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 Calex #47 - maybe we found love right where we are

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Message(#)Calex #47 - maybe we found love right where we are - Page 2 EmptySam 23 Avr 2022 - 8:37




AND I'M THINKING ABOUT HOW PEOPLE FALL IN LOVE IN MYSTERIOUS WAYS. MAYBE JUST THE TOUCH OF A HAND. OH ME I FALL IN LOVE WITH YOU EVERY SINGLE DAY. AND I JUST WANNA TELL YOU I AM. SO HONEY NOW TAKE ME INTO YOUR LOVING ARMS, KISS ME UNDER THE LIGHT OF A THOUSAND STARS, PLACE YOUR HEAD ON MY BEATING HEART. I'M THINKING OUT LOUD MAYBE WE FOUND LOVE RIGHT WHERE WE ARE

« J’en suis sûr. » Si ma remarque se voulait légère et dite avec un certain détachement malgré que l'idée ne soit pas si folle, lui il semble bien plus sérieux, plus sûr de lui aussi et Caleb n'a pas énormément de certitude. Ce n'est pas quelqu'un qui regorge d'assurance et de certitude mais pour nous il semble en être certain et c'est presque gênant finalement parce que moi je ne suis sûre de rien. Ah si d'une chose, je l'aime. Je l'aime comme je n'ai jamais aimé quelqu'un et si cette pensée a très clairement pu me faire peur, voir même me paralyser et m'empêcher de lui dire ces fameux mots, désormais je peux lui dire, je peux lui montrer aussi et c'est sans doute parce que je l'aime réellement que je suis là aujourd'hui. Mais pourtant, les projets, le côté très sérieux de notre relation et surtout l'engagement c'est toujours compliquée pour moi et l'idée qu'il soit sûr que je serais ou que je sois la première et unique femme qu'il présentera à ses parents ça donne un côté très sérieux et très officiel à notre relation, non pas qu'elle ne le soit pas mais je préfère quand ce n'est pas dit de la sorte. Je préfère vivre les choses sans les nommer, je m'installe chez lui sans que ce soit vraiment formuler c'est moins engageant, moins officiel, moins déstabilisant ainsi. Sauf que pour Noël l'invitation a été posée, la demande a été formulé et j'ai du donner une réponse, officielle celle ci à Caleb. Rencontrer ses beaux-parents c'est déjà une étape, passer Noël avec eux en est une autre mais pour Caleb, pour être avec lui je suis visiblement prête à faire des choses qui me font peurs, ou qui me mettent pas forcément à l'aise, parce que je sais qu'il sera là et que j'ai envie de passer du temps avec lui. Tout mon temps avec lui. Et après avoir accepté de passer Noël avec sa famille, c'est sur notre noël à deux que nous partageons nos idées et nos envies. Et qui dit moments à deux, dit moments plus ou moins torrides. Il n'y a rien d'étonnants la dedans, quoique quand on se souvient de nos débuts, ça peut l'être mais aujourd'hui nos débuts semblent loin et notre lien est fort, sur ce sujet du moins nous sommes clairement sur la même longueur d'onde. Je sens que je suis plus à l'aise depuis que nous ne sommes plus que tout les deux et lui aussi semble l'être puisque désormais il sourit et il rit plus facilement à mes remarques. « J’espère que tu ne seras pas indisposée ce soir-là. »  Je lève les yeux au ciel à sa remarque mais je suis sincèrement en train d'essayer de calculer mes cycles, sauf que je ne suis clairement pas douée pour me souvenir de mes dernières règles et de mes prochaines alors Noël ce n'est pas encore maintenant donc je n'ai aucune chance de pouvoir savoir avec certitudes. « Nous portes pas la poisse avec tes remarques. Ce serait le pire Noël possible. » Non, non je n'exagère qu'à peine et pourtant des Noël pourri j'en ai connu énormément mais si notre premier Noël venait à être gâcher par ça, ce serait bien triste je trouve. « Enfin surtout pour moi, toi tu pourrais toujours avoir ton cadeau. » Que je finis par ajouter dans une pointe de rire tout en venant déposer un baiser sur sa joue. Mais en soit c'est plutôt vrai, quoiqu'il arrive, je ferais en sorte de lui offrir le cadeau spécial dont je lui ai parlé donc lui n'a pas trop à craindre finalement.

