ÂGE : trente-deux ans (03.08.1992) SURNOM : Penny étant déjà le surnom de Penelope, difficile de faire bien plus court. STATUT : trois ans qu'il lui fait vivre la plus folle et la plus belle des histoires, Isaac est tout pour elle et plus encore. MÉTIER : maman à temps plein, elle partage le reste de son temps entre la fondation Run for Judy à l'hôpital, et la fondation Tomlinson, à défaut de se sentir prête à reprendre le chemin devant les caméras. LOGEMENT : nouvellement installée dans une belle grande maison à Bayside, qu'ils ont choisi ensemble avec Isaac et qui répond à tous les besoins de leur petite tribu. POSTS : 13982 POINTS : 0
TW IN RP : mentions d'agression sexuelle, neurodiversité, parentalité, mentions d'abandon d'enfant. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : elle a un jeune frère autiste qu'elle aime plus que tout et surprotège › fière belle-maman de Jude (13.09.2018) et maman de Maia (14.06.2022) et les jumeaux Jack et Mila (01.08.2023) › bénévole auprès des enfants malades depuis 2020 › être devant la caméra lui manque, mais elle sait son temps auprès des siens plus précieux que jamais.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : Penny crée des malaises en mediumorchid ou en teal. RPs EN COURS : (03) ≡ angus › chris › ethel.
+ the one and only(03) ≡ isaac #23 › isaac #24 › isaac (ff) › isaac (tel). RPs EN ATTENTE : andréa › harleen › micah #6 › riley #2 › rory #12 › you? RPs TERMINÉS :
Tu appréhendais autant que tu avais hâte de remettre les pieds en terre australienne. Le retour à la réalité n’est que temporaire toutefois quand tu sais déjà que tu repars pour une autre folie dans moins de deux semaines. Tu n’as jamais voyagé aussi loin et aussi souvent en si peu de temps et tu dois admettre que tu pourrais facilement te perdre dans ce rythme de vie ou les responsabilités sont absentes et ou le seul mot d’ordre est de profiter pleinement des moments qui passent. Monaco était exactement ce dont tu avais eu besoin pour te remettre de l’annulation de ce dernier tournage. Une pause pour tout remettre en question et prendre le temps de te poser toutes les questions du monde et plus encore, pour souffler tout simplement et pour te permettre pour une fois de n’être qu’une jeune adulte qui voit se trentaine se rapprocher bien vite. Pour quelques semaines, quelques mois peut-être, tu n’avais pas envie d’être Penny Stringer, l’actrice aux multiples scandales, aux rumeurs incessantes et vérités mi-admises. Tu avais envie d’être Penelope, l’humaine. De te retrouver en dehors de ton métier qui avait accaparé la grande majorité de ton temps depuis plus de dix ans maintenant. Jamais tu ne t’étais accordée une pause de la sorte et si tu avais peur par moments de le regretter, tu avais été capable de complètement décroché pendant ton voyage ce qui t’avait fait le plus grand bien, malgré les divers imprévus du voyage.
Pendant tout le voyage toutefois, il y avait bien quelque chose, ou plutôt quelqu’un, qui te rappelait presque tous les jours que tu avais hâte de revenir en Australie. Si le mois de mai avait été parsemé de quelques rendez-vous avec Isaac au travers de son horaire chargé à l’hôpital, le mois de juin lui avait laissé place à beaucoup d’échanges par messages textes, des petites pensées ici et là qui n’avaient fait qu’augmenter l’attachement que tu éprouvais pour l’infirmier. Tout était encore nouveau et sans la moindre définition, mais tu te plaisais vraiment à passer du temps avec lui tout comme tu appréciais chacun des morceaux de sa personnalité que tu apprenais à découvrir au travers des dizaines de messages échangés chaque jour. Alors oui, quand l’avion avait finalement atterri à Brisbane, c’est à lui que tu avais envoyé un premier message. Une heure de rendez-vous avait ensuite été donné et tu comptais bien profiter des quelques jours avant ton départ pour le Mexique pour le voir autant que possible, ou du moins, autant qu’il le voudrait lui aussi. Tu étais encore sur le décalage horaire et tu doutais de t’en sortir complètement avant ton prochain départ. Tu avais peiné à dormir lors de la première nuit de ton retour, le corps et l’esprit bien trop réveillé malgré le long voyage. C’est seulement aux petites heures du matin que tu avais finalement sombrer dans le sommeil et la journée avait été passé à dormir en grande majorité, ce qui ne te dérangeait pas en soit puisque tu n’avais rendez-vous avec Isaac que plus tard dans la soirée.
Tu es particulièrement nerveuse de le retrouver alors que tu te prépares, passant plus de temps que tu ne voudrais l’admettre à choisir ta robe, ainsi que ton choix de coiffure et la quantité de maquillage que tu finis par appliquer sur ton visage. Tu décides d’y aller pour un look plutôt sobre, choisissant une simple robe noire, un maquillage léger et laissant ta longue chevelure blonde tomber en cascade le long de ton dos. C’est la première fois que tu te rends chez Isaac et si le trajet n’est pas bien long de ton loft jusqu’à son appartement, tu sens la nervosité qui prend toute la place dans ta voiture. Peut-être que c’est le fait d’avoir eu le temps d’imaginer trop longtemps, ou alors les semaines qui ont filé depuis votre dernier tête à tête, mais tu sens une boule dans le fond de ton ventre quand tes pas mènent jusqu’à la porte d’entrée et que tu frappes trois petits coups, attendant l’apparition du Jensen. Un large sourire habite tes lèvres lorsque la porte s’ouvre et que tu aperçois le visage d’Isaac. « Hey. » que tu souffles doucement, ne le quittant pas des yeux. Tu te souviens de la bouteille de vin que tu tiens entre tes mains et tu tends cette dernière en direction de l’infirmier. « Ma mère m’a toujours dit de ne jamais arriver chez quelqu’un les mains vides. » que tu avances avec un léger rire nerveux dans la voix. « C’est un petit souvenir de la France. » Tu ne te souvenais plus vraiment ce que l’oenologue qui te l’avait conseillé avait bien pu en dire, mais tu espérais que l’attention fasse plaisir à Isaac. « Je suis contente de te voir. » Depuis le temps que tu penses, sans toutefois oser le dire à haute voix.
ÂGE : 34 ans (13.05.90) SURNOM : Isy STATUT : Penny est le soleil et l'amour de sa vie, l'évidence avec laquelle il écrit sa plus belle histoire et s'autorise à réaliser des rêves de bonheur (06.07.2021) MÉTIER : Infirmier au service des urgences, président de l'association Run for Judy, infirmier bénévole à la Croix Rouge et aux Flying Doctors, sapeur-pompier volontaire et surtout : papa comblé de Jude (13.09.2018), Maia (14.06.2022), Jack et Mila (01.08.2023) LOGEMENT : Penny et lui ont quitté Toowong en 2024 pour s'installer avec leurs enfants à Bayside et y créer leur cocon à l'image entière de leur amour POSTS : 28708 POINTS : 0
TW IN RP : dépression, anxiété, automutilation, idées suicidaires, tentative de suicide, mentions d'abandon d'enfant PETIT PLUS : Emménage à Brisbane en 2003 ∆ il exerce en qualité d'infirmier au st vincent's depuis 2006 puis est affecté aux urgences en 2013 ∆ une suite de blessures anéantit sa carrière de joueur de football australien en 2010 ∆ il attente à ses jours en mars 2018 et reprend le travail en septembre 2018 ∆ finaliste de ROA en 2020 ∆ il se soigne contre son anxio-dépression, après avoir longtemps refusé son diagnosticCODE COULEUR : Isy s'exprime en #9966ff ou slateblue RPs EN COURS :
Des récurrences teintées d'un délicieux goût du bonheur venaient rythmer mon quotidien avec félicité, illuminant mes journées indéniablement. Je chérissais les messages textes que m'envoyaient Penny, ceux-ci marquaient indubitablement mes journées du sceau de la réussite. Un sourire se dessinait imperturbablement sur mon portrait dès que j'apercevais son nom sur l'une des notifications de mon téléphone, où lorsque je me perdais inavouablement à la contemplation d'un nouveau post sur son compte Instagram. Je me plaisais à relire nos conversations, m'enivrant de nos échanges fluides et complices, qui me rappelaient sans cesse le sentiment de converser avec quelqu'un avec qui je pouvais être entièrement la personne que je constituais sans réserve aucune. Jamais n'avais-je su accorder si promptement une confiance si puissante et sincère envers une femme et désormais que je venais de convenir avec l'actrice de la date et l'heure de notre prochain rendez-vous, les pendules semblaient avoir cruellement ralentit.
Je trépignais d'impatience à l'idée de revoir Penny. Une part d'appréhension persistait en mon être car je l'estimais déjà tant que je redoutais la perdre. Cependant, je m'efforçais à étouffer ces doutes, sachant pertinemment que mon acide manque de confiance en moi doublé de mon inlassable pessimisme pourraient lamentablement me conduire au constat que je ne suis pas assez bien pour la star. Le destin nous avait réunit, nous bafouons à mes yeux toutes statistiques, et j'étais déterminé à apprécier sans vergogne chaque moment partagé avec la vingtenaire.
J'avais enfilé une chemise à manches courtes et une simple paire de pantalon, ne voulant pas surjouer notre imminent rendez-vous tout en demeurant tout de même bien habillé. Penny n'avait atterri à Brisbane que hier, après de longues heures de voyage, et j'augurais qu'elle puisse être fatiguée tout comme potentiellement malmenée par le décalage horaire. Mon salon et ma cuisine n'avaient probablement jamais été aussi propres, cette rencontre se tenant à mon domicile sous ma suggestion, lieu qui présentait à mes yeux moins de contraintes si la Stringer souhaitait écourter notre soirée pour se reposer chez elle. Je pourrais même la raccompagner à sa résidence, lui épargnant ainsi tout délai d'attente d'un uber. Le gros défi que cette proposition invoquait était que je m'étais également mis aux fourneaux ; j'avais cependant joué la sécurité en m'évertuant à un plat que je maîtrisais généralement.
Je réfrénais péniblement l'envie de fumer une cigarette pour apaiser mes nerfs lorsque l'heure que nous nous étions fixée sonnait enfin. Je soupirais doucement, nerveux et impatient, avant de river mon regard sur la porte d'entrée en y entendant trois petits coups. La jeune femme démontrait une ponctualité impressionnante. « Hey, » me salua-t-elle après que je lui eus ouvert la porte. Mes yeux la couvaient déjà tel un trésor inespéré, un sourire franc étirait mes traits. Mon rythme cardiaque avait légèrement augmenté et dieu qu'elle était belle. « Salut. » J'articulais machinalement, distrait dans ma contemplation de mon interlocutrice. « Tu es très jolie, comme d'habitude. On penserait pas que tu as atterrit que hier. Je savais bien que tu battrais le décalage horaire à plates coutures, » je déclarais avec franchise et complicité, resassant les quelques mots que je lui avais envoyés plus tôt par écrans interposés. « Ma mère m’a toujours dit de ne jamais arriver chez quelqu’un les mains vides. » Je souris doucement, réceptionnant la bouteille de vin qu'elle me tendait. « C’est un petit souvenir de la France. » « Wow, eh bien, merci beaucoup, » je m'appliquais à la remercier en français avant de la convier à l'intérieur de ma maison. « J'ai hâte qu'on le goûte, » je confiais, refermant la porte derrière la silhouette de l'australienne. « Je suis contente de te voir, » je l'entendais m'adresser et présentement, mes pupilles brillaient autant de bonheur que la joie que laissait éhontément transparaître mon rictus. « Moi aussi. Je suis content de te voir. » Je marquais une pause, avant de lancer sur un léger ton plaisantin : « Je suis content d'avoir pu me glisser dans ton emploi du temps chargé d'audace et de folies » J'étais prodigieusement incapable de la quitter du regard. Le poids de la bouteille de vin entre mes mains me ramena davantage au présent et je l'invitais à s'avancer sous mon toit. « Viens, entre. Fais comme chez toi. » Je la guidais jusqu'au salon où j'avais agrémenté la table basse d'amuse-gueules et choix de boissons. J'avais notamment prévu les coupes pour le vin. « J'ai oublié de te demander, tu n'es pas allergique aux chats ? » Je m'enquérais soudain, songeant à Azraël qui devait rôder à l'étage mais pourrait aisément faire une petite apparition si l'envie lui disait, bien que je pourrais l'en empêcher si la Stringer s'avérait ne pas supporter - ou être à l'aise parmi - ces félins. « Est-ce que tu veux qu'on ouvre ta bouteille maintenant ou plutôt pour le repas ? Je peux tenter de te faire un cocktail coloré si tu veux. Ou j'ai aussi des Seis Hermanos Lagers. » Une pensée pour ces soirées avec Noa où nous nous plaisions à enchaîner les cocktails et en revisiter une bonne partie, à nos risques et périls, ainsi que pour la bière que je lui avais envoyée en photo quelques jours plus tôt. Je prenais bonne note de son souhait avant de questionner, intéressé : « Comment tu vas ? La fin de ton épopée s'est bien passée ? Le vol aussi ? » Je me pinçais discrètement les lèvres, me rendant compte que je l'assaillais probablement d'interrogations. L'excitation causée par le fait de la revoir générait un certain dynamisme dans mon humeur.
:
Penny Stringer
l’ère de l'apaisement
ÂGE : trente-deux ans (03.08.1992) SURNOM : Penny étant déjà le surnom de Penelope, difficile de faire bien plus court. STATUT : trois ans qu'il lui fait vivre la plus folle et la plus belle des histoires, Isaac est tout pour elle et plus encore. MÉTIER : maman à temps plein, elle partage le reste de son temps entre la fondation Run for Judy à l'hôpital, et la fondation Tomlinson, à défaut de se sentir prête à reprendre le chemin devant les caméras. LOGEMENT : nouvellement installée dans une belle grande maison à Bayside, qu'ils ont choisi ensemble avec Isaac et qui répond à tous les besoins de leur petite tribu. POSTS : 13982 POINTS : 0
TW IN RP : mentions d'agression sexuelle, neurodiversité, parentalité, mentions d'abandon d'enfant. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : elle a un jeune frère autiste qu'elle aime plus que tout et surprotège › fière belle-maman de Jude (13.09.2018) et maman de Maia (14.06.2022) et les jumeaux Jack et Mila (01.08.2023) › bénévole auprès des enfants malades depuis 2020 › être devant la caméra lui manque, mais elle sait son temps auprès des siens plus précieux que jamais.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : Penny crée des malaises en mediumorchid ou en teal. RPs EN COURS : (03) ≡ angus › chris › ethel.
+ the one and only(03) ≡ isaac #23 › isaac #24 › isaac (ff) › isaac (tel). RPs EN ATTENTE : andréa › harleen › micah #6 › riley #2 › rory #12 › you? RPs TERMINÉS :
Il y a longtemps que tu n’as pas fait ça pour de vrai. Ça étant les rendez-vous, et puis les nombreux échanges textos teintés d’une impatience que vous ne tentez même pas de dissimuler. Longtemps que tu ne t’es pas laissée bercer par les appréhensions des premiers moments, des premières fois en tout genre alors que tu redécouvres cette sensation particulièrement agréable qui grimpe en flèche plus le moment de revoir enfin Isaac après un long mois de voyage se rapproche enfin. Les tabloïds racontent une histoire bien différente, te prêtent des idylles ici et là, une plantée volontairement pour faire taire les rumeurs sur les autres et c’est quelque chose dont tu n’es pas particulièrement mais que tu es prête à assumer si le sujet venait à être aborder un jour. Tu apprécies d’autant plus le fait qu’Isaac ne s’intéresse pas à la presse people et qu’il préfère entendre de ta bouche les différentes histoires qui ont bercé ton quotidien dans le passé ou les aventures qui viennent occuper tes journées dans le présent. Ta vie semble avoir changer du tout au tour dans les derniers mois et tu te cherches encore au travers de tout ça, mais d’une certaine façon, tu te sens en confiance quand tu sais que quelque part, il est là, prêt à te tendre la main d’une façon que tu n’aurais jamais pu t’imaginer quand vos échanges ont commencé il y a de ça quelques mois à peine.
« Salut. » Vos regards se cherchent et se trouvent et les secondes filent alors que vous ne cessez de vous dévisager avec des sourires qui en disent long sur tout ce qui se passe, autant dans ta tête que dans la sienne. Tu le trouves terriblement beau, habillé simplement mais avec classe alors que tu ne peux t’empêcher de te demander si tu n’es pas allée un peu trop loin avec la fameuse petite robe noire. Sans même que tu n’aies besoin de dire quoique ce soit, Isaac vient balayer tes doutes du revers de la main. « Tu es très jolie, comme d’habitude. On penserait pas que tu as atterrit que hier. Je savais bien que tu battrais le décalage horaire à plates coutures. » Tu ne pus t’empêcher d’échapper un léger rire au commentaire de l’infirmier. Tu appréciais cette manière qu’il avait d’utiliser ce que tu disais par messages textes, prouvant une fois de plus toute l’attention qu’il accordait même aux plus petits des détails. « J’ai triché, j’ai dormi toute la journée. » que tu avoues en haussant légèrement les épaules. « Mais merci beaucoup, c’est gentil. » Ça n’en prend pas plus pour que tes joues viennent à nouveau prendre une teinte plus rosée, ce qui semblait être une habitude chaque fois que tu te retrouvais avec Isaac. Tu voulais être en forme pour cette soirée que tu attendais avec impatience et par dessus-tout, tu voulais profiter de chaque moment avec Isaac qui t’étais offert avant que tu ne repartes outre-mer pour quelques semaines. Tu lui tends la bouteille de vin que tu as rapporté pour lui, une petite pensée de votre très court passage en France avec Chloe. « Wow, eh bien, merci beaucoup. » « Bienvenue. » que tu lui réponds de ton piètre français, l’un des seuls mots que tu te rappelles de ces quelques jours passés à Paris et les environs. « J’ai hâte qu’on le goûte. » L’attention semblait vraiment faire plaisir à Isaac et ça te suffisait à te faire sourire encore plus, ne réalisant pas que tu étais restée figée dans l’entrée, Isaac refermant la porte derrière toi sans que tu n’oses réellement rentrer dans son appartement.
