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 All the things we could have been (Amelyn UA Chapter #4)

Raelyn Blackwell
Raelyn Blackwell
la muse des cauchemars
la muse des cauchemars
  
All the things we could have been (Amelyn UA Chapter #4) 9OYzxwd Présent
ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion
SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn.
STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille.
MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie.
LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux.
All the things we could have been (Amelyn UA Chapter #4) 2a124375de5bce4e041e9923da504d768c9edcf6
POSTS : 34324 POINTS : 3130

TW IN RP : Mention de drogues dures, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, deuil, automutilation.
ORIENTATION : J'aime les beaux garçons.
PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois.
DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP
CODE COULEUR : indianred.
RPs EN COURS :
― raelyn's theme ―
writing challenge 2024

(07) chad #3spencer #14miles #1 (2005)danaë #4 (2018)maxwell #7miles #2cecilia #2

(ua) maxwell #6 (jurassique)

(pré-liens)
le cluble casino l'octopus

All the things we could have been (Amelyn UA Chapter #4) 616bfddbfe3ceeca1b184a6faaa744d1a87adae5
maxyn #7 & sms ☆ i'm sick, yeah, i'm sick, and honestly, i'm getting high off it. your smoke in my hair hot and dirty like the l.a. air. that face, baby, it ain't fair, but you don't know what you don't know. oh, so you wanna talk about power ? oh, let me show you power. i eat boys like you for breakfast, one by one hung on my necklace. ☽ 1234567

All the things we could have been (Amelyn UA Chapter #4) 3a44d144a8bde068fb9bbf98d07bff96bdb42f25
spencer #14 ☆ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand. take another walk out of your fake world, please put all the drugs out of your hand. you'll see that you can breathe without no back up, so much stuff you got to understand.

All the things we could have been (Amelyn UA Chapter #4) 30
danalyn #4 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.

All the things we could have been (Amelyn UA Chapter #4) 297a714e8dfbe2965870bfed0f152606f9c9e175
cecilia #2 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.

All the things we could have been (Amelyn UA Chapter #4) Tumblr_inline_pq7a8g2DmG1u9urvd_400
miles #1 & #2 ☆ i've been waiting patiently, i built this tower quietly. And when my well of wellbutrin is running dry of serotonin i can say things I don't mean. or maybe it's the truth in me, i feel it building, bubbling up.

RPs EN ATTENTE : aisling #3

RPs TERMINÉS : liste tenue à jour dans ma fiche de liens

― statistiques RP ―
2024 ☆ 202320222021

All the things we could have been (Amelyn UA Chapter #4) 0ca41f4f930cbaeae8e9a2d29a926cecd384086c
amelyn ☆ wasted in love, misunderstood, baby, it's harder to breathe when you're gone. so i hold in my hands pictures of you and dream of the day i was eating for two. all this love, i'm so choked up, i can feel you in my blood, i'm so scared to give you up. valentine, my decline is so much better with you. valentine, my decline, i'm always running to you. and i cover myself in tattoos of us, and dream of the day we embrace and combust. ☽ 123456789101112131415161718192021222324252627282930313233343536373839404142434445464748495051525354555657585960616263646566676869707172737475767778798081828384858687888990919293949596the end.

AVATAR : Lady Gaga
CRÉDITS : me (avatar), harley (gif profil, maxyn, spencer, amelyn), fuckyougifs (gif danaë) & jifdirectory (gif cecilia), erikawrites (gif miles)
DC : Megan Williams (Sydney Sweeney) & Midas Sterling (Leo Woodall)
PSEUDO : stairsjumper
Femme (elle)
INSCRIT LE : 21/02/2019
https://www.30yearsstillyoung.com/t23235-raelyn-you-can-try-to-break-me-i-cut-my-teeth-on-people-like-you
https://www.30yearsstillyoung.com/t23281-raelyn-never-learned-to-raise-my-hand-was-too-busy-raising-hell

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Message(#)All the things we could have been (Amelyn UA Chapter #4) EmptyVen 19 Nov 2021 - 18:13


All the things we could have been - Chapter #4
Raelyn Blackwell & @Amos Taylor All the things we could have been (Amelyn UA Chapter #4) 873483867 - Univers alternatif - 2007, 20 ans

Le chantage est une chose qui peut être hideuse lorsqu’il est utilisé pour nuire à l’autre mais, je le jure, je ne veux que le bien d’Amos. Sarah est un carcan qui l'étouffe un peu plus jour après jour et, la seule chose que je désire, c’est lui ouvrir les yeux. Pourquoi n’est-il pas capable de le faire seul alors qu’il est obligé de mentir pour passer un week-end avec ses frère loin de Kilcoy ? Si je n’ai pas compris la teneur de leurs projets, nul doute qu’il n’est pas uniquement question de se rendre à une visite médicale imposée par l’armée australienne : j’ai surpris une conversation entre le militaire et son frère au téléphone et il était question de casino et de carte. Je sais pourquoi il ment : ce genre de loisir ne trouverait pas grâce aux yeux de Sarah et elle fait office de tyran qui gère la maisonnée comme elle et elle seule l’entend. Moi, je suis une invité sous leur toit et suis obligée de me plier plus ou moins à ses règles. Mais Amos ? N’est-il pas en droit de lui dire qu’il en a assez de vivre comme des cinquantenaire alors qu’il a à peine trente ans ? Qu’elle l’empêche de respirer, de rire et de trouver goût à la vie ? A partir du moment où je pense sincèrement qu’ils ne sont pas bons l’un pour l’autre, est-ce grave que je tente de lui ouvrir les yeux aussi parce que je suis intéressée ?


Il m’a dit que j’étais belle, avant de parler de ma bouille de bébé et je ne sais pas à quoi m’en tenir. J’ignore s’il me voit comme une femme ou une enfant et cela m’ennuit profondément : j’ai l’âge de savoir que je le veux lui. Alors, j’ai triché. J’ai menacé de dévoiler ses secrets sans réellement en avoir l’intention s’il ne m’offrait pas une contrepartie et il a mordu à l’hameçon : il a des plans pour ce week-end, un que nous passerons uniquement tous les deux. Moi, j’ai frémi d’impatience toute la semaine. J’ai réussi, je crois, à faire avaler à Sarah que ce n’était qu’une coïncidence que je quitte la maison en même temps que son mari : j’ai inventé une grand mère en ville qui se serait découvert le désir subit de passer un peu de temps avec moi avant que la maladie ne l’emporte. Je savais que la bonne chrétienne qu’est Sarah n’oserait pas me retenir et elle ne l’a pas fait : j’ai pris le bus jusqu’au centre ville de Charleville, là où je suis supposée retrouver Amos parti plusieurs heures plus tôt pour brouiller les pistes.

Réalise-t-il que, s’il lui ment pour passer du temps avec moi, c’est qu’ils ne fonctionnent plus ? Je n’ai pas l’intention de pointer ce fait là du doigt, je n’ai pas la moindre envie qu’il parte en courant mais je m’en enorgueillis. La preuve en est : le sourire que j’arbore alors que je repère sa voiture garée au bord de la route est immense, et il s'agrandit encore un peu alors que j’arrive à son niveau. Je remonte mon sac à dos sur mon épaule, et je lisse ma jupe en jean du coin de la main : l’hiver est là, mais les températures sont encore douces, dans le nord de l’Australie. « Tu ne veux toujours pas me donner d’indice ? Me dire où on va ? » Après la visite médicale, puisqu’elle existe bel et bien et que c’est ça le deal : l’y accompagner, puis m’échapper avec lui pour le reste du week-end. Ce matin, j’ai volé un rouge à lèvre dans les affaires de Sarah et, alors que je me glisse sur le siège passager et que je lui offre un sourire radieux, je me demande s’il le remarque. S’il me trouve jolie, avec des lèvres carmins. « On a beaucoup de route ? C’est loin de Brisbane ? » C’est bien là qu’il doit se rendre pour son rendez-vous médical, non ? « En tout cas, elle avait l’air d’avoir beaucoup de peine pour mamie Harriet, quand je suis partie. » Autrement dit, notre ruse a fonctionné et Sarah ne se doute de rien. Je ne me sens absolument pas coupable d’avoir menti à celle qui devient peu à peu ma rivale dans mon esprit, Amos le regrette-t-il ? Mutine, je l’attrape par l’épaule pour le secouer doucement en riant. « Allez, dis moi où tu m'emmènes. »






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Message(#)All the things we could have been (Amelyn UA Chapter #4) EmptyJeu 25 Nov 2021 - 16:22


All the things we could have been - Chapter #4
@Raelyn BlackwellAll the things we could have been (Amelyn UA Chapter #4) 873483867  & Amos Taylor  - Univers alternatif - 2007, 29 ans

Nous aurions pu nous contenter de cette soirée pizza et télé. Nous n’étions pas forcé de nous chahuter et, par la suite, je n’étais pas obligé de la taquiner pour corriger mon propos. Je ne peux pas le nier : au plus Rae se remplume, au plus elle est attirante. Pas seulement en tant que femme, non. Le cas échéant, je n’aurais pas à me répéter qu’elle a une bouille de bébé et que je ressens pour elle les mêmes émotions que pour une petite soeur. Je n’y arriverais pas d’ailleurs. Face aux difficultés de mon mariage, quoique je ne sois l’homme que d’une femme, je pourrais me laisser aller à, au minimum, m’imaginer dérober à ma protéger un baiser délicat. Je me demanderais s’il aurait un goût de trop peu ou si, à l’inverse, je parviendrais à m’en contenter parce qu’il est le fruit de la curiosité. Par ailleurs, ces tergiversations ne m’ont-elles pas traversé l’esprit une fois allongé à ses côtés tandis qu’elle me réclamait, faute à la récurrence de ses cauchemars et à ses mauvaises expériences ? Pas vraiment. Je n’ai pensé qu’à cette nuit où je l’ai sauvée des griffes du porc qui a abusé de sa détresse. Je me suis figuré qu’elle a été son parcours entre ce jour où elle a quitté Charleville et celui où elle a fini chez moi, à Kilcoy, dans un décor pas bien différent de sa ville natale, mais là où je vis. Là où je pourrais éventuellement l’ouvrir au monde. Evidemment, je n’ai pas les moyens ni les capacités de la conduire jusqu’en Europe. Je reste un homme marié et, le cas échéant, j’ai une petite fille qui a besoin de moi. Mais, quel problème y aurait-il à découcher un week-end ? A disparaître avec Raelyn en profitant d’un petit mensonge qui profitera à mon invitée et qui consistera en un secret ? Ce ne serait pas la première fois que je dissimule la vérité à Sarah, histoire qu’elle me fiche la paix quand j’ai envie de voir mes frères et de jouer avec eux dans le seul casino de la grande ville. Je crois avoir entériné cette idée la nuit même après avoir regardé - ou fait semblant - Silent Hill avec ma future complice de fadaises. Mais je ne lui en ai parlé que parce qu’elle m’a démasquée. J’étais au téléphone avec la bande de potes que j’accompagne habituellement afin qu’il me couvre en cas de pépin. Il n’y en aura pas. Je ne suis pas fier de leur avoir, à eux-aussi, raconté quelques bobards. Mais, rien ne vaut le sourire étiré de la canaille qui me fait du chantage. Elle est tellement contente de nourrir cette impression d’être à l’origine d’une manigance oeuvrée de connivence avec moi que je n’ai pas osé lui dire que me manipuler n’est pas utile puisqu’il s’agissait d’une surprise. Je lui ai offert cette certitude et je me réjouis de ces oeillades de comparses, de partenaires de crime. Au moins m’a-t-elle ôté un peu de mon angoisse à me traîner devant le docteur.