Et c'est finalement après cette discussion plus que nécessaire que nous nous retrouvons tout les deux à l'extérieur loin des oreilles de ses parents et de la pression de leur présence. Même si les yeux de sa mère ne sont jamais vraiment loin, et je la vois qui nous observe presque cachée derrière son rideau. Je ne m'en inquiète pas parce que je suis bien avec Caleb, je ris avec lui, je grimpe sur son dos, j'en redescends aussi vite, je souris, je ris et je me sens plus moi qu'il y a plusieurs minutes quand j'étais face à monsieur et madame Anderson. Enfin à ma place, pas tellement non plus parce qu'on est dans la ferme des Andersons et clairement je n'ai rien à faire dans une ferme. Du moins je n'y suis pas vraiment à l'aise. « Une vache ne te fera jamais mal de sais. » Je sens qu'il se moque de moi et je lève les épaules en riant légèrement. « Non mais c'est pas ça, c'est moche, c'est sale et ça pue. » Tout ça ? En vrai je pourrais encore prolonger les raisons pour lesquelles il est hors de question que je m'approche de ce genre de bêtes mais je pense que cet argument est le plus important de tous. C'est moche une vache, argument imparable et indiscutable non ? Et c'est un argument qui pourrait aller aussi pour les poules. Mais en plus ces bêtes là sont folles, elles te courent après avec leur bec tranchant, oui oui j'en ai jamais approché mais l'idée que j'en ai me suffit et je ne compte pas expérimenter la chose. Je suis curieuse, mais pas pour ça et Caleb ne devrait pas être étonné de mes refus, je suis une fille de la ville et ça se voit dans mes chaussures que je porte pour me balader dans une ferme et heureusement qu'aucun d'eux ne connaît le prix déjà qu'ils doivent me juger en talons alors s'ils connaissaient le prix de mes chaussures avec lesquelles je marche sur ces routes qui n'en sont même pas vraiment. Quoi un chemin non goudronné, c'est pas une route pour moi désolée aux campagnards.