« Moi aussi. Je suis content de te voir. Je suis content d’avoir pu me glisser dans ton emploi du temps chargé d’audace et de folies. » Tu secouais doucement la tête alors qu’un nouveau rire filait d’entre tes lèvres. « Je n’aurais pas pu imaginer repartir sans au moins te voir une fois. » Et la vérité c’est que tu espérais pouvoir remettre ça plus qu’une fois avant ton départ pour le Mexique, même si tu ne voulais pas non plus donner l’impression d’être trop. Vous ne vous lâchez pas du regard une seule seconde, comme si tu avais peur qu’en détournant les yeux quelques secondes il cesserait finalement d’être là devant toi. « Viens entre. Fais comme chez toi. » Tu le sui jusqu’au salon et tu viens t’installer sur le canapé. « J’ai oublié de te demander, tu n’es pas allergique aux chats? » Tu secoues la tête négativement, cherchant déjà des yeux une boule de poils à quatre pattes sans toutefois voir quoique ce soit. « Tu as d’autres compagnons qu’un chat? » que tu demandes, curieuse. Tu ne savais même pas si Isaac habitait seul ici, ou du moins, seul accompagné d’un chat de ce que tu comprenais maintenant. « Est-ce que tu veux qu’on ouvre ta bouteille maintenant ou plutôt pour le repas? Je peux tenter de te faire un cocktail coloré si tu veux. Ou j’ai aussi des Seis Hermanos Lagers. » Tu ne sais pas si c’est parce qu’il est aussi nerveux que toi qu’il parle autant, mais ça te fait sourire de ce genre de sourire qui fait éventuellement mal aux joues tant il est grand et sincère. « J’vais te prendre une bière, merci. » Garder la bouteille de vin pour le repas semble être une bonne idée et puis il faut avouer que t’es curieuse de goûter à cette fameuse bière depuis qu’il t’a envoyé une photo il y a quelques semaines de ça déjà. C’est une nouvelle fois ta curiosité qui te pousse à demander « Qu’est-ce qu’on mange? » alors que ton estomac te rappelle que tu n’as pas pris le temps d’avaler quoique ce soit depuis que tu t’es réveillée quelques heures plus tôt. Tes doigts viennent donc trouver l’un des amuses-bouches laissés sur la table avant que ton regard ne se retourne vers Isaac qui vient s’installer à tes côtés sur le divan, posant les bières sur la table basse.
« Comment tu vas? La fin de ton épopée s’est bien passée? Le vol aussi? » Tu hoches doucement la tête alors que tu cherches la meilleure manière de répondre à ses questions. La vérité c’est que la fin de ce voyage avait eu un drôle de goût avec le départ de Chloe et tu peinais un peu à t’expliquer à toi-même ce qui s’était passé et ce que ça voulait réellement dire. « Je t’avais dit que j’étais partie avec ma meilleure amie… Eh bien, je suis revenue toute seule. » Et ton sourire jusqu’à maintenant éclatant se transforme légèrement, laisse apercevoir une pointe de tristesse que tu ne tentes même pas de dissimuler. « C’est une histoire un peu compliquée, mais son ex était en Europe et à la dernière minute elle a décidé d’aller le rejoindre et je pense qu’elle ne reviendra pas. » Elle l’avait laissé sous-entendre, Chloe, sans jamais le dire explicitement. C’était stupide de t’en faire autant alors qu’il y a à peine quarante-huit heures, tu étais encore avec elle, mais vos au revoir t’avaient laissé un drôle de goût, une sensation dont tu étais incapable de te défaire. « Le vol s’est bien passé, si on oublie qu’une vingtaine d’heures de vol par soi-même, c’est particulièrement long et pénible. » que tu avoues ensuite dans un rire, tentant de te défaire de cette finalité particulière de tes derniers échanges avec la Cohen. « Mais dis-moi comment tu vas. Qu’est-ce que j’ai manqué pendant ce long mois loin de Brisbane? » Et loin de toi.
ÂGE : 34 ans (13.05.90) SURNOM : Isy STATUT : Penny est le soleil et l'amour de sa vie, l'évidence avec laquelle il écrit sa plus belle histoire et s'autorise à réaliser des rêves de bonheur (06.07.2021) MÉTIER : Infirmier au service des urgences, président de l'association Run for Judy, infirmier bénévole à la Croix Rouge et aux Flying Doctors, sapeur-pompier volontaire et surtout : papa comblé de Jude (13.09.2018), Maia (14.06.2022), Jack et Mila (01.08.2023) LOGEMENT : Penny et lui ont quitté Toowong en 2024 pour s'installer avec leurs enfants à Bayside et y créer leur cocon à l'image entière de leur amour POSTS : 28708 POINTS : 0
TW IN RP : dépression, anxiété, automutilation, idées suicidaires, tentative de suicide, mentions d'abandon d'enfant PETIT PLUS : Emménage à Brisbane en 2003 ∆ il exerce en qualité d'infirmier au st vincent's depuis 2006 puis est affecté aux urgences en 2013 ∆ une suite de blessures anéantit sa carrière de joueur de football australien en 2010 ∆ il attente à ses jours en mars 2018 et reprend le travail en septembre 2018 ∆ finaliste de ROA en 2020 ∆ il se soigne contre son anxio-dépression, après avoir longtemps refusé son diagnosticCODE COULEUR : Isy s'exprime en #9966ff ou slateblue RPs EN COURS :
Penny est enfin là, hurle ton cœur à faire maugréer ta raison, réveillant de multiples papillons resplendissants de bonheur, espoir, confiance et confort qui virevoltent désormais dans ton estomac. Ton sourire traduit l'indéniable joie que tu ressens à ce qu'elle ait pu honorer votre rendez-vous fixé dès le lendemain de son retour à Brisbane, une date dont tu te considères silencieusement fier, car tu l'interprètes comme le fait qu'il tardait possiblement aussi à la Stringer que vous vous retrouviez.
« J’ai triché, j’ai dormi toute la journée, » t'avoue-t-elle lorsque tu la complimentes sincèrement sur sa ravissante allure. Elle hausse les épaules en toute simplicité, l'allégresse transparaît davantage sur ton visage, témoin que ses façons qui qualifient indéniablement son naturel opèrent un charme certain sur toi. La mélodie cristalline de son rire avait su te manquer, tout comme son regard pétillant parfois malicieux, sa manière bienveillante et sans fioriture de percevoir le monde. « Mais merci beaucoup, c’est gentil. » Elle t'extrait de tes pensées et tu hoches la tête comme pour lui signifier que ce n'est que ta vérité que tu exposes. « J'applaudis ta stratégie, » tu valorises. Tu remarques ses joues prendre une délicate teinte rosée au même moment que tu te rends compte que l'actrice a aussi ce talent de chasser toutes tes appréhensions. Tu ignores par quel envoûtement elle en détient la capacité, si ce n'est simplement que tu es exponentiellement subjugué par elle, mais si tu es persuadé qu'à sa place, tu n'aurais pas su fermer l'œil en anticipation de votre imminent échange, force t'est de reconnaître qu'il ne suffit que sa présence pour faire taire tous les sombres scenarii que tu es capable d'ériger sournoisement dans ton esprit.
La vingtenaire te tend une bouteille de vin procurée en France, tu lui fais la prestation des maigres mots que tu connais dans la langue de Molière, appréciant grandement son généreux geste, particulièrement heureux de te dire que vous allez pouvoir porter votre quête œnologique à un nouveau niveau. Tu te décales légèrement pour inviter l'actrice à quitter le perron, réalisant que dans l'intensité du moment, tu avais piètrement feint tes bonnes manières. Il n'y a toutefois que deux pas d'effectués que l'aveu de la Stringer te révélant qu'elle était contente de te voir te happe. Tu te surprends à mordiller discrètement l'intérieur de ta joue pour ne pas afficher un sourire si large qu'il pourrait en être effarant et lui confie avec la même franchise ton ravissement face à vos retrouvailles. « Je n’aurais pas pu imaginer repartir sans au moins te voir une fois. » Ton cœur manque un battement, tu es persuadé qu'il vient d'impulser une nouvelle volée de papillons dans ton estomac. « Je crois que je n'aurais pas su me retenir de t'envoyer encore plus de SMS si je ne t'avais pas vue. » Une fois les mots prononcés, tu redoutes qu'ils sonnent honteusement suspects voire menaçants, mais la vérité était que tu es bien trop entiché de la délicieuse sensation que te procuraient tes interactions avec Penny pour souhaiter t'en priver, tant que la jeune femme te paraissait aussi les apprécier.
Tu te résous à quitter son regard pour la convier davantage à l'intérieur de ton chez toi, puis t'inquiètes de la présence de ton chat qui pourrait éventuellement l'importuner, te maudissant de ne pas avoir anticipé cet aspect-ci. La célébrité te rassure en hochant la tête négativement et tu t'attendris de la voir chercher l'animal des yeux. « Tu as d’autres compagnons qu’un chat? » C'est à ton tour de faire signe de dénégation. « Un frère. Mais il est peu souvent à la maison. Il est d'ailleurs chez mes parents pour la semaine. J'ai des colocataires très peu casaniers, » tu commentes avec humour. « Tu vis en collocation? » Tu interroges ensuite curieusement, avant de déployer le grand jeu pour satisfaire la Stringer en termes de boissons. Tu te juges étonnement loquace avec elle, quand tu es d'ordinaire beaucoup plus discret avec tes amis. « J’vais te prendre une bière, merci. » Tu ne sais probablement pas voiler la petite once de reconnaissance envers son choix qui t'épargne l'appréhension de rater prodigieusement un cocktail et lui offrir un rafraîchissement peu gouleyant. Tu t'orientes vers ton frigidaire pour en tirer deux bières et saisis deux verres au passage. « Qu’est-ce qu’on mange? » Tu marques un léger ton d'arrêt puis poses les boissons sur la table boisée du salon, un léger sourire étirant tes lippes en toute humilité. « Alors... J'me suis rendu compte un peu tard que je ne t'avais pas demandé si tu étais allergique à quelque chose, ou si tu suivais un régime particulier... Du coup j'ai opté pour quelque chose d'aussi sécuritaire que possible : » Tu sers Penny avant toi puis t'installes dans un des canapés, instaurant ainsi un faux suspens. « de l'eau. » Tu présentes avec sérieux. Tu laisses filer une petite seconde avant de lever un regard rieur vers la Stringer. « Je rigole. Désolé, j'ai un mauvais sens de l'humour. » Inavouablement, tu étais quand même un peu fier de ta plaisanterie. « J'ai fait des lasagnes végétariennes. Ma sœur a aussi vécu chez moi quelques mois et elle les adorait, du coup je me suis dit que ça pouvait être un choix judicieux. » Et tu en dis beaucoup trop, Isy. Tu n'as pas besoin d'être si honnête sur tes compétences limitées en cuisine, ou ton talent pour oublier de poser des questions importantes. Ton but n'est pas de donner des raisons à Penny de ne plus vouloir te revoir.
Tu tentes de rattraper le coup en l'interrogeant sur le terme de son voyage européen et son retour en terres australes. Ton interlocutrice répond certes physiquement à l'affirmative, il te semble percevoir à ses traits que quelque chose la chagrine. La situation actuelle te fait penser à sa réaction lorsque tu l'avais précédemment questionnée sur l'avancée de son projet cinématographique - qui s'était vu finalement annuler. « Je t’avais dit que j’étais partie avec ma meilleure amie… Eh bien, je suis revenue toute seule. » Tu portes toute ton attention à Penny, l'inquiétude s'installant sur ton portrait. Aurais-tu développé une capacité déconcertante pour mettre les pieds dans le plat ? « C’est une histoire un peu compliquée, mais son ex était en Europe et à la dernière minute elle a décidé d’aller le rejoindre et je pense qu’elle ne reviendra pas. » Tu grimaces, compatissant. « Je suis désolé pour toi... » Tu articules avec franchise. « Mais eh, au moins vous ne vous êtes pas laissées sur une dispute et le monde n'est pas si grand. Même si ce ne sera pas pareil que lorsque vous habitiez dans la même ville, vous aurez toujours l'occasion de vous voir. Sans compter qu'il y a toujours les réseaux sociaux. » Tu te retiens de poser une main bienveillante sur celle de la Stringer, bien que le cœur y est. Tu as conscience que les relations longue distance ne sont pas aisées et qu'elles apposent inévitablement un tôlé sur tous duos, aussi forts soient-ils. « Ca vous réservera peut-être de belles opportunités, » tu présentes avec espoir. Qu'elles soient individuelles ou collectives, tu étais tout de même persuadé que du positif pouvaient découler de chaque situation. « Every cloud has its silver lining, » tu conclus sur le fameux adage.
« Le vol s’est bien passé, si on oublie qu’une vingtaine d’heures de vol par soi-même, c’est particulièrement long et pénible. » Tu offres un nouveau rictus compatissant à Penny, malgré son rire. « Si tu veux, la prochaine fois, je te fais un kit anti-ennui que tu pourras découvrir pendant ton vol, » tu suggères, inventif. « Mais dis-moi comment tu vas. Qu’est-ce que j’ai manqué pendant ce long mois loin de Brisbane? » Tu prends ton verre entre tes mains, te faisant la rétrospective de ce mois de juillet. « Mh, je suis devenu sapeur-pompier, » tu déclares comme s'il s'agissait de quelque chose d'assez anodin, quand tu venais enfin de concrétiser ce projet après plus de deux ans de traîne et que ce nouveau titre te procurait un indéniable sentiment de contentement. « Je ne vais pas arrêter mon métier d'infirmier, ce sera en dehors de mes horaires à l'hôpital. C'était vraiment une casquette que je désirais obtenir depuis longtemps. » Tu confiais, l'allégresse faisant flagramment étinceler ton regard.
:
Penny Stringer
l’ère de l'apaisement
ÂGE : trente-deux ans (03.08.1992) SURNOM : Penny étant déjà le surnom de Penelope, difficile de faire bien plus court. STATUT : trois ans qu'il lui fait vivre la plus folle et la plus belle des histoires, Isaac est tout pour elle et plus encore. MÉTIER : maman à temps plein, elle partage le reste de son temps entre la fondation Run for Judy à l'hôpital, et la fondation Tomlinson, à défaut de se sentir prête à reprendre le chemin devant les caméras. LOGEMENT : nouvellement installée dans une belle grande maison à Bayside, qu'ils ont choisi ensemble avec Isaac et qui répond à tous les besoins de leur petite tribu. POSTS : 13982 POINTS : 0
TW IN RP : mentions d'agression sexuelle, neurodiversité, parentalité, mentions d'abandon d'enfant. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : elle a un jeune frère autiste qu'elle aime plus que tout et surprotège › fière belle-maman de Jude (13.09.2018) et maman de Maia (14.06.2022) et les jumeaux Jack et Mila (01.08.2023) › bénévole auprès des enfants malades depuis 2020 › être devant la caméra lui manque, mais elle sait son temps auprès des siens plus précieux que jamais.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : Penny crée des malaises en mediumorchid ou en teal. RPs EN COURS : (03) ≡ angus › chris › ethel.
+ the one and only(03) ≡ isaac #23 › isaac #24 › isaac (ff) › isaac (tel). RPs EN ATTENTE : andréa › harleen › micah #6 › riley #2 › rory #12 › you? RPs TERMINÉS :
« Je crois que je n’aurais pas su me retenir de t’envoyer encore plus de SMS si je ne t’avais pas vue. » La sincérité dont fait preuve l’infirmier à cette manière d’accélérer les battements de ton coeur d’une manière que tu n’avais pas expérimenté depuis un moment déjà. Chacune des interactions entre vous se fait avec une facilité déconcertante qui ferait presque oublié le fait que tu ne le connais vraiment que depuis quelques mois à peine et que tu ne l’as pas vu si souvent depuis vos premiers échanges sur Tinder. Pourtant, il y a cette connexion, cette complicité qui s’est installée entre vous dès les premiers mots échangés et tu ne peux t’empêcher de penser qu’il y avait une raison bien spécifique au fait que l’infirmier avait su se faire une place dans ta vie à ce moment précis. Tu aimais apprendre à le connaître et ce soir, en venant chez lui, c’était l’occasion parfaite de découvrir une nouvelle facette de sa personne. Ton regard papillonne dans l’appartement alors qu’il te laisse entrer et tu t’imprègnes du décor, y découvrant dans les détails quel genre d’homme Isaac est. « Un frère. Mais il est peu souvent à la maison. Il est d’ailleurs chez mes parents pour la semaine. J’ai des colocataires très peu casaniers. » « Je ne savais pas que tu as un frère. » Tu te souvenais qu’il t’avait fait la mention d’une sœur plus jeune que lui qui faisait du bénévolat au même endroit que toi, tu l’avais croisé quelques fois pour différents évènements organisés avec le Royaume Enchanté mais tu n’avais jamais eu l’occasion de lui parler directement. « Tu vis en collocation? » Ton premier réflexe est de secouer la tête, et puis tu te souviens qu’en fait oui, il y a toujours la présence désagréable de Yelahiah dans cette pièce au fond de ton loft, même si tu ne vois pas souvent le Parker vu vos horaires complètement différents. « Depuis quelques mois, j’avais pris un coloc pour faire plaisir à une amie qui vivait avec moi. Elle est partie, mais lui est resté. » Ça fait drôle de l’expliquer, encore plus drôle de le vivre. Tu ne penses pas que ça va durer encore longtemps toutefois. « On se connaît pas beaucoup, on se voit pas beaucoup non plus et c’est mieux comme ça. » que tu rajoutes avec un rire. Vous avez tous les deux vos propres espaces dans le loft et vos chemins se croisent que très minimalement. Tu t’ennuies d’avoir l’endroit pour toi seule, mais tu n’as pas le coeur de le mettre à la porte, surtout que techniquement, il ne te dérange pas vraiment.
