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 joamie + welcome to my hell

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Message(#)joamie + welcome to my hell - Page 2 EmptySam 29 Aoû - 16:53

welcome to my hell
I believe in the lost possibilities you can see. And I believe that the darkness reminds us where light can be. I know that your heart is still beating, beating darling. I believe that you fell so you can land next to me. ‘Cause I have been where you are before. And I have felt the pain of losing who you are. And I have died so many times, but I am still alive


L'infidélité était quelque chose qui n'avait jamais touché Joanne, pas même du bout du doigt. L'idée ne lui viendrait même pas à l'esprit. Elle était loin d'être religieuse, mais cet aspect était quasi blasphématoire à ses yeux, un acte impardonnable. Qu'elle ne comprenait pas. Bien sûr, elle savait que c'était quelque chose qui existait mais elle avait certainement une vision très différente de cette situation que le citoyen lambda. Alors que Jamie lui dise sans trop hésiter que l'animateur aurait volontiers couché avec elle tout en sachant qu'elle était fiancée à son supérieur la choqua profondément. Ca ne l'aurait pas freiné. Cette image lui fit immédiatement souvenir la tentative de viol qu'elle avait vécu quelques semaines plus tôt, étrangement. Elle était d'autant plus choquée lorsque son fiancé rajouté que l'employé de la radio souhaitait bien plus qu'un simple numéro de téléphone. Elle n'aurait jamais pensé que ce genre de choses pouvait venir l'effleurer un jour de la sorte, pas comme ça. Pas du tout, en fait. "Ah..." dit-elle à voix basse, en baissant les yeux. "Je n'aurais pas voulu le lui donner." Après, on connaissait assez bien Joanne et sa capacité désastreuse à ne pas savoir dire "non". Si Jamie ne lui aurait rien dit, elle l'aurait très certainement donné, très naïvement, se faisant des idées un peu naïves sur ses intentions réelles. La bel homme fuyait à plusieurs de reprise du regard Joanne, alors qu'elle le contemplait dans les moindres détails. Joanne ne put s'empêche d'esquisser à le voir ainsi, être aussi gêné à cause d'un simple regard. Ca le rendait adorable. Après qu'elle ait noté le silence qui régnait sur l'étage, il s'en rendait compte également, qualifiant même l'ambiance d'angoissante. Il devait certainement avoir des bruits de bureau à longueur de journée, une pollution sonore différente de ce qu'elle connait elle depuis deux semaines, mais certainement tout aussi insupportables au fil du temps. La belle blonde profitait de chaque seconde, avant qu'elle ne lui dise qu'elle l'aimait, tout simplement. Elle n'était qu'à moitié surprise de sa remarque. D'un trait ironique, elle reprit ses termes. "Personne n'a été trop près alors, puisque les rares qui m'ont touché sont encore en vie." lui chuchota-t-elle avant de lui voler un baiser. Jamie prit autant de plaisir à prolonger le baiser qu'elle avait fait ensuite. A la serra un peu plus dans ses bras, à tirer un peu sur sa nuque pour qu'elle se rapproche davantage, pour être sûr qu'elle ne se défasse pas de cette union -elle n'en avait pas l'intention. Il intensifiait peu à peu ses baisers, dévorant ses lèvres jamais s'en lasser. Elle se laissait totalement envoûter par ses caresses, y répondant avec tout autant d'amour. Joanne sentit les doigts de son fiancé se crisper dans son dos, à serrer comme il le pouvait le tissu de la robe qu'il lui avait offerte. Malgré la fatigue, la jeune femme sentait son coeur s'emballer peu à peu. Elle ne s'attendait pas à ce qu'il stoppe aussi sèchement leur baiser, se demandant bien ce qui lui traversait la tête. Jamie préférait suggérer de rentrer chez eux, et de se reposer. La jeune femme baissa sa tête alors qu'il venait embrasser son front, résignée. Elle sentit Jamie commençait à se mouvoir, certainement près à sortir de là. "Attends." dit-elle tendrement, à voix basse, en ayant entre ses doigts le tissu de sa chemise à l'avant. Du bout de son nez, elle caressait le sien, ses yeux rivés sur ces magnifiques iris verts. "Je trouve que mon séduisant fiancé ne m'a pas embrassée encore cette semaine." dit-elle à voix basse, réclamant à tout prix ses lèvres. C'était pour ne pas dire que leurs ébats s'étaient particulièrement faits rares depuis que Joanne avait passé cette fameuse journée clouée au lit sans trop savoir pourquoi. Il craignait forcément de l'épuiser pendants qu'ils couchaient ensemble, quelque chose comme ça. "Et quand je rentrerai, je sais qu'il sera tout de suite pris par deux chiens, puis à faire la cuisine s'il veut bien manger ce soir - d'ailleurs, j'ai oublié de lui demander ce qui pourrait bien lui faire plaisir. Et je sais après qu'il sera tout aussi fatigué que moi et qu'il se réjouira de se retrouver sous la couette pour attendre le lendemain." Elle ne lui reprochait absolument rien, c'était juste un petit peu devenu leur quotidien. C'était comme ça, Joanne s'y adaptait parfaitement. Elle lui sourit tendrement, avant de dire à voix basse et très lentement, en s'approchant à nouveau de son visage, jusqu'à à peine effleurer ses lèvres. "Juste encore un tout petit peu." Puis elle vint reconquérir ses lèvres dans la plus grande tendresse.

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Message(#)joamie + welcome to my hell - Page 2 EmptySam 29 Aoû - 18:24

