ÂGE : 34 ans (13.05.90) SURNOM : Isy STATUT : Penny est le soleil et l'amour de sa vie, l'évidence avec laquelle il écrit sa plus belle histoire et s'autorise à réaliser des rêves de bonheur (06.07.2021) MÉTIER : Infirmier au service des urgences, président de l'association Run for Judy, infirmier bénévole à la Croix Rouge et aux Flying Doctors, sapeur-pompier volontaire et surtout : papa comblé de Jude (13.09.2018), Maia (14.06.2022), Jack et Mila (01.08.2023) LOGEMENT : Penny et lui ont quitté Toowong en 2024 pour s'installer avec leurs enfants à Bayside et y créer leur cocon à l'image entière de leur amour POSTS : 28708 POINTS : 0
TW IN RP : dépression, anxiété, automutilation, idées suicidaires, tentative de suicide, mentions d'abandon d'enfant PETIT PLUS : Emménage à Brisbane en 2003 ∆ il exerce en qualité d'infirmier au st vincent's depuis 2006 puis est affecté aux urgences en 2013 ∆ une suite de blessures anéantit sa carrière de joueur de football australien en 2010 ∆ il attente à ses jours en mars 2018 et reprend le travail en septembre 2018 ∆ finaliste de ROA en 2020 ∆ il se soigne contre son anxio-dépression, après avoir longtemps refusé son diagnosticCODE COULEUR : Isy s'exprime en #9966ff ou slateblue RPs EN COURS :
Tu choies cette proximité nouvelle, l'une de tes mains posée affectueusement sur la taille de ton interlocutrice qui s'est appuyée contre ton torse lorsque tu l'as rejointe sur le canapé. Tes lèvres viennent baiser tendrement sa tempe tandis que tes poumons se délectent davantage de son parfum, le sens de ton toucher bercé des trajets des doigts de Penny sur ton propre bras. Tu juges que tu pourrais très aisément demeurer ainsi toute la soirée, te plaisant à l'avoir tout contre toi, tandis que vous discutiez des sujets vous traversant l'esprit naturellement, les barrières néanmoins indéniablement respectées lorsque des zones devant restées pour l'instant ombragées se dessinent à l'horizon.
Tu lui confirmes ton vœu de prendre connaissance du tournage Netflix auquel elle a participé, curieux d'observer la Stringer exercer son art d'endosser un rôle et profondément désireux de la soutenir dans la profession pour laquelle elle a optée des années plus tôt. « J’espère que ça va te plaire. » Tu souris doucement, ne te faisant pas de souci sur ce point. Tu étais si intéressé de prendre connaissance du fruit du labeur de la vingtenaire que tu étais convaincu que tu apprécierais ce visionnage. Par ailleurs, le simple fait qu'elle y participait rendrait forcément la série très intéressante à tes yeux. « Il y a déjà un argument qui m'y plait, » tu remarques avec malice et sincérité, avant d'assurer avec davantage de sérieux et confiance : « Ca devrait. »
Ton intérêt croît et tu l'interroges davantage sur les productions favorites auxquelles elle a été associée. Admiratif, tu l'écoutes attentivement décrire ses expériences passées avec une passion qui te séduit indubitablement. Tu la contemples silencieusement en interprétant des traces de nostalgie, que tu te plais à considérer tels des gages du bonheur qu'elle eût dû ressentir lors de ces projets, et une déferlante de félicité t'étreint face au potentiel constat que Penny a pu évoluer sur une voie qui l'a inspirée et l'a comblée au moins sur certains volets. Lorsque tu la questionnes sur le personnage qu'elle représentait, l'australienne te réplique : « Je jouais l’amie de la victime, celle qui tente d’élucider le mystère autour de la disparition. Tu veux que je te dise le point culminant ou tu préfères regarder par toi-même? » Un sourire en coin apparaît sur ton minois tandis que tu t'imagines déjà le rôle dans une histoire sinistre. « Je préfère découvrir moi-même. » Tu lui avoues, une pointe d'avidité faisant pétiller ton regard, aguiché par ce prometteur plot twist et songeant déjà à solliciter ton amie Maze pour parvenir à louer ce film, bien plus expert que toi en matière de téléchargement sur les plateformes payantes. Tu entends la Stringer s'excuser de s'embraser sur son métier et tu hoches la tête en signe de dénégation, lui certifiant ton intérêt pour ce sujet, ce dernier de plus multiplié par l'enthousiasme qui l'anime lorsqu'elle se relate ces souvenirs. « Ça n’a rien d’aussi excitant que de sauver des vies ou de se jeter dans les flammes si tu veux mon avis. » Tu émets un bref rire nerveux, n'adhérant peu au rôle de héros qui pourrait être sous-entendu par les paroles de l'australienne. En aucun cas tu ne t'étais imaginé sauver des vies et si certes certaines personnes se voyaient rescapées grâce à une partie de tes gestes, tu mettais spontanément cette réussite sur le compte d'un travail d'équipe. « Tu trouves ça excitant ? » tu reprends son qualificatif toutefois avec jeu, temporaire rictus espiègle aux lèvres. « Je suis sûr que dans tes rôles, tu fais du bien aux gens. Les personnes qui te regardent peuvent s'approprier à celles que tu interprètes et se sentir moins seules, voire trouver des solutions à leurs problèmes selon comment le film se déroule. En plus, te regarder les éloignent aussi de leur tracas quotidiens. » Tu exposes, convaincu du bien fondé des productions cinématographiques et par conséquent, de l'impact de Penny sur le bien-être des visionneurs.
Le thème des folies revient au cœur de votre conversation et tu lui confies ta proposition de départ pour Moreton Island. Tu découvres avec grand ravissement que l'idée charme Penny et vous établissez la liste des activités que vous souhaiteriez y faire, ses doigts s'entremêlant suavement aux tiens. Tu milites ardemment contre ton envie de l'embrasser de nouveau, le fantôme du goût de ses lippes voguant encore contre les tiennes, et tu lui avoues dédier un intérêt pour le safari ou le kayac avant de porter sa main à tes lèvres pour y déposer un baiser. « On pourrait faire de la plongée en apnée aussi. » Manifestement, cette femme est parfaite, et ton sourire qui s'agrandit pourrait éhontément traduire ta pensée. « Oh oui, super idée ! » Tu t'enthousiasmes. « Quelque chose me dit que t’es pas le genre à t’arrêter, même en vacances. » Tu ris doucement, à l'image d'un enfant pris en flagrant délit. « Oui... Je plaide coupable, » tu affirmes avec honnêteté. « C'est un peu aussi un effet secondaire d'avoir participé à Race of Australia, je crois. J'ai tellement pu dépasser mes limites là-bas et découvert des endroits et activités que je ne connaissais pas ou n'aurais jamais osé tester, que maintenant j'ai toujours envie de tenter l'inconnu. » En quelque sorte, la compétition t'avait rendu plus aventurier, quand précédemment tu étais certes travailleur et déterminé, mais te concentrais sur ta zone de confort et au même cadre. Tu te plaisais à penser que ce jeu télévisé t'avait aussi aidé à déterminer qui tu étais, qui tu voulais devenir et comment te bâtir pour être beaucoup moins accablé par les aléas désastreux que le destin pouvait réserver, tout en valorisant le fait de garder l'esprit ouvert et savoir se faire confiance. « Mais promis, je sais rester calme aussi, » tu renseignais, tes traits tirés en une expression de bonheur et sérénité à la contemplation de cette excursion.
Le premier casse-tête qui se dresse néanmoins face à la concrétisation de ce projet est bien de dénicher des dates compatibles à vos agendas respectifs. Tu as bon espoir que tes jours de congé puissent concorder avec ses périodes libres et tu lui proposes de lui envoyer tes disponibilités pour que vous puissiez éventuellement fixer une date de départ. « Tu aimerais partir combien de temps? » Tu réfléchis quelques instants, incertain. « Les villas là-bas sont phénoménales. » Ton sourire reprend place sur tes lippes et tu poses ton regard tendrement sur ton interlocutrice. « Qu'est-ce que tu proposes comme durée, basée sur ton expérience de l'île ? » Si tu avais pu te montrer nerveux en amont de vos précédents dates - tout en ayant excessivement hâte de passer du temps en tête à tête avec l'actrice -, tu n'appréhendais aucunement ce voyage-ci, comme si vos baiser échangés avaient, en confirmant une réciprocité des sentiments que vous nourrissiez l'un envers l'autre, gommé des nuances de stress issues de la crainte de diverger de la longueur d'ondes de l'autre. Que vous partiez une seule journée, un week-end ou une semaine, tu en serais assurément comblé.
Penny s'installe agréablement sur tes cuisses et alors que ses doigts parcourent doucement ta nuque et ton cou, tes paumes viennent se poser sur sa taille fine. Les baisers que vous vous échangez invoquent une envoûtante alchimie, ses lèvres s'accaparant promptement un caractère absolument irrésistible à la définition de ton affection. Des frissons naissent et courent le long de ton échine sous ses mouvements et tu sens ton rythme cardiaque s'accélérer davantage alors que le souffle de Penny se casse chaudement contre ton épiderme. Tu oses lui formuler que son annonce comme quoi elle ne partira pour le Mexique que pour une dizaine de jours sonne telle une bonne nouvelle à tes oreilles, bien que son rire cristallin qu'elle émet à sa suite constitue la plus harmonieuse des mélodies. Celui-ci aussi, va horriblement te manquer. « Tu m’en veux si je dis que j’espère que tu ne travailles pas trop d’ici mon départ? » Tu ris doucement, la malice et la joie faisant pétiller tes émeraudes que tu loges dans ses prunelles. « Je travaille de nuit en ce moment, du coup, j'ai plus de récup' » Tu lui expliques, tes journées non seulement dégagées mais des semaines disposant de plus de congés. De plus, tu n'aurais assurément aucun scrupule à récupérer de nécessitées heures de sommeil après le départ de Penny de Brisbane, si cela signifiait profiter de sa compagnie davantage.
A mesure de vos baisers, tes mains s'osent davantage d'audace en quittant le taille de la jeune femme pour caresser doucement ses jambes de part et d'autres des tiennes. Vos baisers remportent exponentiellement en ardeur, ton organisme s'embrasant progressivement pour elle, chaque baiser appelant irrémédiablement au suivant, chaque seconde contre elle injustement trop courte à tes yeux. Elle rebondit sur les scenarii que tu lui as confiés plus tôt, tu t'amuses à te qualifier de metteur en scène possiblement redondant - dans la mesure de son consentement -, ce qui lui extrait un rire par ailleurs. Ce dernier ricoche irrésistiblement contre ton cœur et tu glisses tes lèvres friandes sur sa joue, sa mâchoire, puis chéris son cou, charmé par chaque parcelle de son être. « Je dirais qu’il y a longtemps que je n’ai pas apprécié autant une scène... » te soupire-t-elle et tu souris contre sa peau alors que tu déposes un dernier baiser sur son épaule. Tu sens ses doigts s'immiscer dans tes cheveux et vos lèvres fougueuses se retrouvent. Tu inspires profondément, ton cœur battant férocement contre ta cage thoracique, ta main quittant sa jambe pour remonter tendrement contre sa joue tandis que tu prolonges avec passion ce baiser. La main de Penny s'éprend de la boutonnière de ta chemise et sa bouche quitte la tienne pour teinter de baisers chauds la chaire de ta mâchoire, de ton cou, de ton torse désormais dénudé. Ta main remonte lentement le long de son dos que tu caresses alors que tu es persuadé qu'elle doit sentir ton cœur battre comme un fou sous ses baisers. Tes paumes brûlent de pouvoir choyer sa peau en contact direct et non à travers l'étoffe de sa robe, bien que ta réserve te ralentit de te montrer aussi entreprenant qu'elle. Néanmoins, à mesure de ses lippes qui balaient ta peau et de son souffle chaud contre ton torse, tu te résous finalement à faufiler lentement tes mains sous l'étoffe de sa robe pour enjôler le haut de ses jambes pressées contre les tiennes, tes gestes assez suaves pour qu'elle puisse les stopper dès qu'elle le souhaiterait, tous tes sens à l'affût du moindre geste qui pourraient traduire son inconfort. Tu caresses tendrement ses cuisses puis glisses sournoisement tes doigts au niveau de sa taille, effleurant ses flancs sans pour l'instant t'approcher de ses sous-vêtements, l'invitant toutefois à se rapprocher un peu plus de toi pour prendre sensuellement possession de ses lèvres, laissant aller ton cœur à tambouriner contre sa poitrine.
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Penny Stringer
l’ère de l'apaisement
ÂGE : trente-deux ans (03.08.1992) SURNOM : Penny étant déjà le surnom de Penelope, difficile de faire bien plus court. STATUT : trois ans qu'il lui fait vivre la plus folle et la plus belle des histoires, Isaac est tout pour elle et plus encore. MÉTIER : maman à temps plein, elle partage le reste de son temps entre la fondation Run for Judy à l'hôpital, et la fondation Tomlinson, à défaut de se sentir prête à reprendre le chemin devant les caméras. LOGEMENT : nouvellement installée dans une belle grande maison à Bayside, qu'ils ont choisi ensemble avec Isaac et qui répond à tous les besoins de leur petite tribu. POSTS : 13982 POINTS : 0
TW IN RP : mentions d'agression sexuelle, neurodiversité, parentalité, mentions d'abandon d'enfant. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : elle a un jeune frère autiste qu'elle aime plus que tout et surprotège › fière belle-maman de Jude (13.09.2018) et maman de Maia (14.06.2022) et les jumeaux Jack et Mila (01.08.2023) › bénévole auprès des enfants malades depuis 2020 › être devant la caméra lui manque, mais elle sait son temps auprès des siens plus précieux que jamais.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : Penny crée des malaises en mediumorchid ou en teal. RPs EN COURS : (03) ≡ angus › chris › ethel.