En toute franchise, les chances pour qu’il me remette au travail son maigre compte tenu de l’étendue de mes cicatrices. Les brûlures étaient vilaines. Pour me réparer, ils parlent de greffes alors que les douleurs sont parfois insoutenables. Evidemment, je fais très bien semblant de rien. Plus encore une fois dans la voiture dès lors que je l’ai récupérée sur notre point de rendez-vous. «Aucun indice. Tout ce que je peux te dire, c’est qu’on fait un saut par Brisbane et ensuite, on file.» lui ai-je lancé en jetant un coup d’oeil dans mon pare-brise pour quitter mon emplacement de parking. Ce ne serait pas le moment d’avoir un accident. Je me montre donc prudent, peut-être même un peu trop observateur, car le rouge qu’elle porte sur les lèvres, il est remarquable. Il l’est par la couleur et par ce qu’il met en évidence la rondeur de ses lèvres charnues. Les a-t-elle toujours eu aussi bien dessinées ? « On file dans un endroit où tu trouveras peut-être ce que tu cherches en ayant maquillé tes lèvres. C’est joli.» J’aurais pu ajouter :”une fois encore”, mais je m’abstiens. «Tu as tout de suite moins l’air d’un petit bouchon.» A ce stade, j’ignore si je la taquine pour l’humour ou si c’est moi que je persuade qu’elle est une jeune adulte, certes, mais de dix ans ma cadette. «Ce qui veut dire,  pas tant de route que ça. Et, je t’ai déjà dit que c’était une bonne âme, Sarah. Tu veux essayer de deviner ? Il paraît qu’un petit jeu, ça permet d’oublier mamie Harriet et papie Clarck. » ai-je ponctué d’un clin d’oeil alors qu’elle me secoue pour que je lève le mystère sur notre destination. [color=#006600] «Fais gaffe, tu vas nous envoyer tout droit dans le décor. Tu voudrais pas tout gâcher, si ? « Si tu arrêtes de faire l’enfant...» Le mot n’est pas choisi au hasard, évidemment. « Je te fais une petite description.» Je m’y suis collé parce qu’elle est si évasive que ça pourrait être ailleurs ou partout. «Je peux te dire qu’il y a un bar, du soleil, une mer, une plage...» Et, un bateau, mais cette information-là lui en raconterait beaucoup trop sur mes projets. J’opte donc pour le silence alors que je l’observe avec curiosité, un sourire satisfait au coin des lèvres. Elle brûle d’impatience et j’en suis aise jusqu’à ce que la réalité me rattrape. J’en suis de suite plus grave quand j’ajoute : «Tu sais, j’aurais voulu en faire plus, mais un week-end, c’est court et je peux pas rater ma visite médicale. Qui sait, peut-être qu’on va décider que je peux reprendre du service.» ai-je souhaité en haussant les épaules. Mon mariage en serait sauvé. Je me sentirais ainsi moins faible face aux yeux de biche de ma compagne d’aventure.

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STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille.
MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie.
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PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois.
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danalyn #4 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.

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cecilia #2 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.

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amelyn ☆ wasted in love, misunderstood, baby, it's harder to breathe when you're gone. so i hold in my hands pictures of you and dream of the day i was eating for two. all this love, i'm so choked up, i can feel you in my blood, i'm so scared to give you up. valentine, my decline is so much better with you. valentine, my decline, i'm always running to you. and i cover myself in tattoos of us, and dream of the day we embrace and combust. ☽ 123456789101112131415161718192021222324252627282930313233343536373839404142434445464748495051525354555657585960616263646566676869707172737475767778798081828384858687888990919293949596the end.

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Message(#)All the things we could have been (Amelyn UA Chapter #4) EmptyVen 26 Nov 2021 - 16:11


All the things we could have been - Chapter #4
Raelyn Blackwell & @Amos Taylor All the things we could have been (Amelyn UA Chapter #4) 873483867 - Univers alternatif - 2007, 20 ans

« Aucun indice. Tout ce que je peux te dire, c’est qu’on fait un saut par Brisbane et ensuite, on file. » Autrement dit : rien que je ne sache déjà. Mes lèvres esquissent une moue boudeuse et je le fixe d’un regard de biche. Je n’obtiendrai rien qu’il ne soit disposé à me donner, je le sais, mais j’aime trop les jeux - en particulier celui-ci - pour m’en priver. « On file dans un endroit où tu trouveras peut-être ce que tu cherches en ayant maquillé tes lèvres. C’est joli. » Mes lèvres esquissent un sourire sincère, ravi, mais l’ascenseur ascensionnel est rapide : déjà, il me qualifie à nouveau de gamine. « Tu as tout de suite moins l’air d’un petit bouchon. » - « Un petit bouchon ? » Je lève un sourcil et mon sourire s’efface d’un coup. Je n’aime pas ça, lorsqu’il me rappelle notre différence d’âge comme si elle était insurmontable. Une seconde j’ai l’impression qui louche sur mes lèvres et, l’instant d’après, il me refroidit en affirmant qu’il ne me voit que comme une enfant. « Je suis plus une enfant, Amos. » Je ne hausse pas le ton. En revanche, je garde mon regard fiché dans le sien et je m’exprime lentement, en détachant chaque syllabe. Je veux qu’il me voit comme une femme, une qui s’intéresse à lui, de surcroît.  

« Ce qui veut dire,  pas tant de route que ça. Et, je t’ai déjà dit que c’était une bonne âme, Sarah. Tu veux essayer de deviner ? Il paraît qu’un petit jeu, ça permet d’oublier mamie Harriet et papi Clark. » - « Hum… » Face à sa proposition, mon sourire réapparaît bien vite et je tourne tout mon corps dans sa direction, oubliant bien vite d’attacher ma ceinture de sécurité. « Il y aura d’autres gens ? Ou on sera que tous les deux ? » Malheureusement, je réalise bien vite que j’ai la tête vide d’imagine auxquelles me raccrocher pour imaginer ce qu’il a préparé : je me suis toujours gardée de rêver trop grand, depuis mon arrivée à Brisbane. Un restaurant, une ambiance festive, un week-end coupée du monde avec le jeune militaire me suffirait. « Fais gaffe, tu vas nous envoyer tout droit dans le décor. Tu voudrais pas tout gâcher, si ? » Je pousse un soupire toutefois plus amusée que excédée. « Quel rabat joie ! » J’explose de rire avant de me calmer, de coller à nouveau mon dos contre mon siège.

« Si tu arrêtes de faire l’enfant... Je te fais une petite description. » - « Arrête de dire que je suis une enfant. » Que je répète, plus joueuse, plus provocatrice, aussi. Essaye-t-il de s’en convaincre ou bien le pense-t-il réellement ? Je fais mon affaire de lui prouver le contraire. « Je peux te dire qu’il y a un bar, du soleil, une mer, une plage... » - « Une plage ? » Je fais la liste des destinations non loin de Brisbane, mais je n’ai pas retenu le nom de la plupart. « Hum. Des cocktails ? » Il a parlé de bar donc je pourrai à priori l’en convaincre. « Du surf ? Du bâteau ? Se prélasser sur la plage ? » Intenable, je liste tout ce qui me vient, en continuant en citant du jet-ski et des choses plus farfelues, comme un concours de châteaux de sable ou une après-midi sur un yatch. Bien sûr, je ne crois à aucune de ces propositions mais l’ambiance est joyeuse et bien moins lourde qu’à la maison, où Sarah n’est jamais bien loin. « Tu sais, j’aurais voulu en faire plus, mais un week-end, c’est court et je peux pas rater ma visite médicale. Qui sait, peut-être qu’on va décider que je peux reprendre du service. »

Face à sa confession, je reste silencieuse quelques secondes. Est-il nostalgique ? Voudrait-il reprendre du service et être envoyé à l’autre bout du pays ou du monde ? Même si cela incluait de ne plus pouvoir garder un œil sur moi ? Est-ce qu’il en a peur au contraire ? « Tu voudrais ? Reprendre du service ? » Je prononce la phrase du bout des lèvres, sans oser m’avouer que cela me toucherait plus que cela ne le devrait, l’idée qu’il puisse disparaître de ma vie aussi vite qu’il y est entré. « Tu voudrais repartir à l’autre bout du monde ? » Je bats des cils, en l’observant de mes yeux de poupon. L’autoroute défile, mais je ne fixe qu’Amos, j’au oublié le voyage, j’ai oublié la destination, ce qui me fait trembler, c’est l’idée qu’il réponde par l’affirmative.






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Message(#)All the things we could have been (Amelyn UA Chapter #4) EmptyMer 1 Déc 2021 - 15:40


All the things we could have been - Chapter #4
@Raelyn BlackwellAll the things we could have been (Amelyn UA Chapter #4) 873483867  & Amos Taylor  - Univers alternatif - 2007, 29 ans

Ne plus être une enfant. Est-ce vrai ? Est-ce une question d’âge ? Est-ce plutôt quantifiable à ce que l’on est capable de prendre soin de soi ou non ? Est-ce a contrario l’apparence physique d’un être humain qui détermine si, oui ou non, il est bon de le regarder avec des yeux paternels ou fraternels selon le cas ? La question est si vaste que je ne trouve aucune réponse potable… Je ne suis même pas certain d’essayer vraiment quand, peu à peu, je me demande si à force d’insister je tente de me convaincre qu’elle est toujours une gamine parce que c’est facile et moins dangereux. Je tourne le propos sur le ton de la raillerie, mais je doute alors que ses lèvres sont colorées et qu’elle s’affirme, Raelyn. Elle aurait volontiers tapé du poing sur la table si nous étions dans une cuisine ou une salle à manger. Au lieu de ça, elle me fixe de ses grands yeux qui détourne mon regard de la route et j’en rajoute une couche. «C’est mignon, petit bouchon. Je trouve que ça te va bien. Et il n’y a rien de mal à être encore un peu une enfant. Tu peux faire des tas de caprices que personne ne te refusera.» Et, derrière le pronom indéfini, il faut lire : moi. Je suis inapte au refus quand il est question de ma protégée. La preuve étant, elle n’est parfois pas obligée de demander pour obtenir. Ce week-end, je l’ai pensé sans elle. Maintenir l’illusion qu’elle y a participé est une fleur, non pour elle, mais pour moi, pour me dédouaner. Quel faible suis-je donc lorsqu’elle me réclame des indices ? Au départ sibyllins, ils se transforment au fur et à mesure. Au plus elle formule des hypothèses, au plus elle m’amuse et, comme elle, j’ai envie de la secouer gentiment par l’épaule. Je m’abstiens. J’évite tout contact qui réveillera cet émoi de l’autre soir, celui où allongés dans le divan, à jouer comme des gosses, le temps s’est arrêté faute à la contemplation de l’un par l’autre et vice versa. «Il y aura des gens, mais ça ne veut pas dire qu’ils seront avec nous… et ça ne veut pas dire non plus que nous serons que tous les deux.» Un bar, c’est bondé. Quant à la chambre d’hôtel, je me suis juré d’en réserver deux : qu’importe le surcoût. Mais, pourquoi tant de précaution ? De quoi je me méfie à ce point ? Ne suis-je pas en train d’en faire trop à me mettre martel en tête pour ce que nombreux qualifieraient de “fruit de mon imagination” ? Je n’ai pas raison de lui plaire. L’inverse n’aura pas de sens non plus. Je l’ai sauvée. Elle s’en sent redevable. Les relations sont biaisées, mais naturelles, non ? Il suffit de les corriger a minima pour que nous puissions cohabiter sans que mille questions nous traversent l’esprit, sans que je la soupçonne avoir peur que je quitte Kilcoy pour le bout du monde. «Tu ne serais pas obligée de partir, tu sais. Tu pourrais rester avec Sarah. Tu manquerais beaucoup à Sofia en plus.» Ma fille dit qu’elle est sa meilleure amie, celle qui lui apprendra à se maquiller plus tard, celle qui lui expliquera ce dont elle devra se méfier, celle qui se substituera à sa mère parce que c’est bien connu : elles ne peuvent être détentrice de tous les secrets. «Et, il y aura peut-être tout ça à la fois… sauf qu’il faudra faire des choix.» Je passe du coq à l’âne parce que j’ai peur de mon interrogation suivante. Elle m’effraie parce qu’elle me brûle les lèvres et que je ne résiste pas à la douleur. «ça t’ennuierait ? Que je m’en aille, je veux dire. Pour d’autres raisons que celle que j’ai supposée plus tôt ? » Celles qui a trait aux conjectures du genre : où irais-je ? Dans quel était errerais-je ? Où se situera ma place dans ce monde ? «Je ne sais pas si j’ai envie de reprendre. Je n’ai pas envie d’être encore loin de Sofia.» Dans un coin de mon esprit, le prénom de Raelyn s’est infiltré. Il a pris un peu plus de place jusqu’à le combler, mais je n’ai pipé mot. Je l’ai simplement dévisagée alors que nous sommes arrêtés à un feu rouge. Il indique à lui-seul que, bientôt, je serai fixé sur mon sort… «Mais, je sais que ça faciliterait la vie de tout le monde.» De Sarah, ça va de soi. Je me refuse, désormais, à prononcer son prénom. «Mais, ça n’a pas beaucoup d’importance puisque ça ne dépend pas de moi. Je te réponds parce que tu me le demandes…. et que c’est rare.» Rare que l’on s’interroge sur mes envies et mes besoins. Seuls comptent mes responsabilités et, parfois, c’est lourd à porter. Souvent. Est-ce triste ou beau d’admettre que Rae m’allège de sa seule présence ?