Je m'apprête à quitter l'étreinte de Joanne pour replier le paravent et quitter le bureau lorsqu'elle me retient, discrètement, en gardant ma chemise entre ses mains. Mon regard l'interroge. Puis je souris quand elle réclame, entre les lignes, d'autres baisers. Je passe mes dents sur mes lèvres, hésitant et envieux à la fois, ne sachant pas trop quoi répondre ni comment réagir. Un peu malade et fatiguée, je ne pense pas qu'elle se soit rendu compte que j'évite de la toucher, préférant la laisser tranquille, se reposer autant que possible. Les travaux du musée sont si éprouvants pour elle qu'il me paraît plus important qu'elle dorme et qu'elle prenne soin d'elle plutôt que de répondre à mes appels du pied. Ce ne sont pas quelques jours d'abstinence qui vont me tuer, alors je reste bien sage à attendre qu'elle aille mieux. Parfois, il est assez difficile de ne pas laisser l'envie me trahir. Comme ce soir. Elle si belle, dans la robe que je lui ai offerte. La coupe la met parfaitement en valeur. Je me souviens de la première fois où elle l'a mise, le soir où elle avait voulu me faire une surprise pour mon anniversaire. Elle lui va à ravir. Mais elle appelle aussi mon regard sur ses épaules, ses clavicules dénudées, la courbe de son cou que j'aimerais embrasser ; mes doigts, lorsqu'ils affleurent la fermeture éclair qui longe son dos, doivent résister à l'envie de tirer dessus -c'est un geste si simple, si facile… Toutes ces pensées sont alimentées par tous les événements de ce soir. L'inquiétude et la jalousie. Tous ces hommes qui ont pu l'admirer dans cette robe qui la rend d'autant plus belle, cette impression d'avoir été obligé de la partager. Possessif à en mourir, mon désir naissant est alimenté par le besoin de me prouver qu'elle est mienne. Uniquement mienne. En réalité, plus mon esprit se perd dans l'idée qu'elle a été désiré par d'autres hommes, plus mon envie devient brûlante. Et cette pensée m'obsède. La jeune femme garde son visage tout près du mien ; je me laisse délicieusement happé par son regard bleu pendant qu'elle parle. Elle a raison, une fois à la maison, nous retrouverons nos habitudes ; s'occuper des chiens, dîner, peut-être traîner un peu à discuter, bouquiner, regarder la télévision avant de filer sous la couette, aussi fatigués l'un que l'autre. Je réponds à son sourire, comprenant qu'elle ne souhaite pas immédiatement rentrer. Mon regard se pose sur ses lèvres qui s'approchent si doucement, envoûté par son souffle. Je ne sais pas pourquoi mon coeur s'accélère légèrement à ses mots -sûrement la manière qu'elle a de parler si bas, d'une voix si douce en effleurant ma bouche avant de m'embrasser. Je me sens complètement fondre à ce contact si tendre, et ferme les yeux pour me laisser emporter. Mes bras reprennent doucement leur place, d'abord sur ses hanches, puis glissant peu à peu dans le bas de son dos, jusqu'à complètement l'envelopper et la serrer contre moi. Il ne faut pas longtemps pour que mon coeur se laisse aller à battre la chamade, faisant circuler mon sang, gorgé d'envie, dans toutes les veines de mon corps. L'une de mes mains suit la courbe de ses reins jusqu'à se poser, timidement, sur le haut de ses fesses. A ce contact, mes baisers s'intensifient légèrement. Je m'attarde sur sa lèvre inférieure, venant laisser glisser mes dents sur sa pulpe. Mon autre main attrape son visage afin de l'approcher un peu plus du mien, comme pour l'empêcher de s'échapper ; puis mes baisers glissent vers son cou dont l'épiderme m'appelle depuis de longues minutes. Tous mes gestes restent néanmoins délicats, hésitants ; je m'attends à n'importe quel moment à essuyer le même refus que l'autre soir, et je ne tiens pas à ce qu'elle se sente brusquée. Mais je poursuis tant qu'elle ne me demande pas d'arrêter ou que je ne devine pas de désapprobation. Sur le moment, l'endroit où nous sommes m'est complètement sorti de la tête -sûrement à cause du silence qui dénature presque les lieux. Isolés, cloîtrés ici, je me sens tout simplement dans notre bulle, et j'en oublie que nous ne sommes pas à la maison, qu'elle m'a retenu lorsque je voulais rentrer. Mes doigts dans son dos glissent doucement le long de la fermeture éclair de la robe, suivant toute son échine jusqu'à atteindre ses omoplates. J'attrape la glissière et la descends sur quelques centimètres. Je m'arrache alors aux lèvres de Joanne pour retrouver son regard, y deviner un éclat, quelque chose m'autorisant ou non à poursuivre. Je remarque ma respiration, haletante, et mon coeur qui tambourine. Je remarque le bureau. Et à vrai dire, l'idée que la station se trouve derrière cette porte ne me freine pas.
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Message(#)joamie + welcome to my hell - Page 2 EmptySam 29 Aoû - 21:24

welcome to my hell
I believe in the lost possibilities you can see. And I believe that the darkness reminds us where light can be. I know that your heart is still beating, beating darling. I believe that you fell so you can land next to me. ‘Cause I have been where you are before. And I have felt the pain of losing who you are. And I have died so many times, but I am still alive