+ the one and only(03) ≡ isaac #23 › isaac #24 › isaac (ff) › isaac (tel). RPs EN ATTENTE : andréa › harleen › micah #6 › riley #2 › rory #12 › you? RPs TERMINÉS :
Si le mois de juin avait été bercé d’appels FaceTime et de multiples messages textes envoyés à des horaires complètement atypiques vu son travail et le décalage horaire, tu avais l’impression que cette soirée de retrouvailles se trouvait sous le signe d’un besoin constant de rattraper le temps perdu. Les longues semaines à seulement pouvoir discuter par écrans interposés avaient désormais laissés place à des envies qui se faisaient de moins en moins dissimulés de laisser vos corps traduire cette chimie qui avait opéré entre vous dès le tout début de vos échanges. Quelques mois à peine que tu avais rencontré Isaac sur Tinder et pourtant, tu jurerais que tu le connaissais depuis bien plus longtemps tant il avait pris une place de la plus haute importance dans ton univers en peu de temps. Tu n’éprouvais aucune gêne, aucun malaise à te blottir contre lui, à chercher constamment un peu plus de cette proximité nouvelle, toi qui avais pourtant si longtemps évité toute forme de rapprochements physiques, tu te surprenais à avoir envie, besoin même de le sentir près de toi. La discussion autour de ta nouvelle série Netflix et de tes anciens projets coulent facilement entre vous, autre sujet qui aurait pu être épineux normalement, mais que tu gardes léger par envie de profiter pleinement du moment avec lui. Tu réalises tranquillement que tout n’a pas besoin d’être parfait, que tout n’a pas non plus besoin d’être clair et certain pour que tu puisses en parler avec envie et avec cette touche de passion qui n’est pas complètement disparue. « Je préfère découvrir moi-même. » qu’il t’annonce finalement après que tu lui aies offert le choix de lui dire le dénouement de Breathless et tu souris, satisfaite. « Bon choix, tu ne seras pas déçu. » Tu n’avais reçu que de bons commentaires quant à ce film et tu étais définitivement curieuse de savoir ce que l’infirmier allait en penser.
Tu ne peux toutefois pas t’empêcher de faire un commentaire sur son propre métier que tu considères avec bien plus d’estime que la propre voie que tu as choisi. « Tu trouves ça excitant? » Tu hoches la tête alors que tu lèves les yeux pour croiser son regard. « Excitant, et honorable, et altruiste... Je pourrais continuer ma liste très longtemps. » que tu avoues, avec une expression de sincérité sur le visage et une fierté non-dissimulée dans les yeux. Tu avais beaucoup de respect pour tous les professionnels de la santé, ce domaine exigeant et trop souvent ingrat et après avoir entendu le Jensen parler de son métier avec une telle passion, tu ne doutais pas un seul instant de l’immense différence qu’il pouvait avoir dans la vie de ses patients. « Je suis sûr que dans tes rôles, tu fais du bien aux gens. Les personnes qui te regardent peuvent s’approprier à celles que tu interprètes et se sentir moins seules, voire trouver des solutions à leurs problèmes selon comment le film se déroule. En plus, te regarder les éloignent aussi de leur tracas quotidien. » Tu secoues doucement la tête, constamment étonnée de cette façon bien particulière qu’il avait de tout remettre en perspective, cette aisance qu’il avait de trouvé exactement les bons mots pour te faire sentir bien. Pour toute réponse, tu viens poser tes lèvres sur les siennes à nouveau avec douceur, tes yeux brillants de cette affection éternellement grandissante que tu portais à son égard. « Je ne fais ça que pour la célébrité. » que tu murmures contre ses lèvres avant de te mettre à rire, bien incapable de rester sérieuse. « Je plaisante. » que tu le rassures, même si l’espièglerie qui se lit sur ton visage traduisait déjà que tu disais absolument n’importe quoi. Si tu n’avais jamais eu de mal avec ta célébrité avant l’affaire Byers, il était difficile désormais de ne pas admettre que l’anonymat d’une vie loin des caméras te manquait.
Un voyage se dessine tranquillement, votre liste d’activités se rallongent déjà considérablement et tu t’imagines déjà les détails de cette aventure à ses côtés avec envie et excitation. « Oh oui, super idée! » Son sourire est éclatant et ne fait qu’élargir le tien sur tes lippes alors que tu laisses sous-entendre que tu devines tranquillement quel genre de vacancier il est. « Oui… Je plaide coupable. » Ton rire se joint au sien alors que tu l’imagines facilement être constamment en mouvement, à la recherche d’une énième activité pour occuper ses journées qu’il semble aimer remplir à leur maximum. « C’est un peu aussi un effet secondaire d’avoir participé à Race of Australia, je crois. J’ai tellement pu dépasser mes limites là-bas et découvert des endroits et activités que je ne connaissais pas ou n’aurais jamais osé tester, que maintenant j’ai toujours envie de tenter l’inconnu. » « Qu’est-ce qui t’as poussé à t’inscrire à ça? » que tu lui demandes avec curiosité. Tu n’avais pas encore pris le temps de le faire, mais tu avais trouvé une plate-forme ou tu allais pouvoir visionner la saison de Race of Australia à laquelle Isaac avait participé, bien curieuse de voir les aventures dans lequel il s’était projeté pendant quelques semaines. « Comment t’as trouvé ton expérience devant les caméras? » que tu demandes joueuse. Si la télé-réalité était bien différente de ce que toi tu faisais depuis des années, il existait tout de même cette nervosité similaire de se retrouver devant toute une équipe de cameramans et autres employés en tout genre et tu te demandais s’il avait apprécié cet aspect de son expérience. « Mais promis, je sais rester calme aussi. » « C’est bon à savoir. » que tu murmures alors que tu laisses tes doigts pianoter continuellement sur l’épiderme de ses bras autour de toi. Tu n’avais aucun doute qu’ensemble, vous parviendrez à trouver une balance parfaite entre aventures et repos, à l’image de vos personnalités si similaires et si différentes à la fois, résultat parfait de cette chimie qui ne s’expliquait pas mais qui faisait tout son sens à vos yeux.
C’est en voulant conserver cet élan de spontanéité que tu proposes de partir dans un futur rapproché. Certes, il y a encore ton voyage au Mexique qui se dresse devant toi avant la possibilité de pouvoir partir avec Isy, mais tu n’es pas fermée, bien au contraire, à l’idée de partir seulement quelques semaines après ton retour, si son horaire le permet aussi. « Qu’est-ce que tu proposes comme durée, basée sur ton expérience de l’île? » La vérité c’est que les quelques fois ou tu avais été à Moreton Island, tu n’avais pas pris le temps de faire ne serait-ce que la moitié des activités que vous veniez de lister, et tu te doutais que d’autres s’ajouteraient de manière spontanée pendant le séjour. « Je pense que quatre ou cinq jours seraient l’idéal. » Et encore, si tu étais complètement honnête, tu ne cesserais d’ajouter des jours puisque l’idée de t’enfuir pour cette première aventure avec lui loin de tout est plus qu’alléchante. Tu enchaînes les voyages et les aventures en ce moment, mais cette nouvelle destination est certainement celle qui t’excite le plus, bien que tu n’aies pas besoin de le dire à voix haute, le sourire sur ton visage se chargeant très bien de le faire comprendre à l’infirmier. Tout comme ton corps se fait de plus en plus éloquent sur les envies qui te traversent quand tu viens prendre place sur ses cuisses, que tes lèvres capturent les siennes avec avidités et de moins en moins de retenues. Quand ta respiration se fait plus haletante et les battements de ton coeur cognent trop fort contre ta poitrine que tu viens presser contre son torse. Tu veux plus de tout ça, tu veux tout prendre, emmagasiner toutes les sensations pour mieux t’en souvenir quand tu seras une nouvelle fois partie à l’autre bout du monde, même si ce nouveau voyage est bien moins long que le précédent. « Je travaille de nuit en ce moment, du coup, j’ai plus de récup’. » « Je vais faire mon possible pour ne pas trop t’épuiser pendant la journée, si tu veux bien de moi. » que tu souffles amusée, rassurée qu’il laisse sous-entendre que lui aussi souhaitait passé autant de temps que possible avec toi avant que tu ne repartes.
Tu oublies rapidement le fait qu’il y a une lasagne qui continue de cuire dans le four, tout comme vos bières qui sont délaissées pour quelque chose de bien plus goûteux. Sa main qui vient se placer sur ta joue pour accentuer le baiser te procure l’effet d’une décharge cruellement délicieuse alors que tout ton être cherche à rentrer en contact avec le sien. Le moment change en intensité quand tes doigts se font de plus en plus curieux contre son épiderme, les boutons de sa chemise étant les premiers obstacles que tu viens tasser de ton chemin alors que tes doigts caressent son torse partiellement dénudé, bientôt suivi de tes lèvres qui laissent une traînée de baisers. Tu sens ses doigts qui se font eux aussi plus curieux quand ils glissent le long de tes cuisses, se frayant un chemin sous ta robe. Tu t’attends à ressentir la panique d’une seconde à l’autre, mais pourtant, alors que sa langue se fait un chemin entre tes lèvres pour retrouver la tienne, tu ne penses à rien d’autre que les sublimes sensations qui te parcourent l’échine. Tu fais glisser sa chemise le long de ses bras pour l’en débarrasser complètement, aperçoit la naissance d’un tattoo sur son bras sans réellement prendre le temps de le regarder plus longuement alors que tes lèvres se retrouvent à nouveau prisonnières des siennes. Tu sens ses doigts qui montent jusqu’à tes flancs sous ta robe, le contact contre ta peau envoûtant et tu te sens légèrement restreinte dans tes mouvements sur le canapé. Sans jamais arrêter de caresser sa peau nouvellement à découvert de tes doigts, tu souffles entre deux baisers « Tu ne m’as pas fait visiter ta maison... » et puis tu viens à nouveau embrasser sa mâchoire jusqu’à ce que tes lèvres trouvent le chemin de son oreille droite. « Peut-être que tu devrais commencer par ta chambre. » Tu échappes un léger rire alors que tu déposes à nouveau tes lèvres dans son cou avant de venir accrocher son regard, tes mains glissant toujours contre son torse.
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Isaac Jensen
le coeur au bout des doigts
ÂGE : 34 ans (13.05.90) SURNOM : Isy STATUT : Penny est le soleil et l'amour de sa vie, l'évidence avec laquelle il écrit sa plus belle histoire et s'autorise à réaliser des rêves de bonheur (06.07.2021) MÉTIER : Infirmier au service des urgences, président de l'association Run for Judy, infirmier bénévole à la Croix Rouge et aux Flying Doctors, sapeur-pompier volontaire et surtout : papa comblé de Jude (13.09.2018), Maia (14.06.2022), Jack et Mila (01.08.2023) LOGEMENT : Penny et lui ont quitté Toowong en 2024 pour s'installer avec leurs enfants à Bayside et y créer leur cocon à l'image entière de leur amour POSTS : 28708 POINTS : 0
TW IN RP : dépression, anxiété, automutilation, idées suicidaires, tentative de suicide, mentions d'abandon d'enfant PETIT PLUS : Emménage à Brisbane en 2003 ∆ il exerce en qualité d'infirmier au st vincent's depuis 2006 puis est affecté aux urgences en 2013 ∆ une suite de blessures anéantit sa carrière de joueur de football australien en 2010 ∆ il attente à ses jours en mars 2018 et reprend le travail en septembre 2018 ∆ finaliste de ROA en 2020 ∆ il se soigne contre son anxio-dépression, après avoir longtemps refusé son diagnosticCODE COULEUR : Isy s'exprime en #9966ff ou slateblue RPs EN COURS :
Penny s'est blottie contre toi, armée d'une aisance naturelle, et inexplicablement, tu es intimement convaincu que cette place lui était en réalité toute dédiée. Tu te risques à songer que tes déceptions antérieures, tes erreurs, tes échecs, tes mésaventures, ont été érigés sur ton chemin seulement pour te conduire à elle. Tu reconnais que tu joues à un jeu dangereux, à peut-être t'imaginer de grands émois lorsque vous ne vous connaissez que depuis quelques semaines ; et ainsi, tu t'interdis de trop te projeter, tu t'ordonnes de ne te délecter que du moment présent qui est teinté d'utopie tant il t'est merveilleux, tant elle t'est si spéciale qu'elle irradie du bonheur en tout ton être, tant l'hymne de vos êtres te paraît humer sous les mêmes harmonies.
« Bon choix, tu ne seras pas déçu, » approuve-t-elle lorsque tu lui confies désirer regarder le film sans qu'elle t'en dévoile le dénouement. Tu souris doucement et ne résistes pas à la tentation de poser tes lèvres sur sa joue, glissant à son oreille : « J'en suis persuadé. » Tu es curieux d'être spectateur de son art, de son engouement, du fruit de ses sacrifices et persévérant labeur. Tu désires la contempler à l'ouvrage et t'immiscer dans le monde public des résultats de la profession pour laquelle elle a optée et qui semble l'animer d'une passion singulière, invitant même ici et là la nostalgie. Tu joues lorsqu'elle qualifie tes propres missions d'excitantes, vos regards se croisent en toute impunité. « Excitant, et honorable, et altruiste... Je pourrais continuer ma liste très longtemps. » Le sourire qui s'affiche sur ton portrait navigue entre la timidité et l'embarras et pour réponse à ses compliments, tu valorises son propre métier qui, selon toi, sauve également le monde. Tu as souffert de la solitude durant la période la plus sombre de ta vie, tant que tu t'es accroché corps et âme à la première personne qui paraissait te comprendre au moins un peu, rassuré de ne pas être seul dans ton indescriptible désarroi. Tu sais dans quelle mesure être représenté d'une façon ou d'une autre sur le petit écran peut être salutaire, et même lorsqu'on ne se trouve pas en pleine détresse, la distraction que Penny offre en plongeant l'audience dans un nouvel univers compose une pause bienfaitrice dans un quotidiens tumultueux, permettant même un recul pour mieux l'appréhender une fois la fiction achevée, en ton opinion. « Je ne fais ça que pour la célébrité. » Elle pose ses lèvres contre les tiennes et y émets un léger rire qui vient les chatouiller. « Je plaisante, » rassure-t-elle et tu presses un peu plus ses lèvres contre les tiennes comme dans un doucereux châtiment. « Tu es certes actrice, je ne pense pas que tu pourras me leurrer sur tous les plans, Penny, » tu préviens, faussement menaçant, l'amusement exposé sur tes traits.