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Raelyn Blackwell
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ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion
SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn.
STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille.
MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie.
LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux.
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TW IN RP : Mention de drogues dures, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, deuil, automutilation.
ORIENTATION : J'aime les beaux garçons.
PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois.
DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP
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maxyn #7 & sms ☆ i'm sick, yeah, i'm sick, and honestly, i'm getting high off it. your smoke in my hair hot and dirty like the l.a. air. that face, baby, it ain't fair, but you don't know what you don't know. oh, so you wanna talk about power ? oh, let me show you power. i eat boys like you for breakfast, one by one hung on my necklace. ☽ 1234567

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spencer #14 ☆ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand. take another walk out of your fake world, please put all the drugs out of your hand. you'll see that you can breathe without no back up, so much stuff you got to understand.

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danalyn #4 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.

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cecilia #2 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.

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miles #1 & #2 ☆ i've been waiting patiently, i built this tower quietly. And when my well of wellbutrin is running dry of serotonin i can say things I don't mean. or maybe it's the truth in me, i feel it building, bubbling up.

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amelyn ☆ wasted in love, misunderstood, baby, it's harder to breathe when you're gone. so i hold in my hands pictures of you and dream of the day i was eating for two. all this love, i'm so choked up, i can feel you in my blood, i'm so scared to give you up. valentine, my decline is so much better with you. valentine, my decline, i'm always running to you. and i cover myself in tattoos of us, and dream of the day we embrace and combust. ☽ 123456789101112131415161718192021222324252627282930313233343536373839404142434445464748495051525354555657585960616263646566676869707172737475767778798081828384858687888990919293949596the end.

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All the things we could have been - Chapter #4
Raelyn Blackwell & @Amos Taylor All the things we could have been (Amelyn UA Chapter #4) 873483867 - Univers alternatif - 2007, 20 ans

« C’est mignon, petit bouchon. Je trouve que ça te va bien. Et il n’y a rien de mal à être encore un peu une enfant. Tu peux faire des tas de caprices que personne ne te refusera. » Si je grimace mais ne rajoute rien, c’est qu’au delà d’être agacée qu’il s’obstine à me  décrire comme une enfant et une petite soeur, je ne suis pas certaine de ne pas avoir grandi plus vite que je ne l’aurais voulu. J’ai quitté Charleville parce que je voulais vivre plutôt qu’errer dans ma campagne mais je l’ai fait alors que je venais d’avoir dix huit ans et que je ne savais pas grand-chose de la vie. Est-ce qu’on peut dire que je suis encore une adolescente, alors que j’ai erré dans des squats avant de trouver un studio minable ? Alors que j’ai supporté un job de serveuse dans un bar de périphérie où les clients me mettaient autant de mains aux fesses qu’ils commandaient de verres ? Alors que j’ai connu l'addiction et, à cause d’elle, je me suis bradée et j’ai vécu l’enfer de la prostitution ? Alors qu’il y a quelques semaines, trois mois tout au plus, j’ai appelé Amos parce que j’ai cru que j’allais mourir des mains d’un homme qui, non content de souiller, voulait en plus m’entendre hurler ? Le débat est stérile et j’espère qu’Amos se voile la face : je n’ai pas rêvé le rythme des battements de son cœur lorsque nous nous sommes retrouvés bien trop proches après une bataille d’oreiller.

« Il y aura des gens, mais ça ne veut pas dire qu’ils seront avec nous… et ça ne veut pas dire non plus que nous serons que tous les deux. » - « Qu’est ce que tu es énigmatique. » Je fais mine de faire la grimace, mais j’ai du mal à dissimuler ma joie à l’idée de m’éloigner de Kilcoy et de la maison avec lui. Que ce soit chez eux, en ville ou à la ferme, je sens constamment le poids de la présence de Sarah. Ce week-end, j’ai bien l’intention de la laisser exactement où elle est : loin de nous et dans l’ignorance de ce qu’il se trame réellement dans son dos. « Tu ne serais pas obligée de partir, tu sais. Tu pourrais rester avec Sarah. Tu manquerais beaucoup à Sofia en plus. » Bien sûr, la gamine m’adore. Comment pourrait-il en être autrement ? A ses yeux, je suis une adolescente, pas aussi adulte et bien moins austère que sa mère. Et je dois admettre que je l’aime bien, la gamine. Sauf qu’on sait tous les deux que ce monde où je resterais chez lui malgré un départ à l’armée n’existe pas. Sarah ne me mettrait pas à la porte, mais je n’aurais plus rien pour me retenir. Peut-être que je pourrais rester à la ferme un temps, avant de m’ennuyer. C’est lui, qui me retient à Kilcoy. « Tu sais très bien que ça arriverait pas. » Sarah et moi finirions pas nous entretuer, de toute façon. Et quant à moi, je n’ai pas confiance en elle. « Et, il y aura peut-être tout ça à la fois… sauf qu’il faudra faire des choix. » Je fronce les sourcils avant de comprendre qu’il parle à nouveau de notre escapade. Amusée, je grogne et secoue la tête. « Pas de choix. On fait tout ce qu’on peut faire en un week-end. » Autrement dit, j’ai envie de me remplir la tête de souvenirs, surtout s’il devait avoir un feu vert pour reprendre et retourner à l’armée. « Ça t’ennuierait ? Que je m’en aille, je veux dire. Pour d’autres raisons que celle que j’ai supposée plus tôt ? » Bien sûr que ça m'ennuierait. De réalise-t-il pas que mon monde tourne autour de lui depuis que je suis sevrée et que, en plus de ça, je suis en train de développer une toute autre forme d’affection pour lui ? « Je ne sais pas si j’ai envie de reprendre. Je n’ai pas envie d’être encore loin de Sofia. » Et moi ? Si je veux être perçue comme une adulte, je dois me  conduire comme telle. Et une adulte sait que sa fille passe avant tout. Une adulte sait aussi que, même s’il le pensait, il ne pourrait l’admettre puisqu’il est un homme marié. « Mais, je sais que ça faciliterait la vie de tout le monde. » - « C’est n’importe quoi. » Ce qui est n’importe quoi, c’est que c’est certainement vrai en ce qui concerne Sarah. Ce serait plus simple pour elle, qu’il soit loin et que je parte. « Mais, ça n’a pas beaucoup d’importance puisque ça ne dépend pas de moi. Je te réponds parce que tu me le demandes… Et que c’est rare. » Lui garde son regard braqué sur la route, la ville qui se rapproche et moi, je le fixe d’un regard brûlant. « Bien sûr que ça me ferait chier. » A tel point que cela mérite ma vulgarité. « Et pas juste parce que j’ai pas envie de retourner en ville. » C’est plus ce qui m’y attend que la ville en elle-même qui me terrorise. « Ça ça me terrorise. Mais je veux pas ne plus pouvoir passer de temps avec toi. » Et ça me terrorise presque plus encore, même si ma fierté m’empêche de le lui confier. Est-ce égoïste, que d’espérer qu’il soit déclaré inapte à la reprise de son travail, sa raison d’être ? « Et même si Sarah s’en fout, je suis pas la seule à en avoir quelque chose à faire que tu repartes ou pas. » Sofia, ses parents, son petit frère Zach qui vit encore avec eux : la première est trop jeune pour oser le dire et les autres à la fois trop pudiques et trop fiers. « Vous êtes juste trop cons à pas vous dire les choses. » J’esquisse un sourire, en évoquant ce que j’ai remarqué comme un point commun chez tous les Taylor : ils n’ouvrent pas leur coeur, ils le perçoivent certainement comme une faiblesse ou un truc de bonne femme.






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Message(#)All the things we could have been (Amelyn UA Chapter #4) EmptyJeu 2 Déc 2021 - 21:28


All the things we could have been - Chapter #4
@Raelyn BlackwellAll the things we could have been (Amelyn UA Chapter #4) 873483867  & Amos Taylor  - Univers alternatif - 2007, 29 ans

Elle boude, Raelyn. Elle n’aime pas que je la compare à une enfant ou à un petit bouchon. Peut-être entend-elle dans mes tentatives de garder le contrôle sur le regard que je porte sur elle une façon de la railler. Peut-être. Elle ferait alors erreur. Outre mon besoin d’oublier qu’elle est parfois capable de me troubler - l’épisode du divan n’était pas le premier -, je ne veux pas voir en elle la femme qui aura été prostituée, blessée par le sort,  meurtrie par les Hommes, l’oiseau de proie de l’aigle qu’est la drogue. Bien sûr, j’ai trop d’affection à son égard pour que je la méjuge et, plus violent encore, pour qu’elle me dégoûte d’une quelconque façon. En revanche, je suis parfois perdu sur ce qu’il me convient de penser d’elle ou de ressentir. Ma place est compliquée et, a fortiori, elle ne m’aide pas à m’y sentir à l’aise tant elle est tantôt rafraîchissante d’espièglerie tantôt déroutante de franchise. En prime, elle est dotée d’un sens de l’humour qui lui est propre et qui fait toujours mouche. Comment ne pas aimer sa compagnie ? Comment ne pas apprécier un peu trop ces moments privilégiés que nous partageons ? Comment ne pas oublier, sciemment, que je suis en train de mentir à ma femme ? Et pourquoi n’aurais-je pas le droit de me disculper de ce comportement pendable en me répétant, inlassablement, que tout est innocent ? Absolument tout. Qu’il s’agisse de ce bar dans lequel je l’emmènerai en passant par cette balade à la plage où nous lézarderons peut-être au soleil, toutes ces activités n’ont qu’une seule vocation : lui rappeler que la vie peut être belle et que son passé peut être rangé dans une boîte à ne plus jamais ouvrir. Ce n’est pas celui-là que j’entrevois lorsque je la détaille et j'aimerais qu’il en aille de même pour elle quoique je sois conscient qu’elle aura été victime et moi sauveur : mon rôle est plus enviable. «Des années d’entraînement. C’est comme ça que j’ai réussi à faire tomber Zach dans la fosse à purin. En cultivant le mystère...» A l’évocation de ce souvenir, je ris aux éclats et ça fait du bien. J’ai souvent l’impression que ça ne m’est pas autorisé. Autant dire que je regrette que nous abordions de quoi le raccourcir. C’est ma faute. Je n’aurai pas dû parler de cette visite médicale. Sauf qu’elle m’angoisse et en discuter est une façon d’exorciser mon ressenti. Dommage ! L’ambiance était légère jusque là. Elle est de suite beaucoup moins et bien que je rassure ma protégée sur ce que je reste - du moins en apparence - le chef de famille de la maisonnée - elle sera toujours la bienvenue - elle ne semble pas y croire, la brunette. «Je sais qu’elle ne te mettrait pas dehors. Je sais que tu pourrais rester. Ce que je ne sais pas, si tu le ferais.»ai-je précisé pour dissiper les doutes fomentés par ma susceptibilité naturelle. Le cas échéant, même si je m’efforce de nous ramener vers ce week-end en ajoutant que «On en fera le plus possible. Promis.», je suis à des kilomètres du militaire discipliné. C’est moi qui relance les “hostilités” puisque j’ai piqué seul ma curiosité. Que voulait-elle dire ? Qu’elle serait chassée ou qu’elle s’en irait d’elle-même tant j’ai des allures de pilier ? Etait-il bon de poser la question ? Pour commencer, le mieux est de répondre aux siennes et je m’y colle avec un soupçon de faux-semblant. Je n’avoue pas que mon quotidien serait moins agréable si j’étais éloigné, certes de ma famille, mais y compris d’elle. Je me tirais une balle dans le pied tout seul, plus encore qu’elle est brute de pomme, Rae. Elle ne se gêne pas pour exprimer à voix haute ce que sa tête lui dicte et lui conseillerait pourtant de cacher. «Ce n’est pas tout à fait n’importe quoi. Et, tu le sais bien. Je n’ai pas envie d’en parler aujourd’hui et tu sais pourquoi… tu sais très bien de quoi je parle.» De quoi ou de qui… Je me passe de commentaires : je préfère digérer, encaisser et m’abandonner à un éclat de rire à gorges déployées. «Trop cons ? Vraiment ? C’est ce qu’on t’inspire ? » Loin d’être fâché, j’acquiesce en m’esclaffant. «On est juste des pudiques. On a été élevés comme ça. » Un jour, peut-être, je lui raconterai comment je me suis retrouvé marié après ce certain nommerait un tribunal. «Si c’est ta façon de te dire que tu aimes bien passer du temps avec moi, je prends le comprends. Et si j’étais moins cons...» ai-je ajouté en stationnant le véhicule devant le centre de soins régi par l’armée de terre. «Je te dirais que la réciproque est vraie.» J’ai coupé le moteur du véhicule et mon coeur s’est emballé sans que je n’arrive à distinguer si c’est fruit de l’anticipation d’une rencontre déplaisante ou si c’est parce que j’outrepasse les prescrits que je me suis fixe : ne jamais être trop honnête avec Raelyn. Ne pas, dans l’éventualité où Sarah aurait raison, donné du grain à moudre à ce coeur que je finirais par blesser. Serait-ce un peu des deux ? De toute façon, c’est trop tard étant donné que j’ajoute : «Mais, je suis trop con pour l’avoir dit, alors tu vas l’oublier. Tu te souviendras juste que je t’ai demandé si ça t’ennuierait de m’accompagner...» Comme je l’ai fait pour elle à une époque, à la différence près que je ne sortirai pas du bureau de ce généraliste en pleurs. Elle n’aura pas à me consoler, juste à se réjouir ou à s’effrayer de la décision, selon ses envies pendant que moi… moi… je me poserai encore et toujours les mêmes questions : pourquoi ? Pourquoi moi ? Pourquoi a-t-il fallu qu’il ne me reste plus grand chose si ce n’est ce retour à la case départ où je ne suis qu’un fermier ou un lad utile à ses parents mais sans grande valeur pour son foyer. «Pas que je préfère une décision à une autre et que j’ai besoin d’encaisser.» ai-je achevé en quittant le véhicule, convaincu qu’elle m’emboîtera le pas. «Mais parce que le week-end, il commencera dès qu’on sera sorti du bâtiment et je veux pas le commencer tout seul...» ai-je achevé sur le trottoir en verrouillant le véhicule. J’ai rangé les clés dans ma poche et, d’instinct, j’ai manqué de tendre une main dans sa direction, qu’elle s’en saisisse. J’ai réprimé le geste de justesse, une seconde près avant les interprétations dangereuses.




