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 Calex #46 - Look at me now, I have everything you gave to me and my heart can sing

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Message(#)Calex #46 - Look at me now, I have everything you gave to me and my heart can sing - Page 2 EmptyMar 16 Nov 2021 - 9:42




LOOK AT ME NOW, I HAVE EVERYTHING YOU GAVE TO ME AND MY HEART CAN SING. I WAS A KID WHO COULD ONLY DRINK, DANCE ON TABLES, MAKIN' DEAL WITH DEVILS, LIKE A DRUNK BEAUTY QUEEN FIGHTING THE FANTASY, HOOKED ON THE SCENE.

 
« Prof pourquoi pas, ça aurait peut-être pu me plaire. Mais être obligé de parler devant tout le monde… » Il doute de lui, encore et toujours et ça n'a rien de surprenant quand on connaît Caleb. « Tu parles devant tout le monde dans ta cuisine, tu diriges même pleins de gens, alors je sais que tu aurais réussi. » Je suis sûre de moi quand je lui dis que je sais qu'il aurait réussi, parce qu'il a certes des doutes, des incertitudes concernant ses compétences mais quand il aime quelque chose, quand il veut quelque chose, Caleb il sait dépasser ses limites et trouver les ressources pour réussir, sauf qu'il en a même pas conscience et c'est peut-être ça le pire finalement. Il est capable de tellement de chose qu'il ne soupçonne même pas tout ça parce qu'il doute énormément de lui. « J’ai surtout eu beaucoup de chances. » Cette fois c'est à moi de lever les yeux au ciel, je lui emprunte ce qui semble être sa réaction préférée. « De la chance ? Tu es incroyable, même pour la cuisine tu minimises tes qualités et ta réussite, tu es incorrigible chéri. » Je n'étais pas là quand il a monté son restaurant, mais je sais que ce n'est pas de la chance. On ne réussit pas à ouvrir un restaurant en partant de rien juste avec de la chance. On n'obtient pas une étoile juste avec de la chance. « C'est trop dur pour toi de dire que tu es doué et que tu mérites ce que tu as parce que tu as travaillé comme un fou pour l'avoir ? » Je suis persuadé que oui c'est dur pour lui de le dire parce qu'il doit être sur qu'il a eu de la chance et qu'il minimise encore ses qualités, son travail et tout ce qu'il a investi d'énergie, de compétence et de force pour obtenir tout ce qu'il a aujourd'hui.

Et pourtant, Caleb est pleins de ressources, il est pleins d'idées que l'on ne soupçonne pas forcément, ou du moins que les autres ne peuvent pas soupçonner mais moi je le peux parce qu'il me surprends, il me montre régulièrement qu'il a des idées, des propositions qui sortent de l'ordinaire et ça entretient l'excitation entre nous. «  C’était pas mal en tout cas. Une bonne alternative quand on ne peut pas être ensemble mais qu’on a envie d’assouvir nos besoins. » Rien ne remplace un corps, enfin rien ne peut le remplacer lui. Sa douceur, sa tendresse, sa force, sa vigueur, son amour mais c'était comme il le dit une bonne alternative et une bonne expérience à faire. « On pourra toujours réessayer ensemble aussi, je suis sûre que tu as aimé le principe de la télécommande et de pouvoir contrôler mon plaisir et cette fois je serais là pour ton plaisir aussi. » Et j'ai aussi aimé ce petit jeu, cette surprise qu'il m'avait faite et cette expérience la veille de notre mariage, et c'est une belle preuve qu'il m'a fait, une preuve que derrière son côté sérieux, il sait me surprends, il sait rendre ma vie plus folle et toutes les idées qui sortent de l'ordinaire ne viennent pas que de moi.

Pour aujourd'hui, l'idée de jet-ski vient de moi, mais c'est nettement moins fou que ce dont nous venons de parler et puis ce n'est pas totalement nouveau pour moi, mais je veux lui faire découvrir ça, mais avant, je dois lui expliquer ma première fois en jet-ski.  « Justin…. » Visiblement c'est tout ce qu'il a retenu de mon expérience jet-ski, la présence d'un certain Justin, et heureusement que je n'ai pas cité tout le monde, quoique j'aurais peut-être du qu'il ne retienne pas un nom et surtout pas celui là. « Je ne sais pas pourquoi mais je ne l’aime pas du tout celui-là. » Je ne peux m'empêcher de lâcher un petit rire suite à la remarque de mon mari, il ne l'aime pas du tout alors qu'il ne le connaît même pas. Enfin je sais que s'il le connaissait, il ne l'aimerait pas non plus, peut-être même encore moins qu'actuellement d'ailleurs, mais je sais qu'il est jaloux là et je dois dire que ça me fait rire de le savoir jaloux d'un mec que je n'ai pas vu depuis plus de douze ans et que j'ai connu avant Caleb. « Oh moi je sais pourquoi, tu n'aimais aucun de mes amis mecs. » Je le taquine un peu mais pourtant je ne suis pas loin de la vérité. Faut dire qu'ils étaient pas tous très respectueux, et certains un peu tactiles aussi, en tout bien, tout honneur bien sur mais je peux comprendre qu'il n'aimait pas ça Caleb. Mais Justin, c'est un peu différent des autres, non pas qu'il avait une place particulière dans mon cœur, il n'y a jamais eu un autre homme que Caleb dans mon cœur, mais j'avais plutôt un passif différent avec lui, il est le seul de la bande d'ami de Rachel à m'avoir vu nue mais ça je suis pas sûre que Caleb ait envie de l'entendre. « Tu me parles jamais de ta vie avant notre rencontre. Comme par exemple ta première fois, ça s’est passé comment ? C’était à quel âge exactement ? » Ah ça je m'y attendais pas, je ne pensais pas que mon passé et encore pire ma première fois serait l'un des sujets abordés pendant notre voyage de noce et la grimace que je fais en finissant mon café prouve que je suis surprise de sa question. « Je parle pas de ma vie avant toi parce que le plus intéressant c'est quand tu es entré dans ma vie. » Je fais une blague, mais je sais que ça ne lui suffira pas et il a raison finalement, je ne lui ai pas beaucoup parlé de mon passé avant lui et je veux bien le faire, sauf que je ne pensais pas le faire aujourd'hui. Mais s'il me pose la question c'est que ça doit être important pour lui et peut-être qu'il va se rassurer en apprenant que Justin n'était pas mon premier. « C'était fin 2008, ça faisait trois quatre mois que j'étais à Brisbane, c'est rien de glorieux, ni de sensationnel. C'est avec un mec que j'ai croisé à quelques soirées, on a sympathisé un peu, enfin on a fait la fête ensemble plusieurs fois et un soir il m'a raccompagné chez moi et voilà. » Je ne rentrerai pas dans les détails avec mon mari par respect pour lui et aussi parce que les détails n'ont rien de croustillants. On avait tout les deux bu, je ne connaissais rien au sexe, j'étais mal à l'aise avec ce contact physique, avec ce mec qui embrassait mon corps à pleine bouche et le souvenir que j'en ai, est tout sauf agréable et même plutôt douloureux, mais ce n'est pas forcément des détails qu'il a besoin d'entendre enfin je ne pense pas. « Tu vois j'étais pas jeune non plus pour ma première fois, à Londres c'était impossible d'envisager d'être proche d'un garçon avec mon père qui surveillait toute ma vie, alors j'ai du attendre d'être loin de lui et quand l'opportunité s'est présentée, je crois que j'ai juste saisis l'occasion. » Je lui ai dis rien de glorieux, rien de sensationnel, juste une rencontre en soirée, et deux personnes consentantes qui profitent un peu, pas de coup de cœur, pas de crush amoureux, pas même de sentiments ou de romantisme la dedans, juste une opportunité voilà à quoi se résume ma première fois. « Tu as d'autres questions sur ma vie avant toi puisque tu sembles d'humeur curieux ? » Pas de secrets, pas de tabous, c'est ce que l'on s'est promit en se mariant, alors s'il a d'autres questions qui le tracasse, je suis prête à lui répondre même si je ne suis pas forcément à l'aise à l'idée de parler avec lui de la vie sexuelle que j'ai pu avoir avec d'autres partenaires.