A ta grande réjouissance, la Stringer adhère à ton projet d'excursion sur Moreton Island. Vous mêlez vos idées et vos souhaits de sorte à vous dresser un programme des plus attractifs à tes yeux, ton étreinte se resserrant même sous l'entrain de consacrer quelques jours de votre quotidien à Brisbane pour les transposer au sein d'un séjour à deux sur l'île australienne. La jeune femme dénote promptement ton caractère assez actif et tout en plaidant coupable, tu te permets d'accuser aussi ton expérience à Race of Australia que tu juges déterminante dans ton comportement et ton bien-être d'aujourd'hui. « Qu’est-ce qui t’as poussé à t’inscrire à ça? » Ta respiration se bloque un peu, comme intimidé par le vaste que cette question invoque. Tes doigts pianotent distraitement le flanc de la vingtenaire, gage de ta réflexion. « Comment t’as trouvé ton expérience devant les caméras? » Un léger rire file entre tes lèvres. « Est-ce que tu me trouves totalement inconsidéré si je te réponds qu'au bout d'un moment, je ne voyais même plus les caméras ? » Tu t'étais certes lié d'amitié aux deux acolytes qui vous suivaient dans vos plus grands déboires, cependant, leur matériel t'avait vite paru abstrait, comme une main prothétique qu'on s'habitue à voir sur un amputé. Tu savais qu'ils enregistraient des images et prenaient des clichés, mais bien vite, tu n'en faisais plus cas. « J'étais tellement pris dans l'aventure que j'étais focalisé que sur ma binôme et celle-ci, » tu expliques, avant de reporter tes réflexions sur sa première interrogation. « T'as déjà jeté une pièce de monnaie dans une fontaine en espérant que ton vœu soit exaucé ? » Tu demandes vaguement. « Race of Australia, c'était un peu ça, pour moi. Une pièce lancée au petit bonheur la chance, sans vœu très concret, toutefois. » Tu présentes, conscient du caractère vague de tes paroles. « J'étais plein de doutes, à cette époque. Je ne savais plus qui j'étais, ce que je voulais, ce que j'aimais, où était ma place... J'étais complètement paumé. » Tu pinces légèrement tes lèvres. « Alors j'ai décidé de faire ce que je considérais être une folie : m'inscrire à cette course à laquelle je n'aurais jamais même pensé auparavant m'associer. Me propulser hors de ma zone de confort, me déraciner du terrain sur lequel j'étais et duquel je voyais mes racines se tarir, pour me replanter ailleurs en quelque sorte et savoir de quoi j'étais fait. » Tu souris doucement. « Je n'y croyais pas d'être pris. J'ai débarqué dans l'émission en en ayant rien à cirer de finir premier ou de gagner des sous. Je voulais juste me trouver sur la route. » Et Grace et toi aviez terminés finalistes de cette épopée, avec une défaite qui n'a jamais eu quelconque goût amer. Tu sens les doigts de ton interlocutrice dessiner des formes multiples sur tes bras et lui assures savoir cependant être calme aussi lors des vacances. « C’est bon à savoir. » On t'avait même reproché être trop posé dans le passé, trop coincé. Tu avais aussi beaucoup évolué sur ce point, tant que Noa t'avait même signifié avoir du mal à te reconnaître sur certaines variantes de ton comportement, tu avais selon elle changé pour le mieux.
Vous revenez sur la planification de votre escapade sur Moreton Island. « Je pense que quatre ou cinq jours seraient l’idéal. » Tu acquiesces spontanément et c'est avec une envie partagée que tu accueilles la nouvelle proximité de l'actrice qui s'installe sur ses cuisses, ses lèvres venant laisser leur goût suave contre les tiennes. Tu l'embrasses langoureusement, la valse de vos souffles tonitruant jusqu'à ton cœur martelant ta poitrine sans vergogne, tandis que la somptueuse chaleur de son corps vient embraser le sang filant dans tes veines. Tes mains se posent dans son dos, comme pour sceller votre étreinte, te l'assurer proche de toi, pieux que ces embrassades s'éternisent, ému de leur fatale finalité. Tu lui indiques entre deux baisers que ton service de nuit te libère davantage de temps libre. « Je vais faire mon possible pour ne pas trop t’épuiser pendant la journée, si tu veux bien de moi. » « Ton rôle de VIP t'autorise à passer autant de temps avec moi que tu le souhaites, » tu stipules, rappelant ce titre que tu lui avais dédié lors d'une conversation par téléphone interposé.
Ta bouche se délecte de l'épiderme de son visage, se niche dans son cou, remonte de nouveau à ses lèvres dans un baiser cette fois-ci fougueux, appuyé par ta main qui vient choyer avec délicatesse sur sa joue. Tu aspires à t'assouvir d'elle, te perdre avec elle. Tu souhaites conserver cette bulle, ce cocon, qui paraît déjà s'ériger autour de vous et te fait oublier le chat, la lasagne, les bières, le temps qui passe inexorablement. Les boutons de ta chemise se dénouent un à un sous l'impulsion de ses doigts fins, ta peau frémit irrésistiblement sous ses paumes qui viennent caresser ton torse, suivies de ses lèvres y créant des sillons envoûtants. Tes mains se veulent plus vagabondes alors qu'elles se frayent sous l'étoffe de sa robe pour caresser ses flancs. Penny libère tes épaules de ta chemise, vos langues se retrouvent dans une nouvelle danse fiévreuse, entrecoupée de nouvelles paroles de la jeune femme : « Tu ne m’as pas fait visiter ta maison... » Tu ris doucement, ignorant si c'est la nervosité, la gaieté ou la complicité qui t'envahit. Peut-être bien un délicat mélange des trois. Un vague de chaleur t'enlace alors que tu sens son souffle se casser sur ton cou, les termes glissés à ton oreille : « Peut-être que tu devrais commencer par ta chambre. » Son rire cristallin t'envahit, tonnant jusqu'à ton palpitant. Elle dépose suavement ses lippes dans ton cou, ses mains poursuivent leur cheminement sur ton torse, et tu extrais les tiennes de sous sa robe, puis te défais entièrement de ta chemise, vos regards enlacés. Tu te redresses et cales tes bras sous le fessier de la Stringer de sorte à l'emporter, sans rompre votre proximité, jusqu'à ta chambre. Tu prends tout de même le soin d'interrompre la cuisson du four au passage, question de ne pas avoir à faire une démonstration de ta nouvelle casquette en fin de soirée.
Tu pousses la porte entrouverte de ta chambre : un lit double, une commode, un placard, une bibliothèque, un bureau, une table de nuit et une chaise, le tout éclairé par une grande fenêtre bordée de rideaux. Tu assois Penny sur le lit tout en la rejoignant à ses côtés. « Bienvenue dans mon humble chambre. » A première vue, l'unique part de personnalité dans cette pièce reposerait essentiellement dans ta bibliothèque, mais tu considères qu'elle a l'avantage d'être malgré tout douillette. « Qu'est-ce que tu en penses ? Est-ce que tu veux explorer d'autres zones de la maison ? » Tu prononces, une malice vibrant ton intonation. Tu ne veux pas prétendre que son invitation à vous déplacer dans ta chambre était une annonce assurée que vous continuerez de découvrir vos corps, bien que tu n'éloignes pas cette possibilité ; peut-être l'actrice souhaitait-elle poliment vous distancer ou calmer toute ardeur ? Tes yeux louchent néanmoins déjà sur ses lippes avant que tu déposes un baiser sur sa joue puis, te réconfortant qu'elle n'émettait pas de mouvement de recul, baises de nouveau son cou sensuellement, ta main se reposant sur sa taille. « Tu m'arrêtes quand tu veux. Dès que tu veux, » tu l'invites entre deux baisers, avant de juger que le fait qu'elle t'ait retiré ta chemise puisse te permettre de tenter de la dévêtir de sa robe. Alors, tes mains reportent délicatement ses cheveux sur une des ses épaules avant de faire glisser doucement la fermeture éclair dans son dos, ta langue venant tendrement marquer la peau de son dos et de ses omoplates fraîchement dénudées, y traçant des chemins pulsant d'affections.
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Penny Stringer
l’ère de l'apaisement
ÂGE : trente-deux ans (03.08.1992) SURNOM : Penny étant déjà le surnom de Penelope, difficile de faire bien plus court. STATUT : trois ans qu'il lui fait vivre la plus folle et la plus belle des histoires, Isaac est tout pour elle et plus encore. MÉTIER : maman à temps plein, elle partage le reste de son temps entre la fondation Run for Judy à l'hôpital, et la fondation Tomlinson, à défaut de se sentir prête à reprendre le chemin devant les caméras. LOGEMENT : nouvellement installée dans une belle grande maison à Bayside, qu'ils ont choisi ensemble avec Isaac et qui répond à tous les besoins de leur petite tribu. POSTS : 13982 POINTS : 0
TW IN RP : mentions d'agression sexuelle, neurodiversité, parentalité, mentions d'abandon d'enfant. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : elle a un jeune frère autiste qu'elle aime plus que tout et surprotège › fière belle-maman de Jude (13.09.2018) et maman de Maia (14.06.2022) et les jumeaux Jack et Mila (01.08.2023) › bénévole auprès des enfants malades depuis 2020 › être devant la caméra lui manque, mais elle sait son temps auprès des siens plus précieux que jamais.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : Penny crée des malaises en mediumorchid ou en teal. RPs EN COURS : (03) ≡ angus › chris › ethel.
+ the one and only(03) ≡ isaac #23 › isaac #24 › isaac (ff) › isaac (tel). RPs EN ATTENTE : andréa › harleen › micah #6 › riley #2 › rory #12 › you? RPs TERMINÉS :
« J’en suis persuadé. » Son souffle contre ton cou, ses mots, juste là, contre ton oreille te font frisonner en amont alors que tu ne perds jamais ce sourire qui lui seul sait insuffler de cette précieuse façon sur ton visage. L’intérêt qu’il porte pour ta carrière et les différents rôles que tu as pu tenir aux travers des années te touchent, t’es contente qu’il ait décidé de donner une chance à ce film qui n’est pas particulièrement connu, mais qui représente beaucoup à tes yeux. Tout comme tu ne te gênes pas pour lui faire savoir à nouveau à quel point tu estimes les différents rôles qu’il revêt au quotidien, autant celui d’infirmier qu’il exerce depuis de nombreuses années que celui tout nouveau de pompier. Tu te gardes bien de lui dire que t’es impatiente de le voir vêtu de son uniforme, même si tu ne doutes pas que le commentaire va finir par trouver son chemin jusqu’à lui à un moment ou un autre. Il te renvoie la balle avec des compliments auxquels tu ne sais répondre que par un baiser et un commentaire humoristique, bien peu à l’aise de prendre tout le crédit qu’Isaac tente de t’offrir. Tu aimes le fait que cette conversation coule de source, comme tout le reste entre vous, entre moments d’honnêtetés vulnérables et douces répliques dotées d’humour et de tendresse. Il vient chercher tes lèvres à nouveau entre deux rires de ta part quand tu plaisantes être devenue actrice seulement pour le statut de célébrité et tu ne peux que rire un peu plus fort quand tu remarques l’air faussement menaçant qui vient égayer ses traits. « Tu es certes actrice, je ne pense pas que tu pourras me leurrer sur tous les plans, Penny. » Ton rire se dissipe peu à peu et tu reprends un air légèrement plus sérieux alors que tes yeux s’accrochent à ceux d’Isaac. « Ce n’est pas mon intention. » que tu souffles doucement, nouvelle vague de sincérité prenant place entre vous, ton regard ne quittant plus le sien. Tu ne connaissais que de grandes lignes du passé d’Isaac, bien peu de détails des obstacles qui avaient frayés son chemin, mais tu savais qu’il avait été profondément blessé et tu n’avais pas l’intention d’être une personne de plus dans sa vie à lui faire du mal. Pas quand après si peu de temps déjà, il t’apportait bonheur et sérénité comme tu n’en avais pas ressentis depuis trop longtemps. Tes doigts viennent caresser sa joue alors que tu rapproches tes lèvres une ultime fois en un doux baiser laisser sur le coin des siennes.
