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 tu sais le monde ne tournait pas rond, j’avais les mots mais pas la chanson (penny)

Penny Stringer
Penny Stringer
l’ère de l'apaisement
l’ère de l'apaisement
  
tu sais le monde ne tournait pas rond, j’avais les mots mais pas la chanson (penny) - Page 2 MTtf4TM Absent
ÂGE : trente-deux ans (03.08.1992)
SURNOM : Penny étant déjà le surnom de Penelope, difficile de faire bien plus court.
STATUT : trois ans qu'il lui fait vivre la plus folle et la plus belle des histoires, Isaac est tout pour elle et plus encore.
MÉTIER : maman à temps plein, elle partage le reste de son temps entre la fondation Run for Judy à l'hôpital, et la fondation Tomlinson, à défaut de se sentir prête à reprendre le chemin devant les caméras.
LOGEMENT : nouvellement installée dans une belle grande maison à Bayside, qu'ils ont choisi ensemble avec Isaac et qui répond à tous les besoins de leur petite tribu.
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POSTS : 13982 POINTS : 0

TW IN RP : mentions d'agression sexuelle, neurodiversité, parentalité, mentions d'abandon d'enfant.
GENRE : Je suis une femme
ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié.
PETIT PLUS : elle a un jeune frère autiste qu'elle aime plus que tout et surprotège › fière belle-maman de Jude (13.09.2018) et maman de Maia (14.06.2022) et les jumeaux Jack et Mila (01.08.2023) › bénévole auprès des enfants malades depuis 2020 › être devant la caméra lui manque, mais elle sait son temps auprès des siens plus précieux que jamais.
DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP
CODE COULEUR : Penny crée des malaises en mediumorchid ou en teal.
RPs EN COURS : (03)anguschrisethel.

+ the one and only (03)isaac #23isaac #24isaac (ff)isaac (tel).
RPs EN ATTENTE : andréa › harleen › micah #6 › riley #2 › rory #12 › you?
RPs TERMINÉS :
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penisycause baby, the best part of me is you.
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cf. fiche de liens (chronologie des sujets tenue à jour.)


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AVATAR : elizabeth bb olsen.
CRÉDITS : (av. nedorametoris) › (sign. siren charms) › (dessin. mapartche ♡) › (gifs signa. gwennifergifs) › (userbars. loonywaltz)
DC : autumn galloway (ft. lucy boynton) + samuel wellington (ft. charlie hunnam) + willow storm (ft. lili reinhart)
PSEUDO : vlastuin › marie.
Femme (elle)
INSCRIT LE : 27/10/2020
https://www.30yearsstillyoung.com/t34526-when-the-party-s-over-penny
https://www.30yearsstillyoung.com/t40283-penny-never-let-me-down-just-lead-me-home
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Message(#)tu sais le monde ne tournait pas rond, j’avais les mots mais pas la chanson (penny) - Page 2 EmptyVen 8 Oct 2021 - 17:09

« Ha oui? »
« J’ai longtemps pensé que pour prendre du recul, je devais partir, mais j’ai réalisé qu’il y avait encore trop de choses qui me retenaient à Brisbane. Je ne regrette pas d’être restée. »