Elle sentait les doigts de Jamie glisser doucement le long de la fermeture éclaire de sa robe, ainsi que l'hésitation et la résistance à une tentation certaine. Il semblait rapidement envoûté par sa belle, qui avait à nouveau terriblement envie de l'embrasser, de rester près de lui. Joanne sentait qu'elle n'était pas au meilleur de sa forme. Avoir un bruit de fond en permanence au musée l'épuisait, lui procurant parfois des migraines difficilement supportables. Il y avait aussi une accumulation de fatigue, avec toujours une boule nerveuse au ventre. Le travail était étrangement beaucoup plus stressant depuis le début des travaux. Peut-être était-ce à cause de ces derniers, avec un fond d'épuisement général pour la jeune femme, ce n'était pas impossible. Aussi, aussi fragile pouvait-elle être, Joanne ne tombait pas très souvent malade. Ou ce n'était que très léger, sans prendre en compte ses problèmes respiratoires. Mais ce n'était pas une excuse pour ne pas avoir envie de son fiancé, ne pas désirer ses lèvres et ses caresses. Certes, leurs longues nuits de sommeil avaient été réparatrices, ils dormaient toujours l'un contre l'autre. La tendresse était toujours bien là. Joanne se trouvait bien égoïste de profiter qu'il n'y ait aucun élément perturbateur autour d'eux qui puisse inciter son homme de penser à autre chose. Il n'y avait pas les impératifs de la maison, il n'était plus question de travail. D'un sens, elle espérait qu'il ne le prenne pas mal. Mais l'occasion était parfaite. Ce n'était pas comme s'il allait refuser ce nouvel instant d'amour, ses mains se placèrent rapidement sur le corps de la jeune femme à nouveau. Il serrait son étreinte, elle le sentait devenir peu à peu fébrile. Une main baladeuse descendait lentement vers les fesses de Joanne, et étrangement, l'intensité des baisers que lui offraient Jamie augmenta considérablement à ce moment. Entre temps, les doigts de Joanne étaient remontés le long de son torse pour saisir un instant son col, puis venait tenir son cou de chaque côté. Elle sentait les dents de Jamie passer sur sa lèvre inférieure, ce qui la fit soupirer doucement. La bouche de son amant se dirigea ensuite vers une zone qu'il adorait tout particulièrement par de longues caresses. Elle avait toujours ce réflexe de basculer sa tête sur le côté, comme si elle voulait lui laisser davantage de places. Ses yeux s'étaient fermés, alors que l'une de ses mains s'étaient glissées dans les cheveux de Jamie. Il restait délicat, tendre, très amoureux dans chacun de ses baisers. A nouveau, les doigts de son fiancé effleuraient la fermeture de la robe, très hésitant dans ses intentions. Elle sentit son vêtement s'ouvrir un peu, alors qu'il se mit à la regarder, mainetnant fin à leur baiser langoureux. Il l'interrogeait du regard, tenant à avoir son aval avant d'engager quoi que ce soit. Depuis qu'elle lui avait demandé -si gentiment, pourtant-, de ne pas faire l'amour le jour où elle était restée cloîtrée à la maison, elle se demandant s'il n'osait plus le faire de manière spontané. D'un sens, même si ça la surprenait à chaque fois, elle adorait quand il faisait ainsi, de cette façon. "Ne me demande pas..." lui chuchota-t-elle, tout bas, alors qu'elle se mit à guider sa main pour ouvrir la fermeture éclair jusqu'en bas. Aussi surprenant cela pouvait être, Joanne avait oublié qu'ils se trouvaient dans un lieu loin d'être raisonnable pour coucher ensemble. Le fait qu'elle l'ait vu fermer la porte à clé, en y laissant la clé, et qu'il ait également étendu le paravent devait certainement aidé. Mais le lieu était assez exotique dans la mesure où c'était le lieu de travail de Jamie et qu'elle ne s'y était encore jamais rendue ce soir-là. Sur le moment, elle n'y pensait même pas, elle le réalisera certainement après leurs échanges langoureux. D'un geste lent, elle retira d'elle-même les petites manches qui couvraient une partie de ses bras. Toujours à la même cadence, elle laissa la robe tomber d'elle-même le long de son corps, toujours d'une extrême lenteur, et en profita pour se défaire de ses chaussures avant de prendre Jamie par la main, et l'éloigner un peu du paravent -pour ne pas dire qu'elle se rapprochait du bureau. Jusqu'ici, elle ne s'était pas détachée un seul instant de ses yeux. Puis lentement, elle s'installa assise sur le bureau, désireuse de le voir céder et s'approcher de lui-même afin de reconquérir ses lèvres et le reste de son corps.

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Message(#)joamie + welcome to my hell - Page 2 EmptyDim 30 Aoû - 1:20

C'est sûrement la première fois qu'une partie de moi souhaite qu'elle refuse. La petite partie raisonnable qui s'est installée dans un coin de ma tête et fait parfois de courtes apparitions, sans jamais réussir à s'imposer. La petite partie qui pense qu'il faut rentrer, que Joanne a besoin de repos, et que de toute manière, le lieu n'est franchement pas approprié. Il y a des gens, derrière ce paravent, derrière cette porte. Il y a un monde qui continue de tourner, même si le silence et l'isolement nous laisse penser le contraire. Cette petite partie me fait attendre un signe de la part de la jeune femme. L'autorisation de continuer, ou l'envie de partir, trouvant qu'elle avait eu les baisers qu'elle désirait. Les mots qu'elle emploie suffisent à museler définitivement ce petit rien de raison qu'il pouvait me rester. La manière dont elle guide ma main le long de la fermeture éclair de sa robe, ouvrant petit à petit le vêtement et découvrant son dos, me rend de plus en plus fébrile. Arrivé tout en bas, mon coeur accélère. La robe peut-être si facile à enlever maintenant, d'un simple mouvement d'épaules, et la belle se retrouverait quasiment nue au milieu du bureau. Je mords ma lèvre à cette idée. Mon regard est incapable de quitter les iris bleus de Joanne. Je me retrouve complètement envoûté par ses yeux et sa bouche entrouverte appelant de nouveaux baisers. Mais je me retrouve un instant paralysé. Mon visage proche du sien, toute mon attention est portée sur chacun de ses gestes, lents, délicats ; les manches qui glissent sur ses bras, puis tout le tissus de la robe qui frôle sa peau, comme au ralenti, dévoilant seconde après seconde une parcelle de peau supplémentaire. Des secondes qui font complètement flancher ma volonté, et jettent une à une mes pensées aux oubliettes. Il ne reste plus qu'elle, ma magnifique fiancée à la silhouette parfaite, à l'allure d'un ange. Il ne reste plus que mon envie de l'embrasser, de la toucher, alors que je n'ose toujours pas, retenu par je ne sais quoi. Je laisse Joanne prendre ma main, et, toujours sous son contrôle, je la suis jusqu'à bureau. Bon dieu, la manière dont elle grimpe pour s'asseoir dessus me rend fou. Je reste à un mètre d'elle, ma main dans la sienne, le regard bloqué sur son corps, admirant chaque forme -et me répétant que je suis décidément chanceux. Qu'est-ce que j'aimerais que tous les types qui ont laissé un commentaire sur sa photo sachent ce que nous allons faire, juste pour lire autant de messages d'hommes déçus et dépités. Qu'est-ce que j'aimerais leur dire que cette beauté est ma future femme, et que cette personne extraordinaire a accepté de m'épouser, d'être mienne pour toujours. Je lâche finalement sa main et approche d'un pas. Mes doigts se posent sur ses cuisses, et les frôlent doucement, jusqu'à trouver ses hanches, glisser toujours aussi légèrement sur son ventre, puis l'un de ses seins, avant de poursuivre leur route jusqu'à son cou. J'appuie délicatement sur sa nuque pour approcher son visage, et capture enfin ses lèvres, avec la même lenteur dont sont emprunts tous nos gestes depuis quelques minutes. L'embrassant avec une immense tendresse, je prends ses mains et les dépose sur ma chemise afin qu'elle en défasse les boutons. Elle s'exécute avec application. Étrangement, plus elle déboutonne, plus je commence à avoir chaud. En attendant qu'elle termine, mes mains se sont reposées sur ses cuisses, dont je caresse l'intérieur du bout du pouce. Je retire ensuite la chemise, lentement, et la laisse tomber par terre. Immédiatement, mon corps se retrouve aimanté à celui de Joanne, et je retrouve le contact de sa peau contre la mienne. Mes doigts remontent sur ses cuisses jusqu'à son dessous ; il me suffit de tirer légèrement dessus pour le faire tomber le long de ses jambes jusqu'à ses mollets, puis au sol. Rien que de la savoir ainsi suffit à m'arracher un soupir. Alors qu'elle est à ma merci, c'est pourtant moi qui se sent particulièrement vulnérable, sans vraiment savoir pourquoi. Je récupère ses mains, posées sur mon torse, et les fait glisser à même ma peau jusqu'en bas de mon ventre, lui faisant atteindre ma ceinture. Qu'est-ce que j'aime deviner la bague à son doigt lorsque je prends sa main… Chacun de mes muscles frisonne sous ses paumes, me donnant la chair de poule, fébrile au possible ; je mords ma lèvre inférieure afin de traduire cette envie qui me brûle et à laquelle je veux désormais céder. Je laisse faire la jeune femme, et attrape son visage entre mes mains pour reprendre mes baisers, doux et appliqués.
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Message(#)joamie + welcome to my hell - Page 2 EmptyDim 30 Aoû - 17:12