Tu n’as aucune idée qu’en abordant le sujet de Race of Australia, tu touches déjà une partie plus sensible de son histoire. La question est lancée sans que tu ne prennes vraiment le temps de réfléchir à tout ce qu’elle implique, mais les doigts d’Isy qui pianotent contre ton flanc racontent quelque chose de bien différent déjà. « Est-ce que tu me trouves totalement inconsidéré si je te réponds qu’au bout d’un moment, je ne voyais même plus les caméras? » Tu secoues doucement la tête, comprenant parfaitement ce à quoi il faisait référence. « Les meilleurs cameramans savent se faire discrets. » que tu confirmes. Ça fait d’ailleurs toute la différence à ton avis, quand l’équipe derrière la caméra savent se faire aussi petits que possibles pour donner au reste un maximum d’authencité. Pour une émission comme Race of Australia, c’est sans aucun doute quelque chose de primordial. Personne n’a envie de regarder la télé-réalité en ayant l’impression que tout est scripté et joué d’avance. « J’étais tellement pris dans l’aventure que j’étais focalisé que sur ma binôme et sur celle-ci. » « Est-ce que vous êtes demeurés en contact, avec ta binôme? » que tu lui demandes, curieuse. Tu te doutais bien que ce genre d’expériences devaient créer des liens forts et inexplicables. « T’as déjà jeté une pièce de monnaie dans une fontaine en espérant que ton vœu soit exaucé? » La question te surprend légèrement, mais tu hoches positivement la tête, ton attention toujours complètement sur Isaac, les doigts de ta main droite liés aux siens, ceux de ta main gauche se glissant doucement sur son bras. « Race of Australia, c’était un peu ça, pour moi. Une pièce lancée au petit bonheur la chance, sans vœu très concret toutefois. » Un léger sourire vient se placer sur ton visage alors que tu ne perds pas un seul des mots qui quittent les lèvres du Jensen. « J’étais plein de doutes, à cette époque. Je ne savais plus qui j’étais, ce que je voulais, ce que j’aimais, ou était ma place… J’étais complètement paumé. » Ton coeur se serre à l’entente de ces mots, autant parce que tu t’y retrouves avec une telle facilité, mais aussi parce que tu trouves ça triste qu’Isaac ait dû passer par une période aussi compliquée. Tes doigts viennent serrer les siens un peu plus fort, petite attention qui confirme que tu écoutes, que tu es là, que tu comprends. « Alors j’ai décidé de faire ce que je considérais être une folie : m’inscrire à cette course à laquelle je n’aurais jamais même pensé auparavant m’associer. Me propulser hors de ma zone de confort, me déraciner du terrain sur lequel j’étais et duquel je voyais mes racines se tarir, pour me replanter ailleurs en quelque sorte et savoir de quoi j’étais fait. » Le sourire qui se place sur ses lèvres te donne confiance que l’expérience a été un succès, de plus que tu n’as jamais eu l’impression depuis que tu le connais de faire face à quelqu’un qui ne savait pas qui il était ou ce qu’il voulait, bien au contraire. « Je n’y croyais pas d’être pris. J’ai débarqué dans l’émission en en ayant rien à cirer de finir premier ou de gagner des sous. Je voulais juste me trouver sur la route. » « Et tu as réussi? À te trouver sur la route? » que tu demandes d’une petite voix, même si tu te doutes déjà de la réponse. Tu veux l’entendre te le dire. Qu’il puisse se vanter haut et fort de tout le cheminement qu’il a fait depuis. Tu voudrais lui dire à quel point t’es fière, même si t’as pas vraiment de point de comparaison, n’ayant jamais connu que cette nouvelle version de lui pour laquelle tu t’attachais pourtant de manière complètement inexpliquée et sans précédent dans ton histoire. Tu voudrais lui dire à quel point tu aimes la version de lui qui se dessine sous tes yeux un peu plus à chaque jour. Tu voudrais lui dire aussi à quel point tu te retrouves dans son histoire, dans cette quête qu’il a nommé si élégamment, lui dire que t’as l’impression d’être encore au milieu de la tienne et qu’il t’aide sans même le réaliser à te retrouver. Mais les mots restent coincés dans le fond de ta gorge et tu te contentes de le regarder avec toute cette tendresse et toute cette affection que tu lui portes, espérant que tes regards et tes gestes sauront pour l’instant traduire tout ce que les mots ne sauraient dire.
Comme lorsque cette idée de voyage à Moreton Island se complète, prend forme sous une durée de quelques jours à déterminer selon vos horaires, liste d’activités déjà bien établie et que l’excitation se fait ressentir autant chez lui que chez toi, ce qui ne fait qu’accroître ta joie et cette confiance que vous êtes tous les deux sur la même longueur d’ondes face à ce qui se construit entre vous. Face à ce qui prend de plus en plus forme alors que tes jambes entourent les siennes, que les baisers se font plus langoureux, que les mains se perdent sur les parcelles de peau à découvert, à la recherche constante d’un peu plus dans l’espoir qu’aucune limite ne se dresse sur vos chemins. C’est encore chaste, réservé toutefois que vous vous découvrez, que tu perds ton souffle entre de nombreux baisers et quelques paroles échangées sur vos envies respectives de passer ensemble autant de temps que possible avant ton départ pour le Mexique. « Ton rôle de VIP t’autorise à passer autant de temps avec moi que tu le souhaites. » Tu échappes un nouveau rire contre ses lèvres alors que tu te souviens avoir reçu ce titre sans qu’il ne t’offre les avantages que ce dernier compose. Tu passes tes bras autour de son cou, tes doigts te perdant dans ses cheveux courts alors qu’un sourire espiègle prend forme sur tes lèvres. « Il me semble me souvenir que tu m’avais promis de me lister les privilèges d’un tel rôle... » que tu lui rappelles toujours aussi joueuse avant de reprendre possession de ses lèvres. Si tous les privilèges ont ce goût-là, tu pourrais facilement te laisser tenter de jouer ce rôle pendant longtemps, très longtemps. Surtout quand l’électricité dans l’air se fait ressentir avec d’autant plus d’intensité, que les baisers laissent bien peu de place à l’imagination quant aux envies qui vous habitent, envie que tu n’hésites pas à sous-entendre lorsque tu mentionnes que tu aimerais visiter sa chambre. Son rire résonne dans la pièce alors que tu embrasses son cou, et alors que tu t’apprêtais à te séparer de son étreinte, tu sens ses mains qui viennent se placer sous tes fesses pour te soulever. Tu échappes un petit cri de surprise, rapidement suivi d’un rire alors que tes jambes viennent se croiser autour de sa taille et que tes bras en font de même autour de son cou. Il passe par la cuisine et ferme le four pour éviter que la lasagne ne crame et ne provoque une catastrophe qui viendrait interrompre le moment et ton regard se perd sur le décor de la maison que tu découvres furtivement.
Isaac pousse la porte à moitié ouverte de la pièce que tu devines être sa chambre et il vient te déposer sur son lit avant de s’asseoir à côté de toi. La chambre est sobre, à l’ordre et ton regard est tout de suite intrigué par la bibliothèque qui est bien rempli. « Bienvenue dans mon humble chambre. » Mais les livres qu’il peut bien être en train de lire en ce moment n’occupe qu’une minime parcelle de ton esprit, quand tes yeux se posent à nouveau sur lui et son torse nu, et que toutes les parcelles de ton corps semblent demander un peu plus des sensations qu’il a su te procurer jusqu’à maintenant. « Qu’est-ce que tu en penses? Est-ce que tu veux explorer d’autres zones de la maison? » Tu secoues la tête, oubliant de répondre à sa première question, venant mordiller ta lèvre inférieure. « Peut-être plus tard. » que tu réponds alors que ses lèvres trouvent le chemin de ta joue avant de redescendre le long de ta nuque et t’arrache un léger soupir de plaisir alors que sa main vient se placer contre ta hanche. « Tu m’arrêtes quand tu veux. Dès que tu veux. » Et c’est sans doute parce qu’il sait se montrer si attentionné, si patient, si avenant, alors que tous tes gestes crient pourtant à quel point tu en as envie, qui te rassure, qui te donne envie de continuer sur cette route. Une fois de plus, tu viens secouer négativement la tête. « Je veux pas que tu arrêtes. » que tu chuchotes doucement alors que ses doigts viennent déplacer tes cheveux sur ton épaule et qu’il fait glisser la fermeture éclair de ta robe le long de ton dos. Tu sens ses lèvres sur ta peau nouvellement dénudée, sa langue qui se fraie un chemin entre tes omoplates alors que tu fais glisser le tissus de ta robe contre ton corps de manière à t’en défaire complètement, le laissant découvrir un ensemble de lingerie en dentelle noir, autrefois parfaitement dissimulé sous ta robe qui gît désormais sur le plancher. Tu te retournes légèrement et vient passer tes bras dans son dos, l’attirant contre toi alors que tu te laisses tomber contre le matelas. Tu l’invites de part ta gestuelle à prendre place au dessus de toi alors que tes ongles s’enfoncent dans son dos, que tes lèvres reprennent possession des siennes dans des baisers qui provoquent des nouvelles bouffées de chaleur chez toi. Tes jambes enlacent sa taille, le presse contre toi alors que tu sens l’excitation qui se fait grandissante, de son côté comme du tien. Tes paumes pressent dans son dos, descendent jusqu’à ses fesses que tu découvres d’abord par dessus l’étoffe de son pantalon, avant de les glisser entre ce dernier et son boxer, tes mouvements avides et impatients. Tu poursuis tes caresses alors que ta langue vient danser contre la sienne et te laissant guider par le moment, tes doigts glissent le long de sa taille et viennent finir leur course contre le bouton de son jean que tu défais sans jamais séparer tes lèvres des siennes.
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Isaac Jensen
le coeur au bout des doigts
ÂGE : 34 ans (13.05.90) SURNOM : Isy STATUT : Penny est le soleil et l'amour de sa vie, l'évidence avec laquelle il écrit sa plus belle histoire et s'autorise à réaliser des rêves de bonheur (06.07.2021) MÉTIER : Infirmier au service des urgences, président de l'association Run for Judy, infirmier bénévole à la Croix Rouge et aux Flying Doctors, sapeur-pompier volontaire et surtout : papa comblé de Jude (13.09.2018), Maia (14.06.2022), Jack et Mila (01.08.2023) LOGEMENT : Penny et lui ont quitté Toowong en 2024 pour s'installer avec leurs enfants à Bayside et y créer leur cocon à l'image entière de leur amour POSTS : 28708 POINTS : 0
TW IN RP : dépression, anxiété, automutilation, idées suicidaires, tentative de suicide, mentions d'abandon d'enfant PETIT PLUS : Emménage à Brisbane en 2003 ∆ il exerce en qualité d'infirmier au st vincent's depuis 2006 puis est affecté aux urgences en 2013 ∆ une suite de blessures anéantit sa carrière de joueur de football australien en 2010 ∆ il attente à ses jours en mars 2018 et reprend le travail en septembre 2018 ∆ finaliste de ROA en 2020 ∆ il se soigne contre son anxio-dépression, après avoir longtemps refusé son diagnosticCODE COULEUR : Isy s'exprime en #9966ff ou slateblue RPs EN COURS :
Tu t'engages spontanément à regarder Breathless tout comme la future série Netflix à laquelle Penny a été associée, désireux de prendre connaissance du fruit de son labeur réalisé avec passion. Tu contemples la fierté mêlée à la nostalgie qui étire les traits de la jeune femme alors qu'elle relate ses expériences passées et tu te réjouis de considérer qu'elle a épousé la félicité en endossant ces rôles qui, tu en es persuadé, font autant de bien que tu pourrais le faire dans le cadre de ton propre métier. L'australienne te répond avec humour qu'elle n'exerce qu'en quête de la célébrité, ce qui te fait doucement rire, avant que tu ne la préviennes, sur un air faussement menaçant, qu'elle ne pourra plus te leurrer sur tous les volets. « Ce n’est pas mon intention. » Elle te répond toutefois avec sérieux et ton regard se perd dans le sien, où tu sembles décrypter toute la sincérité et l'authenticité dont sa personne est faite, et qu'elle te dédie à chacun de vos échanges selon toi. Tu lui souris honnêtement, sens ses lèvres se poser à la commissure des tiennes, ta main se cale contre son flanc. « Je sais. » Tu confirmes, avant de lui avouer : « Tu as déjà toute ma confiance. »
Prononcer ces quelques termes te rendraient assurément méconnaissable aux yeux de ton entourage. Accorder ta foi en qui que ce soit relève globalement de l'incompatible de tes cordes, toi qui agit religieusement de manière réfléchie et raisonnée, pessimiste et méfiant. Pourtant, avec la Stringer, tu es guidé par ton instinct, mouvé au rythme des déterminés battements de ton cœur. Tu es en chute libre avec elle, toutes les restrictions dont tu t'armes d'ordinaire dorénavant condamnées dérisoires. Seules quelques barrières persistent, qui sombrent toutefois une à une, car cette sensation de se trouver sur la même longueur d'ondes, de vous comprendre et de vous respecter, triomphe inexorablement sur toutes tes peurs face à l'idée de te démontrer vrai jusque dans tes failles et vulnérabilités.
Vous évoquez la compétition de Race of Australia à laquelle tu as participée. « Est-ce que vous êtes demeurés en contact, avec ta binôme? » Tu acquiesces avec réserve. Vous vous êtes quittés en excellents termes, Grace et toi, et tu lui seras éternellement reconnaissant de tout ce qu'elle t'a apporté durant cette course. Vous vous êtes rendus loin, étrangement fortunés quand peu auraient parié sur votre binôme très atypique, quand vous aviez non seulement les obstacles de la production à affronter mais ceux de vos propres histoires. Dès la première journée, la jeune femme t'avait inculqué de nombreux enseignements et surtout, un salutaire nouvel angle de vue sur ta vie. Tu relates à Penny, assez maladroitement, les raisons qui t'ont incitées à t'inscrire à l'émission de télé-réalité. Tes doigts pianotent nerveusement, distraitement, son flanc jusqu'à ce qu'elle y entremêle tendrement les siens. Tu sens sa main étreindre davantage la tienne alors que tu butes sur quelques mots, gage de son soutien, de son attention, de sa compréhension. « Et tu as réussi? À te trouver sur la route? » Tu réfléchis quelques instants avant d'opiner de nouveau. « Oui, j'ai réussi. En bonne partie. » Tu reconnaissais n'être encore qu'un chantier en construction, mais tu avais déniché de multiples outils au fil des jours passés dans ce cadre singulier. Tu étais parvenu à répondre à nombreuses de tes questions longtemps restées sans réponse. Tu avais pu survivre au poids de la culpabilité de tes choix imposés dès ton retour à Brisbane. Tu avais découvert que tu méritais une place et avais bien le droit de défendre tes propres intérêts. Tu avais assimilé que tu ne pouvais pas faire de bien autour de toi sans être bien toi-même. « Ca m'a beaucoup fait grandir, et ouvert les yeux. Ca m'a notamment aidé à apprendre à relativiser et avoir confiance en le futur, » tu souris doucement, logeant tes prunelles au creux des siennes. Tu étais intimement convaincu que Penny faisait partie de ton destin, qu'elle était l'une de ces raisons pour lesquelles tu avais pu trimer, être déçu, te sentir bafoué, trahi, démuni. Toutes tes embûches te paraissaient toutefois bien légères et pâles face à la lumière qu'elle faisait indéniablement irradier dans toute ton existence, tout ton organisme. « J'en tire peut-être un peu de ma sagesse, » tu ajoutes sur un ton léger, faisant référence à la sagesse que t'avais attribuée précédemment la célébrité.
