie de ma vie à l’heure actuelle quand il a disparu de celle de ma génitrice il y a déjà un certain temps. Les débuts n’ont pas été faciles, je me suis opposée à sa présence par habitude, mais à force de patience et de bienveillance, il est devenu un élément essentiel à ma vie. Nous avons été aidé par l’une de mes énièmes rechutes où il s’est avéré plus présent que quiconque et aujourd’hui il est l’un de seuls qui n’ignore rien de moi, que je vois encore régulièrement et que je considère comme un père. Il m’a aidé à maintenir ma vie en ordre durant une période où celle-ci partait dans tous les sens et pour cela, je lui en serai éternellement reconnaissante. Si ma mère a également été très présente, je crois qu’elle a baissé les bras et je ne peux pas lui en vouloir, l’histoire s’étant répétée de trop nombreuses fois. Tobias est naïf, pas encore conscient du fardeau que je peux devenir quand je perds le contrôle, une issue à laquelle je préfère ne pas penser ; le temps où il se désintéressera d’une fille qui n’est même pas la sienne arrivera un jour ou l’autre, autant que je m’abstienne de m’en inquiéter pour l’instant.

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Invité Invité

Désolée le nom de famille est déjà pris. Rolling Eyes

Invité Invité

quel plaisir de te voir sous les jolis traits de Daisy (maisie) i am just stuck in the middle, vague and undefined 206649278

et quelle famille vous allez nous faire tous les trois là (maisie) i am just stuck in the middle, vague and undefined 3922047296

j'attends Kyle maintenant et je sais qui se cachera derrière (maisie) i am just stuck in the middle, vague and undefined 4052937387

rebienvenue chez toi mais ai-je vraiment besoin de le dire (maisie) i am just stuck in the middle, vague and undefined 2154485008

Invité Invité

Elle est si cute je (maisie) i am just stuck in the middle, vague and undefined 2396639051

Un plaisir de voir Daisy joué sur le forum, elle est si perf. Rebienvenue chez toi :l:

Invité Invité

Rebienvenue à la maison avec ce joli perso (maisie) i am just stuck in the middle, vague and undefined 3258319053

(maisie) i am just stuck in the middle, vague and undefined Fadiijdb_o

bonsoir, vous êtes parfaite (maisie) i am just stuck in the middle, vague and undefined 3258319053

JE, VRAIMENT, TROP DE PERFECTION PAR ICI. HIIIIII.
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(maisie) i am just stuck in the middle, vague and undefined 224775235

BON par contre c'est quoi ces gens qui arrivent en duo franchement (maisie) i am just stuck in the middle, vague and undefined 3258319053

bref, Maisie est un petit sucre du coup elle a droit à un message de Rory, c'est cadeau :l:

we'll watch the stars glow, and the flames burn the woods slow. playing games with our shadows till all four of our eyes close. and darling we'll sleep close, with no blankets or pillows. like the wind in the willows and we'll dream with our eyes closed. 'cause I see love when I close my eyes.

(maisie) i am just stuck in the middle, vague and undefined YXsavdd

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Je suis déjà fan (maisie) i am just stuck in the middle, vague and undefined 2954228499

Rebienvenue chez toi I love you

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(maisie) i am just stuck in the middle, vague and undefined BKa2n3B

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(maisie) i am just stuck in the middle, vague and undefined Giphy

BIENVENUE CHEZ TOI J'AI TROP HÂTE DE RP AVEC ELLE, CETTE FICHE EST ZINZINE, JE FILE TE FAIRE UN MP-PAVE BISOUS MERCI D'EXISTER (tu vois, swann est trop gentil pour que tu oses lui envoyer des doigts d'honneur (maisie) i am just stuck in the middle, vague and undefined 3070942404

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Daisy la parfaite avec ta plume, ça promet des folies, et puis ce ~~duo~~ trio de la perfection qui s’annonce, on en parle? :drama:

rebienvenue à la maison (maisie) i am just stuck in the middle, vague and undefined 206649278

(maisie) i am just stuck in the middle, vague and undefined P0rWgDf

(maisie) i am just stuck in the middle, vague and undefined J36iNh6

(maisie) i am just stuck in the middle, vague and undefined FyMeElc

(maisie) i am just stuck in the middle, vague and undefined V6OYUR7

(maisie) i am just stuck in the middle, vague and undefined QHnF9bK

(maisie) i am just stuck in the middle, vague and undefined U5iGBpI

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(maisie) i am just stuck in the middle, vague and undefined 7ZWT0EU

(maisie) i am just stuck in the middle, vague and undefined FximBIO

(maisie) i am just stuck in the middle, vague and undefined YtxTUla

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Invité Invité

Ma Maisie

Enfin, te voilà. J'suis trop contente que Tobi ne soit plus seul. (maisie) i am just stuck in the middle, vague and undefined 2891754501

J'ai si hâte de rp avec toi!!!!!! (maisie) i am just stuck in the middle, vague and undefined 199959295

Invité Invité

Bienvenue a ce nouveau perso !

TOI EN FILLE ???? :drama:

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Invité Invité

J'ai déjà dis beaucoup de chose par MP mais je suis venue te dire que (non pas que je m'en vais référence de merde désolée vu l'heure je me laisse le droit! :ninja:

), je suis venue te dire à quel point j'aime ton style même dans une fiche dans la partie information en vrac, j'aime ce que tu écris et je trouve ça tellement intéressant et plaisant vraiment ! Et j'aime déjà ce perso et ses aventures s'annoncent passionnantes à découvrir ! Je suis ravie d'avoir un lien pour rp avec toi vraiment alors rererebienvenue sur le forum avec ce nouveau perso et j'ai hâte déjà de voir la suite de la fiche et ensuite de rp avec toi ! (maisie) i am just stuck in the middle, vague and undefined 2954228499

Invité Invité

(re)bienvenue à la maison

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