Dernière édition par Amos Taylor le Ven 10 Déc 2021 - 0:18, édité 1 fois
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amelyn ☆ wasted in love, misunderstood, baby, it's harder to breathe when you're gone. so i hold in my hands pictures of you and dream of the day i was eating for two. all this love, i'm so choked up, i can feel you in my blood, i'm so scared to give you up. valentine, my decline is so much better with you. valentine, my decline, i'm always running to you. and i cover myself in tattoos of us, and dream of the day we embrace and combust. ☽ 123456789101112131415161718192021222324252627282930313233343536373839404142434445464748495051525354555657585960616263646566676869707172737475767778798081828384858687888990919293949596the end.

AVATAR : Lady Gaga
CRÉDITS : me (avatar), harley (gif profil, maxyn, spencer, amelyn), fuckyougifs (gif danaë) & jifdirectory (gif cecilia), erikawrites (gif miles)
DC : Megan Williams (Sydney Sweeney) & Midas Sterling (Leo Woodall)
PSEUDO : stairsjumper
Femme (elle)
INSCRIT LE : 21/02/2019
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Message(#)All the things we could have been (Amelyn UA Chapter #4) EmptySam 4 Déc 2021 - 23:18


All the things we could have been - Chapter #4
Raelyn Blackwell & @Amos Taylor All the things we could have been (Amelyn UA Chapter #4) 873483867 - Univers alternatif - 2007, 20 ans

« Je sais qu’elle ne te mettrait pas dehors. Je sais que tu pourrais rester. Ce que je ne sais pas, si tu le ferais. » Je sais aussi que Sarah ne me mettra pas dehors, ce n’est pas elle le souci. Le souci, c’est ma putain de fierté, le souci c’est que je ne me sens pas en confiance avec elle et, le souci moins avouable, c’est que c’est pour lui que je reste, plus vraiment au nom de ma santé. J’ai peur du jour où Sarah pointera du doigt que je vais mieux, que je n’ai plus besoin d’être logée blanchie et nourrie et que je peux voler de mes propres ailes et je me doute qu’il approche, ce jour où elle cherchera à se débarrasser de moi. Elle n’est pas aussi aveugle qu’Amos, puisque je suis déjà source de tension dans le couple. « Je resterai pas si t’es pas là. » Je ne sais pas trop où j’irais et pour faire quoi et, à vrai dire, je n’ai pas envie d’y penser. Je n’ai que cette certitude là à lui offrir.  « On en fera le plus possible. Promis. » J’esquisse un sourire avant de m’enfoncer dans mon siège. C’est ce que j’attends de ce week-end : de profiter d’être loin de Sarah pour profiter de lui, de sa présence, et de l’intimité qui découlera forcément du fait de n’être qu’à deux et loin de Kilcoy.

« Ce n’est pas tout à fait n’importe quoi. Et, tu le sais bien. Je n’ai pas envie d’en parler aujourd’hui et tu sais pourquoi… tu sais très bien de quoi je parle. » Il a mal compris : ce n’est pas sa déclaration que je juge aussi durement, puisque je suis consciente qu’effectivement, Sarah verrait peut-être son départ comme une solution facile à tous ses problèmes. Ce que je considère comme une vraie connerie, c’est qu’elle soit capable de penser comme ça, alors qu’elle est supposée l’aimer. N’est-on pas supposé vouloir garder l’être aimé près de soi, quelles que soient les épreuves que cela entraîne ? « Bien sûr que je sais. Et c’est ça que je trouve complètement… » Je cherche mes mots, avant de hausser les épaules. « C’est ça qui me dépasse. Que ce soit vrai. Mais ok, on n'en parle pas. » J’esquisse un sourire puisque j’aime bien cette règle : celle qui nous impose de laisser Sarah là où elle est. D’ailleurs, j’ai bien l’intention de le prendre au mot et de le lui rappeler si d’aventure il évoquait la rousse. Ce week end, elle n’existe plus. Le raccourci est déjà fait dans mon esprit.

« Trop cons ? Vraiment ? C’est ce qu’on t’inspire ? » Un immense sourire provocateur étire mes lèvres et je tourne à nouveau ma tête dans sa direction. « Tu sais bien que non. » Que c’est ma façon de parler et que je suis brute de décoffrage. « On est juste des pudiques. On a été élevés comme ça. » - « C’est pour ça que vous avez besoin de quelqu’un comme moi dans les pattes. » A ma façon, je suis également pudique, mais bien plus audacieuse. Avec moi, pas d’hypocrisie, je dis les choses comme elles me viennent et quand elles me viennent. « Si c’est ta façon de te dire que tu aimes bien passer du temps avec moi, je prends le comprends. Et si j’étais moins con… Je te dirais que la réciproque est vraie. » Alors qu’il tourne dans le parking du centre médical, il me laisse muette quelques secondes. Bien sûr, que je le sais : il ne projetterait pas de passer tout un week-end en ma compagnie. Mais l’entendre le dire, le connaissant, c’est autre chose. « Mais, je suis trop con pour l’avoir dit, alors tu vas l’oublier. Tu te souviendras juste que je t’ai demandé si ça t’ennuierait de m’accompagner… » Est-ce mon temps de réaction qui l’a poussé à enchaîner comme s’il n’avait rien dit ? Est-ce plutôt une illumination de son côté, la réalisation que ce qu’il dit n’a rien d’innocent ? Qu’il n’est pas supposé tant aimer passer du temps avec une autre jeune femme que son épouse ? « Pas que je préfère une décision à une autre et que j’ai besoin d’encaisser.  Mais parce que le week-end, il commencera dès qu’on sera sorti du bâtiment et je veux pas le commencer tout seul... » Il descend du véhicule et la portière qui claque me fait revenir sur terre. Je m’extirpe à mon tour du véhicule et j’appuie mes coudes sur la carcasse métallique du véhicule pour plonger mon regard dans le sien. « Bien sûr que j’aime passer du temps avec toi. » Je pensais même que c’était clair. Que je n’avais pas besoin de trouver des subterfuges pour faire ce genre de déclaration. « Et je sais. » Un sourire espiègle sur les lèvres, je laisse planer le doute quant à ce que je sais réellement. Qu’il aime se trouver en ma compagne ? Le pourquoi qui se cache derrière ? « Et il était hors de question que je reste à attendre dans la voiture de toute façon. » J’ai envie de t’accompagner. Moi aussi je peux être pudique, à ma manière. Je lui adresse un clin d'œil avant de lui emboîter le pas en direction du centre. « J’attendrai dans la salle d’attente, si tu veux… » Parce que j’ai remarqué. J’ai remarqué que contrairement à ses frères, il n’enlève jamais son t-shirt en public après une journée de labeur ou tout simplement lorsque la chaleur australienne devient étouffante. J’ai fait le lien avec ces blessures, celles qui le retiennent loin du terrain puisque, parfois, je le surprends à grimacer.

C’est de toute façon ce que le médecin m’invite à faire, lorsqu’il sort de son bureau pour venir chercher le militaire. Je lui adresse à nouveau un clin d'œil encourageant et, pour tuer le temps pendant une attente qui me semble longue, je chemine jusqu’au distributeur pour m’acheter tout ce qui me tombe sous la main tant que cela contient du chocolat. Lorsqu’Amos est enfin libéré, je me garde bien de tenter de deviner le verdict de l’équipe médicale. Au contraire, je me lève et je lui tends une barre chocolatée. « Pour fêter la décision ou l’oublier, ça marche dans les deux sens. » Je réalise alors que mon cœur bat la chamade. Faites qu’il ne parte pas, s’il vous plait. Je n’ai pas envie que ce week-end ait des allures d’au revoir. « Alors ? On va devoir recouvrir tous tes os d’adamantium ? Ça pourrait être pratique, des super griffes, pour travailler à la ferme. » Je tente d’alléger l’atmosphère puisque moi aussi elle m’angoisse, cette décision du corps médical.






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Message(#)All the things we could have been (Amelyn UA Chapter #4) EmptyVen 10 Déc 2021 - 0:18


All the things we could have been - Chapter #4
@Raelyn BlackwellAll the things we could have been (Amelyn UA Chapter #4) 873483867  & Amos Taylor  - Univers alternatif - 2007, 29 ans

L’aveu est multiple de sens. Que veut-elle dire ? Qu’elle n’en aurait pas envie parce que je serais absent du foyer et, par conséquent, il n’aurait plus d’intérêt ou sous-entend-elle qu’elle serait trop mal à l’aise et, a fortiori, qu’elle déteste trop Sarah pour traîner dans ses pattes ou l’avoir dans les siennes ? Ai-je le droit de lui poser la question ? De réclamer des précisions ? Quel message lui renverrais-je alors ? Celui d’un goût trop prononcé à comprendre qu’elle aime un rien trop ma compagnie ? Celui du lourdaud qui insisterait par avance pour qu’elle reste ? En réalité, serais-je renvoyé sur le terrain que j’aimerais effectivement la retrouver dans ma maison familiale en tant de perm. Ce n’est toutefois pas avouable, moins encore que les chances pour qu’une décision positive ne tombe aujourd’hui approche le minimum. Dès lors, je détourne la conversation vers ce week-end et sur l’image qu’elle brosse des miens. Je n’en suis pas vexé. Je la taquine parce que ça me permet de m’éloigner de réalité qui m’effraie. Ce n’est pas normal de m’envisager loin de chez moi et d’aspirer à mon retour pour retrouver Sofia et Raelyn avant Sarah. Est-ce lié à ce que mon épouse est difficile à vivre ? Qu’elle n’est jamais satisfaite de rien ? Qu’elle réussit à me mettre mal à l’aise au point de ne jamais lui confier quelle douleur me tiraille les flancs ? Au point de ne pas lui demander de l’aide quand vient l’heure de mes soins ? Au point que je trouve normal qu’elle ne m’accompagne pas chez le médecin-conseil puisqu’elle ignore ô combien ces rendez-vous me terrifient ? Parfois, j’aimerais être des hypocrites qui choisissent un mensonge au profit de la vérité pour ne pas accabler l’être aimé. J’aurais pu me permettre de détromper ma passagère avec plus de conviction qu’un haussement d’épaules et un “roulé” de pupilles dans mes orbites au lieu d’exiger, expressément, que nous n’abordions plus la question de mon mariage durant ces quarante-huit heures. Je le rappelle à sa mémoire. Je m’autorise même une confession interdite tandis que la brunette aux lèvres carmins me renvoie l’ascenseur. Elle ne flatte pas seulement mon ego, cette jeune femme qui accepte de me suivre a minima jusqu’au couloir du médecin. Je crois - sans l’oser - qu’elle amadoue aussi mon coeur avec ses clins d’oeil, l’espièglerie dans son regard et ses grimaces enjôleuses. Il rate aussitôt un battement. «Merci.» ai-je déclaré en réprimant un geste dangereux de la main alors que nous progressons dans le parking. Elle me touche celle que je persiste à traiter de gamine pour ne pas remarquer la femme qu’elle est réellement.