Parce que tu sais trop bien que si tu étais partie, vous ne seriez pas ici, tous les deux, aujourd’hui. Que vous n’auriez jamais eu l’occasion de vous croiser furtivement dans les couloirs de l’hôpital parce que tu n’aurais jamais commencé à faire du bénévolat pour le Royaume Enchanté. Tu n’aurais jamais avoué tes sentiments à Rory et par le fait même, tu n’aurais jamais eu de raison d’installer l’application Tinder sur ton téléphone. Sans l’application, tu n’aurais jamais matché avec lui et tu serais passée à côté d’une histoire dont tu aimes chacune des pages parcourues jusqu’à maintenant. Alors non, tu ne regrettes pas. Tu ne regrettes pas d’avoir du passé par la case cœur brisé pour te retrouver ici aujourd’hui, dans sa voiture, le cœur battant plus fort que jamais auparavant, à découvrir des sensations et des sentiments dont tu avais longtemps imaginé la définition sans jamais être en mesure de le comprendre pleinement. De repenser à tes premières années passer à Brisbane, ça ne vient que confirmer cette philosophie que rien n’arrive pour rien. Ça te fait aussi tout drôle de repenser à tes années passées sur le plateau de Neighborhood, cette série qui a vraiment agi comme un point tournant, autant dans ta vie personnelle que dans ta carrière. « Je les comprends très bien de ne pas avoir voulu laisser filer. Ça devait être dingue d’être sur le même plateau pendant six ans et jouer le même personnage si longtemps. » Tu hoches la tête doucement en approbation. Il n’y a aucune autre de tes expériences jusqu’à présent qui puisse comparer avec ces années-là. Elles avaient été formatives à un niveau qui était parfois difficile à mettre en mots, elles avaient façonné l’actrice que tu es devenue et tu étais reconnaissante pour tout ce que tu avais appris. « S’ils te proposaient de revenir jouer ton personnage, tu accepterais? » Sans hésitation, tu secoues la tête. Tu avais fait un trait sur Elsie et tu avais bien clôturer sa sortie quand tu avais eu l’impression d’avoir fait le tour avec elle et tu ne te voyais pas revenir en arrière. « Non, je crois pas. Peut-être pour un spécial réunion ou quelque chose de temporaire, mais je me verrais pas la reprendre de manière permanente. » Tu te souvenais avoir eu cette même discussion avec Micah il y a quelques mois et tu réalisais que ta réponse à cette question n’avait pas changé. Même qu’avec les quelques mois de réflexion de plus, tu restais convaincue que ce n’est pas ce que tu voudrais, si l’option t’était offerte. Tu souhaites aller de l’avant, essayer quelque chose de nouveau. Tu ne sais juste pas si ce nouveau se trouve dans ce domaine que tu as toujours connu, ou ailleurs.

« Ce n’était pas difficile de jouer si longtemps un même rôle? » Tu hausses légèrement les épaules, ne sachant pas vraiment comment répondre à la question. « Enfin, tu n’es pas obligée de répondre et on peut changer de sujet si tu veux, n’hésite pas à me le dire si je deviens trop embêtant, la dernière chose que je veux est bien de te tanner. Parfois j’ai tendance à lancer un interrogatoire sans m’en rendre compte quand je suis très intéressé. » « Tu ne m’embêtes pas, jamais. » Tu voulais répondre à toutes les questions qu’il pouvait se poser à ton sujet, être aussi transparente que possible avec lui. Le plonger dans ton univers, lui faire découvrir ce monde qui lui était complètement inconnu comme tu espérais qu’il en ferait de même pour ce qui le passionnait vraiment. « D’un côté c’était facile parce que je la connaissais par cœur. Ses réactions, ses émotions, tout me venait naturellement parce que les scénaristes sont toujours restés très fidèles à l’essence même du personnage. » Ce n’est pas rare de voir des émissions où les personnages vivent des storylines qui sortent vraiment de l’ordinaire pour eux, et tu as été chanceuse de ne pas vivre ce genre de changements drastiques avec Elsie. « Mais le plus dur, ça restait de faire la différence entre Elsie et Penny, à la fin de la journée. Ça aidait pas non plus que je fréquentais ma co-star à l’époque. » Il était parfois difficile, même encore aujourd’hui, de faire le tri entre les souvenirs de Elsie et Benjamin et ceux de Penny et Micah, les deux histoires similaires à leur façon, bien qu’une seule ait réellement laissé sa trace sur ton cœur à l’époque. « Je pense que c’est ce qui est le plus difficile à gérer quand on joue un même personnage aussi longtemps. Ils deviennent une partie de toi à part entière. Enfin, pour ma part, je sais qu’Elsie a beaucoup teinté ma personnalité au fil des ans. Je sais pas si je dirais la même chose après avoir joué une serial killer ou autre rôle macabre du genre. » que tu rajoutes dans un rire. Tu avais souvent joué le même genre de personnages, de celles qui sont attachantes, mais avec du mordant, sans doute un type qui s’accordait bien avec l’image que tu reflétais.