Vos baisers remportent exponentiellement en intensité et les centimètres vous séparant sont progressivement annihilés. Tes mains couvent le corps de Penny comme l'on chérit un trésor tandis que ton souffle se mêle délicieusement aux siens, que vous langues se rencontrent avidement, que le goût de vos âmes s'enlace. Tu t'enivres de son parfum, de sa chaleur, de sa douceur. Ses mains sur ton épiderme créent de puissants frissons de volupté et peu à peu, les boutons de ta chemise se défont, tes propres mains se font plus vagabondes contre sa chaire. Votre enthousiasmant projet de vous évader sur Moreton Island est positionné dans votre futur, tu oses te réjouir ouvertement que l'actrice ne se rendra en Amérique Latine que pour une dizaines des jours, et tu lui rappelles que le rôle de VIP que tu lui as dédié plus tôt lui permet entre autres de passer tout le temps qu'elle le souhaite en ta compagnie. Quelque chose te dit que tu pourrais difficilement te lasser d'elle. « Il me semble me souvenir que tu m’avais promis de me lister les privilèges d’un tel rôle... » Ton rire se rompt lorsqu'elle prend de nouveau possession de tes lèvres et tu caresses sensuellement son dos sous sa robe noire. « Et je n'ai qu'une seule parole, » tu lui certifies en amont d'un baiser fougueux qui en rend ton organisme fiévreux.
Lucide, Penny invite à une visite des lieux, en particulier de ta chambre. Ses paroles t'arrachent un nouveau rire et après avoir baisé tendrement son cou, tu extraits tes mains de sous sa robe pour caler tes bras sous son fessier et la hisser du canapé. L'australienne émet un cri de surprise suivi d'un rire qui s'unit rapidement au tien. Ses jambes entourent ta taille, ses bras se logent derrière ton cou. Tu éteints le four puis la conduis jusqu'à ta chambre. Tu la déposes en douceur sur ton lit, articules des termes dont tu oublies promptement la sémantique, te laissant te réjouir une nouvelle fois que Penny et toi évoluiez sur la même longueur d'ondes. Séduite, ta bouche vient se presser suavement sur sa joue, semant une nuée de baisers le long de sa nuque alors que ta main vient se poser sur sa hanche, concluant votre étreinte, réinstaurant votre bulle, votre cocon que tu souhaites sain, sécuritaire, empli de bien-être et de symbiose, tant que tu sollicites la jeune femme de te stopper au moindre acte trop entreprenant à son goût. « Je veux pas que tu arrêtes. » Qu'elle t'indique en hochant la tête à la négative et tu sens une vague de concupiscence vibrer en toi. Précautionneusement, tu rassembles ses soyeux cheveux d'un côté de son épaule pour baisser la fermeture éclaire de sa robe, découvrant son dos sous ta bouche. Sa robe ne tarde pas à se dérober et tandis que la sublime vision de Penny en sous-vêtement se dévoile sous tes émeraudes admiratives, tu te missionnes de chérir chaque parcelle de son épiderme de cette affection croissante que tu lui voues toute entière.
Penny t'invite à la surplomber alors qu'elle s'allonge sur le matelas. Tes jambes entre les siennes, ses ongles s'imposent sans cérémonie dans ton dos, vos bouches se retrouvent dans une implosion d'impétueuses sensations qui mouvent avec ferveur tout ton corps, l'embrasent sans vergogne. Ton souffle se fait court alors qu'elle s'élève au rang de l'ultime qui existe dans ton monde, tout ce que tu veux au son sein. Ses jambes remontent le long des tiennes, tu enjôles l'une de ses cuisses dénudées d'une de tes mains sans quitter pour autant ses lippes que tu presses avec fougue, sa langue que tu caresses lascivement de la tienne. Ton cœur tambourine, cela te semble une éternité que tu ne t'es jamais senti aussi vivant alors que tu es persuadé que c'est la première fois que tu te sens exactement comme ça, avec quelqu'un. Les paumes de la jeune femme découvrent la peau de ton dos avant de s'immiscer dans ton pantalon et de ne donner cher du bouton de ce vêtement que tu laisses finalement choir sur le plancher avec sa robe, le contact des doigts de Penny à proximité de ton entrejambe révélant sans peine celle-ci gorgée de désir d'elle.
Tu romps peu à peu les centimètres qui vous séparent, ardent de sentir sa peau nue contre la tienne, envieux que sa chaleur se mêle à la tienne. Tu presses avec engouement ses lèvres des tes tiennes avant de t'en distancer légèrement, tes mains choyant avec réserve ses courbes délicates. Tu poses tes lèvres brûlantes dans son cou, sur sa clavicule, à la naissance de sa poitrine. Ta langue cajole la peau à la frontière de son soutien-gorge, ta bouche vient l'aduler patiemment, avant de s'en dérober pour jouer du chaud de tes baisers et du frais de ton souffle contre son ventre, ses hanches. Chaque parcelle de son corps t'envoûtent entièrement et tu aspires à lui faire comprendre sous tes caresses, sous tes baisers, à quel point tu la trouves sublime sur tous les plans, autant physiques que psychiques. Tes lèvres virent vers ses hanches, tes mains sont sur ses cuisses. Ton visage vient rejoindre ces dernières et tu te permets d'embrasser l'intérieur de sa cuisse, d'abord proche de son genou, avant de grimper lentement jusqu'à son sous-vêtement de dentelle. Tu lèves les yeux vers son visage pour t'assurer qu'elle est toujours dans la même optique de ne pas t'arrêter et ne lisant pas de négation sur ses traits, tu descends délicatement l'élastique de son bas le long de ses jambes, tes lèvres se posant en premier lieu sur la marque laissée sur son bassin avant de redescendre à l'intérieur de sa cuisse puis s'éprendre des lèvres desquelles tu n'avais pas encore goûtées, tes doigts poursuivant le tracé de tendres sillons sur ses cuisses et ses hanches.
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Penny Stringer
l’ère de l'apaisement
ÂGE : trente-deux ans (03.08.1992) SURNOM : Penny étant déjà le surnom de Penelope, difficile de faire bien plus court. STATUT : trois ans qu'il lui fait vivre la plus folle et la plus belle des histoires, Isaac est tout pour elle et plus encore. MÉTIER : maman à temps plein, elle partage le reste de son temps entre la fondation Run for Judy à l'hôpital, et la fondation Tomlinson, à défaut de se sentir prête à reprendre le chemin devant les caméras. LOGEMENT : nouvellement installée dans une belle grande maison à Bayside, qu'ils ont choisi ensemble avec Isaac et qui répond à tous les besoins de leur petite tribu. POSTS : 13982 POINTS : 0
TW IN RP : mentions d'agression sexuelle, neurodiversité, parentalité, mentions d'abandon d'enfant. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : elle a un jeune frère autiste qu'elle aime plus que tout et surprotège › fière belle-maman de Jude (13.09.2018) et maman de Maia (14.06.2022) et les jumeaux Jack et Mila (01.08.2023) › bénévole auprès des enfants malades depuis 2020 › être devant la caméra lui manque, mais elle sait son temps auprès des siens plus précieux que jamais.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : Penny crée des malaises en mediumorchid ou en teal. RPs EN COURS : (03) ≡ angus › chris › ethel.
+ the one and only(03) ≡ isaac #23 › isaac #24 › isaac (ff) › isaac (tel). RPs EN ATTENTE : andréa › harleen › micah #6 › riley #2 › rory #12 › you? RPs TERMINÉS :
Ton regard plongé dans le sien, ton pouce qui caresse doucement sa joue, tes paroles viennent souffler une promesse que tu lui fais indirectement. La promesse de ne pas te jouer de lui et de l’affection qu’il a à ton égard, de ne pas abuser de sa bonté et de sa personne comme d’autres ont pu le faire par le passé. Vos yeux ne se lâchent pas, tu as l’impression qu’il y a des dizaines, des centaines de mots peut-être même qui ne sont pas dits, mais qui sont pensés, qui existent juste là entre vous comme des évidences qui n’ont pas besoin d’être mises de l’avant tant elles font du sens dans vos esprits. Ses doigts se font plus insistants contre ton flanc, te retiennent contre lui un peu plus fort alors que vos souffles s’entremêlent chastement d’un baiser laisser à la commissure de ses lèvres. « Je sais. » Tu souris légèrement, ton cœur s’emballant un peu plus alors que tu te sens vulnérable comme jamais auparavant, mais aussi étonnamment forte, étonnamment solide, persuadée qu’avec lui, rien ne pouvait te faire du mal au point de te détruire comme tu avais pu l’être dans le passé. « Tu as déjà toute ma confiance. » Tu ne peux t’empêcher de venir entourer son visage de tes deux mains, rapprochant ton visage une fois de plus pour y déposer un baiser plus long cette fois, plus intense, remplie de cette sincérité et de cet honneur que tu ressens à l’idée qu’il t’accorde déjà une telle confiance, toi qui n’as pourtant pas l’impression d’avoir fait quoique ce soit de spécial pour mériter une telle chose. Tu sais que ce qu’il t’offre en ce moment est précieux, tout comme tu sais que les sentiments que tu ressens à son égard, ceux qui font en sorte que ton cœur s’emballe de la sorte chaque fois que tes yeux se posent sur lui, le sont tout autant.
Il hoche de la tête positivement lorsque tu lui demandes s’il est toujours en contact avec sa binôme de Race of Australia, sans toutefois te donner plus de détails sur cette dernière. Tu te dis que tu risques d’en apprendre plus sur elle quand tu prendras enfin le temps de regarder cette saison de la télé-réalité, définitivement curieuse de voir l’infirmier à l’œuvre devant la caméra, au beau milieu d’aventures et de folies en tout genre. Tu réalises toutefois bien vite que l’expérience n’a pas seulement été qu’un thrill quelconque de sa part, mais bien une transformation importante dans sa vie, un évènement qui aura laissé des marques importantes sur l’homme qui se trouve aujourd’hui devant toi. C’est avec attention et intérêt que tu écoutes chacun des mots qu’il t’offre sur son expérience, sur la manière qu’il l’a vécu, sur les quelques leçons qu’il retient et si tu étais déjà admirative avant que le sujet ne soit abordé, tu l’es encore plus maintenant qu’il t’offre petit à petit un aperçu plus complet, plus complexe de celui qu’il a été, de celui qu’il est et de celui qu’il souhaite devenir. « Oui, j’ai réussi. En bonne partie. » Ton sourire s’étire à nouveau, tes doigts qui continuent de serrer trop fort les siens, rassurée de l’entendre. « Ça m’a beaucoup fait grandir, et ouvert les yeux. Ça m’a notamment aidé à apprendre à relativiser et avoir confiance en le futur. » Tu hoches doucement la tête, toujours admirative. Tu avais toi-même eu ton lot de doutes en ce qui concernait ton futur, persuadée par moments que le meilleur était derrière toi, incapable de voir le beau qui pourtant avait inévitablement pointé le bout de son nez au moment ou tu t’y attendais le moins, au moins ou tu en avais le plus besoin. « Je suis persuadée qu’il y a pleins de belles choses dans ton futur. Tu le mérites. » que tu souffles doucement, ta voix qu’un murmure ne vivant qu’entre vous deux dans cette bulle qui fait disparaître le reste du monde. « J’en tire peut-être un peu de ma sagesse. » Le commentaire t’arrache un léger rire alors que ton front vient se poser contre le sien. « Je n’en doute pas. » Tu demeurais persuadée qu’il était doté d’une sagesse comme tu en avais rarement vu chez qui que ce soit, un recul et une expérience de vie qui semblait parfois lourde, mais aussi extrêmement enrichissante à sa façon. « J’ai beaucoup d’affection pour l’homme que je découvre, tout comme je n’ai aucun doute que j’en aurais eu autant pour celui que tu étais avant. » que tu t’oses finalement à dire, gênée de te permettre un tel commentaire, bien que profondément sincère. Persuadée que d’une certaine manière que tu ne pouvais expliquer, tu connaissais et comprenais chaque version de lui de la même façon qu’il semblait saisir l’essence même de ton être.
Les mots laissent rapidement place aux gestes, ceux qui crient de l’envie et du désir qui ne cesse de croître après chaque baiser, qui demande à être ressenti dans chaque parcelle de ton corps qui frissonne sous les différentes caresses du Jensen. Tu ne te tannes pas du goût de ses lèvres sur les tiennes, de la poigne de ses mains contre ta peau, de son odeur et de la douceur de sa peau que tu cherches sans réserve quand tu fais rapidement disparaître sa chemise, curieuse de le découvrir d’une façon que vous ne vous étiez pas permis jusqu’à ce soir. La conclusion tombe de part et d’autre que vous souhaitez passer autant de temps que possible ensemble avant ton départ pour le Mexique, une nouvelle que tu reçois avec soulagement tant il t’avait manqué quand tu étais à Monaco et tu ne doutais pas une seule seconde que le manque serait différent et bien pire maintenant que tu avais connu une proximité nouvelle avec lui. La mention de ton rôle de VIP te fait rire à nouveau entre deux baisers et tu lui rappelles que tu tiens toujours à savoir quels sont tes avantages d’avoir un tel titre. « Et je n’ai qu’une seule parole. » Tu pourrais bien lui demander de faire la liste maintenant, mais ses lèvres qui capturent les tiennes t’emportent ailleurs, te font oublier momentanément comment penser de manière logique, tes désirs désormais maîtres de toutes tes actions et de toutes tes pensées. Au point que lorsque tu suggères qu’il te fasse visiter sa chambre, tu n’as qu’une idée bien précise en tête : celle de le découvrir complètement, de te laisser aller à ces plaisirs que tu sembles avoir oublier dans la dernière année tant il y a longtemps que tu n’as pas laissé qui que ce soit te toucher de la sorte. Avec lui pourtant, tu n’appréhendes pas la prochaine caresse. Tu ne flanches pas au contact de ses doigts sur ta peau nue, il n’y a aucune tension qui s’installe dans ton ventre quand ses lèvres papillonnent de ta joue jusque dans ton cou. Il n’y a que des vagues de plaisir qui montent peu à peu et l’envie irrémédiable que ça ne s’arrête jamais.