Warwick c'est clairement pas l'endroit ou je me sens à l'aise, et si Caleb est né ici, je suis heureuse d'apprendre qu'il n'a pas l'intention de revenir s'installer ici après ses études. Je sais pas pourquoi je pense à ça, ou même comment j'arrive à envisager de me projeter jusqu'à ce moment mais je suis sincèrement soulagée de savoir qu'il compte rester à Brisbane parce que si je me sens bien avec lui, même ici, je sais que je ne pourrais pas me sentir réellement bien dans un tel lieu au quotidien. Et d'ailleurs je ne sais même pas pourquoi je pense à vivre ici avec lui. Vivre avec lui tout simplement d'ailleurs. C'est pourtant ce que nous faisons déjà, mais ça c'est fait naturellement, sans question, sans discussion trop oppressante, et s'il venait à vouloir rentrer, la question de notre avenir, de notre relation se poserait et je n'ai pas envie. Parce que j'aime être avec lui, j'aime vraiment ça et je ne veux pas que les choses changent. « Même aujourd’hui alors tu vois que là où j’ai grandi c'est bien loin des beaux quartiers londoniens que tu as connu ? » Ma main vient se lier à la sienne avant de lui répondre. Il sourit légèrement mais je sais que pour lui c'est quelque chose qui a pu être compliqué à gérer. Nos différences sont bien souvent une force, une complémentarité mais que je vienne d'une famille totalement différente de la sienne, que je vienne d'un milieu aisé, ça n'a pas été une chose aisée à gérer au quotidien. « Même aujourd'hui oui, même au milieu de nul part je suis bien parce que tu es là. Et tu sais c'était pas si beau Londres. » C'était luxueux oui, ça puait l'argent oui, mais je ne me suis jamais sentie à ma place dans cette maison sans personnalité, sans amour, sans vie finalement. « Je n'ai jamais été heureuse à Londres alors que ta simple présence suffit à me rendre heureuse. » Je le regarde presque un peu gênée encore de me confier ainsi à lui avec autant de sincérité et de vulnérabilité. Pourtant j'ai confiance en lui, je me sens en sécurité avec lui mais dévoiler mes sentiments a toujours eu quelque chose de compliqué, sans doute parce que j'ai grandi avec l'idée que c'était être faible que de montrer ce que l'on ressentait, mais j'apprends avec Caleb. Je me montre plus ouverte, plus franche, et j'accepte d'être vulnérable si c'est pour être honnête et sincère avec lui. « Mais je te préviens quand même, je t'aime mais pas au point de vivre au milieu des vaches. » C'est en déposant un baiser sur sa joue et en riant que j'ajoute ces mots avec une pointe de légèreté comme pour retrouver un semblant d'assurance après les mots si sincères que je lui ai dis quelques instants plus tôt. Mais finalement, c'est à Brisbane qu'il veut faire sa vie, il l'a dit, il veut ouvrir son restaurant et il veut le faire à Brisbane alors je n'ai rien à craindre non ? Il m'attire contre lui, nos regards fixés l'un dans l'autre, je ressens tout ce que je viens de lui dire. Il est là, et c'est finalement tout ce que j'ai besoin pour me sentir bien, quelque soit l'endroit, le moment ou les circonstances, quand il me serre contre lui comme il le fait à cet instant, quand il me regarde avec la même intensité et la même émotion dans le regard, je ne peux que me sentir sereine et bien. Je profite quelques instants de ce moment, de cette émotion, avant de venir casser le côté tendre de cet instant par une phrase qui n'a rien de sérieuse et je ris légèrement. Si lui est doué pour rendre les choses tendres et romantiques entre nous, je suis plus douée pour les rendre légères et drôle ou pour transformer un moment cute en moment un peu moins cute. Et pour ça, je sais que j'ai du répondant face à moi, parce qu'il n'est pas le dernier pour les allusions et pour entrer dans mon jeu. « Et comment ? » Il sait très bien comment, puisqu'il est déjà en train de rendre les choses plus agréable encore alors que je sens ses mains qui se baladent sur mon corps et qui quittent le bas de mon dos pour se poser sur mes fesses. « Tu sais très bien comment, en tout cas tes mains ont compris. » Je me mords les lèvres en le regardant alors que mes mains se glissent d'abord sur sa nuque avant de remonter pour venir jouer avec ses boucles. Je le regarde longuement. Je profite de son corps contre le miens, de ses mains sur mon corps, de ses yeux qui me regardent et de son sourire qui est si rassurant, apaisant et même excitant. Oui oui tout ça en même temps. Et je me laisse aller à des confidences qui n'ont rien d'habituelles chez moi. Non pas que je ne pense pas ce que je lui dis bien au contraire, mais je ne suis pas forcément à l'aise avec ce genre de moments et pour cacher le malaise que je ressens à l'idée de me confier de la sorte, je viens l'embrasser parce que c'est plus simple à gérer finalement. Je l'embrasse avec passion pour lui montrer que tout ce que je viens de lui dire est plus que sincère et il prolonge le baiser lui aussi apportant la tendresse et la passion dont il peut faire preuve et c'est les yeux fermés que je profite de ce moment si parfait. Enfin parfait jusqu'à ce qu'une invitée non désirée vienne se mêler à l'affaire. Une vache me touche le bras, j'hurle, je me cache derrière Caleb et je m'en prends même à lui ce qui semble le faire beaucoup rire. Il éclate de rire, un rire franc alors que moi je regarde toujours cette vache qui est bien trop près de nous même si désormais il y a Caleb entre nous. Lui, il ne semble pas s'en remettre et il en vient à imiter mon cri et je secoue la tête de gauche à droite, je me retiens de rire alors que c'est sincèrement drôle sauf que pour le moment il y a encore la vache face à nous et au lieu de rire avec lui, je viens de nouveau le frapper sur l'épaule tout en restant bien cachée derrière lui. « Désolé j’étais un peu occupé à t’embrasser.» Il rit à nouveau et à nouveau c'est mon poing qui vient s'écraser sur son épaule. « Oui et bien si tu veux un jour encore être occupé à m'embrasser arrête de te moquer et fais quelque chose. » J'essaye d'avoir l'air sérieuse et si j'ai sincèrement peur de cette vache, je n'arrive pas à vraiment le menacer avec sérieux, moi aussi je trouve la situation un peu trop comique même si vraiment la vache me dérange beaucoup. « N’aies pas peur bébé, je t’assure qu’elle ne te fera pas de mal. » Il m'embrasse sur la joue avant de partir avec la vache et plus je la vois s'éloigner mieux je me porte. Je la regarde et je confirme tout ce que j'ai dis plus tôt, c'est très moche une vache.  « Caleb ? Le repas est presque prêt. » Les cris de sa mère me surprennent et je me retourne pour regarder en direction de la maison.  « Ça va ? » Il me prends la main tout en me parlant et je sursaute en sentant sa main attraper la mienne encore un peu sous le coup de la frayeur que j'ai eu quelques minutes plus tôt. Pourtant une vache jusqu'aux dernières nouvelles ça ne parle pas non ? « Ne crie pas, t’en fais pas c’est juste moi, pas une vache. » Il rit à nouveau et j'essaye de me retenir de rire parce qu'il est clairement en train de se moquer de moi mais je finis par rire un peu en repensant à ces dernières minutes. « Te moque pas trop sinon ce soir la seule chose dont tu auras le droit c'est un documentaire sur les vaches. » Et je me doute que ce n'est pas un programme très alléchant ni pour lui, ni pour moi. « Mais vraiment je confirme une chose, je déteste les vaches, mais genre vraiment. » Pourquoi je n'en sais rien, ce n'est ni l'animal le plus dangereux, ni le plus laid, mais vraiment c'est entré dans mon top 3 des animaux les plus affreux. Et c'est finalement en arrivant près de la porte d'entrée que je redeviens plus sérieuse et peut-être un peu plus tendue. « Tu penses qu'ils vont réussir à m'apprécier malgré nos différences ? » Je ne parle plus des vaches ou des animaux, mais bien de ses parents parce qu'on peut pas dire que j'ai vraiment fais forte impression jusqu'à présent. Je distrais leur fils dans ses études. Je ne travaille pas, je ne fais rien de ma vie. Je suis une fille riche qui profite de la vie et qui perturbe le projet et le sérieux de leur fils. Voilà comment j'imagine qu'ils me voient et l'idée de me retrouver face à eux me rends de nouveau un peu plus sérieuse. Je jette un regard vers la fenêtre d'ou nous observait sa mère tout à l'heure pour m'assurer qu'elle n'est plus là avant de venir embrasser avec beaucoup de passion Caleb, parce que j'en ai besoin. Un peu de force, d'amour pour faire face aux regards et aux possibles questions de ses parents pour la suite du repas, j'ai besoin de lui et je sais qu'une fois chez lui ce genre de geste d'affection ne seront plus possible alors j'en profite encore un peu. « Prêt à surmonter la suite du repas ? » Parce que je sais que pour lui ce n'était pas simple non plus, alors j'espère que ça ne se passe pas si mal que ça et qu'il n'est plus aussi stressé par cette première rencontre.