La conversation se poursuit, passant de ta carrière au cinéma à celle d’Isaac au football. Tu comprends rapidement que la blessure qui a mis fin à cette dernière a profondément marqué qui il est et le chemin qu’il a dû emprunter par la suite. « Oui et non, en fait. Ça me manque parce que ça représente quinze ans de ma vie et le footie sera toujours l’une de mes passions principales. » Tu hoches la tête doucement. Tu pouvais parfaitement comprendre. Tu te sentirais sans doute de la même façon, si tu venais qu’à prendre la décision de quitter complètement le monde de la télévision et du cinéma, bien qu’en différence de lui, tu le ferais par ton propre chef et non pas parce que tu y as été forcé. « Mais en réalité, de base, ce n’était pas tant mon choix. J’y ai adhéré plus tard bien sûr et j’en ai fait quasiment une raison de vivre pendant une longue période, je me suis donné corps et âme à la discipline et j’ai longtemps rêvé d’une carrière dans ce sport, mais je me dis que finalement, ça devait être ainsi et c’est peut-être mieux comme ça? Ça m’a permis d’être qui je suis aujourd’hui et ça m’a donné pleins d’outils et d’expériences qui m’aident encore de nos jours. » Tu écoutes attentivement, te retrouvant partiellement dans ce cheminement qu’il a poursuivi pendant si longtemps. Comme lui, la passion t’avait été transmise par les volontés de tes parents, un choix qu’ils avaient fait pour toi avant que tu ne t’y perdes complètement. « Je me dis que peut-être que pour moi, c’était mieux que ce soit temporaire. Puis ça m’a permis de suivre un choix de carrière qui venait à 100% de moi et aujourd’hui, même si j’ai encore l’impression d’avoir échoué et d’avoir laissé quelque chose en plan avec le football australien, même si j’ai plein de regrets et j’aurais aimé faire les choses différemment, je n’ai finalement pas envie de gagner ma vie autrement que comme je le fais actuellement. » « Tu n’as rien échoué, tu sais? » Ta main vient se poser sur sa cuisse alors que tu tournes légèrement la tête dans sa direction, tes yeux concentrés sur son visage qui lui est tourné vers la route. « Je suis certaine que tu as tout donné ce que tu avais à donner pendant ces années que tu as joué dans la AFL. Une blessure, c’est un accident, c’est la pire des fatalités dans ce domaine, mais ce n’est pas ta faute. » Tu pinces légèrement les lèvres. Tu savais trop bien que les regrets pussent être parfois lourds à porter et ça te désolait d’apprendre qu’Isaac percevait la fin de sa carrière comme un échec. « Même si je suis certaine que t’aurais fait un excellent joueur pro, à t’entendre parler de ton métier d’infirmier, je sais que tu as trouvé ta vocation dans ce domaine. » Et c’était l’essentiel au bout du compte. D’aimer son travail au point d’oublier que c’est une responsabilité, une obligation et Isy, il avait ça à l’hôpital, tu le savais.

Tu ne pensais pas te confier sur ton agression aujourd’hui et pourtant, le sujet était venu sans que tu ne le forces et même si c’était toujours aussi difficile de relater cet épisode difficile de ta vie, tu faisais entièrement confiance à Isaac. Malgré les quelques doutes qui subsistaient malgré toi dans ton esprit, tu savais qu’il ne te jugerait pas, qu’il écouterait et qu’il t’épaulerait, autant que c’était possible de le faire dans une situation où les solutions étaient minces, voire inexistantes. Cette simple promesse qu’il ne laisserait pas Byers gâcher ce moment, cette soirée te suffisait. Pour le moment, tu n’avais besoin de rien de plus que ses bras autour de toi, ses lèvres sur ton front et cette certitude que si jamais tu venais à sombrer à nouveau à cause de cet homme qui t’avait pris, Isaac serait là pour te rattraper. « Moi non plus. » Tu retrouves ses lèvres pour un dernier baiser avant qu’il ne reprenne le peu de route devant vous jusqu’à votre destination finale. La musique reprend sa place dans l’habitacle, mais tu es bien peu concentrée sur cette dernière, bien plus engagée dans ce gage donné un peu plus tôt auquel vous concédez finalement qu’il n’y a ni gagnant, ni perdant. Tu lui partages donc un objectif de vie, te confiant plutôt sur ce que tu avais longtemps cru être ta priorité et témoignant des changements de ta vision depuis ton agression et les remises en question qui avaient suivies. « Je pense que c’est le plus bel objectif. » Il comprenait Isaac, il avait lui-même vu sa voie changée sous ses yeux des années auparavant et savait qu’il n’y avait rien de plus précieux que d’être bien dans ce qui compose notre quotidien. « Je pense que c’est aussi la meilleure ligne de conduite pour trouver les réponses à tes questionnements. J’imagine qu’on ne peut pas douter d’être sur le mauvais chemin si on s’y sent vraiment bien, vraiment à sa place. On a un feeling particulier quand on trouve ce à quoi on est destiné. » Tu souris doucement. Une fois encore, il te donnait la preuve que c’était possible de le trouver, d’être sûr à cent pour cent, comme tu te sentais certaine de cette place que tu te faisais peu à peu à ses côtés. « Tu m’aideras à chercher, si je me perds encore? » La voiture s’arrête soudainement et tu viens chercher son regard alors que tu l’interroges à son tour sur l’un de ses objectifs de vie.