welcome to my hell
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(plus vraiment de votre âge, là)

Elle faisait totalement abstraction du monde qui l'entourait, du lieu dans lequel ils se trouvaient. Sans quoi, elle n'oserait certainement pas entreprendre ce qu'elle était en train de faire. Il n'y avait que lui qui importait à ses yeux, comme tous les jours. Une part d'elle-même réclamait ses caresses, sa manière à lui de lui dire combien il l'aimait. Elle n'était pas une phase où sa libido explosait le plafond, loin de là. Joanne était plus dans une recherche de tendresse à cet instant, avant que retourner dans une routine difficilement modifiable ces derniers temps. Elle ne voulait pas attendre le weekend. Juste au milieu de cette semaine là, elle adorerait qu'il oublie qu'elle n'est pas au top de sa forme, qu'il oublie de s'inquiéter de son état de santé. Son intérêt pour celui-ci était plus que considérable, prenant en compte les moindre détails qui pourraient révéler quoique ce soit qui pourrait l'affaiblir. Il ne saurait pas forcément quoi faire dans ces cas-là, mais au moins, il saurait que ça ne va pas, et qu'il faut agir. Une forme de bienveillance dans toute sa splendeur, à espérer tous les jours que le ciel ne vienne pas s'abattre sur elle. S'il pouvait tuer sa maladie afin d'être entièrement serein sur son avenir, il le ferait très certainement. Jamie posa délicatement ses mains sur les cuisses de la belle blonde, ce qui lui procura immédiatement un premier frisson. Il glissa ses doigts doucement vers le haut, effleurant à peine sa peau de porcelaine. Ils finirent au niveau de sa nuque, sur laquelles il sappuyaient légèrement, Jamie venant doucement saisir les lèvres de sa fiancée, avec toujours cette même lenteur et délicatesse dans chacun de ses mouvements. Il guidait les mains de Joanne afin de les déposer sur son torse, lui faisant comprendre par là qu'il était certainement temps qu'elle le défasse de sa chemise. Bouton après bouton, elle s'éxecuta lentement, ayant l'étrange difficulté de se concentrer à la fois sur leur baiser et sur ce que faisaient ses petits doigts. Une fois la chemise entièrement ouverte, ils touchèrent de suite la peau de son torse, qu'elle adorait sentir avec la pulpe de ses doigts. Son épiderme était déjà bouillonnant, alors que quelques minutes plus tôt, il était déterminé à rentrer à la maison. Elle soupirait longuement dans leur baiser lorsque Jamie frôlait l'intérieur de ses cuisses, avant qu'il ne retire le vêtement de ses épaules. Désireux de la mettre complètement à nu, il se débarrassa aisément du dernier vêtement qui recouvrait Joanne. Elle l'embrassait inlassablement, et de plus en plus intensément, frémissant en sachant ce qu'il allait se passer ensuite. Une nouvelle fois, la bel homme prit ses mains pour les poser cette fois au niveau de la ceinture. Joanne n'hésita pas bien longtemps avant de se décider à la déboucler, puis ouvrir ensuite son pantalon. Ses iris bleus ne se détachaient pas de ses yeux alors qu'elle s'éxecuta, venant d'abord toucher son fessier, avant de faire glissesr ses doigts sur le tissu, sur son intimité. Jamie se mordillait la lèvre, se chargeant ensuite de toucher à nouveau les lèvres de sa dame. Celle-ci effectuait quelques caresses avant de glisser ses mains dans le vêtement, et le baisser lentement. Le pantalon était déjà tombé au niveau de ses chevilles, le dernier vêtement ne tardant pas à le rejoindre. Elle regardait Jamie avec envie, puis s'approcha au maximum du bord du bureau, venant coller son corps contre le sien. Elle le désirait ardemment, cherchant dans ses bras et sur ses lèvres une tendresse qui lui avait plus manqué qu'elle ne l'aurait pensé. Son coeur battait à tout rompre dans sa poitrine, sa respiration était haletante. Joanne effectua quelques caresses délicates au niveau de sa virilité avant de doucement le mettre en elle, posant sa main libre sur ses lombaires afin qu'il se rapproche, encore et toujours un peu plus d'elle. Joanne gémit doucement, quittant ses lèvres pour aposer ses dents au niveau de son épaule, sans pour autant le mordre. Lorsque cette première vague de sensation se tarit, Joanne démarra un nouveau baiser langoureux, tout en entourant sa nuque de ses bras, pour restée collée à lui.