Isaac t’offre à boire et tu optes pour une bière pour commencer alors que tu t’installes sur le canapé, ton regard se posant ici et là mais se reportant toujours sur le jeune homme qui vient prendre place à tes côtés. « Alors… J’me suis rendu compte un peu tard que je ne t’avais pas demandé si tu étais allergique à quelque chose, ou si tu suivais un régime particulier… Du coup j’ai opté pour quelque chose d’aussi sécuritaire que possible : de l’eau. » Tu ne peux t’empêcher d’échapper un rire devant la blague de l’infirmier tout en hochant doucement la tête. « Je rigole. Désolé, j’ai un mauvais sens de l’humour. » Tu l’arrêtes en posant ta main sur son bras, ton regard se plongeant une fois de plus dans le sien. « J’ai entendu pire. » que tu le rassures, curieuse toujours de savoir ce qu’il a vraiment préparé. L’odeur qui règne dans l’appartement témoigne qu’il y a bien quelque chose en préparation qui ne s’apparente pas seulement à de l’eau plate. « J’ai fait des lasagnes végétariennes. Ma sœur a aussi vécu chez moi quelques mois et elle les adorait, du coup je me suis dit que ça pouvait être un choix judicieux. » « J’adore les pâtes. » que tu le rassures, et si tu sais que tu devrais peut-être enlever tes doigts de sur son bras, tu n’as pas envie de couper le contact, surtout que ce dernier t’est venu avec un tel naturel que tu te surprends presque d’être celle qui l’a initié. « Et si jamais ça t’intéresse, pour le futur, je ne suis allergique à rien et je ne suis pas un régime en particulier. Sauf si tu considères un intérêt particulier pour les desserts au chocolat un régime en soit. » que tu rajoutes, toujours de ce ton léger alors que tu te mordilles les lèvres. Tu le mentionnes parce que tu espères que ce ne sera pas la seule et unique fois que l’infirmier aura l’occasion de cuisiner pour toi. « Et toi alors? Tu as des allergies ou des précisions sur ce que tu peux manger? » Tu n’as rien d’une grande cuisinière, tes talents dans le domaine étant plus que limité, mais tu imagines bien rendre la pareille à Isaac si jamais l’envie était présente de son côté aussi, ce que tu espérais sincèrement.
Sans grande surprise, Isaac te questionne sur ton voyage et si tu aurais pu te contenter de lui dire que le voyage avait été beau sans lui mentionner la fin un peu plus abrupte, mais quelque chose te pousse à être transparente avec lui. Comme si tu n’avais pas peur de sa réaction même si tu oses être un peu plus vulnérable devant lui. « Je suis désolé pour toi... » Et tu le sais qu’il l’est, juste à la manière qu’il a de te regarder en ce moment ce qui te fait sourire doucement. « Mais eh, au moins vous ne vous êtes pas laissées sur une dispute et le monde n’est pas si grand. Même si ce ne sera pas pareil que lorsque vous habitiez dans la même ville, vous aurez toujours l’occasion de vous voir. Sans compter qu’il y a toujours les réseaux sociaux. » Tu hoches la tête. Tu sais tout ça, tu le comprends, mais comme il dit, ce ne sera pas pareille. Chloe, elle t’était devenue essentielle dans un moment de ta vie qui n’avait rien de joyeux et tu t’étais accrochée à elle. La perdre, même si ce n’était que par la distance, venait chambouler ta vie d’une manière que tu n’avais pas vu venir. « Ça vous réservera peut-être de belles opportunités. » « T’as sûrement raison. » que tu souffles doucement alors que tu viens nerveusement jouer avec le tissus de ta robe. Tu ne veux pas non plus en faire tout une histoire, tu sais qu’il y a bien pire et qu’elle n’est pas sortie de ta vie éternellement. « Every cloud has its silver lining. » Tu échappes un léger rire. « Tu fais toujours preuve d’autant de sagesse? » que tu demandes, sincèrement impressionné par le calme dont Isaac sait faire preuve, ce même calme qui semble venir teinter tes propres réactions.
Tu viens prendre une gorgée de ta bière alors que ton corps te rappelle sans trop de difficulté les longues heures passés dans l’avion il y a seulement 24 heures de ça. « Si tu veux, la prochaine fois, je te fais un kit anti-ennui que tu pourras découvrir pendant ton vol. » « Oh, c’est une excellente idée. » que tu t’exclames, éternellement émerveillée par toutes les petites attentions qu’Isaac a à ton égard depuis votre toute première rencontre. « Je ne sais pas si je saurais résister à la tentation de ne pas le découvrir avant d’être dans l’avion. » Tu es trop curieuse et puis tu ne pourrais t’empêcher de voir quelles choses il a choisi en pensant à toi. Tu lui demandes finalement comment lui il va et ce qui a bien pu se passer dans sa vie dans le dernier mois. Vous avez été en étroit contact pendant tout ton voyage, à vous envoyer plusieurs messages presque tous les jours, mais il n’en demeure pas moins qu’il y a certaine chose qu’il ne t’a pas dit. « Mh, je suis devenu sapeur-pompier. » Un flash de surprise s’installe sur ton visage. Tu n’avais pas la moindre idée qu’il avait entamé des démarches pour une nouvelle spécialisation en dehors de son poste d’infirmier aux urgences. « Je ne vais pas arrêter mon métier d’infirmier, ce sera en dehors de mes horaires à l’hôpital. C’était vraiment une casquette que je désirais obtenir depuis longtemps. » « Mais Isy, c’est génial! Félicitations! » Et sans la moindre hésitation, tu viens passer tes bras autour de lui dans une étreinte qui se veut pleine d’une fierté que tu ne tentes pas de camoufler. Tu te recules légèrement, sans toutefois diminuer la distance entre vous. « Tu trouvais que t’étais pas assez occupé comme ça? » que tu demandes en riant, sachant que son emploi du temps rien qu’à l’hôpital était déjà assez chargé en soit. « J’espère que ça va te laisser du temps pour cocher quelques items de cette liste de folies dont tu m’as parlé. » Liste que tu es toujours aussi impatiente de découvrir par ailleurs.
ÂGE : 34 ans (13.05.90) SURNOM : Isy STATUT : Penny est le soleil et l'amour de sa vie, l'évidence avec laquelle il écrit sa plus belle histoire et s'autorise à réaliser des rêves de bonheur (06.07.2021) MÉTIER : Infirmier au service des urgences, président de l'association Run for Judy, infirmier bénévole à la Croix Rouge et aux Flying Doctors, sapeur-pompier volontaire et surtout : papa comblé de Jude (13.09.2018), Maia (14.06.2022), Jack et Mila (01.08.2023) LOGEMENT : Penny et lui ont quitté Toowong en 2024 pour s'installer avec leurs enfants à Bayside et y créer leur cocon à l'image entière de leur amour POSTS : 28708 POINTS : 0
TW IN RP : dépression, anxiété, automutilation, idées suicidaires, tentative de suicide, mentions d'abandon d'enfant PETIT PLUS : Emménage à Brisbane en 2003 ∆ il exerce en qualité d'infirmier au st vincent's depuis 2006 puis est affecté aux urgences en 2013 ∆ une suite de blessures anéantit sa carrière de joueur de football australien en 2010 ∆ il attente à ses jours en mars 2018 et reprend le travail en septembre 2018 ∆ finaliste de ROA en 2020 ∆ il se soigne contre son anxio-dépression, après avoir longtemps refusé son diagnosticCODE COULEUR : Isy s'exprime en #9966ff ou slateblue RPs EN COURS :
Ce date à ton domicile invoque en ton être un délicieux mais explosif cocktails de sensations : tu es à la fois enthousiaste tout en étant étreint d'un certain stress, tel un comédien subissant un tract avant son entrée sur scène, quand bien même tu ne joues aucun rôle particulier auprès de la jeune femme, si ce n'est celui de tenter de lui offrir la meilleure version de toi-même. « Je ne savais pas que tu as un frère, » t'indique-t-elle lorsque tu la renseignes sur les âmes résidant au sein de ma maisonnée. Tu souris doucement, exposant : « J'ai un frère et deux sœurs, en tout. » Tes parents avaient toujours aspiré à engendré plusieurs enfants, bien qu'ils n'avaient pas forcément prévu en avoir quatre, les benjamins étant issus d'une grossesse gémellaire. Intéressé, tu retournes l'interrogation de la colocation à ton interlocutrice, qui hoche en premier lieu la tête à la négative, avant de rectifier : « Depuis quelques mois, j’avais pris un coloc pour faire plaisir à une amie qui vivait avec moi. Elle est partie, mais lui est resté. » Un sourire en coin s'immisce sur ton portrait, jugeant la situation plutôt cocasse - qui en suscite même le rire cristallin de l'australienne par ailleurs. « On se connaît pas beaucoup, on se voit pas beaucoup non plus et c’est mieux comme ça. » Tu interprètes ces propos comme quoi Penny et son colocataire ne partagent pas quelconque atome crochu, bien que tu peines à déceler si la présence de cet homme relève de l'indifférence ou de la contrainte. « Vous avez trouvé votre terrain d'entente sans avoir à vous entendre, » tu te risques à observer.
Tu mets intérieurement la plaisanterie, que tu émets spontanément lorsque Penny t'interroge sur le menu, sur le compte de la nervosité, même si la vingtenaire, décidément irréprochable, en rit doucement. Tu t'excuses malgré tout pour l'humour qui laisse à désirer, ce à quoi l'actrice pose, en ultime douceur, sa main sur ton bras. « J’ai entendu pire. » Un fin rire nerveux file entre tes lippes. « Merci de ta bienveillance. » Tout en n'esquissant pas le moindre geste, appréciant indubitablement le contact de Penny contre ta peau, tu lui dévoiles le repas que tu as préparé. « J’adore les pâtes, » la jeune femme te rassure et le soulagement se lit instantanément sur tes traits ravis. « Et si jamais ça t’intéresse, pour le futur, je ne suis allergique à rien et je ne suis pas un régime en particulier. Sauf si tu considères un intérêt particulier pour les desserts au chocolat un régime en soit. » Tu ris de nouveau, gage de ton appréciation du moment. « J'en prends très bonne note, et je suggère que les desserts au chocolat composent une catégorie alimentaire essentielle à eux seuls. Après tout, le chocolat a énormément de vertus. » Tu défends avec malice, ne pouvant te retenir de lorgner sur la Stringer qui se mordille délicatement la lèvre. « Et toi alors? Tu as des allergies ou des précisions sur ce que tu peux manger? » Tu cilles et remontes ton attention à ses pupilles. « Je mange de tout. » Tu marques une pause, avant d'avouer : « Et je suis un fervent défendeur des cheesecakes. Je trouve ça beaucoup trop bon. »
La félicité immuable sur ton visage, tu t'intéresses au voyage en Europe que vient d'effectuer Penny. Malheureusement, tu apprends qu'elle est entrée à Brisbane seule, sa meilleure amie ayant décidé de rester sur place. Tu essaies de la réconforter en soulignant les possibles positifs et la survenue d'opportunités découlant de cette situation, tout en compatissant sincèrement avec le récent qualificatif de longue distance qui s'est imposée à leur relation. Tu souhaites réellement tout le meilleur pour la bénévole au sein de cette amitié qui lui paraît chère et tu ne sais pas si tes paroles font du sens ou si l'actrice agit par pure politesse, mais tu as la sensation que les termes que tu emploies la consolent au moins un tout petit peu. « Tu fais toujours preuve d’autant de sagesse? » te questionne-t-elle et tu lui souris avec humilité, répliquant en lui adressant un clin d'œil : « J'essaie. » Vous buvez une gorgée de vos rafraîchissements respectifs et tu proposes à la vingtenaire de lui élaborer un kit anti-ennui pour ses prochains vols. « Oh, c’est une excellente idée. » Le bonheur induit par son approbation se lit aisément sur ton portrait. « Je ne sais pas si je saurais résister à la tentation de ne pas le découvrir avant d’être dans l’avion. » « Ah, ça, ça sera ta responsabilité, » tu fais avec complicité, amusé par la curiosité que démontre Penny.
Ton invitée te questionne sur le déroulé du mois dernier et après quelques secondes de réflexion, tu lui confies sobrement être parvenu à atteindre un des objectifs que tu rêvais de compléter depuis des années maintenant : devenir sapeur-pompier. Tu lui précises que tu ne changes pas de profession pour autant, seulement, tu ajoutes une activité supplémentaire pour combler ton temps libre - déjà certes réduit. « Mais Isy, c’est génial! Félicitations! » L'enthousiasme que te démontre instantanément la Stringer te fait irrémédiablement, chaud au cœur, te gonflant d'une sensation vive d'allégresse. Alors que tu t'étais heurté à la désapprobation ou aux craintes de certains de ses proches, l'actrice se réjouit purement pour toi, validant, adhérant et soulignant un projet qui te tenait à cœur mais que tu avais peu à peu étouffé compte tenu des retours plutôt mitigés que tu en recevais de ton cercle d'amis ou de proches. Ta main se pose doucement dans son dos alors qu'elle t'enlace et tu ris de bon cœur lorsqu'elle t'indique : « Tu trouvais que t’étais pas assez occupé comme ça? » « Ce que je ne t'ai pas encore dit, c'est que j'ai aussi essayé d'ajouter des heures supplémentaires à mes journées en construisant une machine à arrêter le temps... Ou quelque chose du genre. » Et Dieu que tu aurais envie de l'arrêter tout de suite, le temps, pour savourer cette inestimable proximité avec la Stringer indéfiniment. « J’espère que ça va te laisser du temps pour cocher quelques items de cette liste de folies dont tu m’as parlé. » C'est probablement une bonne chose que Penny se soit distancée de quelques centimètres, car tu soupçonnes qu'elle aurait sinon senti ton cœur battre tel un forcené contre le sien. « Je suis confiant... » Tu débutes, les beuglements de ton palpitant retentissant jusqu'à tes tympans. En évoquant des folies, il y en a de multiples qui se tiendraient en compagnie de la jeune femme qui se tient à quelques dizaines de centimètres de toi, dans ta définition d'idéal. « J'aspire juste à te prendre comme modèle pour ce qui est de faire preuve d'audace et être téméraire... » Ton regard ne quitte pas le sien et tu es intimement convaincu, comme terrifié, par le fait qu'il doit hurler à quel point, en ce moment-même, tu meurs d'envie de poser tes lèvres contre les siennes - malgré ta raison qui te convainc, sournoise, que ce désir n'est constitué que d'une pure folie. Mais votre relation n'a-t-elle pas fait preuve d'incompréhensible et d'exceptionnel dès les premiers messages envoyés ? Il n'y a rien de rationnel à votre rencontre ni à votre entente. Peut-être que finalement, la folie prévaut dans votre duo et la raison ne peut prétendre y détenir quelconque rôle ? Vous aviez tant parlé d'audace et de téméraire. Vous n'êtes pas à votre premier rendez-vous. Est-ce que vous êtes dédiés à enchaîner les dates en épousant le platonique ? Est-ce que c'est juste le fait que cela fait un long mois que tu ne l'as pas vue en chaire et en os qui te motive tant à l'embrasser ? Ne serait-ce pas un coup d'émotion loufoque de ta part ? L'enthousiasme de la revoir qui te monte un peu trop à la tête, chimérique ivresse ? Une chose est sûre : elle te la fait perdre la tête. Et tu repenses au fait qu'elle les as approuvés, les mots d'Oscar Wilde que tu lui as cités, ceux qui stipulent que les folies sont les seules choses qu'on ne regrette pas. Tu te rappelles également qu'elle t'avait laissé entendre qu'elle aussi, tout comme toi, s'alourdissait de bagages sentimentaux révolus. Est-ce que ce serait profiter du jet lag, de l'éloignement de sa meilleure amie, de l'embrasser ce soir ? Et il ne faudrait pas à force que la lasagne crame dans le four. A défaut que vous vous embrasiez. Ou que vous vous enflammiez. Ou que tout parte en fumée.
Au Diable. Tu es incapable de résister. Tu poses avec une délicatesse infinie tes lèvres contre les siennes, armé d'une assurance si piètre qu'un voile aurait procuré davantage d'effet. Peut-être qu'une partie de ton être pensait se cacher lâchement derrière un malentendu, si jamais Penny te rejetait. Une perte d'équilibre, sait-on jamais.
Tu croises de nouveau ses pupilles, puis une nouvelle raison te frappe sévèrement : elle mérite plus que ça, elle mérite mieux que ça. Quitte à lui démontrer l'affection toute particulière et assurément exponentielle que tu lui voues, autant le faire dignement.
Alors, avant même qu'elle ne jouisse de l'opportunité de se dérober, tu presses tendrement ses lèvres entre les tiennes, saveur Seis Hermanos Lagers, sensation divine. Supérieur à ton précédent souffle, certes gorgé d'affections.
Aie raison, Oscar.
:
Penny Stringer
l’ère de l'apaisement
ÂGE : trente-deux ans (03.08.1992) SURNOM : Penny étant déjà le surnom de Penelope, difficile de faire bien plus court. STATUT : trois ans qu'il lui fait vivre la plus folle et la plus belle des histoires, Isaac est tout pour elle et plus encore. MÉTIER : maman à temps plein, elle partage le reste de son temps entre la fondation Run for Judy à l'hôpital, et la fondation Tomlinson, à défaut de se sentir prête à reprendre le chemin devant les caméras. LOGEMENT : nouvellement installée dans une belle grande maison à Bayside, qu'ils ont choisi ensemble avec Isaac et qui répond à tous les besoins de leur petite tribu. POSTS : 13982 POINTS : 0
TW IN RP : mentions d'agression sexuelle, neurodiversité, parentalité, mentions d'abandon d'enfant. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : elle a un jeune frère autiste qu'elle aime plus que tout et surprotège › fière belle-maman de Jude (13.09.2018) et maman de Maia (14.06.2022) et les jumeaux Jack et Mila (01.08.2023) › bénévole auprès des enfants malades depuis 2020 › être devant la caméra lui manque, mais elle sait son temps auprès des siens plus précieux que jamais.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : Penny crée des malaises en mediumorchid ou en teal. RPs EN COURS : (03) ≡ angus › chris › ethel.