Étonnamment, ou pas du tout, je suis beaucoup plus à l'aise quand il s'agit de parler de notre intimité, de nos expériences communes, riant, blaguant et faisant des sous-entendus que lui seul peut comprendre en lien avec notre passé et c'est une ambiance bien meilleure qui nous fait rire tout les deux. « J’ai beaucoup trop peur de la réponse pour poser la question à mes parents. » Je crois que je le rejoins la dessus. « Je crois que c'est mieux en effet. » Je préfère ne pas savoir avec certitude s'ils nous ont déjà entendu ou non, je préfère croire que nous avons été discret même si c'est peu crédible, je préfère me dire que mes beaux-parents n'ont jamais entendu leur fils me faire gémir même si la présence de nos deux princesses prouvent sans doute possible que nous ne jouons pas au scrabble quand nous sommes tout les deux. Ou en tout cas, ce n'est pas notre activité préférée à faire à deux loin de là. Mais au delà de nos moments d'intimité, il y a aussi tout les autres moments que j'apprécie avec lui, comme ce moment que l'on vit actuellement. Juste lui et moi et un petit déjeuner bien trop copieux mais extrêmement bon. Je l'ai savouré ce petit déjeuner, et maintenant je savoure l'instant en le regardant manger son croissant ce qui semble le mettre un peu mal à l'aise et ce n'est pas mes paroles qui vont arranger les choses. Il est tellement mignon quand il est gêné, ça me rappelle nos débuts quand tout ou presque le gênait, que ce soit les blagues, les allusions sexuelles ou les rares compliments que je pouvais lui faire. J'aimais beaucoup le taquiner à l'époque et ça n'a pas changer, sauf que là pour le coup je ne joue pas, je ne plaisante pas, je suis sérieuse quand je lui dis tout ça. Quand je lui dis que j'ai une vie de rêve grâce à lui. Quand je lui dis que ce moment est idyllique, il l'est vraiment. Tout est parfait et lui aussi il l'est même s'il ne le croit pas, moi j'en suis persuadé et j'ai une chance folle d'être mariée avec cet homme. « Et tu oses dire que c’est moi le beau parleur ? » Je ris forcément parce qu'il reprends mes mots trop souvent prononcé quand il pouvait se montrer dithyrambique à mon sujet et que je ne savais pas comment le gérer. Je plaisantais même si j'aimais beaucoup ses compliments, je ne pensais pas les mériter. « Je pense tout ce que j'ai dis bébé, et je sais que ça te gêne mais tant pis, j'aime trop ton petit air gêné et mal à l'aise, tu es tellement cute comme ça. » Il risque encore de lever les yeux au ciel et de ronchonner parce que je dis de lui qu'il est cute, mignon ou chou mais j'aime aussi son petit côté mignon autant que j'aime son côté sexy et viril. J'aime tout de lui. « Je me doutais que tu n’allais pas réussir à tout manger » Je regarde mon plateau à mon tour, et en effet je ne vais pas tout manger, mais il a l'habitude de ne pas me voir finir mes assiettes, une chose qu'il n'aime pas chez moi d'ailleurs. Je prends un macaron sur mon plateau pour le manger tout en le regardant comme un moyen de lui prouver que je mange et que je vais tout manger, ou presque avec son aide. « Si je mange trop tu vas te plaindre que je suis trop lourde si je te saute dessus. » Oui bien-sur c'est uniquement pour ça que je ne finis pas, pas du tout parce que j'en ai pris beaucoup trop et que je n'ai plus du tout faim. « Tu veux qu’on aille voir pour le jet –ski maintenant ? » Le voir proposer d'aller voir maintenant me prouve qu'il en a vraiment envie et qu'il n'a pas juste accepté pour me faire plaisir. « Ah mais oui clairement que je le veux, j'ai hâte de te voir tester le jet-ski. » J'aime les activités qui sortent de l'ordinaire, j'aime être avec lui et là je peux avoir les deux alors qu'est-ce que je peux demander de plus ? Je prends la cigarette qu'il me tends et j'attends qu'il me l'allume et une fois fait, je profite de l'effet de la cigarette. Je ne fume plus beaucoup, j'avais même arrêté pendant ma grossesse mais j'ai repris et quand je vois comme cette cigarette me fait du bien, je réalise que je n'aurais sans doute jamais du reprendre même si ce n'est que 3/4 cigarettes par jour. « Je vais encore devoir arrêter la cigarette, j'aurais jamais du reprendre. » Je le regarde en tirant sur ma cigarette et avant même qu'il ne s'emballe trop vite je reprends rapidement. « Et non je ne suis pas en train de t'annoncer que je suis enceinte, j'anticipe juste les choses, ne t'emballe pas bébé. » Il a tendance à pouvoir vite, très vite, arriver à des conclusions quand j'évoque de près ou de loin la possibilité de grossesse ou des choses liées à la grossesse et je ne veux pas qu'il se fasse de fausse joie et si j'étais enceinte je ne lui aurais sans doute pas proposé le jet-ski.

@Caleb Anderson   Calex #46 - Look at me now, I have everything you gave to me and my heart can sing - Page 2 3956312242   Calex #46 - Look at me now, I have everything you gave to me and my heart can sing - Page 2 1949770018  (full cute pour leur lune de miel)  Calex #46 - Look at me now, I have everything you gave to me and my heart can sing - Page 2 2891754501

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Message(#)Calex #46 - Look at me now, I have everything you gave to me and my heart can sing - Page 2 EmptyJeu 18 Nov 2021 - 15:32

Calex
Look at me now, I have everything you gave to me and my heart can sing. I was a kid who could only drink, dance on tables, makin' deal with devils, like a drunk beauty queen fighting the fantasy, hooked on the scene.
« Tu parles devant tout le monde dans ta cuisine, tu diriges même pleins de gens, alors je sais que tu aurais réussi. » Je lâche un petit rire amusé.  « Mais ça n’a rien à voir… » Je dis, doucement, alors que mes sourcils se froncent un peu. Parler ou être le chef de sa brigade en cuisine n’est pas comparable au fait de devoir parler devant un amphithéâtre rempli d’élèves qui n’attendent tous qu’une seule chose : nous écouter parler pour apprendre. « De la chance ? Tu es incroyable, même pour la cuisine tu minimises tes qualités et ta réussite, tu es incorrigible chéri. C'est trop dur pour toi de dire que tu es doué et que tu mérites ce que tu as parce que tu as travaillé comme un fou pour l'avoir ? » Je secoue la tête de gauche à droite et encore une fois, nous ne sommes pas sur la même longueur d’onde elle et moi mais c’est aussi certainement ce qui nous caractérise le plus.  « Je sais que j’ai beaucoup travaillé pour avoir ce que j’ai aujourd’hui, mais il y a pleins de personnes douées en cuisine qui n’ont pas eu la même chance que moi, c’est tout. » Jamais je ne minimiserais les efforts que j’ai eu à faire pour réaliser mon rêve, mais il faut aussi savoir être humble et ouvrir les yeux : il y a du travail, certes, beaucoup de travail, mais aussi de la chance et ça, elle ne pourra pas me l’enlever de la tête. Il y a bien autre chose qui peut définir notre couple facilement : notre créativité quand on parle de notre vie intime. « On pourra toujours réessayer ensemble aussi, je suis sûre que tu as aimé le principe de la télécommande et de pouvoir contrôler mon plaisir et cette fois je serais là pour ton plaisir aussi. » Un grand sourire s’étire sur mes lèvres et ma réaction lui montre déjà à quel point sa proposition me plaît et me donne envie. Elle sait comment me parler, elle sait quels mots utiliser avec moi.  « J’ai déjà hâte. »

Avant notre rencontre je sais que la vie d’Alex a été bien plus remplie, plus passionnante et pleine d’aventures comparé à la mienne et son petit récit me contant sa première fois en jet-ski me le prouve. Mais ce que je n’avais pas anticipé c’était qu’elle me parler d’un autre homme avec une petite pointe de nostalgie dans la voix et dans le regard. « Oh moi je sais pourquoi, tu n'aimais aucun de mes amis mecs. » C’est totalement vrai, sauf que quelque fois j’avais toutes mes raisons de ne pas aimer certains de ses amis. Comme ceux qui lui tournaient autour, ceux qui la regardaient d’un peu trop près ou bien ceux qui ne voulaient qu’une seule chose : coucher avec elle. L’avantage de ne pas être attirant comme elle, c’est que moi, il y a personne qui me tourne autour. Donc c’est sûrement quelque chose qu’elle ne peut certainement pas vraiment comprendre. J’hausse alors les épaules avant d’enchaîner sur une autre question. « Je parle pas de ma vie avant toi parce que le plus intéressant c'est quand tu es entré dans ma vie. » Elle essaie d’éviter le sujet et je ne comprends pas vraiment la raison pour laquelle elle le fait. Pourquoi est-ce qu’elle ne veut pas me parler de sa première fois ? Moi je l’ai déjà fait et il y a bien longtemps, d’ailleurs. « C'était fin 2008, ça faisait trois quatre mois que j'étais à Brisbane, c'est rien de glorieux, ni de sensationnel. C'est avec un mec que j'ai croisé à quelques soirées, on a sympathisé un peu, enfin on a fait la fête ensemble plusieurs fois et un soir il m'a raccompagné chez moi et voilà. » Et voilà. Je grimace, mais en même temps c’est moi qui lui ai posé cette question. « Tu vois j'étais pas jeune non plus pour ma première fois, à Londres c'était impossible d'envisager d'être proche d'un garçon avec mon père qui surveillait toute ma vie, alors j'ai du attendre d'être loin de lui et quand l'opportunité s'est présentée, je crois que j'ai juste saisis l'occasion. » J’hoche doucement la tête.  « Tu n’étais peut-être pas jeune, mais la différence entre toi et moi, c’est que moi j’ai couché une fois avec une fille et après j’ai dû attendre deux ans pour recommencer. » J’ai dû attendre de rencontrer Alex, en somme. Mais ce n’est pas non plus la seule différence. Je n’avais jamais vraiment eu d’occasion avant mes dix-huit ans or, contrairement à elle, je n’ai pas des parents qui m’empêchaient de sortir et de vivre ma vie. « Tu as d'autres questions sur ma vie avant toi puisque tu sembles d'humeur curieux ? » Je lui fais non de la tête pour que nous puissions passer à autre chose par la suite.