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Message(#)Calex #47 - maybe we found love right where we are - Page 2 EmptyVen 6 Mai 2022 - 10:11

Calex
And I'm thinking about how people fall in love in mysterious ways. Maybe just the touch of a hand. Oh me I fall in love with you every single day. And I just wanna tell you I am. So honey now take me into your loving arms, kiss me under the light of a thousand stars, place your head on my beating heart. I'm thinking out loud maybe we found love right where we are
Même si je n’avais jamais vu Alex au milieu des animaux d’une ferme je me doutais d’avance qu’elle ne serait pas la plus à l’aise dans cet environnement. Ce que je trouve assez amusant à vor. « Non mais c'est pas ça, c'est moche, c'est sale et ça pue. » Je lève les yeux au ciel toujours avec sourire collé aux lèvres. Les vaches ne sont pas les plus beaux animaux du monde je peux l’entendre. Mais je ne sens pas d’odeur particulièrement désagréable provenant d’elles. « Dit la petite londonienne en talons en plein milieu d’une ferme. » Je la taquine encore une fois oui, mais c’est amplement mérité et au moins la prochaine fois l’idée de mettre de telles chaussures ne devrait pas lui traverser l’esprit. L’ambiance légère se transforme assez rapidement en un moment un peu plus sérieux quand elle me demande si après mes études je souhaiterai retourner à Warwick et ma réponse est toute trouvée : non. « Même aujourd'hui oui, même au milieu de nul part je suis bien parce que tu es là. Et tu sais c'était pas si beau Londres. » La sienne de réponse me touche tout particulièrement parce que je sais que venant d’Alex, ça veut dire beaucoup. « Je n'ai jamais été heureuse à Londres alors que ta simple présence suffit à me rendre heureuse. » Un sourire niais est maintenant de retour sur mes lèvres. « Moi aussi je suis heureux avec toi. » Que ce soit à Brisbane, Warwick ou même peut-être bien à Londres, je sais que je serais toujours heureux à ses côtés. « Mais je te préviens quand même, je t'aime mais pas au point de vivre au milieu des vaches. » Je ris légèrement. Et dire que j’étais justement en train de me dire que de mon côté, je pourrais vivre n’importe où mais que tant qu’elle est à mes côtés, je serais heureux. Mais Alex est différente, elle a besoin de son confort et c’est quelque chose que j’ai compris depuis bien longtemps. Bien heureusement pour elle je ne compte pas lui demander de venir s’installer à Warwick avec moi, j’ai moi aussi commencé à prendre goût à la ville et tous ses points positifs et si je veux un jour réaliser mon rêve en ouvrant mon propre restaurant ce n’est pas à la campagne que je compte le faire. Et de toute façon, au vu de sa réaction quand une vache lui touche – frôle le bras – il est plutôt clair qu’elle ne pourrait pas vivre ici. Elle hurle et vient même se cacher derrière moi, ce qui me fait forcément beaucoup rire. « Oui et bien si tu veux un jour encore être occupé à m'embrasser arrête de te moquer et fais quelque chose. » Sa réaction semble tout de même légèrement disproportionnée, ce qui me fait lever les yeux au ciel tout en secouant la tête de gauche à droite. « Arrête, abuse pas. » Mais je m’exécute tout de même en partant à quelque mètre d’Alex avec la vache pour l’éloigner et c’est à peu près au même moment que ma mère nous appelle pour la suite du repas. Il y autre chose qui me fait rire, c’est quand Alex sursaute au contact de ma main. « Te moque pas trop sinon ce soir la seule chose dont tu auras le droit c'est un documentaire sur les vaches. » Là, j’ai l’impression qu’elle ne rigole plus et qu’elle n’a pas vraiment trouvé ma taquinerie si drôle que ça. « Mais vraiment je confirme une chose, je déteste les vaches, mais genre vraiment. » « Ok désolé... C’était juste pour rire, c’est tout. » que je lui réponds doucement en grimaçant et en haussant les épaules. « Tu penses qu'ils vont réussir à m'apprécier malgré nos différences ? » C’est doucement que nous faisons demi-tour afin de rejoindre mes parents à table. « J’en doute pas une seule seconde. Ils verront que je t’aime et que tu me rends heureux et ça sera le principal pour eux. » Ou du moins je l’espère. J’essaie de la rassurer alors que mes gestes se veulent doux et tendre, mon pouce caresse avec douceur le dos de sa main. Alors que je m’apprêtais à rentrer Alex s’est, elle, arrêtée devant la porte d’entrée. Je m’arrête à même hauteur qu’elle et si j’allais lui demander pourquoi elle ne souhaite pas entrer je le comprends bien vite quand ses lèvres se posent sur les miennes. Je prolonge le baiser qu’elle m’offre tout en ramenant son corps au plus proche du mien. « Prêt à surmonter la suite du repas ? » J’hoche positivement la tête et nous venons à peine d’entrer que ma mère nous interpelle à nouveau.