+ the one and only(03) ≡ isaac #23 › isaac #24 › isaac (ff) › isaac (tel). RPs EN ATTENTE : andréa › harleen › micah #6 › riley #2 › rory #12 › you? RPs TERMINÉS :
Pour la première fois depuis longtemps, tu ne cherchais pas à t’échapper. Tu ne redoutais pas le moindre rapprochement avec Isaac, tu te surprenais même à en être l’instigatrice. Tu ne saurais expliquer pourquoi tout était d’une simplicité avec lui comme tu n’en avais pas ressenti depuis un long moment. Tu n’aurais jamais imaginé que cela découlerait de simples messages sur Tinder. Jamais tu n’aurais cru pouvoir former ce genre de lien avec quelqu’un à nouveau, et surtout, jamais tu n’aurais cru possible de le faire majoritairement au travers d’un écran. Pourtant, toutes les preuves prenaient formes sous tes yeux et tu ne tentais même pas de le nier. De te retrouver de nouveau en présence de l’infirmier venait confirmer ce qui s’était tranquillement formé dans les dernières semaines, même avec la distance. Tu ne pouvais t’empêcher de sourire après chaque réplique du Jensen, même pendant les échanges les plus anodins. « J’ai un frère et deux sœurs, en tout. » « Wow. » que tu ne pus t’empêcher de souffler. Tu savais que tes parents auraient aimé avoir plus d’enfants, mais qu’avec l’infertilité secondaire de ta mère, toute la misère qu’ils ont eu à avoir ton frère et le diagnostique qui est tombé quelques années plus tard, il avait été décidé à contre-coeur que la fratrie se composerait uniquement de David et toi. Tu n’aurais jamais l’occasion de vivre avec ton frère comme Isaac le faisait, même si tu n’écartais pas la possibilité qu’un jour, ton frère se retrouve sous ta tutelle. Mais pour l’instant, ton colocataire se faisait aussi petit que possible et c’est ainsi que tu aimais votre relation, inexistante. « Vous avez trouvé votre terrain d’entente sans avoir à vous entendre. » Tu ris doucement. « On peut dire ça oui. » que tu acquises et c’était sans aucun doute pour le mieux.
« J’en prends très bonne note, et je suggère que les desserts au chocolat composent une catégorie alimentaire essentielle à eux seuls. Après tout, le chocolat a énormément de vertus. » « C’est ce qu’on dit. » que tu souffles toujours en rigolant. Tu lui demandes en retour s’il a lui-même des allergies ou des restrictions alimentaires et tu dois admettre que tu es soulagée quand il t’annonce manger de tout. Tu as appris à modifier tes menus quand tu cuisines pour Rory qui est végétarien, mais tu dois admettre que tu trouves ça parfois compliqué quand il s’agit de faire des plats sans viande. « Et je suis un fervent défendeur des cheesecakes. Je trouve ça beaucoup trop bon. » « Ma mère a une recette que j’adore. Je pourrais essayer de t’en faire un, une autre fois. » que tu proposes, toujours avec cette envie de multiplier les moments passés avec l’infirmier. Si tu n’es pas une cuisinière hors pair, tu as toujours aimé faire des desserts, sans doute parce que c’est ce que tu prends le plus de plaisir à engloutir chaque fois que tu en as l’occasion.
Parler de Chloe, même si tu l’as vu il y a quelques jours à peine, provoque chez toi une vague de vulnérabilité que tu ne tentes pas de cacher. Tu sais que la situation n’a rien de catastrophique et qu’au final, si elle a pris la décision de rester en Europe avec Victor, c’est parce que c’est ce qu’elle voulait et ce qui allait ultimement la rendre heureuse et tu ne voulais rien de plus que son bonheur. Son absence physique allait toutefois se faire ressentir dans ta vie et tu n’avais pas envie de prétendre que cela ne t’affectait pas, ce que l’infirmier semblait comprendre fort heureusement. Tu appréciais cette manière qu’il avait de vouloir relativiser la situation sans imposer quelconque vision ou conseil, te laissant le droit de ressentir cette peine tout en te rappelant que ce n’était pas non plus une finalité complète qui se jouait sous tes yeux. « J’essaie. » Si tu ne connais pas tous les détails de la vie d’Isaac, tu as eu de multiples occasions de réaliser qu’il fait toujours preuve d’une grande sagesse et tu ne pouvais t’empêcher de te demander de quoi était composé son passé. Tu ne pouvais qu’espérer qu’un jour, il se sente assez en confiance avec toi pour se confier à toi, comme tu espérais qu’un jour, tu pourrais lui parler en retour de ce qui s’était passé il y un an et demi de ça. « Je pense que tu réussis plutôt bien. » que tu insistes. Il y avait quelque chose de particulier chez le Jensen, un calme et un apaisement que tu ressentais lorsque tu étais près de lui. Quand il propose de te faire un kit anti-ennui pour ton prochain vol qui se trouve à être dans quelques jours à peine, tu lui fais facilement comprendre que l’idée t’emballe, même si tu ne sais pas si tu peux être assez patiente pour ne pas découvrir le dit kit avant le temps. « Ah, ça, ça sera ta responsabilité. » « C’est beaucoup de pression sur mes épaules. » que tu ajoutes toujours aussi rieuse. Tu allais faire ton possible toutefois pour garder la surprise, pour avoir un petit morceau d’Isaac avec toi pour ton vol vers le Mexique.
Tu es sincèrement surprise d’apprendre qu’Isaac est devenu sapeur-pompier pendant le mois, mais tu le vois sur son visage que c’est une nouvelle qui lui apporte beaucoup de joie et de fierté, ce qui se traduit ensuite par ta propre réaction lorsque tu viens l’enlacer et que ses mains viennent se poser dans le bas de ton dos dans une proximité nouvelle entre vous. Tu ne peux t’empêcher de te demander comment Isaac compte faire rentrer ses nouvelles responsabilités de pompier en plus de tout le reste. « Ce que je ne t’ai pas encore dit, c’est que j’ai aussi essayé d’ajouter des heures supplémentaires à mes journées en construisant une machine à arrêter le temps… Ou quelque chose du genre. » « Et t’as réussi? » que tu demandes entre deux rires. Tu ne dirais pas non toi non plus à quelques heures supplémentaires, même si dernièrement, tes journées étaient bien plus libres qu’elles ne l’avaient jamais été par le passé. Tes yeux ne quittent pas les siens alors que tu fais mention de cette liste de folies dont vous avez parlé à plusieurs reprises, celle inspirée par tes derniers voyages spontanés et cette envie nouvelle de profiter de chaque moment. Tu espérais qu’il garde un peu de son temps libre pour avoir le luxe de cette liberté, et surtout, tu espérais pouvoir en profiter avec lui. « Je suis confiant... » « Je suis rassurée... » que tu souffles en retour, sans jamais perdre ce sourire qui veut dire bien plus que tes mots ne laissent entendre. « J’aspire juste à te prendre comme modèle pour ce qui est de faire preuve d’audace et être téméraire... » Tu ne pourrais dire si c’est la remarque ou la manière qu’Isaac à de te regarder, mais tu te sens rougir à nouveau. « J’ai encore beaucoup à apprendre. » que tu murmures alors que tu vois le visage d’Isaac qui vient briser le peu de distance qui existe encore entre vous. Tu ne réagis pas lorsqu’il pose d’abord ses lèvres sur les tiennes avec une telle délicatesse que tu peux à peine sentir plus que son souffle sur ta peau. Quand tu ouvres les yeux à nouveau, Isaac te regarde toujours avec cette même intensité, et soudainement, le temps semble suspendu.
C’est ton coeur qui s’emballe au point de résonner dans tes oreilles. C’est une envie folle de sentir ses lèvres à nouveau sur les tiennes qui s’empare de toi sans que tu n’oses bouger la première.
Et puis la distance disparaît à nouveau, ses lèvres trouvent les tiennes dans un baiser qui témoigne d’une assurance nouvelle et tu te perds dans le moment. Dans la douceur et dans l’envie, quand tes doigts viennent se glisser naturellement contre sa joue et que l’échange s’intensifie sans que tu n’aies envie de l’arrêter. Ça fait un moment que tu t’imagines ce moment, un moment déjà que tu t’imagines ce que ce serait que de finalement embrasser l’infirmier. Et le moment est encore mieux que tout ce que tu aurais pu imaginer. Tu ne pourrais dire combien de temps tu te perds dans l’échange, dans le goût de ses lèvres, dans la chaleur de son corps si près du tien dans une proximité que tu n’as pas expérimenté depuis plusieurs mois déjà, mais quand vos lèvres se séparent enfin, c’est un léger rire plein de nervosité et d’allégresse qui traverse tes lèvres. « Ça fait déjà un item cocher sur ma liste... » que tu avoues tout en te mordillant la lèvre inférieure, sans jamais quitter l’infirmier des yeux. « J’attends toujours de savoir quelles sont ces fameuses idées qui composent la tienne. » que tu ajoutes sans jamais chercher à rompre cette nouvelle proximité entre vous.
ÂGE : 34 ans (13.05.90) SURNOM : Isy STATUT : Penny est le soleil et l'amour de sa vie, l'évidence avec laquelle il écrit sa plus belle histoire et s'autorise à réaliser des rêves de bonheur (06.07.2021) MÉTIER : Infirmier au service des urgences, président de l'association Run for Judy, infirmier bénévole à la Croix Rouge et aux Flying Doctors, sapeur-pompier volontaire et surtout : papa comblé de Jude (13.09.2018), Maia (14.06.2022), Jack et Mila (01.08.2023) LOGEMENT : Penny et lui ont quitté Toowong en 2024 pour s'installer avec leurs enfants à Bayside et y créer leur cocon à l'image entière de leur amour POSTS : 28708 POINTS : 0
TW IN RP : dépression, anxiété, automutilation, idées suicidaires, tentative de suicide, mentions d'abandon d'enfant PETIT PLUS : Emménage à Brisbane en 2003 ∆ il exerce en qualité d'infirmier au st vincent's depuis 2006 puis est affecté aux urgences en 2013 ∆ une suite de blessures anéantit sa carrière de joueur de football australien en 2010 ∆ il attente à ses jours en mars 2018 et reprend le travail en septembre 2018 ∆ finaliste de ROA en 2020 ∆ il se soigne contre son anxio-dépression, après avoir longtemps refusé son diagnosticCODE COULEUR : Isy s'exprime en #9966ff ou slateblue RPs EN COURS :
La conversation se déroule sous le tempo de la même aisance naturelle qui berce délicatement vos échanges par écrans interposés. En compagnie de Penny, tu as la sensation que le temps découle sous un nouveau rythme, que le monde se teinte différemment. Tes tracas, tes priorités, tes doutes et tes combats se placent sous sourdine pour laisser pulser le bonheur, la complicité, la simplicité et l'humour sans vergogne. Tu apprends toujours chaque jour sur la jeune femme, au fil de vos discussions, de vos aveux, des souvenirs que vous vous relatez, des parts de vous que vous vous offrez sans altération ni artifice. Tu te la dessines trait par trait, précautionneusement, précisément, admirant toujours davantage l'image d'ensemble, t'en séduisant irrémédiablement exponentiellement...
« Ma mère a une recette que j’adore. Je pourrais essayer de t’en faire un, une autre fois, » te propose-t-elle et tu lui souris doucement, acquiesçant. « Avec plaisir. » Tu valorises ces petits projets que vous vous élaborez, colorés de générosité, aussi anodins soient-ils. Tu as la sensation qu'entre vous deux, vous ne vous devez rien, mais vous êtes irrésistiblement motivés par cette volonté de partager de vos moments. La Stringer te dévoile par ailleurs la finalité malheureuse de son voyage en Europe et tu tentes, muni de bonnes intentions, de souligner le bénéfice potentiel de ces circonstances pourtant regrettables. Tu ne minimises pas le chagrin que l'absence d'un proche occasionne indubitablement, cependant, tu relèves que les liens ne sont pas rompus et que nous ignorons de quoi demain sera fait. Tu ne sais pas si cela démontre une sagesse que tu posséderais comme l'actrice l'indique, mais en tout cas, tu t'efforces à aborder les événements de la vie avec le plus de recul et d'optimisme possible. Ce qui est assez ironique vu ta condition médicale. « Je pense que tu réussis plutôt bien. » Elle insiste et tes yeux pétillent d'une timide fierté. « Eh bien, merci. » Ce que Penny ne saura pas tout de suite, c'est que ta vision est une conséquence de tes anciennes thérapies. Ton optique est ton arme pour ne pas décrocher et te laisser absorber par tes secrets démons intérieurs qui t'engouffreraient vers une sinistre finalité sans scrupule aucun. En articulant ces quelques mots, elle valide également le fait que tu t'en sors, que tu vas mieux, que tu deviens plus fort ; elle invoque en toi une bouffée d'énergie et de combativité nouvelle pour poursuivre ton inespérée convalescence. C'est spontanément que tu lui proposes de lui créer un kit anti-ennui pour son prochain envol, ajoutant avec jeu qu'il en sera de sa responsabilité de céder à la curiosité ou pas. « C’est beaucoup de pression sur mes épaules. » Ton rictus s'élargit, amusé par la répartie rieuse de la jeune femme. « J'ai confiance que tu sauras faire le meilleur choix pour toi, » tu lui réponds avec complicité.
Lorsqu'il est question d'aborder les nouveautés de ton quotidien, tu annonces, timoré, ta réussite pour endosser le rôle de sapeur-pompier, un rêve que tu concrétises après plusieurs années d'investissements. Tu avais enfin l'impression de conclure un projet que tu avais amorcé et qui s'était sans cesse trouvé malmené par les secousses de ta vie et de ton esprit. Devenir infirmier sapeur-pompier constituait ta manière aussi de confirmer que tu reprenais les rennes sur ton histoire. Cette symbolique que tu apposes néanmoins à ce nouveau rôle te reste privée. Tu n'as jamais pris le temps de l'expliquer à tes proches ni tes amis, sauf Kane, certain que tu te heurterais à leur incompréhension, leur confusion ou leur opinion négative sur ton plan. Tu n'avais finalement pas beaucoup changé à ce niveau, tu étais retombé dans tes travers de ne pas faire confiance à une bonne partie de ton entourage et la jouer solo de sorte à ne pas être découragé dans ta lancée de faire ce qui te plaisait. La vérité était que même si tu tentais d'être moins réservé vis-à-vis de tes amis, tu demeurais à l'aise pour te dévoiler vraiment que devant Kane, car tu étais convaincu qu'il respectait tes décisions, que ses conseils n'étaient que pour ton pur bénéfice et qu'il te soutenait quoi qu'il en soit, et surtout, qu'il comprenait aisément une bonne partie de tes états d'âme. Tu n'avais jamais vraiment besoin de justification devant lui, il captait ce qui se tramait en toi comme si tu lui étais logique.
Et il y a Penny, qui instantanément, absorbe toute la joie et la fierté que tu ressens intérieurement pour la faire imploser via son embrassade. Tes mains se posent spontanément dans son dos, son parfum vient suavement t'enivrer, et si tu n'attendais pas de réaction particulière de sa part, celle qu'elle t'offre la hisse encore plus haut dans le rang des personnes exceptionnelles où tu l'as classée. Elle te glisse avec humour un commentaire sur le temps libre qui manque déjà assez cruellement aux journées et tu plaisantes en lui indiquant que tu prévois construire une machine malléant assez avec le temps pour te permettre de savourer plus longuement la vie. Quel changement drastique, quand trois ans plus tôt, chaque jour te semblait interminable. « Et t’as réussi? » t'interroge-t-elle entre deux harmonieux rires cristallins. Tu hoches la tête à la négative, sans quitter ses prunelles éclatante de malice, tes précieuses, un sourire radieux ancré sur ton visage, ta confiance exprimée entre tes lippes. « Je suis rassurée... » « J’aspire juste à te prendre comme modèle pour ce qui est de faire preuve d’audace et être téméraire... » Elle rougit, ton cœur bat la chamade. « J’ai encore beaucoup à apprendre. »
Son commentaire restera sans réponse momentanément, si ce n'est celle de tes lèvres qui viennent se poser d'abord avec légèreté sur les siennes, puis réitèrent via un geste plus assuré, gage de l'exposition inlassable de sentiments que tu lui voues et de sensations que tu ressens à chaque instant que vous passez ensemble. Elle ne se décale pas, et peut-être profites-tu lâchement de son immobilité, mais tu prends sa réaction comme un accord, un aval, et le tambour de ton cœur tonitrue un bonheur incommensurable dans chaque parcelle de ton organisme. Ses doigts viennent finalement se glisser contre ta joue, votre baiser s'intensifie dans une conversation nouvelle qui te paraît tout aussi logique, naturelle et complice que celles que vous vous faites avec des mots. Tu inspires profondément et discrètement alors que vous vous distancez, le goût, la douceur et la chaleur de ses lèvres te manquant déjà. Son rire rompt le silence qui s'est installé dans ton salon et un sourire s'impose de nouveau instantanément sur ton portrait. « Ça fait déjà un item coché sur ma liste... » Elle mordille sa lèvre inférieure, tu restes suspendu dans le moment, contemplatif. « J'aime toujours autant nous découvrir des points communs... » Tu avoues. « J’attends toujours de savoir quelles sont ces fameuses idées qui composent la tienne. » Tu ne peux pas résister à lui dérober un nouveau baiser puis poser avec tendresse tes lippes sur sa joue avant de te lever du canapé sur lequel vous étiez installés. « Tu veux que je t'en dévoile quelques unes ce soir ou tu préfères avoir la surprise au fil du temps ? » Tu proposes en vérifiant tout de même que ta cuisine n'est pas enflammée et baissant la température du four. Tu reviens ensuite vers Penny et reprends place sur le canapé.