C’est ce que nous faisons, d’ailleurs, je mange mon croissant ce qui semble être un spectacle plaisant pour ma femme qui ne me quitte pas des yeux. « Je pense tout ce que j'ai dis bébé, et je sais que ça te gêne mais tant pis, j'aime trop ton petit air gêné et mal à l'aise, tu es tellement cute comme ça. » Je lève les yeux au ciel tout en souriant doucement. Il est même probable que je sois en train de rougir un peu en l’entendre me complimenter, encore une fois.  « C’est bon, t’as fini ta fournée de compliments pour les six prochains mois ? » Je lui demande d’un air amusé, bien que ce ne soit plus réellement vrai. Alex me complimente plus souvent qu’à l’époque. Certainement pas autant que moi je le fais pour elle – et heureusement, d’ailleurs – mais bien plus souvent qu’avant tout de même. « Si je mange trop tu vas te plaindre que je suis trop lourde si je te saute dessus. » Il y a une partie de moi qui paniquerait presque en se demandant si elle me pense sérieux quand lui fais ces remarques qui sont, toutes, absolument pas sérieuses.  « Arrête, tu sais bien que même avec vingt kilos en plus tu serais la plus belle femme au monde pour moi. » Là, je suis sincère et j’espère qu’elle n’en doute pas. Si je la complimente beaucoup sur son physique, pendant les mois qui ont suivi la grossesse je pense lui avoir trouvé qu’elle ne me plaisait pas moins. « Ah mais oui clairement que je le veux, j'ai hâte de te voir tester le jet-ski. » Finalement je pense que j’ai un peu moins hâte maintenant que je sais qu’elle en a fait plusieurs fois et que les personnes avec qui elle en a fait étaient des habitués. Dont ce fameux Justin. Mais avant de nous lancer dans cette nouvelle expérience – enfin, nouvelle pour moi – je profite de ma première cigarette de la journée. « Je vais encore devoir arrêter la cigarette, j'aurais jamais du reprendre. Et non je ne suis pas en train de t'annoncer que je suis enceinte, j'anticipe juste les choses, ne t'emballe pas bébé. » Je grimace légèrement tout en tirant sur la cigarette.  « Désolé, c’est à cause de moi que tu as reprit… » Elle va le nier, mais on sait tous les deux que c’est la vérité. Je sais qu’elle a recommencé après notre dernière dispute en date, dispute qui a débuté à cause de ma jalousie, d’ailleurs. Et contrairement à elle, je n’ai pas réussi à arrêter le tabac alors il ne lui suffisait de prendre une cigarette dans mon paquet, et c’est ce qu’elle a fait.

© nightgaunt


@Alexandra Anderson je demande du full cute Calex #46 - Look at me now, I have everything you gave to me and my heart can sing - Page 2 1017170121 
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Message(#)Calex #46 - Look at me now, I have everything you gave to me and my heart can sing - Page 2 EmptyLun 22 Nov 2021 - 4:48




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 « Je sais que j’ai beaucoup travaillé pour avoir ce que j’ai aujourd’hui, mais il y a pleins de personnes douées en cuisine qui n’ont pas eu la même chance que moi, c’est tout. » Je suis clairement pas du même avis que lui, mais après tout je n'étais pas là quand il a ouvert son restaurant, quand il s'est lancé dans ce projet et quand il a réalisé son rêve. Je n'étais pas là pour constater si c'est vraiment la chance qui a fait la différence, peut-être mais là ou on semble d'accord, c'est qu'il a travaillé, beaucoup, énormément pour réussir et s'il a peut-être eu de la chance au début je suis pas sûr que le terme chance puisse s'accorder avec la suite. Puisque mine de rien, je réalise à cet instant que le travail acharné et tout l'engagement qu'il a mit dans son restaurant, c'est aussi suite à un drame qui l'a poussé à se noyer dans le travail. Enfin c'est ce qu'il m'avait confié et je ne connais pas assez sa vie d'avant et je n'ai jamais osé vraiment le questionner pour savoir comment il a réussi à trouver le courage et la force de se lancer, de faire un prêt, de tout risquer pour réaliser son rêve. Je ne le sais pas et je ne pense pas que ce soit une discussion que l'on aura aujourd'hui, parce que je n'ai pas l'intention d'entendre parler du soutien d'une autre femme dans sa vie, pas pendant notre voyage de noce en tout cas. Et c'est plutôt vers un sujet qu'on apprécie tout les deux et sur lequel on est vraiment sur la même longueur d'onde que la discussion s'oriente ; notre vie sexuelle. Il sourit et moi aussi, c'est souvent le cas quand on est tout les deux comme c'est souvent le cas que la discussion dérive, dévie sur des allusions plus ou moins dissimulées. Il a hâte il le dit et je le connais assez pour savoir que mes mots lui plaisent et que l'idée lui plaît aussi. « Moi aussi chéri, moi aussi, j'aime quand tu es aux commandes. » Et pour le coup, ce n'est pas qu'une façon de parler.

En bord de plage, ou du moins la vie sur la plage, un petit déjeuner typiquement Français, une journée qui s'annonce magnifique en compagnie de mon mari, tout est absolument parfait. L'idée du jet-ski me vient et si j'ai très envie de faire cette activité avec lui, je ne m'attendais pas à ce que l'évocation du jet-ski, se transforme en questionnement sur mon passé avant Caleb et encore moins à ce qu'il me demande de lui parler de ma première fois, pas alors que l'on vit nos premiers moments de couples mariés. Je sais qu'il est jaloux Caleb, son manque de confiance en lui étant sans doute la principale cause de sa jalousie, mais je n'ai pas envie de le mettre mal à l'aise avec des histoires passées qui ne comptent même pas. Mais il veut savoir alors je lui raconte brièvement ma première fois, enfin les circonstances qui m'ont amené à coucher avec un homme pour la première fois, sans entrer dans les détails bien entendu. Et pourtant si je me contente d'un et voilà pour décrire la chose qu'il voulait savoir, à savoir ma première fois, je vois bien que ça ne lui plaît pas, il ne le cache même pas puisqu'il grimace. C'était il y a plus de douze ans, c'était plus d'un an et demi avant lui et pourtant visiblement rien que l'idée de me savoir avec un autre le dérange. Pourtant je lui précise bien que ce n'est que par opportunité que j'ai couché avec cet homme alors il n'a même pas à craindre que ma première fois ait eu un sens important, je m'en souviens presque pas c'est dire, à part que c'était clairement pas agréable, autant dire que cette fois je l'ai sans doute regretté plus tard mais désormais tout ça me semble si loin. « Tu n’étais peut-être pas jeune, mais la différence entre toi et moi, c’est que moi j’ai couché une fois avec une fille et après j’ai dû attendre deux ans pour recommencer. » Je le sais tout ça, il m'a parlé de cette fille avec qui il a couché, je l'ai même rencontré à la soirée de retrouvailles de son lycée, et je sais aussi que son expérience sexuelle était très mince, et ça ne m'a jamais dérangé, bien au contraire. En revanche, j'ai presque l'impression que le fait que j'ai couché avec d'autres personnes à la différence de lui ça le dérange légèrement. « Heureusement que tu n'as pas ré-attendu deux ans encore après avec moi. » J'essaye de faire une blague, mais j'ai l'impression que ce n'est pas très adroit de ma part. « Plus sérieusement, ce qui est important c'est la suite, c'est avec toi que j'ai découvert à quel point le sexe pouvait être aussi incroyable et innovant, et je suis toujours aussi fière de t'avoir permis d'explorer cette facette de toi et tu as pu réaliser à quel point tu étais doué dans ce domaine pour mon plus grand plaisir. » C'est tout ce qui compte, du moins pour moi. Je veux oublier ce qui s'est passé avant notre rencontre, les trois hommes avec lesquels j'ai pu coucher et surtout je veux oublier tout les autres après notre séparation, tout ceux bien trop nombreux et dont je ne me souviens quasiment rien. C'est peut-être hypocrite ou peut-être que je choisis la facilité, mais Caleb c'est le seul homme avec lequel j'ai couché parce que j'avais des sentiments forts pour lui, le seul que j'aimais et que j'aime toujours autant comme en témoigne cette alliance que je porte et ce mariage que nous avons célébré. Pour aucun autre homme j'aurais accepté cette vie, parce que c'était lui ou personne d'autre et finalement je suis plutôt rassurée qu'il ne me pose pas plus de questions sur ma vie avant lui. Je l'ai dis en riant, mais je le pense, le plus intéressant dans ma vie sentimentale et sexuelle c'est quand il est entré dedans.