« Caleb t’a fait visiter un peu la ferme, Alex ? Tu en penses quoi ? » Nous ne sommes même pas encore installés à table que j’ai l’impression de voir ma mère courir de partout. « Assieds-toi, Alex. Qu’est-ce que tu veux boire en mangeant ? J’ai fait de la limonade ce matin si tu veux. Ou sinon de l’eau. Plate ou gazeuse ? Ou du coca, je te laisse choisir. » Elle me donne presque le tournis avec ses nombreux allers-retours entre la cuisine et la salle à manger, posant à tour de rôle chaque boisson citée un peu plus tôt sur la table face à Alex. « Je ne savais pas s’il y avait des choses que tu n’aimes pas du tout, alors ne te force pas à manger si ça ne te plaît pas. » Si elle voulait avoir la moindre information sur ma petite-amie il suffisait finalement qu’elle m’appelle pour me poser les questions nécessaires. « J’ai fait des lasagnes au saumon, tu aimes ? » Elle s’apprête à retourner dans la cuisine mais avant je l’interromps. « Maman, stop, arrête, assieds-toi. Je vais m’occuper de servir tout le monde. » Et arrête de parler autant et d’harceler ma petite-amie avec tes questions. Ma mère reprend sa place à table alors que je me lève pour partir en cuisine. « J’espère qu’il se comporte bien avec toi. » Une réflexion de ma mère à l’intention d’Alex et si je pense avoir toujours eu une attitude respectueuse envers Alex, je me demande tout de même ce qu’elle va lui répondre.

© nightgaunt


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Message(#)Calex #47 - maybe we found love right where we are - Page 2 EmptyLun 16 Mai 2022 - 15:18




AND I'M THINKING ABOUT HOW PEOPLE FALL IN LOVE IN MYSTERIOUS WAYS. MAYBE JUST THE TOUCH OF A HAND. OH ME I FALL IN LOVE WITH YOU EVERY SINGLE DAY. AND I JUST WANNA TELL YOU I AM. SO HONEY NOW TAKE ME INTO YOUR LOVING ARMS, KISS ME UNDER THE LIGHT OF A THOUSAND STARS, PLACE YOUR HEAD ON MY BEATING HEART. I'M THINKING OUT LOUD MAYBE WE FOUND LOVE RIGHT WHERE WE ARE