:
Penny Stringer
l’ère de l'apaisement
ÂGE : trente-deux ans (03.08.1992) SURNOM : Penny étant déjà le surnom de Penelope, difficile de faire bien plus court. STATUT : trois ans qu'il lui fait vivre la plus folle et la plus belle des histoires, Isaac est tout pour elle et plus encore. MÉTIER : maman à temps plein, elle partage le reste de son temps entre la fondation Run for Judy à l'hôpital, et la fondation Tomlinson, à défaut de se sentir prête à reprendre le chemin devant les caméras. LOGEMENT : nouvellement installée dans une belle grande maison à Bayside, qu'ils ont choisi ensemble avec Isaac et qui répond à tous les besoins de leur petite tribu. POSTS : 13982 POINTS : 0
TW IN RP : mentions d'agression sexuelle, neurodiversité, parentalité, mentions d'abandon d'enfant. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : elle a un jeune frère autiste qu'elle aime plus que tout et surprotège › fière belle-maman de Jude (13.09.2018) et maman de Maia (14.06.2022) et les jumeaux Jack et Mila (01.08.2023) › bénévole auprès des enfants malades depuis 2020 › être devant la caméra lui manque, mais elle sait son temps auprès des siens plus précieux que jamais.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : Penny crée des malaises en mediumorchid ou en teal. RPs EN COURS : (03) ≡ angus › chris › ethel.
+ the one and only(03) ≡ isaac #23 › isaac #24 › isaac (ff) › isaac (tel). RPs EN ATTENTE : andréa › harleen › micah #6 › riley #2 › rory #12 › you? RPs TERMINÉS :
La gêne et l’appréhension que tu ressentais à l’idée de revoir Isaac, laissent rapidement place à cette simplicité et cette complicité qui se sont développées entre vous sans que vous n’ayez à faire le moindre effort. Dans un moment de ta vie ou tu remettais tout en question, jamais tu n’avais ressenti le besoin de te poser le moindre questionnement lorsqu’il s’agissait de l’infirmier. Tout s’était placé avec une aisance que tu ne parvenais pas à expliquer et chaque sourire et rire échangés entre vous venaient confirmer sans l’ombre d’un doute du début d’une histoire que tu ne cherchais pas à fuir. Pendant plus d’un an, tu avais mis toute ta vie en parenthèse. Tu avais perdu de vie qui tu étais, qui tu voulais être, ce que tu voulais et comment tu pouvais faire pour y arriver. Tu avais longtemps fait du surplace, laissant le traumatisme de ton agression prendre toute la place, laissant la pression des médias te terrer dans une solitude qui avait été lourde à porter, qui avait fait disparaître les parties les plus brillantes, les plus enjouées de ta personnalité. Pendant longtemps, tu avais cru impossible de retrouver celle que tu étais avant. Tu t’étais sentie coincée, prisonnière d’une réalité que tu peinais à accepter. Alors d’être ici ce soir, en compagnie d’Isaac, à sourire comme une adolescente, à ne pas paniquer devant votre proximité qui ne cessait de se réduire, à espérer plus encore avec lui, tu te sentais revivre. Tu avais l’impression que peut-être, enfin, le pire était derrière toi. Que tu pouvais encore retrouver la Penny pétillante que tu étais autrefois, même en étant plus prudente, même en étant plus fragile. Isaac, sans même le savoir, t’avais aidé à retrouver petit à petit des morceaux de toi que tu croyais perdus, disparus. Et si tu ne savais pas comment le verbaliser, chaque action à son égard, chaque regard rempli de cette affection nouvelle criait tout ce que tu ne pouvais mettre en mots. Chaque nouvelle proposition de rencontre témoignait de ton envie qu’il se fasse une place dans ton quotidien tout comme tu souhaitais te glisser dans sa vie, doucement, sans pression.
« Eh bien, merci. » « Tu me diras ton secret, un de ces jours? »
Tu ne forces pas, tu ne pousses pas non plus. Tu demandes, tu attends, tu espères et puis tu fais de ton mieux pour lui faire savoir que tu comprends, toi aussi. C’est ce qui t’avait d’abord surprise de vos premiers échanges avec Isaac, cette facilité que vous aviez eu à faire part à l’autre des différentes blessures que vous portiez tous les deux sans jamais entrer dans les détails, ne ressentant pas le besoin de rentrer dans les détails, mais n’ayant pas non plus l’envie de camoufler ce qui faisait inévitablement partie de vos histoires respectives. La mélodie de vos rires respectifs continue de rythmer la conversation et tu t’étonnes avoir déjà hâte de revenir de ton voyage au Mexique, ne serait-ce que pour avoir l’occasion de refaire une soirée comme celle-là qui commence à peine. Tu t’efforces toutefois de rester dans le moment présent, de profiter de chaque seconde qui file, sachant combien chaque instant pouvait être précieux. Il n’y avait rien comme de perdre cette sensation de bonheur et d’allégresse pour se souvenir à quel point elle était précieuse et tu n’avais pas l’intention de la laisser filer à nouveau. « J’ai confiance que tu sauras faire le meilleur choix pour toi. » Tu lui offres un sourire complice. L’idée est amusante et tu es définitivement curieuse de savoir ce qu’il va y mettre, mais bien plus heureuse de savoir que vous alliez vous revoir au moins une autre fois avant ton prochain voyage.
C’est progressivement que la distance entre vous finit par disparaître, d’abord par une étreinte qui suit sa bonne nouvelle, des mains qui restent dans ton dos, ton bras qui frôle le sien, vos regards qui ne se détachent plus de l’autre. Il secoue négativement la tête quand tu lui demandes s’il a réussit à construire une machine à arrêter le temps ce qui ne fait qu’arracher un rire de plus entre tes lippes. Et puis ses lèvres qui viennent à la rencontre des tiennes dans un baiser chaste d’abord, mais qui laisse rapidement place à quelque chose de plus convaincu, qui te transporte complètement. T’en oublies le décalage horaire et la fin amère de ton voyage. T’en oublies les projets annulés et les doutes qui pèsent lourds sur tes épaules depuis quelques semaines. T’en oublies que le monde tourne encore autour de vous tant le moment semble suspendu, juste là entre vos lèvres qui se découvrent avec cette même aisance qui vous caractérise trop bien. Tu voudrais prolonger le baiser, encore et encore, avide du goût de ses lèvres que tu découvres avec plaisir avec chaque seconde qui passe, mais c’est à contre-coeur que tu crées une légère distance entre vous. T’as l’impression que tout ton être est en feu de ce rapprochement que tu espérais depuis un moment déjà, mais qui est encore meilleur que tout ce que tu aurais pu imaginer. « J’aime toujours autant nous découvrir des points communs... » Et voilà que tu rougis de plus belle sans jamais toutefois défaire ton regard du sien. C’est le genre de points communs que tu es contente de réaliser que vous avez, ceux qui viennent faire la différence entre une relation platonique et la possibilité de quelque chose de bien plus grand. De bien plus effrayant aussi, même si tu préfères te dire que ton coeur bat si fort et si vite parce qu’il te chamboule, l’infirmier. Tu n’attendais pas une telle personne dans ta vie, pas maintenant alors que tu te relevais encore de ton dernier chagrin d’amour et pourtant, voilà qu’il venait changer toutes les règles du jeu et tu cherchais simplement à suivre la cadence, peu importe ou cela allait vous mener. Il vient déposer un nouveau baiser sur tes lèvres avant de venir embrasser ta joue et voilà qu’il t’échappe sans même que tu n’aies le temps de le retenir. Ton regard le suit alors qu’il se rend jusqu’au four. Il te faut admettre que ton esprit est bien loin de la lasagne en ce moment. « Tu veux que je t’en dévoile quelques unes ce soir ou tu préfères avoir la surprise au fil du temps? » « Une chose que tu dois savoir de moi c’est que je suis la pire pour attendre les surprises. » Même si ça, il devait bien l’avoir compris vu l’impatience que tu démontrais envers chaque petite chose qui le concernait. « J’aimerais bien en savoir quelques unes. » que tu finis par admettre alors qu’il revient prendre place à tes côtés et tu n’hésites pas à venir te blottir dans ses bras, laissant ta tête tomber contre son épaule. « En échange, j’peux t’en dire quelques unes des miennes. » que tu souffles en levant la tête pour le regarder, étrangement confortable dans cette proximité nouvelle, cherchant toujours un peu plus à profiter du moment.
:
Isaac Jensen
le coeur au bout des doigts
ÂGE : 34 ans (13.05.90) SURNOM : Isy STATUT : Penny est le soleil et l'amour de sa vie, l'évidence avec laquelle il écrit sa plus belle histoire et s'autorise à réaliser des rêves de bonheur (06.07.2021) MÉTIER : Infirmier au service des urgences, président de l'association Run for Judy, infirmier bénévole à la Croix Rouge et aux Flying Doctors, sapeur-pompier volontaire et surtout : papa comblé de Jude (13.09.2018), Maia (14.06.2022), Jack et Mila (01.08.2023) LOGEMENT : Penny et lui ont quitté Toowong en 2024 pour s'installer avec leurs enfants à Bayside et y créer leur cocon à l'image entière de leur amour POSTS : 28708 POINTS : 0
TW IN RP : dépression, anxiété, automutilation, idées suicidaires, tentative de suicide, mentions d'abandon d'enfant PETIT PLUS : Emménage à Brisbane en 2003 ∆ il exerce en qualité d'infirmier au st vincent's depuis 2006 puis est affecté aux urgences en 2013 ∆ une suite de blessures anéantit sa carrière de joueur de football australien en 2010 ∆ il attente à ses jours en mars 2018 et reprend le travail en septembre 2018 ∆ finaliste de ROA en 2020 ∆ il se soigne contre son anxio-dépression, après avoir longtemps refusé son diagnosticCODE COULEUR : Isy s'exprime en #9966ff ou slateblue RPs EN COURS :
Tu compatis avec l'éloignement soudain qu'elle connaît désormais avec sa meilleure amie, mais tu tentes de souligner tous les possibles émanant encore de leur relation. « Tu me diras ton secret, un de ces jours? » Tu hoches la tête doucement à l'affirmative, le fantôme d'un sourire voguant sur ton portrait. A ce moment-même, tu lui promets d'être honnête et de laisser tomber une à une les barrières dissimulant imperturbablement tes secrets, ces véritables forteresses que tu t'es érigées depuis ton plus jeune âge, tel un mécanisme de défense ultime. C'est si facile d'être impassible, d'enfermer ses émotions jusqu'à étouffer même l'essence de soi, afin d'entrer dans tous les moules possibles et inimaginables et s'épargner des conflits. Ce que tu as longtemps ignoré, c'est qu'en t'immisçant dans ces formes qui n'étaient pas tiennes, tu t'es écorché, fissuré, cabossé ; et aujourd'hui, tu t'efforces de te reconstruire, armé de l'image abstraite de celui que tu devrais être, sans conviction aucune de procéder justement, mais prenant ton temps pour le faire de sorte à te relever enfin solide.
Tu esquisses que la Stringer le comprendrait, le respecterait, par son intonation ni curieuse, ni impatiente. Tu te persuades qu'elle serait capable d'aller à ton rythme, comme tu lui as spontanément promis de ne jamais chercher quelconques informations sur sa vie dans les médias voraces qui rôdent tout autour. Tu es convaincu que l'essentiel repose sur qui vous composez aujourd'hui, et que vous vous bâtissez sur les monuments de votre passé. La couleur de ces briques et de ces débris pourra bien être explicitée, comme tu l'as déjà aisément exposé sur certains volets de ta vie via vos précédentes conversations. Mais rien ne presse, si ce n'est les battements de ton cœur qui tonitruent l'affection exponentielle que tu lui voues, et les ailes de ses papillons virevoltant, à mesure des minutes passées en sa compagnie.
Tu promets de lui élaborer un kit anti-ennui pour son prochain voyage, dans une volonté de la réconforter, de lui faire plaisir, et d'être un peu présent avec elle alors qu'elle quittera de nouveau Brisbane. La complicité ne cesse de vous étreindre et tu lui dévoiles la concrétisation d'un objectif que tu t'étais fixé il y a des années maintenant : celui de devenir sapeur-pompier. La réjouissance que te témoigne Penny t'est aussi imprévue qu'inestimable et tu sens ton organisme tout entier s'embraser d'une déferlante certaine d'appréciation pour l'actrice. Tes mains se posent délicatement dans son dos, sa paume effleure ton bras. Son parfum t'envahit, le tambour de ton cœur s'emballe. La liste des faits que tu aimes chez elle devient astronomique alors que vous ne vous connaissiez que depuis une poignée de semaines. Les sentiments qu'elle suscite en toi sont aussi riches qu'authentiques et jamais n'avais-tu eu l'opportunité de rencontrer une femme comme la Stringer. Cela faisait bien longtemps que tu n'avais pas accroché si rapidement, si naturellement, à quelqu'un. Et Dieu que tu te maudirais de voir ce lien rompu par ta faute.
Pourtant, tu oses, au nom du téméraire et de l'audace, protagonistes récurrents de vos discussions, lorsque tu presses légèrement tes lèvres contre les siennes, d'une manière si satinée que tu perçois à peine le goût de ses lippes mais retiens la douceur de celles-ci. Un quart de seconde se dérobe à la volée alors que tu distances de quelques centimètres ta bouche de la sienne et une raison mêlée à la folie t'enivrant, tu embrasses la jeune femme cette fois-ci plus franchement, l'affection que tu lui dédies soulevant ton être avec ultime félicité. La vingtenaire se distance ensuite quelque peu et tes pupilles séduites se plongent dans ses prunelles. Elle évoque un item coché sur sa liste, tu rebondis sur ces points communs manifestement aussi intarissables que ton souhait d'être avec elle. Le silence vous englobe, au sein duquel tu peines à saisir le réel de cette situation, de ces baisers échangés, partagés, que tu ne sais résister à reproduire alors que ta bouche se pose affectueusement contre la sienne puis viens baiser sa joue. Tu t'échappes ensuite promptement pour t'assurer que votre repas n'est pas en surchauffe.
« Une chose que tu dois savoir de moi c’est que je suis la pire pour attendre les surprises. » Un léger rire file entre tes lèvres alors que vous poursuivez le sujet de vos listes de folies. Tu reprends place à côté d'elle en signifiant : « Et tu parais gérer pourtant très bien. » Tu avais retenu sa curiosité, tu te souviens encore de la rapidité avec laquelle elle avait dévoilé le marque-page que tu lui avais offert lors de votre premier rendez-vous, un comportement que tu avais considéré adorable. Penny avait semblé savoir se tenir, tout en pouvant relâcher rapidement la pression, démontrant à quel point elle pouvait être avide d'élucider un mystère. « J’aimerais bien en savoir quelques unes. » Tu conserves ton sourire, sa tête vient se reposer contre ton épaule. Tu glisses ton bras derrière son dos, ta main se posant sur sa taille, de sorte à ce qu'elle soit plus confortable. « En échange, j’peux t’en dire quelques unes des miennes. » « C'est un marché intéressant, » tu souffles en déposant doucement un baiser sur sa tempe. Tu réfléchis quelques instants avant d'oser te lancer : « J’ai pensé à quelque chose, après notre conversations sur tes destinations. » Au fil de laquelle la jeune femme t'avait laissé entendre que pour sa prochaine folie, peut-être pourrais-tu l'accompagner. Tu avais conscience que Penny avait beaucoup voyagé cette année et tu n'avais jamais été quelqu'un qui avait osé voir quoi que ce soit en grand. Toutefois, une idée avait germé dans ton esprit et y fleurissait depuis plusieurs jours maintenant. « Vu que tu es allée à Monaco, puis que tu iras à Mexico... Et en suivant l'adage de jamais deux sans trois... J'avais sur ma liste l'item indécent de te proposer de te rendre avec moi à un autre endroit dont le nom commence par un "M" aussi. » Tu te mords discrètement la lèvre inférieure, avant d'argumenter : « Ce n'est pas très loin de Brisbane, mais il faut pendre le bateau. Il y a pas mal de choses de tous les goûts qu'on peut y faire ; si le projet t'intéresse, on peut sélectionner ce qui nous plait. »
:
Penny Stringer
l’ère de l'apaisement
ÂGE : trente-deux ans (03.08.1992) SURNOM : Penny étant déjà le surnom de Penelope, difficile de faire bien plus court. STATUT : trois ans qu'il lui fait vivre la plus folle et la plus belle des histoires, Isaac est tout pour elle et plus encore. MÉTIER : maman à temps plein, elle partage le reste de son temps entre la fondation Run for Judy à l'hôpital, et la fondation Tomlinson, à défaut de se sentir prête à reprendre le chemin devant les caméras. LOGEMENT : nouvellement installée dans une belle grande maison à Bayside, qu'ils ont choisi ensemble avec Isaac et qui répond à tous les besoins de leur petite tribu. POSTS : 13982 POINTS : 0
TW IN RP : mentions d'agression sexuelle, neurodiversité, parentalité, mentions d'abandon d'enfant. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : elle a un jeune frère autiste qu'elle aime plus que tout et surprotège › fière belle-maman de Jude (13.09.2018) et maman de Maia (14.06.2022) et les jumeaux Jack et Mila (01.08.2023) › bénévole auprès des enfants malades depuis 2020 › être devant la caméra lui manque, mais elle sait son temps auprès des siens plus précieux que jamais.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : Penny crée des malaises en mediumorchid ou en teal. RPs EN COURS : (03) ≡ angus › chris › ethel.