Est-ce une chance d’être si nerveux, dans cette salle d’attente, que mon pied bat la mesure sur le sol ? Que je joue avec mes doigts nerveusement ? Que je respire lourdement et soupire de temps à autre ? Quand vient mon tour, je jette une dernière oeillade vers ma complice du jour et je m’engouffre dans le bureau avec anxiété. De quoi ai-je peur étant donné que le verdict est évident ? Est-ce que je crains qu’il ne soulève des complications que les médecins, ceux que je ne consulte pas assez souvent, n’auraient pas remarqué par ma faute ? A priori, la blessure n’est pas bien jolie. Pas de terrain pour moi - bonne chose - mais une visite chez un chirurgien s’impose (Pas de bol). Il me rédige un document, une sorte de lettre de recommandation que je range dans la poche arrière de mon jeans. Je me promets de le jeter en rentrant chez moi avant que quiconque ne mette la main dessus. En attendant, je retrouve Raelyn qui me tend déjà une barre chocolatée. «C’est la barre du réconfort ? Bonne idée. J’en ai besoin. Vraiment.» me suis-je amusé à laisser planer un suspens qui me vaudra sans doute un brin de colère surjouée et amusée. J’ai l’air dépité en croquant dans le Snickers. «Pas d’adamantium pour moi. Ils m’ont proposé la solution de l’araignée radioactive, mais l’avantage de la normalité, c’est que je ne bougerai pas. » Mon sourire est éclatant. Il s’étire plus encore alors que l’horloge accrochée au mur indique le début des festivités. «Prête à reprendre la route ? » Apparemment, elle l’est plus que jamais : elle s’est déjà mise en route. Dans la voiture, je ne tarde pas non plus à démarrer le moteur pour la conduire à proximité de la côte. Demain, nous prendrons un bateau. Ce soir, nous ferons la fête dans l’un de ses lounges où l’on peut danser - c’est surtout pour elle - qui ont toutefois la caractéristique d’être assez étroit pour que je puisse la garder à l’oeil. Je ne veux pas que ça dérape. Je n’ai pas envie que tout soit gâché parce qu’elle se trouverait une dose quelque part. J’en parle d’ailleurs. En me stationnant devant l’entrée, j’anticipe sur ce que j’aurais préféré garder jalousement - ma surprise - au profit de la sécurité. « Ce soir, on va là. D’après mon frère, il y a différentes salles où on peut jouer, danser, discuter au calme. Je sais que c’est pleins de tentations pour toi, mais… j’ai prévu autre chose demain. En fait, c’est demain que ça se joue… Alors, s’il y a quoi que ce soit qui te met mal à l’aise, n’hésite pas à me le dire. On rentrera. J’ai réservé un hôtel.» Deux chambres, cela va sans dire. «Je peux compter sur toi ? » Moteur coupé, je m’étais alors tourné vers elle et, par réflexe, j’ai saisi sa main. Je l’ai serrée dans la mienne en cadenassant mes pupilles aux siennes puisque j’attends plus qu’un hochement de tête ou un oui sans envergure. C’est une promesse de sa part dont j’ai besoin en ce début de soirée. «Et pour te motiver à me faire confiance. » Et m’accorder la tienne, autant que possible, s’il est possible d’en offrir plus. « Je peux te donner un indice sur la destination. C’est…vert. »J’ai ri devant l’aspect laconique de l’adjectif de couleur, mais je n’en reste pas moins suspendu à ses lèvres en quête du serment sans lequel nous ne passerons jamais la porte de l’endroit où nous sommes supposés nous divertir et tout oublier.


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Raelyn Blackwell
Raelyn Blackwell
la muse des cauchemars
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ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion
SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn.
STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille.
MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie.
LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux.
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TW IN RP : Mention de drogues dures, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, deuil, automutilation.
ORIENTATION : J'aime les beaux garçons.
PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois.
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maxyn #7 & sms ☆ i'm sick, yeah, i'm sick, and honestly, i'm getting high off it. your smoke in my hair hot and dirty like the l.a. air. that face, baby, it ain't fair, but you don't know what you don't know. oh, so you wanna talk about power ? oh, let me show you power. i eat boys like you for breakfast, one by one hung on my necklace. ☽ 1234567

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spencer #14 ☆ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand. take another walk out of your fake world, please put all the drugs out of your hand. you'll see that you can breathe without no back up, so much stuff you got to understand.

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danalyn #4 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.

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cecilia #2 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.

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miles #1 & #2 ☆ i've been waiting patiently, i built this tower quietly. And when my well of wellbutrin is running dry of serotonin i can say things I don't mean. or maybe it's the truth in me, i feel it building, bubbling up.

RPs EN ATTENTE : aisling #3

RPs TERMINÉS : liste tenue à jour dans ma fiche de liens

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Message(#)All the things we could have been (Amelyn UA Chapter #4) EmptyDim 12 Déc 2021 - 16:04


All the things we could have been - Chapter #4
Raelyn Blackwell & @Amos Taylor All the things we could have been (Amelyn UA Chapter #4) 873483867 - Univers alternatif - 2007, 20 ans

« C’est la barre du réconfort ? Bonne idée. J’en ai besoin. Vraiment. » Je n’ose lui poser la question qui me brûle pourtant les lèvres. Du réconfort, mais pourquoi ? Parce qu’il repart en mission ? Parce qu’au contraire il est toujours au repos forcé et qu’il réalise que ce n’était pas ce qu’il voulait, au fond ? Mon cœur bat plus vite que je ne le voudrais, plus vite aussi que je suis capable de l’admettre. Comment avouer qu’Amos est devenu une composante importante et nécessaire à mon équilibre ? Que sans cet homme qui n’était pas grand chose de plus qu’un inconnu qui venait me rendre visite de temps à autre il y a quelques mois encore, je n’arrive pas à imaginer la suite ? Il est la présence rassurante dans ma vie, il est une sorte de pilier que je n’envisage nulle part ailleurs. « Pas d’adamantium pour moi. Ils m’ont proposé la solution de l’araignée radioactive, mais l’avantage de la normalité, c’est que je ne bougerai pas. » Mes yeux s’agrandissent et mes pupilles s’agrandissent. Pour lui, je voudrais être capable de cacher toute la joie que ce verdict me fait ressentir. Sauf que je doute d’y arriver de façon très efficace, puisque je mords dans ma barre de chocolat avec bien plus d’appétit et un sourire sur les lèvres. « Rien n’a besoin de changer, du coup ? » Pas de retour à l’armée, pas de départ de la maison pour moi, pas de fin nette et précoce à cette relation que j’ai bien du mal à qualifier. Le terme de fraternelle me fait grincer des dents, même si je sais que c’est ce dont il essaye de se convaincre.

« Prête à reprendre la route ? » - « Plus que jamais ! » Le fait est que je suis profondément soulagée. Mes traits sont plus détendus et mon excitation est communicative, alors que je me dirige vers la voiture d’un pas bien plus guilleret. La route n’est pas bien longue, mais je la parsène de tentative pour deviner où il m’emmène. Je m’exclame, je ris, j’ai bien plus le cœur à la fête qu’avant le rendez-vous du militaire chez le médecin. Bien sûr, je ne devrais pas. Être tenu à l’écart du terrain signifie que sa route vers la guérison totale est encore longue et, de plus, je ne suis pas sa femme. Je ne suis pas celle qui devrait avoir du mal à ne pas sourire parce qu’elle le gardera quelques semaines de plus auprès d’elle. Pourtant, lorsqu’il gare la voiture à côté d’un bar lounge à quelques mètres de la plage, j’ai un sourire jusqu’aux oreilles. « Ce soir, on va là. D’après mon frère, il y a différentes salles où on peut jouer, danser, discuter au calme. Je sais que c’est pleins de tentations pour toi, mais… j’ai prévu autre chose demain. En fait, c’est demain que ça se joue… Alors, s’il y a quoi que ce soit qui te met mal à l’aise, n’hésite pas à me le dire. On rentrera. J’ai réservé un hôtel. » Je suis consciente de tout ce qu’il me dit : un bar, la ville, des inconnus, tout sera source de tentation pour moi ou enclin à rappeler à moi mes traumatismes. Seulement, ces dernières semaines chez les Taylor n’ont pas réussi à faire de moi une fille de ferme : je me reconstruis avec eux, mais je reste une citadine, perpétuellement appelée et happée par le tumulte de la ville. La preuve en est, je détache déjà ma ceinture quand il m’interpelle. « Je peux compter sur toi ? » Je tourne ma tête dans sa direction. Avant de réfléchir. Suis-je assez forte pour résister à la tentation ? Le fait est que je n’en sais rien, mais il est là pour veiller sur moi et je sais qu’il me tirera d’ici si les choses menacent de m’échapper. « Et pour te motiver à me faire confiance. Je peux te donner un indice sur la destination. C’est…vert. » - « Vert ? » Je plisse le front en réfléchissant. « Tu te moques de moi ? C’est pas un vrai indice ça. » J’éclate de rire avant de redevenir plus sérieuse. « Je te promets que si c’est trop difficile, je te le dirais. » Cette promesse-là, je suis presque certaine de pouvoir la tenir. Je ne peux pas lui assurer que mes démons ne m’appelleront pas ce soir, mais je sais que je serais assez forte pour m’en remettre à lui, le cas échéant. « C’est promis. Et on partira. » Je hoche la tête pour appuyer mes propos avant d’ouvrir ma portière. « Maintenant, on y va. J’ai envie de danser. » J’arrange mes cheveux avant de sortir et de claquer la portière de la voiture derrière moi. Sans me poser de questions, j’attrape sa main pour le tirer avec moi à l’intérieur du bar. Il est encore tôt mais la proximité avec la plage aide : le bar est déjà à moitié rempli. J’entraîne Amos vers le bar, avant de me hisser sur un tabouret. « C’est moi qui choisi nos boissons. Et je vais le faire uniquement à partir du nom des cocktails. » Habituellement, j’apprécie le goût amer et fort du scotch. Ce soir, je me maîtrise pour limiter les risques. Un cocktail avec plus de sucre que d’alcool ce sera. Je me tourne vers le barman, avant de commander deux Armillita Chico sans trop savoir ce qu’ils contiennent. « Ce sera la surprise. » Accoudée au bar, je le détaille, pensive. « Tu fais souvent ça ? Échapper à Kilcoy pour venir boire des verres en ville ? » Mentir à Sarah pour passer une soirée amusante entre amis ?






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Message(#)All the things we could have been (Amelyn UA Chapter #4) EmptyLun 13 Déc 2021 - 14:09


All the things we could have been - Chapter #4
@Raelyn BlackwellAll the things we could have been (Amelyn UA Chapter #4) 873483867  & Amos Taylor  - Univers alternatif - 2007, 29 ans





Je plaisante de soulagement. Je taquine parce que j’aime lire son enthousiasme dans son regard, tandis qu’elle mord dans sa barre de chocolat, à la simple idée que rien ne change. Je reste là, à Kilcoy, avec elle. Je n’entrerai pas dans le cercle vicieux qu’est l’armée, celle qui déplace ses pions avec la stratégie d’un joueur d’échec. Je demeure auprès de ma fille et tandis que je me réjouis de la réaction de ma protégée, je me convainc que Sofia est l'unique raison à ma joie. Je ne partage pas la mienne avec celle de Raelyn. NON ! Elles sont différentes. Elles ne sont pas comparables et, si tant est qu’elle le soit, je refuse de le voir. Je refuse d’accepter cette éventualité faute à ce qu’elle pourrait cacher en affection. J’en ai pour elle, mais tant que j’ignorerai à quelle hauteur elle se compte, je ne souffrirai d’aucun tracas. Je pourrai continuer à partager avec Rae le temps qu’il me plaira sans être entravé par de mauvais pressentiments. Au contraire, je ne pourrais pas lui avouer que je suis libéré de mon service. Je n'aurais pas le droit de lui confesser, avec le sourire, que notre avenir ressemblera encore à ce qu’il est. Ce ne serait pas légitime de l'inviter, enjoué, à reprendre la route pour la première étape de notre week-end.

Le plus agréable sera pour demain. Sur l’heure, ce lounge fera une escale somme toute appréciable parce que danser, jouer ou boire sont des plaisirs presque interdits à Kilcoy. Il n’y a pas d’endroits branchés où se réfugier sans que Sarah ne soit au courant. La conséquence, ce sont les jugements qu’elle émet à voix haute sur le ton de la culpabilité. Moi, il m’assomme toujours un peu : je n’envisageais pas de monde où être père était s'écrouer à une sorte de prison dans laquelle les délices de la vie sont des péchés. Dès lors, parfois je triche, souvent pour tuer le temps avec mes amis. Ce soir, c’est avec une autre qui - je le répète - n’est pas une menace que j’entrevois d’être un homme avant d’être un père et un mari. Toutefois, pour ce faire, n’est-il pas bon de réciter quelques recommandations ? L’un ou l’autre conseil ? Quelques avertissements, non par manque de confiance, mais pour que tout se déroule pour le mieux ? Pour que je n’aie à regretter mes choix pour ce week-end ?