« Dit la petite londonienne en talons en plein milieu d’une ferme. » Il se moque de moi, encore. Et en toute honnêteté je pense qu'il a raison de se moquer mais pour ma décharge, je n'ai jamais mis les pieds dans une ferme avant aujourd'hui. C'est pour lui que j'accepte de sortir de ma zone de confort et pourtant il n'hésite pas à me taquiner encore. Je lui tire la langue et je grimace en réponse à sa remarque. Mes talons sont très beaux, sont très chers aussi, mais ils sont surtout pas du tout pratique sur les chemins de terre et pleins de trous de la ferme familiale des Andersons. Mais peu importe ma tenue, peu importe même que je ne me sente pas à ma place ici, je suis avec Caleb et je suis sincèrement bien à ses côtés. « Je vais te lâcher au milieu de Londres dans une soirée de bourges tout seul, on verra si tu fais le malin. » Même ici je me sens bien, même en sachant que ses parents sont à quelques mètres de nous, j'oublie la ferme, j'oublie le fait que nous ne venons pas du même monde, je ne pense qu'au faite que quand il est avec moi, je suis bien. « Moi aussi je suis heureux avec toi. » Et après la grimace, c'est un sourire sincère qui s'affiche sur mon visage. Un sourire tendre et presque gênée parce que si Caleb n'est pas avare en compliment et en déclaration, ça ne me laisse pas indifférente et je suis toujours émue par l'idée que ce que l'on vit est si fort et si beau. « Je t'aime tellement. » Quelques mots murmurés, quelques mots qui ne sont destinés qu'à lui, quelques mots que j'assume désormais de penser et de dire. Des sentiments que j'assume de ressentir aussi et un amour que j'accepte de vivre avec lui même si tout n'est pas toujours très simple, je l'aime et ça c'est simple non ? Mais si, j'ai encore parfois l'impression que tout est trop beau, que tout va finir par s'écrouler parce que le bonheur et l'amour ce n'est pas pour moi. Mais, pourtant, je suis heureuse avec lui. Il est heureux avec moi. Il m'aime et je l'aime. Oh ça oui je l'aime tellement que je suis là aujourd'hui ici avec lui pour donner une autre dimension à notre vie de couple et si je ne me vois pas vivre ici au milieu des vaches, je l'aime assez pour vivre avec lui. Pour envisager de penser à cette vie à deux même si je n'en parle pas et ne le dit pas. Je vis dans son appartement, je vis au rythme de son emploi du temps, ou plutôt il vit au rythme du mien aussi parfois, mais surtout je vis au rythme de nos envies, au rythme de notre couple. Pas à Warwick, mais à Brisbane et savoir qu'il ne compte pas revenir s'installer ici a quelque chose de rassurant, parce que j'ai beau l'aimer énormément, vivre dans une ferme ne pourra jamais me faire me sentir à l'aise. Je n'aime pas les animaux, j'en ai peur et surtout je déteste les vaches comme le prouve ma réaction quand une vache vient perturber le moment pourtant si agréable que je partageais avec Caleb. « Arrête, abuse pas. » Je le regarde s'éloigner avec la vache et je me sens légèrement mieux quand elle est loin de moi. Je savais que je n'aimais vraiment pas ça, mais je ne pensais pas que j'aurais une réaction aussi forte, mais faut dire que pour ma défense elle est arrivée derrière moi par surprise et personne n'aime se retrouver nez à nez avec une vache que l'on ne connaît pas non ? Même une vache que l'on connaît d’ailleurs. Et après la vache, c'est au tour de Caleb de me faire peur et de se moquer encore un peu de moi. « Ok désolé... C’était juste pour rire, c’est tout. » J'ai l'impression qu'il n'a pas comprit que j'étais en train de rire et qu'il s'excuse avec sérieux. « Je sais, et t'en fais pas je rigolais aussi, je ne compte pas nous infliger le visionnage d'un documentaire sur les vaches, je tiens trop à notre libido et comme tue l'amour je crois que je connais rien de pire. » Y'en a sûrement d'autres des tue l'amour, mais une chose est sûre, pour des préliminaires, il faut être sacrément étrange et avoir des fantasmes bien tordues pour s'exciter devant un documentaire animalier et encore plus un documentaire sur les vaches. Et comme je lui ai dis, je tiens trop à notre vie de couple et à notre libido pour renoncer au sexe juste pour me venger de sa moquerie. Je redeviens sérieuse en approchant de la maison des Andersons parce que dans quelques minutes nous ne serons plus que tout les deux et tout est différent quand ses parents sont avec nous. « J’en doute pas une seule seconde. Ils verront que je t’aime et que tu me rends heureux et ça sera le principal pour eux. » A nouveau je souris face aux mots si touchants de Caleb, mes yeux se posent quelques secondes sur nos mains liées et sur son pouce qui est en train de caresser ma main. Je n'aurais jamais cru être ce genre de personne, celle qui trouve du réconfort et de l'apaisement dans ce genre de gestes pleins de tendresses et d'amour. C'est en l'embrassant que je lui réponds, que je lui prouve comme je l'aime et juste avant d'entrer je réagis enfin à ses mots avec comme à mon habitude une légèreté qui vient casser le côté si cute de ce moment. « Alors comme ça je te rends heureux ? » C'est dit avec légèreté, le regard qui pétille entre l'amusement de l'entendre dire ça et l'émotion sincère parce que je ne suis pas le genre de personne qui rends heureux les autres. Mais lui visiblement je le rends heureux et ça me touche parce qu'il me rends heureuse aussi, plus heureuse que personne n'a jamais réussi à me rendre heureuse.