« Ça va sonner très bizarre, et je ne dis pas ça ce soir avec quelconque idée en tête. C’est juste ma réponse depuis que je suis môme. » Tu fronces légèrement les sourcils, curieuse d’entendre quel pouvait bien être cet objectif pour qu’il fasse une telle introduction. « J’ai toujours voulu avoir ma famille nucléaire, un jour. » « Oh. » Tu dois admettre être légèrement surprise que ce soit la première chose qui lui vient en tête, sans vraiment trouver ça bizarre comme il l’avait mentionné. La surprise laisse rapidement place à un sourire alors que tes doigts se joignent à nouveau aux siens.  « Je trouve pas ça bizarre. J’ai toujours voulu avoir des enfants, moi aussi, éventuellement. » que tu lui admets avec une aisance nouvelle. Ce n’est certainement pas quelque chose que tu admets normalement aux hommes ou aux femmes que tu fréquentes, encore moins après si peu de temps, mais comme tant de choses que tu ne saurais t’expliquer avec Isaac, ça te venait naturellement d’être aussi vraie que possible avec lui. « De voir mes parents toujours ensemble aujourd’hui, aussi solides que quand j’étais gamine malgré les aléas de la vie, ça donne envie. » que tu rajoutes avec un rire. Tu ne pourrais dire si c’était auprès d’Isaac que tu allais vivre cette aventure, tout était encore bien trop nouveau et pourtant, ce n’était pas impossible de l’imaginer. « Tu es prête pour les autres surprises? » Tu sors de tes rêveries, ayant presque oublié au milieu de toutes ces confidences que vous fêtiez ton anniversaire et qu’il avait préparé les choses en grand. Tu hoches vivement de la tête alors qu’il sort de la voiture et s’empresse de venir ouvrir ta portière, avant de se diriger vers le coffre duquel il sort un grand sac rempli de différentes choses que tu ne peux toujours pas voir.

La soirée est douce sur la jetée et ta main joint la sienne alors que vous marchez, à la recherche d’un endroit où vous asseoir pour profiter du moment et ainsi découvrir les différents trésors qui se cachent dans le sac du jeune homme. Il te dirige vers une table qui se trouve un peu à part, là où il n’y a pas trop de monde qui passe et tu prends place à côté de lui alors qu’il commence tranquillement à sortir des contenants du sac. Différents plats prennent place devant vous, et c’est avec appétit que tu découvres les différents repas qu’il a préparé, en plus d’une bouteille de vin et d’un gâteau au chocolat (oh, il te connaît si bien déjà) qui vient compléter le tout. « J’ai voulu retenter l’expérience de la lasagne, mais avec des différentes recettes cette fois-ci. » Tu ne peux t’empêcher d’échapper un rire, pensant à cette lasagne qui avait été rapidement oublié dans le four cette soirée où votre relation avait réellement pris son envol, laissant le platonique loin derrière. « Tout à l’air délicieux Isy. » Tu l’aides à installer coupes et assiettes sur la table, alors que lui continue de sortir des surprises de ce sac qui devient rapidement magique à tes yeux. Tu découvres d’abord une carte visiblement faite à la main, cette dernière remplie de dessins en tout genre de ce que tu devines rapidement être toi dans ton costume de la petite sirène. Tu reconnais certains noms qui ont signé les différentes œuvres comme étant ceux des enfants à l’hôpital et tu ne cesses d’échapper des petits Awww et Ohhhh avec chaque nouveau mot lu et chaque nouveau dessin admiré. « C’est adorable. » que tu finis par conclure après avoir tourné les quelques pages de cette carte que tu sais faite avec amour et tu viens déposer tes lèvres sur la joue de l’infirmier. Tu viens ensuite déballer un livre dont le titre t’est inconnu, mais t’arrache un rire vu la journée et le dernier présent se trouve être un étui de passeport à l’effigie de ton équipe de football favorite. « C’est trop. Beaucoup trop. » que tu souffles avec de l’émotion plein la voix, éternellement stupéfaite de la chance que tu avais de te retrouver ici ce soir, avec une vue incroyable, un repas qui paraissait délicieux, des présents choisis avec attention et un homme qui savait te faire sentir comme la personne la plus spéciale au monde. « Bonne fête, Penny. » Tu te glissais légèrement sur le banc pour te retrouver à nouveau juste à côté de lui, tes mains se glissant dans son cou alors que tu venais à nouveau trouver ses lèvres. « T’es complètement fou. Merci beaucoup. Vraiment. » Et encore, tu trouvais les mots bien faibles pour décrire tout ce que tu ressentais dans le moment présent, alors tu retrouvais ses lèvres, pour laisser ces dernières ce que les mots n’étaient pas assez puissants pour témoigner. Tu te détaches doucement de son étreinte et vient ouvrir la bouteille de vin, vous versant chacun un verre que tu tends ensuite au Jensen. « À nous deux. Et ma dernière année de vingtaine qui commence parfaitement. »