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Message(#)joamie + welcome to my hell - Page 2 EmptyDim 30 Aoû - 18:58

(c'est pas pour les petiiiits)

Il ne faut qu'une poignée de secondes avant que les doigts de Joanne s'appliquent à déboucler ma ceinture. Je reste parfaitement hypnotisé par son regard, ses lèvres entrouvertes si proches des miennes, son souffle chaud sur ma peau. Rien que de sentir la braguette de mon pantalon descendre, doucement, crée un long frisson dans le bas de mon échine. Ma respiration, haletante, ne cesse de se couper puis de reprendre, marquée par de longues inspirations trahissant chacun de mes frémissements ; d'abord quand elle passe sa main jusqu'à mon fessier, puis lorsque je la sens faire le tour de mes hanches, lorsqu'elle se pose sur mon intimité. A ce moment, mes lèvres s'appuient un peu plus sur les siennes, je tiens son visage fermement entre mes mains et l'attire d'autant plus vers le mien. C'est avec son éternelle envoûtante délicatesse qu'elle glisse directement sur ma peau, sous le tissus, et l'accompagne le long de mes jambes jusqu'à ce que le pantalon finisse sur mes mollets. Je m'arrache à ses lèvres quelques secondes ; le temps d'échanger un regard à la fois rempli de tendresse et d'envie. Une lueur que j'adore deviner dans ses yeux, et que j'aime tout autant lui rendre, traduisant tout mon désir pour elle. Je ne la lâche pas une seconde pendant qu'elle s'approche du bord du bureau, réduisant d'elle même l'espace qui nous sépare déjà si peu ; je passe une main entre ses cheveux pour dégager son visage, admirer ses traits, toujours un peu plus près. Peu à peu, son corps se colle complètement au mien. A ce contact, je récupère immédiatement ses lèvres, et l'embrasse bien plus passionnément que jusqu'à présent. Mon coeur bat à tout rompre. J'étouffe un soupir dans ce baiser, un soupir lui demandant de ne pas attendre plus longtemps ; les quelques caresses qu'elle applique sur ma virilité me rendent fébrile, et les minutes passant ont fait naître en moi cette sensation de manque que j'ai mis de côté depuis quelques jours. Un manque peut-être partagé ou entendu pour que nous soyons ici, séparés de quelques millimètres, à quelques secondes seulement de coucher ensemble dans ce qui doit être l'un des lieux les moins adéquats qui soient. Néanmoins, je crois qu'à cet instant, ni elle ni moi n'en avons quoi que ce soit à faire, ce détail ne nous effleure plus l'esprit. Il n'y a que notre bulle qui importe, elle et moi. Avec son regard, ses gestes, Joanne parviendrait presque à me faire oublier son teint toujours trop pâle, malgré l'envie et la chaleur venus teinter légèrement ses pommettes et rendre de l'éclat à ses iris bleus. Mais ce détail n'abandonne pas mon esprit. C'est sûrement ce qui me ren d'autant plus précautionneux, attentif. Je la laisse, toujours doucement, introduire ma virilité en elle. Puis, selon la pression qu'elle applique dans le bas de mon dos, m'approche jusqu'à annihiler tout espace entre nous. Sur le moment, mes bras viennent complètement l'étreindre, la serrer aussi fort que possible tout contre moi, afin d'être aussi profondément en elle que je peux l'être. Avec un léger sourire, je redresse la tête de Joanne et fait glisser mon index sur ses lèvres, pour lui faire comprendre que nous ne devons pas faire de bruit. Puis je l'embrasse tendrement, une main appuyant dans le bas de son dos, l'autre mêlée à ses mèches blondes à l'arrière de son crâne, commençant à effectuer quelques mouvements de bassins lents, amples. Mes doigts glissent ses fesses, ses cuisses, et relèvent l'une des jambes afin qu'elles viennent encercler ma taille, et me serrer toujours plus contre elle. Je quitte ses lèvres et vient embrasser son cou, qu'elle dégage toujours de cette même manière qui me fait complètement fondre, qui me donnerait envie de la manger ; mes dents glissent sur sa peau, jusqu'à ses épaules, tandis que mes doigts dans son dos se resserrent sur sa peau. Privés de sons, je sens tout mon corps chercher à traduire et évacuer autrement toutes les sensations qui le traversent alors que, petit à petit, les mouvements se font plus intenses, le rythme légèrement plus soutenu ; je la serre plus fort que jamais, dépose des baisers on ne peut plus ardents sur sa peau, ou capte simplement son regard, la dévorant complètement. Bien sûr, parfois, un gémissement étouffé m'échappe, un soupir plus sonore ; alors je cherche immédiatement les lèvres de la jeune femme. Avec le temps, et les vas-et-deviennent plus forts, tous ces sons deviennent plus difficiles à contenir ; toutes les sensations sont plus intenses, les caresses et les baisers aussi, et tout me semble petit à petit incontrôlable.
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Message(#)joamie + welcome to my hell - Page 2 EmptyDim 30 Aoû - 21:44

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I believe in the lost possibilities you can see. And I believe that the darkness reminds us where light can be. I know that your heart is still beating, beating darling. I believe that you fell so you can land next to me. ‘Cause I have been where you are before. And I have felt the pain of losing who you are. And I have died so many times, but I am still alive


(toujours pas)