« Caleb t’a fait visiter un peu la ferme, Alex ? Tu en penses quoi ? » Mon sourire n'est pas le même quand je me retrouve face à sa mère. Un sourire de façade pour cacher le fait que je ne sois toujours pas à l'aise devant la mère de Caleb et encore moins quand elle se met à me questionner à de nombreuses reprises et quand en plus je sais que je ne peux pas être réellement sincère dans mes réponses au risque de ne pas leur plaire. « Il m'a montré un peu oui, c'est grand, ça doit être sacrément compliqué de tout gérer. » Je ne peux pas dire ce que j'en pense réellement, lui dire que je déteste les vaches, que je trouve ça moche. Que je n'aime pas le fait que les chemins sont dangereux et peu pratiques, je ne peux pas lui dire que je me sens pas à ma place ici même si ça elle doit l'avoir remarqué toute seule. Mais j'essaye d'avoir des mots positifs parce que s'il y a bien une chose honnête, c'est que oui c'est sacrément grand et je suis admirative de voir qu'ils gèrent ça tout les deux, admirative parce que jamais je ne pourrais faire un quart de tout ce qu'ils font. « Assieds-toi, Alex. Qu’est-ce que tu veux boire en mangeant ? J’ai fait de la limonade ce matin si tu veux. Ou sinon de l’eau. Plate ou gazeuse ? Ou du coca, je te laisse choisir. » Elle s'agite et c'est qu'elle me stresserait presque et pourtant j'ai l'habitude des gens qui parlent beaucoup, j'en fais partie. « De l'eau plate ça ira très bien merci. » Toujours choisir le choix le plus simple, et j'ai beau répondre elle m'apporte tout. « Je ne savais pas s’il y avait des choses que tu n’aimes pas du tout, alors ne te force pas à manger si ça ne te plaît pas. J’ai fait des lasagnes au saumon, tu aimes ? » Je secoue la tête positivement, et même si je n'avais pas aimé je crois que j'aurais pu me forcer juste pour pas la décevoir tant elle semble vouloir en faire beaucoup pour me faire bonne impression. Sauf, que c'est pas elle qui est censée être jugée, c'est pas elle qui joue gros aujourd'hui. Elle restera quoiqu'il arrive la mère de Caleb. Mais si elle ne m'aime pas, si ses parents me trouvent pas assez bien pour leur fils comment ça va impacter la suite de notre histoire ? J'en sais rien mais j'essaye de ne pas trop me focaliser là dessus, je suis déjà bien trop mal à l'aise sans ajouter de la pression supplémentaire. « Oui, oui j'aime, Caleb m'en a déjà fait et elles étaient très bonnes. » Je regarde Caleb, je cherche un soutien dans son regard et il doit le sentir parce qu'il intervient auprès de sa mère. « Maman, stop, arrête, assieds-toi. Je vais m’occuper de servir tout le monde. » Sauf qu'il se lève pour partir en cuisine et il me laisse seule face à ses parents et ça c'est pas la situation la plus simple à gérer. Je baisse les yeux, je pose mes mains sur la table et je me tiens droite, j'ai l'impression d'être face à mon père pendant quelques secondes alors que je sens le stress me gagner. « J’espère qu’il se comporte bien avec toi. » Voilà une question qui pour une fois semble sans risque pour moi puisque ce n'est pas ni moi, ni mes actions, ni mon passé dont il est question. Elle me demande si son fils se comporte bien avec moi et c'est une réponse facile à donner ça. « Oh oui, il est parfait avec moi. Vous avez un fils exceptionnel. » Et le plus incroyable dans tout ça, c'est que je pense chacun de mes mots même s'ils peuvent être un peu excessif, je les pense vraiment. Oui Caleb est parfait avec moi. Il a été patient, il a été compréhensif, il ne m'a jamais jugé, il a été tendre, doux, il m'a donné confiance en moi, il m'a donné de l'amour comme jamais personne ne l'avait fait et il m'a aussi donné mes premiers orgasmes, mais pour le dernier point je vais bien me garder de le partager avec ses parents. « Je connais beaucoup de mecs de notre âge et Caleb est différent de tout les autres, il est tellement mieux, j'ai de la chance qu'il soit à moi. » Je souris alors que Caleb revient vers nous et je réalise que mes paroles peuvent être un peu mal prise, enfin c'est ce que je me dis toute seule. « Enfin il est pas vraiment à moi, c'est pas ce que je voulais dire, mais c'est un petit ami parfait, vous l'avez vraiment bien éduqué. » Est-ce que j'ai le droit de juger l'éducation qu'ils ont donné à leur fils ? Sûrement pas mais ça partait d'une bonne intention. Je cherche à nouveau le regard de Caleb et c'est avec mes yeux que je lui demande d'intervenir, de m'empêcher de parler encore plus avant que je ne dise n'importe quoi. « Et moi je me comporte bien avec toi ? » Voilà le genre de remarque que j'aurais du garder pour moi, le genre de chose que je peux dire quand je suis stressée, le genre de phrase maladroite que je regrette parce que je ne suis pas sûre que ça intéresse ses parents, non je suis même sûre qu'ils n'ont pas envie de savoir tout ça.


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Message(#)Calex #47 - maybe we found love right where we are - Page 2 EmptyDim 29 Mai 2022 - 11:32