D’abord, je les essaime avec légèreté. Sauf que la brunette défait déjà sa ceinture. Je crains qu’elle ne m’ait écouté qu’en partie, si bien que je me répète ensuite, plus gravement, en détenant sa main dans la mienne. Mon discours ne peut pas lui échapper puisqu’aucun mot n’est prononcé au hasard. «Vert, c’est un indice, mais c’est pas le plus important là tout de suite.» Il n’était que prétexte pour m’assurer toute son attention. Je suis persuadé de l’avoir obtenue maintenant et, d’un regard - je ne réitère pas mes propos dans leur entièreté - j’arrive à gagner la promesse qui ralentit les battements de mon coeur anxieux. Elle me confiera toutes difficultés éventuelles et, après avoir acquiescé de soulagement, je lui emboîte le pas sur le parking.

A l’intérieur, je m’installe là où elle l’a décidé : c’est sa soirée avant d’être la mienne. J’accepte même de boire ce qu’elle nous aura commandé sur un coup de tête sans s’être réellement informée du contenu de ce cocktail. Je lui ai répondu par des sourires satisfaits et motivés par son allégresse. Et, je n'ai pas non plus rechigné  quand elle m'a posé une question bien plus lourde de sous-entendu, une que j'aurais aimé m'éviter. «Une ou deux fois par an. En général, on va jouer au casino avec des amis et mes frères. Tout le monde est dans la confidence. Ici, j’ai fait une petit entorse…» Pour toi... c'est néanmoins inavouable ! «Histoire que tu vois un peu de pays, même si là, on est toujours à Brisbane… et que tu te sentes un peu plus libre que d’habitude. ça ne me plairait pas que tu aies l’impression de vivre en prison à Kilcoy.» J’ai haussé les épaules. Mon regard a vagabondé sur la salle, est tombé sur le serveur et sur son oeillade dédiée à la brunette qui m’accompagne.

Il m’a dérangée. Mais, pourquoi ?  Etait-il trop insistant ? Trop charmeur ? Trop séduisant ? Trop profond quoique moins bleus que les miens ? Pourquoi je les compare ? Quel est mon intérêt ? C’est quoi, exactement, qui me chatouille le fond de l’estomac quand un gars, un peu éméché, j’approche de la belle aux lèvres carmins pour lui tendre la main. La musique résonne un peu plus loin. Elle ne bat pas son plein : elle ne nous empêchait pas de discuter. Mais, la verrais-je, Raelyn, depuis mon tabouret ? Soucieux de ne pas lui offrir l’image du possessif qui semble gronder en moi, j’encourage mon acolyte d’un signe de la main. «Je suis là de toute façon.» lui ai-je chuchoté, un sourire encourageant, mais en demi-teinte, au coin des lèvres. «Tu as dit que tu avais envie de danser en plus.» Moi, j’ai besoin d’un verre ou deux en plus pour me jeter sur une piste de danse. Pudeur de Taylor.

A contrario, je n’ai besoin de rien de plus pour comprendre que cet intérêt pour Raelyn, celui que suggèrent les regards insistants que la gente masculine, ceux qu'ils posent sur sa silhouette que je découvre différement. Tous ces sourires  engageants qu’ils lui jettent à la volée, ils font moins d’elle une petite fille qu’une femme. Elle est une femme qui plaît et qui aime plaire. Une femme ravissante qui sait utiliser son corps avec volupté pour qui décide de ne pas être aveugle. Mal à l’aise - ou contrarié - j’ai réclamé un autre verre, mais d'un alcool plus fort, un qui me brûlera l’oesophage et qui, je l’espère, boutera le feu à cette jalousie qui n’a pas lieu d’être. Elle doit s’éteindre pour n’être plus que des cendres… et ne jamais plus me dérouter ou m'agacer, comme ce soir, alors que je songe à quitter mon siège pour séparer ce duo somme toute sage, mais déplaisant pour mes pupilles cramoisies.

Dans le fond, je crois qu’une part de moi aurait espéré que Raelyn vienne me chercher au lieu de me cantonner au rôle de spectateur.



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Raelyn Blackwell
Raelyn Blackwell
la muse des cauchemars
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All the things we could have been (Amelyn UA Chapter #4) 9OYzxwd Présent
ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion
SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn.
STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille.
MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie.
LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux.
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POSTS : 34324 POINTS : 3130

TW IN RP : Mention de drogues dures, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, deuil, automutilation.
ORIENTATION : J'aime les beaux garçons.
PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois.
DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP
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RPs EN COURS :
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maxyn #7 & sms ☆ i'm sick, yeah, i'm sick, and honestly, i'm getting high off it. your smoke in my hair hot and dirty like the l.a. air. that face, baby, it ain't fair, but you don't know what you don't know. oh, so you wanna talk about power ? oh, let me show you power. i eat boys like you for breakfast, one by one hung on my necklace. ☽ 1234567

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spencer #14 ☆ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand. take another walk out of your fake world, please put all the drugs out of your hand. you'll see that you can breathe without no back up, so much stuff you got to understand.

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danalyn #4 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.

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cecilia #2 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.

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miles #1 & #2 ☆ i've been waiting patiently, i built this tower quietly. And when my well of wellbutrin is running dry of serotonin i can say things I don't mean. or maybe it's the truth in me, i feel it building, bubbling up.

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amelyn ☆ wasted in love, misunderstood, baby, it's harder to breathe when you're gone. so i hold in my hands pictures of you and dream of the day i was eating for two. all this love, i'm so choked up, i can feel you in my blood, i'm so scared to give you up. valentine, my decline is so much better with you. valentine, my decline, i'm always running to you. and i cover myself in tattoos of us, and dream of the day we embrace and combust. ☽ 123456789101112131415161718192021222324252627282930313233343536373839404142434445464748495051525354555657585960616263646566676869707172737475767778798081828384858687888990919293949596the end.

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Message(#)All the things we could have been (Amelyn UA Chapter #4) EmptyMer 15 Déc 2021 - 16:39


All the things we could have been - Chapter #4
Raelyn Blackwell & @Amos Taylor All the things we could have been (Amelyn UA Chapter #4) 873483867 - Univers alternatif - 2007, 20 ans

Amos ne laisse échapper sur la suite du programme que des indices insignifiants ou, en tout cas, des indices qui ne m’aiguillent pas vers une idée concrète de ce qui m’attend. Ce n’est pas grave : en temps normal, j’aurais détesté le fait d’avancer vers l’inconnu mais avec le militaire, j’évolue en pleine confiance. Je sais qu’il ne m’emmènera dans aucun endroit qui pourrait réveiller de mauvais souvenirs et, si je n’en avais pas été convaincue, sa prévenance alors que nous nous apprêtons à pénétrer dans le bar lounge en aurait été la preuve parfaite. Il ne me laisse sortir du véhicule qu’au terme d’une promesse, celle que je tirerai sur la sonnette d’alarme si jamais je me sens trop en proie à mes démons. Ils n’appartiennent pas encore au passé. Certains jours, je me lève encore avec l’envie presque irrépressible de me défoncer et s’il m’était possible d’acheter un pochon de cocaïne à Kilcoy, je ne suis pas certaine que je serais assez forte pour résister. Bien sûr, Amos veille au grain : lorsqu’il n’est pas à la maison, il travaille avec moi à la ferme de ses parents si bien que nous passons le plus clair de notre temps ensemble. Ca doit la rendre folle Sarah, et je la comprends, elle voit quelque chose qu’Amos refuse encore de voir : je ne suis plus une enfant, je suis une adulte et une adulte intéressée par son mari.

Et une fois à l’intérieur du bar, c’est plus clair que jamais : les coups d’oeils espiègles que je lance à Amos n’ont rien de fraternel, pas plus que les moues de séductrice que j’arbore en espérant qu’il le remarquera et qu’il franchira la ligne rouge, celle de l’infidélité, pour se laisser tenter par mes charmes. Je le veux pour moi, je n’ai pas honte de le dire. « Une ou deux fois par an. En général, on va jouer au casino avec des amis et mes frères. Tout le monde est dans la confidence. Ici, j’ai fait une petite entorse… Histoire que tu vois un peu de pays, même si là, on est toujours à Brisbane… Et que tu te sentes un peu plus libre que d’habitude. Ça ne me plairait pas que tu aies l’impression de vivre en prison à Kilcoy.» - « Une fois ou deux par an ? » Surprise, je lève un sourcil en plongeant mes lèvres dans mon cocktail - visiblement à base de Tequila si je fais confiance à mes papilles. Je m’attendais à plus. « Tu t’amuses et tu laisses la pression retomber une ou deux fois par an ? » Sarah me semble si austère que cela me paraît impossible à faire sans être loin d’elle. « J’ai pas l’impression de vivre en prison à Kilcoy… » Une arrière pensée en tête, je fais tourner mon verre entre mes doigts. « Mais c’est pas ton cas, parfois ? » La pensée traverse-t-il occasionnellement son esprit ? Se demande-t-il ce que serait sa vie si Sarah n’était pas tombée enceinte et s’il ne l’avait pas épousée alors qu’il était si jeune ? En a-t-il réellement profité, de sa jeunesse ?

C’est un type de quelques années de plus que moi - son âge doit se situer entre le mien et celui d’Amos, qui finit par nous interrompre en tendant une main dans ma direction. Ne voit-il pas que je suis accompagnée ? Se dit-il qu’Amos est un ami ou mon frère ? Surprise par la proposition - il m’invite de toute évidence à danser - je jette un coup d'œil en direction du brun. « Je suis là de toute façon. » J’hésite encore, puisque c’est avec lui que je veux passer la soirée. Mais la musique m’appelle et je suis jeune après tout : j’ai envie de fermer les yeux, de danser et de ne plus penser à rien. « Tu as dit que tu avais envie de danser en plus. » C’est avec toi que j’aurais préféré danser. Il me pousse à accepter, que comprendre ? Qu’il préfère me pousser dans les bras d’un autre pour pouvoir garder ses distances avec moi ? Je n’en sais rien mais, ce que je sais en revanche, c’est que si je veux chatouiller sa jalousie, le blondinet qui me tend la main est un cadeau tombé du ciel. J’enroule mes doigts aux siens mais, avant de partir, je me penche vers Amos pour lui glisser quelques mots provocateurs à l’oreille. « Trouillard. » Parce qu’il ne vient pas danser. Parce qu’il n’en a pas envie ou peur de se donner en spectacle. Parce qu’il a peur de moi.

Audacieuse, je dépose même un baiser du bout des lèvres sur sa joue avant de m’éloigner sur la piste de danse. J’y laisse une trace carmin qui ne me déplait pas et, avant de concentrer mon attention sur mon cavalier, j’adresse un dernier clin d'œil au militaire.

Est-ce qu’il me dévore des yeux ? Est-ce qu’il a trouvé des gens avec qui converser ou, est-ce qu’au contraire, il ne peut détacher son attention de moi ? L’envie de tourner la tête dans sa direction pour trouver moi même la réponse à cette question me démange, mais je me retiens dans le simple but de le rendre fou, dans le but qu’il s’imagine que je m’amuse comme une folle avec l’inconnu qui me fait tourner et m’attire bien sagement contre lui.

J’aurais voulu qu’Amos se lève et vienne attraper ma main pour me faire danser.

Mais il ne le fait pas et, lorsque je le rejoins, j’ai bu quelques verres offerts par un partenaire que j’abandonne à présent. Éméché mais pas encore saoule, j’ai un sourire un peu plus grand qu’à l’ordinaire sur le visage, un peu plus mutin, aussi, lorsque je le retrouve sur un canapé un peu plus au fond du bar. « Tu voulais pas danser ? » Moi, j’ai attendu qu’ils se fraie un chemin jusqu’à moi pour me voler à ce partenaire de danse éphémère. « Tu veux passer chercher quelque chose à manger et rentrer à l’hôtel ? » Je réalise que je n’ai aucune idée du temps que je passé sur la piste de danse, aucune notion du temps qui s’écoule ou de l’heure qu’il est. « Il est quelle heure d’ailleurs ? L’heure de passer acheter quelque chose à manger ou pas encore ? » Je n’ai pas de montre à laquelle jeter un coup d'œil. « Tu es sûr que tu ne veux pas danser ? » Moi je donnerai n’importe quoi ce soir pour que ce soit ses mains à lui autour de ma taille. Je les attrape dans les miennes, gamine espiègle, et je tente de le tirer vers la piste où se massent les danseurs.