Avec lui, ça ne pouvait être autrement.



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Isaac Jensen
Isaac Jensen
le coeur au bout des doigts
le coeur au bout des doigts
  
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ÂGE : 34 ans (13.05.90)
SURNOM : Isy
STATUT : Penny est le soleil et l'amour de sa vie, l'évidence avec laquelle il écrit sa plus belle histoire et s'autorise à réaliser des rêves de bonheur (06.07.2021)
MÉTIER : Infirmier au service des urgences, président de l'association Run for Judy, infirmier bénévole à la Croix Rouge et aux Flying Doctors, sapeur-pompier volontaire et surtout : papa comblé de Jude (13.09.2018), Maia (14.06.2022), Jack et Mila (01.08.2023)
LOGEMENT : Penny et lui ont quitté Toowong en 2024 pour s'installer avec leurs enfants à Bayside et y créer leur cocon à l'image entière de leur amour
POSTS : 28708 POINTS : 0

TW IN RP : dépression, anxiété, automutilation, idées suicidaires, tentative de suicide, mentions d'abandon d'enfant
PETIT PLUS : Emménage à Brisbane en 2003 ∆ il exerce en qualité d'infirmier au st vincent's depuis 2006 puis est affecté aux urgences en 2013 ∆ une suite de blessures anéantit sa carrière de joueur de football australien en 2010 ∆ il attente à ses jours en mars 2018 et reprend le travail en septembre 2018 ∆ finaliste de ROA en 2020 ∆ il se soigne contre son anxio-dépression, après avoir longtemps refusé son diagnostic
CODE COULEUR : Isy s'exprime en #9966ff ou slateblue
RPs EN COURS :
RPs EN ATTENTE :
Spoiler:

RPs TERMINÉS :
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(roa, juin 2020)
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grisy
(s1) lancementlove #4grace #1grace, greg, siennaweek-end #1grace #2grace #3
(s2) grace #4grace #5grace, elias, kieraneliasivylove #5love #6
(s3) elias, kieran, grace, sienna, jack
(s4) épreuve semaine 4grace #6martin
(s5) épreuve 1 semaine 5épreuve 2 semaine 5épreuve 3 semaine 5résultats
(finale) grace #7raftinggrace #8grace #9
AVATAR : Will Higginson
CRÉDITS : cheekyfire (ava), solosands (sign), loonywaltz (ub), la confiserie (illustration personnalisée), (gif may0osh (gif olivia), stairsjumper (starter pack)
DC : /
INSCRIT LE : 08/04/2018
https://www.30yearsstillyoung.com/t19429-isy-strive-for-progress-not-perfection
https://www.30yearsstillyoung.com/t19472-isy-notebook
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Message(#)tu sais le monde ne tournait pas rond, j’avais les mots mais pas la chanson (penny) - Page 2 EmptySam 23 Oct 2021 - 19:03

Penny Stringer adore ce message


Tu t'étonnes des confidences de Penny sur le fait qu'un an plus tôt, elle songeait sérieusement à quitter Brisbane pour rejoindre sa ville natale, Torquay. Tu ne peux t'empêcher de considérer que votre rencontre, votre relation, est issue d'un extrêmement riche concours de circonstances. Vous avez respectivement vécu de nombreux événements, qui vous façonnent ultimement, et absolument rien ne semblait raisonnablement vous prédestiner, quand bien même, au creux de ton cœur, votre duo sonnait indubitablement telle une évidence.