Et aujourd'hui grâce à lui, je vis un rêve éveillé chaque jour. Il me rends heureuse, il me comble de bonheur, il apaise mes craintes et même les mauvais jours semblent pas si mauvais quand j'ai la possibilité de les passer à ses côtés. Ma vie est parfaite et pourtant jamais je n'aurais rêvé d'une telle vie. Deux enfants, un mariage, une maison de famille avec les animaux, rien de tout ça ne faisait partie d'un plan de vie parfait, je n'avais pas de plan de vie de toute façon, mais pourtant aujourd'hui, je ne pourrais plus imaginer ma vie autrement et je le fixe quelques instants, profitant de la vue, de lui, et de cette sensation si agréable que je ressens en sa présence. Mon regard et mes compliments le gêne, je le sais, il le dit mais ça me fait sourire. Comme la vue de Caleb qui lève les yeux au ciel, une vision qui parfois peut m'agacer mais qui aujourd'hui m'amuse et que je trouve cute. « C’est bon, t’as fini ta fournée de compliments pour les six prochains mois ? » Je lève les épaules, peut-être ou peut-être pas. Je sais que je n'ai jamais été la plus douée pour complimenter les gens. Pas assez ou trop, ça n'a jamais été naturel pour moi les compliments, mais à force de vivre au côté de Caleb j'ai essayé d'apprendre. « Non, j'ai été avares en compliment pendant des années, mais désormais tu vas devoir t'y faire, et peut-être qu'un jour tu arrêteras de lever les yeux au ciel. » Il aurait eu besoin que je le rassure, que je le complimente à l'époque, et je n'ai pas su le faire, j'en étais incapable, mais aujourd'hui, je veux lui montrer à quel point il est parfait à mes yeux, et à quel point j'ai de l'estime, du respect et de l'admiration pour lui. Et puis s'il y a bien un de nous qui fait beaucoup, beaucoup, beaucoup de compliments c'est bien lui. Et certains sont clairement pas objectifs et parfois largement surcotés. « Arrête, tu sais bien que même avec vingt kilos en plus tu serais la plus belle femme au monde pour moi. » Peut-être à ses yeux oui mais pas au mien et il sait mieux que quiconque l'effet que peut avoir sur moi une prise de poids et un changement sur mon corps. Je l'imite, volontairement, levant les yeux au ciel quelques secondes en secouant la tête. « Toi depuis le temps que tu me complimentes, tu l'as assez fait pour les 30 prochaines années. » Et pourtant j'espère qu'il n'arrêtera jamais de le faire, j'ai besoin de ça, pas forcément sur mon physique, quoique quand je suis enceinte j'en ai largement besoin, mais c'est surtout sur le reste dont je doute même si notre vie de couple et notre de vie de famille m'ont bien aidé à prendre un peu confiance en moi et surtout à arrêter de douter et me juger constamment négativement. Et aujourd'hui, en plein voyage de noce, après la journée et nuit que nous avons passé, je n'ai aucune raison de douter de ses compliments ou de moi même. Tout est parfait entre nous, et je compte bien faire en sorte que tout le soit encore longtemps et rien ne viendra gâcher notre voyage de noce parce que nous avons plus autant de temps à deux qu'avant et je compte bien mettre à profil ces quelques jours. Surtout que si notre projet prends forme rapidement, le temps à deux sera peut-être encore plus difficile à trouver. Mais je sais qu'on trouvera toujours le temps pour nous retrouver puisqu'il en a autant besoin que moi, je le sais, c'est peut-être l'une des rares choses que l'on a en commun, notre couple est important pour nous, pour notre équilibre. L'autre point commun que nous avons, et c'est pas le meilleur, c'est le fait que nous apprécions tout les deux la première cigarette du matin et si j'avais arrêté pour la grossesse et l'allaitement, j'ai repris il n'y a pas si longtemps. « Désolé, c’est à cause de moi que tu as reprit… » C'est à cause de moi qu'il a commencé, à cause de moi aussi que sa consommation a augmenté alors ce serait un peu trop facile de remettre la faute sur lui. « Non, c'est moi qui ait décidé de reprendre, tu n'es pas responsable c'était mon choix. » Assumer mes erreurs, c'est pas quelque chose que j'ai toujours fait, et si ce n'est en soit pas une grosse erreur, ça reste la mienne et il n'a pas à porter cette responsabilité là. « Tu pourrais peut-être arrêter avec moi quand je serai enceinte ? » J'aimerais qu'il arrête lui aussi, ne serait-ce que pour son cœur, mais je suis assez bien placée pour savoir que les addictions ce n'était pas quelque chose de simple à gérer. Je termine ma cigarette et après un dernier macaron, le petit déjeuner se termine et nous quittons la boulangerie. Je lui prends la main et instinctivement en entremêlant mes doigts aux siens je sens son alliance et je souris en repensant à cette journée parfaite. « Grâce à toi depuis deux ans je découvre que la vie est belle et pour rien au monde je ne changerai quelque chose à ce que l'on a vécu ces deux dernières années. » Tellement de souvenirs, de joies, d'émotions, d'amour et de fierté aussi ressenti grâce à lui. « Mais désormais, de quoi tu rêves bébé ? Comment je peux rendre ta vie encore plus belle à l'avenir ? » Il y a eu nos filles l'an dernier, notre mariage cette année mais désormais, je me demande ce que je peux apporter à sa vie pour la rendre encore plus belle, et c'est une question légitime je trouve après ces deux années si riche en émotion pour nous deux.

@Caleb Anderson   :l: :l:

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Message(#)Calex #46 - Look at me now, I have everything you gave to me and my heart can sing - Page 2 EmptyMar 23 Nov 2021 - 16:32

Calex
Look at me now, I have everything you gave to me and my heart can sing. I was a kid who could only drink, dance on tables, makin' deal with devils, like a drunk beauty queen fighting the fantasy, hooked on the scene.
Comme bien souvent entre nous, la conversation dévie un peu du sujet de base et c’est avec un petit sourire que j’accueille sa réflexion. « Moi aussi chéri, moi aussi, j'aime quand tu es aux commandes. » Je le sais, je n’en doute pas, c’est surtout pas du tout la première fois qu’elle me le dit. Je ne m’attarde donc pas dessus et je préfère la questionner sur un sujet qu’elle n’aborde jamais, ou du moi, jamais avec moi : sa vie avant notre rencontre. Je sais qu’elle a quitté Londres à 18 ans pour partir vivre en Australie et mon niveau de connaissance s’arrête là. Il n’est donc clairement pas très élevé. Je sais aussi qu’elle a rencontré Rachel quelques mois après son arrivée à Brisbane. Alors je la questionne là-dessus et plus précisément sur sa première fois, par exemple. Parce qu’il me semble normal de connaître ce genre de chose concernant la personne avec qui on partage sa vie, non ? Bien sûr que je ne demande aucun détail, mais simplement un résumé de cette partie de sa vie. J’ai comme l’impression que ma question la dérange ou du moins, qu’elle ne soit pas ravie que je veuille connaître cette partie de sa vie et je ne comprends pas ça. Mais elle ne raconte tout de même brièvement la première fois qu’elle a couché avec quelqu’un et l’idée de l’imaginer avec un autre n’a rien de plaisant et je pense que c’est totalement normal, on parle de ma femme. « Heureusement que tu n'as pas ré-attendu deux ans encore après avec moi. » Je sais que c’est une blague qu’elle me fait mais ça ne me fait pas franchement rire. C’était dur pour moi de me rendre compte que je n’attirais aucune fille et devoir attendre deux ans pour trouver quelqu’un qui me regarde et qui ait envie de coucher avec moi. « Plus sérieusement, ce qui est important c'est la suite, c'est avec toi que j'ai découvert à quel point le sexe pouvait être aussi incroyable et innovant, et je suis toujours aussi fière de t'avoir permis d'explorer cette facette de toi et tu as pu réaliser à quel point tu étais doué dans ce domaine pour mon plus grand plaisir. » Je ne comprends pas pourquoi elle se sent obligée de me dire tout ça, je fronce légèrement les sourcils et lâche un léger rire.  « Je sais que c’est ça le plus important, j’ai pas dit le contraire. » Mais bien sûr que l’idée d’imaginer Alex avec un autre homme n’est pas plaisante, tout comme, je suppose elle ne doit pas aimer m’imaginer avec une autre femme qu’elle. C’est normal je trouve. Mais pour tout ce genre de chose, elle ne peut pas le comprendre, Alex. Elle plait. Elle plait à tout le monde, elle est belle, elle attire les regards et c’est sûrement pour ça qu’elle aura toujours bien plus d’expérience que moi.

Il y en a des choses qui nous différencient tous les deux, il y en a beaucoup. J’ai toujours été de ces personnes qui n’a aucun mal à faire des compliments à la personne qu’il aime et il suffit de me regarder avec ma femme pour le comprendre. Alors qu’Alex, elle, n’a jamais été la plus généreuse en compliments. Pourtant j’en aurais bien eu besoin, surtout avant, quand on a commencé à sortir ensemble. « Non, j'ai été avares en compliment pendant des années, mais désormais tu vas devoir t'y faire, et peut-être qu'un jour tu arrêteras de lever les yeux au ciel. » J’hausse les épaules.  « Oh, ne te sens pas obligée. » Elle n’est pas la plus douée pour les compliments, Alex. Elle en fait souvent de trop ce qui a tendance à me mettre extrêmement mal à l’aise.  « J’aime pas les compliments. » Elle le sait. Je pense surtout ne pas les mériter la plupart du temps et c’est clairement le cas. Alors qu’Alex, elle, elle mérite tous les compliments du monde puisque ma femme est de loin la plus belle et la plus incroyable qui puisse exister. « Toi depuis le temps que tu me complimentes, tu l'as assez fait pour les 30 prochaines années. » Je lâche un petit rire et si elle n’a peut-être pas tort sur tous les points je ne suis pas prêt d’arrêter mes compliments pour elle.  « Je ne t’aurais jamais assez complimenté. Tu mérites tout ce que je te dis à chaque fois. » Je laisse mon amour pour elle parler à l’instant même où mes yeux croisent les siens.  « Tu es une femme incroyable, et j’espère que tu t’en rends compte. » Et je ne parle pas que de son physique plus qu’avantageux. Elle a des défauts, Alex, j’en ai conscience mais à mes yeux ses qualités sont bien plus présentes que le reste. « Non, c'est moi qui ait décidé de reprendre, tu n'es pas responsable c'était mon choix. » Je secoue la tête de gauche à droite. Je ne pourrais pas être moins d’accord avec elle. On sait tous les deux quand elle a repris la cigarette et les raisons sont directement liées à moi.  « T’as recommencé à fumer quand on s’est disputés. Donc si, c’est à cause de moi. » Dispute déclenchée par ma jalousie. Mais voir Alex se faire draguer sous mes yeux n’avait en rien quelque chose d’agréable. « Tu pourrais peut-être arrêter avec moi quand je serai enceinte ? »  Je la regarde longuement et après avoir profité de ma cigarette je la termine à mon tour.  « Peut-être... » J’hausse les épaules. Je l’ai fait une fois pourtant, arrêter quand elle est tombée enceinte mais malheureusement au bout de quelques mois, j’ai repris.  « Si j’y arrive. » Si je ne suis pas faible et nul comme l’autre fois.