+ the one and only(03) ≡ isaac #23 › isaac #24 › isaac (ff) › isaac (tel). RPs EN ATTENTE : andréa › harleen › micah #6 › riley #2 › rory #12 › you? RPs TERMINÉS :
C’est d’un simple hochement de la tête qu’Isaac approuve d’éventuellement partager avec toi les différents évènements qui ont mené à cette philosophie de vie et cette sagesse qu’il arbore avec attention, qui vient teinter sa personnalité de la plus douce des manières à ton avis. Si les mots sont simplifiés, tu sais qu’il se cache derrière cette promesse quelque chose de bien plus grand. Une promesse d’être ouverts, d’être honnêtes, de s’offrir à l’autre en temps et lieu, si tel est ce que la vie a de prévu pour vous deux, si tel est le chemin que vous choisissez de poursuivre, ensemble. Tu devrais être terrorisée à cette idée, c’est quelque chose que tu as toujours gardé à distance après tout, préférant les histoires sans attache à l’idée de t’attacher sincèrement à quelqu’un et pourtant, ce n’est pas la peur qui te tiraille quand ton regard croise à nouveau celui de l’infirmier. C’est une envie de transparence, un besoin même de rester sans filtre devant lui, toi qui as toujours su si habilement créer le moindre persona pour te faire une place dans la foule. Sans avoir besoin de dire quoique ce soit, tu te fais la promesse de tout lui confier, toi aussi. De lui parler de ces moments difficiles qui ont rythmés ton quotidien pendant de long mois. De tes rêves brisés et des doutes qui remplissent ton quotidien depuis quelques temps déjà. De ne rien laisser derrière, de ne rien camoufler derrière un sourire parfaitement maîtrisé et de ne pas presser quoique ce soit, de sa part ni de la tienne. Ce sont de grandes promesses qui se font juste là, entre vous deux dans un silence qui n’a pourtant rien de lourd ni d’envahissant. Ce n’est qu’une chose de plus qui se place entre vous avec facilité et naturel que tu ne cherches même plus vraiment à questionner le pourquoi du comment, intimement convaincue qu’Isaac avait été placé sur ton chemin à ce moment précis de ta vie parce qu’il était exactement ce dont tu avais besoin et tu ne pouvais qu’espérer apporter le même genre de sérénité à l’infirmier.
Les rires laissent finalement place à des rapprochements qui font accélérer ton rythme cardiaque quand tu sens les lèvres du brun se poser sur les tiennes dans un baiser d’une incroyable douceur d’abord avant de se transformer en quelque chose de plus passionné qui te coupe temporairement le souffle. Tu as cette impression encore que vous vous retrouvez sur la même longueur d’ondes quand il vient confirmer un énième point commun entre vous dans cette envie que votre relation prenne ce chemin particulier. Tu n’attends pas plus longtemps avant de mentionner à nouveau vos listes respectives de folies spontanées, celles qui bercent vos conversations depuis plusieurs semaines déjà. Si l’idée d’être surprise au fur et à mesure est alléchante, tu ne peux t’empêcher de laisser savoir au Jensen que la patiente n’est pas ta plus grande vertu, au contraire. « Et tu parais gérer pourtant très bien. » « Je suis une actrice après tout. » que tu répliques aussitôt, accompagnée d’un rire toujours aussi franc. La vérité c’est que dès le départ, tu n’avais jamais vraiment cherché à camoufler ton impatience d’en savoir toujours un peu plus lorsqu’il s’agit d’Isaac et de tout ce qui l’entoure, ce qui semblait amusé l’infirmier pour ton plus grand bonheur. Tu viens t’installer près de lui, un rapprochement qu’il accueille alors que son bras vient se placer derrière toi, sa main trouvant place contre ta taille alors que ta tête se niche dans le creux de son épaule. Tu proposes de lui partager un item de ta liste en retour, ce qui semble attiser sa curiosité. « C’est un marché intéressant. » Tu souris de plus belle alors que tu sens ses lèvres se poser contre ta tempe. « Je suis pleine de bonnes idées comme ça. » que tu souffles doucement, te mordillant la lèvre inférieure. Tu ne quittes pas son regard alors qu’il reprend. « J’ai pensé à quelque chose, après notre conversation sur tes destinations. » Toi qui n’avais jamais beaucoup voyagé hors de l’Australie auparavant, voilà que tu te retrouvais à enchaîner deux voyages d’envergure en peu de temps. Si Isaac ne connaissait que cette Penny spontanée et aventureuse, celle qui osait partir sans plan prédéfini et sur un coup de tête, elle était pourtant toute nouvelle, cette facette de ta personnalité. Longtemps, le travail avait été ta priorité et tes moindres déplacements étaient quant à eux planifier au quart de tour, ne laissant pas beaucoup de place pour les folies, celles que tu souhaitais rattraper plus que tout désormais. « Vu que tu es allée à Monaco, puis que tu iras à Mexico… Et en suivant l’adage de jamais deux sans trois… J’avais sur ma liste l’item indécent de te proposer de te rendre avec moi à un autre endroit dont le nom commence par un ‘’M’’ aussi. » Tu cherches déjà tous les endroits possibles commençant par la lettre M, mais les possibilités sont bien trop grandes, même si la vérité est que tu te fiches bien de la destination, déjà emballée par l’idée de partir ne serait-ce que quelques jours avec Isaac.
« Ce n’est pas très loin de Brisbane, mais il faut prendre le bateau. Il y a pas mal de choses de tous les goûts qu’on peut y faire; si le projet t’intéresse, on peut sélectionner ce qui nous plaît. » Les indices que t’offrent ensuite l’infirmier te donne une bonne idée de la destination qu’il a en tête. « Est-ce que l’endroit que tu as en tête serait Moreton Island, à tout hasard? » L’île n’est pas très loin et c’est un endroit que tu as visité à quelques reprises par le passé, mais que tu as définitivement envie de découvrir à nouveau avec lui. « Est-ce que tu es déjà allé? » que tu lui demandes ensuite alors que tu te redresses légèrement sur le canapé, te plaçant sur tes genoux pour être à la même hauteur que le jeune homme. « Je pense que c’est une offre très intéressante. J’ai entendu dire qu’il y a même un endroit pour nourrir les dauphins. » Une expérience que tu n’avais jamais fait mais dont la semble idée te plaisait presque autant que la perspective de passer quelques jours loin du chaos de vos vies respectives à l’extérieur de la ville. « Tu penses pouvoir te permettre de te sauver quelques jours entre ton boulot d’infirmier et ton nouveau rôle de pompier? » que tu demandes légèrement, toutefois consciente du fait que son horaire était déjà difficile à jongler avant et que ses nouvelles responsabilités allaient automatiquement demander un certain réaménagement d’horaire et à défaut d’avoir réellement pu construire une machine à arrêter le temps, se faire une place dans son agenda allait peut-être prouver être plus difficile. Tu te souvenais toutefois qu’il avait des semaines de vacances à venir, bien que tu n’osais pas demander si c’est ce qu’il avait en tête pour les remplir. « En parlant de jamais deux sans trois... » que tu souffles alors que tu t’approches à nouveau du visage de l’infirmier, lui volant à nouveau ses lèvres dans un échange plus long et plus langoureux, plaçant tes bras autour de son cou et collant ton corps contre le sien. « J’en avais envie depuis notre premier rendez-vous. » que tu avoues entre deux baisers, tes doigts découvrant sagement la douceur de sa peau.
:
Isaac Jensen
le coeur au bout des doigts
ÂGE : 34 ans (13.05.90) SURNOM : Isy STATUT : Penny est le soleil et l'amour de sa vie, l'évidence avec laquelle il écrit sa plus belle histoire et s'autorise à réaliser des rêves de bonheur (06.07.2021) MÉTIER : Infirmier au service des urgences, président de l'association Run for Judy, infirmier bénévole à la Croix Rouge et aux Flying Doctors, sapeur-pompier volontaire et surtout : papa comblé de Jude (13.09.2018), Maia (14.06.2022), Jack et Mila (01.08.2023) LOGEMENT : Penny et lui ont quitté Toowong en 2024 pour s'installer avec leurs enfants à Bayside et y créer leur cocon à l'image entière de leur amour POSTS : 28708 POINTS : 0
TW IN RP : dépression, anxiété, automutilation, idées suicidaires, tentative de suicide, mentions d'abandon d'enfant PETIT PLUS : Emménage à Brisbane en 2003 ∆ il exerce en qualité d'infirmier au st vincent's depuis 2006 puis est affecté aux urgences en 2013 ∆ une suite de blessures anéantit sa carrière de joueur de football australien en 2010 ∆ il attente à ses jours en mars 2018 et reprend le travail en septembre 2018 ∆ finaliste de ROA en 2020 ∆ il se soigne contre son anxio-dépression, après avoir longtemps refusé son diagnosticCODE COULEUR : Isy s'exprime en #9966ff ou slateblue RPs EN COURS :
Le délicieux goût de ses lèvres choie encore les tiennes, porteur de félicité, alors qu'elle se distance légèrement, son portrait devenant irrémédiablement contemplation de tes prunelles. Cette scène reflète des teintes de pure utopie, tu peines à t'assurer que Morphée ne te poussera pas dans quelques instants hors de ce tableau épousant le merveilleux. Pourtant, les sensations sont bien présentes : si tu n'as effectivement pas besoin de te pincer, ton cœur martelant joyeusement ta poitrine te rappelle simultanément que tu es en vie et bien éveillé. Tu t'es échappé à contrecœur le temps de quelques secondes pour veiller sur votre prochain repas, ne voulant pas servir à Penny des pâtes carbonisées bien que tu serais très fortement capable de lui suggérer une commande à emporter si jamais ton met n'était pas satisfaisant ; il y a toujours moyen de répondre aux contrariétés lancées par l'univers, et sincèrement, tu ne tardes pas à rejoindre l'australienne sur ton canapé, l'érigeant naturellement au rang de tes priorités.
« Je suis une actrice après tout, » te rappelle-t-elle avec justesse lorsque tu lui indiques qu'elle semble savoir très bien gérer son impatience. Un sourire apparaît sur ton portrait. D'ordinaire, ce genre de réponse pourrait aisément te faire peur. Tu redouterais que l'on se joue de toi et endosses ultimement malgré ta volonté le rôle de dindon de la farce que tu as eu à subir à de multiples reprises dans le cours de ton histoire. Tu pourrais craindre que la Stringer joue un rôle devant toi, ou qu'elle compose une sombre plaisanterie initiée par de malveillants personnages. Pourtant, l'ombre d'aucun doute ne s'impose, tu fais confiance spontanément à ton interlocutrice, une confiance rare et inébranlable dont tu ne saurais même expliciter l'origine. La jeune femme t'a l'air beaucoup trop sincère pour que tu ne la juges pas authentique avec toi, votre relation semble beaucoup trop bien tirée du destin pour que tu soupçonnes quelconque mascarade. Même si Penny gagne sa vie en interprétant des rôles, tu es persuadé qu'elle te dédie l'essence même de sa personne. « Et je n'ai pas oublié que tu passeras même bientôt sur Netflix, » tu ressasses. Tu n'avais jamais vu Penny sur le petit écran, favorisant les chaînes de sport à celles rejetant l'art du cinéma. Probablement faudrait-il t'y mettre, au moins si ce n'est pour soutenir l'australienne dans son art. « C'est lequel, ton film préféré au sein duquel tu as joué ? » Tu questionnes, intéressé, alors que vous vous rapprochez confortablement dans le canapé. Tu poses affectueusement tes lèvres sur sa tempe et vous reprenez sur le thème récurrent de la liste de vos folies respectives. L'audace et le téméraire possèdent un goût addictif avec la star. « Je suis pleine de bonnes idées comme ça. » « J'ai remarqué, oui, » tu déclares avec malice. Vos défis, vos paris, vos gages et vous promesses rythmant avec goût vos échanges.
Tu tentes de démontrer pouvoir aussi faire preuve d'inventivité en lui soumettant le projet d'escapade qui te trotte dans la tête depuis quelques temps maintenant. Tu ignores si la vingtenaire adhérerait à ce genre d'expérience, peut-être même est-elle une experte de Moreton Island et cette optique la blasera-t-elle. Peut-être que ta petite excursion paraîtra bien fade face à ses précédents voyages. Cependant, tu oses tenter, te disant que dans tous les cas, l'adaptation est possible. « Est-ce que l’endroit que tu as en tête serait Moreton Island, à tout hasard? » Tu laisses échapper un petit rire, à la fois nerveux et admiratif. « Tu es plus performante que moi pour deviner les destinations, félicitations, » tu félicites en songeant au petit jeu au sein duquel tu avais deviné - après plusieurs tentatives - dans quel pays elle s'était envolée. Tu déposes un nouveau baiser sur sa tempe en guise de lot. « Est-ce que tu es déjà allé? » Tu hoches la tête à la négative, précisant : « Une fois, rapidement. » Grace et toi aviez décidé de vous y rendre dans le cadre de vos retrouvailles post-Race of Australia. Penny se redresse sur le canapé de sorte à te faire davantage face. « Je pense que c’est une offre très intéressante. J’ai entendu dire qu’il y a même un endroit pour nourrir les dauphins. » Ton sourire s'élargit, fortement heureux de sa validation. « On ira nourrir des dauphins alors. Je suis heureux que l'idée te plaise. » « Tu penses pouvoir te permettre de te sauver quelques jours entre ton boulot d’infirmier et ton nouveau rôle de pompier? » Une prouesse sera de rigueur afin d'accorder tes plannings ainsi que d'obtenir des jours de congé, mais tu étais confiant. Surtout que tu avais déjà prévu une période de repos concordant avec le retour de Penny de Mexico. « Oui, ça devrait aller. Il faudra juste concorder ton agenda de ministre au mien, » tu réponds sur le ton de la complicité.
« En parlant de jamais deux sans trois... » poursuit ton interlocutrice, insufflant un éclat d'espièglerie et de curiosité dans ton regard. Elle annihile la courte distance vous séparant pour t'embrasser. Des frissons parcourent irrémédiablement ton échine alors que votre échange se veut plus long et langoureux, le corps de la belle se rapprochant progressivement du tien. Tes mains viennent reprendre place dans son dos. « J’en avais envie depuis notre premier rendez-vous. » Ses doigts glissent sur ta peau, ton cœur tambourine. « Tu es vraiment une maîtresse dans l'art du self-control, » tu complimentes, prolongeant avidement le second baiser qu'elle t'offre. La lasagne est prodigieusement oubliée désormais, tu n'as assurément pas envie de rompre votre nouvelle proximité. Tu inspires discrètement son parfum alors que tes doigts viennent caresser doucement son dos à travers l'étoffe de sa robe, avec une tendresse jurant avec l'intensité de vos baisers et s'apparentant à quelqu'un maniant de la porcelaine. Au terme d'un baiser, tu viens tendrement dégager son visage d'une de ses mèches blondes, contemplatif de la beauté de la Stringer. Tu ignorais souverainement ce que tu avais bien pu faire pour mériter une telle personne qui te prodiguait un tel bonheur, et tu ne comptais pas pour autant te pencher sur la question de suite, le moment présent beaucoup trop précieux pour des tergiversations. « Je me suis imaginé une tonne de scénarii au sein desquels je pourrais t'embrasser, » tu confiais. « J'ignorais totalement comment j'allais procéder en réalité et si j'allais même opter pour l'un d'entre eux... Mais j'aurais difficilement pu te voir partir ce soir sans l'avoir fait. Et encore moins partir au Mexique. » Penny pouvait bien faire le tour du monde si son cœur l'en dictait, tu ne la retiendrais assurément pas de satisfaire ses désirs et concrétiser ses rêves. Elle était à tes yeux telle une perle que tu voulais chérir et surtout, à laquelle tu voulais démontrer l'affection grandissante que tu lui dédiais, tout en la soutenant dans ses projets afin qu'elle jouisse du bonheur qu'elle méritait selon toi. Par ailleurs, tu avais souhaité lui dévoiler cette part de toi qui tombait indubitablement amoureuse d'elle - toujours même un peu plus alors que tu l'embrassais lascivement.
:
Penny Stringer
l’ère de l'apaisement
ÂGE : trente-deux ans (03.08.1992) SURNOM : Penny étant déjà le surnom de Penelope, difficile de faire bien plus court. STATUT : trois ans qu'il lui fait vivre la plus folle et la plus belle des histoires, Isaac est tout pour elle et plus encore. MÉTIER : maman à temps plein, elle partage le reste de son temps entre la fondation Run for Judy à l'hôpital, et la fondation Tomlinson, à défaut de se sentir prête à reprendre le chemin devant les caméras. LOGEMENT : nouvellement installée dans une belle grande maison à Bayside, qu'ils ont choisi ensemble avec Isaac et qui répond à tous les besoins de leur petite tribu. POSTS : 13982 POINTS : 0
TW IN RP : mentions d'agression sexuelle, neurodiversité, parentalité, mentions d'abandon d'enfant. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : elle a un jeune frère autiste qu'elle aime plus que tout et surprotège › fière belle-maman de Jude (13.09.2018) et maman de Maia (14.06.2022) et les jumeaux Jack et Mila (01.08.2023) › bénévole auprès des enfants malades depuis 2020 › être devant la caméra lui manque, mais elle sait son temps auprès des siens plus précieux que jamais.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : Penny crée des malaises en mediumorchid ou en teal. RPs EN COURS : (03) ≡ angus › chris › ethel.