Tu comprends aussi sa réflexion portant sur le fait que pour prendre du recul sur des situations, il pouvait être judicieux de s'en distancer. Tu as toi-même longuement hésité à quitter des lieux qui rythmaient ton quotidien pour te défaire de certaines habitudes, gommer les vivides couleurs et sentiments dont éclataient certains souvenirs douloureux. Tu avais songé à vendre ta maison pour repartir de zéro lorsque Lucy et toi vous êtes séparés, sa présence manquant à ta demeure qui paraissait avoir perdu toute son essence sans sa présence. Évoluer dans ton domicile où chaque pièce te la rappelait irrémédiablement, sous le couperet d'une nostalgie lancinante, respirer sous ce toit pour lequel tu avais investi pour votre futur, t'apparaissait cruellement vide de sens. Pourtant, tu n'avais pu te résoudre à abandonner ton bien immobilier et, en quelques sortes, tu y avais créé de nouveaux repères en le rénovant. Il en avait été de même pour le centre hospitalier où tu étais employé suite à ta tentative de suicide. Fuir le comportement de tes collègues qui avaient connaissance de ton plus sensible secret était séduisant. Cependant, tu étais trop attaché à l'institution pour ne pas y poursuivre l'exercice de ton métier. En somme, toi aussi, tu avais appris à prendre du recul sur certains points sans t'en éloigner ; et tout comme Penny, tu ne le regrettais assurément pas. « J'ai plusieurs fois voulu par le passé prendre du recul sur des situations en prenant de la distance physique. Mais finalement, j'ai l'impression que persévérer où j'étais était ma solution la plus avantageuse. » Tu souris doucement à Penny, sincèrement compatissant de ses propres situations, même si tu ne te permettais pas de les comparer aux tiennes. Quoi qu'il en soit, une chose était certaine : « Je suis très content que tu aies décidé de rester. » Vous ne vous fréquentiez que depuis quelques semaines, mais Dieu que tu ne souhaitais pas t'imaginer ton quotidien sans elle.

Curieux, tu questionnes Penny sur le volet professionnel de son existence, abordant notamment ses productions passées et favorites, ainsi que le rythme des contrats dans le monde du show-business. Cela t'impressionne comme t'intrigue de penser que ton interlocutrice a interprété un même rôle sur plusieurs années, et tu la questionnes sur l'éventualité qu'elle rejoue ce personnage puis la transition qui devait s'opérer lorsqu'elle terminait le tournage. Tu affiches un sourire de soulagement quand Penny te rassure sur le fait que tes questions ne l'embêtent pas et l'écoutes attentivement te relater ses expériences. « Je pense que c’est ce qui est le plus difficile à gérer quand on joue un même personnage aussi longtemps. Ils deviennent une partie de toi à part entière. Enfin, pour ma part, je sais qu’Elsie a beaucoup teinté ma personnalité au fil des ans. Je sais pas si je dirais la même chose après avoir joué une serial killer ou autre rôle macabre du genre, » conclut-elle dans un rire que tu rejoins, amusé. « Ca devait vraiment pas être évident, surtout sur de si longues périodes. » Tu commentes, admiratif, incertain que tu puisses maîtriser cette dissociation comme Penny était parvenue à le faire. Tu étais pour ta part - et bien malgré toi - assez influençable : tu avais la manie de te calquer sur les façons d'être des gens comme si tu voulais te glisser dans leur moule au mieux et répondre à leurs attentes. Tu étais persuadé que si tu avais participé à quelconque production, un rôle te serait très rapidement monté à la tête et tu aurais risqué de te perdre en cours de route. « Tu as déjà vu Extremely Wicked, Shockingly Evil and Vile avec Zac Efron ? » Tu demandes, avant de poursuivre : « J'ai lu un article où l'acteur expliquait avoir eu recours à la méditation transcendantale pour dissocier sa personne de celle de Ted Bundy qu'il incarnait. »