Nous quittons main dans la main la boulangerie et je serre sa main dans la mienne. « Grâce à toi depuis deux ans je découvre que la vie est belle et pour rien au monde je ne changerai quelque chose à ce que l'on a vécu ces deux dernières années. » Je souris doucement.  « Je ne changerai même pas nos disputes. » Parce que ça fait partie de nous. On se dispute souvent, et la plupart du temps pour des choses pas si importantes que ça. Mais on s’aime alors on oublie vite. « Mais désormais, de quoi tu rêves bébé ? Comment je peux rendre ta vie encore plus belle à l'avenir ? » Elle fit attention à moi, Alex. Elle veut savoir ce qu’elle peut faire pour rendre ma vie plus belle mais si elle savait que c’est sa présence à mes côtés que sublime ma vie chaque minute et chaque seconde. Je m’arrête un instant alors que mon pouce caresse avec tendresse le dos de sa main.  « Je veux juste être heureux. » J’ai déjà touché le fond, j’ai déjà cru que je ne me relèverai jamais et c’est seulement quand Alex est revenue dans ma vie que j’ai enfin cru apercevoir un peu de lumière. Elle le sait, tout ça, je lui en ai déjà parlé.  « Et grâce à toi je le suis. » Mes mains se posent sur ses joues pour venir l’embrasser tendrement.  « Peut-être encore deux enfants aussi. » C’est en haussant les épaules et en souriant légèrement que je lui dis ces mots avec une pointe d’humour, certes, mais ça n’en reste pas pour le moins vrai.

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@Alexandra Anderson je demande du full cute Calex #46 - Look at me now, I have everything you gave to me and my heart can sing - Page 2 1017170121 
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Message(#)Calex #46 - Look at me now, I have everything you gave to me and my heart can sing - Page 2 EmptyMer 24 Nov 2021 - 9:36




LOOK AT ME NOW, I HAVE EVERYTHING YOU GAVE TO ME AND MY HEART CAN SING. I WAS A KID WHO COULD ONLY DRINK, DANCE ON TABLES, MAKIN' DEAL WITH DEVILS, LIKE A DRUNK BEAUTY QUEEN FIGHTING THE FANTASY, HOOKED ON THE SCENE.

  « Oh, ne te sens pas obligée. » Je ne sais pas s'il dit ça pour rire ou non, mais j'espère qu'il ne pense pas que mes compliments sont forcés, que je me sens obligée de lui faire des compliments parce que ce n'est pas le cas. « Je ne me sens pas obligée, je pense tout ce que je te dis. » Ça n'a pas toujours été naturel pour moi, mais j'essaye de lui dire ce que je ressens, de lui dire quand je suis fière de lui, ou lui montrer qu'il a tord quand il se rabaisse, j'essaye de le valoriser mais je ne suis pas douée visiblement, surtout s'il pense que je me sente obligée de le faire. « J’aime pas les compliments. » Ah bon ? Vraiment, j'avais jamais remarqué. Ce sont les mots auxquels je pense en premier lieu mais je ne veux pas faire de l'ironie ou du sarcasme, pas maintenant parce qu'il n'aime pas les compliments c'est une chose que je sais, mais j'aurais qu'il apprenne à aimer au moins les miens, ce serait déjà un bon début parce que je suis sa femme et je l'aime comme une dingue et j'aimerais qu'il apprenne à apprécier les choses positives que j'ai envie de lui dire à son sujet. « Je sais, mais j'ai encore l'espoir que tu puisses apprécier les miens, même si ça doit prendre quarante ans, je veux que quand on sera vieux, tu puisses apprécier les compliments. » Qu'il puisse les apprécier et en même temps penser qu'ils les méritent, qu'ils sont sincères et vrais, comprendre que sa valeur est appréciée et remarquée, je pense que c'est pas impossible non ? Les gens changent, évoluent, la preuve je viens de me projeter quarante ans dans le futur avec lui alors si je peux me projeter ainsi, il peut apprendre à aimer mes compliments non ? Surtout qu'il est le premier à faire beaucoup de compliments. « Je ne t’aurais jamais assez complimenté. Tu mérites tout ce que je te dis à chaque fois. » Il valorise les gens autour de lui, et moi aussi alors que je ne mérite pas tout ses compliments c'est une réalité qu'il est le seul à ne pas voir. Tant mieux, s'il me voyait comme les gens me voient, il ne m'aurait pas épousé. S'il se rendait compte que j'ai bien plus de défauts que de qualités, il ne pourrait pas m'aimer, mais il m'aime et je ne vais pas être celle qui vais l'aider à ouvrir les yeux, bien au contraire. « Tu es une femme incroyable, et j’espère que tu t’en rends compte. » Un sourire sincère qui s'affiche sur mon visage, un regard tendre qui se pose sur mon mari et des joues qui rosissent un peu parce que ses mots me touchent, cette déclaration spontanée me fait de l'effet. « C'est pour toi que j'essaye d'être quelqu'un de bien. » Pour lui que je m'efforce d'être une femme qui à défaut d'être incroyable, l'est au moins à ses yeux et c'est tout ce qui m'importe vraiment. « Tu es quelqu'un d'incroyable chéri et j'aimerai qu'un jour tu puisses réaliser à quel point j'admire l'homme que tu es. » Il n'aime pas les compliments, je sais, mais j'aimerai qu'un jour il puisse se voir comme je le vois, comme le monde le voit pour réaliser à quel point il mérite mes compliments mais aussi tellement d'autres. Mais au lieu de ça, c'est surtout ses défauts qu'il voit, ses failles qu'il met en avant, il se blâme même pour ma rechute avec la cigarette. Il refuse d'accepter que je sois responsable de mes choix, rien ne m'obligeait à fumer à nouveau et encore moins lui mais il n'est pas d'accord avec ça. « T’as recommencé à fumer quand on s’est disputés. Donc si, c’est à cause de moi. » Peu encline à repenser à cette dispute et à ces cinq jours à dormir seule dans notre lit et à savoir à quel point je l'avais blessé encore, je ne veux pas parler de ça alors que l'on est en voyage de noce. « J'aurais pu recommencer n'importe quand ou même ne pas recommencer, c'est pas à cause de toi, tu n'as pas à assumer la responsabilité de toutes mes erreurs. » Le pire c'est que je sais qu'il pourrait le faire si c'est pour me soulager, ou pour m'aider mais je refuse qu'il se blâme pour ça, surtout que la cigarette finalement, de nous deux c'est bien lui qui devrait arrêter, qui n'aurait même jamais du commencer mais ça c'est à cause de moi et je le sais alors l'idée de le motiver à arrêter avec moi semble être une idée logique et pas si mauvaise que ça. « Peut-être... Si j’y arrive. » J'ai comme la sensation que ma proposition va le pousser à se mettre la pression pour réussir, et ce n'est pas non plus le but, donc je n'insiste pas et même si j'aimerais vraiment qu'il arrête la cigarette, au moins pour son cœur, je ne lui mets pas plus de pression. Pas aujourd'hui parce que c'est notre voyage de noce et je veux profiter de lui et de ces moments à deux.

« Je ne changerai même pas nos disputes. » Je lâche un petit rire, ce n'est clairement pas la première chose que je pensais qu'il évoquerait mais ça me fait sourire, ce qui n'est pas le cas de nos disputes qui peuvent parfois être assez intenses, par ma faute. « Je ne changerai pas ça non plus, mais à l'avenir je préfère que la seule tension entre nous soit celle dans notre chambre. » Je ne suis pas vraiment sérieuse même si je pense ce que je dis. Je passe une main dans ses cheveux en souriant le décoiffant largement avant de venir déposer un baiser au coin de ses lèvres. Il s’arrête et je m’arrête aussi dans le même temps ma main dans la sienne. Je le regarde quelques secondes surprise qu’il se soit arrêté ainsi. « Je veux juste être heureux. » Mes yeux dans les siens je le regarde avec tendresse parce que sa réponse m’émeut, il veut être heureux et je vais tout faire pour l’aider à l’être. « Alors soyons heureux ensembles. » Ca semble si simple quand ces mots sont murmurés à quelques centimètres de son oreille, là ou se trouve ma bouche avant de venir déposer quelques baisers dans son cou. Je sais qu’il ne l’a pas toujours été, je sais qu’il a vécu des choses douloureuses mais désormais je veux qu’il soit heureux, je veux le combler, je veux qu’il ait une vie de rêve et lui il ne veut qu’être heureux. « Et grâce à toi je le suis. » Il me fait souvent pleins de compliments, il me rassure sur pleins de choses, mais me dire que grâce à moi il est heureux c’est peut être l’une des choses les plus touchantes qu’il puisse me dire. « Je ne compte pas partir alors habitues toi à être heureux parce que tu es ma priorité désormais. » J’ai toujours eu peur de ne pas suffire. De ne pas être assez bien, de ne pas être celle qui lui fallait pour le rendre heureux, mais il me confirme l’inverse aujourd’hui et j’ai envie de croire en lui et en ses mots. Je suis sa femme, il m’a choisi alors je peux commencer à vraiment accepter l’idée que je suis assez bien pour lui, que je peux le rendre heureux. Lui me rends heureuse en tout cas, c'est une certitude et la façon avec laquelle il m'embrasse ne fait que confirmer une chose : j'aime cet homme de tout mon âme et je ne suis pas prête de me lasser de lui ou de ses baisers. « Peut-être encore deux enfants aussi. » Je rigole en l’entendant dire cette phrase alors que ma bouche est encore à quelques centimètres de la sienne prête à l'embrasser de nouveau. Mais sa remarque me fait sourire. Il n’en démords pas, toujours avec ces quatre enfants alors qu’on est déjà en train de tenter d’en faire un troisième, il pense déjà au suivant. « On va commencer par un déjà et on reparlera du quatrième quand ils seront tous en âge de s'habiller tout seul ou mieux encore d'avoir un appartement. » Je ne dis pas non, mais clairement déjà trois c'était insensé il y a encore deux ans. Un c'était déjà insensé en soit, et pourtant voilà qu'on est enfin prêt tout les deux, en même temps et avec le même désir de voir notre famille s'agrandir. Un projet commun, un désir que l'on partage, et pour cette grossesse c'est avec envie que nous avons décidé de nous lancer dans cette aventure et ça change beaucoup de choses, pour une fois je fais les choses bien, je maîtrise mon corps et je décide de ce que je veux, il ne reste plus qu'à tomber enceinte désormais mais ça n'a jamais été une partie vraiment difficile ça.