+ the one and only(03) ≡ isaac #23 › isaac #24 › isaac (ff) › isaac (tel). RPs EN ATTENTE : andréa › harleen › micah #6 › riley #2 › rory #12 › you? RPs TERMINÉS :
Tu mentionnes ton métier d’actrice avec un rire dans la voix alors que depuis quelques mois déjà, le simple fait de penser à ta carrière et son état actuel est plutôt une source de stress dans ton quotidien. Tu ne laisses rien de tout ça teinté le moment toutefois, il y aurait bien demain et tous les jours d’après pour ressasser les mêmes remises en questions qui te martèlent depuis trop longtemps il te semble. Ce soir, tu n’as pas besoin d’être Penny Stringer l’actrice de toute façon. Tu te contentes d’être Penny, la blonde qui revient de voyage et qui est plus que contente de revoir cet homme pour lequel elle est tranquillement en train de se découvrir des sentiments à la fois exaltant et terrifiant. Ce soir, tu te contentes de profiter du moment sans te poser trop de questions, sans chercher de significations particulières derrière le moindre faits et gestes du Jensen, laissant plutôt vos corps et vos envies parler pour vous. « Et je n’ai pas oublié que tu passeras même bientôt sur Netflix. » Tu hoches doucement la tête, toi-même tu l’oublierais presque dernièrement tellement tu t’efforces de ne pas trop y penser. Pourtant c’était bel et bien le cas, les annonces pour A Holly Jolly Christmas avaient commencé à défiler sur le service de streaming populaire et tu ne pouvais t’empêcher de faire une légère grimace chaque fois que tu voyais ta tête brune apparaître sur l’écran. Il y avait tellement de choses qui avaient changé depuis que vous aviez tourné en décembre l’an dernier, de voir les images de Rory et toi défilées avaient un goût rempli de nostalgie, mais aussi d’espoir de savoir que malgré tout ce que vous aviez vécu, les hauts, les bas, les peines et les joies, vous demeuriez toujours aussi proches l’un de l’autre. « T’es prêt pour la mini-série de Noël la plus cliché de tous les temps? » que tu lui demandes dans un rire, te souvenant des différents props qui avaient été utilisé pour feindre un Noël blanc d’un petit village alors que vous tourniez la série à Los Angeles. « Te sens pas obligé de regarder surtout. » que tu précises ensuite toujours sur un ton léger. Tu ne le prendrais pas mal si Isaac n’avait aucun intérêt pour ce genre d’émissions, toi-même tu n’étais pas certaine que tu avais envie de revisiter l’histoire d’amour entre Jake et Annabel, bien que celle-ci soit douce et totalement appropriée pour le public ciblé par la production.
« C’est lequel, ton film préféré au sein duquel tu as joué? » Tu prends quelques secondes pour réfléchir avant de répondre. Tous tes projets avaient été considérablement différents, et si tu avais joué dans plus de séries que de films, un projet se détachait considérablement du reste. « Le premier short dans lequel j’ai joué un rôle principal, Breathless. » Un sourire se place sur tes lèvres alors que les souvenirs de l’expérience remplissent ton esprit. « J’avais dix-neuf ans à peine et c’était mon premier rôle d’envergure dans une quelconque production. Le film était tourné à Perth donc c’était aussi la première fois que je quittais la maison familiale pour plusieurs mois. Je n’avais jamais joué dans un thriller avant ça et j’ai vraiment appris beaucoup sur ce tournage. » que tu lui expliques, retrouvant temporairement un éclat de la passion et des raisons qui t’avaient autrefois poussé à rêver d’une grande carrière en tant qu’actrice. « J’ai fait beaucoup de pubs et de rôles mineurs avant ça, je savais que j’aimais être devant la caméra, mais c’est vraiment ce rôle-là qui m’a donné envie de pousser plus loin. C’est aussi ce film qui m’a permise de décrocher un rôle dans Neighbourhood et qui m’a ouvert beaucoup de portes. » Elle est grande, la vague de nostalgie que tu te prends alors que tu ressasses divers souvenirs prédominants de ta carrière, réalisant à peine que tu es en train de lui faire un long monologue qui s’apparente à des réponses dignes d’entrevues. « Désolée, j’suis en train de te faire ma filmographie là. » que tu t’excuses dans un rire alors que tu cherches à te blottir un peu plus contre lui, préférant lui rappeler cette liste de folies dont tu attends toujours de connaître les détails. « J’ai remarqué, oui. » qu’il souffle lorsque tu mentionnes être pleine de bonnes idées ce qui te fait sourire davantage. Tu ne pouvais plus t’imaginer te passer de cette complicité qui grandissait minute après minute en la compagnie de l’infirmier.
« Tu es plus performante que moi pour deviner les destinations, félicitations. » Ses lèvres viennent se poser à nouveau contre ta tempe et tu ris doucement. « Tu m’as donné de bons indices. » Et il fallait avouer que si tu n’avais pas beaucoup voyagé outre-mer, l’Australie n’avait pas beaucoup de secrets pour toi. Tes tournages t’avaient emmené ici et là et les quelques vacances que tu t’offrais, c’était toujours des week-ends passés non loin de chez toi ce qui faisait de Moreton Island une destination de choix que tu avais découverte à quelques reprises. « Une fois, rapidement. » Ton sourire s’étire davantage à l’idée de savoir qu’Isaac a envie de découvrir réellement l’île avec toi. Il y a beaucoup d’activités qui s’offrent à vous sur l’île, et si tu connais pas toutes les attractions touristiques, il y en a une que tu as toujours voulu faire que tu t’empresses de mentionner. « On ira nourrir des dauphins alors. Je suis heureux que l’idée te plaise. » Tu hoches la tête d’excitation face à l’idée. « Tu aurais envie de faire quoi toi? » Tu voulais que ce voyage reflète aussi les envies et les intérêts de l’infirmier. Tu le savais plutôt aventureux et tu savais d’avance que tu ne t’ennuierais pas en partant quelques jours avec lui sur cette île. Tu lui mentionnes subtilement ta crainte que son horaire puisse être difficile à jongler pour trouver le temps de mettre une telle folie en place, mais il s’empresse de te rassurer. « Oui, ça devrait aller. Il faudra juste concorder ton agenda de ministre au mien. » Tu laisses un nouveau rire filer entre tes lippes. « J’ai l’impression que ton agenda est bien plus occupé que le mien dernièrement. J’ai quelques obligations de bénévolat à l’hôpital après mon retour du Mexique, mais je n’ai rien d’autre de prévu avant la mi-septembre. » Moment ou la publicité pour la mini-série allait réellement être enclenchée et ou tu te verrais enchaîner différentes entrevues au travers du pays et peut-être même ailleurs dans le but d’assurer un succès à la série Netflix. « Tu penses qu’on pourra partir avant ça? » Et voilà que ton impatience pointe à nouveau le bout du nez alors que tu plonges ton regard dans le sien, une étincelle nouvelle dans les yeux.
Dans cette bulle de complicité et de malice, tu te laisses tenter à capturer de nouveau les lèvres de l’infirmier dans un baiser qui témoigne de toute l’affection que tu lui portes, qui ne fait qu’augmenter au fil de vos rencontres et de vos échanges. C’est avec une pointe de gêne que tu précises d’ailleurs avoir envie de l’embrasser depuis votre premier rendez-vous, bien que tu n’aies pas agi sur cette envie avant ce soir, avant de savoir que cette dernière était réciproque de manière non-équivoque. « Tu es vraiment une maîtresse dans l’art du self-control. » Ses doigts viennent se presser contre ton dos alors qu’il t’embrasse à nouveau et tu te perds dans l’étreinte, tes doigts courant le long de sa nuque alors qu’une vague de frissons t’assènent. Sans faire preuve de retenu, tu viens passer l’une de tes jambes par dessus les siennes, de façon à te retrouver assise sur ses cuisses, pressant ton corps un peu plus fort contre le sien alors que tu continues de découvrir avec ardeur le goût de ses lèvres. Ses doigts viennent doucement déplacés une mèche de tes cheveux de ton visage et tu continues de sourire alors que vos regards se trouvent, votre proximité telle que tu peux sentir son souffle sur tes lèvres lorsqu’il reprend la parole. « Je me suis imaginé une tonne de scénarii au sein desquels je pourrais t’embrasser. » Tes doigts viennent caresser la nuque de l’infirmier doucement alors que tu te sens à nouveau rougir. « J’ignorais totalement comment j’allais procéder en réalité et si j’allais même opter pour l’un d’entre eux… Mais j’aurais difficilement pu te voir partir ce soir sans l’avoir fait. Et encore moins partir au Mexique. » « Je ne pars qu’une dizaine de jours cette fois-ci. » que tu murmures doucement alors que vos lèvres se retrouvent, avides de plus. Ton rythme cardiaque accélère encore davantage sans que tu ne sois capable de comprendre comment c’est possible, la distance est inexistante entre vous alors que tes doigts se font curieux, parcourant désormais le dos de l’infirmier, pressant contre sa chemise. C’est à contre-coeur que tu détaches tes lèvres des siennes, enivrée du moment mais soudainement effrayée de brûler des étapes. Il y avait si longtemps que tu n’avais pas été proche de quelqu’un de cette manière et Isaac t’avait confié que c’était la même chose pour lui, et si l’envie était présente, tu ne voulais pas non plus précipiter les choses ou faire une quelconque action qui pourrait déplaire à l’infirmier. « Tu avais d’autres scénarii en tête? J’suis plutôt douée pour répéter des scènes. » que tu souffles avec un léger rire, n’imposant rien mais laissant comprendre au jeune homme que tu n’étais pas fermée à l’idée à d’autres genre de rapprochements.
:
Isaac Jensen
le coeur au bout des doigts
ÂGE : 34 ans (13.05.90) SURNOM : Isy STATUT : Penny est le soleil et l'amour de sa vie, l'évidence avec laquelle il écrit sa plus belle histoire et s'autorise à réaliser des rêves de bonheur (06.07.2021) MÉTIER : Infirmier au service des urgences, président de l'association Run for Judy, infirmier bénévole à la Croix Rouge et aux Flying Doctors, sapeur-pompier volontaire et surtout : papa comblé de Jude (13.09.2018), Maia (14.06.2022), Jack et Mila (01.08.2023) LOGEMENT : Penny et lui ont quitté Toowong en 2024 pour s'installer avec leurs enfants à Bayside et y créer leur cocon à l'image entière de leur amour POSTS : 28708 POINTS : 0
TW IN RP : dépression, anxiété, automutilation, idées suicidaires, tentative de suicide, mentions d'abandon d'enfant PETIT PLUS : Emménage à Brisbane en 2003 ∆ il exerce en qualité d'infirmier au st vincent's depuis 2006 puis est affecté aux urgences en 2013 ∆ une suite de blessures anéantit sa carrière de joueur de football australien en 2010 ∆ il attente à ses jours en mars 2018 et reprend le travail en septembre 2018 ∆ finaliste de ROA en 2020 ∆ il se soigne contre son anxio-dépression, après avoir longtemps refusé son diagnosticCODE COULEUR : Isy s'exprime en #9966ff ou slateblue RPs EN COURS :
En évoquant le métier de comédienne de la jeune femme, tu abordes l'œuvre produite par Netflix à laquelle elle a participée. « T’es prêt pour la mini-série de Noël la plus cliché de tous les temps? » Tu souris doucement, considérant que ces épisodes doivent assurément promettre en stéréotypes pour que Penny la qualifie ainsi. Tu avais toute une culture cinématographique à ériger, mais du peu de films se déroulant à cette période que tu avais vus, tu avais déjà pu constater que beaucoup d'éléments les liaient. « Entièrement prêt. » Tu confirmais, ton rictus s'élargissant sur ton portrait. « Te sens pas obligé de regarder surtout. » Tu hoches la tête à la négative, assurant : « T'en fais pas. » La vérité était que tu étais curieux d'observer la Stringer à l'ouvrage. Elle t'avait parlé à plusieurs reprises de son métier et de certaines de ses expériences. Tu avais découvert au travers de ses aveux une personne ambitieuse, déterminée, travailleuse et passionnée. Tu avais été admiratif de l'énergie qu'elle consacrait afin d'endosser au mieux un nouveau rôle, à apprendre de multiples lignes, à se glisser dans la peau d'un personnage et à emmagasiner suffisamment des talents pour convaincre le public. Tu admirais éhontément le dévouement que faisait preuve l'australienne, que ce soit dans la sphère professionnelle ou même personnelle par ses activités bénévoles. « J'ai envie de te voir faire ce que tu aimes et ce pour quoi tu as travaillé fort, » tu confiais, considérant ces épisodes comme le fruit d'un travail sans relâche et sans doute plusieurs sacrifices.
Intéressé, tu l'interrogeais sur les projets au sein desquels elle avait le plus apprécié être associée. Ton interlocutrice réfléchit quelques seconds avant de répondre : « Le premier short dans lequel j’ai joué un rôle principal, Breathless. » Elle sourit et le bonheur qu'elle paraît ressentir en ressassant ce tournage se ricoche sur ton minois. « J’avais dix-neuf ans à peine et c’était mon premier rôle d’envergure dans une quelconque production. Le film était tourné à Perth donc c’était aussi la première fois que je quittais la maison familiale pour plusieurs mois. Je n’avais jamais joué dans un thriller avant ça et j’ai vraiment appris beaucoup sur ce tournage. » « Wow, ça a l'air d'avoir été toute une expérience, » tu commentais, essayant de visualiser une Penny de dix-neuf ans quitter le cocon familial pour poursuivre ce qu'elle devait possiblement considérer telle sa vocation. « J’ai fait beaucoup de pubs et de rôles mineurs avant ça, je savais que j’aimais être devant la caméra, mais c’est vraiment ce rôle-là qui m’a donné envie de pousser plus loin. C’est aussi ce film qui m’a permise de décrocher un rôle dans Neighbourhood et qui m’a ouvert beaucoup de portes. » La passion enveloppe les paroles de l'australienne, bien que tu as la sensation d'y palper une pointe de nostalgie également. Tu lui consacres ton attention, appréciant que des émotions positives la mouvent lorsqu'elle aborde son métier et ses projets passés. « Tu jouais quel type de personnage, dans Breathless? » Tu questionnes, ton intérêt ne tarissant pas. « Désolée, j’suis en train de te faire ma filmographie là. » Tu ris brièvement, aspirant à gommer toutes raisons de formuler des excuses de la sorte. « Ca m'intéresse. » Tu m'intéresses, tu songes avant de déposer un baiser sur sa peau douce tandis qu'elle se blottit davantage contre toi sur le canapé.
Vous revenez au sujet de votre fameuse liste de folies, Penny invitant à un troc aussi malin qu'aguichant. Au terme de ta proposition d'excursion, la jeune femme devine la destination que tu as en tête, ce que tu félicites en posant notamment de nouveau tes lippes sur sa tempe. Tous les prétextes semblent désormais bons pour l'embrasser. « Tu m’as donné de bons indices. » « Est-ce qu'on ne formerait pas une bonne équipe ? » Tu insinues avec malice. Tu renseignes ne t'être rendu qu'une seule et rapide fois à Moreton Island et apprends que vous pouvez y nourrir des dauphins, activité qui semble intéresser la vingtenaire. Tu te réjouis éhontément qu'elle adhère à ton projet, et encore plus que vous y donnez déjà quelques formes. « Tu aurais envie de faire quoi toi? » Tu pinces tes lèvres, songeur. « Le safari a l'air cool. » Parcourir le sable en 4x4 ou dévalez les dunes sur une planche dans un cadre plutôt unique te séduisait aisément. Tu croises le regard de l'australienne, à l'affût de ce que tu pourrais y lire quant à ta réponse. « Ou le kayac, » tu soumettais. L'on t'avait relaté la faune impressionnante de l'île à de multiples reprises et tu imaginais que de telles balades ne pouvaient créer que de singuliers souvenirs, que tu aimerais assurément créer avec Penny.
Le prochain pas pour concrétiser ce projet demeurait de parvenir à le glisser à vos agendas respectifs. « J’ai l’impression que ton agenda est bien plus occupé que le mien dernièrement. J’ai quelques obligations de bénévolat à l’hôpital après mon retour du Mexique, mais je n’ai rien d’autre de prévu avant la mi-septembre. » L'idée que ce voyage se passe d'ici les prochaines semaines étire instantanément tes traits en une sincère expression de réjouissance. « Tu penses qu’on pourra partir avant ça? » Tu acquiesces avec un optimisme déterminé, son impatience te gonflant de félicité. Tu désirais tellement te rendre à Moreton Island avec la Stringer et étais si ravi que cette optique lui dise que tu comptais bien mettre tous les moyens en œuvre pour que ceci relève du possible, quitte à devoir réaménager des organisations. « Je t'enverrais mes disponibilités si tu veux et on verra ce qui colle avec tes journées de bénévolat, » tu proposes. « Je suis sûr qu'on se trouvera le temps d'y aller, » tu te montrais confiant, ta volonté en réel fuel pour vous permettre de partir suivre cette aventure personnalisée selon vos goûts et souhaits. Tu avais plus envie que jamais de savourer la vie en multipliant les expériences et sortir de ta zone de confort. De plus, ta définition d'excellents moments se voyaient de plus en plus naturellement garantie si la présence de la Stringer était incluse. Et elle te donnait confiance, en général, que la vie pouvait simplement être belle.
Ses perles proclament la malice et la complicité qui vous étreignent et ton cœur vient palpiter avec un rythme plus soutenu tandis que Penny prend possession de tes lèvres dans un baiser langoureux. Tu prolonges avec sincérité votre échange, tout le contentement qu'elle te procure au bord de tes lèvres, tous les mots que tu aimerais lui signifier exposant à quel point tu la valorises muets dans ton souffle. Tes mains se posent respectueusement dans son dos et alors que sa bouche quitte tristement de la tienne, l'actrice formule son vœu de t'avoir embrassé lors de votre premier rendez-vous. Tu souris sincèrement, te remémorant cette rencontre au bar - parmi vos autres dates - que tu te surprenais régulièrement à jouer en boucle dans ton esprit au sein de ces moments où tu t'évadais du présent auquel tu regrettais son absence. Tu la complimentes sur son self-control avant de t'autoriser à te délecter de nouveau de la saveur de ses lèvres. Les doigts de l'actrice parcourent délicatement ta nuque, provoquant des nuées de frissons courant discrètement, suavement, le long de ton échine. Tu inspires profondément alors que l'australienne change de position de sorte à se retrouver face à toi, sur tes cuisses, et tes mains viennent candidement se positionner sur sa taille. Elle se rapproche davantage et tu te redresses également alors que vos baisers remportent en intensité et que tu aspires à ce rapprochement que tout en ton être désire ardemment. Tu meurs d'envie de l'avoir contre toi, tu ambitionnes de lui communiquer à travers tes gestes, tes embrassades, tes mains timides sur elle, par quelle haute mesure tu l'estimes. Tu sens ton cœur tambouriner d'un rare rythme, bien différent de celui sur lesquels il s'était harmonisé au cours de tes précédentes relations romantiques. Penny est entièrement différente, votre histoire est étrangère, innovante à tout ce que tu as déjà vécu, car ce que tu ressens quand tu lui parles, quand tu es avec elle, quand tu l'embrasses, est prodigieusement unique. Tu as l'impression d'avoir trouvé une personne que tu ne soupçonnais même pas pouvoir exister sur cette planète. Celle qui donne une raison valable et des couleurs inestimables à chaque lever du jour.