Il venait de poser un index sur sa bouche, lui faisant ainsi comprendre qu'il ne fallait pas faire trop de bruit. Ce qui était en soi, un challenge, mais rien d'insurmontable. Jamie prenait les devants pour inhiber leurs éventuel surprises en s'emparant de ses lèvres, alors qu'une de ses mains effectuait une pression au niveau de ses reins, l'autre perdu dans ses cheveux blonds. Il commençait alors de longs mouvements de bassin, produisant déjà de longs soupirs à sa fiancée. Les doigts fermes de Jamie firent un parcours jusqu'à sa jambe, qu'il saisit pour la rapprocher de lui. La belle blonde ne tarda pas à entourer son bassin de ses deux membres, pour se rapprocher toujours plus de son corps brûlant au toucher. Il accélérait peu à peu la cadence, elle montait assez rapidement au niveau des sensations. Joanne ne s'attendait pas à ce que ce soit si difficile de se maintenir autant, d'être discrète au possible. Elle se mordait fortement la lèvre inférieure, n'ayant qu'une seule envie : de gémir de plaisir, de partager ses habituels soupirs sonores à Jamie malgré elle. Son corps perdait les pédales, ne sachant comment contenir tout ce plaisir ni comment l'exprimer autrement que par faire vibrer ses cordes vocales. Alors ses muscles se crispaient prématurément, elle s'agrippait fermement à Jamie. Elle cherchait désespérément un moyen de lui transmettre toutes ces vagues, de lui faire comprendre qu'il lui procurait énormément de plaisir. Son corps entier en tremblait, ne sachant plus quoi faire. Joanne avait enfoncé ses doigts dans la peau du dos de Jamie. Fort heureusement, ses ongles étaient courts, elle ne pouvait donc pas tant lui faire si mal que ça. Son homme semblait être dans la même situation, lui qui cherchait inlassablement les lèvres de sa fiancée pour étouffer ses soupirs qui s'intensifiaient tout autant. Il devait certainement refouler tout ça, et le réutilisant dans la cadence accélérée qu'il adoptait au fur et à mesure. Parfois elle venait loger son visage dans son cou, essayant de retrouver ses esprits ou un contrôle de soi, mais cela lui était impossible. Une sorte de frustration naissait en elle, du fait de ne pas pouvoir tout évacuer correctement. Elle se sentait un peu comme une cocotte-minute qu'on laissait sous pression. Elle voulait en quelque sorte exploser mais n'y parvenait pas. Sa respiration s'accéléra doucement, jusqu'à avoir un rythme ingérable pour la jeune femme, suggérant qu'elle était terriblement proche de cette phase de volupté. Tout était contenu jusqu'ici, donc tout montait plus vite dans les tours, c'était évident. Quand elle sentait qu'elle perdait totalement pied, elle colla soudainement ses lèvres à celle de Jamie, lâchant malgré elle des soupirs sonores, mais certainement pas assez pour être audible au dela du paravant et de la porte du bureau. Sa respiration était forte, intense, arythmique. Elle se coupa à cet instant t, comme à son habitude, et ce fut une véritable torture pour elle de ne pas pouvoir tout expirer correctement. Ses muscles étaient crispés au possible au point d'en être légèrement douloureux, puis frémirent doucement, avant de se détendre enfin. Joanne soupira longuement, sans pour autant détacher sa bouche de celle de Jamie pendant quelques minutes. Ce n'était que lorsqu'elle était véritablement à bout de souffle qu'elle mit au fin au baiser, gardant son visage proche du sien, et reprenant difficilement une respiration normale. Ses doigts se déraidirent, elle les pliait et dépliait à plusieurs reprises afin de se les dégourdir. Jamie continuait encore quelques va-et-viens jusqu'à ce qu'il parvienne également à ce point de non-retour, et restait, comme à son habitude, encore un peu en elle, profitant de ce contact. Joanne reposa sa tête contre son épaule, son corps épuisé par le fait d'avoir du contenir autant d'émotions intenses dans un si tout petit bout de chair. Il lui fallut quelques minutes pour qu'elle reprenne un peu ses esprits, et qu'elle relève la tête. "Je t'aime." lui chuchota-t-elle doucement. Il s'était détaché d'elle, mais ils s'enlaçaient toujours ainsi. Joanne regarda alors autour d'elle, réalisant enfin qu'il venait tout juste de faire l'amour sur le bureau de Jamie. Déjà qu'elle avait les joues bien rouges. Elle cacha ses yeux d'une main et se mit à rire très nerveusement, avant de loger sa tête dans son cou, afin qu'il ne voit pas toute la gêne qu'elle venait de se prendre en pleine face.

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Message(#)joamie + welcome to my hell - Page 2 EmptyLun 31 Aoû - 1:37

Ma boîte crânienne, mon coeur dans ma cage thoracique, et, petit à petit, tout mon corps hurle son envie d'exploser. Chaque souffle, soupir ou gémissement contrôlé, ravalé, retenu en me faisant de plus en plus violence s'ajoutent les uns aux autres, se condensent, se font écho, et finalement tiraillent mon être de toutes parts. Lorsqu'il n'y a plus de muscle, d'os, de chair à torturer et à frustrer dans lesquels ses sons interdits se cachent, les suivants parviennent à trouver leur chemin jusqu'à mes cordes vocales et s'échappent entre mes lèvres. Celles de Joanne ne sont jamais loin pour les attraper au vol, les aspirer les faire disparaître dans l'air. Mais elle aussi réprime les siens avec de plus en plus de difficulté. Je l'aperçois se mordre la lèvre pour contenir ses râles -et j'admets que ne pas les entendre s'ajoute à la frustration de ne pas moi-même pouvoir m'exprimer. Moi qui aime tant entendre ses soupirs résonner près de mes oreilles, ses gémissement frôler ma bouche avant qu'elle ne se jette sur mes baisers. J'écoute le reste de son corps, les signes trahissant les vagues de plaisir ; une main crispée, empoignant ma chair, des dents passant sur mes lèvres, ma peau, ou son visage venant se caler dans le creux de mon cou, là où elle peut étouffer le son des quelques cris qui lui échappent malgré tout. Néanmoins, cette frustration me monte à la tête, rends ma respiration et mon rythme cardiaque incontrôlables. Mon coeur cherche à détruire mes côtes, mes poumons ne savent plus comment assimiler la moindre bulle d'air. Mon esprit ne parvient pas à tout gérer ; le coeur, la respiration, les vas-et-viens, les caresses, les baisers, les soupirs, les gémissements… c'est un trop plein d'informations qui lui fait perdre pieds, tous ses repères volant en éclats. Forcément, quelques bribes de tous ces facteurs m'échappent complètement par moments. Mon rythme cardiaque effréné rend mon corps de plus en plus chaud. Je suis haletant mais cherchant toujours autant le contact des lèvres de Joanne. Certains coups de rein plus brusques s’immiscent dans la cadence de plus en plus soutenue. Mes doigts empoignent sa chair avec fermeté, n'hésitant pas à appuyer sur certaines parties du corps de la belle, son dos, ses épaules, ses cuisses, afin qu'elle soit toujours au plus proche de moi. Je quitte rarement ses lèvres ; et lorsque c'est le cas, ce n'est que pour mieux embrasser son cou ses épaules, ses clavicules. Je fais basculer Joanne en arrière quelques secondes lorsque je suis pris par l'envie de flatter également sa poitrine, caressant avec tendresse l'un de ses seins. Mais malgré ces stratagèmes, tout cela ne suffit pas à m'empêcher de lâcher, parfois, un soupir plus sonore, sous l'emprise d'une grande vague de plaisir. Des vagues qui m'assaillent de plus en plus, toujours plus intenses au fur et à mesure que les mouvements deviennent plus passionnés, les baisers plus ardents, et la frustration franchement intenable. Je sens Joanne aussi sur le point d'exploser ; sa peau devenue brûlante au toucher tremble parfois lorsqu'elle se fait violence pour rester muette, sa gorge et ses muscles souffrant de ce silence imposé, jusqu'à ce qu'ils n'en puissent plus. Quand la dernière, longue et terriblement intense vague de plaisir l'envahit, elle se jette sur mes lèvres. Mes bras l'étreignent plus fort que jamais. Je sens, à travers ce baiser, le contact de son corps tout entier saisi dans cet élan de volupté, ses muscles raidis et frissonnants violemment, cette vague passer très rapidement de son corps au mien, traverser mon épiderme, crisper mes propres membres, et, soudainement, me propulser au point de non-retour. Je pose mon front sur son épaule et serre si fort ma mâchoire que cela en est douloureux. Puis lorsque je ne tiens plus, que les sons deviennent trop difficiles à contenir, je capture les lèvres de la jeune femme pour étouffer quelques longs soupirs sonores, quelques râles résonnant au fond de ma gorge. L'instant passé, je laisse Joanne s'appuyer sur moi, restant toujours en elle quelques minutes. Une main à l'arrière de son crâne, je caresse ses cheveux doucement. Etrangement, ma respiration retrouve vite un rythme normal. Mon coeur, en revanche, cavale. « Je t'aime. » je réponds à la belle, déposant un baiser sur sa tempe. Les minutes passent, et même si nos corps sont déliés, elle reste blottie dans mes bras, les jambes entourant ma taille. Mon regard reste posé sur le mur parfaitement blanc, derrière Joanne. Puis il glisse sur le siège en cuir. L'ordinateur. Je souris en coin. Puis se sourire étire entièrement ma bouche, se transforme en rire. La jeune femme se cache dans mon cou, sûrement gênée en réalisant pleinement dans quel endroit elle se trouve -quittant ainsi l'état de semi-conscience dans lequel nous plonge notre désir, à savoir que nous sommes dans mon bureau, sans que cela ne semble vraiment réel ou important. Pour ma part, je ne peux pas m'empêcher de rire. Pendant de longues minutes. Sûrement mes cordes vocales en profitent-elles pour libérer leur immense part de frustration. « Comment je vais bien pouvoir me concentrer ici désormais, hm ? » dis-je une fois calmé. Quelque chose me dit que pendant les prochains jours, lorsque je serais derrière mon bureau, dans cette pièce, les images, les sensations liées à ce moment me reviendront en mémoire et perturberont mon esprit. Je ne pourrais pas m'empêcher de sourire en voyant mon assistante complètement dans l'ignorance. Je me demande si l'animateur de tout à l'heure a collé son oreille à la porte ou aux murs de la pièce dans l'espoir d'entendre les ébats dont il savait pertinemment qu'ils auraient lieu -bien avant que l'idée ne nous traverse l'esprit. Doucement, je dégage le visage de Joanne du creux de mon cou, le redresse et capte son regard, un sourire au bord des lèvres. « Finalement, parfois, mon ange laisse ses ailes au placard. » dis-je en caressant sa joue. Il y a la fois sur le sol de la salle de bains, sa main baladeuse lors du gala à Sydney, et maintenant nos ébats sur mon bureau. Sa pudeur disparaît toujours aux moments où je m'y attends le moins. Je ne l'avais jamais fait sur mon lieu de travail auparavant. Jamais. Une première fois pour moi, pour la première fois où Joanne met les pieds à la station. Autant d'initiations mémorables.
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Message(#)joamie + welcome to my hell - Page 2 EmptyLun 31 Aoû - 21:41