[…]

Caleb a quitté les toilettes il y a quelques minutes déjà et j'en profite pour me recoiffer un peu et remettre de l'ordre dans mes cheveux. Je réajuste ma robe et je me remaquille un peu pour redonner un semblant de classe à mon image. Je sais bien que ce que nous venons de faire n'a rien de classe mais ça valait le coup, vraiment et je retrouve peu à peu un semblant de respiration normale. Je finis par sortir à mon tour, la tête droite et surtout un grand sourire sur les lèvres que je ne peux cacher et je retrouve Caleb à l'intérieur de ce super restaurant qu'il avait sélectionné pour nous. Je m'avance vers lui discrètement, oubliant que mes talons font un bruit monstre sur le sol et qu'il va forcément m'entendre, mais c'est pas grave j'avance dans son dos et je passe mes bras autour de lui et je me serre contre lui, ma bouche se retrouvant dans son cou pour venir déposer quelques baisers alors qu'une de mes mains glisse discrètement sous sa chemise pour caresser ses hanches. « Encore un restaurant que je n'oublierai jamais. » Il était bon il n'y a pas de doute mais ce n'est clairement pas le menu qui restera dans ma mémoire et il le sait très bien. « La journée a été parfaite, merci bébé. » Il a fait tout ce que j'ai voulu, du petit déjeuner, au jet-ski et au dîner et ce passage dans les toilettes en duo, il a fait en sorte que j'ai absolument tout ce que j'avais désiré et je réalise la chance que j'ai d'avoir un homme aussi prêt à tout pour mon bonheur. « Demain c'est à moi de t'offrir une journée parfaite comme ça. » Je ne prévois pas les choses normalement, mais pour cette fois j'ai fais une exception et j'espère que ça lui plaira mais avant ça, il nous reste tout une soirée à passer ensemble et je finis par le lâcher pour me mettre à côté de lui et prendre sa main dans la mienne. « Je peux te demander encore une chose pour aujourd'hui ? » Je n'attends même pas vraiment sa réponse avant d'ajouter. « Je voudrais qu'on finisse la soirée sur la plage. » La plage, ce n'est pas cette plage mais ça a un sens important pour nous, les plages. Notre premier baiser, son premier anniversaire, notre mariage, c'est aussi sur une plage que nous avons choisi le prénom de notre deuxième fille. Les plages c'est un lieu spécial pour nous du moins pour moi et c'est en avançant vers la plage que je finis par réaliser que depuis bien trop longtemps je n'ai pas regardé mon téléphone et je le sors. Pas de messages, enfin si des messages mais pas de sa mère et c'est le seul qui pouvait m'intéresser. « On devrait appeler ta mère non ? Pour souhaiter bonne nuit aux filles, elles me manquent. » C'est finalement la seule chose qu'il me manque, mes filles. Sinon j'ai absolument tout ce qu'il me faut pour être heureuse. L'homme de ma vie est à mes côtés et je suis la femme la plus heureuse à cet instant précis.

@Caleb Anderson   :l: :l:

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Message(#)Calex #46 - Look at me now, I have everything you gave to me and my heart can sing - Page 2 EmptyMer 24 Nov 2021 - 22:30

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« Je sais, mais j'ai encore l'espoir que tu puisses apprécier les miens, même si ça doit prendre quarante ans, je veux que quand on sera vieux, tu puisses apprécier les compliments. » Un grand sourire s’étire sur mes lèvres, ça me touche toujours autant de réaliser à quel point elle peut se projeter avec moi. Pourtant rien n’était certain, quand on était plus jeune elle était littéralement incapable de se projeter alors l’entendre me parler de notre couple dans quarante ans me fait forcément sourire.  « À 70 ans je sais pas s’il y aura encore matière à me faire des compliments. En plus je devrai sûrement prendre du viagra pour la survie de notre vie sexuelle alors… » Je grimace mais surtout, je rigole, parce que je sais que cette référence des vœux bien spéciaux que je lui ai fait par messages la veille de notre mariage vont rester, et que nous ne sommes pas prêts de les oublier. « C'est pour toi que j'essaye d'être quelqu'un de bien. Tu es quelqu'un d'incroyable chéri et j'aimerai qu'un jour tu puisses réaliser à quel point j'admire l'homme que tu es. » Je souris doucement et me penche au-dessus de la table pour m’approcher d’elle.  « Je t’aime, mon amour. » Et mes lèvres viennent se poser sur les siennes pour l’embrasser avec douceur, malgré le fait que nous ne soyons pas seuls sur la terrasse de la boulangerie. C’est notre lune de miel et j’essaie de passer au-dessus de ma gêne dans les gestes affectueux en public. « J'aurais pu recommencer n'importe quand ou même ne pas recommencer, c'est pas à cause de toi, tu n'as pas à assumer la responsabilité de toutes mes erreurs. » J’hausse les épaules, peu convaincu par ses propos. Si nous ne nous étions pas disputés elle n’aurait pas repris la cigarette, elle le sait tout aussi bien que moi. Donc si, je suis responsable de sa rechute. Ou du moins je m’en responsable. « Je ne changerai pas ça non plus, mais à l'avenir je préfère que la seule tension entre nous soit celle dans notre chambre. » Sauf qu’elle doit tout aussi bien savoir que moi, que quelque fois, la tension de nos disputes peut mener à du sexe incroyable pendant les réconciliations. À condition que la dispute ne soit pas trop importante bien sûr. Mais aujourd’hui il n’est pas question de dispute bien au contraire, on se concentre sur l’amour que nous ressentons chacun. « Alors soyons heureux ensembles. » Je lui souris doucement, parce qu’elle est attentionnée, Alex, et sa question pour essayer de savoir ce qu’elle peut faire pour m’aider à vivre la vie dont j’ai toujours rêvée est réellement adorable. Mon rêve et mon bonheur c’est elle, tout simplement. « Je ne compte pas partir alors habitues toi à être heureux parce que tu es ma priorité désormais. » Cette fois elle ne compte pas partir mais je refuse de ne pas me laisser envahir par des pensées négatives alors je ne pense pas à son départ d’il y a dix ans ou du moins, j’essaie de ne pas y penser. « On va commencer par un déjà et on reparlera du quatrième quand ils seront tous en âge de s'habiller tout seul ou mieux encore d'avoir un appartement. » Il n’y a pas encore si longtemps que ça elle aurait refusé le quatrième enfant mais là, elle ne dit pas non et cette constatation me fait sourire.  « Peut-être que le troisième est déjà en route, qui sait. » Je lui souris grandement alors que ma main se pose sur son ventre, dans l’espoir que dans quelques mois je le verrai de nouveau arrondi.

**

Je ressors des toilettes du restaurant mais je ne prends pas vraiment le temps de me recoiffer et pourtant je devrais certainement. Je passe rapidement mes mains dans mes cheveux pour essayer d’y remettre de l’ordre parce que je me doute qu’Alex a dû complètement me décoffrer. Je retourne vers notre table pour boire un grand verre d’eau et demander l’addition qu’ils m’apportent rapidement et je pars payer au bar. J’échange en français quelques mots au serveur en lui demandant d’envoyer mes compliments au chef, parce que le repas de ce soir était délicieux. Le bruit des talons d’une femme se fait entendre au loin et je reconnais sans hésiter la démarche d’Alex qui arrive vite vers moi déposant des baisers dans mon cou. « Encore un restaurant que je n'oublierai jamais. » Je souris à ses mots et avant de lui répondre je salue le serveur et me retourne pour prendre la main de ma femme dans la mienne et je l’entraîne dehors.  « Cette fois tu ne devrais pas avoir de bleu dans le dos. » Je lui assure, une petite référence que seul nous deux nous pourrions comprendre. « La journée a été parfaite, merci bébé. » Je souris et l’embrasse rapidement sur les lèvres.  « C’est ta présence aussi, qui rend la journée parfaite » Et pour elle je suis prêt à tout, si elle avait voulu un nouveau vol en hélicoptère j’aurais fait l’effort de surmonter à nouveau ma peur pour lui faire plaisir. « Demain c'est à moi de t'offrir une journée parfaite comme ça. » Elle m’intrigue et je me demande déjà si elle a déjà des idées en tête pour nous demain.  « Quel est le programme de la journée de demain, Madame Anderson ? » Mon nom qu’elle porte officiellement à présent et qui lui va terriblement bien. Elle est faite pour être une Anderson, Alex et c’est toujours avec un immense sourire que je l’appelle ainsi. Qu’elle soit devenue ma femme me comble de bonheur tous les jours et depuis que nous avons tous les deux une alliance au doigt j’ai l’impression de l’aimer encore plus que d’habitude. « Je peux te demander encore une chose pour aujourd'hui ? Je voudrais qu'on finisse la soirée sur la plage. »  « Tout ce que tu veux mon cœur. » Je sors ma cigarette électronique de ma poche et je lui mets sur le dos ma veste. Il est 21h30, il commence à faire un peu frais et je ne veux surtout pas qu’elle attrape froid et c’est en attrapant sa main que je commence à avancer vers la plage, vapotant sur ma cigarette électronique en même temps de ma main libre. « On devrait appeler ta mère non ? Pour souhaiter bonne nuit aux filles, elles me manquent. »  Je lâche sa main le temps de regarder mon portable, pas de message non plus, je le remets dans ma poche et reprends tout de suite sa main dans la mienne.  « Vu l’heure elles doivent dormir je pense mais tu peux toujours essayer. » Parce qu’avec Lena on peut toujours avoir des surprises. Quoi que si elle a passé sa journée à courir dans la ferme pour en exploiter les moindres recoins, elle doit être fatiguée et mes parents aussi d’ailleurs.  « Moi aussi elles me manquent toujours c’est dingue. » Je ne me vois pas vivre sans mes filles qui sont devenues au même titre que leur mère, mon rayon de soleil quotidien et ma source de joie et de bonheur.  « Même si je t’avoue que ne pas courir après Lena toute la journée, ça fait du bien. » Je lui avoue en riant, alors que nous avançons toujours vers la plage je la laisse appeler ma mère.