Calex
And I'm thinking about how people fall in love in mysterious ways. Maybe just the touch of a hand. Oh me I fall in love with you every single day. And I just wanna tell you I am. So honey now take me into your loving arms, kiss me under the light of a thousand stars, place your head on my beating heart. I'm thinking out loud maybe we found love right where we are
« Je vais te lâcher au milieu de Londres dans une soirée de bourges tout seul, on verra si tu fais le malin. » Je grimace, parce que j’espère sincèrement ne jamais avoir à me retrouver tout seul dans une soirée londonienne entouré de personnes toutes bien plus riches que je ne le serais jamais. Pourtant c’est de ce milieu-là qu’Alex vient et je sais qu’un jour je vais devoir me confronter à son monde et le jour où elle me le demandera pour elle, je le ferais. Parce que je suis fou amoureux de cette fille et je sais déjà que c’est elle la femme de ma vie, celle avec qui je veux passer le restant de mes jours. Malgré nos nombreuses différences je sais qu’on est tous les deux faits l’un pour l’autre, je n’en doute pas une seule seconde. « Je t'aime tellement. » Et moi je l’aime encore plus ça je n’ne doute pas non plus. Elle est belle, Alex, elle est magnifique et même si je ne comprends toujours pas pourquoi c’est avec moi qu’elle a décidé de se mettre en couple. Pourtant elle mérite mieux. Oh que oui, elle mérite bien mieux qu’un pauvre mec comme moi qui ne peut que lui offrir un minuscule appartement dans le quartier le moins cher de Brisbane et des week-end dans la ferme dans laquelle j’ai grandi et qu’elle semble détester. « Je sais, et t'en fais pas je rigolais aussi, je ne compte pas nous infliger le visionnage d'un documentaire sur les vaches, je tiens trop à notre libido et comme tue l'amour je crois que je connais rien de pire. » Sa réflexion sur notre libido et sur le documentaire sur les vaches tue-l’amour me fait beaucoup rire. Elle n’a pas besoin de grand-chose pour me faire rire de toute façon, Alex. Elle n’a vraiment pas besoin de grand-chose. Quand elle est avec moi je me mets à rire pour rien, je souris tellement que je finis toujours par avoir mal aux zygomatiques à la fin de la journée et je passe le plus clair de mon temps à la regarder. « Alors comme ça je te rends heureux ? » Je sens de la taquinerie dans le son de sa voix et ses yeux qui pétillent d’amusement mais pourtant moi c’est avec beaucoup de sincérité que je finis par lui répondre. « Tu ne peux pas imaginer à quel point. Je ne savais même pas que ressentir ce genre de chose était possible. » Encore moins à une telle intensité. Parce que si mon amour pour Alex est sincère, il est surtout extrêmement puissant.

Ma mère questionne Alex à l’instant même où nous entrons de nouveau dans la maison. « Il m'a montré un peu oui, c'est grand, ça doit être sacrément compliqué de tout gérer. » Au lieu de dire à ma mère qu’elle n’aime pas cet endroit elle réussit avec brio de trouver une réponse alternative. « C’est pas facile, non. Mais au moins ça occupe nos journées. » Et surtout ils ne s’en plaignent pas puisqu’ils adorent tous les deux leur vie à la ferme. Après tout un tas de questions de ma mère pour Alex, j’ose laisser ma petite-amie seule avec mes parents cinq minutes. Simplement le temps pour moi de dresser les assiettes et d’apporter le plat pour tout le monde. J’entends ma mère et Alex discuter sans réellement pouvoir entendre avec exactitude leur conversation. « Oh oui, il est parfait avec moi. Vous avez un fils exceptionnel. » Je relève la tête et voit ma mère regarder Alex un grand sourire sur le visage, elle semble même émue des mots d’Alex ce qui ne questionne encore plus sur leur conversation. « C’est vrai ? Pas que j’en doutais, mais l’entendre de ta bouche me fait vraiment plaisir. » C’est officiel, je n’aime vraiment pas ne pas pouvoir entendre ce que ma mère et ma petite amie se disent. « Je connais beaucoup de mecs de notre âge et Caleb est différent de tout les autres, il est tellement mieux, j'ai de la chance qu'il soit à moi. » J’arrive avec une partie des assiettes en mains et je sers ma mère et Alex en première. Honneur aux femmes, c’est ce qu’on dit, non ? Et puis je reviens quelques secondes plus tard avec mon assiette et celle de mon père. « Enfin il est pas vraiment à moi, c'est pas ce que je voulais dire, mais c'est un petit ami parfait, vous l'avez vraiment bien éduqué. » Je fronce légèrement les sourcils ne sachant pas vraiment de quoi les femmes sont en train de discuter. De moi, apparemment, mais si je vois bien qu’avec son regard Alex me demande d’intervenir je suis complètement pris de court et suis incapable de dire quoi que ce soit. « Et moi je me comporte bien avec toi ? » Voilà une question à laquelle je ne m’attendais pas, et je pense que mes parents non plus. Je fronce rapidement les sourcils à nouveau et me redresse sur ma chaise. « Oui, oui bien sûr. » Elle se comporte même très bien avec moi, elle me fait beaucoup, beaucoup, beaucoup de bien mais voilà une information dont mes parents se passeraient bien. « Merci maman pour le repas. Et bon appétit. » que je dis en prenant une première bouchée des lasagnes au saumon. Si comme ma mère l’a dit un peu plus tôt je pourrais lui faire quelques reproches, elle avait raison et c’est sur la cuisson du poisson que je pourrais lui donner quelques conseils. Mais je n’en fais rien et je me contente de manger sans rien dire.

© nightgaunt


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