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Message(#)All the things we could have been (Amelyn UA Chapter #4) EmptyLun 27 Déc 2021 - 22:18


All the things we could have been - Chapter #4
@Raelyn BlackwellAll the things we could have been (Amelyn UA Chapter #4) 873483867  & Amos Taylor  - Univers alternatif - 2007, 29 ans



Promesse obtenue, je m’aventure avec Raelyn dans ce bar sans prétention où nous entamons une discussion qui ne colle pas à l’ambiance. Non loin de la table où nous nous sommes installés, celle où le serveur nous apporte les cocktails choisis au hasard par ma partenaire de soirée, la musique bat son plein. Quelques danseurs se déhanchent sur la piste et je me demande si, compte tenu des confidences de ma complice de mensonge, je les imiterai. J’y songe parce que c’est plus facile que d’affronter la question à laquelle je réponds, au préalable, par un silence, mais à quoi bon ? N’ai-je pas avoué, lors de notre première rencontre, que je préférais traîner en ville pendant ma permission plutôt que de rentrer seul chez moi ? A l’époque, ma gamine et sa mère étaient en vacances. Etait-ce normal finalement ? Etait-ce logique que Sarah s’éloigne du foyer familial durant ma période de congé ? J’ai longtemps cru que j’avais manqué d’initiative puisque j’aurais pu les rejoindre. Aujourd’hui, je m’interroge avant de répliquer à la surprise de mon interlocutrice en opinant du chef. «Je n’avais pas besoin de le faire plus souvent. Si mes perm étaient trop courtes, je restais chez mon frère. Je ne rentrais que si j’étais certain que je ne repartais pas dans les vingt–quatre heures, surtout parce que ça m’arrangeait bien.» A moins que je ne m’y résignais à la faveur de ma femme et à la défaveur de notre petite fille. Je ne sais plus vraiment. «Tu ne t’en souviens sans doute plus, mais je l’ai sous-entendu il me semble… En tout cas, si pas en prison, je m’y sens parfois plus seul que sur un bateau avec d’autres soldats… C’est pour ça que je ne sais jamais vraiment si j’ai envie de repartir ou de rester… Sofia fait simplement pencher la balance du deuxième côté. » Pour être exact, avant Rae, elle était mon moteur pour envisager de reprendre l’affaire familiale. Sur l’heure, la donne a été redistribuée et, si je refuse de l’admettre, l’intervention de l’intrus me rappelle qu’il est quelque chose d’anormal entre ma protégée et moi. Certes, je l’encourage à aller s’amuser avec cet inconnu. Je n’ai pas organisé ce week-end pour qu’elle s’ennuie, assise à une table, à m’écouter ressasser mes frustrations. Mais, en mon for intérieur, j’envie son cavalier. Je regrette que Rae ne vienne pas me chercher. Je déplore ce sentiment qui ressemble à s’y méprendre à de la jalousie parce que ce type lui tient la main, la fait tourner sur la piste et lui sourit. Je ne devrais pas être dérangé qu’elle lui rende ces grimaces bienveillantes. Il ne représente pas un danger. Mon instinct me souffle qu’il est plutôt correct. Propre sur lui, il ne la brusque pas et je crois que j’aurais préféré afin d’écourter leur aparté. Est-ce bien ? Est-ce sain ?

Tandis que la danseuse me retrouve, les joues rouges et légèrement décoiffées, je lutte pour ne pas afficher haut et clair mon émotion. Doutant d’en être capable, je fais mine d’être vexé qu’elle m’ait soufflé, juste avant de partir, que j’étais un trouillard. Je feint d’avoir oublié son attention délicate qu’était cette bise sonore sur ma joue. «Je n’ai jamais dit que je ne voulais pas. C’es toi qui l’as supposé, m’accusant à tort d’être un poltron d’ailleurs. C’est trop tard maintenant. Tu as raté ta chance.» ai-je lancé en penchant la tête sur le côté, les sourcils arqués en signe de vexation avant de boire de grandes gorgées de mon cocktail. Est-ce que j’ai avalé deux double de whisky pendant qu’elle se divertissait avec un autre ? Je ne jurerais pas du contraire. Je ne le confesserais pas non plus, par fierté. « Tu veux rentrer parce que tu as faim ou parce que ton cavalier te fait faux-bond.» Là encore, je n’attesterais pas que la remarque ne puait pas d’un soupçon de jalousie sans être pendable de mensonge. A contrario, je le masque en ajoutant : «Il avait l’air sympathique. Tu aurais pu en profiter un peu plus longtemps si tu en avais envie.» Je suis sincère, mais mon honnêteté ne signifie pas que je n’en serais pas contrarié voire déçu. Sauf que je me dois de le lui souhaiter. J’y suis forcé, par obligeance : le voudrais-je - et ce n’est pas le cas ou je m’en convaincs - que je n’ai rien à offrir à cette jeune femme hormis la sécurité, des verres ou un week-end improvisé, sans prétention, fomenté sous couvert d’un mensonge à mon épouse. Qu’a-t-elle lu, Raelyn, pour ne pas insisté pour rentrer mais bien pour me tirer sur la piste de danse ? Qu’a-t-elle déchiffré en moi, cette espiègle jeune femme - elle en est une : le regard des autres hommes ne trompent pas - pour me prendre par la main et tirer sur mes bras avec une obsession : me faire décoller de mon siège. « Je t’ai dit que tu avais perdu ta chance. J’y gagnerais quoi à te suivre ? » ai-je lancé tandis que, cette fois, c’est moi qui l’aspire dans ma direction à la force du bras de mon flanc valide. Mon regard, planté dans le sien, est rempli d’une défiance interdite. Elle est proscrite parce que j’ai approché Raelyn si près de moi que je perçois qu’elle s’est parfumée, qu’elle n’a pas seulement maquillé ses lèvres, elle a aussi peint ses yeux d’un fard lumineux et pailletté qui illumine ses yeux verts. Elle s’est préparée sans savoir quelle serait sa destination et j’en déduis que ce n’est pas pour les gars qui la dévorent des yeux, mais pour moi et je n’en suis pas seulement flatté, je suis aussi rassuré, soulagé, assez pour que j’oublie la présence de la foule autour de nous. Il n’y plus que Rae et moi malgré la masse de noceurs qui s’agglutine dans ce lounge. «Si l’enjeu me convient, je termine mon verre et je te suis jusque là.» Autrement dit, sur la piste, à condition qu’elle fasse preuve d’imagination.

∞∞∞∞∞∞

De l’imagination… elle n’en manque pas. Rae n’est pas animée par la malice du diable, mais elle s’auréole d’avoir souvent le mot juste pour allumer en moi mon amour du jeu et, surtout, de gagner. Bien sûr, je l’aurais emmené danser malgré cela. Evidemment, j’aurais commandé d’autres verres. Je n’avais simplement pas prévu de la ramener contre moi aussi souvent que possible même si le rythme de la musique ne s’y prêtait pas forcément. Je n’ai pas plus anticipé que je respirerais l’odeur de son shampoing parce qu’il m’a semblé familier et rassurant. Je n’avais tout simplement pas envisager de ce que je serais ivre et, par conséquent, irresponsable ou inconscient du danger qui se prépare tandis que j’hésite à reprendre la voiture. «On devrait prendre un taxi… c’est plus prudent.» Il nous déposera devant un snack, puis à l’hôtel où nous rejoindrons chacun notre chambre après avoir avalé un repas gras, exemple même de la malbouffe… Du moins était-ce le plan de départ…



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STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille.
MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie.
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danalyn #4 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.

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cecilia #2 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.

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miles #1 & #2 ☆ i've been waiting patiently, i built this tower quietly. And when my well of wellbutrin is running dry of serotonin i can say things I don't mean. or maybe it's the truth in me, i feel it building, bubbling up.

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amelyn ☆ wasted in love, misunderstood, baby, it's harder to breathe when you're gone. so i hold in my hands pictures of you and dream of the day i was eating for two. all this love, i'm so choked up, i can feel you in my blood, i'm so scared to give you up. valentine, my decline is so much better with you. valentine, my decline, i'm always running to you. and i cover myself in tattoos of us, and dream of the day we embrace and combust. ☽ 123456789101112131415161718192021222324252627282930313233343536373839404142434445464748495051525354555657585960616263646566676869707172737475767778798081828384858687888990919293949596the end.

AVATAR : Lady Gaga
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PSEUDO : stairsjumper
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Message(#)All the things we could have been (Amelyn UA Chapter #4) EmptyMer 29 Déc 2021 - 14:19


All the things we could have been - Chapter #4
Raelyn Blackwell & @Amos Taylor All the things we could have been (Amelyn UA Chapter #4) 873483867 - Univers alternatif - 2007, 20 ans

Il se sent en prison, il me l’a confié alors que je n’étais pas encore une invité sous son toit et je m’en rappelle à présent. Est-ce sain, de m’en réjouir ? Est-ce normal, alors que je l’apprécie, d’être satisfaite qu’il se sent enfermé chez lui, auprès des siens ? Au regard de la correction, sûrement pas ; ce n’est qu’une preuve de plus que l’obsession que je développe pour celui que je qualifie déjà de sauveur en pensées, de celui que je m’imagine déjà m’accaparer au nez et à la barbe de celle à qui il a pourtant juré fidélité.

Pourtant, c’est dans les bras d’un autre que je danse. La scène est sage, le jeune homme correct et pas assez entreprenant pour être jugé de trop envahissant, même pas assez assez pour réveiller ma peur des hommes, celle née de mon passé peu glorieux. C’est avec un autre que je m’amuse, c’est un inconnu que je laisse me faire tourner et avec lui que je rie, mais ce n’est pas sans arrière pensées. Le blond - ou bien est-il brun ? Je n’y ai même pas fait attention - ne représente rien de plus qu’une chance de tester le militaire et, je l’espère, de le rendre jaloux. Je ne saurais dire si ça marche. Ce que je note en revanche, c’est qu’il reste vissé à son tabouret et qu’il m’observe, lorsqu’il pense que je ne le vois pas. C’est décidé : ce soir je ferai un pas dans sa direction. Il y a des regards qui ne trompent pas et je suis galvanisée par le sentiment de lire de la possessivité dans le sien. Lorsque je décide qu’il a assez mijoté, qu’il est fin prêt, je viens le chercher avec un grand sourire sur les lèvres. « Je n’ai jamais dit que je ne voulais pas. C'est toi qui l’as supposé, m’accusant à tort d’être un poltron d’ailleurs. C’est trop tard maintenant. Tu as raté ta chance. » - « C’est toi qui m’a encouragée. » Il prétend être vexé que je l’ai qualifié de pleutre, je le suis vraiment d’avoir été poussée dans les bras d’un autre, comme si ça n’avait pas la moindre importance. « Tu veux rentrer parce que tu as faim ou parce que ton cavalier te fait faux-bond ? » - « C’est moi qui lui fait faux bond. Lui, il m’a proposé de me raccompagner. » Mais c’est avec toi que je veux rentrer. C’est vers lui que je suis revenue, c’est sur son bras que je tire pour qu’il m’emmène sur la piste de danse, puisque c’est propice aux rapprochements. « Il avait l’air sympathique. Tu aurais pu en profiter un peu plus longtemps si tu en avais envie. » - « J’en avais pas envie. » Ni de profiter plus longtemps de la bonne humeur de l’inconnue, ni de rentrer avec lui, ni même de retenir son prénom.

La donne change et le pouvoir change de main : lorsque j’abandonne puisque je ne parviens pas à le relever, il se redresse finalement et tire à son tour sur mon bras. Moi, je n’ai ni la force ni l’envie de lui résister. Surtout pas quand je me retrouve si près de lui que je dois lever le menton pour lui parler, si près de lui que je sens le parfum de sa lotion après rasage. « Je t’ai dit que tu avais perdu ta chance. J’y gagnerais quoi à te suivre ? » Il réveille mon amour du jeu et un sourire étire mes lèvres. « Si l’enjeu me convient, je termine mon verre et je te suis jusque là. » Légèrement ivre, plus entreprenante qu’à l’accoutumée, je glisse une main dans sa nuque pour me hisser sur la pointe des pieds et chuchoter contre son oreille. « Tu y gagnes le droit de sortir de ta prison. » Je laisse retomber ma main en effleurant volontairement sa nuque, son épaule, son bras, sa taille, avant d’attraper ses doigts entre les miens. « Allez. Lâche un peu prise. » Sarah n’est pas là, tes frères ne sont pas là, ici, personne ne nous connaît.