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@Alexandra Anderson je demande du full cute Calex #46 - Look at me now, I have everything you gave to me and my heart can sing - Page 2 1017170121 
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Message(#)Calex #46 - Look at me now, I have everything you gave to me and my heart can sing - Page 2 EmptyVen 26 Nov 2021 - 3:37




LOOK AT ME NOW, I HAVE EVERYTHING YOU GAVE TO ME AND MY HEART CAN SING. I WAS A KID WHO COULD ONLY DRINK, DANCE ON TABLES, MAKIN' DEAL WITH DEVILS, LIKE A DRUNK BEAUTY QUEEN FIGHTING THE FANTASY, HOOKED ON THE SCENE.

  « À 70 ans je sais pas s’il y aura encore matière à me faire des compliments. En plus je devrais sûrement prendre du viagra pour la survie de notre vie sexuelle alors… » Ça me fait rire que la première chose à laquelle il pense dans 40 ans c'est notre vie sexuelle et le fait qu'il aura sûrement besoin d'un peu d'aide. C'est d'autant plus drôle que ça fait référence à ces vœux qu'il m'a fait la veille de notre mariage, des vœux que personne n'a pu entendre parce que ce n'est clairement pas une chose qu'il aurait pu dire devant ses parents. « Je crains surtout qu'on ne soit plus aussi souples pour satisfaire tout nos désirs. » Mais je sais qu'on trouvera comment s'adapter et d'ici là on a encore de belles choses à vivre et à découvrir, que ce soit sur le plan sexuel mais surtout dans notre vie de couple et de famille. On a la vie devant nous, une vie d'amour, de bonheur et de projets à faire à deux. Avec comme unique objectif, l'idée d'être heureux tout les deux et je sais que je n'ai pas été une petite amie à la hauteur, que j'ai été une fiancée pas toujours à l'écoute mais j'ai bien l'intention d'être une femme aimante et dévouée, ou au moins tenter de tout faire pour être à l'écoute de ses besoins et tenter de le rendre heureux, parce qu'il le mérite Caleb. Plus que quiconque, il mérite d'avoir une vie de rêve et d'avoir quelqu'un qui puisse être un peu à sa hauteur, quelqu'un qui a les mêmes rêves, les mêmes objectifs que lui et j'essaye d'être cette femme parce qu'il m'a choisi et que je ne veux pas le décevoir. Je ferais tout pour lui, je lui ai déjà dis, mais j'ai encore trop souvent tendance à ne pas lui montrer, mais désormais il est le centre de mes priorités, lui et notre famille. Et c'est bien pour ça que j'ai arrêté ma pilule, pour donner une chance à notre projet, pour lui prouver que moi aussi je veux se projet de bébé, que moi aussi j'ai envie d'agrandir notre famille et de lui donner un nouvel enfant. « Peut-être que le troisième est déjà en route, qui sait. » Je souris à ses mots et ma main se pose sur la sienne, sur mon ventre. « Ce serait beau qu'il soit conçu pendant notre voyage de noce, ça ferait un sacré souvenir. » Une chose est sûre on fait tout pour le concevoir ce bébé parce que c'est une partie plutôt bien agréable du projet.

« Cette fois tu ne devrais pas avoir de bleu dans le dos. » Je ris à sa remarque ne m'y attendant pas. Mais cette fois, pas de rencontre non désirée avec une poignée de porte dans le dos, pas de petite vieille qui s'inquiète pour moi et me demande si j'ai besoin d'aide, rien de tout ça, juste un moment de plaisir avec mon mari. « Ca aide d'être sobre pour éviter ce genre d'accident. » Et j'aurais pu avoir peur en devenant sobre de n'être plus la même, de ne plus être aussi libre et avide d'expérience, j'aurais pu craindre que lui n'ose plus se lâcher totalement sans boire aussi parce qu'il est plus réservé que moi, plus posé que moi mais finalement ça n'a rien changé entre nous et ça me prouve encore un peu plus que notre lien est fort, et que cette attirance et ce désir mutuel que l'on ressent l'un pour l'autre est lui aussi fort malgré le temps qui passe. « C’est ta présence aussi, qui rend la journée parfaite » A ses côtés je me sens toujours aussi bien, il faut dire qu'il fait tout pour que je le sois et cette journée prouve encore une fois à quel point il est attentionné et dévoué Caleb. A quel point j'ai de la chance d'avoir un mari comme lui, prêt à tout pour rendre heureuse sa femme, et il y arrive. « Je n'ai jamais été aussi heureuse que depuis que tu es à mes côtés chaque jours. » Ma vie a beaucoup changé, j'ai énormément changé aussi depuis qu'il est revenu dans ma vie, depuis le jour ou il a accepté de nous donner une seconde chance malgré notre passé. Le chemin n'a pas été simple, mais celle que je suis aujourd'hui grâce à lui me plaît et la vie que j'ai avec lui me comble littéralement de bonheur et il me suffit de le regarder pour savoir que tant qu'il est à mes côtés, je pourrais faire face à tout les aléas de la vie.  « Quel est le programme de la journée de demain, Madame Anderson ? » Mais pour le moment, les aléas de la vie sont bien loin d'être ma priorité, je ne pense qu'à nous, qu'à notre voyage de noce, qu'à l'amour que je ressens à chaque fois que je le regarde, à chaque fois qu'il me sourit ou qu'il m'embrasse. Je ne pense qu'à nous et à la manière dont je veux que ces prochains jours se déroulent. « Madame Anderson, j'aime tellement que tu m’appelles comme ça. » Je répète ces mots, encore pas totalement habitués à les entendre mais toujours très touchée de me dire que dorénavant je porte son nom et celui de nos filles, que j'ai ma famille, enfin notre famille et que quoiqu'il arrive je serais toujours Madame Anderson et je suis fière de l'être. « Pour demain c'est une surprise, mais tout ce que je peux te dire c'est que tu auras l'occasion de parler en français et moi je vais pouvoir t'entendre et profiter de ton accent so sexy. » Je sais qu'il aime la culture Française, je sais qu'il est sensible à ce que les Français font de mieux, et je veux lui faire profiter de ce petit coin de France que représente la Nouvelle Calédonie. Mais avant ça, on a encore une journée a terminé, et je compte bien profiter de chaque minute passées avec lui sur cette île, on a déjà passé beaucoup de temps à l’hôtel et je ne compte pas rentrer aussitôt alors c'est direction la plage que je lui propose d'aller et forcément il accepte, parce qu'il veut me faire plaisir et c'est tout Caleb ça. Je sens sa veste qu'il dépose sur mes épaules et je le regarde en souriant parce qu'il est toujours au petit soin comme ça avec moi, des petits gestes de la vie quotidienne qu'il fait pour me rendre la vie plus agréable, plus douce, et c'est un geste anodin mais qui me montre encore à quel point mon mari est un homme d'exception. Ma main dans la sienne, nous avançons tout les deux vers la plage et je réalise à ce moment que ça fait un moment que l'on a pas eu de nouvelles des filles. « Vu l’heure elles doivent dormir je pense mais tu peux toujours essayer. » La nuit est tombée et je sais qu'il a raison, elles doivent dormir, du moins je l'espère sinon ça voudrait dire qu'elles pleurent et je n'ai pas envie de me dire qu'elles ne sont pas biens. Je réalise, à cet instant, qu'elles me manquent beaucoup, et ce même si la journée a été parfaite, ce soir j'ai l'impression qu'il me manque quelque chose. L'idée de ne pas être avec elles pour le moment du couché est quelque chose que je n'aime pas vraiment. « C'est bizarre de ne pas être là pour le câlin du soir, pour chanter leur berceuse, tout ça me manque aussi, et j'espère qu'elles ne ressentent pas trop le manque. » Pendant quelques minutes je me culpabilise d'être là, de profiter de mon mari et de ne pas être là pour elles. Je sais que j'ai le droit de profiter de mon voyage de noce, que ça ne fait pas de moi une mère indigne mais pourtant j'ai besoin d'être rassurée et de savoir si mes filles vont biens et si elles ne sont pas trop perturbées par notre absence.  « Moi aussi elles me manquent toujours c’est dingue.  Même si je t’avoue que ne pas courir après Lena toute la journée, ça fait du bien. » Je souris à la remarque de Caleb et je ne peux qu'approuver ces mots. « Je crois que ma tension n'a jamais été aussi haute que depuis qu'elle marche. Entre les frayeurs qu'elle me fait à chaque chute et le fait de devoir lui courir après toute la journée, heureusement que Lucy n'est pas pareil, tu t'imagines courir après l'une et voir l'autre partir dans l'autre sens en riant. » C'est une chose qui va finir par arriver sans doute, mais pour le moment Lucy est encore bien plus calme que sa sœur même si elle aussi elle a ses petits moments d'agitation et elles sont encore petites là, je me demande vraiment comment on va gérer les premières crises, les premiers caprices si elles décident de les faire en même temps, mais pour ça on a encore le temps d'y penser. Le téléphone en main, j'appelle sa mère pour prendre des nouvelles de nos filles et m'assurer que le couché s'est bien passé pour elles et après une quinzaine de minutes au téléphone avec elle me voilà rassurée. « Ta mère t'embrasses, les filles vont très biens, elles se sont endormies assez vite ce soir. Ta mère doit nous envoyer des photos de la journée et elle nous ordonne de profiter de notre voyage de noce. » Je fais un bref topo à Caleb même s'il a déjà du tout entendre de la discussion ou du moins en partie et je range mon téléphone dans mon sac. « Je lui ai pas dis que j'avais déjà beaucoup profité de toi. » Et encore moins que je compte profiter encore beaucoup de lui et de ce temps que l'on a ensemble. Je lâche sa main pour venir la poser sur sa joue et attirer son visage vers le mien pour l'embrasser tendrement. Et après ce baiser, je me rapproche de lui encore un peu glissant ma main dans son dos avant de la faire glisser dans la poche arrière de son pantalon. Je marche à ses côtés, proche de lui, contre lui et j'aime cette proximité même si je sais que lui n'est pas le plus à l'aise avec ça, il a l'habitude maintenant que je recherche le contact physique avec lui dès que je le peux. La plage est devant nous et mon premier réflexe est d'enlever mes chaussures pour sentir le sable sous mes pieds.  « On a vécu tellement de bons moments sur les plages, c'est quoi ton plus beau souvenir ? » Je m'assieds sur le sable et j'attends qu'il en fasse de même pour venir coller mon dos contre son torse et me laisser aller dans ses bras tout en repensant à tout les moments forts que l'on a pu vivre sur une plage. Pas celle ci puisque c'est la première fois que nous venons ici, mais à tout les moments importants qui ont bercé notre histoire et j'espère que celui là en sera un aussi.  