C’est à la négation que tu réponds à son offre d’arrêter quand tu veux, dès que tu le veux. C’est avec le cœur qui bat à la chamade que tu le laisses te dévêtir lentement de ta robe que tu laisses tomber sur le sol sans jamais tenter de cacher ton corps nouvellement à découvert. Son regard te couvre et tu te sens comme si tu étais la chose la plus précieuse sur laquelle il n’avait jamais posé les yeux auparavant, sensation nouvelle et agréable alors que tu passes tes bras autour de son cou, t’emparant de sa bouche à nouveau et l’attirant vers toi alors que ton dos se moule contre le matelas. Ses mains découvrent tes cuisses nouvellement accessibles sans tout l’excès de tissus et tu deviens rapidement frustrée par la présence de son pantalon qui t’empêche le même genre d’accès. Tes doigts glissent de ses fesses jusqu’à sa taille, poursuivant leur chemin jusqu’au bouton de son pantalon que tu défais avec presse et il fait glisser ce dernier le long de ses jambes jusqu’à ce qu’il ne tombe sur le plancher, accompagnant ta robe, vêtements jugés désormais inutiles. Tes doigts pressent contre ses hanches, et tu laisses une de tes mains venir frôler avec agacement son entre-jambe par-dessus son boxer, avant de se perdre plus longuement sur sa cuisse alors que ses lèvres continuent de dévorer les tiennes. Ton souffle est court et tu ne peux empêcher de légers gémissements de naître entre deux baisers alors que ses mains découvrent avec plus d’insistance les différentes courbes de ton corps. Sa langue vient tracer un chemin de feu le long de ton cou, de ta clavicule jusqu’à la naissance de ta poitrine et tu penches légèrement la tête vers l’arrière alors que les nouvelles sensations te font tourner la tête de la plus divine des façons.
Tes mains ne lâchent jamais son corps, s’agrippant à son dos alors que ses lippes poursuivent leur chemin le long de ton ventre jusqu’à tes hanches, puis tu les sens descendre jusqu’à l’intérieur de tes cuisses ce qui vient provoquer de nouveaux soupirs, de plus en plus forts et répétés. Tu sens son regard qui se lève en ta direction, à la recherche d’une approbation muette que tu lui offres alors que tu viens te mordiller la lèvre entre deux soupirs et tu sens ton bas descendre le long de tes jambes, autre barrière ayant rejoint le reste de vos vêtements. Tu sens ses lèvres se poser délicatement sur ton bassin, laissant une nouvelle traînée de baisers là ou ton sous-vêtement tombait il y a de ça quelques secondes à peine. Tes doigts se perdent dans ses cheveux alors que sa langue découvre, titille et vient créer de nouvelles vagues de plaisir jusqu’à présent inégalées. Tes yeux se ferment pour apprécier en totalité l’amas de sensations qui t’envahit et tes hanches viennent automatiquement suivre le mouvement de sa langue et de ses lèvres, ses doigts sur ta peau provoquant d’autres frissons qui se mêlent à tout le reste. Quand les vagues deviennent trop puissantes, c’est ton corps et ta gestuelle qui lui fait comprendre de tremblements et de gémissements peu contenus et tu l’attires à nouveau vers toi, venant posant tes lèvres dans son cou. Tu viens t’asseoir sur son lit, le forçant ainsi à se mettre à genoux devant toi et d’une main, tu viens défaire l’attache de ton soutien-gorge que tu laisses à son tour tombé sur le plancher. Tu viens passer tes bras autour de son cou une nouvelle fois alors que tu retrouves ses lèvres dans un baiser toujours aussi enflammé, ta poitrine se pressant contre son torse alors que vos corps se cherchent, se trouvent et s’enflamment l’un contre l’autre. Tu viens détacher tes lèvres des siennes et vient à ton tour laisser ta langue et tes lèvres découvrir son corps avec une nouvelle attention, laissant ses dernières se frayer un chemin le long de son torse, descendant lentement sur son ventre jusqu’à la barrière du dernier vêtement à encore se trouver entre vous. Tes mains viennent agilement trouver la couture de son boxer et tu fais descendre le vêtement le long de ses jambes, le découvrant ainsi complètement, laissant tes doigts lui infliger de nouvelles caresses alors que tu reprends le jeu de baiser sur son torse, ta main libre s’agrippant à ses hanches. Tu laisses son corps et ses réactions te guider dans tes mouvements, mouvant tes doigts de façon à lui procurer les meilleures sensations comme il avait su le faire pour toi, complètement envoûtée par le moment et le besoin incessant d’aller jusqu’au bout, mêlant tes lèvres et tes langues à ces nouvelles caresses sur son entrejambe.
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Isaac Jensen
le coeur au bout des doigts
ÂGE : 34 ans (13.05.90) SURNOM : Isy STATUT : Penny est le soleil et l'amour de sa vie, l'évidence avec laquelle il écrit sa plus belle histoire et s'autorise à réaliser des rêves de bonheur (06.07.2021) MÉTIER : Infirmier au service des urgences, président de l'association Run for Judy, infirmier bénévole à la Croix Rouge et aux Flying Doctors, sapeur-pompier volontaire et surtout : papa comblé de Jude (13.09.2018), Maia (14.06.2022), Jack et Mila (01.08.2023) LOGEMENT : Penny et lui ont quitté Toowong en 2024 pour s'installer avec leurs enfants à Bayside et y créer leur cocon à l'image entière de leur amour POSTS : 28708 POINTS : 0
TW IN RP : dépression, anxiété, automutilation, idées suicidaires, tentative de suicide, mentions d'abandon d'enfant PETIT PLUS : Emménage à Brisbane en 2003 ∆ il exerce en qualité d'infirmier au st vincent's depuis 2006 puis est affecté aux urgences en 2013 ∆ une suite de blessures anéantit sa carrière de joueur de football australien en 2010 ∆ il attente à ses jours en mars 2018 et reprend le travail en septembre 2018 ∆ finaliste de ROA en 2020 ∆ il se soigne contre son anxio-dépression, après avoir longtemps refusé son diagnosticCODE COULEUR : Isy s'exprime en #9966ff ou slateblue RPs EN COURS :
La chamade entraîne ton cœur au sein de cette proximité nouvelle, rythmée par les baisers partagés, les souffles mêlés, les doigts enlacés. Vos termes s'échangent telles des pierres de l'édifice de votre relation toute singulière, qui te hisse vers des cieux dignes d'une sereine idylle. Tu n'éprouves aucune difficulté à avouer à Penny que tu lui voues toute ta confiance, que tu es persuadé qu'elle n'a aucune l'intention de jouer une mascarade vis-à-vis de ta personne. Peut-être que l'affection que tu lui dédies te rendrait aveugle, comme l'adage se complaît à le signifier, mais tout en toi t'inspire à croire en la sincérité et l'authenticité que l'australienne te démontre. Tout ton être s'implique dans cette complicité qui se développe entre vous, nouée à des sentiments de plus en plus profonds, puissants. Ses mains se posent sur tes joues et elle t'embrasse plus longuement, tes poumons s'emplissent de cet oxygène teinté de bonheur, d'innovation, de plénitude. Tu es peut-être totalement envouté, mais lorsque ton regard croise le sien, il n'y a qu'elle qui existe, laissant naître un vœu pieu de demeurer à ses côtés, tant elle sait te rendre heureux en étant simplement elle.
Tu te souviens chèrement de ces premiers messages textes, adressés sans fioriture aucune, d'une simplicité déconcertante qui aurait pu les faire se perdre aisément dans une vulgaire boîte de réception. Tu considères que la bonne fortune était de ton côté cette soirée-là pour que tu sois sur ton téléphone et réponde derechef à l'actrice. Et rapidement, les heures avaient filé comme si elles n'étaient que de courtes minutes, les quelques caractères transmis s'étaient transformés en longs messages qui avaient porté progressivement une connexion particulière, forgée de souvenirs, de confidences, de bribes de soi. Ils vous avaient guidé vers ce premier rendez-vous heurté par l'imprévu, puis reprogrammé pour la poursuite de cette route sur laquelle vous vous trouviez désormais. Tu ignorais prodigieusement de quoi votre futur était composé, mais une chose était sûre : tu priais de marcher encore longtemps aux côtés de la vingtenaire.
Tu lui exposes les raisons qui t'ont motivé à t'inscrire à Race of Australia ainsi que quelques parts de son déroulement. C'est avec un soulagement retenu que tu lui réponds que tu étais parvenu à récupérer, sur le trajet épique de cette compétition, des outils nécessaires à façonner ton épanouissement, mais également des lumières permettant d'éclaircir les zones t'ombres qui te dévoraient jusqu'alors. Tu pensais que cette expérience t'avait rendu plus solide et également plus ouvert d'esprit. « Je suis persuadée qu’il y a pleins de belles choses dans ton futur. Tu le mérites. » Tu souris doucement, ton regard se plongeant affectueusement dans le sien, porteur d'espoir, de confiance, d'admiration. « Si tu y es, il vaudra toutes les belles choses du monde, » tu formules dans un soupire, tel un secret, avant de reprendre avec davantage de légèreté que peut-être avais-tu tiré quelques leçons de sagesse via ta participation à l'émission de télé-réalité. La jeune femme rit en retour, ton sourire s'élargit sur ton portrait, vos fronts se posent doucement l'un l'autre l'autre. « Je n’en doute pas. » Tu viens poser tendrement un baiser sur sa joue. « J’ai beaucoup d’affection pour l’homme que je découvre, tout comme je n’ai aucun doute que j’en aurais eu autant pour celui que tu étais avant. » Tes lèvres demeurent en suspens, flottant à quelques millimètres de sa peau. Ton cœur se serre doucement de l'entendre articuler de telles paroles sans qu'elle ne sache tout de ton passé. L'assurance qu'elle t'offre t'émeut, apaise même quelque peu ta hantise que Penny se détache de toi lorsqu'elle découvrira les combats quotidiens que tu mènes dans le volet de ta précaire santé mentale. Tu as conscience qu'il te faudra l'en informer, en particulier considérant votre relation de plus en plus sérieuse ; il te faudra te mettre à nu sur cette part de toi que tu caches encore à la majorité de ton entourage dont ta propre famille exempté ta sœur. La clef repose finalement sur la confiance, tu imagines. Même si le choix reviendra entièrement à la Stringer d'opter à poursuivre ou pas vos fréquentations en dépit de tes maux, il sera indispensable que tu le lui présentes, ton courage alors armé de cette foi qui t'éprends lorsque tu penses à elle.
Les centimètres s'envolent entre vous ainsi que quelques barrières au fil de vos baisers, de vos mains l'un sur l'autre. Ta chemise se dérobe de tes bras après que tes mains chérissent ses flancs sous sa robe. Votre futur proche est ancré d'une escapade sur Moreton Island et de temps passé ensemble avant son départ pour le Mexique, son rang de VIP l'autorisant bien. Ta remarque la fait de nouveau rire et la mélodie de sa gaieté ricoche contre ton palpitant, à laquelle tu fais les harmonies. Tu reprends ensuite sensuellement possession de ces lèvres desquelles tu te condamnes désormais inassouvi. Alors que la ferveur s'invite, que les baisers et les caresses se multiplient, Penny suggère que vous vous rendiez dans ta chambre et sans te faire prier, tu abandonnes ton haut sur le canapé tout en hissant la Stringer de tes bras pour la guider vers cette destination. Tu la poses avec délicatesse sur le matelas de ton lit et tout en la priant de t'arrêter dès la moindre esquisse de malaise, tout en l'entendant stipuler en réponse qu'elle ne souhaite pas que vos embrassades cessent, tu t'enivres de nouveau de la douceur de sa chaire en la dévêtant de sa robe, baisant fiévreusement chaque parcelle que tu découvres sous ta bouche.
Penny t'attire en position allongée et tu cales tes bras de part et d'autres de son buste alors que ses jambes entourent ta taille. Tu l'admires sans vergogne, ton cœur tonitruant de sentiments, ton organisme implosant de volupté. Tu ne sais pas ce que tu as fait pour mériter une telle femme à tes côtés, mais une chose est certaine : tu valorises toute l'unicité que Penny représente et choies déjà toutes les parts d'elle que tu connais, sans exception aucune. Tu viens l'embrasser langoureusement, l'une de tes mains caressant sa cuisse, tandis que ses doigts s'aventurent dans ton dos jusqu'à ton pantalon, créant d'indéniables frissons de plaisirs sous leur passage. Elle en défait le bouton et tu te débarrasses du vêtement. Vos peaux se retrouvent, vos chaleurs ne font qu'une. Les paumes de la jeune femme viennent presser tes hanches, votre baiser épouse une telle exaltation que seul ton souffle saccadé te force à l'interrompre ici et là. Tu sens sa main effleurer ton entrejambe qui présente avec une indubitable conviction l'envie, le plaisir et le désir qu'elle induit en toi. Tu soupires doucement contre sa peau, souverainement épris d'elle, les légers gémissement se glissant hors de sa bouche se ricochant en toi par de puissantes vagues de volupté. Ton cœur martèle intensément ta poitrine, ton sang bout dans tes veines, et tu abandonnes momentanément ses lippes pour venir choyer son corps de tes baisers, de ta langue. Tu veux marquer sa chaire de ces sentiments si profonds que tu ressens à son égard, comme si tu souhaitais la recouvrir des trésors les plus précieux que tu détenais. Tu aspires à la sentir frémir contre toi pour mieux la réchauffer de ton ardeur. Tu la veux toute contre toi, l'entièreté de ce qu'elle compose dans ta sincère étreinte.