Tu ne redoutes même pas de t'attacher à elle et de finir potentiellement l'âme brisée et le cœur émietté. Peut-être est-ce parce que tu t'es montré vulnérable dès vos premiers échanges, en lui confiant les déceptions amoureuses que t'avais conduit à t'inscrire sur Tinder. Peut-être que cette transparence et cette sincérité que tu lui avais accordées en toute confiance avait pu poser des bases solides sur lesquelles vous vous êtes construits une relation peu à peu. Il n'en demeurait que jamais n'avais-tu pu soupçonner être muni d'une telle aisance, d'une telle complicité, si rapidement, avec qui que ce soit. Il y avait définitivement eu davantage que de la chance ou un bon concours de circonstances. Tu adhérais spontanément à ce que Penny t'offrait, sans même t'y sentir obligé, le rythme de sa musique battant la même mesure que le tien, avec des pauses ici et là et des parenthèses par endroits. C'était simplement comme si ça coulait de source, avec elle, malgré les nombreux sujets encore à explorer et les heurts du passé. Comme si tout était naturel, inné, sur la même hors norme longueur d'ondes.
Tu viens dégager doucement son portrait d'une mèche de ses cheveux avant de lui confier ces idylles que tu te dessinais aussi secrètement. Ses doigts poursuivent ses caresses dans ta nuque, tu perçois son teint emprunter un ton rosé qui te fait doucement sourire, attendri. « Je ne pars qu’une dizaine de jours cette fois-ci, » elle t'annonce alors que tu évoquais le fait que tu t'en serais cruellement voulu de ne pas avoir osé l'embrasser avant qu'elle ne s'envole pour l'Amérique latine. « Tu m'excuses que ça sonne comme une bonne nouvelle à mes oreilles ? » tu te permets de commenter avec un rictus malicieux, tes lèvres rejoignant les siennes avec allégresse. Les quelques centimètres qui s'étaient immiscés entre vous s'éradiquent ensuite, tes lèvres se pressant avec délice contre les siennes, vos souffles s'entremêlant, vos langues se caressant. Tu t'éprends de son parfum, de son goût, de sa chaleur. Tes paumes caressent doucement ses jambes de part et d'autres de tes cuisses alors que ses doigts ont abandonné ton cou pour créer des sillons dans ton dos. Tes mains interrompent leur mouvement quand Penny se détache de toi et tes yeux se plongent irrémédiablement dans les siens, à l'écoute de ce que son âme pourrait bien te conter. « Tu avais d’autres scénarii en tête? J’suis plutôt douée pour répéter des scènes. » Elle rit doucement et tu ne peux pas t'empêcher de l'imiter, intimement convaincu que tu n'aies pas mal agi ou que la vingtenaire ne se sente plus à l'aise avec toi. Tu remontes tes mains dans son dos pour l'étreindre et déposes affectueusement un baiser sur sa joue. « Quel genre de metteur en scène je fais si je te réponds la poursuite du scénario actuel ? » Tu te mords discrètement l'intérieur de la joue, ton sourire pourtant indélébile sur ton visage. « Avec répétitions ou pas. » Tu ajoutes, espiègle, tes lèvres se pressant délicatement contre sa mâchoire. « Dépendamment de ton appréciation de la scène, » tu poursuis, tes lèvres s'immisçant doucement dans son cou, son parfum t'enivrant plus que jamais. Tu reposes néanmoins tes mains le long de ses jambes, libérant ainsi son dos et lui laissant le libre choix de se décaler si elle le souhaitait.
:
Penny Stringer
l’ère de l'apaisement
ÂGE : trente-deux ans (03.08.1992) SURNOM : Penny étant déjà le surnom de Penelope, difficile de faire bien plus court. STATUT : trois ans qu'il lui fait vivre la plus folle et la plus belle des histoires, Isaac est tout pour elle et plus encore. MÉTIER : maman à temps plein, elle partage le reste de son temps entre la fondation Run for Judy à l'hôpital, et la fondation Tomlinson, à défaut de se sentir prête à reprendre le chemin devant les caméras. LOGEMENT : nouvellement installée dans une belle grande maison à Bayside, qu'ils ont choisi ensemble avec Isaac et qui répond à tous les besoins de leur petite tribu. POSTS : 13982 POINTS : 0
TW IN RP : mentions d'agression sexuelle, neurodiversité, parentalité, mentions d'abandon d'enfant. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : elle a un jeune frère autiste qu'elle aime plus que tout et surprotège › fière belle-maman de Jude (13.09.2018) et maman de Maia (14.06.2022) et les jumeaux Jack et Mila (01.08.2023) › bénévole auprès des enfants malades depuis 2020 › être devant la caméra lui manque, mais elle sait son temps auprès des siens plus précieux que jamais.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : Penny crée des malaises en mediumorchid ou en teal. RPs EN COURS : (03) ≡ angus › chris › ethel.
+ the one and only(03) ≡ isaac #23 › isaac #24 › isaac (ff) › isaac (tel). RPs EN ATTENTE : andréa › harleen › micah #6 › riley #2 › rory #12 › you? RPs TERMINÉS :
Dès le premier baiser échangé, tu as la douce impression de flotter. Dès qu’il pose les yeux sur toi, tu as l’ultime conviction que tout ce qui se déroule présentement entre vous était censé se produire, comme une évidence que tu n’aurais su nier ou repousser même si tu l’avais voulu. Soudainement, votre complicité devient exponentielle, ce qui s’était formé de mots et de regards prenait désormais une tournure plus physique et c’est vos corps en entier qui cherchaient continuellement cette proximité nouvelle. Ton corps qui se blottit contre le sien, ses lèvres qui trouvent ta tempe dans de doux baisers, tes doigts qui parcourent son bras dans des dessins abstraits auxquels tu ne portes aucune attention, ton regard toujours posé dans le sien alors que la discussion tourne autour de ta carrière et de ton dernier projet qui va bientôt se retrouvé au petit écran. « Entièrement prêt. » Il y a ton coeur qui s’emballe un peu plus chaque fois que le sourire du Jensen s’élargit. Si tu le trouvais déjà de ton goût dès la première fois que tu avais posé les yeux sur lui, l’attirance que tu éprouvais pour lui ne faisait qu’augmenter plus tu apprenais à le connaître, sa beauté n’ayant d’égal que cette personnalité dont tous les petits détails te plaisaient. « T’en fais pas. J’ai envie de voir de te voir ce que tu aimes et ce pour quoi tu as travaillé fort. » Si tu ne considérais pas la série comme le projet le plus excitant que tu avais pu faire au cours de ta carrière, tu demeurais fière du résultat final, qui était à des années lumière de ce que tu t’étais imaginée quand on t’avait d’abord proposé le projet, et tu étais impatiente d’avoir les impressions d’Isaac, ignorant complètement s’il t’avait déjà vu dans quoique ce soit d’autre. « J’espère que ça va te plaire. » que tu souffles doucement, tes doigts continuant de pianoter machinalement contre son bras alors que tu repenses au tournage et les différents souvenirs qui y sont associés. Viendrais éventuellement le moment ou tu devras lui parler de Rory, de votre histoire et des sentiments que tu as eu pour ta co-star, mais le moment n’est pas celui-ci alors que tu te perds un peu plus dans le bleu de ses yeux et que tu profites simplement de cette bulle qui n’englobe que vous deux, oubliant temporairement le reste du monde et vos bagages respectifs.
Tu te fais particulièrement volubile lorsque l’infirmier te questionne au sujet du projet sur lequel tu as le plus aimé travailler. Si tu songes à parler de la série sur laquelle tu as travaillé le plus longtemps et qui a vraiment donné un tournant à ta carrière, c’est plutôt ton expérience sur ton premier short, filmé à Perth alors que tu n’avais même pas encore atteint la vingtaine, que tu décides d’aborder. C’est vraiment là que tu as eu la conviction que tu avais pris la bonne décision en lâchant tes études universitaires pour te consacrer pleinement à ton art, là que tu avais eu la certitude que cela paierait éventuellement et tu avais eu raison. Même si tu ressens aujourd’hui des sentiments conflictuels face à ta carrière et à ton métier dans son ensemble, tu parles avec passion de ces quelques mois passés dans l’est australien et de la manière dont ils ont aidé à former l’actrice, mais aussi la jeune femme que tu es aujourd’hui. « Wow, ça a l’air d’avoir été toute une expérience. » Tu acquiesces d’un hochement de la tête, te laissant bercer par une douce vague de nostalgie. « Tu jouais quel type de personnage, dans Breathless? » « Je jouais l’amie de la victime, celle qui tente d’élucider le mystère autour de la disparition. Tu veux que je te dise le point culminant ou tu préfères regarder par toi-même? » que tu lui demandes, avide de savoir si sa curiosité allait être assez piquée pour qu’il ait envie de regarder le film par lui-même ou si tu devais lui dire tout de suite que le gros plot twist de la fin révélait que ton personnage était en réalité celle responsable derrière la disparation de sa propre meilleure amie. Un double-jeu que tu avais pris beaucoup de plaisir à jouer, te permettant de découvrir une palette de jeu que tu n’avais jusque là jamais eu l’expérience d’acquérir. Tu t’excuses ensuite de t’emporter de la sorte, ce qu’il s’empresse de balayer d’un « Ça m’intéresse. » qui te fait sourire tendrement. « Ça n’a rien d’aussi excitant que de sauver des vies ou de se jeter dans les flammes si tu veux mon avis. » que tu répliques, toujours aussi admiratrive des voies qu’Isaac avait lui-même choisi, menant de front deux emplois que tu considérais extrêmement exigeants, nouvelle preuve que le Jensen était le genre qui donnait tout de sa personne pour le service des autres, un aspect de lui que tu trouvais très honorable.
L’idée de partir quelques jours avec Isaac à Moreton Island fait rapidement son chemin dans ton esprit et l’excitation est palpable quand tu penses à une chance d’être seule avec lui, loin de vos quotidiens occupés. « Est-ce qu’on ne formerait pas une bonne équipe? » Tu hoches doucement de la tête alors que tes doigts viennent chercher les siens pour s’y entremêler. « Une très bonne équipe même. » que tu renchéris, éternellement surprise de la rapidité à laquelle il avait su se faire une place dans tes projets, dans ton esprit et dans ton coeur aussi. Tu t’étonnais sans cesse des papillons qui s’excitaient dans le fond de ton ventre chaque fois que son regard se plongeait dans le temps d’une telle façon que tu avais l’impression qu’il pouvait voir tout de toi sans même que tu n’aies besoin d’ouvrir la bouche. Sans cesse épater par les nombreux frissons qui te parcouraient l’échine chaque fois que ses lèvres se posaient sur ta peau, par cette envie qui ne faisait que se décupler de retrouver le goût des siennes, de te faire plus aventureuse sans toutefois oser complètement. Tu as l’esprit qui vacille entre votre proximité et ces plans qui prennent doucement forme pour une possible escapade à deux et tu tu ne peux t’empêcher de te demander à quel moment est-ce que ta chance avait enfin tourné de la plus belle des façons. « Le safari à l’air cool. » Tu acquiesces, tu en avais déjà vu une certaine partie, mais tu étais emballée à l’idée de partager l’expérience avec Isaac. « Ou le kayac. » « On pourrait faire de la plongée en apnée aussi. » que tu suggères, définitivement emballée par ce voyage qui prenait une tournure claire d’aventure avec le Jensen. « Quelque chose me dit que t’es pas le genre à t’arrêter, même en vacances. » que tu souffles en riant. Son horaire constamment chargé et les premières activités qu’il avait mentionné suggéraient qu’il était le genre de personne qui était constamment en mouvement, et tu ne doutais pas une seule seconde qu’un voyage, qu’une vie peut-être même, à ses côtés serait des plus trépidants.
Si tu es déjà complètement vendue à l’idée de cocher cet item de la liste des folies d’Isaac, tu ne peux t’empêcher de douter pendant quelques secondes du réalisme à faire concorder vos horaires, ou plutôt de la possibilité qu’il puisse se permettre de partir pendant plusieurs jours vu son horaire occupé à l’hôpital en plus de son nouveau rôle de pompier. Si le reste de ton mois de juillet est plutôt occupé avec ton voyage au Mexique qui approche, tu lui mentionnes que ton mois d’août et ton mois de septembre sont assez libres, et vu le sourire qui vient habiter les lèvres de l’infirmier, tu comprends avant même qu’il n’ait à ouvrir la bouche que l’idée de partir bientôt lui plaît autant qu’à toi. « Je t’enverrais mes disponibilités si tu veux et on verra ce qui colle avec tes journées de bénévolat. » Tu hoches la tête à nouveau en approbation. Tu ne veux pas paraître trop excitée à l’idée, mais tu as du mal à cacher ton enthousiasme, bien que ça ne semble pas le déranger, au contraire. Tu jurerais presque qu’il te serre un peu plus fort, qu’il te regarde avec cette éternelle tendresse qui te fait complètement fondre. « Je suis sûr qu’on trouvera le temps d’y aller. » « Tu aimerais partir combien de temps? » que tu lui demandes d’une petite voix, curieuse de savoir s’il imaginait le voyage comme étant l’affaire d’un week-end seulement ou plus longtemps. Curieuse mais aussi prudente, ne voulant pas t’imposer de trop dans son quotidien quand bien même ton coeur et ta tête te criaient sans cesse que tu voulais toujours plus de temps avec lui, persuadée que tu ne saurais te tanner de sa compagnie. « Les villas là-bas sont phénoménales. » Tu n’étais pas le genre de personne qui s’offraient du luxe en tout temps, mais le resort sur l’île offrait des habitations qui faisaient rêver et tu devais admettre que tu avais envie de faire les choses en grand pour ce possible premier voyage à deux. Si une partie de toi ne voulait rien précipiter, ni prendre quoique ce soit pour acquis, tu demeurais intimement persuadée que la présence du Jensen dans ta vie ne serait pas qu’éphémère, ou peut-être était-ce simplement ce que tu souhaitais dans ton fort intérieur.
Les rapprochements se font plus nombreux, les baisers plus électriques alors que assise sur lui, tu presses ton corps contre le sien au fur et à mesure que tes lèvres découvrent les siennes, que tes mains se font timides, mais curieuses à la fois dans son cou et puis dans son dos, avide de frôler la douceur de sa peau du bout de tes doigts. Ton souffle se fait plus court alors que ton coeur bat à la chamade, et si une toute partie de toi appréhende le moment ou les tensions vont prendre le dessus, ou la peur et les mauvais souvenirs liés à ce genre de proximité vont t’envahir, tu es complètement envahie par une envie qui prend le dessus sur tout le reste, qui fait disparaître cette anxiété que tu traînes depuis si longtemps pourtant. La confiance que tu as pour Isaac semble faire tomber tous les murs que tu avais érigés autour de ton corps et de ton coeur, le moment présent étant la seule chose ayant la moindre importance pour toi. Tu sens toujours son souffle contre tes lèvres alors que tu lui mentionnes ne partir que pour une dizaine de jours cette fois-ci, sachant que tu t’en serais sûrement voulue de le quitter encore pour plus longtemps, surtout après ce soir. « Tu m’excuses que ça sonne comme une bonne nouvelle à mes oreilles? » Tu échappes un rire alors que tes lèvres viennent voler les siennes pour un court baiser avant de répliquer « Tu m’en veux si je dis que j’espère que tu ne travailles pas trop d’ici mon départ? » sur un ton aussi malicieux que le sien. Tu espérais sincèrement que cette soirée ne serait pas un moment unique avant que tu ne prennes ton envol pour Mexico, tu avais envie de rattraper le temps perdu avant que vous ne soyez obligés de vous reléguer aux messages textes et aux appels FaceTime sur le décalage horaire. Les baisers reprennent de plus belle, l’intensité toujours grandissante alors que les mains d’Isaac passe de ta taille jusqu’à tes jambes qu’il caresse doucement, le contact de ses doigts sur ta peau nue agrandissant une fois de plus ton désir pour lui que tu ne tentes même plus de camoufler. Les mots semblent dérisoires quand vos corps parlent si forts l’un contre l’autre, mais tu cherches son approbation, toujours, de peur d’en faire trop, peut-être par peur que tout ne dérape si tu essayes trop vite trop fort aussi, tu ne pourrais dire. Pourtant, ce sont des rires qui résonnent entre vous deux alors que vos regards se trouvent, s’accrochent, que vos mains ne se lassent pas du corps de l’autre et tu chasses autant que possible cette petite voix qui insuffle le doute dans ton esprit. « Quel genre de metteur en scène je fais si je te réponds la poursuite du scénario actuel? » « Le genre qui aime aller au bout des choses... » que tu murmures contre ses lèvres alors que tes yeux ne quittent toujours pas les siens. « Avec répétitions ou pas. » Tu échappes un léger rire alors que ses lèvres viennent se poser contre ta mâchoire, ce qui t’arrache d’énième frissons. « Dépendamment de ton appréciation de la scène. » Ses lèvres viennent se perdre dans ton cou et un soupir de plaisir t’échappe alors que ses doigts pressent un peu plus fort contre tes jambes. « Je dirais qu’il y a longtemps que je n’ai pas apprécié autant une scène... » Tes doigts viennent se perdre dans ses cheveux et c’est doucement que tu ramènes son visage vers le tien pour lui voler à nouveau ses lèvres, disant adieu à toute retenue, laissant tes envies te guider. Tes doigts glissent de sa nuque jusqu’au premier bouton de sa chemise que tu viens défaire de mains nerveuses entre deux baisers, répétant le même manège avec le reste des boutons, tes doigts découvrant avec avidité son torse nu et tes lèvres se frayant un chemin de sa mâchoire jusqu’à son cou ou ta langue découvre le goût de sa peau, laissant une traînée de baisers jusqu’à son torse, tes cuisses serrant plus fort autour de sa taille.