Ta carrière dans le football australien est évoquée et tu expliques du mieux que tu peux à Penny que quand bien même être contraint d'abandonner le footie au niveau professionnel te laisse un âcre goût d'échec et de regrets, tu en es venu à l'acceptation qu'il en était probablement mieux ainsi. Tu t'épanouissais pleinement dans ton métier d'infirmier et étais intimement convaincu qu'il te correspondait mieux que celui de joueur professionnel, même si tu avais tant rêvé de ce dernier poste que tu le convoitais encore aujourd'hui. Tu te considérais ni perdant, ni gagnant, telle une transaction d'échange équitable, bien que tu lorgnais encore vers le conditionnel de ton autre plan professionnel. « Tu n’as rien échoué, tu sais? » te répond Penny, sa main se posant doucement sur ta cuisse. Le doute habite sournoisement tes traits, trahissant des années de conviction que tu avais failli à une longue période de sacrifices et de continu labeur. Entendre quelqu'un te signifier que tu n'avais pas échoué ne te laissait assurément pas indifférent, comme si la jeune femme venait d'adresser une blessure depuis longtemps en souffrance, plaie que tu ne savais vraiment guérir. « C'est la première fois qu'on me dit ça, » tu avoues. « Merci, » tu ajoutes, sourire en coin, valorisant le point de vue de Penny qui te confortait, te consolait. « Je suis certaine que tu as tout donné ce que tu avais à donner pendant ces années que tu as joué dans la AFL. Une blessure, c’est un accident, c’est la pire des fatalités dans ce domaine, mais ce n’est pas ta faute. » « J'y ai quasiment dédié tout ce que je pouvais. » Tu confirmes, avant de hausser une épaule. « Mais je ne sais pas... Il y a cette partie de moi qui me rappelle sans cesse que si j'avais fait les choses autrement, je ne serais pas où je suis aujourd'hui ? Et j'ai toujours l'impression d'avoir déçu les gens qui m'ont épaulé dans cette voie-là. » En particulier ton père. Tu soumets, offrant un regard à la fois interrogatif et désolé à la Stringer. Tu avais tant rejoué cette partie de ton histoire que tu étais parvenu à t'incriminer de mille raisons différentes, convaincu que tu aurais pu prendre une alternative qui t'aurait épargné une telle fin. « Mais tu as raison. C'est toute la fatalité des accidents : on ne peut que les subir et on ne peut pas raisonnablement blâmer qui que ce soit, j'imagine. C'est juste le destin, c'est comme ça. » Tu reconnais. Tu en avais croisé des centaines, des patients qui se mordaient les doigts d'avoir été l'auteur d'un accident, et à chaque fois, tu leur présentais cette réalité qu'ils ne pouvaient pas changer le passé et qu'ils avaient été le sombre outil de la providence. Tu examinais la mesure de culpabilité et de regrets qui devaient tirailler pernicieusement ces personnes, à la fois responsables et uniquement innocentes. Sans doute devrais-tu appliquer tes propres propos à ton histoire. « Même si je suis certaine que t’aurais fait un excellent joueur pro, à t’entendre parler de ton métier d’infirmier, je sais que tu as trouvé ta vocation dans ce domaine. » Ton sourire se veut désormais plus franc, témoin que ce tu considérais tel un plan B était celui qui te correspondait le mieux. Tu tirais une fierté à ce que Penny reconnaisse la passion qui t'animait quand tu discutais de ton poste paramédical, et cette satisfaction pure qui t'étreignait ne mentait pas sur le fait que tu avais bien fait d'écouter totalement tes envies sur ce domaine. Tu venais couver la main de Penny posée sur ta cuisse de la tienne, appréciatif de ses paroles, de son point de vue.

Ton cœur se serre douloureusement lorsque Penny se confie sur l'agression dont elle a été victime. Si tu lui promets que tu feras tout ce qui est en ton pouvoir pour l'épauler et ôter le pouvoir que ce sombre homme a exercé sur ta petite amie, tu sens déjà ton sang bouillir de rage envers ce producteur qui a abusé de son autorité. Tu espères ardemment que justice soit faite, tout en orientant tes priorités sur l'actrice et son bien-être exclusivement. Vous vous promettez d'être toujours présents l'un pour l'autre, des mots lourds de sens pourtant exprimés avec un naturel désarmant, comme si cela coulait de source et ne représentait aucun lourd engagement ni contrainte. Il te fallait reconnaître que l'arrivée de Penny dans ta vie n'avait causé que solutions et lumières. Tu chérissais sa présence tout en avançant au sein de votre relation sans tension. Tu ne ressentais aucune pression avec elle, comme si tu pouvais te contentais d'être qui tu étais et de vivre comment tu le souhaitais et que cela suffisait amplement. Comme si tu pouvais être l'authentique version de toi - pour arborer ensuite la meilleure version de toi, déployée grâce à l'impact que l'australienne détenait sur toi.