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Plus Jamie riait, plus elle était embarrassée par tout ce dont il venait de se passer. Elle n'aurait jamais pensé qu'elle pouvait coucher avec quelqu'un sur un lieu de travail. Pendant tout le temps qu'il riait, Joanne dissimulait son visage au possible, plaçant même en plus ses mains devant ses yeux. Ca lui donnait aussi l'occasion de se remettre de ses émotions, de retrouver une respiration plus détendue et un rythme cardiaque supportable. Blottie contre le corps chaud de son fiancé, elle attendait patiemment qu'il finisse de rire de la situation. Mais la jeune femme fit de même lorsqu'il lui demandait comment il allait pouvoir travailler correctement en sachant ce qu'ils venaient de faire dans son bureau. Elle se mordilla la lèvre inférieure, à la fois amusée et un peu coupable d'être la cause de ses troubles de concentration lors de ses heures de travail. "Ca t'obligera à penser à moi." dit-elle, toujours sans le regarder, avec une fausse prétention. D'une main, Jamie redressa la tête de la jeune femme afin de retrouver son regard. Joanne le fuit dans un premier temps, ses joues encore bien rouges à cause des dernières émotions qui l'avaient traversées. Elle ne savait pas s'il lui reprochait de se dévergonder un peu, bien ce que ce soit encore très ponctuel, ou si c'était une simple remarque bourré d'une certaine satisfaction à savoir que sa si timide Joanne parvenait à se lâcher à des instants où il s'y attendait le moins. L'air véritablement désolé, elle baissa quelques instants ses yeux en faisant un peu la moue. Elle se replongea à nouveau dans son regard vert. "Désolée." dit-elle en toute sincérité. Joanne ignorait certainement qu'il appréciait l'innocence et la naïveté permanente qui émanait d'elle, et se plaisait bien à en jouer parfois. A l'appeler constamment mon ange. Elle ne savait pas vraiment ce qu'il pensait de sa pudeur, ses dernires actes osés, ce qu'il en pensait, bien qu'il ait cédé à chaque fois avec un plaisir certain. Mais la belle blonde ignorait s'il voulait que cela reste exceptionnel, ou plus courant, ou s'il voulait simplement qu'elle aille au rythme de ses envies. Ils n'en parlaient pas plus que ça, et n'en avaient pas vraiment besoin. Elle baissa à nouveau ses yeux, regardant ses doigts caresser de leur extrémité le torse dénudé et ardent de Jamie. Elle déglutit difficilement, ne trouvant pas trop quoi dire. Joanne commençait même à avoir un peu froid. Ses lèvres déposèrent un bref baiser sur les siennes avant qu'elle ne descende du bureau, cachant un peu le haut de son corps, récupérant d'abord par terre son sous-vêtement qu'elle enfila rapidement. Elle déposa un nouveau baiser au niveau de son épaule avant d'aller récupérer sa robe. Tout en s'habillant, elle jetait de temps en temps des coups d'oeil à Jamie pendant qu'il se rhabillait. A chaque fois, elle se disait à quel point elle était chanceuse d'être la compagne d'un homme qui était si parfait à ses yeux. Non, la fiancée d'un homme si parfait. Parfois, l'information avait du mal à être assimilée, cela faisait pourtant deux semaines que sa bague ne quittait plus son annulaire gauche. Une fois qu'elle avait le vêtement sur elle, elle se rapprocha de lui. "Tu veux bien me la fermer ?" lui demanda-t-elle timidement, faisant doucement un demi-tour pour être dos à lui. Elle dégagea également ses cheveux à l'aide d'une main. Une fois qu'il avait fini, Joanne lui fit à nouveau face, toujours terriblement embarrassée. "Est-ce que je suis encore bien ?" lui demanda-t-elle en parlant notamment de l'état de ses cheveux et de son maquillage. Elle craignait que ces petits détails, en plus des joues encore roses, viennent trahir ce qu'ils venaient de faire. Elle avait ce souhait de sortir du bureau dans la même état que lorsqu'elle y était rentrée, ce qui, en soi, était assez difficile. Elle passait hasardeusement ses doigts dans ses cheveux, y démêlant quelques noeuds. Joanne s'éclaircit la gorge, plaça une de ses mèches derrière son oreille - qui regagna très rapidement sa place initiale d'ailleurs. "Je veux bien qu'on rentre, maintenant." dit-elle alors, passant ses bras autour de lui.