***

Après un verre de plus, plus personne n’avait envie de rentrer aussi vite à l’hôtel. L’ambiance du club me donnant l’occasion de me rapprocher de lui bien moins innocemment que lorsque nous nous sommes battus avec des oreillers sur le canapé, j’en ai profité jusqu’à ce que la fatigue et l’ivresse ne nous rattrape tous les deux. Lorsque nous quittons l’établissement, je tiens toujours sa main serrée dans la mienne et la nuit emporte mon rire. Ou bien est-ce déjà le matin ? Je ne sais plus trop. « On devrait prendre un taxi… C’est plus prudent. » - « Un taxi, c’est bien. » Un taxi, ça me donne l’occasion de m’asseoir un peu plus près de lui que la raison ne le voudrait. Je me moque d’être détachée, je me moque qu’il soit marié et je me moque de la présence du chauffeur : nous ne faisons rien de mal de toute façon. Rien de plus que de garder nos doigts entrelacés et que d’échanger quelques regards et rires complices : nous sommes tous les deux fins bourrés, à l’évidence. Le trajet passe en un souffle, je me souviens à peine de notre arrêt devant un fast-food ouvert toute la nuit, je me souviens à peine d’Amos qui règle le taxi. A l’hôtel, il a réservé deux chambres et lorsqu’il m’accompagne jusqu’à la porte de la mienne, je l’ouvre doucement avant de me retourner vers lui sans pénétrer dans la pièce. « Je n’ai pas envie de dormir toute seule. » Pour plusieurs raisons. « L’hôtel… Ça me rappelle de mauvais souvenirs. » C’est vrai. Mais ça n’en reste pas moins également une manœuvre pour tenter de me rapprocher de lui. « Tu peux rester un peu avec moi ? »





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Message(#)All the things we could have been (Amelyn UA Chapter #4) EmptyJeu 30 Déc 2021 - 23:48


All the things we could have been - Chapter #4
@Raelyn BlackwellAll the things we could have been (Amelyn UA Chapter #4) 873483867  & Amos Taylor  - Univers alternatif - 2007, 29 ans



Je l’ai poussée à s’amuser avec un autre, mais à quelles autres options me fier ? L’en empêcher ? Pour quelles raisons ? La retenir ? Je ne disposais d’arguments pour la garder avec moi. Me suis-je réjouis de l’observer en train de se déhancher sur la piste avec un autre que moi ? Assurément, non ! Je ne peux simplement pas l’avouer. Dès lors, je feins, dans mes remarques, un détachement qui ne sue pas par chaque pore de ma peau. Je redoute d’être démasqué d’ailleurs et je regrette d’avoir admis que Kilcoy était parfois une cellule dont Sarah représente les barreaux. Je le déplore d’autant plus que je suis rassuré par ce que Rae me confesse : c’est elle qui a fui ce gars audacieux qui s’imaginait la ramener chez elle ou chez lui. «Je ne l’aurais pas laissé faire.»ai-je jeté entre nous en réalisant trop tard l’impact de cette révélation. Trop tard. Je ne peux pas la reprendre. Je ne peux que l’assumer et la meilleure des façon, c’est de me convaincre que c’est équivoque. Ma remarque pourrait très bien sous-entendre que c’est notre week-end, notre surprise et non pas que j’aurais mal vécu de me figurer ma protégée remise de ses mauvaises expériences à une telle vitesse qu’elle se roulerait dans les draps de la luxure avec un autre. L’image me déplaît et je grimace. Je suis contrarié et refuse de me lever parce qu’elle l’exige. Je ne le ferai que pour une seule raison : qu’elle cède à mon amour du jeu, celui que j’enfouis en moi sous prétexte qu’il est mal venu et mal vu dans mon mariage. Aujourd’hui, il ne l’est pas. Quand je tire sur le bras de Rae, lorsque je la désarçonne le temps d’un instant, a-t-elle conscience que j’ai déjà lâché prise ? Qu’énoncer mon enjeu en est la preuve et que si j’en doutais, le frisson qui me parcourt tandis que ses doigts fins glissent le long de ma nuque, de mon bras et de mon flanc valide appuie cette réalité effroyablement effrayante ? Je pressens l’inverse et peu me chaut maintenant que j’ai avalé le quota d’alcool qui désinhibe. Je ne la freine ni ne la réfrène quand sa volupté, sur la piste de danse, m’embarque sur les sentiers qui mènent au désir. Je me surestime. Je me considère bien trop raisonnable pour mon propre bien. J’envisage mon mariage plus solide qu’il ne l’est. Je fais abstraction, insconciemment, de mon quotidien parce que je suis juste bien dans ce club avec cette jeune femme délicieuse dont, j’en suis sûr, certains m’envient la compagnie. Plus d’un sans doute. Quelques-uns lui tournent autour, mais je la ramène vers moi. Je la conduis dans mes bras. Je la guide au bar pour nous commander un autre verre. Toutes les excuses sont bonnes pour l’éloigner de ces hommes qui ont l’avantage indéniable d’être célibataire. L’un d’entre eux pourraient la rendre heureuse et, pourtant, c’est dans le même taxi que le mien qu’elle grimpe. C’est en me tenant la main qu’elle me suit dans le snack où je commande un peu n’importe quoi, riant pour un rien, lui souriant parce que son rouge à lèvre tient visiblement bien : elle a toujours les lèvres carmins. C’est devant la porte de sa chambre d’hôtel qu’elle me demande de rester avec elle, me surprenant à peine finalement. Je savais que ça arriverait. Je crois même que je l’ai espéré. « Je suis mort de fatigue, je…» Menteur, me souffle ma conscience. Dans un dessin animé, elle serait représentée par des petits “moi” déguisés en diable et en angelot. Le premier me dit : “allez, le temps du repas, au moins”. Le second me scande que c’est plus que ça. Il dit que c'est le risque de ne pas repartir pour retrouver mon lit. Des nuits avec Rae, j’en ai passé plus d’une, mais j’ai toujours été assis dans la causeuse pour l’observer. Je ne me suis assis sur le matelas que pour la rassurer ou la serrer dans mes bras tels un frère si elle était la proie d’un cauchemar. «Enfin, c’est pas que je ne veux pas, c’est que je ne sais pas. Je ne sais pas si c’est un bon plan. Je risquerais de m’endormir.» lutte la version de moi-même la plus prudente alors que l’autre s’exprime, faute à l’ivresse, pour me contredire. «Et d’un autre côté, j’ai pas envie de manger tout seul. » Je soupire, mal à l’aise. Je piétine et je «D’ailleurs, je t’ai pas donné ton burger.» J’éclate de rire et, tandis que je la trouve de plus en plus grave - je n’essaie pourtant pas de maintenir le suspens - je l’invite à se pousser pour me laisser entrer. «Je mange, puis je file, ok ? » me suis-je écrié parce que je suis saoul, beaucoup trop et que je trébuche en partie à cause du pied de la chaise. Je la tire. Je m’installe. Je vide le contenu du sachet et, maladroitement, alors que je n’y ai pas le droit, j’interroge ma partenaire sur un événement précédent qui n’a que trop titillé ma jalousie. «Il te plaisait ? » ai-je demandé en avalant une énorme bouchée de mon burger. «Le type qui t’a fait dansé, il te plaisait ? Je veux dire, c’était ton genre de types ? C’est pour ça que tu t’es senti à l’aise ? Tu te sentirais prête à rencontrer quelqu'un, là, tout de suite ? » me suis-je inquiété alors que, je le répète  - même si je n’en suis pas fier - je ne me réjouis pas qu’elle soit guérie de son trauma, non pas pour elle - une part de moi lui souhaite - mais à cause de moi.
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Raelyn Blackwell
Raelyn Blackwell
la muse des cauchemars
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ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion
SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn.
STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille.
MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie.
LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux.
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POSTS : 34324 POINTS : 3130

TW IN RP : Mention de drogues dures, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, deuil, automutilation.
ORIENTATION : J'aime les beaux garçons.
PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois.
DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP
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Message(#)All the things we could have been (Amelyn UA Chapter #4) EmptySam 1 Jan 2022 - 13:01


All the things we could have been - Chapter #4
Raelyn Blackwell & @Amos Taylor All the things we could have been (Amelyn UA Chapter #4) 873483867 - Univers alternatif - 2007, 20 ans

« Je ne l’aurais pas laissé faire. » Je me demande comment je dois comprendre la remarque d’Amos. Je me demande s’il est sérieux, s’il se serait opposé à mon départ avec un autre et pourquoi. Il a beau connaître mes traumatismes, je n’en reste pas moins une adulte libre de faire ses propres choix : il n’aurait pas eu la légitimité de le faire sous prétexte de me protéger d’une mauvaise décision. L’aurait-il fait quand même ? Est-ce la jalousie qui parle ? Une part de moi l’espère, une part de moi a envie de penser qu’il en crevait, à m’observer dans avec quelqu’un d’autre. Le regard que je lui lance veut dire bonne réponse et, sur l’heure je ne rajoute rien.

Je me contente de profiter de la soirée et de la proximité de nos corps qui se frôlent et se touchent sur la piste de danse comme dans le taxi. A plusieurs reprises, je manque de trébucher et pose la paume de ma main sur son torse, mettant ma maladresse sur le compte d’une ivresse qui a bon dos et n’excuse pas tout. La vérité, c’est que la proximité avec le militaire m'enivre. La vérité, c’est qu’à plusieurs reprises j’ai eu envie de m’emparer de ses lèvres, lorsque nous étions dans le club. La vérité, c’est aussi que je n’ai pas envie de le laisser partir alors qu’il me raccompagne jusqu’à la porte de ma chambre d’hôtel. « Je suis mort de fatigue, je… » Il cherche des excuses, et je prie pour qu’il n’en trouve pas ou les réfute, je prie pour qu’au fond, il n’ait pas plus envie que moi de se séparer ici et maintenant. « Enfin, c’est pas que je ne veux pas, c’est que je ne sais pas. Je ne sais pas si c’est un bon plan. Je risquerais de m’endormir. » - « Et alors ? » Provocatrice, je lève un sourcil et esquisse un sourire. Ce serait grave Amos, si tu t’endormais avec moi ? « Et d’un autre côté, j’ai pas envie de manger tout seul. D’ailleurs, je t’ai pas donné ton burger. » Un faux air sérieux sur le visage, je hoche la tête. J’approuve ses mots puisqu’ils sont en faveur d’une poursuite de la soirée. « Je mange, puis je file, ok ? » - « Tu manges, et puis tu files. » J’ai au moins le temps d’un burger pour le faire changer d’avis.

La chambre est sommaire, mais pas glauque. Elle a ça de plus que la plupart des endroits où je rencontrais mes clients et je suis rassurée de ne pas lui trouver de point commun avec celles de mes plus mauvais souvenirs. Apaisée, je ris de bon cœur lorsque Amos trébuche, faute à l’ivresse, et se rattrape au dernier moment. Je m’installe sur la chaise à côté de la sienne - j’aurais préféré un canapé - avant de déballer précautionneusement mon burger que je picore du bout des lèvres, bien trop absorbée par l’attraction. Est-il possible que je sois la seule à la ressentir ? Que les sirènes du désir ne chantent pas pour lui ? « Il te plaisait ? » Je relève mes yeux dans les siens et, sans le lâcher du regard, je dépose mon burger dans mon assiette avant d’attraper une serviette pour m’essuyer les doigts et le coin des lèvres. « Le type qui t’a fait dansé, il te plaisait ? Je veux dire, c’était ton genre de types ? C’est pour ça que tu t’es senti à l’aise ? Tu te sentirais prête à rencontrer quelqu'un, là, tout de suite ? » - « Je croyais que tu étais là pour manger ? » Un sourire provocateur étire mes lèvres et j’attrape une frite du bout des doigts, que je mange sans quitter Amos des yeux. « Ça te ferait quelque chose si je disais que oui ? » Si je prétendais que l’inconnu avait toute mon attention et que mes pensées n’étaient pas toute dirigées vers lui ? Ma chaise est assez proche de la sienne pour que je puisse le toucher mais, pour l’instant, je n’en fais rien. Je me décale simplement de quelques centimètres pour me rapprocher de lui : il suffirait que je me penche pour que nos corps se touchent. Je m’essuie à nouveau les doigts avant de lui faire signe de s’approcher de moi, comme si j’avais un secret à lui dire. Comme plus tôt, je dépose ma main dans sa nuque, j’approche lentement mes lèvres de son oreille avant de murmurer une réponse à sa question. « Il me plaisait moins que toi. » Et sans lui laisser le temps de répondre, je recule mon visage, je cherche dans son regard quelque chose qui me mettrait en garde, qui me préviendrait que je risque d’être repoussée si je tente quelque chose, mais je ne trouve rien. Alors, lentement mais sans la moindre trace d’hésitation, j’approche mes lèvres des siennes, je les effleure, je joue avec nos nerfs quelques secondes pendant lesquelles il semble retenir sa respiration et, finalement, je scelle nos bouches d’un baiser que j’ai trop attendu, un baiser qui n’a plus rien d’innocent. Qu’est ce que ça fait Amos, de franchir la ligne ?






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