Considérant que le gage lancé n'a désigné ni perdant, ni gagnant, vous vous appliquez à relever tous deux le défi. Penny t'expose son souhait de s'épanouir dans ce qu'elle faisait, peu importe la nature de ses occupations. Tu songes quelques instants à ses paroles, les considérant relevant d'une pure sagesse qui devait composer la recette d'un bonheur durable. Tu es convaincu pour ta part que lorsqu'on se trouve sur la voie qui nous correspond, lorsqu'on est vraiment à sa place, on le sent dans ses tripes. Tu priais pour que ton amoureuse déniches cette position qui était faite toute pour elle, au sein de laquelle elle pourrait s'épanouir entièrement, et t'armais déjà de la volonté de l'aider à la trouver. « Tu m’aideras à chercher, si je me perds encore? » Tu acquiesces spontanément. « Je serai là pour toi à chaque étape. »

Lorsqu'il t'est question de décrire ton objectif de vie, tu t'accordes une réflexion de quelques minutes, hésitant. Puis, tu lui avoues ton désir de fonder ta propre famille nucléaire un jour, soulignant le fait que tu ne lui fournissais pas cette réponse avec une quelconque idée en tête, bien loin de toi l'envie de mettre la pression de tes objectifs de vie sur les épaules de l'actrice. « Je trouve pas ça bizarre. J’ai toujours voulu avoir des enfants, moi aussi, éventuellement. » Elle te rassure et un discret soupire de soulagement file entre tes lèvres avant que celles-ci ne s'étirent en un sourire. « De voir mes parents toujours ensemble aujourd’hui, aussi solides que quand j’étais gamine malgré les aléas de la vie, ça donne envie. » Tu hoches la tête à l'affirmative. « Oui, ces couples-là sont vraiment admirables, » tu commentes, espérant un jour pouvoir connaître toi aussi une telle histoire d'amour.

Tu te gares au parking de la jetée que tu as sélectionnée puis demandes à ton interlocutrice si elle est prête pour la soirée d'anniversaire que tu lui as concoctée. Après lui avoir ouvert la portière de la voiture, tu te saisis du contenant dans lequel tu as précautionneusement entreposé tes surprises puis viens entremêler tendrement ses doigts des tiens alors que vous marchiez vers une table en retrait, qui vous offre une magnifique vue sur le soleil flirtant avec l'horizon et les vagues. La jeune femme t'aide à dresser la table de pique-nique puis tu lui remets ses présents, commençant par la carte de bons vœux qu'avaient réalisée les petits patients qui la connaissaient dans le rôle d'Ariel. « C’est adorable, » la vingtenaire commente et tu souris largement. « Ils ont adoré la faire » tu expliques. « Ils t'apprécient tous vraiment beaucoup. Tu leur fais beaucoup de bien. » Tu avoues, porteurs que de bons sentiments que t'ont relatés allégrement ces mineurs quant au passage de la petite sirène dans leur séjour hospitalier. Penny découvre par la suite le livre ainsi que l'étui de passeport à l'effigie de son équipe sportive favorite et tu te mords malicieusement la lèvre inférieure alors qu'elle échappe un rire cristallin. « C’est trop. Beaucoup trop. » Tu n'adhérais toutefois pas à ses propos, et souhaitais sincèrement une bonne fête à ta petite amie. La Stringer se rapproche de toi pour glisser ses mains dans ton cou et poser délicieusement ses lèvres contre les tiennes ; tu ne peux réprimer un sourire, profondément heureux de la voir satisfaite. « T’es complètement fou. Merci beaucoup. Vraiment. » Vous vous échangez un nouveau baiser. « Ca me fait super plaisir. Surtout si ça te plait. » Tu caresses affectueusement son dos et la jeune femme se munit de la bouteille de vin. « À nous deux. Et ma dernière année de vingtaine qui commence parfaitement. » Tu acquiesces, le regard amoureux que tu lui adresses est éloquent, confiant envers votre futur dont tu étais persuadé, tu en savourerais chaque seconde, et pour lequel tu ne souhaitais que du beau pour Penny. « À nous deux, à ton objectif de vie. » A ton bonheur. Tu répètes et souhaites, alors que vos verres tintent l'un contre l'autre.




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