Ta bouche chemine sensuellement, baise tendrement la naissance de sa poitrine encore couverte de son soutien-gorge avant de tracer une suite de baisers chauds sur son ventre, une de ses hanches, de ses cuisses. Ta respiration se saccade sous la mélodie des gémissements que Penny soupire et qui t'encourage dans la poursuite de tes preuves d'affection. Après avoir capté son aval, tu la dénudes de son bas de sous-vêtement, t'attardant sur la chaire encore marquée par l'élastique, passant sensuellement ta langue sur son bassin. Ses mains viennent se loger dans tes cheveux alors que tu reprends place à l'intérieur de sa cuisse et viens avec délicatesse effleurer de ta bouche ses lèvres, adaptant tes gestes à la danse de son corps et à l'intonation de ses gémissements vis-à-vis du plaisir que tu lui prodigues.
Le corps de Penny se contracte davantage et tu te redresses alors qu'elle se met en position assisse. L'actrice t'attire contre elle, ses lèvres retrouvent avec délectation les tiennes. Ta main glisse dans son cou, tes doigts se mêlent à ses cheveux qui coulent en cascade sur sa peau dénudée, puis bientôt sa poitrine qu'elle dévoilera en détachant son soutien-gorge. Ses bras passent autour de ton cou, sa chaleur t'enivre de toute part, ses seins fermes et toniques te rendent passionné contre sa bouche. Tu regrettes brièvement le goût de ses lèvres lorsqu'elle se détache pour arpenter ton torse. Ta main vient caresser son dos et dégager son visage de ses cheveux alors qu'elle rend chaque parcelle de ton corps qui passe sous son souffle effervescente. Ton cœur martèle ta cage thoracique, ton souffle est court, la température de ton organisme atteint des sommets et tu fermes quelques instants les yeux lorsqu'elle ôte la dernière barrière de tissu entre vous.
Ton boxer ayant rejoint l'amas de vêtement sur le plancher, tu émets des soupirs de satisfaction de plus en plus audibles face aux caresses et aux embrassades de la jeune femme sur ta personne. Ton échine n'est que frissons de plaisirs, ton épiderme révèle ton désir alors que sous sa main ton envie est d'une flagrance incontestée. Tes soupirs se transforment en râles de concupiscence et dès que les sensations atteignent un niveau trop périlleux, tu invites Penny à revenir au niveau de ton visage. Ta langue vient retrouver avec délice la sienne, une de tes mains se pose dans son dos et l'autre au niveau de ses fesses pour la tenir toute contre toi, ta virilité érigée contre son bas-ventre. Tu l'inclines doucement de sorte à l'allonger sur le matelas. A tâtons une de tes mains vient se glisser dans le tiroir de ta table de chevet pour en saisir un préservatif que tu laisses encore pour l'instant dans son emballage, tes lippes trop avides des siennes.
Tu caresses suavement l'une de ses cuisses alors que tu te perds dans l'intensité de votre baiser, mêlant passion, incandescence et ferveur. Tu inspires son parfum et t'attardes ensuite méticuleusement contre son cou, ne souhaitant pas l'y laisser de marque, avant de glisser de nouveau sur son buste et venir choyer sa poitrine, muni d'une douceur qui jure avec vos baisers embrasés.
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Penny Stringer
l’ère de l'apaisement
ÂGE : trente-deux ans (03.08.1992) SURNOM : Penny étant déjà le surnom de Penelope, difficile de faire bien plus court. STATUT : trois ans qu'il lui fait vivre la plus folle et la plus belle des histoires, Isaac est tout pour elle et plus encore. MÉTIER : maman à temps plein, elle partage le reste de son temps entre la fondation Run for Judy à l'hôpital, et la fondation Tomlinson, à défaut de se sentir prête à reprendre le chemin devant les caméras. LOGEMENT : nouvellement installée dans une belle grande maison à Bayside, qu'ils ont choisi ensemble avec Isaac et qui répond à tous les besoins de leur petite tribu. POSTS : 13982 POINTS : 0
TW IN RP : mentions d'agression sexuelle, neurodiversité, parentalité, mentions d'abandon d'enfant. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : elle a un jeune frère autiste qu'elle aime plus que tout et surprotège › fière belle-maman de Jude (13.09.2018) et maman de Maia (14.06.2022) et les jumeaux Jack et Mila (01.08.2023) › bénévole auprès des enfants malades depuis 2020 › être devant la caméra lui manque, mais elle sait son temps auprès des siens plus précieux que jamais.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : Penny crée des malaises en mediumorchid ou en teal. RPs EN COURS : (03) ≡ angus › chris › ethel.
+ the one and only(03) ≡ isaac #23 › isaac #24 › isaac (ff) › isaac (tel). RPs EN ATTENTE : andréa › harleen › micah #6 › riley #2 › rory #12 › you? RPs TERMINÉS :
C’est ce que ta mère disait toujours. Des dizaines de fois, tu lui avais demandé comment elle avait su que faire sa vie avec ton père était ce qu’elle désirait et toujours, c’est la réponse qu’elle t’offrait. Tu avais beau lui demandé de t’en dire plus, de creuser et d’aller chercher des réponses plus concrètes, elle s’était toujours fait un point d’honneur de ne t’offrir que ces quelques mots. Tu n’avais jamais su, avant. Tu étais tout ce qu’il y a de plus débutant lorsqu’il s’agissait de relation sérieuse, d’engagement quelconque envers qui que ce soit. Longtemps, tu avais été adepte des fréquentations passagères, des flirts qui font passer le temps, qui créent de bons moments sans jamais que tu ne cherches à pousser les choses plus loin. Le seul avec qui tu avais légèrement baissé ta garde, changer les règles du jeu par le passé était Micah. Aujourd’hui toutefois, tu réalisais que malgré les sentiments et l’affection que tu éprouvais autrefois pour l’acteur, la relation semblait vouée à l’échec dès le départ de part ces multiples zig-zags, votre impossibilité à communiquer clairement et vos désirs fondamentalement différents. Tu te plaisais dans ces histoires sans avenir, presque persuadée que tu n’étais vouée qu’à ça, ayant laissé loin derrière cette idée qu’un jour, toi aussi tu allais savoir, comme ta mère avant toi. Puis il y avait eu l’agression et tous les chamboulements que cette dernière avait causé dans ta vie, sur ta personne, sur ta façon de voir la vie et sur les nouvelles vulnérabilités qui entouraient ton cœur. Des mois durant, tu avais travaillé d’arrache-pied pour te retrouver, trébuchant plus souvent qu’à ton tour dans cette quête et encore aujourd’hui, tu n’étais pas certaine de savoir pleinement qui tu étais, qui tu voulais être. Comme Isaac toutefois, tu avais la certitude que les derniers épisodes de ta vie t’avaient équipé tranquillement pour que tu puisses te tenir debout à nouveau, pour que tu puisses t’ouvrir à ce que la vie et le futur pouvaient t’offrir, désormais réceptive à ce qui pouvait se placer sur ton chemin. Maintenant que tu ne cherchais plus, que tu ne te posais pas de questions, que tu te laissais guider par cette destinée qui avait sans aucun doute un plan bien précis pour toi, tu te trouvais devant une évidence qui te remplissait d’une certitude nouvelle : ta mère avait raison.
When you know, you know.
Ton regard plongé dans celui d’Isaac, tu étais persuadée de savoir, de comprendre désormais. Il n’y avait pas d’autres façons de l’expliquer, pas d’argument logique pour tenter de faire sens de l’affection qui irradiait dans ton tout être lorsque tu étais avec lui. Tu ne te reconnaissais pas, de la plus surprenante et de la plus belle des façons toutefois alors que tu avais l’impression d’offrir à l’infirmier une partie de toi qui n’avait jamais appartenu à quiconque par le passé. Cachée, enfouie, à l’abri des intempéries, précieusement gardée dans l’espoir qu’un jour, quelqu’un de bon puisse la faire ressortir. Et sans doute aucun, alors que ses lèvres trouvaient si aisément le chemin des tiennes, alors que ses doigts s’entrelaçaient parfaitement des tiens, tu savais que cette personne était Isaac. Surtout quand des mots comme « Si tu y es, il vaudra toutes les belles choses du monde » filaient de ses lippes, une confirmation de plus que lui aussi, ressentait toutes ces choses qui te chamboulaient de part et d’autre, celles que tu avais accueillies avec incertitude et précaution jusqu’à ce que vos rapprochements ne viennent faire céder toute protection, extrapolant par milliers les sentiments que tu éprouvais à son égard. Tu les avais pourtant toutes entendues, les histoires d’amour complètement folles. Toutes regardées dans ces films et ces émissions que tu chérissais tant, te perdant parfois même dans des rôles, mais jamais tu n’avais imaginé que ça t’arriverait à toi et que tu te sentirais de cette façon. Que la certitude serait telle qu’elle te couperait le souffle, qu’elle viendrait prendre le dessus sur tout le reste, qu’elle tairait avec une facilité déconcertante tous tes doutes et toutes tes peurs jusqu’à présent transportés. Tu ne savais pas de quoi demain était fait, incapable de dire de quoi serait constitué ton histoire avec Isaac mais tu savais que tu viendrais à chérir tous les moments passés avec lui, prête à découvrir tout ce qu’il avait à t’offrir, prête à ton tour à lui donner tout ce qu’il y avait de mieux, persuadée que c’est ainsi que ce devait être et pas autrement. Juste là dans ses bras, dans les caresses et dans les baisers, tu laissais tombées chacune de tes barrières sans jamais n’avoir envie de l’arrêter, de t’arrêter, la chute délicieuse.
When you know, you know.
Ton corps vibre en entier sous les différentes sensations que le brun vient déclencher avec ses lèvres et sa langue, ton organisme s’enflammant sous chacune des caresses prodigieusement exécutées. Cette danse envoûtante te prodigue un premier orgasme alors que tes gémissements témoignent de la vague de plaisir à laquelle tu t’abandonnes complètement pendant quelques instants. C’est le cœur battant à la chamade que tu te redresses et tu cherches déjà à retrouver la douceur de ses lèvres, la chaleur de son corps contre le tien. Tu viens faire tomber ton soutien-gorge, souhaitant te départir de quelconque barrière t’empêcherait de pleinement joindre ton corps à celui du Jensen. Sa main vient se glisser contre ton cou alors que vos baisers s’intensifient à nouveau, ses doigts s’emmêlant dans tes cheveux et les tiens s’enfonçant un peu plus dans la chaire de son dos auquel tu t’accroches comme si ta vie en dépendait. Tu renverses la cadence doucement alors que tu détaches tes lèvres des siennes pour lui prodigue de nouvelles sensations. Tu découvres son corps avec une envie ardente, tes yeux se délectent autant que tes lèvres qui viennent goûter chaque parcelle nouvellement accessible de sa peau. Ton souffle est toujours court des vagues de plaisir qu’il vient de t’offrir avec tendresse et attention, tes doigts dansent sur son torse, descendent dangereusement le long de son bas ventre, filent mesquinement sur ses cuisses pour mieux revenir sur les zones plus sensibles, un jeu dans lequel tu te perds sous les respires d’Isaac qui se font de plus en plus saccadés, de plus en plus en lourds. Il vient dégager tes cheveux de ton visage, posent ensuite ses mains dans ton dos alors que tu t’attardes à faire tomber la dernière barrière physique entre tes caresses et son entrejambe. Tu intensifies le rythme, y ajoute la danse de tes lèvres et de ta langue, poussant le plaisir à son maximum, encouragée par les râlements qui s’échappent de la gorge de l’infirmier.
Il te ramène à lui et capture tes lèvres sans cérémonie. Tes bras viennent se lier autour de son cou, tes doigts glissant le long de sa nuque alors que tu sens ses mains se placer dans ton dos et sur tes fesses pour mieux te tenir contre lui. Tu sens son poids se presser doucement contre toi, t’invitant à t’allonger à nouveau contre le matelas alors qu’il reprend sa place au-dessus de toi sans jamais que vos bouches ne se séparent. Tu entends le bruit du tiroir qui s’ouvre, tu devines ce qui se trouve désormais entre les doigts du brun alors que vos jambes s’entremêlent, que tu sens sa main libre qui vient se glisser le long de ta cuisse, créant un nouveau sillon de frissons sur ta peau. Ses lèvres quittent les tiennes pour redescendre le long de ton cou. Il dépose une nouvelle traînée de baisers sur ta peau brûlante, la sensation de sa langue sur ta poitrine provoquant de nouveaux soupirs peu contenus de ta part. D’une main sur sa joue, tu rapproches son visage du tien sans pourtant poser tes lèvres contre les siennes. Tu accroches son regard alors que tes doigts viennent s’emparer du préservatif que tu sors de son emballage. C’est dans une dernière caresse que tu le mets en place et avant de replacer tes bras autour de son cou, l’attirant contre toi alors que tu laisses ton dos retombé complètement contre le matelas. D’un accord silencieux, sans que vos regards ne se quittent, vos corps ne font plus qu’un alors que d’un coup de bassin, tu lui appartiens. Tu deviens complètement sienne quand la danse se fait lente et lascive, quand elle prend un nouveau rythme, quand elle te transporte complètement alors que vos lèvres se cherchent et se trouvent dans des baisers entrecoupés de vos soupirs, quand tes lèvres se perdent contre sa clavicule et que tes doigts s’enfoncent dans son dos et que les vagues de plaisir te martèlent sans préavis. Quand tu perds toute notion du temps, que les montées de plaisir se succèdent de façon que vous y trouviez tous les deux une jouissance certaine.