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Message(#)joamie + welcome to my hell - Page 2 EmptyLun 31 Aoû - 22:39

Je ne peux pas m'empêcher de rire. Même si je sens Joanne mourir de honte tout contre moi, je ne peux pas m'arrêter avant quelques minutes. C'est un rire à la fois amusé et nerveux. J'ai ma part de gêne également. Je ne sais pas ce qui m'a empêché de refuser de rester dans le bureau plus longtemps, sachant pertinemment que les baisers échangés avec la jeune femme allaient me donner envie. Ne serais-ce que pour faire l'amour chez nous. Mais si nous nous étions accordés sur l'idée d'attendre de rentrer à la maison, peut-être que l'envie serait passée, et qu'une fois la porte ouverte, nous aurions fini par oublier, nous laisser envahir par le quotidien et la fatigue. L'occasion nous serait passée sous le nez, et qui sait comment la belle se sentira demain ? A cette pensée, la santé de Joanne me revient immédiatement en mémoire. Eh bien, maintenant, elle doit vraiment être fatiguée. Quelque chose me dit que le lit l'appellera immédiatement une fois rentrés. J'espère qu'elle ira mieux demain. Qu'elle n'aura pas à voir un médecin. Que nous nous faisons du souci pour rien. « Je ne peux pas penser plus à toi que je ne le fais déjà. » je réponds à ma belle fiancée en l'embrassant sur la tempe. Elle quitte parfois pensées lorsque je suis au travail, mon esprit étant submergé par une multitude d'autres informations. Mais au fond, lorsque j'ai un moment de pause, un trajet vers un déjeuner ou un rendez-vous, je me demande ce qu'elle fait, comment elle va. Je sais que je pourrais lui envoyer un message pour lui dire que je pense à elle, et il m'arrive de le faire -trop rarement, c'est sûr. Quoi qu'il en soit, elle ne me quitte jamais vraiment. D'autant plus maintenant que j'ai cette bague qui garde le souvenir de ce week-end à Sydney toujours près de moi. Joanne plonge son regard bleu dans le mien, l'air vraiment navrée. Est-ce qu'elle pense que je lui reproche son attitude ? Je n'en sais rien, je suis assez surpris par sa moue désolée à vrai dire. Je caresse sa joue et lui adresse un large sourire. « Non, ne le sois pas. » dis-je avant de lui voler un rapide baiser. Elle n'a aucune raison de se sentir honteuse alors que je n'hésite jamais à la suivre dans ses pulsions, toujours avec plaisir, et toujours agréablement surpris de découvrir, à chaque fois, une autre facette de la jeune femme. « Tes surprises sont les seules que j'aime. » j'ajoute en lui adressant un clin d'oeil. Et elle sait que je ne suis pas friand de surprises. Mais jusqu'à présent, je n'ai jamais eu à me plaindre des siennes, bien au contraire. Elles sont toujours mémorables. Je prends tendrement les mains de Joanne qui glissent aléatoirement sur ma peau, et dépose un baiser sur ses doigts avant qu'elle ne descende du bureau. Puis elle file se rhabiller. Je fais de même, remontant mon dessous et mon pantalon, bouclant la ceinture. J'enfile ma chemise, mais je n'ai pas le temps de la boutonner ; la jeune femme m'appelle afin de l'aider à refermer sa robe. Je m'exécute, accroupi derrière elle pour joindre les deux bouts de la fermeture éclair au niveau de ses jambes. Avant de complètement la remonter, je dépose quelques baisers le long de son dos, jusqu'à sa nuque dont elle dégage ses cheveux. Vêtue de nouveau, elle se tourne, essaye d'arranger ses cheveux, soucieuse d'avoir l'air naturelle. « Attends. » J'ôte ses mains de ses mèches blondes pour qu'elle me laisse faire. Mes doigts glissent dans sa chevelure, un peu partout afin qu'aucune mèche rebelle ne la trahisse, puis passe le tout derrière ses oreilles. Son maquillage me semble correct, mais ses joues sont encore rouges, ce qui me fait légèrement sourire. « Voilà. Tu es parfaite. » Je dépose un baiser sur son front l'enlaçant un court instant. Il est largement l'heure de partir désormais. Sûrement a-t-elle eu assez de baisers maintenant. Je prends quelques secondes avant de répondre, écoutant de nouveau le silence, profitant de cette petite étreinte. « D'accord, allons-y. » je murmure . Joanne récupère les affaires qu'elle avait déposé à côté du bureau, dont mes habits trempés. Pendant ce temps, je replie la paravent et ouvre la porte de la pièce. J'ai droit à un ou deux regards de la part des journalistes dans la pièce qui semblent dire qu'ils savent exactement ce qu'il s'est passé, même s'ils n'ont rien entendu. Ils redescendent sur leurs ordinateurs avant que la jeune femme ne puisse les voir. Je prends sa main, et la guide dans le bâtiment jusqu'au hall. Elle retire son badge et le rends à l'accueil. Puis nous rentrons tranquillement à la maison, où deux boules de poils ne tardent pas à nous accueillir comme il se doit, sautant dans tous les sens et réclamant avidement des caresses qui leur ont manqué toute la journée. En posant mon téléphone sur la table basse du salon, je remarque un message arrivé pendant que nous étions en chemin. Laura. « Tu fais exploser twitter, ça y est ! Et elle est passée où la photo de ta fiancée ? »
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