@Caleb Anderson   :l: :l:

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Message(#)Calex #46 - Look at me now, I have everything you gave to me and my heart can sing - Page 2 EmptySam 27 Nov 2021 - 12:18

Calex
Look at me now, I have everything you gave to me and my heart can sing. I was a kid who could only drink, dance on tables, makin' deal with devils, like a drunk beauty queen fighting the fantasy, hooked on the scene.
« Je crains surtout qu'on ne soit plus aussi souples pour satisfaire tout nos désirs. » Un grand sourire s’étire sur mes lèvres. Je suis persuadé que même dans quarante ans j’aurais toujours envie d’elle comme aujourd’hui, ça je n’en doute pas une seconde. Même quand elle sera ridée et plus âgée elle sera la plus belle à mes yeux, c’est une certitude et il faudrait être un imbécile pour ne pas s’en rendre ocmpte.  « C’est pas grave, au pire on se contentera du missionnaire. » Je lui réponds en haussant les épaules mais un petit sourire est toujours collé à mes lèvres. Je sais qu’on trouvera forcément un moyen d’innover encore un peu, je crois en nous et en nous amour respectif du sexe pour ça. « Ce serait beau qu'il soit conçu pendant notre voyage de noce, ça ferait un sacré souvenir. » Je souris, ému de ses mots et de notre conversation tout court. Aborder notre nouveau projet de bébé me fait beaucoup de bien et j’ai déjà hâte de voir son ventre s’arrondir de nouveau, de pouvoir m’endormir en caressant son ventre rond. Ne parlons même pas des longues discussions pour trouver son prénom, mais tout ce qui concerne ce bébé me rend heureux.  « J’ai déjà hâte si tu savais. » Et je crois qu’elle le sait, parce que j’en parle déjà tout le temps et c’est moi qui lui achète un test à chaque début du mois pour savoir si elle est enceinte ou non.  « J’aimerais bien avoir un petit garçon cette fois. » J’ai mes deux princesses que j’aime plus que tout au monde et qui me comblent de bonheur tous les jours, mais finalement quel que soit le sexe de ce futur enfant, je sais que je l’aimerai et quand je ferai n’importe quoi pour lui.

C’est valable pour ma femme aussi. Je l’aime comme un fou et avec elle je suis plus heureux que je ne l’ai jamais été et tant que j’ai les trois femmes de ma vie à mes côtés je sais que rien ne pourra m’arriver. Sauf que pour l’instant c’est en voyage de noces que je suis avec ma femme et même si être loin de mes filles est difficile, j’essaie d’en profiter un maximum. On peut prendre pour preuve le moment que nous venons de passer dans les toilettes tous les deux. Parenthèse risquée, mais qui valait tellement le coup. « Ca aide d'être sobre pour éviter ce genre d'accident. » Clairement oui, surtout qu’on ne peut pas réellement dire que je tienne bien l’alcool. « Je n'ai jamais été aussi heureuse que depuis que tu es à mes côtés chaque jours. » Si elle savait à quel point la réciproque est vraie, ou du moins presque. Je n’ai jamais été aussi heureux que depuis qu’elle a arrêté de boire, depuis qu’elle est réellement sortie de cure parce qu’on ne peut pas vraiment dire qu’au début les choses ont été simples entre nous. Avant qu’elle n’arrête l’alcool, elle n’était jamais sobre, elle buvait toujours un peu voire même beaucoup, chaque jour. Nous n’étions jamais vraiment seuls puisque la présence de l’alcool venait toujours s’immiscer entre nous.  « Je t’aime. » Je lui ai déjà dit un bien grand nombre de fois aujourd’hui mais en même temps, les sentiments que je ressens pour cette femme son si forts et réellement indescriptibles. « Madame Anderson, j'aime tellement que tu m’appelles comme ça. » Moi aussi, j’aime beaucoup l’appeler comme ça et c’est pour ça que je n’arrête pas de le faire. « Pour demain c'est une surprise, mais tout ce que je peux te dire c'est que tu auras l'occasion de parler en français et moi je vais pouvoir t'entendre et profiter de ton accent so sexy. » Elle me fait sourire et je lève les yeux au ciel aussi, parce que mon accent n’a rien de sexy mais elle n’est pas très objective, Alex, on est mariés et elle a tendance à me voir bien plus attirant ou bien meilleur que je ne le suis réellement. Mais demain est un autre jour et je préfère profiter de la soirée avec ma femme. Soirée qui, se dirige vers la plage comme elle me l’a demandé et c’est après lui avoir mis ma veste sur les épaules que j’avance vers ce lieu main dans la main avec elle, vapotant sur ma cigarette électronique. « C'est bizarre de ne pas être là pour le câlin du soir, pour chanter leur berceuse, tout ça me manque aussi, et j'espère qu'elles ne ressentent pas trop le manque. » J’aime mes filles et même si je tiens à mon rôle de père de famille je pense que partir en voyage de noces sans ses enfants c’est tout à fait normal, non ? « Je crois que ma tension n'a jamais été aussi haute que depuis qu'elle marche. Entre les frayeurs qu'elle me fait à chaque chute et le fait de devoir lui courir après toute la journée, heureusement que Lucy n'est pas pareil, tu t'imagines courir après l'une et voir l'autre partir dans l'autre sens en riant. » Je lâche un petit rire amusé.  « Je préfère pas imaginer ça. » Même si je suis bien conscient que c’est finalement ce qui reste d’arriver à un moment ou à un autre. Lucy commence à marcher elle aussi, elle est bien plus prudente et moins aventurière que sa sœur. Alors qu’Alex est au téléphone avec ma mère nous arrivons enfin sur la plage, il n’y a plus beaucoup de monde, la plupart des gens sont certainement rentré chez eux ce qui nous laisse la possibilité de profiter. Elle reste longtemps au téléphone, beaucoup trop longtemps à mon goût mais Alex qui tient une conversation avec ma mère, je sais bien que ça peut durer une éternité. « Ta mère t'embrasses, les filles vont très biens, elles se sont endormies assez vite ce soir. Ta mère doit nous envoyer des photos de la journée et elle nous ordonne de profiter de notre voyage de noce. Je lui ai pas dis que j'avais déjà beaucoup profité de toi. » Je ris doucement. C’est surtout les photos de mes filles que j’attends avec impatience.  « Heureusement, ça ne regarde que nous ça. Et la prochaine fois c’est moi qui me charge des appels, t’es beaucoup trop longue. » Elle parle trop, ma mère aussi, et je sais que ça serait bien plus simple et plus rapide si j’appelais mon père. J’imite Alex en enlevant mes chaussures et je m’assois sur le sable et l’attirant contre moi, je colle son dos à mon torse et j’en profite pour caresser ses jambes du bout des doigts. « On a vécu tellement de bons moments sur les plages, c'est quoi ton plus beau souvenir ? » Une main sur ses cuisses et la deuxième qui vient attraper la sienne, je profite du paysage et du coucher du soleil.  « Il y a quelques semaines je t’aurais répondu notre premier baiser mais aujourd’hui, sans hésiter, notre mariage. » Je souris en jouant un peu avec son alliance. Notre mariage st, de loin l’un des plus beaux jours de ma vie. Le deuxième, parce qu’il y a la naissance de Lucy et Lena qui est au-dessus et qui, je pense, ne pourra être surpassé par absolument rien.  « Je pense qu’il sera difficile de surpasser ce souvenir. » Comme elle l’a dit, pourtant, on en a vécu des choses à la plage mais le mariage reste de loin mon plus beau souvenir.

© nightgaunt


@Alexandra Anderson je demande du full cute Calex #46 - Look at me now, I have everything you gave to me and my heart can sing - Page 2 1017170121 
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