Lovée contre lui, jambes toujours entremêlées avec les siennes, tu reprends tranquillement ton souffle alors que tes doigts continuent de danser distraitement sur son torse. La sensation de bien-être est euphorique alors que vos corps retrouvent tranquillement leur température normale et tu te perds dans tes pensées, souhaitant que ce moment précis ne s’arrête jamais. Tu viens lentement posée tes lèvres dans son cou avant de lever légèrement la tête, attirant son attention et accrochant ainsi son regard. « Dis-moi un secret. » que tu lui demandes d’une petite voix, toujours aussi avide de le découvrir de toutes les façons possibles.
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Isaac Jensen
le coeur au bout des doigts
ÂGE : 34 ans (13.05.90) SURNOM : Isy STATUT : Penny est le soleil et l'amour de sa vie, l'évidence avec laquelle il écrit sa plus belle histoire et s'autorise à réaliser des rêves de bonheur (06.07.2021) MÉTIER : Infirmier au service des urgences, président de l'association Run for Judy, infirmier bénévole à la Croix Rouge et aux Flying Doctors, sapeur-pompier volontaire et surtout : papa comblé de Jude (13.09.2018), Maia (14.06.2022), Jack et Mila (01.08.2023) LOGEMENT : Penny et lui ont quitté Toowong en 2024 pour s'installer avec leurs enfants à Bayside et y créer leur cocon à l'image entière de leur amour POSTS : 28708 POINTS : 0
TW IN RP : dépression, anxiété, automutilation, idées suicidaires, tentative de suicide, mentions d'abandon d'enfant PETIT PLUS : Emménage à Brisbane en 2003 ∆ il exerce en qualité d'infirmier au st vincent's depuis 2006 puis est affecté aux urgences en 2013 ∆ une suite de blessures anéantit sa carrière de joueur de football australien en 2010 ∆ il attente à ses jours en mars 2018 et reprend le travail en septembre 2018 ∆ finaliste de ROA en 2020 ∆ il se soigne contre son anxio-dépression, après avoir longtemps refusé son diagnosticCODE COULEUR : Isy s'exprime en #9966ff ou slateblue RPs EN COURS :
Vous avez déserté l'étage inférieur de la maisonnée, faisant fi des potentiels plans d'origine d'une soirée orchestrée notamment autour d'un repas, abandonnant sans vergogne aucune une lasagne dans le four lorsque le tambour de vos cœurs s'embrasaient exponentiellement. La raison te paraît avoir été bannie dès l'instant où tu as osé, le cœur battant, effleurer les lèvres de la Stringer des tiennes, dès le moment où tu as goûté sa bouche, happé son souffle. Tes esprits se sont consumés alors que tes doigts découvraient sa peau avec une attention tendre, que tes lèvres insatiables savouraient sa chaire dans l'ultime objectif de chérir son être tout entier. Tu ignores si écouter ces émotions qui tonitruent fortement en ton être relève de la folie, mais une chose t'est certaine : cette soirée fera partie de l'une des plus belles de ton histoire.
Une valse lascive de vos corps s'entame lorsque vous passiez le seuil de ta chambre. Les vêtements jonchent un à un le sol, chaque parcelle des épidermes choyées dès qu'elles se trouvent dénudées. Tu baises sensuellement le moindre centimètre carré de peau dont tu as accès, traçant des sillons d'honnêtes affections, faufilant des nuées de baisers, déposant de sincères papillons dont les ailes battent la mélodie des sentiments que tu dédies à Penny. Vos peaux ne se quittent plus, vos lèvres se dépossèdent pour avidement se presser, vos souffles se mêlent lorsque vos jambes et vos doigts s'entremêlent, vos pupilles s'échangent des mots qui n'existent pas encore, prunelles de vos âmes. Tes paumes la couvent suavement même lorsque tes lippes se veulent plus téméraires. Ton organisme s'apparente à l'effervescence quand tu la sens frémir de plaisir sous ta gestuelle, tu te délectes du plaisir que tu cueilles au bord de sa chaire, de ses soupirs profonds.
A votre rythme, vous vous retrouviez tels Adam et Eve. Ton souffle a adopté une saccade périlleuse tandis que ton être est fiévreux, malade d'estime d'elle. Une félicité s'installe assurément en toi, tu poursuis ta quête de manifester ton estime sur le corps de la vingtenaire. Chaque geste qu'elle effectue sur ta personne invoque désormais un incandescent brasier de sensations, un frisson électrique et frénétique qui t'en ferait perdre prodigieusement la tête. Tu l'allonges doucement sur le lit sans quitter sa bouche que tu embrasses avec passion et ferveur, l'une de tes mains se glissant dans le tiroir de ta table de chevet alors que l'autre caresse la cuisse qu'elle a remonté contre ton flanc. Ta langue entraîne la sienne dans une danse fougueuse, comme si elle désirait lui exprimer toutes ces émotions qu'elle te faisait ressentir à travers l'intensité de ses lascives caresses. Ta bouche sème des baisers jusqu'à sa poitrine, sans laisser pour compte sa mâchoire, son cou, sa clavicule. La concupiscence s'accroît indéniablement à la mélodie de ses soupirs éloquents et sa main contre ta joue te ramène à son portrait. Ton sang bout alors que sa main se réoriente vers ton entrejambe exposant avec flagrance ton envie d'elle et le plaisir que tu ressens vis-à-vis de vos échanges. Ta respiration se casse contre ses lippes alors qu'elle y enfile le préservatif et t'entraîne de nouveau en position allongée, ta personne la surplombant. Vos manifestations de plénitude se joignent alors que dans une nouvelle étreinte, vous ne faites plus qu'un.
Ton corps ivre d'elle la rapproche tendrement. Son parfum te berce alors que ton organisme reprend peu à peu un rythme normal, bien que l'esprit demeure envoûté des puissantes et exceptionnelles déferlantes de sensations que tu as éprouvées avec Penny. Ses doigts reprennent leurs dessins sur ton torse, tes lèvres se posent doucement sur sa tempe. Un silence épanoui vous enveloppe et tes doigts effleurent affectueusement son épaule dénudée. Tu sens ensuite la bouche de la Stringer se loger dans ton cou, avant qu'elle ne se redresse un peu plus contre toi pour articuler : « Dis-moi un secret. » Un sourire en coin apparaît sur ton minois, ne t'attendant certainement pas à une question de la sorte sur votre premier et mémorable partage d'oreiller et de draps.
Les secondes filent, les secrets défilent dans ta mémoire. Tu pourrais lui expliquer la sémantique du tatouage que tu arbores sur ton bras. Tu pourrais lui relater les embûches de ta route. Tu pourrais lui conter tes désirs inavouables, tes rêves farfelus, tes regrets amers, tes expériences fantasques, tes souvenirs si précieux que tu les as rendus muets. Tu pourrais subir un certain embarras du choix à déterminer quel rideau voilant une partie de toi tu pourrais lever ce soir, pourtant, ton cœur qui palpite encore d'euphorie pointe, intransigeant, vers une évidence que même ta raison ne saurait contenir. Si bien que naturellement, les termes franchissent la barrière de tes lèvres, authentiques rebelles que tu ne saurais démentir, retenir, bafouer. « Je tombe en amour avec toi. »
Et Dieu que cette chute, aussi vertigineuse et époustouflante soit-elle, aussi imprévisible que sensationnelle, aussi soudaine que franche, est la plus merveilleusement inestimable que tu n'aies jamais connue. Elle fait vociférer ton être d'un incommensurable bonheur alors qu'il proclame être en vie comme jamais il ne l'a paru été auparavant, pulsé d'un rush de la magie qu'opère Penny sur toi comme l'adrénaline qui enveloppe délicieusement, extraordinairement, tout saut de l'ange. Tu ne sais pas si tu vogues vers les cieux ou vers le sol mais dans cette prestigieuse désorientation, tu ne souhaites pas lâcher sa main providentielle.
:
Penny Stringer
l’ère de l'apaisement
ÂGE : trente-deux ans (03.08.1992) SURNOM : Penny étant déjà le surnom de Penelope, difficile de faire bien plus court. STATUT : trois ans qu'il lui fait vivre la plus folle et la plus belle des histoires, Isaac est tout pour elle et plus encore. MÉTIER : maman à temps plein, elle partage le reste de son temps entre la fondation Run for Judy à l'hôpital, et la fondation Tomlinson, à défaut de se sentir prête à reprendre le chemin devant les caméras. LOGEMENT : nouvellement installée dans une belle grande maison à Bayside, qu'ils ont choisi ensemble avec Isaac et qui répond à tous les besoins de leur petite tribu. POSTS : 13982 POINTS : 0
TW IN RP : mentions d'agression sexuelle, neurodiversité, parentalité, mentions d'abandon d'enfant. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : elle a un jeune frère autiste qu'elle aime plus que tout et surprotège › fière belle-maman de Jude (13.09.2018) et maman de Maia (14.06.2022) et les jumeaux Jack et Mila (01.08.2023) › bénévole auprès des enfants malades depuis 2020 › être devant la caméra lui manque, mais elle sait son temps auprès des siens plus précieux que jamais.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : Penny crée des malaises en mediumorchid ou en teal. RPs EN COURS : (03) ≡ angus › chris › ethel.
+ the one and only(03) ≡ isaac #23 › isaac #24 › isaac (ff) › isaac (tel). RPs EN ATTENTE : andréa › harleen › micah #6 › riley #2 › rory #12 › you? RPs TERMINÉS :
Tu avais passé tellement de temps à appréhender ce moment, que tu n’avais jamais vraiment pensé qu’il pourrait se dérouler dans une douceur infinie avec une personne pour qui tu aurais une confiance aveugle, certaine. Pourtant, alors que tu te perds dans les bras d’Isaac, que chaque caresse fait renaître des sensations longtemps oubliées, c’est exactement ce qui se passe. Il n’est plus question d’avoir peur, plus question de redouter les contacts, plus question de paniquer sous les doigts qui se pressent sur ta peau, qui se font curieux, explorateurs. Ce ne sont que souffles et gémissements échangés sous des baisers qui n’en finissent plus, qui racontent une histoire que tu as toujours rêvé d’entendre, mais que tu découvres exactement comme si c’était la toute première fois. Les mots te plaisent, la mélodie encore plus et tu te laisses bercer par les vagues de plaisirs qui vous consument, qui vous transportent, qui rendent ce moment tout ce qu’il y a de plus beau à tes yeux. Au fond de toi, tu sais que tu n’aurais pas pu espérer mieux, comme seconde première fois, un renouveau longuement attendu mais qui aurait valu chaque seconde patientée pour finalement faire son chemin jusqu’à Isaac.
Tu fermes doucement les yeux alors que tu sens les doigts d’Isy qui caresse doucement ton épaule, que tu sens ses lèvres se poser tendrement contre ta tempe alors que tu te blottis un peu plus contre lui, ne voulant pas perdre ne serait-ce qu’une parcelle de la chaleur et de la douceur de sa peau sur la tienne. Ta respiration est toujours haletante alors que tu profites du silence dans la pièce, le corps et l’esprit encore secoués de tout ce qui vient de se passer. Tu en as oublié le repas encore dans le four et cette bouteille de vin venue directement de France laissé sur le comptoir. Tu sais parfaitement qu’il y aura d’autres moments, d’autres occasions. En ce moment, profiter de ça semble être l’essentiel. De cette proximité nouvelle que tu ne veux jamais briser. De toutes ces choses échangées un peu plus tôt qui offre une nouvelle dimension à la relation qui se bâtit peu à peu entre vous deux. Cette certitude nouvelle que ce qui se passe entre vous va bien au-delà d’un simple hook up comme il en existe des milliers sur une application comme Tinder. Que vous ne cherchiez rien en vous inscrivant sur la plate-forme et que pourtant, vous aviez tout trouvé.
Tu ne penses à rien en particulier quand tu lui demandes de te dire un secret. Tu veux juste entendre sa voix et possiblement apprendre quelque chose de plus sur lui, parce que tu sais trop bien qu’il y a encore des dizaines, des centaines de choses à son sujet que tu ignores et tu as envie de tout découvrir. Tu veux avoir accès à ses plus belles qualités, comme tu souhaites entendre les pires parties de son histoire. Tu veux grapiller chaque morceau de son être qu’il se sent prêt à t’offrir, persuadée que ce ne sera jamais assez, peu importe ce qu’il te donne. Tu te mords légèrement la lèvre alors qu’un sourire en coin vient se placer au coin de ses lippes, tu ne le quittes pas des yeux alors que les secondes filent et qu’il semble songer à ce morceau qu’il va t’offrir ici ce soir. Son regard trouve le tien et jamais tu n’aurais pu t’imaginer entendre les mots qui remplissent pourtant la pièce, qui résonnent dans ta tête et encore plus fort dans ton cœur. « Je tombe en amour avec toi. » Il y a ton souffle qui se coupe de la surprise de l’entendre dire ça et un léger rire qui file entre lèvres avant que tu ne viennes capturer les siennes. Si tu ne dis pas les mots, tes gestes les crient par million alors que ton corps se presse d’autant plus contre lui. L’une de tes mains vient se caler contre son cou alors que tu recules ton visage légèrement, juste assez pour que tu puisses croiser ses yeux à nouveau, mais toujours assez proche pour que tu puisses sentir son souffle contre ta bouche. « C’est drôle, j’ai le même secret. » que tu murmures contre ses lèvres avant de l’embrasser à nouveau, effrayée mais certaine qu’au moins, la chute se fait à deux.